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dimanche, 10 mars 2013

Les ancêtres de domino

Du journal de Doofie (roman-théâtre)

Bonjour chers lecteurs de domino,

maintenant vous me connaissez déjà beaucoup, je suis Doofie, personnage de roman-théâtre de domino, mais il faut qu'en tant que personnage de roman-théâtre, je parle de mon auteure domino, car comme je suis généalogiste amateur chevronnée (2 étoiles sur un site de partage de généalogies),  j'ai fait des recherches sur les ancêtres de mon auteur domino. Et bien, domino a des ancêtres... et non des moindres :

Si comme la plupart des autochtones de sa région (qui est aussi ma région d'origine), elle descend de Charlemagne de même que son mari et de Louis le Pieux (ou Louis le Débonnaire)... et même si ses ancêtres du XIXème siècle étaient majoritairement des gens de modeste conditions : ouvriers du textile, journaliers (= travailleurs agricoles à la journée), tourneurs en fer, repasseuses,... si beaucoup de ses ancêtres plus anciens avaient des professions modestes, mais très minutieuses : une série de dentellières brugeoises par exemple, comme elle s'en doutait depuis longtemps, si on remonte plus haut, à partir du XVIIème siècle en remontant les siècles, elle a aussi beaucoup d'artistes ou de familles d'artistes dans ses origines :

- elle est de la famille d'un peintre baroque flamand, souvent passé sous silence en France, auteur de natures mortes essentiellement, d'une célèbre scène d'un champ de bataille belge après la bataille, et d'autres scènes champêtres. Quittant son pays natal au pied d'un mont des Flandres, célèbre grâce à sa côte redoutée des coureurs cyclistes, il avait ouvert un atelier à Anvers, peu après la mort de Rubens.  Ce  peintre avait un extrême souci du détail et ses peintures étaient comme des photographies.

- elle est de la famille d'un compositeur de musique franco-flamande de la Renaissance, issu de la ville voisine du mont en queston : plusieurs branches remontent à cette famille : parti en Italie et protégé par Marguerite de Bourgogne, gouvernante des Flandres, la fille batarde de Charles Quint, fille qu'il eu avec une flamande qu'il avait endomi artificiellement, notre musicien a surtout composé de nombreux madrigaux. Il revenait parfois dans sa ville natale.

Ces deux ancêtres sont ceux de son grand-père paternel.

- elle descend directement d'un troubadour et philosophe catalan, protégé du roi d'Aragon, dont une descendante en ligne directe (dont le père portait le même nom que le troubadour) avait épousé un flamand de Bruges. Alors, étonnez-vous que domino écrive notre roman et maints poèmes.

Ceci dit elle a d'autres ancêtres non moins importants, nombres d'échevins et de bourgmestres et de baillis jalonnent son arbre Baroque et Renaissance. Alors étonnez vous que domino ait cete tendance à la politique non politicienne et équitable.

Elle descend même de la soeur d'un conseiller du conseil flamand de Charles Quint, mais cette famille est tombée en disgrâce sous Philippe II (ils ont occupé les Pays Bas, dont la Flandres pendant tout le XVIème siècle), car certains des enfants s'étaient convertis à la relgion protestante et les hommes convertis au protestantisme avaient dû s'exiler en Hollande, alors que femmes et enfants restaient en Flandres. En effet Charles Quint et la régente Marguerite de Bourgogne (à ne surtout pas confondre avec Marie de Bourgogne, hostile aux flamands), étaient forts aimés des flamands, mais ce ne fut pas le cas de Philippe II qui vit s'élever la révolte contre lui, de tous les flamands qu'ils soient protestants ou catholiques. Ceci surtout à cause du Duc d'Albe qui régissait les Flandres.

Ceux qui comme nous ont lu Egmont de Goethe comprendront mieux, mais domino et nous étions loin de nous douter que nos ancêtres avaient touché d'aussi près ces évènements hitoriques.

En faisant l'arbre de domino je suis d'ailleurs tombée sur des familles alliées van Goethem, nombreux à Bruges, mais je ne sais pas si on peut faire un rapprochement, mais l'esprit eclectique de domino, à la fois littéraire et scientifique, est assez proche de celui du grand homme. Domino est d'ailleurs une grande admisratrice de Goethe.

Beethoven est aussi d'origine flamand, mais il est plutôt issu du Limbourg et de la province d'Anvers.

Bon, mais je n'ai pas encore calculé si domino, mon auteure, avait un degré de parenté avec le grand "allemand"

Bon. je continue : domino a 1/4 d'ancêtres alsaciens, alsaciens si on veut, tiens dedans on trouve la descendante d'un bourgeois d'Ile de France,  et aussi des Suisses allemands (un bougeois de Lucerne et des gens plus modeste du canton de  Solothurn (Soleure), des allemands, de Hesse-Darmstadt et du côté non alsacien de son grand-père maternel un marchand de Coblence qui a eu quatre femmes, dont son ancêtre morte le jour de la naissance de sa filel ancêtre, et qui n'a eu que cette fille qui était la deuxième femme de ce marchant qui a été tros fois veufs de dames flamandes.

Beaucoup de ses ancêtres alsaciens ont des noms français car ils sont du pays Welsch. Deux de ses ancêtres alsaciens étaient chirurgiens du XVIIIème siècle, on se demande ce qu'ils pouvaient opérer à l'époque...  l'un habitait dans un village viticole et porte le nom d'un celèbre vin d'Alsace bien qu'à l'époque, il n'y avaient que des notables dans cette famille : médecins, notaires... l'autre était dans une vile perdue dans la montagne. L'un était de la plaine et l'autre de la montagne et ils se sont rejoint par un mariage entre une de leur fille et un de leur fils.

Ses ancêtres alsaciens n'étaient pas vignerons, mais exerçaient plutôt en montagne des professions liées au bois.

Alors que les anccêtes de son grand-père maternel exerçaien des professions liées au fer (forgerons,tourneurs), d'ailleurs son grand-père faisait encore dans sa jeunesse  du fer forgé, ses deux hobbies étant le fer forgé et la photographie. Comme il avat le sens du commerce il vendait ses oeuvres de ferronerie à ses voisins et tout un quartier de la banleue parisienne porte des marquises faites par lui.

Bon, de l'autre côté, du côté de son père,  les professions étaient liées à la laine et au textile, sauf apparemment que son grand-père paternel, mort jeune, avait une profession plus technique,liée apparement à la mécanique, qui faisait à l'époque son entrée en scène.

Domino ne me croit pas, mais ce son ces vrais ancêtres, alors, n'allez pas tirer vos idées de ce passage de mon journal que je mets dans ce blog, car à moins d'être cousins de domino, vous aurez du mal à faire crire que ce sont les vôtres... surtout qu'elle, son frère, sa soeur et leurs enfants et petits-enfants sont les seuls descendants du grand-père mécanicien.

La famille de son grand-père maternel, ses ancêtres étaient très mouvement läïque français, ils étaient proche de Jean Jaurès, parait-il, si bien que ses origines sont très partagées :

- une grand-mère alsacienne catholique avait épousé un grand-père catholique sur le papier, mais assez anticlérical.

- une grand-mère paternelle, très simple, mais issu de familles flamandes qui avaient eu leurs moments de gloire et qui avait de lointaines origines catalanes. En partie des partisans de Napoléon apparememnt, puisque certaines files et une de ses ancêtres se préonomme Eugénie Napoleone Rosa, tout un programme...

- un grand-père qu'elle n'a pas connu (sa grand-mère, veuve en son jeune âge,  était remariée et pour renforcer le lien avec le beau-père de son père, on lui avait donné le grand-père de remplacement comme parrain, sans qu'il y ait de lien de sang avec lui) : son vrai grand-père, son grand-pre lui, issu aussi de grandes familles flamandes, tombées en désuétude au XIXème siècle après le passage de Napoléon, famille qui avaient donné de grands artistes, dont un  peintre et un musicien de renom; à la Renaisance et à l'époque baroque.

Et puis, elle est la cousine d'une auteure belge en vogue actuellement, éloignée (7ème ou 8ème degré) mais c'est quand-même quelque chose.

Elle serait même la cousine éloignée d'une chanteuse célèbre, qui a été son idole dans sa jeunesse. Voilà pourquoi elle se sentait irrésistiblement attirée par son chant. C'est par sa grand-mère paternelle que Doofie serait cousine avec elle, et bien que le père de cette chanteuse soit coloré, leurs pères ont vraiment un air de famille. Ceci dit, son nom est d'origine espagnole et flamande, mais un amiral portugais navigateur, portait aussi son nom,  et tout comme la Catalogne, le Portugal était à l'époque de Charles Quint aussi sous le joug austro-espagnol.

Doofie

___________________

N'allez pas croire ce que dit de moi, mon personnage de roman-théâtre, Doofie... et puis, on a tous ici ou là, un cousin célèbre. Ceci dit, la généalogie semble être une science passionante et dans trois ans et demi, quand je serai retraitée, j'irai vérifier tout ce que Doofie écrit ici.

La génaalogie a aussi fait découvrir que preque tous les présidents des Etats-Unis sont cousins ensemble.

domino

lundi, 23 mai 2011

Consanguinité

Petite précision concernant la consanguinité évoquée dans la note précédente :

1) La consanguinité est fréquente chez les nobles, et en particulier chez les rois. En effet, un fils de roi doit se marier avec une fille de roi ou au minimum une fille de duc ou de duchesse (Le titre juste en dessous du roi),  c'était le cas au moins autrefois, et par conséquent, comme les rois, les reines, et les ducs et duchesses ne courent pas les rues, ils sont presque tous parents entre eux et par conséquent les mariages consanguins sont frréquents chez les rois et les nobles. Généralement, on choisit un duc ou un prince (duchesse ou princesse) étant parent le plus éloigné possible de l'autre époux, mais ce n'est pas toujours facile à trouver et on calcule la consanguinité pour que celle-ci soit la plus faible possible.

2) J'ai remarqué dans l'arbre généalogique de Bêtie, mon personnage de roman-théâtre, que l'on retrouve souvent les mêmes noms (patronymes) sur des branches mêmes éloignées. Son gtand-père venant du Nord et sa grand-mère venant d'Alsace se sont rencontrés à Paris (qu'ils ont quitté ensuite), mais il semblerait que si l'on remonte vers les années 1300 ou 1400,, on rencontre des ancêtres de la même famille. Cela pourrait expliquer l'attirance qu'ils ont eu l'un pour l'autrte. Lorsque l'on remonte assez en arrière on voit que les branches familailes qui se sont génralement dispersées et diversifiées durant l'industrialisation du XIXème siècle, avec l'afflux des personnes vers les villes, étaient très localisées entre le XIV et le XVIIIème siècle. Seuls les protestatns fuyant les persécutions, partant vers la Suisse et l'Alsace, et les personnes ayant des fonctions importantes, comme les maires de grandes villes, ou les artistes, déménageaient et quittaient leur village ou bourgade constituant le cocon familial ou leur seigneurie à la campagne et déménageaient, s'en allant vers les grands centres. Par contre les femmes et  les artisans ou bourgeois occupant des fonctions locales, restaient dans la même ville ou allaient chercher époux dans les bourgades voisines, les familles étant restées dans des périmètres de 20 km de diamètre pendant plusieurs siècles. Donc, nos ancêtres bougeiaient peu. Et formaient d'immenses tribus, aux nombreux enfants, souvent entre 6 et 10 par femme (enfants ayant vécu), les familles se mariaient entre elles en évitant la consanguiité du mieux qu'elles le pouvaient, mais il y en avait sans doute,et certains arbres calculent même les taux de consanguinité.

Dans les villes la consanguinité semblent évitée, mais on voit souvent des frères épouser des soeurs d'une autre famille ce qui simplifiait les choses et sans doute les calculs ensuite, leurs enfants respectifs pouvant ensuite aller épouser les frères et soeurs d'une troisième famille, etc...

Par cpntre, dans les campagnes et surtout dans les vallées des montagnes la consanguinité semble très forte. Et parfois les familles émigrent dans d'autres régions aux paysages semblalbles à la leur pour l'éviter, tel cette famille de hHute-Bavière, dans laquelle on travaillait le bois, migre en partie vers les forêtes de Hesse Odenwald), où ils deviennent forestiers, mais commencent également à occuper des emplois intéressants dans les villes, et un ressortissant de cette famille migre en alsace où il devient papetier, travaillant toujours dans le bois. Une partie de la famille mirgre en Amérique au XIXème siècle où ils s'installent dans des Etats du Nord et de l'Est des Etats Unis, boisés également, dans le même genre de paysages.

Une autre partie de la même famile est originaire des Vosges, et là les arbres indiquent des taux de consanguinité et les familles du coin des Vosges situé derrière le col du bonhomme se limitent à uen dizaine de patronymes avec de nomberux mariages entre eux.

De même dans ses orrigines flamandes l'une des branches se tient dans un mouchoir de poche entre 5 villages et petites villes situés les uns près des autres. On y rencontre aussi à peu près toujours les mêmes patronymes, surtout dans les familles alliées ou par alliance. trois des patronymes de ses ancêtres réapparaissent sur des branches différentes, à des époques différentes. Deux d'entre eux, deux fois et un d'entre eux trois fois. La famille qui est étalbie dans le coin vers 1350, reste au même endroit jusqu'en 1840. Pour émigrer ensutie vers les villes textiles frnaçaises.

On bouge plus en Wallonie, passant de la région de Charleroi à celle de Namur et vers l'Ouest jusqu'à l'Avesnois, juste sur la frontière.

En remontant plus loin dans le temps, on s'apreçoit que c'est vers les années 1000 110 que les gens ont le plus bougé, en particulier les nobles partaient en croisade et souvent n'en revenaient pas. Masi avaient pris soin aupravant de laisser une dame dans leur château, entourée de quelques enfants, qui grandissaient et dont les garçons partaient eux-mêmes en croisade. C'est très évident quand on consulte les arbres généralogiques des heureux qui ont pu remonter aussi loin, presque tous des descendants de  nobles (et à ce stade on ne trouve que les coordonnées des nobles ou des lettrés, des religieux et relifigeuses dans les monastères, le simple manant ou serf, n'a pas droit à figurer sur les répertoires que l'on peut retrouver facileemnt), La descendance était généralement assurée avant de partir guerroyer au Moyen-Orient. Ce qui permet de remonter les arbres généalogiques. Les nobles carolingiens ont des arbres généalotgiques qui remontent à l'Antiquité, et sont quasiment tous descendants des mérovingiens, et de l'impératrice Galla ou d'Agripinne, et des rois de Neustrie et d'Austrasie, de Sainte Clotilde des Wisigoths (ou des Ostrogoths, ma mémoire flanche..).

Déjà vers l'an 1000 et vues les pertes en hommes dues au croisades ce qui réduisait encore la population en Europe, nous ne pouvons logiquement qu'avoir plusieurs fois le même ancêtres sur des branches différentes, car la population de l'Europe était moins élevée que le nombre total d'ancêtre qu'un européen d'aujourd'hui devrait avoir logiquement, si tous ses ancêtres étaient différents. Chaque individu actuel a à cette époque plus d'ancêtres qu'il n'y avait d'hommes en Europe.

Si l'on remonte à l'an 500, il nous faut plus d'ancêtres pour un seul individu actuel que la population mondiale actuelle. Pour qu'il n'y ait aucune consanguinité dans 1500 ans, il faudrait que chaque homme ou femme actuel soit ancêtre d'une seule famille vivant dans 1500 ans. Comme c'est impossible, il y aura forcément des ancêtres communs sur plusieurs branches pour nos descendants de dans 1500 ans. Cela veut dire que si vous avez une postérité (des enfants qui ont eux même des enfants), vous mêmes et vos enfants, petits enfants et arrière pettis enfants, serez ancêtres sur plusieurs branches de chacun de vos descendants de dans 1500 ans.

Mettons que dans 1500 ans, un de vos descendants fait son arbre généalogique, vous vous appelez M. Martin et il s'apelle D.Durant, si on a bien conservé toutes les archives, votre descendant trouvera plusieurs fois N. Martin (même personne) sur plusierus de ses branches, en remontant jusqu'à 1500 ans en arrière.

Bêtie, elle est arrivée à trouver un ancêtre à la 17ème génération de son arbre généalogique et deux à la 17-me génération, ce qui nous fait remonter vers l'an 1300 environ. Elle trouve des Perceval et des Jehan, des Colin (en flamand Colaert), jolis prénoms moyen-âgeux.

domino

 

mardi, 25 janvier 2011

Les ancêtres de Doofie (suite)

Roman-théâtre (suite)

Vocii une histoire plus précise des ancêtres de Doofie

Au 16ème siècle : en 1578, l'un des ancêtres de Doofie était premier bourgmestre d'une grande ville européenne. Comme je ne veux pas trahir le nom de jeune fille de Doofie, sachez simplement qu'il s'ppelait Léonard de prénom et qu'il fit construite en 1515 un beau château à la campagne dans les environs de cette même ville. Il faisait partie des lignages, soit les nobles qui dirigeaient la ville. Le deuxième bourmestre porte le nom d'une autre ancêtre de Doofie. Un Guillaume du même patronyme, se trouve alosr parmi ses échevins.

En 1579, Notre Léonard est premier échevin de cette même ville (les échevins étaient les conseillers muniscipaux)... Car on faisait les élections tous les ans. Guillaume est encoer échevin.

En 1580, notre Léonard est de nouveau premier bourgmestre de la même très grande ville qui brillait dans cette Europe de la Renaissance. Parmi ses échevins on trouve d'autres nobles dont un chevalier de Jérusalem.

En 1583-1584, notre Léonard, premier échevin, se démet en cours de mandat (peut-être agé, ou occupé ailleurs) et est remplacé par un peintre, donc on pouvait être édile d'une grande ville et peintre en meme temps, ce qui est important pour la suite...

Pendant le mandat de Léonard un autre du même patronyme apparait comme bourmestre des Nations, les bourgeois qui forment une partie du conseil municipal.

Tandis que le patronyme du grand-père paternel de Doofie disparait momentanément des bourmestres élus par les lignages (nobles), des échevins portant les patronymes des parents de la grand-mère paternelle de Doofie apparaissent aux nations plusieurs fois. Mais un Guillaume  a une particule de noblesse et revient aux lignages (second bourmestre en 1614-1615)

En 1662, François de la même famille, même patronyme que Doofie est échevin de la même ville.

Deux ans plus tard, c'est Jean qui est à l'honneur parmi les échevins, il peut s'agir ici soit du peintre de renommée moins grande que son collègue Rubens mais assez important quand même. Et/Ou de l'ancêtre sûr de Doofie qui vivait à environ 40 kilomètres de là près du mont auprès dusquel est né l'arrière grand-père de Doofie.

Il se peut que, comme il n'y avait pas encore de pollution à cette époque, de ce mont à 40 km à l'Ouest, on voyait la grande ville et sa colline froide, où étaitent arrivés vers 11OO d'illustres contes devenus duc de toute une province et suzerain de contes puissants. Ils y installèrent leur palais qui grandissant, puis détruit par un incendie à une époque d'occupation autrichienne au XVIIIème siècle, donna son nom à un quartier de la ville, quartier où se trouve actuellement un palais royal...

1665-1666 : Notre Jean -ou Jacques), à cette époque là les gens et les Jacques se succèdaient dans la ligné paternelle de Doofie... remet le nom au grand jour, puisqu'il est premier bourgmestre des lignages (nobles) toujours dans la même ville...tandis que François, sans doute un frère, est parmi les échevins, mais Doofie descend bien de la lignée des Jean et des Jacques (en flamand Jan et Jacob). Notre J. est un Sire alors que Léonard était un Maître.

Alors que J. est bourmestre, Thomas qui porte le patronyme de la grand-mère maternelle de Doofie arrive parmi les échevins des Nations.

J. (il ne peut plus s'agir ici du peintre déjà décédé, mais d'un de ses fils ou neveux) reste 1er échevin ou parmi les premiers échevins de cette très grande ville européenne  jusqu'en 1684. Il est encore premier échevin en 1684.

L'origine de cette famille ayant donné plusieurs bourgmestres ou échevins à Bruxelles, est à trouver parmi les descendants des contes ayant fondé la colline ducale qui occupée ensuite par les autrichiens et les espagnols est devenue royale puis impériale et a abrité l'occupant Charles Quint hors de l'Espagne et de l'Autriche . Peut-être que de cette collinne aux avant-postes des systèmes montagneux européens, il voyait l'Amérique de loin... Ils se peut que comme il n'y avait pas de pollution, il voyait la mer et que ça l' a inspiré pour ses conquêtes...

Comme plus personne à l'époque de ses ancêtres bourgmestres ne portait le nom de la colline froide,d'abord en latin, puis en langue vernaculaire,  sur laquelle s'élevait le palais... il semblerait que ce soient directement ces ancêtres qui auraient changé de pratronyme, peut-être, pour en tant qu'anciens ducs, ne pas être poursuivis par les occupants autrichiens ou espagnols. Car on ne trouve plus à cette époque le nom de cette famille très active au Moyen-Äge et jusqu'au début de la Renaissance, parmi les édiles de cette très grande capitale européenne.

De quelle capitale s'agit-il? Vous ne donnerez pas votre langue au chat, n'est-ce-pas, et de toutes façons, le chat a le droit de regarder l'empereur et les ancêtres bougrmestres de Bruxelles pouvaient bien regarder les occupants Maximilien Ier et Charles Quint, tout empereurs qu'ils étaient...

domino

 

dimanche, 24 octobre 2010

Cherche et tu trouveras...

(suite de mon roman-théâtre)

Dummie, Foolie et Sottie qui habitent dans le même quartier sont en train de se téléphoner l'une à l'autre:

Dummie : Doofie vient de me téléphoner, elle  a encore des problèmes. Vendredi soir, elle s'était fait un cahier - ou plutôt elle avait repris un ancien cahier "d'organisation" pour le compléter. Dedans Doofie écrit tout ce qu'elle doit faire dans plusieurs domaines en colonne, d'aboird une colonne pour les différents domaines d'activité, musique, langues vivantes, allemand, ménage, pièces à ranger, informatique lire ses mails, blogs, etc..)... et sur les autres pages elle reprend chacun des domaines en détail et écrit tout ce qu'elle doit faire dans tel ou tel domaine, en le structurant et en prévoyant le nombre d'heure ou de quart d'heure ou de demi-heure qu'elle va consacrer à chaque activité... Elle avait écrit combien de temps elle devait passer chaque jour pour ranger ses boîtes d'e-mails, classer les courriers, faire ses blogs, etc pour ne y passer trop de temps et ne pas tomber dans la cyber-dépendance )...

Foolie : C'est une très bonne initiative..

Sottie : Oui, moi, je fais exactement la même chose...

Dummie :  Mais voilà le hic, Doofie avait passé une ou deux heures pour faire ainsi le planning de ses vacances et puis voilà : tout ce travail préparatoire a disparu...

Foolie : Encore!!!! C'est sûrment Schnelly.

Dummie : Doofie n'a rien dit à Schnelly, parce si elle dit quelque chose, il va dire "Ce n'est pas moi qui l'ai pris" et une demi-heure plus tard il va dire (après avoir été à la cave et avoir apparemment téléphoné à quelqu'un) : Tu a vu, il est là devant ton nez... en montrant un endroit où Doofie a déjà regardé vingt fois... Alors Doofie dit qu'il le fait exprès pour faire croire qu'elle ne sait pas ce qu'elle fait, pour la faire enrager, etc...

Sottie : Peut-être que Schnelly a une autre amie, et qu'il veut divorcer aux torts de sa femme...

Dummie : Cela m'étonnerait, il veut toujours l'aider, est toujours derrière elle...

Foolie : Ou à 10 mètres devant elle quand il marchent dans la rue, dans une gare, dans les couloirs du métro...

Sottie : Il court pour acheter les tickets de métro..

Dummie : Quand Doofie en a un carnet presque complet dans son sac..

Sottie : Il ne veut peut-être pas divorcer, ce n'est peut-être pas lui... C'est peut-être quelqu'un qui a un passe pour rentrer dans la maison, ou a pris les clefs un instant et en a fait faire des doubles...

Dummie : Schnelly jure ses grands dieux qu'il n'a jamais donné les clefs aux voisins depuis qu'ils ont changé les serrures en 2005, Dummie avait changé les serrures parce que les fils de connection de son ordinateur disparaissaient tour à tour!

Sottie : Et réapparatissient sous une autre couleur, un câble d'imprimante gris est devenu bleu en l'espace de deux jours, un cable d'adaptateur ou de transformateur pour le courant du portable s'est affiné... En fait, Schnelly rachetait les affaires qui disparaissaient.

Foolie : Ce n'est pas vraiment sûr. Schnelly sait peut-êre qui est le voleur et il a peut-être peur de lui..

Dummie : Peut-être qu'on a demandé un exemplaire de l'écriture de Doofie pour reconnaître ses copies à l'agrégation et lui mettre des mauvaises notes...

Sottie : Vu ce qu'on lui a fait au niveau du Master 2, c'est fort possible...

Foolie : Ou changer sa copie avec celle d'un étudiant moins bon que l'on veut favoriser, avec les étiquettes auto-collantes, c'est facile de  les décoller et de les recoller...

Dummie : Ce sont peut-être des étudiants eux-mêmes qui vont changer les étiquetes auto-collantes dans les bureaux des professeurs qui corrigent, puisque ceux-ci ont l'imprudence de dire à leurs étudiants qu'il corrigent le CAPES ou l'agrégation.

Sottie : Doofieie avait de meilleures notes quand elle n'était pas connue et n'allait pas à l'université!

Foolie : Certains pensent peut-être cela, mais ce n'est peut-être pas vrai. N'accusons-pas les professeurs et les étudiants de ce qu'ils ne font pas...

Dummie : Peut-être que Doofie a écrit son nom sur le cahier et que des jeunes du quartier se servent de ses affaires pour faire passer des choses illicites et faire croire que c'est elle qui fait cela, alors que Doofie est foncièrement contre toutes les toxicomanies, qu'elle est non fumeuse et ne boit jamais d'alccol.

Sottie : Nous aussi d'ailleurs, nous sommes contre l'alccol, le tabac et le reste qu'on n'oserait nommer!

Foolie : Ou alors on laisse des affaires de Doofie sur le lieu d'un crime, peut-être cet homme a moustache qui avait ouvert sa porte un jour et a dit "Excusez-moi, je me suis trompé de maison!"

Sottie : Comme si on se trompe de maison, même si elles sont toutes pareilles dans son quartier, il aurait quand même dû voir que le jardinet n'avait pas les mêmes fleurs que chez lui..

Dummie : Si c'était un assassin, pourquoi il n'a pas tué Doofie puiqu'elle était là devant lui?

Foolie : Elle n'était peut-être pas son archétype de femme à tuer. Il paraît que les tueurs qui tuent des femmes en série tuent toujours le même genre de femme, une femme généralement qui ressemble à une femme qui les a quitté et qu'ils aimaient, par exemple, une brune avec les cheveux au carré..

Sottie : Comme la petite pixie... Mais où elle est passée celle-là... Pourvu qu'elle n'ait pas été assassinée...

Dummie : Ne parle pas de malheur, je suis sûre qu'Eliot la protège...

Foolie : C'est vrai qu'on est triste sans elle, et Doofie encore plus que nous..

Sottie : Oui, d'ailleurs depuis qu'elle n'est plus là, les avions ont eu pas mal de problèmes avec les volcans...

Dummie : C'est vrai cela, il n'y a qu'elle qui puisse bien faire marcher l'aviation, il faut qu'elle revienne...

Foolie : Ou alors une blonde à longs cheveux..

Dummie : Doofie est châtain doré...  elle a de la chance, elle ne correspondait pas au type de l'homme à moustache...

Sottie : Il avait une camionette Speedy..

Foolie : Speedy, comme le prénom de ton mari... ça alors...!!!

Dummie : Tant que ce n'était pas une camionette Quicky comme le prénom de mon mari...

Sottie : Il n'était pas à mobylette?

Dummie : Non, ça c'était un autre qui venait à chaque fois que Doofie branchait son modem et son ordinateur...

Foolie : Pour se servir de son Wi-Fi, il devait recevoir le signal lointain chez lui..

Sottie : Il avait le code...

Foolie : Il l'a peut-être volé, car Doofie ne l'a jamais trouvé, elle est toujours connectée par câble, chez elle...

Sottie : Mais on en revient à notre cahier. Qu'a fait Doofie?

Foolie : Elle a refait son planning de travail sur un autre cahier, mais elle n'avait plus d'aussi bonnes idées... et elle a cherché pendant trois heures ce matin après le cahier original... toujours aux mêmes endroits puisqu'elle étaient allées à deux endroits seulement avec ce cahier, dans l'entrée près de l'ordinateur et sur la table de la salle de séjour où elle était sensée l'avoir laissé. Elle a regardé aussi s'il n'était pas dans les affaiers qu'elle a monté hier, feuille par feuille, cahire par cahier, à l'intérieur des livres tout : pas de cahier....

Dummie : Alors, je ne sais pas... Doofie ne s'est pas énervée...;

Foolie : Non, elle sentait l'énervement monter en elle, mais elle a décidé de ne plus chercher le cahier et de faire son blog pour se calmer...

Sottie : Et ça marche...

Dummie : Oui, elle vient de m'envoyer un mail que j'ai regardé en téléphonant, elle a presque fini son blillet d'humeur, ça l'a calmée...

Sottie : PEut-être le cahier reviendra-t-il de lui même, dans sa boîte aux lettres par exemple et c'est Schnelly qui le trouvera et le mettra dans l'un des deux ou trois lieux où elle a regardé cent fois...

Dummie : C'est possible...

Foolie : Il fait froid aujourd'hui... et gris.....

Dummie : Oui...

(la conversation sur le temps qu'il fait se fait entendre de moins en moins fort, puis le rideau tombe... fin de scène...)

domino

 

 

samedi, 11 septembre 2010

Doofie et ses ancêtres (4)

En ce qui concerne ses ancêtres portant son patronyme en ligne directe, Doofie est remonté jusqu'au début de la période des Pays-Bas espagnols.

Il est de plus en plus vraisemblable que Jean ou Jan, le peintre baroque soit le père, ou l'oncle ou de cousin de son ancêtre, né vers 1640...  (le peintre baorque Jean ou Jan est né environ 20 ans avant son ancêtre également prénommé Jean dans le même village).

Une modification orthographique du nom intervient dans le courant du XVIIIème siècle (modification d'une lettre). Dans les autres branches de la famille, cette lettre n'a pas été modifiée.

Des bourgmestres portant ce nom font partie de deux des neufs  lignages de Bruxelles, dont la plus ancienne des neuf familles patriciennes qui ont gouverné la ville libre de Bruxelles, ville libre d'Empire et ville hanséatique, du Moyen-Age jusqu'à la  révolution française.  

Un quartier de Bruxelles porte le nom de "son" lignage, il y avait jadis un palais qui a brûlé accidentellement, alors que l'impératrice Marie-Théresè s'y trouvait, mais elle a échappé aux flammes. Marie-Thérèse n'est pas son ancêtre, tout au moins sur cette branche, pas plus que Charles Quint ne pourrait l'être (au mons pas sur cette branche), car les ancêtres de Doofie qui vivaient à l'époque de Marie-Thérèse sont largement connus, mais il manque pas tout à fait un siècle pour remonter à l'époque de Charles Quint. Charles Quint a vécu à Bruxelles dans le palais qui porte le nom du lignage le plus ancien dont Doofie doit descendre, et  la grand-mère de Charles Quint, Marie de Bourgogne est née dans ce palais. Marie de Bourgogne, sur son portrait vu de profil, mis à part son nez pointu,  ressemble à s'y méprendre à Doofie étant jeune, tout comme son frère ressemble à Henri III de France. La fille de Marie de Bourgogne, Marguerite d'Autriche ressemble dans son portrait de jeunesse  à sa nièce qui porte un prénom de reine.

Bon, voilà le résultat scripté des recherches généalgiques de Doofie qui a trouvé ses ancêtres en ligne masculine (ancêtres portant le même patronyme qu'elle) jusqu'à l'épque des Pays-Bas espagnols sous Philippe IV, roi d'Espagne.

Bien cordialement

Domino

 

vendredi, 13 août 2010

Le C2i2e

(suite)

Nos trois amies continuent de discuter sur les bords de la piscine de leurs petits ennuis, elles ont un moment quitter le journal que Doofie leur a envoyé pour parler d'une autre chose qui  les intéresse, le C2i2e.

Dummie : Et oui, regarde, j'avais enovyé des mails aux formateurs du c2i2 e à l'IUFM pour savoir comment je peux m'y isncrire car j'ai vu qu'ils ont enfin ouvert une formation pour prof non stagiaires, c'est à dire titulaires, mais mes mails sont revenus par Mailer Daemon : n'habitent plus à l'adresse indiuqée.

Foolie : Moi, ça fait al même chose pour mon mémoire. Mes mails à ma directrice de recherches dans lequels j'expose la suite de mes recherches sont aussi revenus une première fois sous forme de "Pause pédagogique" jusqu'au 23 août, puis par Mailer Daemon!

Sottie : Et tu n'as pas son adresse pour lui écrire?

Dummie : Non, maintenant, tout se fait par courrier électronique.

Foolie : Oui, et c'est comme cela que tous mes mails à mes profs reviennent. Et pourtant, je suis sûre que ma prof serait heureuse d'avoir des nouvelles de mon mémoire.

Sottie : Bon, pour le C2i2e, c'est embêtant, on doit le réussir avant le mois de mars pour l'interne et regarde un peu : on ne peut même pas commencer maintenant. On va devoir  faire cela en même temps que notre boulot de professeur.

Foolie : Regarde un peu le mal qu'on les étudiants à avoir déjà leur C2i premier niveau, chez nous il était divisé en trois épreuves, un QCM sur les modules A1 à B7, une épreuve pratique en temps kimité (3 heures) sur les modules B1 à B5 et une épreuve en collaboration sur les modules B6-B7. J'ai eu le QCM et l'épreuve en collaboration du premier coup en décembre, pour l'épreuve pratique, je devais revevoir le sujet sur mon ENT, mais pendant 20 minutes, il y avait une page rose à la place : il était écrit en anglais : page impossible à afficher, saturation du réseau, tu parles, ils avaient lancé les suejts sur tous les ordinateurs des trois ou quatre salles en même temps! Alors, j'ai perdu déjà vingt minutes au départ et j'ai eu quelque chose comme 6/20, je n'avais pas fini, je l'ai répassé en mai et je l'ai eu.

Sottie : Mais toi, tu as été vite... les modules acquis restent valables 5 ans (contraierment aux CLES ou les modules ne sont valables qu'une seule année, quand tu n'as pas un niveau complet, et tu ne peux passer un niveau dans une langue qu'une fois par an, par contre tu peux passer plusieurs niveaux de la même langue ou plusieurs langues à la même session... du moment que tu n'as pas déjà passé ce niveau dans cette langue dans la même année universitaire). Mais pour le C2i les modules restent valables 5 ans, mais en fait, beaucoup d'étudiants n'arrivent pas à l'avoir en un an.

Dummie : Il y en a même qui râtent leur QCM, pourtant ce n'est pas bien sorcier, c'est presque le même que le test de positionnement!

Sottie : Oui, on se demande comment ils peuvent le râter. En épreuve en collaboration, généralement on a de bonnes notes aussi. C'est l'épreuve pratique la plus difficile, surtout que c'est long, il faut aller le plus vite possible, on nous dit même de passer les questions qu'on ne sait pas faire.  Pour aller plus vite sur les autres questions. Et réussir à avoir la moyenne, au C2i c'est 10/20, alors qu'au CLES, il faut maintenant 20/20 dans chacune des compétences, enfin, en gros, les correcteurs ont des grilles qui correspondent au Cadre Européen Commun pour les langues et il faut que toutes les compétences soient cochées pour avoir le niveau, à la rigueur, si dans une grande compétence tu n'as pas une sous-compétence (il y a 7 à 10 sous compétences par grande compétence, selon les niveaux). Pour le C2i premier niveau, il ne faut que 10/20, c'est quand même plus abordable, mais malgré cela certains n'ont pas encore tout leur C2i au bout de plusieurs années.

Dummie : Ma nièce était étudiante et a eu le C2i1 en même temps que moi, mais elle a tout eu sur la même session, on dit que c'est un génie. Il faut dire qu'elle a baigné là dedans depuis toute petite, son père est électronicien qui a suivi un recyclage en informatique et son frère est ingénieur en informatique. Déjà quand elle avait 11, 12 ans, son frère qui est plus vieux qu'elle l'aidait à gérer son ordinateur et lui expliquait tout ce qu'il faut savoir d'un ordinateur.

Sottie : Mais nous, on est vieille, ce n'est pas la même chose...

Foolie : J'ai vu des résultats de C2i2e sur le site de l'IUFM, il y a une liste pour les inspecteurs stagiaires, environ 7 l'ont réussi dans l'académie et une liste d'envrion 15 professeurs titulaires qui l'ont réussi,

Dummie : 15 profs sur tous ceux qui passent l'agrégation interne dans l'académie, c'est peu... Toutes matières confondues, l'année d'avant, on était tous dans la même salle pour l'agrégation interne, on était bien 1000 à 2000.

Foolie : S'ils mettent aussi longtemps à organiser les C2i2e, et qu'il n'y a que 15 reçus par an, il n'y aura, toutes matières confondues,  plus que 15 candidats à l'agrégation interne dans l'académie au lieu de 1500!

Sottie : Et comme il le faut pour les résultats de l'écrit, on verra parmi les admissibles 90% de désistements.

Foolie : D'après ce que j'ai compris, il faut le C2i2e avant la fin du mois de mars pour nous, les réusultats de l'écrit d'agrégation interne étant souvent donnée fin mars. Si on l'a pas d'ici là et qu'on est admissible, il faudra se désister pour l'oral et on ne sera pas déclarées admissibles.

Sottie : Apparemment, le C2i2e n'est peut-être n'est peut-être pas aussi diffiicle que le C2i1. Car il n'y a pas d'épeuve en temps limité, en effet, ce qui est difficile dans le C2i1, c'est d'en faire le plus possible dans le temps imparti.

Foolie : Voilà bien du travail en perspective, et on ne peut pas le faire à l'avance...

Laissons nos trois amies à leurs discussions.... nous les retrouverons prochainement, avec Doofie, on espère...

domino