vendredi, 19 mars 2010
Injustice
Doofie écrit dans son journal :
Je ne suis pas admissible à l'agrégation interne, et pour moi et pour d'autres c'est une injustice.
Injustice parce que l'une des personnes que je connais parmi les admissibles est cent fois moins bonne que d'autres candidats de mon académie, en particlulier, francophone comme moi, elle n'a pas jugé bon au contraire de moi, à propos de laquelle un professeur n'a trouvé qu'une seule petite faute, sans qu'elle en soit vraiment une, - dans un exposé d'une demi- heure il y a deux jours, de travailler énormément sa prononciation et pour l'avoir connue l'an dernier alors qu'elle faisait des exposés devant moi à l'univesité, je peux dire qu'elle fait d'énormes fautes de longueur de voyelles (quantités vocaliques), d'ouverture de voyelles (mélange constant de o ouvert et o fermé de é ouvert ét é femé). En plus, elle ne parle pas l'allemand d'une façon naturelle.
C'est pourquoi je demande une réforme immédiate de l'ordre des épreuves des agrégations de langue vivante et en particulier qu'une épreuve de lecture qui pourrait se dérouler très rapidement pour tous les candidats puiqu'il suffirait de lire deux minutes en français et deux minutes en langue étrangère, pour se rendre compte de la prononciation du candidat.
En effet, dans les agrégations de langues vivantes, dans la mesure où l'on est amené à enseigner d'abord oralement la langue, l'oral est primordial. Et la prononciation aussi. Or, tous les ans on voit des candidats moyens en écrit être admissibles alors que des candidats excellents en oral, ne sont pas admissibles.
Par ailleurs il y a une autre chose que je ne m'explique pas, c'est comment on peut être bon en traduction une année et ne plus l'être du tout l'année suivante.
Je viens en effet de récolter en traduction la plus mauvaise notre que j'ai eu depuis au moins une dizaine d'années.
Jugez plutôt, en sachant auparavant que les notes de l'agrégation interne en traduction sont en moyenne 5 points sur 20 au dessus de celles de l'agrégation externe, la moyenne d'admission à l'agrégation interne étant depuis quelques années aussi 5 à 6 points supérieure à celle de l'externe :
Années 90 : 9 à 9,5/20 en version d'externe et 7,5 sur 20 en thème d'externe (ce qui correspondrait à 12,5 à 14,5 en interne).
Années 2000
2003 : 9/20 en interne.
2005 : 12/20 en interne.
2008 : 11/20 en interne
2009 : 10,25/20 en interne et 10,75/20 en tradution d'externe (depuis plusieurs années on fait la moyenne du thème et de la version en externe aussi), ce 10,75/20 en externe correspondait à un 16 ou 17/20 en interne.
Mes concours blancs récents à l'université notés en externe avec d'anciens jurys: d'externe :
L' année universitaire 2008/2009 : 14/20 en thème, le professeur de version n'a pas donné de notes, mais a écrit "Plutôt bien".
L'année universitaire 2009/2010 : 7,5/20 en thère et 14/20 en version (noté en externe : ajouter cinq points de plus pour l'interne).
A signaler : j'ai fait beaucoup de devoir à l'université, mais je n'ai pas rendu mes devoirs du CNED, or l'avis des professeurs du CNED compte peut-être plus que celui des professeurs de l'université, dont la plupart sont pourtant des jurys ou d'anciens jurys d'agrégation.
2010, je ne vois même pas que ma note en dissertation a monté, même si elle n'a pas atteint le maximum obtenu jusqu'ici, elle s'efface complètement derrière quand je vois ma note de traduction par rapport à toutes les bonnes notes que j'avais eu en traduction les années précédentes, je suis dégoûtée!
5/20, vous avez bein lu, d'excellente en traduction l'année dernière et encore en décembre (je suis TZR et j'avais réussi à faire le concours blanc de traduction un vendredi entre deux remplacements), je suis devenue en l'espace d'un mois seulement nulle en traduction!!!!!!!!
Alors, je finis par me demander si on n'échange pas les copies de divers candidats. Quand je vois des collègues qui ne parlent pas l'allemand vraiment couramment, qui prononcent mal, être admissibles, je me demande tout simplement comment ils peuvent bien écrire l'allemand dans leurs dissertatiosn et bien traduire dans leur thème quand ils le parlent mal.
Bon, personne ne sait dans quelle académie je suis, et personne ne connait mon nom ni celui de la candidate dont je parle, donc, je ne peux être ni attaquée juridiquement ni professionellement pour mes écrits dans mon journal.
D'ailleurs, je m'appelle Doofie et je suis un personnage de roman-théâtre et je ne suis pas domino qui m'a fabriquée pour son roman.
Donc ce que je demande, c'est une lecture préalable, en français et en allemand, en français (car il y a aussi des allemands qui passent l'agrégation d'allemand) et en allemand, qui se passerait derrière un rideau avec un numéro d'anonymat comme pour certains examens et concours de musique (on avait été obligé de faire cela dans un concours d'instrument où les jurys favorisaient régulièrement leurs élèves).ma
Par'ailleurs je m'étonne que les étiquettes "d'anonymat" que nous devons coller sur nos copies le jours de l'écrit, comportent notre nom, et ne soient apposées que sur la première copie, ce qui peut faire que la fin d'un devoir se glisse dans un autre et apporte des points supplémentaire à un autre candidat.
Cette année on nous a demandé de faire la version à la suite du thème dans l'ordre du sujet, donc, j'ai bien fait 1/ Thème 2/ Explication des séquences soulignées du thème, 3) Version, 4, Explicattion des séquences soulignées de la version, l'ensemble faisant environ quatre copies dont la quatrième n'était pas remplie jusqu'à la fin, soit d'après mes souvenris entre treize et quinze page, car mes explications de traduction étaient très longues (et j'écris grand).
Pour la dissertation j'étais pleinement dans le sujet qui était la "Théâtralité dans le roman de Heinrich Mann, der Untertan. Les noms des oeuvres qui sont en italique dans les textes imprimés doivent être soulignés dans les dissertations, c'est une faute d'orthographe de ne pas les souligner! Les traductions des titres d'oeuvre en bas des devoirs de traduction qui suivent le nom de l'auteur doivent être aussi soulignés. Alors, inutile d'éliminer les candidats qui ont souligné les titres d'oeuvre en considérant ces soulignements comme signes distinctifs, et inutile aussi de prendre les noms des auteurs des oeuvres à traduire pour des signatures de candidats, il est obligatoire des les traduire et je les traduis aussi). (Pardon, mon texte s'est mis en gras sans que je le veuille).
Pour le sujet j'ai traité des trois thèmes suivan-cts : le théâtre proprement dit dans le roman, les trois oeuvres théâtrales et d'opéra apparaissant dans celui-ci (plusieurs dizaines de page étant consacrée à une représentation théâtrale par la population de Netzig), et dans cette partie aussi le personnage de Wolfgang Buck, l'ami d'enfance de Diederich, devenu acteur, et qui s'oppose ainsi au pragmatisme de Diederich Heßling, la théâtralité de la société wihleminienne, société militariste, avec ses défilés, les Burschenschaften aux rituels bien codifiés comme des pièces de théâtre, société de parades et de spectacles de rue à caractère militaire, et ensuite la théâtralité du style de Heinrich Mann, avec ses dialogues qui ressemblent à des dialogues de théâtre, la description des gestes des personnages qui sont théâtraux et les disdascalies (Bühnenanweisungen) glissées dans les dialogues du roman.
Le tout faisait cinq copies en allemand soit 20 pages, les professeurs que j'ai entendu à l'agrégation externe il y a environ 8 ans, conseillent d'en faire moins (trois copies seulement), mais j'écris grand. D'après le concours blanc dont j'ai eu le retour de la copie (ma copie sur Heinrich Mann ne m'a pas été rendue laprès le concours blanc, je n'étais pas là quand le professeur l'a rendue et il l'a perdue, c'est la deuxième fois qu'il perd une de mes copies!), mais d'après le professeur qui nous fait Goethe, mon style et mon allemand ne doivent pas être en cause (après tout, je n'ai eu que 7/20 et il fallait 21 points sur 40 pour être admissible, et cette année, j'ai le total le plus bas que j'ai depuis 8 ans que je apsse l'agrégation interne!). En effet, en me rendant ma dissertation de concours blanc sur Goethe mon professeur m'a même dit que l" introduction était écrite dans un style qu'il apprécie et était très biens structurée.
Rappelons aussi ceci :
Beaucoup de professeur ne prennent actuellement leur retraite qu'à 65 ans, en raison des modifications des retraites de focntionnaires faites récemment, et aucune limite d'âge n'est opposable au candidat d'agrégation, c'est écrit sur le site du ministère dans les conditions d'incscription quand on s'inscrit en septembre. Et ceci depuis la session de 2004.
Tout candidat peut s'inscrire aux agrégations interne et externe, même s'il est dans le public et ceci depuis 2004, sur les convocations il est écrit que si les dates tombent en même temps, ils doivent choisir l'un des deux ou trois concours. Cete année l'écrit de l'externe tombant pendant l'oral de l'interne, on m'avait dit de source sûre qu'il serait possible d'avoir des aménagements, par exemple passer l'oral de l'interne juste après l'écrit de l'externe.
Doofie, professeur bi-admissible à l'agrégation d'allemand.
(pour Doofie, domino, toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite).
Peut-être que des fautes se frappe qui passent pour des fautes d'orthographe se glissent lors de la publication de l'article. C'est réguler sur mon ordinateur par rapport à ce blog, car j'avais vérifé en tapant et il n'y avait aucune faute.
21:07 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : injustice, agrégation, admssibilité
samedi, 06 février 2010
Baîtie n'est plus...
Au restaurant, entre le matin et l'après-midi du stage de PAF, juste avant les vacances de févirer, nos quatre amies sont attablées devant un grand verre d'eau pétillante qui agrémente un joli petit repas de salades sans vinaigrette (il y a de l'alcool dans la vinaigrette!) :
Doofie : Bouh, bouh, Baîtie est morte...
Dummie : Bêtite est déjà morte depuis un mois je crois...
Sottie : Et Bettie est morte depuis 5 mois, sous un train...
Doofie : Non, il s'agit de Baîtie avec ai ou aî dans la syllabe principale.
Foolie : Ah! Et de quoi elle est morte?
Doofile : Elle est morte dans la nuit de jeudi à vendredi, elle s'est endormie et ne s'est plus réveillée, elle a laissé une lettre que son mari m'a photocopiée, c'est pour cela qu'elle est absente aujourd'hui.
Foolie : (Bouh, bouh!) Et qu'est-ce qu'elle disait, sa lettre?
Doofie : Elle disait qu'elle avait été arrêté par la maréchaussée. Attends, je lis : "Ce soir en revenant du stage, j'ai repris ma voiture à la gare, j'étais avec Presty qui m'attendait à la gare. Presty ne conduit pas mais il donne toujours des conseils : Attention à la limitation de vitesse, roule plus lentement!" Alors je ne roule jamais vite. Arrivée dans le premier village, celui où, plus loin, je tourne à gauche pour aller vers ma ville, il y a un endroit très sinueux et qui monte..."
Smoothie : Sa voiture est vieille et ils sont lourds tous les deux, elle ne tirait peut-être pas assez...
Doofie : Tu exagères. Même avec eux deux dedans, et leurs cartables, elle ne dépassait pas le poids total autorisé.
Sweetie (Hi, hi) : Oh! Quand je prends Baîtue en voiture, je sens la différence, ma voiture penche à droite et en plus, elle est lourde, lourde à manier...
Softie : Oui, si tu prenais Presty en plus, ce serait encore pire...
Doofie : Bon, ça va, les jeunes... Toujours mauvaises langues. Bon, je continue : "J'allais mon petit bonhomme de chemin, je ne me souviens plus bien de la route avant, mais il est probable que deux ou trois voitures lancées à fond de train m'avait déjà doublées, comme d'habiture. D'un seul coup, j'ai vu dans le rétroviseur débouler de la courbe derrière moi comme une ambulance ou les pompiers. Avec des girophares. J'ai fait comme en Allemagne, je me suis garée sur le côté pour les laisser passer et d'un seul coup, j'ai vu que c'était la police et pas une ambulance ou les pompiers qui me doublaient.."
Sottie (bouh, bouh) : Ils étaient peut-être à la poursuite d'une voiture qui a doublé Baîtie et qu'ils l'on prise pour cette voiture?
Doofie (bouh, bouh) : ça se peut... D'autant plus qu'avec les virages ils ne pouvaient pas voir qui doublait qui. Bon, je continue, arrêtez de m'interrompre... "Je me suis garée sur le côté pour les laisser passer et d'une seul coup, j'ai vu que c'était la police et pas une ambulance ou les pompiers qui me doublaient. Ils se sont arrêtés devant moi, trois policiers sont sortis les mines courroucées. Je me demande bien ce qu'il me voulaient. J'ai gardé mon sourire et j'ai donné les papiers qu'ils attendaient, ils étaient en règle, mais comme je les range dans plein d'endroits différents, ça ne leur plaisait pas d'attendre. D'ailleurs, je me suis toujours demandé comment ils font pour me reconnaître sur une photo de plus de trente ans, où j'étais belle, jeune et mince. Je roule depuis 30 ans et j'ai fait plus de 300 000 kilomètres, je n'en suis qu'à ma deuxième voiture. La première qui n'avait pas de gargage est morte au bout de 11 ans par la rouille à 88 000 kilomètres. Ma voiture actuelle que j'ai achetée neuve à 240 000 kilomètres. Je n'ai jamais créé d'accident corporel, si tout le monde roulait comme moi, il n'y aurait jamais d'accidents corporels sur la route. "
Sweetie (ha, ha!): Normalement, si la photo est vieille, ils auraient dû lui demander sa carte d'identité.
Doofie (bouh, bouh) : Mauvaise langue, elle avait sa carte d'identité, mais ils ne l'ont pas demandée. Bon, Je continue ... : "Bref, ensuite les papiers vérifiés, d'habitude lors des contrôles, ça se termine là, et ils disent. "Bonne journée, Madame, Vous pouvez y aller!" Et eux ont dit : "Vous rouliez lentement, vous n'auriez pas consimmé d'alcool par hasard". Personellement, je ne bois jamais de boissons alcoolisées, et j'ai toujours cru que les gens qui boivent roulent vite. J'étais assez étonnée. "Oui, on vous a chronométrée à 39 à l'heure (cest un village limité à 50! Peut-être qu'ils ne s'en sont pas aperçu et qu'ils ont cru que c'était une route, mais il n'y a aucun tronçon à 90 entre la gare et chez moi, c'est un enchaînement continu de villes et de villages, le panneau de sortie étant toujours à hauteur du paneau d'entrée du village suivant. Et à l'endroit où j'étais, il y a des maisons en surplomb d'un côté et à hauteur de la rue de l'autre côté. Donc, ma vitesse "lente" pour eux, normale pour moi, était tout à fait justifiée. Avant, il y a une série de magasins supermarchés discount , avec plein de sorties de parking, c'est limité à 50. Dans la ville d'à côté sur une route analogue, avec des supermarchés, ils ont mis plein de ralentisseurs. Alors, ils faudrait savoir ce qu'ils veulent.
Ils ont essayé de me faire souffler dans la ballon, mais il le tenait sur le côté de ma jour, j'étais obligée de touner ma tête et de me tordre el cou pour souffler dedans, je n'avais même pas le temps de prendre l'air avant, et en plus, je n'aurais jamais imaginé qu'il fallait souffler aussi fort là-dedans. Mon nez coulait et était bouché, pas moyen de prendre beaucoup d'air par le nez. Ils se sont énervés, on dit qu'à la troisième tentative infructueuse ils m'enmèneraient au poste..."
Sweetie (ha, ha!): Et bien, en tout cas, pour Baîtie, sa première tentative a été fructueuse... Elle s'est bien endormie...
Foolie (bouh, bouh) : Méchante !
Doofie (bouh, bouh) : Je continue..; Bon, la troisième fois, j'ai pris ma respiration et j'ai soufflé jusqu'au bout, ils étaient déçu, 0,0! Bon, ils ont dû repartir sans s'excuser. Ils ont dit "On ne peut vous donner qu'un seul conseil, c'est de rouler plus vite..."
Sottie "Comme cela, la prochaine fois, ils auraient pu lui donner une contravention pour excès de vitesse..."
Doofie (bouh, bouh) : "Mais il n'y aura plus de prochaine fois, bouh... bouh...." Baîtie a écrit "Devant tant d'injustice et vu toutes les injustices dont je suis victime..."
Sottie (bouh, bouh) : "Mais ils ne lui ont pas donné de contravention..."
Doofie (bouh, bouh) : "Non, ils ne lui en ont pas donné, mais tout le truc qu'ils lui ont dit : qu'elle aurait bu, qu'elle roulait trop lentement (Baîtie a quand même 300 000 km de conduite), qu'elle faisait exprès de ne pas savoir souffler dans le ballon, quils allaient l'emmener au poste, Baîtie n'a pas supporté. "
Coolie :"Cest de la mysoginie!"
Klugy : "Oh! Les femmes au volant..."
Smothie : "On peut enlever le permis quand on roule trop lentement!"
Foolie : "Sur l'autoroute seulement!"
Doofie (bouh, bouh) : "Coolie n'a pas supporté, ce qu'ils ont dit. Elle pense que si tout le monde roulait comme elle, il n'y aurait jamais de blessés et de morts sur les route."
Foolie : "Lundi après-midi, on va à son enterrement, qu'est ce qu'on va lui offire comme fleurs?"
Smoothie, Sweetie et Softie (ha, ha!): "Nous, on ne sera pas là... on va aux sports d'hiver!"
Coolie (bouh, bouh) : Je serai là, je prendrai le temps su ma préparation de devoir pour le Master 2.
Doofie, Sottie, et Dummie : Nous, on sera là, pour l'agrèg, les cours n'ont lieu que du mardi au jeudi.
domino
13:06 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : théâtre, baîtie, police, abus de pouvoir, misogynie
vendredi, 05 février 2010
Trop lentement
Sottie écrit dans son journal :
Ce soir, une de mes amies et collègues, Baitie, revenait d'un stage de PAF (Plan Académique de Formation); cela s'était bien passé. Elle avait essayé d'aller à un cours de fac où elle va d'habitude avant de rentrer, mais quand elle est arrivée le cours était fini, et elle a eu juste le temps d'échanger quelques propos sympahiques en allemand avec son prof qui est autrichien. Avant de rentrer elle a pris quelques abricots secs dans le distributeur d'aliments. C'est tout ce qu'elle a mangé depuis midi, mis à part quelques tasses de café, qu'on leur a ditribué pendant le stage pour tenir leurs neurones en activité. Ella a mangé dans un petit restaurant à côté du lieu de stage où elle a bu de l'eau pétillante pas de marque, on ne fait pas de publicité, d'autant plus que Baitie n'aime pas l'eau qui pétille de trop) et de l'eau plate et a mangé végétarien.
Bon, l'écriture se met en gras et je n'arrive plus à l'enlever.
C'était à 100 kilomètres de chez elle. Elle a pris le train pour rentrer. Dans le train, Baitie, enrhumée comme on ne peut pas mieux, le nez tout rouge, le dessous du nez tout rouge, qui avait rempli au moins une vingtaine de mouchoirs en papier aujourd'hui et même plus.
Baîtie était à moitié endormie dans le train. Son état de léthargie étant dû au kilométrage de kilométrage, à la fatigue dû à l'affection saisonière, elle essayait bien de lire, mais ses yeux se fermait tout le temps, et elle est tombée sur le parcours plusieurs fois dans les bras de Morphée. Bon, elle est descendue à gare d'arrivée, son mari l'attendait sur le quai.
Ils sont allés ensemble a sa voiture. Baitie a pris le volant, après avoir fait marché le désembuage, car il y avait de la buée, les essuis-glaces et tout et tout. Arrivé au village entre la ville de la gare et sa ville (c'est une enfilade de petites villes ou villages sans campagne entre deux, et alors qu'elle racontait son stage à son mari tout en conduisant et en réglant le chauffage, elle a entendu des sirènes et vu des girophares derrière elle. Elle a pensé que c'était une ambulance ou les pompiers, et elle s'est arrêtée sur le côté de la route. Qu'elle ne fût pas sa stupeur quand elle a vu que c'était une voiture de police et trois policiers au regard méchant débouler vers elle. Il faut dire qu'avec son bonnet de sport d'hiver, ils ont dû prendre Bêtie 58 ans, qui pourrait être leur maman, pour un voyou.
Elle a ouvert sa porte. Il a dit : "Ouvrez votre carreau!" Tout le monde trouve que c'est mieux d'ouvrir la portière, plutôt que le carreau et en plus ça va plus vite, parce que Bêtie a une vieille voiture avec des manettes qu'on tourne pour ouvrir les carreaux. et eux, ils ont l'habitude des trucs électriques qui s'ouvrent en une seconde, alors ils s'impatientaient. Bêtie met toujorus son sac sur le siège arrière, histoire de superstition; elle n'a eu que deux accidents de tôtle froissée depuis trente ans qu'elle conduit et elle fait au minium 8 kilpmètres par jour, quand ce n'est pas soixante ou cent vingt pour aller faire des remplacements là où le recteur lui demande d'aller (Elle est TZR d'allemand). Donc, c'est quelqu'un qui a l'habitude de conduire.
Tiens ça s'est remis en gras, mais ce n'est pas voulu, il y a quelque chose qui ne va pas dans ce traitement de textes.
Bêtie a donné ses papiers, la carte verte, la carte grise avec l'autocollant du contrôle technique que sa voiture bien entretenue a réussi vaillament au mois de Décembre dernier.
Le plus hardi des policiers a dit : "Vous roulez trop lentement!" Si, si, écoutez bien, il n'avait rien à lui reprocher sinon qu'elle roulait trop lentement. Alors qu'elle avait ralenti et qu'elle s'était arrêté parce que dans le noir elle les a pris pour une ambulance ou les pompiers et (Baitie qui est prof d'allemand et va souvent en Allemagne, roule comme une allemande, d'ailleurs, des collègues allemands lui ont fait la remarque qu'elle roule comme une allemande et qu'ils se sentent plus en sécurité avec elle, qu'avec leurs autres collègues français.) bon, elle les a pris pour une ambulance ou les pompiers, et elle voulait leur faciliter le passage comme on fait en Allemagne.
En Allemagne quand on entend des sirènes derrrière et qu'on en voit devant, tout le monde s'arrête sur la droite si c'est une route à double-sens, et sur la bande d'arrêt d'urgence et le long de la glissière de sécurité si c'est sur l'autorpute, pour laisser l'ambulance, les pompiers ou la police passer au milieu. Bêtie a fait comme en Allemagne, elle a ralenti quand elle a entendu la sirène et s'est arrêté pour laisser la voiture à sirènes la doubler.
Bon, le policier a continué à affirmé : "Vous rouliez trop lentement, d'ailleurs vous rouliez à trente neuf à l'heure, alors que c'est limité à cinquante. Quand c'est limité à cinquante, on roule à cinquante et pas à trente neuf".
Bon, Bêtie a pensé que 39 c'e n'était qu'un km/heure au dessous de quarante, et entre 40 et 50, il n'y a pas une grosse différence. Ce n'est pas comme si elle roulait à 10 ou 20 à l'heure. De plus, en ville, il n'y a pas de vitesse minimum obligatoire, et sur les routes à 90 km/h non plus. En plus, il pleuvait et il faut adapter sa conduite à l'état de la route. et aux intempéries. Donc, Bêtie était pleinement autoriséé à rouler à 39 à l'heure. Alors que la vitesse est limitée à 50. Il n'y a que sur l'autoroute que la vitesse est limitée inférieurement à 60 à l'heure.
Baitie ne comprenait pas "D'habitude, ils mettent des procès pour excès de vitesse, et maintenant ils vont obliger tout le monde à rouler à la vitesse maximum autorisée. Déjà quand^Bêtie roule "vite" en ville, ce n'est que 49 à l'heure, parce que si vous roulez à 50, vous n'êtes jamais sûr que votre compteur marque moins que la vitesse réelle de la voiture et en fait quand c''est écrit 50 sur le compteur, c'est peut-être déjà 53 ou 54. C'est pourquoi, pour ne pas avoir de procès, Bêtie roule pluôt à 44 ou 45 qu'à 50, pour être sûre de ne pas dépasser la vitesse maximum autorisée. D'ailleurs dès que Baitie roule à 46, son mari, s'il est à côté hurle "Attention, tu vas dépasser le cinquante!" Son mari dit le contraire de la police, il trouve que quand Bêtie roule à 45 en ville, elle roule trop vite.
D'ailleurs quand le policier a dit à Bêtie qu'elle roulait trop lentement, son mari, qui est à moitié d'oringine allemande, a ricané, avec l'air de dire, mais ils ne sont pas bien, ils cherchent les chauffards et ils arrêtent les gens qui roulent normalement. Baitie a cru même entendre qu'il disait aux policiers "Vous vous ridiculisez!"
Alors ils ont prétendu que Bâitie aurait bû. Bon, déjà, elle descendait du train, ça faisait bien une heure et demi qu'elle avait quitté la gare de départ, où ne vent que des boissons non alcoolisées. Et elle était passée directement de la gare d'arrivée à sa voiture. En plus Bêtie qui pourrait faire partie de la ligue anti-alccolique, car elle ne boit jamais de boissons alcoolisées et n'en a plus jamais bû depuis qu'elle a été capable de dire non à ses parents, c'est à dire depuis l'âge de 18 ans... Bêtie qui ne fume pas et n'a jamais fumé. Qui ne se soigne que par homéopathie et pas les plantes, pous ne pas être abatardie par des médicaments, on irait prétendre qu'elle aurait bû.
Il lui ont fait soufflé dans le ballon. Comme Bâiitie jusqu'ici n'a soufflé qu'une fois dans la ballon depuis 30 ans de conduite, et c'était il y a au moins 20 ans, ne sait pas comment fonctionne un ballon, et qu'il faut écouter une musique et souffler jusqu'à ce que le siiflement s'arrête, a soufflé une fois, c'était trop court. En plus le policier tenait le ballon de côté, sur la gauche de la joue de Bêtie. Car il était dans la fenêitre, et Bêtie qui était coincée entre son volant et le siège, ne peut pas se tourner complètement sur le côté en gardant sa ceinture. Ce qu'ils attendent c'est qu'on enlève la ceinture pour souffler dans le ballon pour dire ensuite qu'on aurait pas la ceinture. Parce qu'ils cherchent à faire de l'argent pour l'état (comme si Bêite ne payait pas assez d'impôts et de contribution solidarité et les impôts sur la contributions solidarité qui est de l'argent qu'elle ne touche pas).
Le policier a commencé à crire sur Baitîe parce qu'elle ne soufflait pas assez fort, et a dit qu'il la ferait venir au poste, si elle n'arrivait pas à souffler assez fort. Baitie a dit qu'elle ne savait pas qu'elle était enrhumée. D'ailleurs ça se voyait qu'elle était enrhumée, à son nez rouge, et son desssus de nez rouge, qu'ils ont pris pour un nez d'alcoolique alors que c'est un nez d'enrhumée. Betty n'arrivait pas à respirer par le nez, parce qu'elle est enrhumée. Elle a dit qu'elle s'excusait parce qu'elle était enrhumée. Et il a répondu "Moi aussi!" Un peu comme Bêtie répondrait aux élèves.
Il l'a fait soufflée une deuxième fois, Bâîtie avait toujours sa colonne d'air coupée en deux par la positions de côté, et son nez qui refusait de prendre plus d'air. Elle a soufflé, pas encore jusqu'au bout.
Le policier l'a menacée "Si la troisième fois vous n'y arrivez pas, je vous amène au poste!" Alors Bêtie s'est tournée le plus possible vers la gauche pour être en face de l'embouchure de cette espèce de trompette, elle avait en plus envie de pleurer, ce qui n'arrangeait pas les choses, elle a pris une grande respiration bruyante comme lorsqu'elle plongeait dans la piscine quand elle était encore jeune, et elle a, ouf!; réussi à aller jusqu'au bout.
Il a dit d'un air déçu : "0,0!" Zéro virgule zéro!" Evidemment, il ne fera pas son chiffre d'affaires avec elle. Il n'a pas réussi à remplire son calepin de contraventions pour le mois à cause d'elle.
Alors, il a dit "Je ne peux vous donner qu'un conseil, c'est de rouler plus vite!" Bon, il n'y avait pas de circulation, personne ni devant, ni derrière, sauf eux, et elle a ralenti pour les laisser doubler, les prenant pour une ambulance ou les pompiers -il faisait noir! - alors Baitîe se pose vraiment des questions, "Qu'est-ce qu'ils veulent exactement, nous inciter à la violence routière, en nous faisant rouler vite?"
De plus en Allemagne, ce genre d'agglomération où il y a toujours des maisons, serait limité à trente. Un jour où j'étais assise à côté d'une collègue allemande comme passagère, à un endroit où on longeait un parc, sur une route très large, la vitesse était limitée à 30. La collègue première d'une file roulait à 32. On a vu une éclair.Le lendemain elle a reçu une contravention et 2 points en moins sur son permis.
Différence de mentalités entre pays. D'un côté à un endroit sans maison, limitation à 30 et contravention à 32 pour excès de vitesse pour la collègue (800 Euros pour avoir roulé à 32, vitesse excessive). De l'autre en France, sermon pour rouler à 39 dans une endroit avec des maisons limité à 50. C'est peut-être parce que à son stage, Bêtie avait parlé allemand toute la journée, qu'elle roulait si "lentement".
En principe, si c'était en Allemagne, un endroit comme celui-là (route sinueuse, en pente, relativment étroite qui traverse une agglomération, la vitesse, en Allemagne serait limité à 30 ou même à 20.
Donc, ce policier n'aurait jamais dû reprocher à Bêtie de l'emmener trop lentement.
Bon, les policiers sont remontés dans leur voiture, et sont repartis sans s'excuser d'avoir traité Baîtie d'alcoolique alors qu'elle ne boit jamais d'alcool (elle ne boit même pas de cidre à 1°), d'avoir reproché à quelqu'un de prudent, de gêner une circulation qui n'existait pas, vu qu'à 20 heures il n'y a plus grand monde sur cette route, ou plutôt dans cette rue. C'est à dire qu'il lui ont reproché d'être prudente.
Alors Bêtie s'est dit : "Soit, moi qui ne boit jamais d'alcool, je vais commencer à en boire à partire de demain, mais ça me dégoûte tellement que je n'y arriverait pas. L'autre jour, dans le train, il y avait un homme qui puait l'alccol et le tabac qui était assis pas très loin de moi. Quelle horreur!"
Bêtie avait envie de pleurer, quand ils sont partis, elle a fondu en larmes, en sanglots, elle faisait presque une crise de nerfs.
"Que vais-je faire maintenant, je vais avoir encore plus peur de rouler en voiture. Déjà le verglas, la neige, le brouillard, la pluie, ce n'est pas drôle, mais si en plus, il faut que je roule vite. Tiens, ce serait une idée, traverser la ville à la vitesse maximum de ma voiture et me planter dans un mur ou un arbre, rien que pour suivre leurs conseils. "
Elle a fait des calculs, je roulais à 39 alors que c'est limité à 50. 50 - 11 = 39.
Si c'était limité à 90 comme sur la route, ça ferait 79 (90-11 = 79) , est-ce que c'est lent. Sur l'autoroute on a le droit de ne rouler qu'à 60 si on veut.
Si c'était limité à 130 comme sur l'autoroute, ça ferait 130 - 11 = 119, est-ce que 119 km/h qui est 11 km/h en dessous de la vitesse autorisée, c'est lent? A cette vitesse là on peut déjà se tuer. Et pour eux, les policiers, d'après mes calculs, c'est trop lent.
Alors Bêtie a décidé d'une chose. Désormais, sa voiture dormira dans le garage elle la reprendra peut-être quand la dictature aura cessé. La dictature qui veut emmené au poste les gens honnêtes et prudents, pendant que les chauffards continuent à courir et à rouler et à tuer des gens prudents comme Baîtie. Si tout le monde roulait comme elle, il y aurait 95% de morts en moins sur les routes. Peut-être même plus du tout puisqu'en 30 ans de conduite, Baîtie n'a jamais ni tué, ni blessé persionne.
Peut-être aussi qu'on veut mettre quelque chose sur le casier judiciaire de Baîtie pour qu'elle ne puisse plus enseigner,et lui faire perdre sa retraite de fonctionnaire. Avec le harcèlement dont elle est victime, ça se pourrait bien que la police soit complice de ses harceleurs, ceux qui cherchent à la faire destituer.
Je viens de lire un truc sur les gardes à vue en France, elles ont doublé depuis que la droite est au pouvoir. 800 000 en un an. Faites les calculs, il y a dans les 68 millions de Français. Cela fait plus d'un français sur 100 qui va en garde à vue... C'est affolant. Combien de vies détruites.
L'autre jour, une amie m'a raconté ce qu'elle a vu en sortant du métro à Grand Métropole. Un jeune homme descendait normalement l'escalatoir, calme et sans rien demandé à personne. C'était un françasi aux cheveux châtains, coupé courts. Rien d'anormal, donc! Un jeune d'environ 18 ou 20 ans. Il était peut-être lycéens, en Terminale S, future mention TB, ou étudiant en train de passer ses UV de 1er semestre, ce qui lui faisait une mine fatiguée. En bas de l'escalator, cinq policiers se sont précipités sur lui, ils lui ont demandé ses papiers et on commencé tout de suite à faire une fouille au corps tout en criant sur lui parce qu'il ne donnait pas assez vite ses papiers. Au bout d'une minute ou deux de ce traitement où lui foullait fébrilement dans son sac, s'affolant, à la recherche de sa carte d'identité (mais il avait peut-être d'étudiant ou de lycéen!), il a commencé à crier et à se rebeller. Il a sûrement été emmené au poste. Il allait avoir son bac, ou sa licence ou son master. Parce que son visage de jeune n'a pas plû à la police, sa vie est détruite.
Parce que le bonnet à pompon de Bêtie n'a pas plu à la police, sa vie est détruite. (Elle a le droit de porter un bonnet dans sa voiture, d'autant plus qu'il faisait froid et qu'elle avait un rhume, et que son bonnet ne gêne pas le visage.).
Il paraît que les drogués ont les yeux rouges. Bêtie a les yeux rouges parce qu'elle est enrhumée et que le rhume lui passe pas seulement par le nez, mais aussi par les yeux et parce que elle pleure souvent.... mais elle ne fume jamais, ne boît jamais d'alcool, elle n'est sujette à aucune toxicomanie.
Bon, Bêite a décidé une chose, demain, elle ira à pied, la gare est à 4 km, elle se lèvera une heure plus tôt. Sur le chemin de la gare, même à pied par le plus court chemin, elle doit passer pas loin du comissariat (où un collègue d'une collège du coin a été en garde à vue pour une histoire de gifle, qu'il avait donnée à un élève, masi lui avait vraiment fait quelque chose de mal, il avait vraiment donné une gifle!) La petite histoire ne dit pas si on ne lui a pas donné de gifle à lui, dans le commissariat.
En tout cas, Bêtie qui ne buvait jamais d'alccol, qui ne fumait jamais, donnant l'exemple à toute la population, qui chantait si bien, qui jouait si bien de la guitare, si demain, sur le chermin à pied, on l'arrête pour délit de sale gueule parce qu'elle a un beau bonnet à pompom, pour se protéger du froid et protéger ses oreilles et ne pas attraper d'otite en plus du rhume, Baîtie, alos n'aura plus qu'une chose à faire, soit s'exiler, s'expatrier et attendre des jours méilleurs pour revenir dans ce beau pays de France, soi-disant pays des libertés. Ou alors, si elle ne trouve pas de pays où l'on est suffisament libre pour avoir le droit de porter un bonnet à pompom, Betty ira voir si on est mieux dans les pays de l'autre côté.
S'il y a une révolution avant la fin du quinquennat, puisqu'il n'y a heureusement plus de septennat, il ne faudra pas s'étonener. Dire que 1% de la population est criminelle, il faut quand même le faire.
Pourquoi on s'attaque à elle, et pas à son ancien collègue qui fait des demi-tours n'importe où, se trompe toujours de route, chage de file en dernière seconde sur les autoroutes, ne respecte pas les distances, se collant à 100 à l'heure sur la voiture devant, ne fait que des bêtises au volant, au point que Baitie avait peur d'être sa passagère.
Baitie commence à hurler dans sa maison : "Je ne bois jamais d'alccol, je ne bois jamais d'alcool". Baitie qui interdit même à son mari d'en boire. Ce midi au restaurant , un collègue a commandé de la bière, le serveur a fait exprès de faire passer la chope devant le nez de Baitie pour faire croire que c'était elle qui buvait.
Baîtie en a assez de la vie. Baitie va devenir folle, si on continue à la prendre pour ce qu'elle n'est pas. A la prendre pour quelqu'un d'autre. Avant Sarkozy, avant son inspection de 2002, Bêtie c'était la joie de vivre. Bêtie ne sourit presque plus, ou alors des petites sourires timides. Bêite ne travaille plus en groupe, en équipe, elle pense que tout le monde est contre elle, que tout le monde lui en veut, que tout le monde la prend ppur ce qu'elle n'est pas.
Baitie est honnête, anti-alcoolique, détestant les fumeurs (c'est pour cela qu'on n'aime pas son blog), Baîtie est elle-même et on vient l'accuser de ce qu'elle n'a jamais fait, on vient l'accuser de boire des boissons alcoolisées, alors qu'elle ne boit que de l'eau, un peu de lait, un peu d'Ice Tea (non alcoolisé), un peu, beaucoup de café, mais ce n'est pas interdit. Il faut bien qu'elle reste éveillée la journée!
Baîtie en a assez parfois, elle a envie de tout casser, ou bien de tout quitter, de partir en ermite dans un bois, mais là on viendrait encore la chercher.
Baitie, née de relativament bonne famille, une famille appréciée où elle habitait avant, dans sa jeunesse, malgré les 4 jumelages faits et organisés par elle, lorsqu'elle avait 25 ans pour les jeunes du collège d'ici, est redevenue une inconnue, tout juste bonne à garder à vue, parce qu'à 58 ans, ses poumons n'ont plus assez d'air pour souffler dans un ballon.
Baîtie en a assez, elle veut tout plaquer, plaquer même sa vie, elle ne veut plus vivre dans un monde injuste.
Imaginez qu'on l'amène en prison (cette fois de l'autre côté de la barrière) parce qu'il y a quelques années elle a surveillé un candidat de baccalauréat en prison pendant deux demi-journées), comme elle a un nom masculin-féminin, on avait dû la prendre pour un homme pour lui donner une surveillance de bac dans une prison d'hommes. imaginez qu'on l'amène dans une prison de femmes au mileu des droguées, des prostituées, des alcooliques, des voleuses, des femmes qui ont assassiné leurs enfants et leurs maris, pauvre Baitie! Elle y retrouverait peut-être des anciennes élèves qu'elle n'a pas réussi à bien éduquer. Bon Bêtie y serait vite le bouc émissaire. A moins qu'avec son tempérememnt politique, elle y déclenche l'émeute de libération et qu'elle en devienne la passinaria! En tout cas, elle serait répugnée par toutes ses femmes de mauvaise vie, elle qui a une conduite si droite.
Mais enfin, en attendant, Bêtie a nettement l'impression qu'on cherche à l'ui faire perdre son emploi de profeseur et sa retraite de fonctionnaire, pour faire faire des économies à l'état!
domino
00:42 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : police abus de pouvoir, dictature
samedi, 30 janvier 2010
Blocage...
Je vois que mon blog ne fonctionne plus bienet pourtant ce que j'ai écrit et qui est en partie auto-biographique, est totalement vrai et pas inventé. Seules les noms sont des pseudonymes et aucun nom réel ni de professeur, ni d'étudiant, ni d'université ayant été cité, je suis parfaitement dans la légalité.
Si on détruit ce blog, je crois que je me tuerais car j'y ai beaucoup de poèmes et plein de choses bien écrites que je perdrai alors. Car on m'a volé les impressions que j'en ai fait (même les poèmes, je les écrit toujours directement, sans brouillon).
Pourtant ma note a été correctement enregistrée.
domino
12:16 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : univeristé, harcèment
lundi, 25 janvier 2010
Doofie est triste...
Aujourd'hui Doofie était heureuse, elle commence à avancer dans son travail... elle a bien travaillé ses langues rares... Doofie était heureuse.
Et puis voilà, d'un seul coup, elle ne trouve plus son classeur le plus important avec plein de papiers pour ses études, des devoirs entamés qu'elle doit finir, des papiers administratifs importants et tout et tout... Doofie quand elle s'en apreçue que son classeur n'était plus dans son cartable a fondu en larmes.
Elle se dit qu'il est peut-être resté à la maison, que Schnelly l'a peut-être emporté par erreur ou qu'il l'a mis à un autre endroit au moment de partir parce qu'il pensait qu'elle en avait pas besoin aujourd'hui...
Doofie a pris vite le train au lieu de continuer son travail en bibliothèque quand elle s'en est rendu compte. Schnelly était déjà arrivé à gare d'arrivée, il avait doublé le train, s'était fait "conduire", en taxi. Doofie sait que Schnelly dépense trois fois plus d'argent qu'elle et qu'il dépense la moitié de son salaire à elle. Il prend souvent le taxi pour ne pas être en retard, et c'est Doofie qui travaille pour payer son taxi. Qui fait des remplacements pour payer son taxi. Alors là, elle sait comment il a fait 70 km pour doubler son train, encore 40 ou 50 Euros de partis.
En fait, le classeur était dans la maison, mais dans un endroit inhabituel, par terre, dans la cuisine, sous deux sachets en plastique vides. Ce n'est pas Doofie qui l'a mis là. Schnelly a dit, que le matin pressé, il l'avait enlevé de devant la porte. Mais le classeur, là où il était sensé être, d'après Schnelly, ne génait pas l'ouverture de la porte. Alors on se demande vraiment pourquoi Schnelly l'a déplacé en dernière minute. Avant de rentrer dans la maison Doofie a retourné tout le cartable de Schnelly pour voir si son classeur n'était pas dedans. Et il n'y était pas...
Alors Doofie a ouvert la porte elle-même a regardé dans l'entrée où elle a fait son cartable qui n'a jamais été dans la cuisine, il n'y était pas... Et c'est Schnelly une fois rentré qui la retrouvé. Doofie n'a pas cherché à savoir s'il n'était pas caché dans le jardinet devant si quelqu'un l'aurait amené. Elle a bien regardé dans le classeur et n'a pas constaté de mpdifications dans ses papiers, même son 14/20 en version y était encore.
Bon, ceci dit, Doofie s'était dit sur la route, que c'est parce qu'elle a dit qu'elle n'avait peut-être pas son master qu'on a cherché à lui enlever son classeur de Master.Car la "prise au mot" est une forme de harcèlement moral.
Doofie est triste aussi pour ceci :
Elle se souvient que dans les années 70, le mouvement folk en Allemagne était plutôt une affaire de gauche, soutenue par les Linksdruck ou le Verlag Pläne. Malheureusement les chansons que chantaient les groupes folks allemands des années 70 ont été reprises par le mouvement goth. Ce qui donne maintenant une mauvaise impression de chanson et fait passer politiquement Doofie qui chante les chansons folk des années 70 et jusqu'à il y a un an, ne savait même pas ce qu'était le mouvement goth (rien à voir avec ses ancêtres royaux qui d'ailleurs n'étaient pas goths, mais francs, à l'origine de la France, ce n'est pas la même peuplade!)
Alors Doofie se demande vraiment bien pourquoi, parce qu'elle chante les chansons yiddisch des groupes folks allemands (des chants juifs, donc), parce qu'elle chante des chants comme "Zogen einst fünf wilde Schwäne", un chant populaire de Lithuanie contre la guerre (against war, pour les anglais, car le traducteur automatique ne sait pas traduire le mot contre) , parce qu'elle chante une chanson folklorique plutôt d'amour anodine, mais à la joli mélodie, comme "Es dunkelt schon in der Heide", qui a le malheur de venir de Prusse Orientale (un pays qui a réellement existé bien avant 1933), ou des chansons de l'époque sombre de la guerre de 30 ans, qui comparent la guerre à un lour nuage noir, comme "Es geht eine dunkle Wolk' herein", ou "Ach, bittrer Winter", plein de chansons dont les français ne comprennent pas les paroles, et qu'ils assimilent par erreur à la péride 33-45, Doofie se demande vraiment pourquoi, dans la mesure où elle chante des chants folkloriques allemands qui sont contre la guerre et pour la paix, on l'assimile avec cette engeance là, goth ou semblable... rien à voir avec les idées de Doofie qui est une douce-dingue qui croit encore à la Paix dans le Monde, à la belle colombe blanche, etc... rien à voir avec les idées dont on affuble Doofie, dont le papa français a été prisonnier pendant la seconde guerre mondiale, pendant 5 ans, dans des camps très durs, dont elle vous a déjà entretenu ici, Doofie dont le grand-oncle alsacien enrôlé de force dans l'armée de l'empereur d'Alleagne Guillaume II pendant la première guerre mondiale, n'a pas pu continuer à vivre en France où il aurait subi des vexations et s'est battu contraint et forcé contre son grand-père français, tombé dans les tranchées de Verdun. Doofie dont toute la famille a souffert de la guerre, et des guerres du XXème siècle, Doofie, on va l'affubler d'idées qu'elle n'a pas, peut-être qu'on va la traîner devant les tribunaux parce qu'elle a aimé le folk allemand des années 70, celui qui était soutenu par la gauche... très à gauche, presque pro-RDA (en RDA on luttait aussi contre ces tendances noires de la seconde guerre mondiale, si, si, on y fêtait le 8 Mai en grande pompe, la victoire contre le facisme, RDA-Revue à l'époque en faisait des pages complètes, du 8 Mai, la victoire contre le facisme. Pour les néophytes la RDA, c'était à l'Est.
En RDA, on chantait contre le facisme, l'hymne de RDA qui parlait de liberté et de fraternité, d'une Allemagne nouvelle qui avait été reconstruite sur ses cendres et ses ruines, aurait fait pour l'Allemagne un bien plus belle hymne que le Deutschlandlied dont on a dû interdire 2 strophes avant de le reprendre comme hymne. Cependant leurs livres de chants étaient plein de ces petites chansons aux mélodies adorables, comme "Es dunkelt schon in der Heide" ou 'Hab mein Wage vollgelade" ou "Muß i denn zum Städtele naus", tandis que les Linksdruck rassemblaient les chansons de femmes au travers des âges, que les Zupfgeigenhänsel rassemblaient toutes les chansons de l'histoire démocratique de l'Allemagne, celles de l'époque de la révolution avortée de 1848 et du parlement de la Paulskirche de Frankfort.
Ce n'est pas parce qu'on chante du folklore allemand qu'on est ce que vous pensez.... Les français font une grossière erreur quand ils assimilent tout ce qui est chanson folklorique allemande à des chants de marche de soldats. Même les chants dits de "soldats" en Allemagne,sont souvent de la même veine que celle du pauvre conscrit français qui se plaint de devoir quitter sa contrée et sa belle pour aller faire une guerre dont il ne veut pas, et elles datent souvent de bien avant l'époque à laquelle vous pensez. Doofie ne nomme jamais cette époque parce qu'elle est superstitieuse. Même les chants que les troufions qui défilaient entre les champs français à une certaine époque, contraints et forcés d'être là s'ils tenaient à la vie (ils ne pouvaient donc déserter), n'étaient souvent que des chants à boire, comme ein Heller und ein Batzen ou des chants où ils regrettaient de ne pouvoir voit leur belle au pays (Heimat) et pas ce que vous pensez. Ce sont des témoins de l'époque qui l'ont dit à Doofie. C'était des chants qui les aidaient à marcher comme on chantait nous dans les camps de jeunes "Ma poule n'a plus que 28 poulets" ou "Les pommes faisaient rouli roula" ou "Au pas camarade (j'ai cassé le do de ma clarinette)", etc... ou des chansons comme celles qu'on chante au carnaval de Dunkerque.
Les allemands seraient obligés de perdre leur folklore à cause de cette période-là?
Et puis Doofie va vous choquer, en vacances dans la "dictature" de la RDA, Doofie qui pouvait se promener à minuit en pleine ville sans être attaquée, se sentait beaucoup plus libre que dans la France actuelle, où l'on a plus le droit de chanter "Muß i denn zum Städtele 'naus" sans être taxé de ce que l'on est pas. Doofie se souvient qu'on passait en groupe de jeunes de tous les pays, entre les Schrebergärten (jardins ouvriers) où chaque famille avait son petit chalet au milieu d'un jardin, petit chalet que l'on garnissait de lampions les samedi et dimanche d'été et aux tables desquels ont chantait tard dans la nuit sous la voûte étoilée, un spectable que Doofie n'oubliera jamais, les Schrebergärten au pied des grands ensembles, avec tous les lampions et les gens qui chantaient et elle qui chantait avec les autres jeunes en déambulant dans les allées.
Et elle ne comprenait pas pourquoi on lui avait dit que quand elle irait là-bas, elle irait dans des villes toutes grises. On ne lui avait pas parlé non plus de l'odeur de l'hiver, cette pollution atmosphérique des villes qui sentaient le Kali (la lignite, une espèce de charbon) brûlée, ce qui faisait dire quand on descendait du train en arrivant : "Es riecht nach DDR" "ça sent la RDA!" et tout cet humour que les gens de l'Est avait développé à propos d'eux-même et de leur gouvernement. Leurs chansonniers qui mettaient les grands du parti en boîte et la grogne à propos de leurs belles villas sur la Baltique. Celui qui ne comprend pas l'allemand, qui ne l'a pas étudié de façon à le comprendre aussi bien que le français, ne pouvait pas saisir les mille et une nuances de ce pays qui se moquait de lui-meme tout en ayant développé un art de vivre et une solidarité (pour trouver les pièces introuvables) qui lui était propre.
domino
PS Les chants folkloriques allemands appelés par les folkeux français quel que soit leur origine, "traditionelles" pour faire la différence entre "ce qui est transmis de bouche à oreille" et le folklorique, folklore de représentation pour touristes, sont publiés dans des recueuils tels que die Fanfare, die Munorgel ou Zupfgeigenhänsel avec les chiffrages d'accords de guitare, depuis pour certains de ces recueils, qui contiennent également des chants de Noël et des chants religieux, le début du XXème siècle, voire même l'époque de la République de Weimar, donc bien antérieurement à 1933. Aucune chanson n'a été créée spécialement pour les armées allemandes de la seconde guerre mondiale. Peut-être seulement Lili Marleen qui n'est pas une chanson traditionelle, et est bien vite passée dans les rangs américains, et est devenue l'hymne de tous les soldats de l'époque, quel que soit leur camp. En fait la chanson traditionelle allemande a toujours été très vivante quel que soit l'époque et il serait vain de vouloir affubler certaines de ces chansons d'une idéologie quelquonque. Beaucoup sont des hymnes au pays comme Tirol, Tirol Tirol (chanson autrichienne d'ailleurs) ou "Auf der Lüneburger Heide". Même des chansons comme "Hohe Tannen weisen die Sterne" (à la mélodie très mélancolique, chanson de feu de camp) où l'on dit "Von der Isar wildspringender Flut", sont dans les recueils de chants chrétiens et dans les chants scouts allemand. De là à dire que les armées allemandes défilant sur les routes françaises entre 40 à 46 faisaient du scoutisme, il n'y a qu'un pas! La FDJ ou Freie Deutsche Jugend de RDA aurait-elle fait aussi une espèce de scoutisme? Pour toutes ces chansons qui servaient à encourager le pas de marche pour donner du moral et de l'allant aux troupes qu'elles soient scouts, ou autre chose de plus vilain, savoir pourquoi elles sont passées comme cela d'une époque à une autre, d'un camp à un autre, d'une idéologie à une aure, est un mystère qu'il faudrait élucides par une étude sociologique, mais rien ne permet de dire que les Madelons allemandes soit l'apanage d'une idéologie spécifique. Ce sont les chansons du peuple, c'est tout.
23:14 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, disparitions, réapparitions
mardi, 13 octobre 2009
Disparitions (6)...
Du journal de Doofie (toute ressemblance, etc....) :
Chère Fanny,
J'en ai encore une fois plus que ras-le-bol, les ennuis et les erreurs adminsitratives et les retards adminsitratifs pleuvent de toute part, m'empêchant de mener à bien mes études et mes préparations de cours.
Déjà dans mon dossier électronique de professeur, on - "on" car pour moi la personne qui agit sur ce dossier est totalement invisible, ne répond jamais à mes e-mails....), on s'est trompé de dates pour ma suppléance :
Ils ont écrit :
10 septembre 2009 au 10 octobre 2009,
au lieu de ...
10 octobre 2009 au 10 novembre 2009.
Si bien que si ce qu'ils ont écrit est vrai (je n'étais pas prévenue pour le 10 septembre, ni pour le 5 octobre, d'ailleurs...) je vais devoir rembourser un mois de services non faits.
Je pense que cette erreur de dates a été faite exprès pour m'embêter et me faire perdre du temps, un temps précieux pour mes préparations et mon sommeil.
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Pour l'université re-belotte :
Après avoir eu l'admission en filière sélective, il faut faire son inscription administrative. Comme j'étais déjà inscrite dans d'autres préparations pour l'année universitaire, inscriptions que je garde, il faut que je fasse changer la carte d'étudiante et pour cela que je rende les certificats de scolarité que j'ai eus avec la carte d'étudiate au début de l'année. Ils ont diparu.
La dernière limite pour porter le dossier complet est Vendredi qui vient, aujourd'hui, seul jour où je pouvais régler le problème, le bureau d'inscription était fermé, je me demande même si cela n'a pas été fait exprès pour que je ne me puisse pas m'inscrire dans cette filière où j'ai été admise, mon emploi du temps et mon jour de liberté (jour de bureau fermé pour l'université) ayant certainement été communiqué à celle-ci.
Mes certificats de scolarité disparus : est-ce le fantôme qui les a pris. Je ne pense pas, cela doit être une personne commandité par une administration quelquonque, chargée de me harceler, moi, pauvre Doofie.
Cette personne est-elle mon mari ou une personne qui aurait des doubles de mes clefs, je n'en sais rien....
Est-ce que j'ai le loup dans la bergerie???????
Toujours est-il que ces disparitions commencent à me coûter beaucoup de temps et d'énergie.
Je pense que c'est fait exprès pour me nuire et me fatiguer.
Je pense que je retrouverai les certificats en question, une fois la date limite dépassée!!!!!
Car les harceleurs font cela, ils vous remettent en place les papiers disparus quand vous n'en avez plus besoin!
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Tu vois, Fanny, l'étendue de la flaque d'eau qui sort de mes yeux encore maintenant, veille du jours où je vais devoir prendre mes classes en main, à cause de toutes ces tracasseries adminsitratives, avec en plus une principale qui ne veut pas que je participe aux stages PAF, qui sont utiles en cas d'inspection, et qu'en plus, j'aime suivre, etc...
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Et puis, pour demain, j'imagine le pire, un chahut comme on n'en a jamais vu de mémoire de Doofie : les élèves debout sur les tables, toutes les prises de courant arrachées, des bustes d'anatomie avec des organes en plastique qui traînent partout par terre*, des élèves qui hurlent plus fort que moi, plein de papiers par terre, alors que l'an dernier mon CDI est resté propre comme un sou neuf pendant un mois, sans que les agentes de service ne doivent le balayer, des collègues qui entrent dans la classe en criant sur moi et sur les élèves, moi qui leur répond en hurlant que j'ai bossé quinze ans dans des lycées sans connaître une seule fois l'interventionisme des collègues de collège, les pétards que j'ai vu éclater devant le collège l'autre jour, faisant sursauter tout le monde, éclater dans ma classe, moi qui colle tout le monde collègues compris trois samedi matin de suite et tout rentre dans l'ordre, ouf!!!
Enfin, en imaginant le pire, je peux avoir mieux...
Doofie
01:03 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, documents, disparitions, harcèlement