dimanche, 13 mars 2011
En Sarpénie...
En Sarpénie , pays où vit Doofie, princesse de sang royal et impérial, duchesse de Taxandrie, on a fait un rapport circonstancié sur un prof qui avait dit un gros mot... Le prof a dit pour sa défense, et il a eu gain de cause, que le roi Entreboues, empereur de Sarpénie en disait aussi..
Toujours en Sarpénie,, pays où vie Doofie... etc... mon héroïne de roman-théâtre on a fait un rapport cirsonctancié sur Dommie qui a une chaîne vidéo sur "Votre Tube Cathodique", sur laquelle ele chante et joue ses composisitions et ses arrangements de musique traditionelle pour voix soliste, voix et guitare, guitare seule, et choeur de femmes à six voix. Car Dommie est professeure et il ne sied pas à une professeure de faire une chaîne musicale chez l'hébergeur n°1 de vidéos "Votre Tube Cathodique, même si c'est une chaîne de haute qualité et mondialement reconnue. Elle a eu gain de cause en disant que l'impératrice chantait aussi et jouait aussi de la guitare et composait aussi et s'était rendu célèbre quand ses vidéos ont été diffusées sur Votre Tube Cathodique. Alors elle a eu gain de cause.
domino
11:12 Publié dans Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, procédés littéraires écriture
lundi, 19 avril 2010
Les dragons...
Connaissez vous l'histoire du héros qui térrasse la dragon, que l'on retrouve tout d'abord dans la Bible, St Michel térassant le dragon, mais aussi dans de nombreux écrits de lantiquité. En Chine aussi et dans les religions hindouistes, la dragon a son importance. De nombreuses légendes et de nombreux contes nous parlent aussi de héros terassant des dragons. et aussi la littérature du Moyen-âge, en particulier le romand e chevalerie, voit de nombreux héros térasser des dragons, à l'instar de Sieggried, Erec térasse dragons, nains et géants.
Qu'elle est la caractéristique du dragon... Il crachait du feu... Avait une grande gueule béante ouverte, exactement comme les volcans...
Mais pourquoi trouverait-on alors dans les romans de chevalerie en Allemagne et en France (Chrétien de Troyes) des héros terassant des dragons.
Savez vous que César a décrit dans la guerre des Gaules, les volcans d'Auvergne, en acitivté, que ceux ci ne font que dormir, car les sources chaudes des eaux minérales prouvent une intense activité volcanique souterraine. Sur le versant Ouest des Vosges, les sources de Vittel et Contréxéville sont également chaudes et dans l'Eifel, les eux de Gerolstein, ne laissent planer aucun doute : entre ces lacs ronds dits "de cratère", des feux souterrains chauffent l'eau minérale gazeuse.
Alors de là à dire que Siegfried (Chilpéric 1er?) d'une part et les Chevaliers de la Table Ronde d'autre part avec le Roi Arthur (Aetius - Attila?)
aient été contemporain trois à quatre siècles après César de volcans en voie d'extinction, il n'y a qu'un pas. Qiuelle belle idée de dire alors que ces héros, en voyageant jusqu'au bord des cratères, ce qui pouvait être si ces volcans avaient encore une certains activité, considéré comme un acte de bravoure, aient dompté le feu qui s'y trouvait (mais qui en fait s'éteignait d'une façàn naturellle...)?D'ailleurs les dragons se trouvaient souvent au fond d'une caverne ou d'un gouffre.
Peut-être que dans une langue ancienne ou un dialogue de l'époque, un mot proche du mot "dragon" aurait désigné les volcans... Volcan et Dragon sont d'ailleurs deux mots qui phonétiquement ne sont pas très éloignés l'un de l'autre.
.....
Maintenant, ces volcans qui sont encore là, pourraient un jour se réveiller et reprendre leur activité. Il y a aussi l'épée de Vulcain trempée dans le sang du dragon ou dans le volcan.
domino
23:25 Publié dans Géographie i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : volcans, dragons, feu, mythes, littérature
L'inventeur
Goehe, notre Wolfgang pas Amadeus, mais Johann... von... était non seulement un très bon écrivain, mais un scientifique avéré.
Non, seulement il avait trouvé une théorie des couleurs et agencé les couleurs des pièces de sa maison de ville de Weimar celle du Frauenplan, selon cette théorie, découvrant en même temps leur effet sur la psychologie, on nous expliquait tout cela lors des visites guidées de cette maison à l'époque de la RDA (comme disent ses anciens habitants eux-mêmes, "zu DDR-Zeiten" (le terme prisé des germanistes français "die ehemalige DDR" ne se dit pas en Allemagne! A défaut de "die neuen Bundesländer", ce qu'ils disent parfois, ils préfèrent encore dirent Ostdeutschland, même quand il y sont nés dans cette Ostdeutschland ou "Wir, im Osten Deutschlands"., bon, bref, revenons en à Goethe. Goehte avait dont découvert une théorie des couleurs et.... l'os intermaxillaire, celui qui est entre la machoire supérieure et la machîre inférieure. Goethe était aussi un botaniste averti!
Bon, ceci pour vous dire que.... dans Faust, ce scientifique qui voulait tout savoir (autoportrait de Goethe?), ... certaines choses sont peut-être présentée d'une façon qui vous cache les inventions de Goethe.
Voyez un peu ce chien que l'on dénomme ensuite Pudel, c'est à dire caniche... apparaître en haut de la colinne lors de la randonnée de Faust et de son valet Wagner. Ecoutez voir plutôt ...!!!!!!
Ce chien, est plutôt Teuf... Teuf.... Teuflisch... d'ailleurs il va en sortir rien moins que Mephisto.... et de la .... vapeur.....
Regardez nos voitures qui n'ont pas changé depuis... quatre pattes, deux yeux, parfois un peu de fumée derrière.
Mais à l'époque de Goethe, les moteurs à explosion, déjà conçus par Léonard de Vinci quelques siècles plus tôt... n'étaient pas, encore très au point...
Regardez plutôt le vacarme que fait ce chien (sans doute métallique...) en haut de la colinne, il laissait une traînée de feu et de fumée derrière lui, car Goethe n'avait pas omis d'adjoindre à son invention, un pot d'échappement.
il faisait une aboiement digne du vacarme le plus intense du moteur à explosion, et ce vacarme était Teuf Teuf teuflisch...
La petite voiture qui ressemble à un drôle de chien descend derrière Faust et Wagner, s'installe dans l'entrée du logement om vit Faust. Abboie, abboie, abboie, vraiment d'une façon insistante, comme un moteur que l'on n'éteint pas. Fait un nuage de fumée, et oups, Mephistopheles en personne sort de la voiture chien.... et propose ses services à Faust...
De là à dire que Goethe aurait été, environ un demi-siècle avant son invention, l'inventeur du moteur à explosions et de la voiture, il n'y a qu'un pas...
Traduisez l'épisode comme ceci : Arrivés en haut de la colinne Wagner (encore une prémonition... le futur musicien...) et Faust rencontrent un futur ami qui actionne un Teuf teuf au bruit diabolique, à forme de chien à quatre pattes. Le teuf teuf les suit, stationne dans la maison de Faust en entrant par la porte cochère (il y avait probablement un sol en terre battu qui facilité la chose...), puis dans un dernier vrombissement, Mephisto éteint le contact ce qui provoque une énorme fumée, et descend de l'engin au milieu de cette énorme fumée...
domino
22:57 Publié dans Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : goethe, littérature allemande, littérature
samedi, 06 mars 2010
Des nombres et des expressions...
Je trouve que régulièrement, on devrait faire le tour des expressions de la langue française qu'employaient régulièrement nos parents, mais qu'on n'emploie plus guère et que les jeunes ne connaissent plus guère que par la lecture ou grâce au capitaine Haddock pour la premère que je vais citer ici :
"Voir trente-six chandelles"
Avoir un étourdissement en se cognant (ça arrive souvent au capitaine Haddock, on le voit dans les bulles), ou en tombant sur la tête.
"Attendre cent-sept ans" ou "Attendre le dégel".
Ma mère employait souvent l'expression "Bon, je ne vais pas attendre 107 ans" et à l'école l'institutrice disait "Je ne vais quand même pas attendre le dégel", ce qui faisait rire quand on était en plein été! Cela signifiait que l'enfant n'allait pas assez vite et qu'on l'attendait, mais ça se disait aussi à des plus âgés.
Ma mère disait : "Regarde, elle est sur son trente et un!" Ou alors, demain, on va chez M. ou Mme UnTel, il faudra se mettre sur son trente et un!"
En fait 'se mettre sur son trente et un" signifie "Bien s'habiller, s'endimancher". En effet, à l'époque on portati des vêtements différents en semaine et le dimanche, ou pour "aller en visite", encore une expression qu'on n'emploie plus guère. la plupart des jeunes disent "Faire une viste."
Dans mon enfance et mon adolescence et même encore quand j'étais étudiante, on faisait aussi, mais c'est dans un autre registre "la promenade du dimanche", tradition peut-être propre aux bords germanisés de la France (Alsace, et Nord) car il paraît que la promenade du Dimanche qui existe an Allemange,et probablement aussi en Belgique et en Hollande, n'existe pas ailleurs. On faisait aussi la promenade du dimanche chez ma correspondante allemande.
La promenade du Dimanche consistait, à une époque où la motorisation commençait, à aller à la campagne en voiture, puis on s'arrêtait près d'un chemin et on marchait une ou deux heures avant de rentrer au bercail en voiture, histoire de s'oxygénér ("prendre un bol d'air")quand on vivait en ville. Ou bien, on allait à la mer, à 70 kilomètres. Quand j'étais toute petite, et que mon père n'avait pas encore de voiture, on allait au parc ou on allait le long du canal, jusqu'à la guinguette, avec mes grand-parents paternels, oncle, tante et cousin et là-bas, mes parents dansaient au son du musette pendant que nous jouions sur les petits manèges et balançoires.
domino
11:44 Publié dans Linguistique i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expressions, langue franaçaise, littérature, français, langue
vendredi, 01 janvier 2010
Les ancêtres de Doofie (3)
Vous n'êtes pas sans ignorer que Doofie est une princesse de sang royal, descendantes des ducs de Flandres et de Bourgogne, vrai prétendant au thrône de France, car descendants des Capétiens Valois, ils étaient plus proche de Hugues Capets que les Bourbons, descendant de Hugues Capet qui lui-même descendant par l'interméidaire des Robertiens, de Robert 1er et de Robert le Fort, de Charles Martel, et Charlemagne, eux-mêmes descendant des Mérovingiens, par une branche fémininie, mais pas des rois fainéants, mais des premiers mérovingiens, dont Clovis et Chilpéric 1er, qui contemporaint, d'abord ami, puis ennemi de Gunter et Brunnhilde, serait le Siegfried du Nibelungenlied. ....quels ancêtres, les rois des Francs, les Carolngiens, Clovis, Charlemagne, les Robertiens, les Capétiens et les Valois juqu'à Philippe-le-Bon, puis par son deuxième fils, les ducs de Bourgogne et des Flandres, eux-mêmes souvent mariés à des célébrités de l'Est, princesses de Bavière, princesses Habsboug, princesses de Constantinople (descendantes de l'empereur romain Constantin)... Quelle belle généalogie.
Mais voilà, Doofie veut éclaircir quelque chose : Est-elle aussi la descendante de Merlin et d'Arthur??? et en même temps d'Attila? et de Guenièvre, la femme d'Arthur?
Voilà quelques points à éclaircir. Doofie a déjà pratiquement réussi à prouver que Arthur serait Aetius, retirré après la Bataille des Champs Catalauniques (une bataille entre gallo-romains alliés aux francs saliens et aux Wisigoths d'une part, contre les Huns, alliés aux Ostrogoths et à d'autres peuplades d'autre part) ayant eu lieu en 451 entre Troyes et Châlons-sur-Marne. L'une des plus grandes batailles de tous les temps, certains historiens parlant de plus de 100 000 guerriers combattant les uns contre les autres, les sources les plus sûres parlant de chiffres avoisinnant les 10 000 guerriers, mais avec aussi des milliers de morts.
Doofie écrit dans son journal :
Le général romain Aetius généralissime, pas romain, mais issu d'un peuple barbare non identifié, et aidé de Mérovée roi des francs saliens de Neustrie, nommée encore Gaulle, combatait paraît-il contre Attila chef des Huns. Attila serait arrivé à la tête de son peuple, aurait contourné Paris et serait parti vers l'Ouest, désirant conquérir l'Aquitaine, vers Orléans. Il se serait retiré ensuite par le Sud de Paris vers l'Est et les Champs Catalauniques, où Attila, grâcoé par Aetius, aurait eu le droit de se retires vers son pays, la Tisza, en Hongrie, avec les guerriers suvivants. C'est ce que dit l'histoire.
Seulement voilà.... Il y a ici une contradiction et mettez vous bien en tête que Aetius a écrit ses mémoires, et ses mémoires ou une partie des ses mémoires s'intitulent "Mon ami, Attila".
Voilà la contradiction, dans plusieurs endroits on lit diveses choses sur la jeunesse d'Attila.
D'après l'histoire Attila serait arrivé de Hongrie, où il serait né et aurait grandi, vers 406 et serait mort deux ans après la bataille des Champs Catalauniques au même endroit en 453.
D'après d'autres sources, Attila n'aurait jamais été le roi de tous les Huns, et se serait partagé le thrône avec son frère Bléda. Et ils auraient régné sur différentes parties des Huns.
D'après d'autres sources, Attila n'aurait pas grandi en Hongrie, mais chez les Wisigoths, dont il était l'otage ou le protégé (on ne sait pas trop) soit en Espagne, soit en Italie, à Ravenne. Il aurait été élevé avec son frère Bléda. Ils étaient tous les deux fils de Ruga, roi des Huns.
Si Attila était petit, alors qu'il était déjà en Europe, il se peut que le chef qui a amené les Huns en Europe de l'Ouest, serait son père Ruga, et pas Attila, qui aurait encore été trop jeune lorsqu'il a été élevé par les Wisgoths, pour mener un peuple à la bataille, car alors il aurait été petit enfant, quand il aurait amené les Huns vers l'Ouest. On parle aussi de Rugosité et de Rigueur, le rude, rugueus et rigoureux Ruga, aurait- amené son peuple, les Huns, vers l'Ouest, combattre, les gallo-romains, les goths et les francs, mais fait prisonnier des Wisigoths, aurait alors eu ses deux fils élevés par ceux-ci.
Mais voilà, un autre personnage, entre aussi en scène, un pesonnage dont personne ne connait l'origine, ce fameux général romain Aetieus, gagnat la bataille des Champs Catalauniques contre les Huns. Les dates d'Aetius? Il est presque l'exact contemporain d'Attila, 395-457. Il est né un peu avant lui et mort un peu après lui.
Mérovée alié d'Aetius, était à cette époque déjà roi des francs saliens : (412-457). donc l'un des premiers Rois de France. Mais voilà où la légende intervient, la grand-mère de Mérovée aurait enfanté le père de Mérovée, Clodion d'une double origine (les Francs Saliens n'étaient pas encore des Chrétiens...) humaine et divine (elle aurait été fécondée une seconde fois par un être fantastique ressemblant à un Centaure). Des théories loufoques disent que les hommes descendraient des dragons, des reptiles et que ces reptiles auraient été des dieux (les dinosaures?).
On attritbue à Mérovée et aux Mérovingiens des pouvoirs magiques et divins.... alors, si Mérovée était Merlin l'enchanteur? Ami d'Aetius, qui serait le roi Arthur, pourquoi pas? J'ai réussi déjà à prouver plus ou moins que Arthur, aurait été Aetius, et ensuite aurait été chritianisé dans les récits, car le christianisme était naissant, et nous sommes à l'époque des chroniques de Grégoire de Tours, attribuant ensuite au Roi Arthur (Aetius) et à son entourage des pouvoirs non plus magiques et divins, issus d'un Centaure, mais divins, venant du Dieu Chrétien, les prodiges et la magie des premiers mérovingiens, devenant ainsi les miracles du Roi très Chrétien (mais en réalité pas du tout chrétien) Arthur-Aetius.
Mais alors, pourquoi Aetius se serait battu contre son tour à tour ami et ennemi, Attila.?
Dans son enfance, soit à Ravenne, soit en Espagne, mais de toutes façons chez les wisigothes, d'après certaines sources et d'après Aetius lui-même, Attila aurait été l'ami d'Aetius. Car Aetius était l'otage des wisigoths, mais on ne sait pas exactement de quel peuple il était issu.
D'autres sources disent que les romains auraient échangé Aetius, devenu otage, avec Attila? Mais alors que serait devenu Attila chez les romains.
La théorie selon laquelle le jeune Aetius aurait été prisonnier des Wisigoths au même titre qu'Attila, et son frère Bléda (?), tiendait mieux.
Or, nous savons que plus tard Bléda et Attila sont devenus ennemis, alors qu'Aetius et Attila étaient encore amis. D'après la biographie d'Aetius, Aetius aurait mené de nombreuses batailles à côté d'Attila et pour lui avant de devenir son ennemi. et c'est là que quelque chose cloche...
Attila était vraisemblablement, le chef des Huns de l'Ouest allié aux wisigoths contre Bléda, son frère, qui aurait été chef des Huns de l'Est, alliés aux ostrogoths. Et Dieu sait si dans le langage populaire, les Ostrogoths, alliés aux Huns sont mal considéré, une injure suprème étant de dire "Espère d'Ostrogoth!" alors que personen ne songerait à injurier en disant "Espèce de Wisigoth"!D'ailleurs Attila s'est réellement battu contre Bléda, dix ans avant la bataille des Champs Catalauniques, et Bléda, qui prétendant au thrône de tous les Huns, car il était l'aîné d'Attila, et certaines sources disent qu'Attila aurait tué son frère Bléda dans les années 40 du Vème siècle. Mais ce n'est pas du tout sûr qu'il ait tué Bléda.
Voici alors, ce qui est possible :
Attila et Bléda aurait été, lorsque leur près Ruga envahissait la Gaule et l'Italie, faits prisonniers tous deux des wisigoths et enlevés par eux. Le général romain Aetius qui a mené pour Attila de nombreuse contre des envahisseurs de l'Est et divers peuples barbares voulant les soumettre, aurait en fait été aussi prisonnier des wisigoths, aussi prisonnier, ou aurait-il été Attila, et celui que l'histoire prend pour Attila à la tête de Huns cruels et sanglants aurait alors été son frère Bléda, en révolte contre Attila-Aetius et désirant lui prendre sa domination sur une partie du peuple hun. Et le chef barbare sanglant aurait alors été Bléda, sontre lequel Attila-Aetius aurait défendu son peuple pacifié en même temps que ses alliés les Wisigoths et les Francs Saliens, dont Mérovée aux pouvoirs magiques.
Pour la légende notre Aetius-Attila, généralissime romain, défendant une partie des Huns contre l'autre partie, dirigée par Bléda, à la tête de hordes sanglantes de Huns, non pacifiés, venant de l'Est où régnait Bléda, et allié aux Ostrogoths.
Ce grand roi Arthur-Aetius, qui vait gagné de grandes batailles et aurait pacifié la Gaule, alors encore gaëllique et donc matière bretonne, serait le Roi Arthur, allié au Roi des Francs Saliens, le magicien Mérovée ou Merlin, et aux peuplades gauloises, les bandes de gaulois réfugiés dans les campagnes et ce sont ces bandes de gaulois qui, en gaËllique ou langue gauloise, aurait propagé oralement sa légende.
Il est donc sûr que je descends de Mérovée, donc de Merlin l'Enchanteur mais je ne sais pas si par des mariages je descends aussi d'Arthur, donc d'Attila et de Aetieus. Une chose est sûre je ne descends pas du sanglant Bléda! Mais de son père Ruga, peut-être.
Je cherche encore si je descends d'Attila-Aetius, donc du Roi Arthur. Mérlin se serait retiré à Camelot. Il y a près de Soissons, un Camelin, où certains monuments très ancines, comme un mégalithe christianisé, pourrait avoir vu Mérovée donc Merlin...
Quant à Arthur son sanguinaire frère Bléda allant se réfugier dans la plaine de la Tisza avec le reste de ses Huns à lui se serait lui retiré à Avallon, entre Neustie et Bourgogne (Austrasie, pays des francs qui ont donné un siècle plus tard le roi Gunter et sa femme Brunnhilde, qui a tué Chilpéric 1er, dont j'ai déjà prouvé qu'il était Siegfried, petit fils de Clovis. A ne pas confondre avec Childéric 1er, père de Clovis et fils de Mérovée.
Mais voilà le Nibelungenlied écrit en 1200, sur des sources antérieures, elle-mêmes basées sur des sources orales, et légendaires, auraient-elles mélangé deux époques distantes d'un siècle, ou pourrait superposer ces deux siècles en changeant la datation. Chacun sachant que le calendrier grégorien a été établi à cette époque, précisément à l'époque de la bataille des Champs Catalauniques notre grand Grégoire, chroniqueur, auteur d'un calendrier, et pape, ayant par l'invention de son calendrier, fait brouiller bien des choses, et alors Chilpéric 1er/Siegfreid, aurait été Childéric 1er, Clotaire, Clodion pouvant avoir été aussi une seule personne, les langues latines, franques et gauloises et peut-être la langue des Huns (le Basque pour les Huns d'Attila?) ayant alors fait que de nombreux noms se seraient ressemblés, mais aurait désigné une seule et même personne.
Et dans ce cas là, si on peut superposer le Vème (les années 400) et le VIème siècle (les années 500) il serait possible que le Nibelungenlied ait raison, et que l'histoire de Siegfried et de Gunter, serait antérieure à la bataille des Champs Catalauniques, cette bataille très sanglante, menée par Kriemhilde cherchant vengeance pour le meurttre de Siegfried, contre Etzel, Attila, qui alors serait Bléda, alllié aux goths de l'Est et peut-être aux francs austrasiens et à Gunter. Parce que à la fin Kriemhilde, la veuve de Siegfried, promise à Etzel, tue aussi Gunter.
Je dois dire ici, qu'il est actuellement admis que la première partie du Nibelungenlied parle de Gunter et de Brunnhilde personnage historique, rois burgondes, donc d'Austrasie, ayait régné en même temps que Chilpéric 1er, roi des Francs neustriens (donc de France) tué à la chasse par un homme de main de Brunnhilde. Et que la deuxième partie parle de la Bataille des Champs Catalauniques.
En fait, les batailles du Roi Arthur, grand roi au repos, après avoir soumis de nombreux peuples, seraient la même bataille que celle de la deuxième partie du Nibelungenlied. Le Nibelungenlied étant la matière franque, tandis que le Roi Arthur de Chrétien de Troyes, racontait la même chose, en traitant la matière bretonne, soit le Roi Arthur, Attila-Aetius, généralissme romain, roi d'une partie des Huns et Chrétien de Trayes le même Aetius christiannisé par la foi bretonne et gaëllique.
Cependant, Arthur-Etzel-Attila-Aetius, rien que des noms qui se ressemblent , qui a gagné la Bataille des Champs Catalaunique, aurait d'après ma théorie été ami de Merlin-Mérovée, roi de Neustrie, il se serait servi des pouvoirs magiques de Mérovée, son ami. Et aussi pour détourner les hordes de Bléda de Paris, des pouvoirs de la soeur (?) de Mérovée-Merlin Geneviève-Guenièvre, invedtie de hautes fonctions sur Paris, dont elle a exhorté les habitants à ne pas s'enfuir, Geneviève ayant fait pour les Parisiens-Lutéciens de grans miracles alors que la Reine Guenièvre, femme d'Arthur, avait de grands pouvoirs magiques et faisait de nombreux prodiges.
Genevière, Sainte Geneviève de l'histoire, serait-elle alors, la femme d'Arthur, donc du général Aetius, et donc d'Attila, si celui-ci est le même et en même temps de la famille de son ami Mérovée, le roi des francs, par exemple, sa soeur. Sainte Genevière faisait partie du conseil municipal de Paris, et Guenièvre, serait alors Sainte Geneviève, toutes les deux étanet doté, selon le point de vue dont on se place, légendaire, ou chrétien des pouvoirs magiques ou miraculeux.
Geneviève, d'après l'étymologie de son non, était d'origine franque son nom étant dérivé du althochdeutsch, où vieil haut allemand, donc sans doute une princesse franque la soeur de Mérovée aux pouvoirs magiques? donc la soeur de Merlin, c'est à dire de Mérové, et l'épouse d'Arthur ou du général Aetieus qui était peut-être aussi Attila. En ,effet, ces quatres personnages sont contemporains. Aetius, le général romain, Mérovée, le roi franc de Soissons Geniviève, la Sainte qui a protégé Paris, et Attila, l'ami ou le doublon d'Aetieus sont contemporains. l'un de l'autre.
J'arrive à déduire tout ceci par des recoupements de faits historiques, légendaires et littéraires, et des comparaisons entre les noms qui sont en fait plutôt des prénoms!
Mérovée a commencé alors qu'il déjà agé pour l'époque, son règne comme Roi des Francs, juste après la bataille des Champs Catalauniques de 452 à 457 alors qu'il avait déjà 40 ans, et on représente souvent Merlin et Arthur avec des barbes blanches. On sait que vers 45-50 ans, un homme peut déjà avoir une barbe blanche, et ce que nous avons pris pour des vieillards, dans la légende d'Arthur, sont en fait des hommes d'âge mûr. Il semblerait que Perceval (Parsifal?) soit le fils de Aetius, donc d'Arthur.
Ici, la matière franque, donc germanique, et la matière bretonne, donc française, se mélangent, et on voit ici, que même bien avant Charlemagne allemands et français ont eu les mêmes rois qui sont entrés dans leurs légendes sous différents noms.
Pourquoi aurait on alors situé le Roi Arthur en Bretagne ou en Grande-Bretagne, tout simplement, parce qu'on a pas tenu compte du fait qu'au 5ème siècle, la Gaulle mêm romanisée et envahie par les 'Barbares', était encore un pays celtique, dans lequel il y avait des bardes, comme MErlin, et des druides, Merlin-Mérovée ayant pu être les deux. La double origine des mérovingiens, serait peut-être alors l'alliance de la mythologie franque, donc germanique, et de la mythologie celte, avec les pouvoirs magiques des bardes qui à cette époque existaient encore, la Gaulle n'étant qu'aux début de sa christianisation.
Les "sorcières" poursuivies par l'Eglise au Moyen-Äge, et encore à la Renaissance, auraient alors été celles qui auraient perpértué les connaissances des druides, souvent à la campagne, puique les francs et les romains avaient investis les villes, tandis que les celtes gaulois s'étaient réfugiés dans les campagnes, devenant les serfs des rois, princes et chevaliers d'origine franque.
Les sabbts de sorcières seraient alors issus de courumes druidiques. Et les pouvoirs magiques des sorcières, des pouvoirs magiques des druides, leur connaissance des plantes, ayant été transmises oralement, depuis ces temps héroïques, de la naissance de la France.
Pour les besoins de la littérature chrétienne, la Gaulle aurait eu besoin pour le "chroniqueur" Chrétien de Troyes, - bien situé géographiquement, pour parler d'Aetieus et de Mérovée! - de christianisé, ces rois du temps des héros francs, et barbares, en leur donnant des pouvoirs miraculeux, l'Eglise ayant tranformé tout ce qui était magie de ces temps reculés (ou faits héroiques, comme la défense de Paris) en miracles.
Pourquoi alors cette littérature héroïque de la charnière entre le XIIème et le XIIIème siècle. Il est probable qu'à l'image des Grecs ayant eu leurs héros, mythiques, avec fondement historique ou pas, on ait cherché à donné des Héros à la France et à l'Empier romain-germanique... Et ces héros on les a trouvé parmi les premiers Rois de nos pays.
Doofie
Bon, ce sont les idées de Doofie, pas forcément les miennes, mais que voulez-vous, l'esprit de Doofie travaille à la vitesse grand V, par recoupements en tous genres. Mais bon, je ne suis pas Doofie, mon personnage de roman-théâtre, n'est-ce-pas?
domino
17:28 Publié dans enseignement (3), Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, littérature, arthur, guenièvre, geneviève, merlin, champs catalauniques, attila nibelungenlied, gunter, brunnhilde, aetius
mercredi, 10 septembre 2008
Les aventures de Dummie
Prologue
(Didascalie 1 : Dummie* est dans un couloir de l'université, tout petit, qui est en haut d'un palier. à l'autre bout de ce petit couloir passe un couloir transversal qui mène d'un coté à la bibliothèque de l'UFR, de l'autre coté aux bureaux des professeurs d'études germaniques et aux salles de cours, et dans le fond, à l'ascenceur et aux toilettes).
(Didascalie 2 : Dummie est un peu épaisse, mais a maigri un peu pendant les vacances, suffisamment pour qu'on ait du mal à la reconnaître. C'est une étudiante âgée qui prépare un concours de promotion de professeurs, et est TZR).
(Didascalie 3 : Dummie regarde le panneau d'affichage (le babillard, mais on n'a pas le droit d'employer ce mot ici... ) avec les horaires, ce ne sont pas ceux de l'année dernière? Non, ce sont ceux de cette année... )
- Dummie (Comme pour elle-même) : Ah! Interessant, c'est regroupé sur trois jours... et le mardi, c'est seulement l'après-midi, peut-être que, si j'ai de la chance avec les horaires de remplacement, je pourrai venir à tous les cours...
(Didascalie 4 : Dummie veut prendre du papier pour écrire dans son sac à dos d'écolière. Tout neuf, mauve foncé avec des fleurs mauves claires imprimées dessus et des petits nounours accrochés aux fermetures éclairs. Dummie ne trouve pas de papier blanc, elle n'a pas pris d'agenda pour écrire des horaires... elle les recopiera plus tard...
- Dummie (Comme pour elle-même) : Ah! Ce journal fera bien l'affaire... Pratiques, ces petits journaux que l'on distribue à la sortie du métro... Ils servent à écrire quand on a oublié son papier, on peut au moins garnir les marges, il n'y aurait pas assez de place pour noter les cours, mais pour les horaires, ça suffit amplement. Où ai-je un stylo...
(Didascalie 5 : Dummie fouille dans son sac à dos d'écolière et dans son sac à main. Elle n'a pas encore eu le temps de transvaser ce sac à main à la bandouillète cassée, dans l'un des deux nouveaux sacs à bandouillère qu'elle s'est achetés. Elle le porte à la main, en tenant en même temps le corps du sac, pour qu'il ne tombe pas à terre.)
- Dummie (comme pour elle-même) : Ah! Voilà un stylo vert, pas assez foncé, j'aurai du mal à relire après.
(Didascalie 6: Dummie continue à fouiller dans son sac à dos d'écolière).
- Dummie (comme pour elle-même) : Ah! Voilà un bic noir. Il marche bien.. OK...
(Didascalie 7 : Dummie commence à écrire les horaires sur un coin de son journal!)
- Dummie : Mince ! Le stylo ne fonctionne déjà plus!! Ah! C'est vrai, j'avais oublié que quand on écrit sur une feuille tenue verticalement, les stylos ne fonctionnent plus... Tenons la feuille horizontalement, jadis, il y avait une table ici, on pouvait poser son papier pour recopier les renseignements, c'était plus pratique, on pouvait même s'asseoir dessus quand on était fatigué, mais ils l'ont enlevée, depuis au moins deux ans... Jadis, il y avait des petites tablettes sous les tableaux d'afffichage.... Mais, c'était le bon vieux temps...
(Didascalie 8 : Dummie frotte la pointe de son stylo en rond sur le journal pour le réamorcer. Puis Dummie écrit les horaires)
- Dummie : Zuuuut! J'ai oublié de noter les salles.
(Didascalie 9 : Dummie note la liste des salles en dessous de son horaire. La bibiothécaire pase son nez au coin du carrefour de couloirs, elle semble voir Dummie, mais ne lui dit pas bonjour...)
- Dummie : Elle m'en veut, la bibliothécaire? J'ai du écrire quelque chose sur elle dans mon blog.... Elle s'est peut-être fait réprimander, ou alors, elle n'est pas contente de me voir là. L'année dernière, elle voulait que j'abandonne mon concours de promotion...
(Didascalie 10 : Dummie note les n°s des salles sous les horaires dsséminés aux quatre coin de la page du journal. )
- Dummie : Mince, j'ai noté les numéros des salles seules, je ne sais plus à quel cours elles correspondent.
(Didascalie 11 : Dummie note de nouveau l'ensemble des cours et des salles. Avec les noms des professeurs. La bibliohécaire habillée de noir, montre encore le bout de son nez, au delà du coin du couloir ).
- Dummie (sonore!) ! Bon..... jour.....!!!!!
- La bibliothécaire (se retournant, sans vraiment faire attention, feintant un air d'indifférence) : Bon... jour!
- Dummie (comme pour elle-même) : Elle n'a pas l'air contente de me voir....
(Didascalie 12) : Dummie continue à écrire, range les papiers dans son sac, d'écolière, le met sur le dos, prend son sac à main et s'en va... par l'escalier. )
domino
__________________________
* Dummie désigne en allemand, quelqu'un de pas très fort dans une matière, de pas très cultivé dans un domaine, la série de l'ivres "Für Dummies" coorespondant à notre collection "Pour les Nuls".
Toute ressemblance de cette scène avec des évènements ayant réellement existé est totalement fortuite.
A propos, ce serait bien que la série 'Pour les Nuls" publie un livre "Le CAPES et l'agrégation d'allemand pour LES NULS".
14:52 Publié dans Le théâtre i-grimoirien... | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : théâtre, littérature, écriture, université