lundi, 06 avril 2015
Racisme anti-vieux.. (2)
Roman-théâtre
Du journal de Doofie
Je crois que c'est le deuxième billet "racisme anti-vieux" de ce blog, le premier ayant été écrit par l'auteure de notre roman, domino, à l'époque où elle pouvait encore s'exprimer directement,sans être aussitôt dénigrée.
Je viens de lire avec mon auteure, et je dois dire qu'on lit rarement les billets des autres, sauf ceux de quelques amis d'il y a huit ou neuf ans.... quand on a commencé nos blogs (ah! vous connaissez celui de domino, mais vous n'avez jamais connu le mien! Celui d'il y a huit ou neuf ans... J'étais tout comme Dummie et mes autres ames, encore sous-jacente, invisible... mais bref, domino, tout comme nous Dummie, Sottie qui sait encore bien skier, Gwupie, Foolie, et j'en oublie.. .; et moi... nous avons toute le même âge et lors de son premie billet sur le racisme anti-vieux, domino avait dans les cinquante ans déjà.
Bon, je ne l'ai plus sous les yeux, et j'ai oublié de quel blog il est, mais le billet raciste à propos des vieux souligne les éléments suivants :
- la pseudo-révolution de 68 (j'ai parlé il y a peu de la révolution de 68, révolution culturelle, sinon,Mesdemoselles vous en seriez toujous à devoir porter des jupes, vos filles devraient mettre au lycée un tablier rose pendant une semaine et un tablier bleue la semaine suivante et ne pas se tromper quitte à être le mouton bleu au milieu des roses...et à se prendre trois heures de retenue, etc.. Bon 68 a quand même balayé tout cela, les uniformes et tout, bien que c'était en germe depuis un moment.. (se tromper de tablier exprès était aussi un signe de contestation).
- de s'etre embourgeoisé dans les trente glorieuses en ne travailant pas..
- de dire aux jeunes "il était temps", quand ils vous laissent tardivement la place dans le métro, le train ou le bus..
Je dois dire que nous à notre âge, victimes de racisme anti-vieilles, mais surtout à l'époque de l'empereur Entreboues (cela s'améliore un peu..) ...
- en tant qu'embourgeoisement, on vit dans presque la précarité. Avec certes un salaire et la retraite d en notre époux, mais
- une machine à laver qui a des problèmes d'évacuation d'eau..
- des tuyauteries qui ne fonctionnent plus bien...
- pas de four ni de four à micro-ondes, pas de sèche-linge, pas de machine à laver la vaisselle, pas de congélateur (on n'a pas été habituées jeuses à ces trois derniers élements, cela n'existait pas).
- pas de télévision, pas de lecteur MP 3, pas d'i-pod.
- On a été en retard de dix ans à l'époque des caméscopes à bandes et des lecteurs de CD et DVD. On s'est mise aux CD ausio tardivement et aux DVD seulement quant il y a eu un lecteur sur l'ordinateur.
- Nous n'avons jamais eu de jeux électroniques., de jeux vidéo, etc..
- Pas de vrai chauffage en ce moment, mais quand j'étais petite, dans les années 50, on n'avait pas de chauffage dans les chambres.
Les jeunes me laissent leur place dans le métro que depuis récemment, mais pas toujous (mais jamais dans le bus ou dans le train, si je prends le train à l'heure de pointe, je suis souvent debout ou assise sur les strapontins dans le couloir où les potes s'ouvrent à chaque gare en laissant paser le froid et les gens qui vous marchent sur les pieds). En fait, les jeunes me lasssent leur place, que depuis que je marce avec des cannes. Comme je parais plus jeune que mon âge, avant je faisais beauoup de parcours debout. Et si je ne prends pas mes cannes, c'est encore le cas, avec mes genoux qui se mettent à faire de plus en plus mal le long du parcours, que j'ai presque envie d'en crier. Je ne demande jamais qu'on me laisse la place.
Quand on me laisse la place, je remercie gentiment, je fais un beau sourire à la personne qui se lève et je ne dis pas "Il était temps". Mais si je lassais passer un soupir de soulagement,ce serait seulement mes genoux qui soupireraient d'aiise, d'être enfin au repos et de ne plus avoir mal, mais je n'ai jamais rien dit contre les gens qui ne me laissent pas leur place, même si dans le train, je toruve anormal que tous les gens sont assis à côté de leur valise ou de leur sac, voir même à côté de leur petit sac à main ou seulement de leur écharpe ou de leur manteau. Et assis en bordure d'allée si bien que si vous voulez vous asseoir à la place de leur manteau, il faut les déranger pour qu'ils aillent à côté de la fenêtre! Et vous laisse la place à côté du couloir. Bon, on peut dire que c'est parce qu'il n'y a plus de porte-bagaes digne de ce nom dans les trains. Avant on mettait les sacs au-dessus des têtes, chaque siège avait son porte-bagage. Mais peut-être que les wagons étaent plus haut car il n'y avait pas d'étage. On aidait les gens qui n'y arrivaient pas à mettre leurs sacs dans les filets à bagages.
Ces gens assis à côté de leur sac ou de leur manteau, sont plus jeunes que moi. Et je vais m'asseoir sur les strapontins, à moins qu'une jeune femme lève les yeux vers moi d'un air interogateur en touchant son sac et en commençant à le changer de place.
Dans le métro, les sièges sont souvent adossés aux parois, il y a souvent selon qu'il y ait un vis à vis ou nous de trois à six jeunes assis dessus. Avec mes béquilles généalement un jeune ou une jeune se lève (généralement les filles), mais si je n'ai pas les béquilles, c'est plus rare, parfois tous les jeunes sont assis et les vieux debouts.
Les ascenseurs du métro, c'est autre chose. ils sont très utilisés par les mamans qui ont des voitures d'enfants et plusieurs enfants avec elles. Seulement quelque chose ne va pas avec les portes qui ne laissent pas le temps de soiitr ou d'entrer et risquent de se refermer sur vous. Si on appuie sur le bouton dehors, cela appelle l'ascenseur,mais en même temps cela ferme les portes de l'ascenseur du haut ou du bas alors que peut-être des gens sont en train de sortir de l'ascenseur. C'est la même chose quand nous entrons dans l'ascenseur, la porte se referme parfois brutalement.
Schnelly n'a pas encore appris que s'il touche au bouton extérieur alors que l'ascenseur est ouvert, cela referme les portes, c'est ainsi qu'il a déjà refermé les portes sur moi.
Parfois aussi quand on est dans l'asecenseur,on n'a pas le temps de sortir si on est placé dans le fond et alos on peut faire l'aller retour comme cela dix fosi, bas-haut, haut-bas, surtout si vous êtes coincé derrière deux voitures d'enfants qui mettent longtemps à sortir!
Bref, c'est cela la vie d'une veille de maintenant qui de plus a trimé toute sa vie, a passé des nuits à corriger des copies pendant ses années d'enseignante dans les lycées, qui n'a pas eu la liberté des jeunes adultes et adultes de maintenant dans sa jeunesse, qui s'est embourgeoisée jusqu'à ne plus avoir de chauffage chez elle... qui a pour tout matériel informatique un ordinateur qui lui sert à tout.
Une veille avide d'apprendre, d'acquérire la culture auquel elle n'a pas eu vraiment accès dans sa jeunsse (on n'avait pas de CDI, ni internet, ni d'ordinateurs dans nos lycées, il fallait se contenter de livres et c'est tout. Et seulement du livre de classe et de quelques oeuvres qu'on nous disait d'acheter pour les lire.
En fait, quand ils parlent de trente gloreiuses, ils ne savent pas la chance qu'ils ont, tous ces gatés des jeux vidéos, des consoles, es télévisions des années 80, que nous n'avons pas connus des années 50 aux années 70. L'ordinateur a commencé a se démocratiser vers 92, internet, très lent au début est apparu en 95, mais je ne l'ai eu chez moi qu'en 2006.
Tout ce que nous avions de ce côté là quand nous nous sommes mariés, c'est un transistor et un tourne -disque. Grâce aux cadeaux des parents et grand-paents , on a acheté une cuisinière et un réffigérateur, mais pas de télé, ni de meubles pour la salle de séjour qui est restée vide pendant un an ou deux. C'état cela les trente glorieuses des années 70, pour un jeune couple!
Merci,cher ami bloggueur de faire du racisme anti-Doofie après que celle-ci ou une de ses amies ait écrit récemment une note dans laquelle ele parlait de 68, de Martin Luther King, de Robert Kennedy et de Rudi Dutscke... A l'époque elle vivait chez ses parents, c'était encore assez confortalbe, mais on n'avait pas la télé. On avait le chauffage central depuis 1961, les toiltettes dans la maison depuis 1961 c'était les trente glorieuses, c'était déjà le luxe. On a eu un électrophne et une magnétophone vers 1964. Je parle au niveau familial. Pouis mon frère, féru d'électronique a amené quelques améliorations. Il avait construit lui-même une chaîne Hi-Fi et une table de mixage pour la chorale des jeunes, on était presque en 70.
Pourtant, c'était quand même une belle jeunesse. Je n'ai pas fait mai 68, j'étais encore un peu trop jeune, je venais d'avoir 17 ans en mai de cette-année-là, et j'ai eu le bac! Schnelly et moi, bac 68, mais pas soixante-huitards enbourgeoisés!. Voilà les bourgeois que nous sommes, Schnelly et moi! Schnelly, consigné dans l'internat de son lycée, quand le général Machu à la recherhce de Cohn-Bendit qui prenait la fuite en Allemagne a atterri dans la cour du lycée en hélicoptère au lieu de débarquer dans la caserne française voisine. A moins qu'il n'essayait de rassembler les troupes françaises et franco-allemandes pour "redonner la france aux "bons" français. Ils avaient péparé une intervention armée! Moment historique!
Et on avait l'Europe divisée en deux, dans les années 80 les Pershing qui risquaient de provoquer l'hiver atomique pendant un bon moment... c'était notre belle jeunesse sous la menace atomique... La chute du mur est bien tombée...
En 75, Schnelly et moi, on a percé le rideau de fer, nous on les aimait bien, les Allemands de l'Est et ils nous aimaient bien aussi. Mais ce qui n'allaient pas, c'était les rapports internationaux, l'URSS contre les USA qui se servaient de nos pays comme tampons et comme éventuel terrain de bataille, alors qu'ils auraient pu faire la guerre entre l'Alaska et le Kamchamka! C'était moins peuplé!
Allez, ne critiquez pas trop vos vieux ils en ont vu aussi dans leur vie, peut-être qu'ils n'ont pas vécu les guerres comme les précédents, mais ils n'en n'ont pas faites non plus, pas provoquées de nouvelles... ils ont fait la paix et c'est essentiel!
Doofie
......................
Pour Doofie,
domino
13:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, vieux
Des voisins pas aimables
Roman-théâtre
Décidément, les nouveaux voisins de Doofie ne sont pas très aimables.
Aujourd'hui, on est lundi de Pâques et contrairement à l'habitude les voisins sans gêne de Doofie qui garent souvent leurs voitures en travers devant son garage, et quand ce n'est pas une voiture, c'est leur moto, ou leurs motos, cela va mieux en ce moment, ils mettent leur camion blanc de marque Seitha Gaz de France de l'autre côté du terre-plein macadamisé qui est en face des maisons, mais voilà qu'ils ont trouvé autre chose pour la gêner. les voisins sans gêne de Doofie qui ne viennent habituellement que le week-end, sont encore là.
Ce matin vers 10 heures, temps ensoleillé qui s'est vite gâté, Doofie faisait quelques vocalises pour voir si sa voix allait mieux, mais vraiment en sourdine. D'un seul coup, ça commence à taper au mur de ces voisins là. Alos que la voisine veuve de l'autre côté, dont les enfants sont mariés ,ne disait rien. Quelquefois dans le temps, elle s'inquiétait quand elle ne l'avait pas entendu chanter depuis quelques jours et demandait si Doofie était malade.
Elle se souvient que ces mêmes voisins, ceux qui tapent maintenant au mur, ont fait des beuveries (et en ont peut-être encore fait une cette nuit pendant que Doofie et Schnelly dormaient, vu la quantité de boissons alcoolisées qu'ils ont débarqué de leur voiture vendredi soir, - Doofie et Schnelly sont anti-alcooliques, - l'auteure de ce roman aussi - alors ça les choque, mais ils ne ditent rien - ), les voisins ont fait des beuveries au début qu'ils étaient ici : ils se mettaient à chanter au milieu de la nuit et en particulier on entendait toujours le San Francisco d'huguues Auffray (je ne sais pas si c'est lui qui l'a écrite,mais enfin il la chantait et était célèbre pour cela). Il y a encore environ trois semaines un mois, ils ont chanté faux et bien faux,avec des voix de saoulots, le Sans Francisco d'Hugues Auffray.
Doofie s'en est souvenu : Tiens, je vais chanter San Francisco s'est-elle dit, comme cela, s'ils n'aiment pas les vocalises - entre temps, même une perçeuse s'était mise de la partie - s'ils n'aiment pas les vocalises, ils aimeront quand même San Francisco et ne taperont plus au mur. Peine perdue, pendant que Doofie chantait San Francisco avec sa bele voix de trois octaves qui fait tout du ténor au soprano, les voisins ont continué à taper au mur. Et encore un bref "vroum!" de perçeuse. Doofie arrête de chanter, les coups et la perçeuse s'arrêtent. Elle echâine avec La Maison bleue de Maxime Le Forestier, les coups dans le mur reprennent.
Pourquoi les voisins l'empêchent de chanter, alors qu'ils aiment chanter eux-mêmes? Parce que Doofie a une très belle voix, elle chante très bien, elle pourrait faire The Voice, même si ce n'est pas tout à fait le genre de voix qui plait à The Voice France. A The Voice France, ils aiment bien les voix noires, les voix graves qui montent un peu dans l'aigu,mais pas de trop, et peut-être que le voisin promeut un copain ou une copine ou une fille ou quelqu'un de sa famille pour The Voice et qu'il ne veut pas que Doofie, qui d'ailleurs n'y concourt pas -elle a envoyé deux fois une vidéo sur leur site, mais n'a pas été sélectionnée -, passe avant ses copains. Il ne veut surtout pas qu'elle soit mieux qu'eux.
Tout à l'heure, si elle joue de la guitare, ils vont tout de suite taper au mur, alors qu'elle joue très bienet mieux qu'eux qui se contentent de frapper quelques accords en chantant, ils vont taper au mur parce qu'elle joue du classique et que ce n'est pas leur style.
Avant, dans l'autre académie, Doofie avait eu pendant dix ans des voisins, dont le mari jouait lui même de l'orgue électronique, ils jouait tous les midis et Doofie entendait souvent "L'amour est bleu". Le midi, il était seul chez lui, car ses grands enfants, en lycée ne rentrait pas à midi, et sa femme, qui travaillait à 20 km, non plus. Mais lui, travaillait à la centrale thermique locale et il rentrait à midi et jouait de l'orgue.
Deux maisons de l'autre côté, un vieux voisin jouait de l'accordéon. On l'entendait surtout en été quand ses portes et fenêtres étaient ouvertes. Doofie aimait bien les entendre. Et elle même jouait de la guitare, passait des concours à Paris, allait à des stages de guitare, faisait du chant classique et chantait des chansons. Les voisins avec l'orgue, disaient qu'ils aimaient bien,sauf l'opéra, parce ce que ce n'était aps le genre de leur père, mais ele pouvait jouer de la guitare et d'autres instruments, sans exagération, ele ne jouait jamais la nuit, et chanter du folk et de la chanson tant qu'elle voulait,ils ne disaient rien et s'inquiétaient même s'ils n'entendaient plus rien.
Mais voilà, avec ses nouveaux voisins, elle ne peut pas chanter le week-end et elle ne veut pas non plus qu'ils sachant qu'elle a une guitare (ses autres guitares sont cachées), parce que sinon, ils seraient capable de l'empunter à son insu pour leurs beuveries. En effet, peut de temps apès leur arrivée, ils avaient chanté San Francisco avec une gutare, et Doofie a retrouvé deux fois sa guitare avec des cordes cassées.
Ce maitin, Schnelly a râlé parce que Doofie a gardé sur elle les clefs de la maison,qu'il oublie souvent sur la porte entre le garage et les caves. Elle a peut qu'ils soit invité aux beuveries d'à côté et sorte la nuit. Et sa réaction bizarre parce qu'elle avait les clefs (ils voulait sortir les poubells à neuf heures et demi du matin, alors que d'habitude quand ils sont à la maison il les sort à midi!, prouve bien qu'il avait l'intention de se servir des clefs pendant la nuit.
...../....
Pour Doofie
domino
11:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 05 avril 2015
Doofie technicienne
Roman-théâtre
Nous avons évoqué dans une dernière note, les problèmes que rencontrait Doofie avec sa machine à laver et avec son évacuation d'eau.
- L'évier de la cusine envoie son eau dans le syphon réceptacle de la machine à laver qui est au garage dans le sous-sol, et par conséquent l'eau qui sort par le syphon s'étale dans le garage.
- La baignoire encore un étage au dessus régurgite par le même syphon deux étages au-dessous.
- La machine à laver ne s'écoule plus dans son syphon et de plus elle commençait à fuir par en-bas.
Aujoud'hui,prenant le taureau par les cornes, Doofie descend au garage et lit le vieux mode d'emploi de la machine à laver. Elle pensait que c'était le filtre qui était en cause, mais examinant l'installation de l'évacuation d'eau et sachant déjà que le syphon est placé trop haut (il ne doit pas être à plus de 90 cm du sol, mais à moins que quelqu'un ait fait une modification entre temps, il fonctionnait bien comme cela) avant. En examinant le mode d'emploi de la machine à laver, partie installation du tuyeau d'évacuation d'eau, elle s'aperçoit que le tuyeau n'arrive pratiquement pas au dessus du syphon, qu'il est trop tendu. Examinant le bas de la machine à laver pour voir si le tuyau n'est pas coincé quelque part, elle s'aperçoit que la machine a été changée de place, elle a été poussée d'environ 30 cm vers le gauche pour un syphon placé à droite et le tuyau n'arrive pas au dessus du syphon, mais il est à la même hauteur.
En plus, la machine étant placée sur une double planche en bois pour la remonter, elle était bancale, du fait qu'elle avait été poussée à moitié sur la planche plus basse. Doofie la remet donc à son ancienne place, en la repoussant vers la droite et elle l'essaie : le problème de l'eau qui coulait sous la machine est réglé, elle ne fuit plus... mais le tuyau d'évacuation ne fonctionne toujours pas bien, bien que mieux qu'avant. Elle arrive à évacuer l'eau par le tuyau et le syphon en manipulant le bouton marche.arrêt pour que la machine n'envoie pas trop d'eau d'un seul coup dans le syphon. Donc, il serait quand même bouche. Ou alors, il est trop haut. Doofie doit tenir elle-même le tuyau (un tuyau en plastique) en l'air pour qu'il soit au dessus du syphon, il faudrait le maintenir au mur pour qu'il ne descende pas dans le syphon car il faut que l'air puisse passer dans le syphon.
Alors, en attendant (c'est sûrement lui qui avait bougé la machine en se disant qu'il allait ainsi faire de la place pour remette le petit meuble qu'elle avait enlevé" pour pouvoir placer les poubelles plus près de l'entrée du garage pour qu'elles soient plus faciles à sortir (elle avait échangé la place du petit meuble et de la grade poubelle à emballages qui étaient placé après la porte qui donne dans les caves qui se trouve à hauteur de la porte du milieu du garage.
C'est comme sa mère, elle avait une poubelle dans son jardin et devait traverser le garage pour metttre la poubelle dehors. Nous on n'a pas de porte dans le fond du garage, si on mettait la poubelle au jardin, on serait obligé de traverser la salle de séjour avec les poubelles!
Doofie a suggéré à Schnelly que l'eau de la baignoire et de l'évier de cuisine ne s'écoulent plus dans le syphon de la machine à laver (lui dit que c'est un bouchon placé plus bas que la jonction des deux tuyaux qui bouche, mais Doofie en doute fort). Schnelly a répondu que si, que l'évier et la baignoire s'écoulait encoe en sens inverse dans le syphon de la machine à laver. Il fait encore ses va et vient avec son seau et son écumoire, pour écumer l'eau de vaisselle, la mettre dans un seau et la porter aux toilettes, mais beurk! Que ce seau a mauvaise mine et sent mauvais!
Heureusement les toilettes ne sont pas branchées sur le même tuyeau que le rreste et leur tuyeau est plus large, parce que sinon, beurk, si elles s'éoulaient dans le garage, ça ferait une sacré odeur. Il a n'y a que les toilettes qui vont encore bien! Sauf que Schnelly a mis la chasse d'eau en panne parce que la voisine s'était soi-disant plainte du bruit de la chasse d'eau quand Doofie oubliait qu'il ne fallait pas la tirer la nuit!
domino
PS Finalement, Doofie a dit à Schnelly qu'il fallait regarder si l'eau de l'évier régurgitait encore par le syphon de la machine à laver. Elle a pensé que c'était peut-être l'appel d'air créé par le syphon laissé libre (Schnelly met souvent le tuyau de la machine dans un seau, ce qui laisse le syphon à l'air libre, depuis qu'il y a des problèmes avec l'évacuation d'eau). Elle a demandé à Schnelly de faire couler de l'eau, mais l'eau a tardé à arriver, puis il en est arrivé une bonne rasade d'un seul coup,
D'après la théorie des vases communicants, c'est normal que l'eau de l'évier coule dans le tuyau de la machine si l'évier est situé plus haut (au niveau au dessus). Mais en principe un tuyau principal recueille les trois tuyaux (avant que l'on installe le tout-à -'égoût, l'évacuation de la machine menait dans un tuyau séparé qui allait dans la rigole devant le garage qui allait dans la rivière) directement). Il n'y avait jamais eu d'inondation dans les garages venant de l'extérieur, mais depuis qu'ils ont mis le tout-à- l'égoût, ils ont mis aussi cette rigole d'eau de pluie au tout à l'égout et un jour le regard vers l'égout s'est bouché et tous les garages et les caves ont été inondés lors d'un orage. C'était un 14 juillet. Pour une rigole d'eau de pluie, ce n'était pas la peine de la mettre au tout à l'égout car c'était de l'eau propre qu'ils ont sali.
Il faut déjà que le tuyau qui va vers le bas, soit rigoureusement eu dessous de la jonction des autres tuyaux pour récupérer l'eau des tois tuyaux, pourtant avant quand on premnait sa douche et qu'on faisait la lessive en même temps, il n'y avait pas de problème. Quand l'évacuation de la machineà laver est tombée en panne, il n'y avait pas de problème avec la baignoire et l'évier de la cuisine non plus... C'est très compliqué cette histoire et pas moyen d'aller au fond de la cave où Schnelly a entassé pelin d'affaires et où se trouve la jonction des tuyaux. ...
22:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 04 avril 2015
La chanson des prix
Roman-théâtre
Doofie s'est endormie devant son ordinateur, Schnelly est descendu et met la radio très fort. Doofie est en train de rêver, elle rêve qu'elle est dans un salon avec des sièges baquets. Elle s'asseoit, le salon se transforme en salon d'une salle des profs. Il y a les casiers sur sa droite, la bibliothèque en pin blanc s'est transformée en casiers de profs en bois. Du monde entre et s'asseoit, suivi de la principale munie d'un papier qu'elle va lire. Ce n'est pas la prinncipale de Doofie, mais une autre brune, avec des cheveux mi-longs et raides, il semble qu'elle va être rèche et qu'elle va avoir une voix très rauque en parlant . Elle va faire une déclaration de pédagogie se dit Doofie, ou lire la lettre d'un ministre.
La principale dont la voix est finalement assez douce, dit en levant son papier qui est devenu une partition : Je vais vous chanter la chanson que vous allez devoir chanter à la distributon des prix en juin. Elle se met à chanter, Doofie qui tourne à moitié le dos à la principale, ne voit pas si elle déchiffre la musique ou a seulement les paroles. Elle chante en anglais, une chanson assez rythmée, très agrébale avec des paroles un peu de gospel. Sa voix est finalement un peu grave,mais bien agréable et mélodieuse se dit Doofie, ce qui contraste avec son physique.
Soudaien Doofie se réveille, Schnelly dit : Alors, tu t'es encore endormie... A la radio on entend une chanson trrès agréable, dont l'air ressemble fort à celui que la principale a chanté dans son rêve, mais elle a des autres paroles, en anglais aussi. Le speaker dit que c'est Mika. Doofie entend qu'il est interviewé, c'est une avant-première de son disque qui va sortir en juin. Juin... La distribution des prix, se dit Doofie...
Schnelly qui a toujours , mauvaise langue, dit que l'anglais de Mika, n'est pas bon.. Pas bon?, répond Doofie, mais il n'est pas anglais ou américain.Cela m'étaonnerait dit le critiqueur Schnell, qui mainteannt veut absolument avoir raison. Mika comme en réponse à Schnelly et Doofie, dit qu'il est né en France, mais qu'il est arrivé en Agleterre à l'âge d e trois ans et qu'il a vécu ensuite en Angleterre. Ill parle d'un ton un peu doctrinal.
En tout cas, l'audition à l'aveugle de la principale, avec Doofie qui, dans son fauteuil ,lui tounait le dos, s'est bien passée. Doofie a trouvé qu'elle avait une voix agréable.
C'est donc la preuve que l'on peut transformer des éléments extérieurs en rêve. Ici la chanson de Mika, tranformée en chanson pour la dirtibution des prix, en juin comme la date de parution des disques de Milka. La voix de la principale qui n'était autre que celle de Mika. Et la position de la principale dans le dos de Doofie, alors que la radio était dans le fond de la cuisine, située derrière Doofie.
Doofie touve que Mika, en français, parle d'une façon doctrinale, elle se demande s'il n'a pas commencé sa carrière comme professeur d'anglais en France. Finalement, ce ton allait bien à la principale de son rêve.
..................
Après m'avoir communiqué ce rêve, Doofie est retombée endormié devant son ordinateur. Elle a continué dans le même genre de rêve. Elle se promenait, avec Schnelly il semble, mais pas forcément, dans une ville, avec des usines, des jardins et des maisons. Les jardins et le centre-ville étaient particulièrement beau, sans qu'elle puisse dire exactement comment. Il faudrait que Doofie dessine les villes et les jardins de ses rêves. Elle devait être touriste parce qu'à un moment, sa mère, maintenant décédée, mais dont la spécialité professionnelle avait été le développement de films argentiques, il y a très longtemps (elle avait arrêté de travaille à la naissance de son grand-frère en 1948), sa mère qui par ailleurs était restée une mordue de la photographie et avait gagnné plusieurs concours,pas des premiers prix, mais des deuxièmes ou troisièmes prix et avait eu à cette occation plusieurs photos exposées, était dans le film. Doofie avait sur son appareil numérique une fonction qui lui permettait de faire des 360° en vidéo. A un moment, ils se trouvait atablés à la terrasse d'un café sur une belle place, dans un groupe où était sa mère et celle-ci voulut regarder les photos de Doofie, elle regardait dans une espèce de miroir déformant situé sur la partie supérieure de l'appareil au-dessus de l'écran qui sert de cadreur et a dit que ce n'était pas beau. Doofie a dit : Mais non, ce n'est pas là qu'on regarde et sa mère regardat au bon endroit et vit défiler les 360° de Doofie, les photos défilaient de façon ininterrompue comme sur un diaporama.
Puis ils ont pris une autre rue et sont arrivés près d'un lycée, sa mère n'était plus là. Mais Schnelly devait être là, ils sont entrés dans un jardin, il y avait des mosaïques à la Gaudi, mais plus calmes, dans un jardin plat, sur des terre-pleins ou des murs. c'était la cour du lycée. Il y avait un pot à l'extérieur (rappelons que dans le lycée-collège où Doofie enseignait en juin dernier, le personnel du collège dont elle ne faisait pas partie,parce qu'elle était au lycée, s'était réuni dans la cour, et avait pris un pot et mangé en plein air, et à la prérentrée, il y a aussi des pots en plein air, où tout le monde se raconte ses vacances. Ce pot (celui du rêve),était un magnifique buffet et Doofie s'est régalée.
Puis on a décidé de rentrer car des festivités étaeint prévues à l'intérieur. On était dans une espèce de grand hall avec des colonnades qui donnaient sur le grand jardin extérieur dont nous avons parlé auparavant, mais un coin de ce grand-hall, plus retiré, pas juste en face des colonnes, servait de salle des profs, il y avait comme dans le premier rêve des sièges baquet, de plusieurs couleurs, mais le tout était plus luxueux que dans la salle des profs de l'autre rêve où la principale avait communiqué la chanson, qu'elle chantait avec la voix de Mika. Doofie était au début avec Schnelly, assise dans un fauteuil dans le fond, assez à l'écart, car tous les fauteuils étaient tournés de façon désordonnée vers les colonnades ou vers le côté où il y avait les colonnades. L'intérieur très luxueux avait des murs recouverts de mosaïques à la Gaudi, un peu comme dans le jardin juste avant. Avec des couleurs bleues et jaunes. A un moment Schnelly s'est éclipsé, car il se sentait un peu de trop, on éatit dans ce lycée alors que l'on y était même pas invité et qu'on était rentré là en faisant une pomenade. Doofie se retrouvé donc seule au mileu de ces profs assez jeunes, qu'elle ne connaissait pas, et il y avait appraemment un proviseur et une principale.
La principale ne ressemblait pas à la précédente, elle était vêtue d'un tailleur de couleur vive, soit rouge fraise, soit bleu canard, était forte et avait une coiffure auburn assez courte et portait des lunettes. Le proviseur changea plusieurs fois d'aspect, mais il faut au début jeune et petit et vêtu de clair et ensuite âgé et toujours petit avec un costume plus foncé. A un moment le proviseur était grand et vêtu d'un costume clair, c'était un de ses anciens collègues devenu proviseur, mais il ne fit que passer dans le groupe.
La principale regardat Doofie d'un air de se dire, mais que fait là cette personne inconnue et Doofie se faisait des excuses dans sa tête, je suis rentrée ici pour m'informer des dernières nouveautés en matière d'enseignement, car j'étais en congé... ou quelque chose comme cela. Mais aucun des proviseurs ou principaux ne lui posa de questions. Elle était dans les fauteuils baquet assise dans la fond, mais à côté d'autres collègues plus jeunes qui s'étaient installés près d'elle. La salle se prolongeait vers la gauche en face des colonnes qui donnaient sur le jardin et un podium avait été installé dans le coin arrière gauche (ce qui correspond à l'emplacement de la cuisine avec le poste de radio allumé dans la réalité), et on commencea par y faire quelques discours. Puis on passa à la musique et des profs chantèrent par petits groupes, accompagnés par des guitares, plusieurs chansosn, soit seuls, soit par petits groupes, soit en chorale. A un moment Doofie aimait beaucoup la chanson où chantait un duo masculin féminin et ayant une voix plus aigue que la fille, elle se mis à chanter une troisième voix dans le haut, mais sans paroles car elle ne conaissait pas la chanson et regrettait en elle-même de ne pas avoir appris toutes ces chansons modernes. Mais l'une des jeunes profs qui était autour d'elle, lui fit des gros yeux, lui reprochant de chanter en même temps qu'eux. Doofie se sentait vexée parce qu'elle avait vraiment une plus belle voix que la collègue qui chantait, mais finalement, ce n'était pas son lycée et elle n'avait pas droit au chapitre.
A un moment le petit proviseur au costume foncé évoqué au début du récit de ce rêve, se leva de son siège, se dirigea vers une télé placée en face des sièges baquets et dit : Je vais mettre les informations, il est très important d'écouter les informations tous les jours. Et un prof dit à mi-voix, ô lui et ses informations, tous les jours il faut que l'on stoppe tout ce que l'on fait pour regarder les informations à la télé. Doofie se dit : Il me fait penser à mon père, qui tous les midi et tous les soirs quand il rentrait du tavail, allumait le poste de radio pendant le repas, et toute la famille devait faire le silence complet pour qu'il écoute ses informations. C'est comme cela que Doofie a acquis une bonne culture de ce qui est maintenant devenu l'histoire du milieu des années 50 jusq'au début des années 70. Jusqu'à son demi-départ de la maison en 73. (Elle rentrait une fois par semaine). Et là, encore une inconguité propre aux rêves, les informations dataient de 1983. Il avait dû se passer quelque chose d'extaodinaire en 1983. Les actualités étaient en noir et blanc ce qui contrastait avec l'ambiance de fête toute colorée.
C'est là que Doofie se réveilla, triste retour à la réalité. L'entrée avec son odinateur devant elle, ses piles de livres, son travail autour d'elle et dans la cuisine, la radio qui diffusait à haute puissance les informations et Schnelly qui faisait à manger et lui apporta le repas de midi avec le poisson acheté hier, au dessus de son ordinateur. Pour une fois c'était bon, Doofie qui est en princpe végétarienne et pas végétalienne, aime le poisson. Elle ne mange pas de viande ,mais elle mange du poisson. le poisson la consola du rêve envolé et des beaux jardins (des Hespérides?).
Doofie entendait du bruit en haut, du côté du haut de l'escalier ou dans l'une des chambres dont Schnelly a barré l'entrée par un tas de choses hétéroclites. C'est là qu'un placard a été presque vide de ses livres d'allemand dont sa méthode Die Deutschen qu'elle aimait bien, la première méthode avec laquelle elle a enseigné. Et aussi... c'est là qu'elle a rangé les photos récentes de sa mère. lMais elle ne peut pas les regarder, car c'est bloqué. Schnelly, près de sa radio qui diffusait ses informations à très haute intensité, n'entendait rien,pas de bruit en haut. Le bruit qui ressemblait à des choses que l'on prenait ou que l'on rangeait, dura encore dix minutes, c'était peut-être aussi la voisine, mais elle ne sait pas si elle est là. Car sinon, on n'entend pas de bruit. On entendait aussi des craquements dans le haut de l'escalier,la voisine balaie peut-être son escalier, se dit Doofie. Ou alors quelqu'un est rentré pendant qu'elle dormait, mais qui? Je dois préciser qu'il était midi quand Doofie s'est réveillée de son deuxième sommeil assise devant son ordinateur après avoir dormi une partie de la nuit, cependant. Car si elle a été couché tard, c'était moins tard que d'habitude. Quelqu'un ? Décidément cela a tout l'air d'être un fantôme. Si le fantôme remettait ses livres en place. Ou alors le fantôme de sa mère qui regarde peut-être ses propres photos. Pourtant elle est morte à bien des kilomètres de là. .. Bizarre, s'est dt Doofie... Ma mère a dû monter au moment où elle est sorite de mon rêve et elle est restée encore un moment dans la maison ...
Pour Doofie qui dort
domino
"
11:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des fantômes au garage...
Rman-théâtre
Doofie se demande vraiment ce qui se passe dans sa maison : tiens, par exemple, juste maintenant, elle a entendu son mari descendre l'escalier de l'étage vers le rez-de-chaussée. Elle e entendu la porte de la cave s'ouvrir et a cru entrevoir Schnelly qui dispaasait par la porte de la cave. Seulement en y regardant de plus près, la valise qui bouche cette entrée la nuit, est toujours devant la porte de la cave et n'a pas bougé, et le verrou de la porte qui ne marche que dans un sens (de la maison vers la cave), est tiré. Ce verrou est là depuis plus de 25 ans... les gens qui étaient là à cette époque avaient fait mettre ce loquet qui n'est pas d'origine.
Bon, mais ce n'est pas là le tout..; la machine à laver de Doofie est au garage. Avant pas de problème, cela marchait très bien. Puis Doofie a nettoyé cette partie du garage, tiré les divers objets que Scnelly posait dans un désordre sali de terre, sur un ancien meuble, et et anciens géraniums rentrés dans la maison, et elle a mis l'un des meuvles plus loin dans la garage qui est assez profond.
Il restait donc un grand esspace vide entre la machine à laver et les premiers meubles qui se truvent à côté. C'est sans doute par souci de gagner de la place et de mettre la machine plus proche des meuvbles, que Schnelly a dû faire faire une modification, mas le tube de reéception du tuyau d'évacuation d'eau de la macine est trop haut et l'eau de la machine coule à côté du tube réceptacle. Mais il n'avoue pas qu'il a fait faire cette modification. Amoins que ce soit un intrus qui l'ai faite.
En attendant Doofie ne peut pas faire la lessive à la machine, et cela fait plus de six mois que ça dure. Alors elle s'achète de novueaux habits, lave de temps en temps à la main, ou doit surveiller la machine en remplissant une dizaine de seaux d'eau récupérés du tuyau qui débordent.
Les nouveax voisins ont une camionnette blanche, qui semble appartenir à la dame. Cette camionette porte la marque Seitha Gaz de Fance, qu'elle utilise pour ses loisirs, pusiqu'ils ne viennent que le week-end. C'est depuis qu'ils sont là que tous les chauffages étaient tombés en même temps en panne dans la quartier. Certains ont été réparés, d'autres se chauffent comme Doofie et Schnelly, avec des petis chauffages électiques.Avec leur deux chauffages électriques Doofie et Schnelly n'arrivent pas à chauffer plus fort que 15 ou 16° et Doofie a été malade tout javier, févier et une partie de mars.
Doofie pense que cette voisine a dû tromper les gens avec son camion et au début se faire paser pour quelqu'un du gaz qui venait vérifier les installations et elle a mis en panne les allumages des chauffages.
Pour la machine à laver, c'est pire... On se contentait de ce système de surveillance de la machine avec vidange avec des seaux, quand Doofie s'est pris la fantaise de faire des lainages dans l'évier de la cuisine et rebelotte : Scnelly remonte de la cave : Fais attention, ne vide pas l'évier directement, l'eau remonte dans le tuyau dévacuation de la machine lave et coule dans le garage. A peine fait une lessive dans l'évier de la cuisne et hop, cela coule dans la garage.
Doofie fait donc sa lessive main dans la baignoire à l'étage d'au-dessus et hop, rebelotte : "Ne te sers plus de la baignoire, l'eau de la baignoire decend aussi par le tuyau dévacuationn de la machine à laver.. "
Mais j'ai pris ma douche hier dans la baignoire, ça ne coulait pas dans le gagare...Mais maintenant que 'ai fait la lessive, cela coule dans le garage???
Donc, des douches parcimonieuses, plus de lessive à la main, lessive machine difficile... Décidément, Schnelly veut faire passer Doofie pour une souillon.
Doofie débouche les éviers avec un remiède de bonne femme, écologique. D'habitude cela marche, d'aileurs les éviers coulent bien. Mais dans la gaage! Schnelly a dit qu'il y avait u bouchon plus bas, après la jonction dee tois tuyaux. Doofie met son remède bonne femme. Cela coule un peu mieux, ele a réussi a mette dans la tuyau d'évacuation de la macine, environ les deux-tiers d'une bouteille de son remède bonn femme sans que cela déborde. Dans la cave d'à côté, Schnelly a bouché l'accès à la jonction des trois tuyaux en y mettant devaant un bric à brac extraordinaire. Non jetable, car des choses importantes sont mélangées à toutes sortes de sachets en plastques vides.
Bon, elle réussit à déboucher son tuyau à moitié, l'eau de la machine commençait à y couler, elle dit à Schnelly : Surveille la lessive! Schnelly s'en va faie aute chose, tout à coup la machine s'emballe, plein d''eau sort diu couvercle, la machine lance une écume blanche digne d'une belle vague de mer. Devant les yeux effarés de Doofie.
.Elle n'est pas assez chargée, déclare Schnelly. Doofie charge plus la machine,mais Schnelly utilise encore une dizaine de seaux pour vider le tuyau d'évacuation d'eau. La machine n'écume plus,mais à la lessive suivante se met à fuir par en-dessous...
Bon, on en est là. Quest ce qui fait que sur le plan de l'eau, plus rien ne fonctionne? Une intrusion d'à côté qui fait qu'à chaque fois que l'on répare quelque chose, autre chose tombe en panne? Est -ce qu'il ouvre la porte du garage la nuit pour que quelq'un y bricole? Car il sembllerait qu'il ne sache pas faire de bricolage, mais on en doute aussi.
Enfin, il fait tout pour retarder Doofie dans son travail : plus de machine à laver... plus d'évier et de baignoire où elle peut faire sa lessive à la main..; Plus de douches : de quoi la faire passer pour une souillon. Ou "salope" comme ils disent par ici, parce que par ici, 'salope" veut dire "souillon".
En plus, il s'est chargé de descendre les poubelles cuisines dans celles du garage, mais depuis deux jours, Doofie le lui a demandé vingt fois et il répond toujours "Tout à l'heure!"
Doofie va finir par le faire elle-même,même si son genou lui fait mal.
Devant les gens, il est toujours serviable, porte le cartable de Doofie d'une façon peu pratique, il a toujours un énorme caddie, même vide et pose le sac de Doofie par dessus, si bien que souvent,il glise sur les côtés, monte les escaliers des gares avec le sac qui brinqueballe sur le caddie et pas moyen que Doofie récupère son sac et le porte elle-même, il faudait qu'elle le lui arrache des mains, ce qu'il ne manque pas de faie dans l'autre sens, lui faisant parfois mal aux mains.
De toute façon on voit que le tuyau réceptatcle d ela machine à laver à changé de place, parce que les vis quis servaient à le tenrir à son ancienne place sont encooe dans le mur.
Doofie a entendu du bruit en bas, alors qu'apparement Schnelly est dans la chambre, elle a senti une odeur de brûlé alors que tous les chauffages de la maison sont éteitns. C'est vraiment bizarre, cette maison...
Schnelly met-il les choses en panne pour se venger des reproches qu'elle lui fait parfois...???
Pour Doofie et Dummie
domino
09:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
M. JeSaisTout parle à Océane Laplume
Roman-théâtre
Monsieur JeSaisTout, ancien collègue de Doofie et Dummie, maintenant retraité, et dont les idées d'extrême-droite étaient parfois exprimée ouvertement en salle des profs de leur lycée commun d'il y a voilà plus de dix ans... est allé à un meeting d'Océane Laplume.
A la fin du meeting, Monsieur JeSaisTout , qui racontait à Doofie et Dummie qui y prêtaient une oreille peu attentive, tous les ragots du lycée, autant des élèves que des professeurs ou de la direction, tous les ragots des professeurs gemanistes de l'académie et même des non-gemanistes, tous les ragots concernant les anciens élèves et professeurs du lycée... et même les ragots concernant les parents d'élèves...
Bref, le service de renseignements même, le service de renseignement du proviseur (c'est grâce à lui qu'il pouvait faire les notes administratives...)...
Bref, Monsieur JeSaisTout, tout un poème en lui-même....
Monsieur JeSaisTout, reparti dans sa région d'origine..
trop timide pour poser ses questions ouvertement pendant le meeting, va voir Océane Laplume à la fin de celui-ci et lui dit : Ah, j'ai des amies qui ne sont pas d'accord pour que vous promouviez la musique traditionnelle..
Ah! Elles n'aiment pas la musqiue traditionnelle..
Non, elles l'aiment beaucoup au contraie, mais... elles sont de gauche et elles craignent que ainsi, elles soitent considérées comme des gens d'extrême-droite, et qu'on les penne pour autre chose que ce qu'elles sont...
Ah! Vous avez des amies de gauche, vous êtes donc aussi de gauche
Mais non! s'offusque M. JeSaisTout, je suis de votre bord. Ce sont d'anciennes collègues, rectifie-t-il..
Ah! Et vous avez des amies de gauche. Je n'ai pas d'amis et d'amies de ce côté, mais j'y pense, vous feriez un excellent service de rensignements. Je vais vous engager pour faire la liste des gens à tuer quand je passerai au pouvoir...
M. JeSaisTout : Mais.. Mes anciennes collègues sont charmantes... Elles ont beau être de gauche, vous savez... elles sont quand même des personnes agréables...
Oui, c'est là le danger, dit Océane Laplume... elles risquent de rallier beaucoup de gens à leur cause. Vous, si vous êtes de mon bord et voulez le rester, me ferez la liste de vos anciennes collègues de gauche, que je garderai précieusement jusqu'à mon arrivée au pouvoir...
(Ce n'est pas pour défendre M. JeSaisTout)
domino
08:57 | Lien permanent | Commentaires (0)