dimanche, 31 janvier 2010
Mauvais rêves.
Doofie a rêvé il y a 20 ans ceci :
Qu'elle n'avait plus le droit d'être prof et que pour gagner sa vie, elle était devenue chanteuse.
Qu'elle devait rendre tout ses diplômes à l'université, tous les diplômes acquis depuis sa jeunesse au prix d'un dur labeur. Disons quand même là que j'ai déjà surveillé un candidat de baccalauréat qui passait son bac en prison! Donc, même les criminels peuvent garder ou obtenir des diplômes, pourquoi Doofie devrait-elle rendre les siens. Pourquoi Doofie aurait moins de droits qu'eux?
Que le recteur d'académie avait prononcé sa destitution (alors qu'en fait, seul le ministre est habilité à destituer un professeur qui est fonctionnaire du ministère).
Comme avec son espace numérique de travail de l'univesité , on a mis aussi des insterdictions d'inscription comme à la défunte Bêtie, Doofie se dit que finalement on n'en est pas loin avec ce gouvernement populiste.
Bon, ceux qui prennent le train en route n'y comprendront rien. Lisez donc les notes précédentes depuis le début des histoires de Dummie, Doofie et compagnie en haut.
domino
03:36 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, rêves, paranormal
samedi, 30 janvier 2010
Doofie ne peut plus étudier sur Internet
Doofie écrit dans son journal :
Ce matin, j'ai voulu me connecter sur mon ENT et sur le site de l'académie (pour voir si je n'ai pas un remplacement, l'autre jour j'ai découvert que j'avais un remplacement commencé sur i-prof, on ne m'avait prévenue ni par lettre, ni par téléphone.
Et bien, si j'ai un remplacement lundi, je n'en sais rien, mon i-prof ne s'affiche plus.
Je voulais travailler mes langues rares sur le site de l'université et mes ressources ne s'affichent plus non plus.
Parce qu'en fait,on m'a sanctionnée mes espaces éducation et université pour avoir défendu Bêtie, interdite d'univeristé à tout jamais pour avoir eu un jour de retard pour le renouvellement du prêt d'un livre. Mais Bêtie n'est plus de ce monde.
Au début de l'année, un étudiant de première année d'allemand est tombé dans les pommes sur le palier juste un étage en dessous de la bibliothèque d'allemand, je me demande s'il ne s'est pas suicidé, on ne l'a plus jamais revu. Il venait peut-être de regarder son ENT et avait peut-être vu ce message (voiir 2 lignes en dessous) à cause d'un retard pour rendre un livre.
Combien d'étudiant ont quitté l'université ou sont carrément passé dans les pays de l'autre côté, pour avoir vu ce message en rouge sur leur ENT.
Il n'y a plus beaucoup de monde dans la section d'allemand. Combien ne veulent plus venir à cause de ce message. Il y a eu environ 18 à 20 candidats à l'agrégation interne d'allemand, seuls 3 ou 4 suivent des cours à l'université, les autres sont au CNED. Quand on voit la teneur de ces messages générés automatiquement à chaque retard pour renouveler ou rendre un livre, on les comprend. Car les professeurs ne sont pas toujours libres pour venir porter le livre le jour J, car ils habitent loin. Ils ont presque tous compris en voyant ce message qu'ils étaient renvoyés définitivement de l'université.
Les professeurs d'allemand de l'université se plaignent de ne plus avoir assez d'étudiants. Depuis que l'université est informtisée, le nombre d'étudiant en CAPES agrégation d'allemand a diminué d'une façon incroyable. L'année où j'ai été admissible à l'agrégation interne (la première fois), nous étions 60 dans la salle des cours magistraux communs CAPES agrégation, on devait ajouter des chaises pour que tout le monde puisse s'asseoir.
L'année suivante, c'était pareil. 60 étidiants environ en CAPES-Agrégation d'allemand, en agrégation interne, on était bien une quinzaine sur les 25 qui s'étaient présenté cette année-là. dans l'académie. En général il y avait encore 5 admissibles et 2 ou 3 admis par an dans l'académie.
L'année suivante, j'ai commencé à être rejetée par les profs. J'étias devenue TZR et j'avais perdu mon poste en lycée, et on a cru que j'étais devenue auxilaire. On avait voulu me faire avoir un remplacement de CPE, et les profs ont considéré, alors que j'avais rattrapé le mémoire de maîtrise d'allemand l'année précédente, pour compléter mon C2 de maîtrise des années 70. J'étais belle et bien inscrite à l'université (sous mon nom de jeune fille, inconnu alors de tous les professeurs) et vers Décembre, j'ai reçu une lettre à mon nom marital disant en substance :
- Que je n'étais pas inscrite à l'université (j'étais inscrite sous mon nom de jeune fille ou de naissance, d'ailleurs c'est obligatoire pour les isncriptions universitaires, une femme peut changer plusieurs fois de nom d'usage dans sa vie, alors que son nom de naissance reste toujours, c'est pourquoi les diplômes sont établis à leur nom de naissance).
- Que je me livrais dans l'université à des activités, dont la nature ne convenait pas à ce lieu (Tout ce que je faisais était m'asseior à une table, prendre des notes, participer, rendre des copies en bonne et dûe forme, arrivant à avoir régulièrement des notes entre 10 et 12 en version notée en "externe", je faisais aussi des exposés, et la nature de mes interventions ne convenait pas à ce lieu, pourtant les professeurs avaient des évaluations plutôt positives de mes exposés).
Je ne bois jamais d'alcool par principe, je n'ai jamais fumé, je n'ai jamais pris de substance illicites (d'ailleurs sachant que je ne fume pas et que je ne bois jamais de boissons alcoolisées, on ne m'en a jamais proposé, les trafiquants auraient trop peur d'être dénoncés).
En fait, j'ai une ligen de conduite très droite et parce que je fais une crise ou des crises de nerf quand je reçois des lettres comme celle-là, et que j'ai envie de mourrir quand je reçois des lettres comme celles-là, je suis toujours déconsidérée, mise à mal, prise à parti, harcelée par les profs et les autres étudiants.
(C'est d'ailleurs en général par des fumeurs que j'ai été harcelée sur Haut et Fort, mais c'est vrai que si tout le mode était comme moi, les débits de tabac fermeraient et les viticulteurs pourraient se recycler dans la vente du raisin et la fabircation du jus de raisin sans alcool. Et la France predrait son prestige de pays du bon vin).
C'est l'année où j'ai reçu cette lettre que j'ai eu ma deuxième admissibilité à l'agrégation d'allemand, et que ma bi- admissibilité a été validée par le rectorat et le ministère à partir du 1er septembre 2005. Ce qui m'a fait monter en grade. Personne au niveau de l'université ne connaisait mon nom de jeune fille, quand la liste des admissibles a été affichée, on m'a demandée "Tu le connais celui-là?'" en montrant mon nom suivi de mon prénom mixte, c'est pourquoi on disait celui-là et non celle-là.... et je souriais en répondant "Je ne sais pas..." et jamais personne ne m'a félicité pour ma deuxième admissibilité. C'était trop drôle, on me montrait mon nom en me demandant si je me connaissais!!!!
Bon, revenons en au nombre des étudiants en allemand. L'année suivante j'étais encore là, il y avait toujours 6 ou 7 étudiants d'interne (le nombre avait diminué de moité en 3 ans). Si d'autres TZR avaient reçu le genre de lettres que j'ai reçu, cela ne m'étonne pas qu'ils ne sont plus venu. J'ai eu un accident style Diana deux jours avant la proclamation des résultats de l'admissibilité de l'externe. Le bruit a couru que j'avais eu un accident. Certains étudiants non salariés qui faisait encore beaucoup de fautes d'allemand ont été admissibles et pas moi. Une MA s'était présenté à l'agrégation interne et était la favorite de la prof de thème alors qu'elle ne remplissait pas les conditions (elle passait le CAPES en même temps que l'agrégation interne alors que je suppose qu'il faut le CAPES ou un concours analogue pour passer l'interne). Elle faisait beaucoup plus de faute que moi, mais comme c'était une ancienne étudiante de l'université on la chouchouait (Moi aussi, je suis une ancienne étudiante de cette université, mais des années 60-70 et tous les profs qui m'ont connu alors sont soit retraités quand ils étaient encore jeunes à l'époque, soit morts et entérrés).
Puis j'ai fait une pause d'un an. Pendant laquelle j'étais inscrite au CNED. Mais je n'ai plus été admissible depuis. Pourtant, il y avait plus de cndidats que maintenant.
Quand je suis revenue l'année suivante, il y avait, alors que j'avais été très appréciée sous mon prénom par les jeunes étudiants durant les deux-trois premières années. On me surnommait même "la conférencière" tant mes exposés ressemblaient à des conférences, une autre Doofie était arrivée et se rendait sympathique auprès de tous, en s'oocupant des cours pour les absents et un tas de chose comme cela. Elle remuait beaucoup d'air autour d'elle, bavardait quand elle était derrière moi, était mère de trois enfans et sans diplômes et a eu son CAPES la deuxième fois, alors qu'elle faisait encore beaucoup de fautes d'allemand, et tout le monde la connaissait sous son prénom. Il fallait payer des droits en plus pour avoir droit à des polycopiés pendant les cours, je les avais payé mais ne les ai jamais eu, car les profs lui donnait toujours ces polycopiés devant moi, en disant "Voilà pour Doofie". Elle a fait son stage dans une autre académie et on ne l'a jamais revue. Je me suis demandée si elle n'était pas là pour qu'on me confonde avec elle, parce qu'elle faisait des fautes, et passait son CAPES sans diplôme.
En fait, je me demande pourquoi, soudain, il y a eu une concentration de Doofie dans l'UFR d'allemand, alors que jusque là, j'avais rencontré très peu de femmes qui portent le même prénom que moi. Peut-être trois ou quatre dans toute ma vie. En ce moment, je ne rencontre plus d'hommes qui portent le même prénom que moi.
Une autre Doofie suivait les cours d'agrégation. Elle était retraitée et ne passait pas l'agrégation et était déjà agrégée. Et retraitée. Là, rien à dire sur le niveau, c'était une ancienne agrégation des années 70, une agrégée comme on n'en fait plus. Elle était même très forte en version. Elle ne venait qu'à un cours de version et à un cours de littérature. Et avait payé ses droits complets. Et râlait quand un prof était absent, ou avait changé son heure de place, car alors, elle ne pouvait pas venir à cause de ses petits enfants qu'elle gardait.
Je me suis demandée si elle n'est pas venue exprès pour qu'on me prenne pour une retraitée. Pour le niveau rien à dire, elle était du même niveau que moi. L'année dernière, j'étais devenue aussi bonen qu'elle en version qui était visiblement sa matière préférée,celle où il faut très bien connaître le français et ses subtilités. Parfois d'ailleurs les professeurs de langues vivantes sont meilleurs en français que les professeurs de français, car dans les versions, on nous cherche plutôt la petite bête, la virgule qui manque, l'accent circonflexe, le petit inexact... rien à voir avec le texto de certains sites de profeseurs de français.
Si on me prend pour une retraitée, on ne me donnera plus l'agrégation, et c'est ce qui s'est produit depuis, même si plusieurs profeseurs m'on dit qu'ils ne comprennaient pourquoi je n'étais plus admissible ou même admise.
A l'univesité, on a d'ailleurs à cette époque cessé de m'appeler par mon prénom, on m'appelait Madame Dummheit, et un prof m'appelle par mon nom de jeune fille Madame Foolness. Celle qu'on avait dans l'esprit en tant que Doofie était la non diplômée qui avait eu son CAPES (agée de 45 ans environ).
Les deux années suivantes, je suis allée à l'univesité quand mes remplacements m'en laissaient le loisir... Le nombre des étudiants de CAPES et d'agrégaton inscrits à l'université a diminué, diminué comme une peau de chagrin. Une ou deux en agrégation externe, trois ou quatre en interne, et cinq ou six en CAPES, là où il y en avait entre 40 et 50 il y a 6 ans.
A mon époque on était 400 en première année, 80 en CAPES-AGREG, maitenant les professeurs sont contents quand ils ont 20 étudiants en première année. Il y a des langues rares qui ont plus de première année que l'allemand.
Evidemment, si dès qu'un étudiant rend un livre avec une demi-journée de retard, si on lui envoie un mesage en rouge comme celui que j'ai eu sur mon ENT, ce n'est pas étonnant qu'il n'y ai plus de germanistes dans cette université.
Dans une toute petite ville, j'ai autant d'élèves dans mon cours du samedi après-midi dont certains ont un niveau de bilingue, et font moins de fautes que des étudiants admissibles à l'agrégation, qu'il y a d"étudiants d'allemand en première année dans la plus grande université régionale.
Doofie
Pour Doofie, domino
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11:11 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : univeristé, doofie, enseignement, web ordinateur, internet
Bêtie a de gros ennuis (2)
Doofie continue son journal (suite de la note précédente) :
Voici ce que Bêtie avait trouvé dans son ENT. Elle n'a pas compris, elle est toujours sage comme une image, participe aux cours. Elle a payé régulièrement ses droits à l'université. Plus de 300 Euros. Pour faire une chose pareille, on aurait dû faire un conseil de discipline, mais pourquoit? A part n'avoir pas pu trouver un ordinateur, un jour de concours, pour renouveler l'emprunt d'un livre à la bibliothèque de son UFR, Bêtie n'avait rien fait de mal...
Il s'était passé des choses bizarres Mardi et Mercredi. Lundi ou Mardi c'est un classeur à Bêtie qui avait disparu dans son cartable. Bêtie l'a retrouvé au milieu de sa cuisine. Elle ne sait pas comment il est arrivé là. Avant, elle avait perdu deux heures à le chercher dans l'université. Son mari se souvient qu'elle l'avait près de son cartable le matin (elle l'avait posé là pour le mettre dedans, donc, elle était persuadée l'avoir) et comme il pensait qu'elle n'en avait pas besoin, il l'a mis dans la cuisine, et elle après, elle a cru qu'elle l'avait déjà mis dans son cartable.
Pour ses clefs c'est autre chose. Doofie a deux trousseaux de clefs et l'un d'entre eux avait disparu. Elle s'en est rendu compte pendant un cours qui avait lieu dans une salle attenante à la bibliohèque de son UFR. Elle avait eu une prémonition soudain sur un trousseau de clefs qui manquait et en effet il en manquait un! Elle a fouillé pendant le cours tout son cartable, tout son sac à main, toutes ses poches, en essayant de faire le moins de bruit possible, toutes ses poches dont celles de son manteau, qu'elle avait fouillé à fond jusqu'à les retourner : rien! Bêtie qui habituellement ne perd jamais ses clefs, a eu peur. Elle a cherché, cherché, rien. Elle se voyait déjà avec le serrurier, changer les serrures, tout! Elle pensait de nouveau que c'était son mari qui lui avait pris les clefs. Elle voulait divorcer, deux fois de suite, cela fait de trop et cela me fait predre un temps fou! Elle avait à peine dit aux étudiants qui étaient là et la voyaient chercher quelque chose qu'elle voulait divorcer, qu'elle est allée pour téléphoner à son mari qui a pris une engu.... dans le couloir, et là sur l'appui de fenêtre, juste en face de la bibliothèque il y avait une bague. vouloir divorcer, une bague? Quelqu'un l'avait-il mis là exprès? Elle s'est dit que si la bague restait là quelqu'un la volerait peut-être, alors, elle a porté la bague au bureau de la bibliothèque où officiait une étudiante et a donné sa bague à la monitrice. Qui a dit qu'elle la donenrait à la bibliothécaire.
Et puis soudain à la fin d'un cours, les clefs sont réapparues dans sa poche. Cette fois-ci, ce ne pouvait pas être son mari qui les avait rendues. Il faisait cours à 130 km de là! Il ne pouvait avoir fait l'aller-retour, c'est quelqu'un donc parmi les germanistes puisqu'il n'y avait eu qu'eux autour d'elle ce jour-là. En effet, elle avait déjà fouillé à fond sa poche en enlevant toutes les affaires qui était dedans, et pas de clefs. les slefs sont revenus dans cette poche de manteau, alors qu'elles n'y étaient pas avant. Elle a dit à un collègue plus âgé : 'C'est quelqu'un d'ici qui les avait pris. Est-ce que cela a été mal pris?
Ce matin, son mari a pris la carte code de la chambre d'hotel et l'a rendue à l'accueil, cet après-midi, Bêtie a penser avoir oublié de la rendre. Elle a regardé dans son sac, elle n'était plus là. Après les épreuves, elle a téléphoné à son mari, c'est lui qui avait pris la carte!
Bon, ceci dit, cet après-midi, Bêtie eu celà sur son espace universitaire. (voir plus bas, en grosses lettres rouges sur l'espace univesitaire).
Doofie
Pour Doofie , personnage de roman-thâtre
domino
Vous êtes interdit d'inscription à l'université de.... Pour le détail de cet interdit, consultez sur ce site dans votre application "Scolarité Etudiant" dans votre "Dossier" le menu "Dossier administratif" en sélectionnant le sous menu "fiche individuelle". Sur fiche individuelle : interdiction d'inscription : situation irrégulière à la biblothèque d'allemand.
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02:28 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bêtie, doofie, université, interdiction d'inscription
lundi, 04 janvier 2010
Coolie a pleuré....
Vous n'êtes pas sans ignorer que, au premier trimerstre, en septembre, Doofie attendait ses stagiaires, mais voilà, elle a été appelée pour des remplacements alors Dummie l'a remplacé auprès d'elles.
Ah! Oui! Ses stagiaires, vous les connaissez déjà, Smoothie, Softie, Sweetie, la péronelle, et Coolie, la plus gentille... Elles étaient cet été au bord de la piscine, non, pas celle de Secret Story, mais celle au bord de laquelle Doofie, Dummie, Foolie et Sottie, les profs d'allemand un peu âgées, ont passé leurs vacances.
Nos quatres jeunes stagiaires, se sont partagé des classes dans la ZR de Dummie. Et Dummie les supervise (Dans la réalité, ça ne se passe pas comme cela? Tant pis, ceci est un roman, dont certains mini-éléments, seulement, sont vrais. Toute ressemblance avec la réalité...)
Aujourd'hui, Coolie a pleuré, c'était la rentrée et elle croyait que ses 3LV1 allaient être reposés, et bien non.... Ils ont dit que Coolie ne faisait pas le programme, alors qu'elle le fait exactement et un tas de truc comme cela. Yen a même un, qui alors que Coolie avait donné un polycopié pour compléter le livre, assez ancien, qui ne fait pas tout le programme, a dit en montrant le table des matières du livre (table des matières en plusieurs colonnes donnant l'illusion d'un programme) : "ça, c'est le programme, Mademoiselle!"
D'abord Coolie a rugi : "Je suis mariée! Je m'appelle Madame!".
"Mais vous êtes jeune, Madamemoi..... Madame!!" a dit une élève à Coolie qui parait 15 ans alors qu'elle en a 22.
Puis l'élève au programme a insisté : ce que vous faites n'est pas dans le livre, ce n'est pas le programme, Madame!
Or, chacun sait qu'en collège, il y a un programme de palier 1 (6ème, 5ème, ou 4ème et 3ème LV2) et de palier 2 (4ème et 3ème LV1) et que si on n'a pas tout fait ce qu'il faut en 6ème ou en 4ème, on peut le compléter l'année suivante.
Alors, Coolie a dit :"Non, mais j'ai regardé le cahier de texte de l'an dernier, et ça vous n'aviez pas eu le temps de le faire en fin d'année, alors, il faut le faire!"
L'élève a insisté : "Ce n'est pas vrai, Madame, le programme, il est là!" montrant toujours la table d'un livre qui a été fait avant qu'on invente le palier 1 et le palier 2, et frappant les deux pages de son livre où est étalé le sommaire.
Alors devant tant d'incompréhension, d'ignorance, de mauvaise foi, d'arrogance, d'insolence, Coolie a pleuré, elle en avait oublié de mettre sa fiche d'absence dans la boîte près de la porte et de ce fait (du coup, dans la langue de certains), la surveillante qui ramasse les fiches deux fois par demi-journée, est rentrée, elle a demandé à Coolie ce qui n'allait pas.... parce qu'elle a vu de grosses larmes rouler en silence sur ses joues.
A la récréation la principale a convoqué Coolie, lui demandant ce qui n'allait pas, elle l'a assuré de tout son soutien, ce qui a rendu le sourire à Coolie, et que si un élève l'embêtait de trop, il fallait appeler un surveillant pour lui faire passer l'heure au bureau. Et qu'il ne fallait jamais pleurer devant les élèves, car il ne faut pas leur montrer de faiblesse, sinon, ils allaient se sentir plus fort et chahuter.
Avec ses copines, elles en ont parlé.
"Elle a raison, a dit Sweetie, moi, une prof qui pleurait, quand j'étais élève, j'avais plus envie que de lui faire mal!"
"Moi, pas, a dit Coolie, si un ou une prof pleurait, j'avais envie de travailler plus pour qu'il ne pleure plus jamais, même si je suis autrement que les autres, et que les autres ne faisaient pas comme moi. Mais en général, si un prof pleure quand on ne l'écoute pas, c'est qu'il a bien préparé son cours, sinon, cela ne lui ferait rien. C'est pour cela qu'il faut les aider en étant gentil et travailleur avec eux".
"Moi, je ne sais pas, a dit Smoothie, mes profs n'ont jamais pleuré".
"Moi, a dit Softie, j'avais un prof d'allemand qui s'énervait toujours. Il faisait son cours pendant 1/4 d'heure, presque tout seul, avec tout le monde qui bavardait, et au bout d'1/4 d'heure, il se rendait compte que presque tout le monde, sauf moi et quelques copines qui aimions l'allemand à cause des autres profs qu'on avait eu avant, que la plupart bavardaient. Et il se mettait dans une colère, dans une colète, il nous traitait de tous les noms, un jour, il nous a même traitées de potiches, on est allée se plaindre à la CPE, qui la convoquée, mais les potiches qui se sont plaintes ont été punies, 3 heures de colle chacune, bouh, après, elles n'ont plus osé dire de quoi il les traitait."
Un peu plus loin à l'autre bout de la salle des profs:
"Quelles potaches potiches!" a soufflé Dummie, dans l'oreille de Sottie....
"Et Doofie?" a dit Foolie....
"Je crois qu'elle en est à son deuxième remplacement de l'année" a dit Dummie.
Revenons au premier groupe :
'Mais, réfléchit Coolie, la CPE n'avait pas le droit de le convoquer.... Notre prof était agrégé, et donc plus haut placé qu'elle, elle aurait dû en parler à la proviseure adjointe", et c'est elle qui aurait dû le conviquer."
"Vous avez eu le même prof?" demande Smothie à Coolie et à Softie....
"Oui, répond Softie, mais moi, j'étais parmi les potiches qui bavardaient, j'ai été collée".
"Mais, t'as fait quand même des études d'allemand?", demande Sweetie.
"Ben, oui, j'aimais bien l'allemand!... j'ai eu Madame Domino comme prof en seconde et en première. Tu te souviens, Coolie, quand on a fait la conférence des animaux, en seconde, la voix qu'elle avait quand elle lisait le texte? Quelle prof formidable!"
"Et à Noël... Juste avant les vacances, quand elle chantait avec sa guitare, avec sa voix qui ressemble à celle de Madame Doofie..."
Et de l'autre côté, la conversation, une oreille tournée vers les stagiaire, continue....
"Moi, a dit Foolie, j'ai pleuré une fois, mais ça n'avait rien à voir avec la classe, c'est la seule fois où je n'ai pas su mettre ma vie privée à la porte avant de faire cours... J'avais une tête d'enterrement ce jour-là, et pour cause." Une fille m'a dit en plein cours "Mais quelle tête vous faites aujourd'hui, Madame, qu'est ce qu'on vous a fait?" Alors, j'ai raconté que le petit garçon de ma correspondante allemande, celle que j'avais dans ma jeunesse, était fort malade, qu'il avait une tumeur au cerveau, et qu'il allait mourir, c'était son plus jeune enfant, il avait quatre ans.... Et j'ai pleuré, Alors elles (c'était des 1ère G, presque exclusivement des filles) ont toutes pleuré avec moi... et presqu'à chaque cours, elle m'ont demandé des nouvelles, même quand je n'en avais pas. Elles me demandaient si j'allais aller là-bas, mais ma correspondante ne voulait pas, elle voulait rester en famille. Puis après, il est mort et elles ont toutes pleuré. Elles ont été formidables.
(Roman-théâtre : toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite...)
domino
22:48 Publié dans Enseignement (1) - Vie et anecdotes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coolie, stagiaire, classe, enseignement, doofie, dummie
jeudi, 31 décembre 2009
Exprès?
Doofie, TZR d'allemand, écrit dans son journal :
- C'est bizarre, mais alors que les années précédentes, je n'ai presque pas été embêtées pour les remplacements et que je pouvais aller à l'université suivre les cours d'agrégation presque comme je voulais (disons que même pendant les remplacements, j'arrivais au moins à suivre deux journées de cours), cette année, alors que j'ai été admise dans une filière sélective on me trouve des remplacements qui recouvrent exactement les jours où j'ai des séminaires, qui depuis la réforme des universités, sont devenus tellement nombreux que les profs en activité en serait pratiquement empêché de suivre des formations de bac + 5, par exemple des DEA. Or, dans un ou deux ans, un diplôme de Bac + 5 sera obligatoire pour se présenter à l'agrégation, apparemment même pour les profs certifiés.
Doofie fait le rapprochement avec ceci :
L'année où elle a terminé sa maîtrise (auparavant, elle avait au C2 (certificat de deuxième année de second cycle universitaire), brillamanet réussi dans sa jeunesse, à ne pas confondre avec le nouveau C2i un certificat d'informatique qui se passe au niveau licence - ou plus haut, si on ne l'a pas encore - est est dans les sections littéraires essentiellement axé sur la présentation des recherches, le travail collaboratif et les présentations de diapositives servant aux conférences universitaires) et que Doofie a réussi l'an dernier, à l'université, il s'appelle C2i premier niveau mettant à profit ses inter-suppléances pour ajouter quelques examens à sa formation, examens qui sont devenus obligatoires pour ceux qui passent le concours de professeur des écoles et le seront sans doute bientôt obligatoire pour ceux qui passent les concours d'enseignement comme l'agrégation.
- Donc, reprend Doofie dans son journal, quand j'était inscrite en maîtrise, dès que des collègues ont su que je préparais une maîtrise, j'ai eu un remplacement jusqu'à la fin de l'année ou presque, le remplacement s'arrâtant précisément le jour de la fin des cours de maîtrise, c'est à dire fin Mai.
Ici, c'est bizarre, mais je venais d'apprendre que j'allais entrer dans ma filière sélective de bac + 5, et alors que je n'avais pas eu de remplacement en septembre, boum, pour mettre fin à la joie de pouvoir assister à tous ces bons séminaires dans une matière de prédilection pour moi (quand quelqu'un étudie une matière qui correspond à une matière scolaire dans le secondaire, celle-ci est divisée en plusieurs matières à l'université... par exemple un étudiant de moldave étudiera la littérature moldave, la langue moldave (linguistique) la cvilisation moldave l'histoire des idées moldaves et fera de la traduction moldave-français (version) et français-moldave (thème) chacune de ces branches de sa matière, étant une matière à part entière au niveau universitaire.) donc, alors que je me réjouissais d'asssiter à tous mes séminaires et que j'avais réussi à combiner tous mes horaires universitaires sur quatre formations avec seulement un chevauchement d'heures dans la semaine, mais cours tous les jours du lundi au vendredi boum! j'apprends que j'ai un remplacement avec cours tous les jours du mardi au vendredi et le collège étant desservi que par deux autobus de retour le mercredi, le premier étant à 13 heures 30, impossibilité d'arriver avant 17 heures le mercredi....
- Le premier remplacement, prolongé deux fois, a duré précisément du premier séminaire transversal (le premier jour du remplacement était deux ou trois jours avant ce premier séminaire qui avait lieu tous les mardi durant le remplacement et était fini ensuite), au dernier jour de ce séminaire. Les deux dernières semaines il y avait deux séminaires transversaux un le mardi et un le mercredi.
- Si la collègue qui m'a amené deux ou trois fois le mercredi vers Grande Métropole m'avait prise ces deux derniers mercredis -la collègue rentrait chez elle le mercredi à midi, logeant sur place certaines nuits quans elle finissait plus tard - j'aurais pu assister à ces deux séminaires. S'il n'y avait pas eu de travaux sur la voie SNCF, j'aurais pu arriver avec une demi-heure de retard au séminaire.
- Premier de ces deux mercredis, j'attends la collègue.... elle n'apparait pas... je cours à la place du bourg d'où part le premier bus de retour vers 13 heures 30 et je réussis à l'avoir de justesse, grâce à la déviation qu'avait le bus qui était systématiquement toujours 10 minutes en retard sur son horaire! Et ceci depuis le retour des vacances de Novembre à cause de travaux sur sa route habituelle! Ensuite je prends le train qui part vers 14 heures.... Non, le train ne roule pas, il est remplacé par un bus, qui va jusqu'à la gare près de chez moi. Là, il faut attendre un autre bus qui remplace le train devant la gare, ces travaux ayant lieu dans la journées, les trains du matin et du soir n'étant pas affectés par ces travaux. Là, je reprends le train jusqu'à assez grande ville... universitaire aussi, mais ce n'est pas mon université, on ne fait pas ce niveau de matière là-bas.
Et Doofie, mon personnage de roman-théâtre, de continuer à écrire :
- Arrivée à cette gare là il faut prendre le premier train en partance pour Grande Métropole, donc attendre encore un quart d'heure dans le froid déjà vif à cette époque (début Décembre). Ensuite il y a encore un quart d'heure de métro entre cinq et dix minutes à pied juqu'à l'université où j'arrive vers 18 heures, juste pour la fin des cours, et je tombe nez à nez avec ma professeure dans l'escalier, accompagnée de l'autre étudiant de ma matière (sous-matière pour le secondaire). Juste assez pour glâner les renseignements sur le cours, ma professeur me disant "Avec la crêve que vous avez, ce n'étais pas la peine de faire tout ce chemin - ça se voyait que j'avais la crêve, à mon nez à mes yeux, à ma paleur, j'avais la crêve depuis plus d'un mois... Ce mercredi-là j'ai quand même vu la prof et je suis allée à un autre cours d'une autre formation ensuite. Cours que j'ai râté la semaine suivante, sans avoir pu prévenir le prof...
- Le mercredi suivant était le dernier jour de mes séminaires transversaux, les seuls dont les dates exactes sont affichés sur le tableau d'affichage des Masters. C'était aussi le dernier jour de mon remplacement. Depuis la fin de mon cours à 11 heures 30, je me susi dépêchée à tout préparer pour ma collègue qui revenait le lendemain : les cassettes, remplir les cours de la journée sur le cahire de texte, lui mettre quelques indications dans son casier, mettre les notes sur l'ordinateur, avec les coefficients spéciaux que j'ai trouvé, j'ai trouvé qui si pendant un cours je donnais une note sur 5 à un élève, celle-ci comptait pour 5/5 dans le calcul des notes et était calculé automatiquement dans la moyenne, j'espère que ma collègue n'aura pas mis des 5/20 au lieu des 5/5.... et ce faisant il était l'heure du car, le temps de chercher quelqu'un pour ouvrir la porte du collège, car je n'ai pour ces deux mois jamais eu de badge (un sésame ouvre toi qui permet d'ouvrir les portes du collège), il faut que je trouve quelqu'un pour ouvrir, il est tard, je vais râter le bus. Je cours le plus vite possblie, mon sac à dos allégé des six livres de classe que j'ai rendu à la vie scolaire! - et vlan, sur la place, il y a bien un car, mais ce n'est pas le bon, le mien est déjà passé!
Ne voulant pas retourner au collège et me faire réouvrir la porte, pour me mettre au chaud, j'atttends le suivant, sur les horaires c'est écrit 15 heures 20, j'attends donc presque deux heures tout en mangeant le pique-nique soigneusement préparé par Schnelly. 15 heures 20, 15 heures 40, 15 heures 50.... pas de car, ah! en voilà un, il va vers une autre gare...pour laquelle il n'y a je crois qu'un car par jour et encore, pas tous les jours... La chauffeure ne sait pas si l'autre bus va passer ou est passé. Je téléphone à Schnelly qui va arriver vers 16 h 30 à gare où je prends le train. Il relit les horaires et dit : Ce car là ne roule pas le mercredi.J'aurais dû prendre l'autre bus qui m'amenait sur la gare d'une autre ligne après 50 minutes de parcours, et j'aurai peut-être eu un train pour Grande Métropole, mais ce n'est pas sûr, mais j'aurai de toute façon eu un bus à partir de la corresponce à cause des travaux sur la voie.
Je me sens là au bout du monde, je dois donc retouner au collège et prendre le car qui s'arrête devant le collège le mercredi soir, alors qu'il n'y a que quelques sportifs à ramener chez eux. Et paradoxalement le mercredi à 17 heures, toutes les lignes parfois très locales et desservant seulement des villages et pas de gare, s'arrêtent devant le collège et tournent presque à vide, contrairement aux autres jours où elles tournent à plein. On m'a d'ailleurs interdit de prendre les bus qui sont exclusivement "Transports d'enfant" comme aux passagers de ligne régulière, alors qu'en tant que prof j'ai en principe le droit de les prendre, mais systématiquement les chauffeurs me refusent. Je ne peux donc prendre que les lignes régulières qui sont aussi pour les pasagers lamda.
Bon, j'arrive vers 18 heures à Gare de départ, plus la peine de songer à aller à Grande Métropole et à l'univesité. Le lendemain, départ pour l'université, j'arrive à assister à un séminaire non transversal et à d'autres cours; vendredi, je fais des devoirs de traduction sur table, un séminaire de matière était prévu, mais n'a pas lieu et est reporté au Vendredi suivant (celui où il a tant neigé et où j'ai fait beaucoup de parcours en taxi...pour joindre un collège à l'autre, mais je ne le savais pas à l'avance). Le lundi, je passe un oral d'examen partiel pour une aure formation que je suis pour mes jumelages, moi-même et l'expérimantation de l'apprentissage de deux langues inconnues ensembles, les langues que j'ai choisi ne sont ni latines, ni germaniques, pour ne pas ressembler à des langues que je connais déjà! Ouf! Je l'ai réussi! (Bien sûr, on va s'arranger pour que je ne puisse pas passer les autes partiels, c'est évident! et que je râte mon année...)
Voilà, le lendemain, je consulte mon i-prof par hasard comme cela un mardi matin, et boum... ! Vous savez la suie, je vous l'ai racontée hier... Le remplacement dans la neige, et les transports en commun... avec des cars qui s'élancent dans les montées pour ne pas patiner (quelle vie dangereuse!), et des taxis qui vous prennent après avoir fait un tête à queue et avoir été dans le fossé...
Si je n'avais pas eu cette semaine de remplacement, j'aurais été à une conférence-séminaire importante le jeudi et à un séminaire de ma deuxième matière de Bac +5 le Vendredi... je n'ai pas pu y aller.Je n'ai eu le temps que de passer le mercredi après-midi et d'assister à quelques cours, voyant quelques collègues, mon prof du mercredi soir m'avait prévenu qu'il n'était pas là.
J'avais peut-être clamé trop fort le jeudi précédent ou le vendredi que j'avais fini mon remplacement, et que j'allais enfin pouvoir assister à des séminaires la semaine suivante Où est le collègue ou l'étudiant atteint d'espionite aigüe. Et qui téléphne au rectorat pour me faire avoir immédiatement un autre remplacement pendant mes séminaires.
On peut imaginer ausi qu'on me donne par temps de neige, des remplacements sur deux établissements distants de 65 kilomètres par les transports en commun presque impossibles à faire pour me faire destituer ou me faire convoquer à la médecine du rectorat (vous savez ce que j'en pense..), pour me mettre en congé et m'obliger à prendre une retraite très incompète à 60 ans alors que j'aurais une retraite complète à 65 ans.
Brr... brr.. quelle vie dangereuse et épique...
Doofie lève son stylo, "tiens, je n'ai pas encore pris mon petit déjeuner" se dit-elle et il est presque midi.. Schnelly en vacances écoute la radio dans la cuisine (on n'a pas la télévision), j'entends qu'on parle de 'l'éblouissement d'un pays pauvre", de "Camus".... un prof à l'accent vieille France et qui parle comme on parlait à la radio dans les années 50/60, répond à une interview.
domino
11:51 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : université, études, doofie, remplacements, tzr, suppléances
mardi, 17 novembre 2009
Doofie aphone
Du journal de Dummie :
Notre amie Doofie est bien mal en point!
Après avoir traîné un gros rhume pendant deux semaines, Doofie est maintenant arrivée au stade 3 de l'affection hivernale :
Stade 1 : la rhinite commence, le nez est tout rouge.
Stede 2 : on commence à tousser, le rhume descend vers le pharinx.
Stade 3 : La rhino-pharingite est descendue plus bas et encombre maintenant la larynx. C'est là que la superbe voix de magnifique alto-mezzo-soprano se transforme d'abord en voix enrouée, aux sononrités devenues masculines, puis, si Doofie n'a pas de chance dans cette affection saisonnière, elle devient complètement aphone, incapable d'émettrte un son correct.
Tandis que Doofie toussait en classe, une fille lui a dit : "Oh, vous fumez de trop, Madame, c'est le tabac".
Or, Doofie n'a jamais fumé une seule cigarette de sa vie. Doofie s'est sentie en tant qu'instigatrice de campagne anti-tabac, très vexée par cette élève.Offensée....au plus haut point. Imaginez un peu, vous faites campagne pour l'interdcition du tabac dans les gares et les trains (cause gagnée), dans les transports en commun, etc... et vous entendez cette réflexion d'une élève). Quellle serait botre rédation.
Dummie
Pour Dummie, domin
22:11 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, enseignement, affections saisonières, extinction de voix