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samedi, 04 avril 2015

La chanson des prix

Roman-théâtre

Doofie s'est endormie devant son ordinateur, Schnelly est descendu et met la radio très fort. Doofie est en train de rêver, elle rêve qu'elle est dans un salon avec des sièges baquets. Elle s'asseoit, le salon se transforme en salon d'une salle des profs. Il y a les casiers sur sa droite, la bibliothèque en pin blanc s'est transformée en casiers de profs en bois. Du monde entre et s'asseoit, suivi de la principale munie d'un papier qu'elle va lire. Ce n'est pas la prinncipale de Doofie, mais une autre brune, avec des cheveux mi-longs et raides, il semble qu'elle va être rèche et qu'elle va avoir une voix très rauque en parlant . Elle va faire une déclaration de pédagogie se dit Doofie, ou lire la lettre d'un ministre.

La principale dont la voix est finalement assez douce, dit en levant son papier qui est devenu une partition : Je vais vous chanter la chanson que vous allez devoir chanter à la distributon des prix en juin. Elle se met à chanter, Doofie qui tourne à moitié le dos à la principale, ne voit pas si elle déchiffre la musique ou a seulement les paroles. Elle chante en anglais, une chanson assez rythmée, très agrébale avec des paroles un peu de gospel. Sa voix est finalement un peu grave,mais bien agréable et mélodieuse se dit Doofie, ce qui contraste avec son physique.

Soudaien Doofie se réveille, Schnelly dit : Alors, tu t'es encore endormie... A la radio on entend une chanson trrès agréable, dont l'air ressemble fort à celui que la principale a chanté dans son rêve, mais elle a des autres paroles, en anglais aussi. Le speaker dit que c'est Mika. Doofie entend qu'il est interviewé, c'est une avant-première de son disque qui va sortir en juin. Juin... La distribution des prix, se dit Doofie...

Schnelly qui a toujours , mauvaise langue, dit que l'anglais de Mika, n'est pas bon.. Pas bon?, répond Doofie, mais il n'est pas anglais ou américain.Cela m'étaonnerait dit le critiqueur Schnell, qui mainteannt veut absolument avoir raison. Mika comme en réponse à Schnelly et Doofie, dit qu'il est né en France, mais qu'il est arrivé en Agleterre à l'âge d e trois ans et qu'il a vécu ensuite en Angleterre. Ill parle d'un ton un peu doctrinal.

En tout cas, l'audition à l'aveugle de la principale, avec Doofie qui, dans son fauteuil ,lui tounait le dos, s'est bien passée. Doofie a trouvé qu'elle avait une voix agréable.

C'est donc la preuve que l'on peut transformer des éléments extérieurs en rêve. Ici la chanson de Mika, tranformée en chanson pour la dirtibution des prix, en juin comme la date de parution des disques de Milka. La voix de la principale qui n'était autre que celle de Mika. Et la position de la principale dans le dos de Doofie, alors que la radio était dans le fond de la cuisine, située  derrière Doofie.

Doofie touve que Mika, en français, parle d'une façon doctrinale, elle se demande s'il n'a pas commencé sa carrière comme professeur d'anglais en France. Finalement, ce ton allait bien à la principale de son rêve.

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Après m'avoir communiqué ce rêve, Doofie est retombée endormié devant son ordinateur. Elle a continué dans le même genre de rêve. Elle se promenait, avec Schnelly il semble, mais pas forcément, dans une ville, avec des usines, des jardins et des maisons. Les jardins et le centre-ville étaient particulièrement beau, sans qu'elle puisse dire exactement comment. Il faudrait que Doofie dessine les villes et les jardins de ses rêves. Elle devait être touriste parce qu'à un moment, sa mère, maintenant décédée, mais dont la spécialité professionnelle avait été le développement de films argentiques, il y a très longtemps (elle avait arrêté de travaille à la naissance de son grand-frère en 1948), sa mère qui par ailleurs était restée une mordue de la photographie et avait gagnné plusieurs concours,pas des premiers prix, mais des deuxièmes ou troisièmes prix et avait eu à cette occation plusieurs photos exposées, était dans le film. Doofie avait sur son appareil numérique une fonction qui lui permettait de  faire des  360° en vidéo. A un moment, ils se trouvait atablés à la terrasse d'un café sur une belle place, dans un groupe où était sa mère et celle-ci voulut regarder les photos de Doofie, elle regardait dans une espèce de miroir déformant situé sur la partie supérieure de l'appareil au-dessus de l'écran qui sert de cadreur et a dit que ce n'était pas beau. Doofie a dit : Mais non, ce n'est pas là qu'on regarde et sa mère regardat au bon endroit et vit défiler les 360° de Doofie, les photos défilaient de façon ininterrompue comme sur un diaporama.

Puis ils ont pris une autre rue et sont arrivés près d'un lycée, sa mère n'était plus là. Mais Schnelly devait être là, ils sont entrés dans un jardin, il y avait des mosaïques à la Gaudi, mais plus calmes, dans un jardin plat, sur des terre-pleins ou des murs. c'était la cour du lycée. Il y avait un pot à l'extérieur (rappelons que dans le lycée-collège où Doofie enseignait en juin dernier, le personnel du collège dont elle ne faisait pas partie,parce qu'elle était au lycée, s'était réuni dans la cour, et avait pris un pot et mangé en plein air, et à la prérentrée, il y a aussi des pots en plein air, où tout le monde se raconte ses vacances. Ce pot (celui du rêve),était un magnifique buffet et Doofie s'est régalée.

Puis on a décidé de rentrer car des festivités étaeint prévues à l'intérieur. On était dans une espèce de grand hall avec des colonnades qui donnaient sur le grand jardin extérieur dont nous avons parlé auparavant, mais un coin de ce grand-hall, plus retiré, pas juste en face des colonnes, servait de salle des profs, il y avait comme dans le premier rêve des sièges baquet, de plusieurs couleurs, mais le tout était plus luxueux que dans la salle des profs de l'autre rêve où la principale avait communiqué  la chanson, qu'elle chantait avec la voix de Mika. Doofie était au début avec Schnelly, assise dans un fauteuil dans le fond, assez à l'écart, car tous les fauteuils étaient tournés de façon désordonnée vers les colonnades ou vers le côté où il y avait les colonnades. L'intérieur très luxueux avait des murs recouverts de mosaïques à la Gaudi, un peu comme dans le jardin juste avant. Avec des couleurs bleues et jaunes. A un moment Schnelly s'est éclipsé, car il se sentait un peu de trop, on éatit dans ce lycée alors que l'on y était même pas invité et qu'on était rentré là en faisant une pomenade. Doofie se retrouvé donc seule au mileu de ces profs assez jeunes, qu'elle ne connaissait pas, et il y avait appraemment un proviseur et une principale.

La principale ne ressemblait pas à la précédente, elle était vêtue d'un tailleur de couleur vive, soit rouge fraise, soit bleu canard, était forte et avait une coiffure auburn assez courte et portait des lunettes. Le proviseur changea plusieurs fois d'aspect, mais il faut au début jeune et petit et vêtu de clair et ensuite âgé et toujours petit avec un costume plus foncé. A un moment le proviseur était grand et vêtu d'un costume  clair, c'était un de ses anciens collègues devenu proviseur, mais il ne fit que passer dans le groupe.

La principale regardat Doofie d'un air de se dire, mais que fait là cette personne inconnue et Doofie se faisait des excuses dans sa tête, je suis rentrée ici pour m'informer des dernières nouveautés en matière d'enseignement, car j'étais en congé... ou quelque chose comme cela. Mais aucun des proviseurs ou principaux ne lui posa de questions. Elle était dans les fauteuils baquet assise dans la fond, mais à côté d'autres collègues plus jeunes qui s'étaient installés près d'elle. La salle se prolongeait vers la gauche en face des colonnes qui donnaient sur le jardin et un podium avait été installé dans le coin arrière gauche (ce qui correspond à l'emplacement de la cuisine avec le poste de radio allumé dans la réalité),  et on commencea par y faire quelques discours. Puis on passa à la musique et des profs chantèrent par petits groupes, accompagnés par des guitares, plusieurs chansosn, soit seuls, soit par petits groupes, soit en chorale. A un moment Doofie aimait beaucoup la chanson où chantait un duo masculin féminin et ayant une voix plus aigue que la fille, elle se mis à chanter une troisième voix dans le haut, mais sans paroles car elle ne conaissait pas la chanson et regrettait en elle-même de ne pas avoir appris toutes ces chansons modernes. Mais l'une des jeunes profs qui était autour d'elle, lui fit des gros yeux, lui reprochant de chanter en même temps qu'eux. Doofie se sentait vexée parce qu'elle avait vraiment une plus belle voix que la collègue qui chantait, mais finalement, ce n'était pas son lycée et elle n'avait pas droit au chapitre.

A un moment le petit proviseur au costume foncé évoqué au début du récit de ce rêve, se leva de son siège, se dirigea vers une télé placée en face des sièges baquets et dit : Je vais mettre les informations, il est très important d'écouter les informations tous les jours. Et un prof dit à mi-voix, ô lui et ses informations, tous les jours il faut que l'on stoppe tout ce que l'on fait pour regarder les informations à la télé. Doofie se dit : Il me fait penser à mon père, qui tous les midi et tous les soirs quand il rentrait du tavail, allumait le poste de radio pendant le repas, et toute la famille devait faire le silence complet pour qu'il écoute ses informations. C'est comme cela que Doofie a acquis une bonne culture de ce qui est maintenant devenu l'histoire du milieu des années 50 jusq'au début des années 70. Jusqu'à son demi-départ de la maison en 73. (Elle rentrait une fois par semaine). Et là, encore une inconguité propre aux rêves, les informations dataient de 1983. Il avait dû se passer quelque chose d'extaodinaire en 1983. Les actualités étaient en noir et blanc ce qui contrastait avec l'ambiance de fête toute colorée.

C'est là que Doofie se réveilla, triste retour à la réalité. L'entrée avec son odinateur devant elle, ses piles de livres, son travail autour d'elle et dans la cuisine, la radio qui diffusait à haute puissance les informations et Schnelly qui faisait à manger et lui apporta le repas de midi avec le poisson acheté hier, au dessus de son ordinateur. Pour une fois c'était bon, Doofie qui est en princpe végétarienne et pas végétalienne, aime le poisson. Elle ne mange pas de viande ,mais elle mange du poisson.  le poisson la consola du rêve envolé et des beaux jardins (des Hespérides?).

Doofie entendait du bruit en haut, du côté du haut de l'escalier ou dans l'une des chambres dont Schnelly a barré l'entrée par un tas de choses hétéroclites. C'est là qu'un placard a été presque vide de ses livres d'allemand dont sa méthode Die Deutschen qu'elle aimait bien, la première méthode avec laquelle elle a enseigné. Et aussi... c'est là qu'elle a rangé les photos récentes de sa mère. lMais elle ne peut pas les regarder, car c'est bloqué. Schnelly, près de sa radio qui diffusait ses informations à très haute intensité, n'entendait rien,pas de bruit en haut. Le bruit qui ressemblait à des choses que l'on prenait ou que l'on rangeait, dura encore dix minutes, c'était peut-être aussi la voisine, mais elle ne sait pas si elle est là. Car sinon, on n'entend pas de bruit. On entendait aussi des craquements dans le haut de l'escalier,la voisine balaie peut-être son escalier, se dit Doofie. Ou alors quelqu'un est rentré pendant qu'elle dormait, mais qui? Je dois préciser qu'il était midi quand Doofie s'est réveillée de son deuxième sommeil assise devant son ordinateur après avoir dormi une partie de la nuit, cependant. Car si elle a été couché tard, c'était moins tard que d'habitude. Quelqu'un ? Décidément cela a tout l'air d'être un fantôme. Si le fantôme remettait ses livres en place. Ou alors le fantôme de sa mère qui  regarde peut-être ses propres photos. Pourtant elle est morte à bien des kilomètres de là. .. Bizarre, s'est dt Doofie... Ma mère a dû monter au moment où elle est sorite de mon rêve et elle est restée encore un moment dans la maison ...

Pour Doofie qui dort

domino

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