samedi, 27 octobre 2007
Bi-disciplinarité : à certaines conditions.
On a cherché à me verser en "documentation" l'année dernière en me nommant sur un collège où l'on avait besoin d'un demi-horaire de documentation. Et ceci en matière principale. Mon horaire d'allemand ayant été de loin inférieur à mon horaire de documentation.
Obligée sous peine de sanctions administratives de la part de la principale. Qui a agit en me faisant convoquer à la médecine du rectorat à la première protestation. Comme sanction : dans l'enseignement français toute protestation contre le supérieur hiérarchique étant immédiatement sanctionné par une "interdiction professionnelle".
A l'étranger, les professeurs bi-disciplinaires, c'est le cas en Allemagne, vont à l'université étudier deux matières (ou plus) qui leur plaisent. Cette seconde matière ne s'appelle pas forcément documentation et cela fait mille fois que je le répète sur cet i-grimoire (blog), on ne peut enseigner une matière que l'on a étudié à haut niveau. La documentation est actuellement considérée comme une matière et les documentalistes ne sont plus des documentalistes, mais des professeurs documentalistes et là la principale s'est lourdement trompée lorsqu'elle a écrit sur ma note administrative que je n'avais effectué aucune heure d'enseignement, les élèves dans un CDI nous posant continuellement des questions et répondre à des questions, n'est-ce-pas "enseigner" ????
Evidemment, au CDI, je n'ai pas enseigné la documentation que je ne connaissais pas, mais toutes les autres matières ou presque.
La bi-disiciplinarité, c'est enseigner deux matières que l'on aime à part égale, et pas une matière que l'on aime (ou plus du tout la matière que l'on aime au profit de celle que l'on aime pas), plus une matière que l'on n'aime pas.
Il y a trois solutions :
- Deux matières que l'on aime et pour lesquelles on est compétent et qualifié.
- Une matière que l'on aime et pour laquelle on est qualifié et une matière que l'on n'aime pas et pour laquelle on n'est pas qualifié.
- Ne plus enseigner la matière que l'on aime et pour laquelle on est qualifié et compétent et n'enseigner qu'une matière que l'on a pas étudiée et que l'on aime pas, n'en communicant pas le goût aux élèves. Par exemple, les dégoûter d'aller au CDI (J'ai été trop bonne l'an dernier, si vous n'êtes pas qualifié pour la documentation, dégoûtez vos élèves d'aller au CDI, mettez leur dix heures de colle au moindre bruit, au moindre déplacement, etc.... Comme professeur de matière à enseigner dans une salle de classe, vous n'êtes pas sensé surveiller les déplacements des élèves dans un CDI, car vous êtes qualifié pour maintenir des elèves à leur place dans une salle de classe et pas pour superviser leurs déplacements pour chercher des documents dans un CDI, ou alors demandez aux professeurs de sport de faire de la documentation, puisque dans leurs cours aussi, ils surveillent des déplacements parfois très rapides).
Le gouvernement a choisi jusqu'ici la troisième solution, et en particulier pour moi l'année dernière, celle d'enseigner une matière que je n'aime pas (la documentation) selon les besoins du service au détriment de la matière que j' aime et qu'ils aiment étudier avec moi (l'allemand).
J'aime l'allemand et d'autres matières que je tairai ici (pour qu'on ne m'impose pas de les enseigner), qui ne sont pas forcément les matières des bi-disciplinarités imposées aux PLP2 ou dans les CAPES actuels. Je n'aime pas la documentation. Je trouve aussi qu'imposer une deuxième matière pour les bi-disciplinarités n'est pas bon. Le professeur devrait pouvoir choisir comme en Allemagne sa deuxième matière dans tout l'éventail des matières et non dans une seconde matière mise en option sans choix au CAPES. Par exemple, si vous voulez une bi-dicipinarité au CAPES d'allemand, vous êtes obligé de choisir le français, mais vous ne pouvez en aucun cas choisir la musique, la géographie, les maths ou le sport en seconde matière.
Ce n'est certainement pas moi qui donnerait le goût aux élèves pour une matière que je n'aime pas, par contre j'ai déjà formé des germanistes ayant réussi par la suite l'allemand à l'université.
domino
14:00 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation
Interdictions professionnelles - Berufsverbot
Il y a en France, des professeurs qui sont victimes d'interdictions professsionnelles. Comme dans les années 60-70 en RFA.
Il s'agit la plupart du temps d'enseignants de gauche, isolés syndicalement parce qu'ils ne sont pas soutenus par les, voire leurs syndicats, qui ont d'autres personnes jeunes et vindicatives à mettre sur leur poste.
La chose est très simple :
On essaie de faire énerver le professeur par des collègues voire même des agents de service, et quand on n'y arrive pas, on insiste, on insiste, jusqu'à ce que le professeur pousse une gu..., se fâche, fond en larmes, etc...
Technique par exellence d'extrême-droite ou d'extrême gauche (on a connu cela en URSS à l'époque du GOULAG, mais certains professeurs connaissent la même chose en France à chaque fois qu'il y a un gouvernement de droite dure.
On les fait convoquer à la médecine du rectorat, pour "dépression", puis on les fait mettre en congé avec interdiction de rejoindre leur établissement scolaire, et on fait traîner l'envoie de leur dossier médical au Comité Médical Départemental pour qu'ils restent "hors d'état de nuire" (Or, ce sont souvent des professeurs sérieux et qui de plus est s'interdisent à eux-mêmes de faire de la politique en classe). On fait traîner leur dossier pour mettre en remplacement à leur place un professeur plus jeune qui fait des pieds et des mains auprès des syndicats pour obtenir un poste (ce fut le cas en 2002 où j'ai été remplécée par une dame qui passait son examen professionnel et avait besoin de 6 mois d'enseignement de l'allemand dans sa carrière pour le passer, et j'étais certifiée par concours depuis plus de 20 ans, et on lui a donné directement mes BTS).
Ce genre d'interdiction professionnelle devrait être interdit.
On fait des interdictions professionnelles contre moi, parce que quand la RDA existait encore, j'y suis allée plusieurs fois et qu'en tant que témoin direct, je suis capable de ne pas diaboliser ce pays. Un pays qui avait certes ses défauts, mais était loin d'être tout girs. Qu'en soit les témoins les fleurs de l'IGA d'Erfurt et les fleurs déposées sur les stèles à Buchenwald, je n'ai plus retrouvé ces fleurs déposées sur les stèles de l'année des nations lqui avaint eu des morts dans ce camp orsque j'y suis retournée dans les années 2000.
J'ai été la victime des interdictions professionnelles de la médecine du rectorat alors que je ne m'étais mise en colère contre mon inspection et le rapport méprisant et caricatural qu'avait écrit l'inspecteur par écrit, pour me mettre "hors d'état de nuire" contre cet inspecteur.
J'en ai été la victime en 2002, je n'en serais plus la victime en 2007-2008.
Je suis et je resterai toute ma vie une germaniste passionnée.
Je sais que l'on veut aussi me mettre en inactivité pour m'empêcher de réussir l'agrégation... A cause de la clause du 1er septembre suivant le concours.
Et on le fait parce que l'on sait que je suis capable de réussir, parce que j'ai un excellent niveau en traduction, en linguistique et dans d'autres parties de matières.
France : le pays des interdictions professionnelles pour raison politique, vous en aurez honte plus tard, chers concitoyens. On est actuellement en France dans la situation de juste avant ou juste après 1933.
A chaque fois que l'on a cherché à me mettre en congé de longue maladie ou de longue durée il y avait toujours un gouvernement de droite dure, on peut vérifier les dates de mes "mises en congé" sur mon dossier.
domino
13:35 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, interdictions professionnelles, politique
mercredi, 17 octobre 2007
Derniers jours de mon i-grimoire...?????
Une personne a cru bon de citer mon blog à la police ou au tribunal dans une plainte déposée contre une de mes commentatrices qui soi-disant l'insultait. Or, elle n'a à aucun moment été attaquée nommément par cette personne, ni par moi-même. Par contre, elle est venue ici copieusement nous insulter toutes les deux, et j'ai du enlever ses insultes.
Je ne connais pas cette personne personnellement, tout ce que je sais, c'est que comme moi, elle est prof d'allemand, mais dans une autre académie.
Toujours est-il qu'en faisant cela, elle me met dans le pétrin, et les petits pixies ont peut-être vécu ici leurs derniers jours.
A propos de ses insultes, est-ce que cette personne se rend compte que si je subis un préjudice à cause du fait qu'elle a cité mon i-grimoire comme témoin dans sa plainte, je pourrais toujours produire les insultes qu'elle a proféré ici à mon égard et à l'égard de ma commentatrice qu'elle dit connaître personellement.
En tout cas, je ne les connais ni l'une ni l'autre, et j'espère que cette personne enlèvera le nom de mon i-grimoire dans sa plainte.
Si elle est devenu principale, elle cite peut-être mon i-grimoire par solidarité avec le corps de principaux????
Les insultes dont elle dit faire l'objet au téléphone et sur son mail n'émanent pas de moi, si elle avait laissé ses coordonnées sur mon i-grimoire, ce n'est pas de ma faute, et je considère cela comme une imprudence de sa part. C'est peut-être tout simplement un jeune qui s'amuse de la même façon que mon usurpatrice s'est déjà amusée ici, et s'est amusée à se faire passer pour moi, sur un peu tout les blogs d'Haut et Fort, pour dissuader les autres bloggueurs d'Haut et Fort de venir faire des commentaires ici.
J'ai d'ailleurs remarqué que l'usurpatrice (je pense que c'est une femme) arrive toujours quand le nombre de mes commentateurs augmente, pour essayer peut-être de les faire partir et diminuer mon audience.
Je me demande aussi si ces deux personnes qui se "bouffent" le nez ici, ne sont pas de connivence entre elles, pour faire tomber mon i-grimoire, mes petites pixies et mes poèmes. J'ai en tout cas tout sauvegardé et je pourrais toujours le recommencer, si elles arrivent à le faire tomber, c'est pourquoi j'ai intitulé cette note "Dernier jour de mon i-grimoire...?", avec un point d'interrrogation,
Tout ce que j'ai écrit ici, c'est en mon âme et conscience et je pense réellement tout ce que j'ai dit. Ceux qui se moquent de moi en disant que je me crois persécutée, ne connaissent ni ma joie de vivre, ni les conditions parfois difficiles de travail que nous avons dans notre région (Combien peuvent-ils avoir d'élèves en allemand dans une académie du Sud? Deux ou trois par classe, la planque, quoi!), conditions qui font qu'au moindre petit grain de sable dans les rayons de la roue, les "supérieurs" ruent dans les brancards et s'en prennent à nous les profs. Celui qui se moque de moi, n'a jamais connu le harcèlement moral d'un supérieur hérarchique, et le fait que l'on se demande encore des années plus tard :"Quelle lettre de mon principal (de mon proviseur) vais-je encore avoir aujourd'hui dans mon casier quand je vais le regarder?" Même en étant considérée dans d'autres établissement, comme ayant beaucoup d'autorité. Ce sont des personnes qui ont toujours travaillé dans des conditions idéales.
Je me demande quelle est cette personne qui concurrente à l'agrégration, vient encore essayer de faire tomber mon i-grimoire et tout ce qu'il y a dessus, mes poèmes, certains de mes plus beaux textes en prose et mes petites pixies. De toute façon, s'il tombe à cause d'elle, je pourrais toujours le recommencer ailleurs et j'ai sauvegardé tout ce qui est écrits importants, poèmes, etc... avec la preuve des dates de publication.
Tout ces jolis textes et ces poèmes que j'ai concocté avec amour. Et ils veulent m'enlever tout cela. Tenez aujourd'hui, dans le métro (je suivais une formation dans un endroit où il y a un métro), on ne m'a pas laissé descendre... Tous les gens montaient en me bousculant et m'empêchant de descendre. J'ai du descendre un arrêt plus loin que prévu à cause de la méchanceté de ces gens qui seraient passés sur mon corps si j'étais tombée.
iIi, c'est pareil. On dirait que des personnes méchantes s'amusent à faire tomber tout ce que je fais.
Je n'ai pas eu de chance dans la vie. Tout comme je n'ai pas eu de chance d'attirer ces dames là sur mon i-grimoire.
En tout cas, si je peux demander quelque chose à ces deux personnnes, c'est qu'elles passent leur chemin et ne viennent plus ici. Nous étions doucement en train de deviser de choses et d'autres dans les commentaires de mon blog, lorsqu'elles arrivent, venant tout nous démolir...
Je vais peut-être protéger mon i-grimoire pendant un certain temps derrière un code d'entrée.
Certaines personnes ont souvent vanté la langue propre, directe et littéraire de cet i-gtrimoire,...
domino
00:10 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, commentatires, blog
lundi, 15 octobre 2007
Attaqui.. attaquons...
J'ai déjà été attaquée deux fois sur cet i-grimoire par des collègues d'allemand, par pour des raisons pédagogiques, non !
L'une m'a attaqué parce que je n'aimais pas que l'on fasse des articles dédiés uniquement aux t....s, aux petits coins, si vous préférez ,parce que je trouve que ce n'est pas digne d'un i-grimoire de prof, et contrairement à celui-ci qui est un journal personnel, celui là était se dit officiellement un i-grimoire de prof. Elle avait organisé une campagne contre moi parmi ses amis commentateurs, m'offrant même en image quelque médicament pour les intestins. Si ça tombe elle est parmi les nouvelles de ma formation, car elle est dans mon académie... Elle a enlevé depuis cet article de son blog (le sien n'est pas un i-grimoire), parce que elle participait à un concours où elle a obtenu la deuixème place. Mes félicitations, la loi du plus fort est toujours la meilleure!
Si je reviens avec cette histoire-là, c'est simplement parce que j'ai une deuxième "attaquante" parmi mes collègues d'allemand.
L'autre m'attaque actuellement, parce qu'une de ses anciennes copines est venue commenter mon blog. Elle m'envoie des injures en règle, je sais son nom, elle est d'une autre académie (plutôt dans le Sud) et passe l'agrégation. A moins qu'elle ait réussi le concours de chef d'établissement auquel elle a été admissible en 2007. Quand on voit les chefs d'établissement qu'on nous donne ainsi, on se dit que finalement, leur avis ne peut avoir que peu d'importance quand ils se comportent d'une manière aussi indigne. J'ai enlevé ses injures, mais elle aussi veut me soigner, pas mes intestins cette fois-ci, mais ma soi-disant "folie", trait commun caractéristique avec ma principale, ah! On les connais les chefs d'établissement. Elle dit "Dom, cette pauvre folle!"
Si mon mail a été bloqué si longtemps, ce n'était peut-être pas une maintenance, mais quelqu'un qui voulait bloquer en même temps mon i-grimoire, ou bien ?
Bon, il vaut mieux en rire ou en faire un poème, n'est-ce pas?
Mais moi je trouve que dans de tels cas, l'éduc nat devrait quand même intervenir et empêcher de telles personnes de venir diriger des lycées et collèges.
De plus, ils ne donnent pas une bonne image de l'enseignement.
Et comme la loi du plus fort est toujours la meilleure, c'est elles qui auront leur agrégation????
Je suis déjà âgée (il n'y a plus de limite d'âge à l'agrégation depuis belle lurette), mais la vérité est que je suis tout simplement inquiète pour l'avenir de nos chérubins.
domino
14:05 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation
samedi, 29 septembre 2007
Réduire la part de l'abstraction...
J'ouvre au hasard la lettre....
"Réduire la part donnée à l'abstraction.." Alors là, je dis chic alors, il va nous enlever Schlegel du programme de l'agrégation... d'allemand. Et le livre de civilisation avec tous les textes des traités de paix napoléoniens (version allemande) et toutes les constitutions des états rhénans et autres... aride... aride...
J'ouvre la lettre à une autre page...
"Wouah! Quelle belle phrase!"
et Notre Président dit :
- "à l'enfant qui ne sera jamais musicien..."
- "à l'enfant qui ne sera jamais poète..."
- "à l'enfant qui ne sera jamais chercheur..."
- "à l'enfant qui ne sera jamais artisan..."
Quelle belle anacrouse, il a du style Notre Président.
Et bien moi, je ne suis rien devenue de tout cela, je suis devenue prof d'allemand i-grimoirienne....
Poète à mes heures, dont les poèmes ne sont connus qu'au moyen d'i-grimoires....
Musicienne à mes heures, dont la musique n'est connue qu'à quelques intimes...
Petite tête chercheuse à mes heures, littéraire passionnée de lectures scientifiques...
Artisane à mes heures, j'ai construit deux guitares... pas toute seule, bien sûr...
Autodidacte quasiment dans ces quatre matières..... non, je veux dire, j'ai appris les maths, la physique, la chimie, la biologie à l'école.
En tout cas une chose est sûre, si j'ai reçu cette lettre, c'est que ma principale n'a pas réussi à me faire rayer des listes de l'Educ Nat.
Merci, Monsieur le Président, de m'avoir écrit pour me donner la preuve que tout ce que l'on raconte sur moi, ce n'est pas vrai!!!
domino
13:05 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (36) | Tags : enseignement, éducation
Une lettre du.... président de la république...
Ce matin j'ai eu peur.... Mon époux est remonté de la boîte aux lettres avec une lettre (sans recommandé et sans accusé de reception, celle-ci, heureusement parce que la poste est loin....) du....euh.... pardonnez-moi du peu.... Président... de la ... République. Je me suis dit... ouh là là, qu'est ce qui m'arrive encore???? Serais-je dest..... ? Que voulez-vous, c'est la destinée.
Mon époux avant que je l'ouvre a dit : "J'en ai une aussi...", il m'avait dit avant "Nous avons un big honneur..." Il avait ouvert sa lettre le coquin. Avant je me suis dit, c'est peut-être la grâce présidentielle pour "l'affaire du paperboard dont j'avais signalé la disparition", et "l'affaire de la principale qui m'a traitée de paranoïaque et d'hystérique", et avec la deuxième lettre c'était peut-être "l'affaire de mon époux qui a dérangé la principale au téléphone à huit heures du soir, chez elle", si, si, elle a fait aussi un rapport sur lui, bien qu'il ne soit pas dans son établissement...
Et bien, non, c'est une Lettre, le Président nous fait l'honneur d'une lettre de.... 29 pages, il a battu le record de "domino seize pages", un surnom que je portais en Bretagne quand j'avais 20 ans, et que j'écrivais mainte lettre à mon amie de là-bas.
Bon, et bien, on passera notre dimanche à lire votre "Lettre aux éducateurs", Monsieur le Président. "Lettre aux Educateurs", ça sonne très J.J.Rousseau, je trouve...
Bon, je sens que l'on va en parler dans tous les i-grimoires de France et de Navarre, de cette lettre "Pour l'éducation du genre humain"....
domino
12:50 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : enseignement, lettres aux éducateurs