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lundi, 23 mai 2011

Hstoire européenne

Il serait intéressant que les élèves de toute l'Europe apprennent désormais l'histoire européenne, ne se contentant pas de quelques évènements marquants comme la Réforme, les deux guerres mondiales, les guerres napoléoniennes, le tout étant dans nos programmes toujours vu d'un oeuil français. Il serait temps qu'à l'instar de la note que je viens de publier, on étudie l'histoire européenne dans toutes les imbrications de ses peuples, de ses langues.

Combien de fois ai-je par exemple entendu dire que le hongrois serat une langue slave qui ressemblerait au polonais (grossière erreur!) , et que le finlandais serait une langue scandinave deuxième grossière erreur). Combie de frnaçais ignorent que chaque pays balte à sa propre langue...

(Les caractères gras ne sont pas voulus, c'est encore une fois mon logiciel qui ne tourne plus rond).

Il n'y a qu'en histoire de la musique qu'on est assez éclectique, bien que le fait que l'on commence à étudier aussi la musique de variété dans les cours de musique, fait que l'on est plus tourné maintenant en matière de musique, vers l'Amérique que vers les classiques européens. Je me souviens d'une époque où mon frère ne jurait que par Moussorgski, Dvorak, Tchaïkowski, Rimsky-Korsakov, influencé en cela par une professeur de musique qui avait réussi à entousiasmer ses élèves dans un collège technique. Et on n'entendait plus à la maison que les "Steppes de l'Asie Centrale" et les "Tableaux d'une Exposition" et "la Moldau".

On demande aux professeurs de langue de parler de l'art des pays dont ils enseignent les langues, mais même si cette culture est intéressante, cela limite pour les alèves l'apprentissage de lart, à l'art franças et aux arts des pays dont ils apprennent les langues, génératlement deux langues. Et laisse dans l'ombre tous les pays aux langues minoritaires en Europe.

Voilà, mais cela ne suffit pas une étude plus précise de chaque peuple s'étant établi historiquement en Europe serait utile aussi.

Certains me reprochent par exemple dans les projets pédagogiques que j'établissais jadis de ne parler que de culture européenne et d'ignorer la culture d'Afique du Nord par exemple, mais je ne peux pas enseigner ce que je ne conais pas bien.

Par contre qu'il y ait un rapport entre la langue berbère et le basque ou le hongrois est fort possible...Mais dans ce cas, ce serait le berbère qui viendrait d'Euorpe et non le hongrois ou le basque qui viendraient d'Afrique. Le berbère (peuple ayant souvent les yeux bleus et les cheveux clairs), pourrait venir aussi d'Oural les tribus se seraient alors réparties de part de d'autres de la méditerannées.

Il y a aussi une parenté entre le berbère et les langues d'Afrique de l'Est et une parenté entre les langues d'Agrique de l'Est et le guarani (d'Amérique latine).

Guarani : M'barakapu, Baraké...

Afrique de L'est : Barack (Obama!)

Afrique du Nord : M'Barek

Hongrois : Emberek (des hommes)...

Un livre de linguistique de Meritt Ruhlen tendait à dire que toutes les langues auraient la même origine. Mais on peut remarquer de part le monde des ressemblances entre certaines langues et des familles; mais quelque chose nous pousse à dire que certaines langues, même éloignées géographiquement soient apprentées.

Par exemple si on situe l'origine de l'humanité dans le rift africain de l'Est, les peuples africains parlant ces langues en M'Barek, auraient pu d'une part passer l'Atlantique Sud, et atterrir au Pays Gurarni (PAraguay, Brésil, Nord de l'Argentine), peut-être à une époque où les continents n'étaient pas aussi éloignés que maintenant, l'activité sysmique et volcanique actuelle, nous montrant que la dérive des continents est toujours en cours, et pourrait être plus récente qu'on ne le pense, et d'autre part des peuples d'Afique de l'Est serait remontés jusqu'en Oural, perdant leur couleur au fil des temps, et par les déplacements de population auraiet conquis le bassin du Danube et auraient pénétré jusqu'aux Pyrénnées, bien qu'on peut imaginer que les Basque seraient montés du Sud, par le détroit de Gibraltar et seraitn d'origine africaine, et non des Huns; on pourrait imaginer aussi que des peuples africains, devenus blonds par manque de lumière dans l'Oural, seraient ensuite en partie redescendu vers l'Afrique du Nord par l'intermédiaire de la Turquie et lde la Méditérannée.

Bon, ce serait même une histoire des populations mondiales qu'il faudrait faire, tous nos élèves savent que les Noris américains sont d'origine africaine et sont la plupart du temps d'anciens esclaves, mais combien connaissane tl'histoire chinoise, vielle de 4000 ans, les dieux hindous, les familles et les origines des langues. Il n'y a pas que les universitaires, et littéraires de plus qui devraient avoir cette culture, que l'on ascuqier généralement plutôt à l'âge adulte par ses elctures, quand on aime lire, que par l'école.

Dans l'un de mes remplcacements (pas le dernier), je me suis rendu compte que des élèves ide seconde ignoraient l'emplacement de la mer Baltique, ignonrant où étaient la Suède et la Norvège qu'ils situaient vaguement quelque part dans le Nord, ne sachant pas au bord de quelle mer ces pays se trouvent et ignorait l'existance des Pays Baltes.

Quand j'étais petite (vers 6-7 ans)j'avais un puzzle avec les différents pays d'Europe,  fait de pièces de plastique munies de petits embouts, que je devais cliquer sur une carte. Et cette carte m'a été très utile, je connaissais même la presqu'île de Kola et la mer Blanche et le Lac Lagoda, la Crimée et la Mer Noire  qui étaient inxcrits sur ma carte puzzle! Une bone initiative de mes parents de m'avoir offert cette carte. Je savais où étaient la Lettonie, la Lithuanie et l'Estonie qui appratenaient encore à l'URSS!

Et mon frère avait un puszle avec les départemetns de France, qui était très intéressante aussi. JE faisais aussi les itinéraires de départ en vacances pour mon père, déjà vers 8 ou 9 ans, calculant les kilométrages et les heures de passages dans telle ville et dans qu'l coin on allait faire étape.

Roman-théâtre

Non, vous allez dire, c'est de Doofie que je parle, mon personnage de théâtre, pas de moi.... C'est Doofie qui est un génie, pas moi...

Bon, Doofie elle est princesse de sang royal et impérial, princesse de Taxandrie et de Ligne. Alors que Bêite n'aurait parait-il pas d'origine noble.

Bêtie, elle, a des origines plus modestes : des cordonniers, des journaliers...

Bon, voilà, Bâtie n'est âs allemende. D'origine franque et alamane en veut pas dire allemande. Les français sont par définition d'origine franque.

Bêite tire ses orgines en grosse partie de la Belgique. wallone et flamande. Une de ses ancêtres flamandes avait épousé un marchand allemand de la rive gauche du Rhin occupée par Noapoléon et était morte en couche, donnant le jour de son décès, naissance à une autre ancêtre de Bêite; .

Et aussi un papetier du pays welsch alsacien (région d'Alsace où l'on parle français) né dans le Duché de Hesse Darmstadt, cette famille venant elle même des Alpes bavaroises...

Un militaire, baron espagnol, ayant pris femme en Wallonie à l'époque de Philoppe IV d'Espagne pourrait être parmi ses ancêtres, mais ce n'est pas sûr. C'est le patronyme d'une ancêtre ayant habité à 10 km de l'endroit où s'est marié ce baron espagnol, peut laisser penser cela. En fait, il aurait été sous les ordres du roi d'Espagne, mais catalan du Roussillon. (NB : la Belgique était occupée par l'Espagne, dans ce qu'on appelait les Pays-Bas Espagnols).

Bon, elle en trouve Doofie, depuis qu'elle fait son arbre, elle découvre des choses incroyagles sur ses originies plutôt honnêtes et "biens".

Pas de sorcière, comme pour la femme de son frère... mais des bourgeois catholiques soutennt les rois espagnols occupant la Flandre et la Wallonie, des petits seigneurs, peut-être un baron, des forestiers, un papretier, des cordonniers de père en fils, un forgeron, un médecin alsacien, chirugien du XVIIème siècle,ayant le même patronyme que des médecins allemands célèves ayant écrit des thèses très intéressantes, dont une sur le mouvement des planètes. Des maires, des bâtisseurs de canaux...  et tout ceci sur une espace gérographique assez réduit qui va du Rhin et un peu plus loin (Hesse, peut-être Haute-Bavière, jsuqu'à près de la mer du Nord, couvrant praiquement toute la Belgique et quelques villes et villages frontaliers du Nord de la Fance. Jusqu'ici Bêtie a trouvé dans les 250 ancêtres...  réparti sur cet espace réduit avec peut-être ce baron catalan de la région de Perpignan.

Et aussi un écuyer du prinde de Ligne...

Doofie est remontée plus loin, c'est pour cela qu'elle est princesse de sang impérial et royal.

Pour Doofie et Bêtie, domino

 

Les Huns et les Magyars...

Les Huns et les MAgyars sont deux peuples différents, alors que nous les français, par l'analogie que nous faisosn entre le mot Hun et le mot Hongrois, nous les plaçons dans le même sac!

Tout d'abord, qui étaient les Huns?

Les Huns sont un peuple nomade venu de l'Est qui a chercher à s'installer, suivant en celà les tribus germaniques, en Europe de l'Ouest vers 450 après Jésus-Christ, à l'époque de la fin de l'Empire Romain d'Occident.

Les tribus des Huns, furent repoussées selon l'histoire, par le général romain Aetius, qui d'après les hstoriens connaissait bien les coutumes de guerre de ce peuple nomade, car il aurait été élevé avec Attila, à la cour Wisigothique d'Espagne...

(J'ai déjà évoqué dans un article la possibilité que Aetieus et Attila, vu la ressemblance entre leurs noms n'aient été qu'une seule et même personne, et que dans ce cas Attila aurait repoussé lui-même la partie trop turbulente de son propre peuple, mais comme disent les connaisseurs, tout comme affirmer que Aetius aurait été le légendaire Roi Arthur, n'est que spéculationr, la matière "bretonne" pourrait être la matière celte ou gauloise, et la matière  française, la matière franque, celle des Mérovingiens.

Donc, les Huns furent repoussés par les gallo-tomains aidés des autres barbares mérovingiens et autres peuples germaniques, à la bataille des Champs Catalauniques de 451 près de Châlons-en-Champagne (l'ex-Châlons sur Marne de mes années d'enfance et d'adolescence). Et selon l'histoire, il s'installèrent dans le bassin des Carpates, traduisez par là la plaine hongroise, au bord du Danube.

Il s'agissait de la deuxième bataille des champs catalauniques, une autre bataille des Champs Catalauniques ayant opposé au IIIème siècle, les Romains et des Gaulois Révoltés contre les Romains (Ah! Astérix!). Bref, une révolte de nos ancêtres les Gaulois! (qui ne sont que faiblement mes ancêtres d'ailleurs, car je tire mes origines presque exclusivemetn dans les peubles barbares germaniques, francs de l'Ouest en majorité!, ceux regroupés autour de Clovis et Charlemagne. Et je ne suis que très peu celte ou latine)).

Bon, mais revenons-en à notre deuxième batailles des Champs Catalauniques... c'est vers 450-500 donc, que les Huns reculent jusqu'au bassin des Carpates et s'installent au bord du Danube. En petit nombre seulement, la plupart ayanat été tués lors de la fameuse bataille...

Et c'est vers 750 seulement, soit 250 plus tard que les 7 tribus magyares déferlent de l'Est vers le bassins des Carpates et s'installent au même endroit que les Huns, dans ce que nous appelons maintenant la hongris. Absorbant vraisemblablement ce qui restait des Huns.

Il semblerait ici que le Danube ait joué un grand rôle comme voit de pénétration des peuples de l'Est en Europe. C'est en effet le Danube que suivent ces tribus magyares, originaires de l'Oural, à la réputation aussi belliqueuse que leurs prédécesseurs huns,  lorqu'ils font certains raids jusqu'en Bavière et en Italie, repoussé par Otton 1er de Bavière en 955. Ils n'attaqueront ensuite plus l'Ouest de l'Europe. Ils n'iront pas aussi en avant que les Huns, n'arrivant pas jusqu'en Gaule. En effdet, quand ils arrivent dans ce qui va être la Hongrie, il ne règne déjà plus en Europe de L'ouest le chaos de la fin de l'Empire Romain d'Occident, avec l'installation des francs, goths et alamans au pouvoir et le pouvoir des tribus germaniques est déjà bien établi en Europe de l'Ouest quand les magyars tentent une incursion.

Cependant, si les descendants des Huns ont pu s'assimiler facilement aux Magyars, c'est qu'il aurait existé quand même une parenté entre ces deux peuples. S'installant dans le bassin des Carpates, les sept tribus magyars se choisissent  un roi, le roi Arpad, qui dirige les tribus magyares à partir de 896, les populations locales divisées en une multitude de clans disparaissent ou s'assimilent derrière ce peuple envahissant etr très actif.

Mais le vrai 1er Roi hongrois est un roi chrétien, Etienne 1er, couronné en l'an 1000, le pays ayant été converti au christianisme. La dynatie des Arpad régnera jusqu'en 1300, faisant place par mariage avec probablement un duc d'Anjou, faute d'héritier masculin, à la dynastie d'Anjou, d'origine française!

On a relevé pendant longtemps une similitude entre le basque et le hongrois... à cause des pluriels en -k par exeple. L'une des éllèves récentes de Bêtie, mon peronnage de roman théâtre, ayant un nom en -k, bien qu'ayant un nom aux consonnances africaines, mais aux yeux bleus, doit être d'origine hongroise ou basque.

Au Pays Basque vous courez arès les pottokak dans les montagnes, chaussés de vos esparziniiak (espadrilles)  (orthographe non garantie, chaussures en toile à semelle de corde, que les français aiment adopter en été), alors  que les hongrois voient passer les autok et les taxik dans les rues.

Alors, j'ai pensé personellement, mais ceci étant mon opinion presonelle que les Basques pourraient être les descendants d'une partie de l'armée des Huns, une avant-garde qui n'aurait pas été repoussée par Aetius et ses troupes et se seraient installée  de part de d'autre des Pyrénneés. D'ailleurs le fait qu'Attila ait été à la cour wisigothique d'Espagne dans son enfance, tendrait à prouver cette théorie. Car les Basques ne sont pas les Ibères, peuple qui occupait l'Espagne avant l'arrivée des Romains.

Par contre les relations entre la langue hongroise et la langue turque sont établies au niveau du vocabulaire, car les Turcs ont été maîtres de la partie Est et Centre de la Hongrie durant 150 ans, depuis la bataille de Mohacs en 1526 jusqu'à leur départ en 1699. A cette époque la Hngrie a adopté du vocabulaire turc, le passage d'une langue à l'autre ayant été facilité par le fait qu'il s'agisse de deux langeus agglutinantes (qui contrairemetn aux langues indo-européennes, prennent leurs marquage prépositionnel en fin de mot la plupart du temps, de même que leurs adjectifs possessifs remplacés par des terminaisons ressemblant aux personnes verbales sur les noms). Tous les marquages,  nombres, possesseurs, cas (focntion) venant s'agglutiner à la fin des mots, les mots hongrois paraissentt très longs alors qu'en fait, ils sont  très courts!

Par ailleurs le hongrois possède une harmonie vocalique comme le turc. Les cas, et les préposistions de même que les pronoms personnels étant marqués par des consonnes, de même que les personnes verbales, les voyelles qui aident à la prononciation de ces consonnes et sont placées entre elles, vont prendre la couleur des voyelles principales du mot, un son "a" appelant un" a" ou un "o", un son" i" ou "e" un "e", etc..

Voilà donc, quelqeus considérations sur l'histoire et la langue magyare et leurs rapports aux autres peuples et langues.

Mais d'ores et déjà, l'on peut dire que les Magyars ongrois) (hne sont pas des Huns, ni des Turcs, ni des Mongols, ni les descendants de Genghis Kahn, donc des erreurs à ne pas faire, ne mélangeont pas tout ce qui vient de l'Est, sinon gare aux confusions...

domino

 

Plus d'expectative

Roman-théâtre

Bon, pourquoi le week-end a été rajouté? Mystère... Toujours est-il qu'à minuit pile les deux établissements de remplacement ont disparu du dossier électronique de Bâtie et elle est redevenue TZR libre (ah! Une zone de rempllacement est un poste comme un autre, et elle reste en activité, même entre les remplacements!), ceci pour ceux qui prennent Bâtie, professeur bi-admissible à l'agrégation, pour une auxiliaire, et n'oent encore rien compris au statut des TZR.

Allez, Bâtie peut dormir sur ses deux oreilles, elle ne devra pas faire 170 km demain, avec une heure de marche à pied AR de la gare au collège le plus proche.

Renseignement kilométrique pris, le chemin transversal que devait prendre Bâtie pour ce remplacement étaiit aussi long que le chemin de grande métropole régionale à ces deux mêmes collèges, car le bas du département est aussi large que la distance qui sépare 1) le domicile de Betie de grande métropole rétgionale, 2) le dominicile de Bêtie des collèges où elle a fait des rempalcements, 3) Grande métropole régionale des deux collèges en question, parce que c'est en réalité un trinagle équidistant.

Pour Bêtie, domino

dimanche, 22 mai 2011

Expectative

Roman-théâtre

C'est le lot des TZR à remplacement de courte et moyenne durée, Bêtie, la copine de Doofie de l'autre bout de la France, est dans l'expéctative. Elle avait un remplacement jusqu'à Vendreid 20 Mai, elle a rendu ses clefs à l'administration des collèges de remplcament, et a dit au revoir à ses élèves, elle a vu la collègue qu'elle remplaçait Vendredi soir pour faire la liaison avec elle, et cette collège  doit reprendre le travail demain, et d'un seul coup, elle voit sur son dossier électronique qu'on lui a rajouté deux jours au même endroit. Le samedi où elle n'a pas de cours et ce dimanche. Et elle se demande si la collègue n'a pas pris une prolongation ou n'est pas tombée malade et qu'elle va devoir retourner là-bas demain, et elle ne sait pas si elle doit y aller ou pas. Sans avoir préparé les cours.... puisque en principe elle ne devait pas les faire, puisque son remplacement était fini.

Alors elle se demande, va-t-elle faire à tout hasard 170 km AR peut-être pour rien, ou rester à la maison en attendant qu'on la rapelle? Puisque si on a remis le samedi et le dimanche sur son dossier électronique et qu'on a laissé l'affectation, cela veut dire que elle a aura peut-être un prolongement de remplacement à partir de demain. Il faudrait quand même, surtout quand le remplacement est si loin, que le rectorat soit clair sur les dates. En principe, quand il y a une prolongation le chef d'établissement vient la donner   en main propre le dernier jour du remplacement.

Là la collègue est venue au collège où Bêtie travaillait Vendredi soir et elle a pris le caheire de textes et tous les documents nécessaires à sa reprise. Donc, théoriquement le remplcament de Bêitie etait fini, et voilà que Bêtie voit que l'affectation en suppléance est toujours sur son dossier électronique (maintenant, elle va peut-être disparaître automatiquement à minuit, c'est à dire dans un peu plus d'une heure...). 

Alors pauvre Bêtie a dit au revoir à ses amitiés naisantes et même plus ou moins adieu et puis, elle a pleuré un peu en quittant ses villes et ses parcours ensolleillés, les poules et les chants des coqs, un peu comme si elle quittait un endroit où elle avait été en vacances studieuses, comme après un stage de musique, et d'un seul coup, boum, on la renvoie deux jours après dans les endroits qu'elle avait quitté avec un peu de nostalgie, les yeux embués peut-être avec moins de solieil, des parcours à pied mouillés (il y a eu de l'orage la nuit dernière après trois semaines de remplacement ensoleillé), la peur s'il y a de lorage quand elle sera dans son abri à la gare, car le temps a changé. Avec la ligne électrique du train qui passe presque au dessus de l'abri. Et peut-être que dans une semaine, deux semaines, un mois, il va falloir pleurer de nouveau avec nostagie et boum, rebelotte, on vous remet une prolongation,.. ou pas, bref, la douche écossaise.

Et les élèves qui s'imaginaient ne plus la revoir, et attendent leur professeur habituel?

Pour Bêtie

domino

samedi, 21 mai 2011

Vocabualire et prononciation

Roman-théâtre

Doofie, mon personnage de théâtre, tire, dans son journal, des conclusions sur son apprentissage des langues rares et difficiles en grand débutant et de son enseignement récent dans plusieurs collèges et lycée depuis deux ans où elle a eu un certain nombre de remplacements.

Voici les réflexions que Doofie se fait :

Tout d'abord il faut apprendre la prononciation (c'est par là que débutent tous les cours d'université en langue débutant, on apprend l'alphabet et on étudie la prononciation de chacune des lettres dans leurs différentes places dans le mot, ce qui est utile pour les langues comme l'allemand où chaque lettre correspond à un son (ce qui est aussi le cas de la plupart des langues), et on insiste sur les sons spéciaux qui n'existe pas en français et sur les lettres qui n'existent pas en français, et sur les graphies spéciales.

Puis à chaque fois qu'une son est mal prononcé dans les premières leçons, on insiste sur la prononciation et on réexplique la graphie et le son, pour que cela rentre bien et que l'élève puisse, surtout dans des langues où une letre équivaut à un son, bientôt lire à voix haute sans aide et identifier les mots nouveaux qu'il lit dans les textes ou que le professeur écrit au tableau avec leur bonne prononciation.

En effet, surtout cette année, Doofie a constaté que des élèves, par exemple en seconde et dans des classes débutante où les élèves sont assez en difficulté (aussi en anglais, car elle a pu contater que les mêmes élèves prononcçaient mal l'anglais et que par conséquent, ce n'est pas de la faute des professeurs), prononcent en allemand des v comme des v français, des z comme des z français, des ei comme è, etc...

Doofie a commencé avec les méthodes audio-visuelles, où les élèves n'avaient pas ce problème car ils avaient la langue dans l'oreille avant de commencer à lire c'était l'époque où les élèves en 4ème LV2 et en 6ème n'écrivaient rien jusqu'en novembre. Alors le passage à la lecture et à l'écriture se faisait natuellement, sans explications de prononciation. Mais ce n'est plus le même maintenant où l'on écrit tout de suite, et les élèves de 4 LV2 et de 6ème bilangue n'ont pas tous eu un enseignement de l'allemand en primaire. Mais Doofie a remarqué qu'on insiste plus assez sur la prononciation au début des études d'allemand.

Doofie a constaté que dans une 4ème LV2, les élèves ont la bonne prononciation quand ils interpêtent une chanson qu'ils ont apprise, mais prononcent mal les mots nouveaux qu'ils lisent (Doofie a eu beaucoup de mal à faire prononcer le ch de suchen, que les élèves pronconcent comme en français, ou bien sucken, au lieu de prononcer le Ach-Laut). Doofie qui est musicienne a déjà fait répéter des chansons en allemand (les paroles) à des chorales d'adultes, généralement les choristes profs d'allemand sont mis à contribution pour faire répéter les paroles des chants en allemand.... et Doofie a constaté que ces personnes de tous âges et qui pour la plupart n'ont jamais fait d'allemand prononcent bien les paroles des chants allemands.

Bon, Doofie pense ensuite que avant d'aborder les choses compliquées il vaut mieux assurer la base du vocabulaire. Le vocabulaire devrait être utilisé par ordre de fréquence dans la langue. D'abord les mots les plus utilisé qui sont "souvent les mots grammaticaux, les adverbes de lieu et de temps, les petites mots comme souvent, toujours, encore, plus, jamais, là, ici, aussi..." qui sont très employés et que les élèves oublient facilement, car ils retiennent plus facilement les noms qui désignent des objets concrets, et certains verbes.

Il doit y avoir aussi des heures plus propice à l'apprentissage des langues, parce que Doofie a remarqué que ses sixièmes avaient oublié le Vendredi après-midi des mots qu'ils savaient bien le mardi matin à 9 heures. Elle a trouvé mis à part les cinquièmes et les troisièmes d'un des deux collèges qui faisaient preuve de beaucoup de maturité, que les élèves pouvaient être sur le plan de la mémoire et de la mémorisation très inégaux d'une heures à l'autres.

Mais Doofie l'a constaté également sur elle-même : le vocabulaire doit être toujours rebrassé surtout au début de l'apprentissage d'une langue, pour rester ancré. Une fois ancré, il peut rester dans la mémoire toute la vie, comme Doofie le constate pour l'anglais, le néerlandais ou l'espagnol, des langues dans lesquelles elle a - en plus de l'allemand - déjà un certain niveau.

Doofie a constaté que certains mots peuvent  occulter l'apprentissage d'autres mots. Les élèves qui avaint employé  souvent le mot Zimmer, étaient persuadés quand le professeur a écrit immer au tableu, que le professeur avait oublié un "z"! Et ceci à plusieurs reprises dans la même classe! C'est pourquoi, il faut insister aussi sur les mots que l'on peut confondre entre eux...

Doofie a eu du mal à apprendre les parties du corps en langue ouralo-altaïque, parce qu'ils s'agit presque exclusivement de mots d'une syllabe, formés de trois sons, une consonne, une voyelle et une ou deux consonnes. ..  car ils se ressemblent tous un peu et a dû revenir bien trois ou quatre fois sur cette liste, même avec le dessin qu'elle a fait elle-même, et elle a retenu plus vite les mots de deux syllabe. Comme quoi, il faut apprendre et employer plusieurs fois les mots pour les retenir.

Doofie espère que les quelques réflexions pourront pousser les auteurs de manuels à élaborer de véritables méthodes de langue très progressives, un peu comme on fait des méthodes pour jouer des isntruments de musique. En pendant qu'il n'y a pas de plus grands pédagogues que les professeurs de solfège et d'instrument des conservatoires et écoles de musique.

Pour Doofie : domino

 

 

 

Là où les coqs chantent.....

Roman-théâtre

Finalement, Bêtie, mon personnage de roman-théâtre qui habite à l'autre bout de la France par rapport à Doofie, n'est pas mécontente d'avoir fait ces remplacements presque à l'autre bout du monde, à l'autre bout du département, tranversalement.

Elle se souviendra toujours d'avoir, lors de l'étude d'un album consacré aux lapins de Pâques, avoir entendu le coq chanter dans une basse-cour à prosimité du collège, juste au moment où l'on parlait de l'image où le coq passait la tête à la fenêtre pour réveiller le lapin de Pâques qui devait alle porter ses oeufs dans les jardins, ceci dans une classe avec vue plongeante sur les jardins de légumes des environs.

Et ces bruits si agréables dans les deux collèges d'oiseaux qui chantaient le printemps, de tourterelles et de coqs qui chantaient de prèe et de loin, sauf le jour où il a fait un peu gris (mais sans pluie).

Chose étonnante dans ce pays du septentrion, après les gros orages des vacances de Pâques, le ciel est resté invairablement bleu ou presque, d'un bleu presque méditéranéen. Les élèves étaient en tenue d'été. Mais Bâtie, elle, s'enfouit toujjours sous de grandes tuniques qui cachent toutes ses formes, avec maches longues et pantalons trop larges.

Bêtie se souviendra toujours de la route à pied de la gare au collège qui n'est pas trop loin d'une gare (12 mn à pied d'après les itinéraires d'internet, une demi-heure au rythme de Bêtiie. Mais c'était le calme, le grand calme (ssauf le jour où on a entendu des avions), même avec les habitations autours, corons modernes et plus anciens. On entendant iles oiseaux chanter, il y avait des fleurs, des vieilles dames devant leur maison, le facteur qui faisait sa tournée, le lundi quand elle commençait sa semaine le midi, des pigeons dans des cages dans le coron, des vaches et des chevaux dans les patûres à l'arrière des maisons et de jolies vues sur la ville et son église.

Et le soir, trois quart d'heures d'attente dans l'abri du point d'arrêt SNCF, avec le calme complet entre les trains rares qui passaient. Celui en sens inverse qui passait quand elle arrivait, un ou deux trains de marchandises, le deuxième train dans l'autre sens, puis le sien. Elle avait peur d'oublier de se lever à temps de son siège. Pour prendre le train qui ne s'arrête qu'une minute.

Et le chauffeur de taxi sympa qui fidèle aux rendez-vous et bien à l'heure, lui a permis d'arriver à l'heure dans le collège sans gare avant 8 heures du matin et d'arriver à l'heure dans ses deux changements de collège entre midi par semaine. Car sans le taxi, ces remplacements auraient été impossibles. Bêite avait pris tous ses rendez-vous à l'avance. Et la hantise c'était de ne pas arriver à l'heure, deux fois ça a failli, le jour de la grève des trains, et quand un train a été supprimé pour panne, mais elle a réussi à arriver à l'heure quand même. Comme quoi le métier de chauffeur de taxi est utile à tous.

Et les classes si bien décorées : les oeufs de Pâques avec les branchages colorés, les lapins de Pâques, le marchand de sable qui regardait le tableau en même temps que les élèves, assis sur le rebord de la télévision, (Bêtie n'oubliait pas de la recoucher avant de rentrer le soir) le superbe décoration de sa collègue, faite de travaux d'élèves et de posters pédagogiques. La petite bibliothèque en allemand. avec livres pour enfants et livres d'images sur l'Allemagne (il y a même un livre où l'on voit l'étiquete de la Doppel karamel Bier de la RDA, la bière sans alcool pour les furures mamans, la seule bière que buvait Bêtie là-bas.

Non, Bêtie n'oubliera pas...

Pour Bâtie, domino