vendredi, 03 juillet 2009
La musique des sphères
La musique des sphères
Postulats :
La lune montre toujours la même face à la terre, parce qu'elle ne tourne pas sur elle-même.
La terre montre toutes ses faces au soleil parce qu'elle tourne sur elle même.
Le soleil a des cycles de 11 ans (certains s'inquiètent parce que le cycle actuel dure depuis 14 ans et que le soleil reprend lentement son activité, ses éruptions solaires...)
La terre tourne autour du soleil, on ne le mettra pas en doute, bien que...
Le calendrier grégorien a 7 jours, les mois ont un certains nombre de jours , et l'année 12 mois, ce calcul ne permet pas seulement de retrouver les mêmes jours tous les ans à la même saison, mais aussi de retrouver des cycles de 11 ans (égaux aux cycles solaires), car tous les onze ans, le calendrier est le même que celui de 11 ans auparavant : chaque jour de la semaine se trouve sur le même jour du mois.
Hypothèses :
Le soleil aurait comme la terre des volcans, qui se trouveraient à un endroit géographique précis du soleil. Ce sont ses points éruptifs par lesquels s'échappe la masse coronaire, formant les éruptions solaires.
Si cette géographie solaire existe, on devrait pouvoir observer tous les ans à la même époque, les mêmes éruptions au même endroit du soleil.
Donc, si cela était vrai, il n'y aurait pas des cycles de 11 ans, mais des cycles d'un an.
Or, il y a des cycles de 11 ans ou plus.
Pourquoi dire qu'il y aurait une géographie solaire, et que les tâches solaires seraient toujours au même endroit.
Parce que sur la terre, il n'y a pas de périodicité pour les éruptions volcaniques. Sinon, il n'y aurait pas des volcans éteints et des volcans actifs, mais tous les volcans resteraient actifs et se réveilleraient tous en même temps, et s'endormiraient tous en même temps. Et les « lunaires » s'ils existaient observeraient des cycles volcaniques terrestres.
Or, nous savons tous qu'il n'en est rien!
Les lunaires verraient toujours au même endroit, selon l'emplacement où la lune se trouve toujours le Stromboli en Sicile, le Fuji Yama sur son île japonaise, et le Popocatepelt près de Mexico.
Donc, l'hypothèse de la géographie solaire, avec des tâches solaires qu'en tournant en un laps de temps autour du soleil on verrait toujours au même endroit, la périodicité du cercle que la terre ferait autour du soleil serait de 11 ans et non d'un an. Et ne serait pas forcément une ellipse, sinon il faudrait que l'attraction solaire change selon la face du soleil par rapport à laquelle on se trouverait, ce qui n'est pas le cas.
Ce qui expliquerait que le calendrier grégorien qui permettait aux mêmes jours de la semaine d'être sur les mêmes jours du mois tous les onze ans représenterait cette périodicité des cycles solaires, et aurait été créé exprès de cette façon pour tomber en simultanéité avec les cycles solaires qui auraient peut-être déjà été observés à l'époque, car les Antiques étaient de grands astronomes.
Dans ce cas, tous les onze ans, la terre serait en face des mêmes tâches solaires, plus ou moins éruptives. Et quand la terre se trouverait face à une grosse tâche solaire, il y aurait activité du soleil, et quand la terre se trouverait face à une région du soleil avec peu de tâches, nous serions dans une période comme la période actuelle.
Il y aurait aussi des époques ou la terre mettrait plus longtemps à parcourir le cercle, ce qui expliquerait que « le soleil mettrait plus longtemps à reprendre son activité ».
Alors, me direz-vous, si la terre parcourt un cercle et non pas une ellipse autour du soleil, comment expliquer les saisons.
Regardons déjà le schéma tel que les livres traitant d'astronomie nous représentent la position de la terre par rapport au soleil sur son ellipse. La terre est légèrement penchée sur son axe, le pôle nord vers la droite, quelle que soit sa position autour du soleil.
Conventionnellement, le bas de l'ellipse représente la terre proche du soleil présentant son pôle nord vers le soleil, donc, l'été pour nous. Les extrémités droite et gauche une position éloignée du soleil, représentant le printemps et l'été, et en haut, la terre tourne le pôle sud vers le soleil qui lui penche vers la gauche.
Si j'étais Voltaire ou quelqu'un de ce genre, j'oserais écrire : Ridicule!
Tout d'abord comment voulez-vous que la terre reste dans une position pareille?. Comment est- elle aimantée au soleil, par un système de pesanteur, comme celui de la lune par rapport à la terre, ce que nous appelons attraction terrestre et que l'on appellerait pour les planètes attraction solaire? Cette position même l'empêcherait de prendre une certaine vitesse dans sa gravitation, car la terre n'étant pas tout à fait ronde, mais aplatie aux pôles, elle graviterait dans une position qui ne serait pas aérodynamique.
Le champ magnétique plus fort aux pôles magnétiques ne resterait pas non plus dans une position toujours identique par rapport au sens de gravitation de la terre.
Et ensuite, dans quel sens gravite-t-elle par rapport au soleil, est-ce celui inverse aux aiguilles d'une montre représenté sur le schéma, ou celui dans le sens des aiguilles d'une montre.
A vrai dire cela n'a pas d'importance : Que la terre gravite dans un sens ou dans l'autre, d'après le schéma traditionnel, les saisons sont toujours les mêmes. Dans ma théorie aussi.
Mais dans ma théorie, la terre ne gravite pas dans la position indiquée, mais dans une autre position. Il suffit pour s'en convaincre d'observer le soleil couchant sur une côte tournée vers l'ouest, c'est à dire, vers le soleil au couchant.
Asseyez vous le jour de l'équinoxe de printemps ou d'automne, au coucher du soleil, sur une côte tournée vers l'Ouest (pas étonnant que les druides bretons et irlandais aient été de bons astronautes, ils avaient plein de côtes tournées vers le couchant.
Observez le soleil qui peu à peu descend puis se cache derrière l'horizon. Vous êtes un homme moderne, et vous savez que c'est la terre qui bouge par rapport au soleil et non l'inverse. Essayez alors de sentir le mouvement de la terre, vous sentez votre tête partir en arrière, vous vous sentez tomber comme sur une chaise à bascule vers l'arrière et le bas, la terre partant dans l'ombre fuit le soleil en tournant vers l'arrière, c'est à dire vers l'Est et non vers l'Ouest comme on se l'imagine souvent), donc dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Comment la terre alors ne s'éloignerait-elle pas du soleil? On peut imaginer qu'elle tournerait en tire-bouchon pour tourner et avancer en même temps. Un petit mouvement de balancier périodique, lui permettrait aussi de rectifier sa position. Un mouvement qui se ferait très lentement.
La terre serait placée non pas en dépit du bon sens dans une position oblique ,toujours la même quelque soit l'endroit ou elle se trouve sur l'ellipse, mais elle présenterait toujours l'équateur au soleil et ce petit mouvement de balancier, cette oscillation, qui se produirait périodiquement, éloignerait plus ou moins les pôles du soleil, ce qui provoquerait l'été boréal en même temps que l'hiver austral et vice-versa.
Et si les croyances antiques et païennes à des prières nécessaires « au retour de la lumière », comme la Sainte Lucie ou Noël, à des jeunes nécessaires au « retournement de la terre » avant des équinoxes de printemps et d'automne, ne seraient pas dues au fait que les Anciens sachant ce mouvement de balancier de la terre, la terre présentant un pôle plus proche du soleil en été ét en hiver, aurait voulu inverser le mouvement de balancier par leurs jeunes et prières, croyant aider la terre à cela par leurs sacrifices, et leurs efforts.
Bien sûr, il n'est pas besoin d'aider la terre, qui fait cela naturellement, du moins, on l'espère, mais la théorie d'une oscillation qui s'inverserait lors des solstices, ne serait pas sans me déplaire.
Cela permettrait à la terre de tourner d'une façon aérodynamique sur son cercle de gravitation (et non son ellipse, encore un système où la terre étant plus éloignée du soleil aux deux bouts de l'ellipse, il ferait plus froid au printemps et en automne qu'en hiver, car l'éloignement de la terre compenserait le fait que le pôle Nord ou Sud serait plus proche du soleil, cette ellipse est donc une aberration).
De façon aérodynamique, et bien oui.... La terre, qu'elle avance autour du soleil dans le sens des aiguilles d'une montre ou l'inverse, présenterait l'un de ses pôles en proue et l'autre en poupe, tournant toujours dans la même position autour du soleil, comme dans le cas précédent, mais dans une position qui serait plus confortable pour elle, les pôles étant aplatis par la vitesse de gravitation. Son oscillation saisonnière ferait qu'à certains moments, ce serait l'un des tropiques qui serait face au soleil, donc en été et en hiver et à d'autres moments, l'équateur, donc au printemps et en automne. Comme cette oscillation se produirait lentement (enfin dans la perception humaine subjective du temps), cela ferait que les saisons évolueraient également lentement.
En même temps, la terre tournerait sur elle-même l'Ouest placé face au soleil au couchant aux équinoxes (mais l'Ouest est partout sur la terre, tout comme il y a toujours un couchant quelque part), donc dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Selon l'endroit de la terre où l'on se trouve, on aurait le Sud-Ouest (ou plutôt le Sud-Ouest/Ouest) ou le Nord-Ouest (ou plutôt l'Ouest/Nord-Ouest) placé devant le soleil aux solstices.
Tout ceci est parfait lorsqu'aux équinoxes le soleil est au zénith sur l'équateur. Le soleil passe alors d'Est en Ouest inversement au sens de rotation de la terre. Quand la terre est penchée par rapport au soleil au moment des solstices et alentours, le soleil éclaire alors le pôle le plus proche toute la nuit. Ce qui donne le soleil de minuit, jusque là, c'est habituel. La terre est non pas penchée de côté par rapport au soleil, mais en avant ou en arrière, en été le pôle Nord est avancé et en hiver le pôle Sud s'avance vers le soleil et le pôle Nord s'éloigne. Jusqu'ici on représentait la terre dans un sens vertical par rapport au soleil, et légèrement penchée sur son axe, à l'inverse elle serait dans ma théorie toujours placée de côté par rapport au soleil, exposant l'un de ses flancs, la partie bombée de l'équateur tournée plus ou moins vers le soleil selon la saison et les pôles plus ou moins inversement rapprochés sur soleil, selon les saisons.
Par ailleurs, la durée de rotation de la terre sur elle-même subit un ralentissement, selon les experts. Selon mon idée à moi, c'est vrai, mais le ralentissement est beaucoup plus précoce qu'on ne s'accorde à le dire.
Lorsque j'étais jeune, les anciens disaient toujours que le temps passaient de plus en plus vite au fut et à mesure de la vie, nous avions cette impression là aussi. Du moins, j'ai eu cette impression jusqu'à l'âge de 30/40 ans, puis vers 45/50 ans cette impression s'est inversée, et j'ai eu « l'impression » que le temps passait plus lentement. En particulier les cours que je suis me semblent de plus en plus longs. Les journées de plus en plus longues.
A l'appui de la thèse selon laquelle à certains moments, la terre tournerait plus ou moins vite, je vous fait part de cette expérience. Auparavant lorsque je revenais dans une ville que je n'avais pas vue depuis plusieurs années, elle me semblait toujours pareille, quelques changements pouvaient s'y être opérés, mais dans l'ensemble, l'aspect des maisons semblait toujours le même.
Il y a deux ans, je suis allée dans une ville proche que je n'avais pas vue depuis trois ou quatre ans, cette ville, ses murs, ses maisons, m'ont semblé extrêmement vieillies par rapport à trois ou quatre ans auparavant. Je ne dirai pas que ceci serait dû à la pollution, car c'est dans un endroit assez rural et les voitures polluent moins qu'avant. Mais à un écoulement du temps plus lent.
J'ai aussi l'impression que la poussière se dépose plus rapidement sur les meubles en l'espace d'une ou deux semaines, ce qui voudrait dire que si le temps s'écoulait plus lentement, plus de poussière se déposerait dans le même laps de temps qu'auparavant.
Cela voudrait dire aussi que les gens, par rapport au calcul des années qui contiendraient plus de minutes d'avant vieilliraient plus vite. Le vieillissement ou l'usure se ferait à la même vitesse, mais dans une mesure du temps tenant compte du ralentissement de la rotation de la terre!
Mais alors comment se fait-il que nos horloges fonctionnent bien? Et bien, tout simplement, parce qu'avec l'informatique et les montres et horloges électroniques, il est facile de les ralentir à distance. Les montres mécaniques qui avaient jadis, à l'époque ou le temps passait vite, toujours tendance à retarder, indiquent l'heure juste ou avancent...
Donc, tout comme la rotation de la terre autour du soleil ferait qu'il y aurait des cycles solaires de 11 à 14 ans, car ces révolutions de la terre autour du soleil seraient variables, il y aurait aussi des rotations de la terre sur elle-même qui accéléreraient ou ralentiraient sans que l'homme ne s'en aperçoive. Seuls quelques malins astronomes règleraient nos pendules en conséquence.
En conclusion voici les axes résumés de ces observations :
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La terre tournerait autour du soleil en 11 à 14 ans.
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L'homme pourrait observer les mêmes tâches solaires et la même activité solaire tous les 11 à 14 ans. Ce qui correspond au retour de la même correspondance entre les noms des jours et les chiffres dans le mois dans le calendrier grégorien. Et aux cycles solaires.
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La terre ne tournerait pas en ellipse, mais en rond autour du soleil.
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La terre tournerait autour du soleil peu importe le sens, en tournant quelque soit l'endroit de la rotation ou elle se trouve, la partie située entre l'équateur et les tropiques vers le soleil. Elle suivrait son orbite autour du soleil comme une fusée tournant autour de la terre, en se présentant toujours de la même façon et en oscillant de droite à gauche sur son axe comme si le nez de la fusée oscillait de droite à gauche.
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Les saisons seraient provoquées par une inclinaison due à une oscillation régulière de la terre, dont l'un ou l'autre pôle se rapprocherait alternativement du soleil. Ceci expliquerait les tempêtes et intempéries fréquentes aux solstices. (Et aux équinoxes) lors du changement de côté de l'oscillation et les rites et légendes se rattachant au retour de la lumière.
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La lune pourrait jouer un rôle dans cette oscillation. Par contre-attraction lunaire.
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Ou alors il y aurait deux lunes, la grande rousse et la petite argentée, d'après mes observations, la grande rousse apparaissant souvent vers l'horizon, le soir, vers décembre/janvier, et juin/juillet au moment du changement de côté de l'oscillation sur l'axe. Il y aurait deux changements du sens de l'oscillation par an, aux soltices d'été et d'hiver.
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La terre tourne sur elle-même dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (en la regardant par le pôle Nord) et vers l'arrière si l'on se place face au couchant.
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La terre pourrait avoir des variations minimes de sa vitesse de rotation.
Domino (voyant Dummie écrire) : Bon, ça va, Dummie, tu as fini tes élucubrations?
Dummie : Non, je persiste et signe. (Comme pour elle-même :) Un jour, elle sera bien obligée de m'approuver. Car je suis le Ptolémée, le Galilée, le Kepler et le Tycho Brahé des temps modernes!
domino
14:17 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : astronomie, terre, soleil, lune, rotation de la terre, attraction lunaire, gravitation, solstice, équinoxe, oscillation
vendredi, 22 mai 2009
Essais au Sahara
On reparle après un long silence des essais nucléaires au Sahara car des militaires et civils qui ont été touchés à l'époque par des radiations demandent des indemnisations.
Et pourtant qui se souvenait dans les années 90 et au début des années 2000 de cela? Personne. Si!
Moi!
J'étais haute comme trois pomme dans les années 50 quand on parlait à la radio de ces essais nucléaires, car ils n'ont pas eu lieu seulement de 1960 à 1966 comme on le dit aujourd'hui, mais déjà dans les années 50 alors qu'on habitait encore dans l'ancienne maison, on en parlait!
A la radio il y avait la minute de Jean Nochet. C'était sur France Inter à la RTF. Et sur Europe 1, la minute de Saint Granier. Chez moi, on écoutait France Inter et la musique de Jean Nochet. Jean Nochet mettait en garde contre beaucoup de dangers et décrivaient notre avenir : les crisements d'autoroute aux abords des grandes villes, alors qu'une seule autoroute existait de Lille à Carvin, puis de Lille à Arras (la future A1), et on imaginait tout cela avec des images devant nos yeux, comme si on y était.
Il parlait du nucléaire et des essais nucléaires du Sahara, qui ne touchait pas seulement les gens localement, mais les vents du Sud rabattaient la radio-activité vers la France en été particulièrement. Et des nuages, selon lui, étaient déjà pollués. Quand j'ai entendu cela, c'était au point que d'un seul coup, je ne voulais sortir quand il pleuvait, et je demandais à ma mère si c'était dangereux et soit elle me disait que non, soit comme elle l'a dit jusque vers l'âge de78/80 ans : "Il faut bien mourir de quelque chose!" Ce n'est que quand ses forces ont commencé à décliner qu'elle a commencé à avoir peur de la mort. mais bref, ma mère minimisait le danger des essais nucléaires, pour nous qui habitions 2000 ou 3000 km de là!
Un jour, dans les années 90 alors que l'on faisait le thème de la pollution en allemand avec des élèves de Terminale, les filles se sont posés des questions quand j'ai parlé en même temps que de Tchernobyl des essais nucléaires du Sahara et de Muruoa; tout le monde avait oublié depuis longtemps qu'il y avait eu des essais au Sahara, c'est à dire bien plus près de chez nous, essais qui ont pu polluer tout le Nord de l'Afrique et le Sud de l'Europe.
Il paraît que dans ce cas les cancers mettent environ 18 ans à se déclarer et à arriver à un terme fatal. Les essais du Sahara plus 18 ans, c'est le délai qui sépare ces essais de la mort de mon père et de nombreux amis jeunes qui pourtant, tout comme mon père, n'avaient jamais été au Sahara. Aux alentours de 1980 il y a eu comme une vague de décès par cancer. Tchernobyl + 18 ans, cela fait environ 2004, date à laquelle ont commencé à se manifester certaines pertubations thyroïdiennes entraînant le cancer, il serait intéressant de voir si des vagues de décès par cancer, n'ont pas lieu chez les non fumeurs, dans un tel délai après des essais ou des accidents nucléaires majeurs dans les populations qui ont été faiblement irraidiées.
j.a.
21:24 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nucléraire, essais, atome, militaire
dimanche, 05 octobre 2008
Accélérateur décélérant...
Je l'ai lu dans la presse informatique, ces médias sont formels, nous avons frôlé la catastrophe planétaire et universelle, un trou noir, ou trou d'anti-matière s'était formé dans l'accélérateur du CERN.
L'accélarateur a été arrêté, mais personne ne sait, si à l'heure actuelle, le trou noir existe encore, s'il a disparu avec l'arr$et de l'accélérateur, a cessé de grandir ou s'agrandit encore....
Voci ce qui se passerait au cas où uin trou noir envahirait la Terre.
Déjà, si les radios et télévisions Suisse, de Rhöne-Alpes et du Jura, venaient à ne plus émettre, il y aurait de quoi se faire du souci pour les régions environnantes.
Le trou noir s'agrandirait non seulement à la surface de la Terre, mangeant peu à peu toute l'Europe et les mers et océans environnants, mais se propagerait vers le haut, mangeant l'atmosphère (et la lune si elle a le malheur de se trouver de ce coté là de la Terre à ce moment là) et tel un enzyme glouton avalerait la croûte terrestre, perçant le magma et provoquant une forte activité volcanique d"aboir en Europe.
Bien sûr, en l'absence de fusée interstellaire vous emmenant sur une planète hospitalière à l'abri du trou noir... parce que nous sommes trop nombreux, et que nous avons travaillé sur l'infiniment petit avant de travailler sur l'infiniment grand, il ne nous resterait qu'à partir vite fait bien fait de l'autre coté de la terre, en Australie et en Nouvelle Zélande, puisque ce serait les pays les plus éloignés du trou noir grandissant.
Mais le trou dans l'atmosphère grandissant aurait vite fait d'abaissser l'altitude de l'atmosphère tout autour de la Terre, et par ailleurs, les catastrophes naturelles se produisant de ce coté-ci de la terre, étant tellement gigantesques, ne seraient pas sans influences sur les océans qui s'évaporeraient au contract du magma, puis le margma et le noyau terrestre diparaissant, la terre éclaterait en deux et un petit bout de croûte terrestre portant l'autre moitié de la terre, naviguerait sans but, suivant une trajectoire erratique, dû à sa forme qui ne serait plus ronde, autour du soleil.
Ceux qui seraient partis de l'autre côté de la Terre n'auraient que quelques jours de vie en plus de ceux d'Europe, pendant lesquels ils pourraient faire la fête, en attendant le naufrage total de la planète Terre...
Bon, bref, il fait froid en ce moment, il fait froid pour la saison, et c'est sans doute à cause du trou noir de l'accélérateur du CERN.
C'est récemment que le Boson de Higgs a été découvert dans l'accélérateur du CERN, est-ce là, la plus petite particule qui cause le trou noir (et le temps détraqué?)
Lien : The Cern Black Hole
Lien : Est-ce que l'expérience tentée par le CERN de créer un (petit) trou noir, est dangereuse?
Lien : Explications scientifiques
Lien : Le hadron collider
Lien : Fabrication du collisioneur de particule
Et l'esprit de Dieu planait sur les eaux, au nouveau big bang il planera sur les eaux.
Le nouveaux big bang, d'après petite tête chercheuse que je suis (QI d'Einstein paraît-il...), ne se produirait pas de la façon décrite ci-dessus...
Le big bang, comme toute création de vie, aussi en biologie, a été créé par la rencontre en mileu chaud ou par une énergie chaude (n'oubliez pas que les plantes ne se reproduisent qu'à la belle saison), de la rencontre :
- d'une énergie chaude,
et
- d'une particule de matière minérale aussi petite soi-elle...
Reste à savoir comment cette rencontre a eu lieu et comment cette énergie et cette minuscule particule pouvaient préexister au Big Bang...
L'énergie chaude c'est le dieu père des religions, le Yang des chinois, ou principe masculin...
La particule de matière c'est la déesse mère des religions primitives, ou le Ying des chinois, ou principe féminin...
Les scientifiques n'arriveront jamais à recréer le big bang s'ils ne considèrent pas que l'univers est issu de deux principes, le féminin ou la matière et le masculin ou l'énergie....
Mais s'ils recréent le big bang sur la Terre (qui n'engendrerait pas un trou noir, mais de la matière en expansion) il risqueraient de faire exploser la Terre qui seraient envahie par cette noubelle matière et supprimée par la force énorme qui résulterait de ce Bg Bang, en devenant Dieu, l'hiomme se détruirait lui-même et détruirait son habitation, la Terre....
C'était ce qu'Einstein n'avait pas voulu vous dire, quand il a déchiré la feuille sur laquelle il avait Dieu en équation.
Riez qu'une non-scientifique ait trouvé cela, on a rit aussi de Galilée...
Maintenant si un jour la CERN créait le trou noir, il aurait toujours la possibilité de recréer de la matière dedans par un big bang matière minérale (reste à touver laquelle) et énergie.... en souhaitant que la matière s'élargisse plus vite que l'enzyme glouton du black hole.
L'homme aurait dû continuer la recherche spatiale et s'occuper de l'infiniment grand avant de s'occuper de l'infiniment petit, ainsi il aurait pu se sauver sur d'autres planètes et quelques apprenti-sorciers comme ceux du Cern seraient restés sur la terre, tenter leurs expériences dangereuses.
dominique
15:04 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cern, accélérateur, particules, trou noir
vendredi, 29 août 2008
Et mes framboises?
Et mes framboises?
Mes framboisiers snt remontants, ils ont déjà bien donné (enfin, relativement, ils sont encore jeunes) en juin-juillet, et une deuxième récolte se prépare pour septembre, dans trois semaines environ.
Mon mari n'est pas inquiet :
Ici, on n'est pas atteint par l'incident nucléaire de Fleurus et d'ici trois semaines la radoi-acivité sera passée, d'après lui, s'il y en a....
Sait-il que les plantes conservent un certain temps la radio-activité?
Alors allons-nous profiter de notre deuxième récolte annuelle.
Hier il m'a parlé de planter des cassis, ce n'est peut-être pas le moment.
Quant à l'accident nucléaire, c'est à Fleurus; je me souviens que quand j'étais pette, j'écrivais à Perlin et Pimpin, éditions Fleurus, rue de Fleurus à Paris. Pour mes abonnements d'été, j'avais eu en cadeau une camionette 2CV miniature, et l'autre année un porte-clef Mocky, de Mocky et Poupie.
domino
15:22 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : nucléaire, accident atomique, jardinage, jardins
samedi, 16 août 2008
Constructions anti-vent
Après la tornade, qui est arrivée, soudainement après que j'ai parlé justement du parcours des orages qui nombreux en cette saison ont semble-t-il la spécialité d'éviter le petit bassin d'A.-A, (Ville entre petite et moyenne) du Nord, et ses villages alentour pour éclater avec plus de violence soit au Sud de la forêt à L. soit au N. de la forêt après le petit bois situé au Sud de H. moyenne ville du Nord, satellite de M. (pour la reconstruction le satellite reçoit plus de crédits que M., Neuf-M, et BsS oubliés des médias.
Cela me fait peur, il faisait très beau au début de ma note, il y a quelques minutes et depuis que j'écris le ciel se couvre. Pourtant, je ne suis pas une sorcière, et la pauvre petite pixie non plus. La lumière devient toute jaune. Bon, ce ne sont pas de gros nuages, mais cela fait peur, surtout que les nuages sont arrivés quand j'ai posé la première pierre de mon article, alors je vais vite vous parler des constructions anti-vent pour éviter de nouveaux orages et une nouvelle tornade.
D'ailleurs le soleil revient légèrement.
J'ai regardé hier soir des vidéos de tornades américaines sur You Tube, je ne comprends pas les gens, pourquoi quand ils sont en voiture, ils ne font pas demi-tour en voyant arriver la tornade (ceux qui les ont filmées n'étaient pas sur des autoroutes et pouvaient faire demi-tour) d'autant plus qu'on voit qu'elles tournent en rond et mettent quelquefois cinq à dix minutes à arriver sur les cameraman.
Vous avez vu la tornade au milieu d'un match de foot? Sur You Tube aussi... C'est un miracle que les joueurs soient restés debout et n'aient rien eu...
Un signe infaillible si vous habitez à la campagne : Les animaux en troupeau se sauvent. Les autres animaux enfermés se mettent à hurler. Quelques jours avant la tornade à PsS, un chien, dont les maîtres étaient partis pour la journée et qui avaient été laissé dans le jardin, a hurlé devant la porte-fenêtre pendant un orage. Il pleurait à en fendre le coeur. Donc, contrairement à nous qui avons souvent tendance à prendre orages et tempêtes à la légère (nombre de personnes continuent à téléphoner ou à travailler sur Internet pendant des orages, même violents, alors qu'il faudrait dans ce cas déconnecter Internet, rien que pour protéger les appareils. Beaucoup de gens continuent à regarder la télé pendant les orages, c'est notamment le cas de nombres de nos voisins. la foudre pouvant tomber par l'antenne directement dans le téléviseur. Tout cela, on nous l'a appris quand on était petit, parce qu'on parlait des dangers de la télévision comme on parle aujourd'hui de la nocivité des ondes des téléphones portables pour la formation du cerveau des enfants. (je n'ai pas la télévision et pas d'antenne).
Il y a encore quelque chose qui ne va pas dans mon i-grimoire, ma note n'arrête pas de sauter, et des lignes ne se voient plus qu'à moitié. Je l'ai sauvegardée au brouillon! Puis publiée à moitié, puisque je suis en train de la taper.
Voilà pour les constructions anti-vent :
(Tiens, j'ai mis l'anti-espion en route et ça ne saute plus... Si, ça ressaute...)
Bon, en regardant You Tube toujours, je suis tombée sur une vidéo ou un groupe de musiciens qui suivaient un stage prenaient des cours dans ce qui semblaient être (c'est en Angleterre) un tumulus. Bref, une habitation profondément enfoncée dans la terre, sans étage, avec quelques fenêtres au ras du sol, et un toit recouvert de terre et d'herbe.
C'était d'ailleurs la façon de construire des Vikings, autant ne Norvège, qu'en Islande, au Groenland, et à Terre-Neuve, une terre plus proche de leurs campements Ouest du Groenland où le fils de Eric le Rouge, Leif Eriksonn, Terre-neuva des temps anciens, allait chercher son bois, denrée primordiale pour se chauffer, beaucoup trop éloignée des côtes du Groënland, s'il avait du aller le chercher en Norvège. Cf: sagas de Leif Erikson et du Vinland.
Les maisons vikings retrouvées à l'Anse aux Meadows sur la pointe Nord de Terre-Neuve étaient des habitations que l'on dit aujourd'hui en partie enfouie dans la terre à cause des alluvions qui se seraient déposées dessus, mais pourquoi ne pas penser, que ces habitations pour se protéger du vent aient été réellement à moitié enfoncée dans la terre. Le fait que les toits étaient recoverts de terre herbeuse est un fait reconnu.
Et les tumulus? Et les tertres? Que l'ont dit être uniquement des nécropoles, n'auraient-ils pas servi d'habitation au moins au personnes les plus élevées des sociétés celtes, dont faisaint partie nos ancêtres les gaulois, car si notre langue est latine, elle comporte beaucoup de consonnances celtes (comme la nasalisation des ans, ins et ons, en commun avec le portugais, le galicien, le catalan, langues latines de l'Ouest, teintées fortement de celte, et pour le français de franc ou francique (la France n'est pas comme l'Espagne castillane ou l'italie, un pays latin).
Si les tumulus et les tertres sur lesquels ont été bâtis les châteaux-forts, avaient servi d'habitations au moins aux chefs et aux druides et de refuges aux peuple et aux esclaves (les gaulois avaient des esclaves, devenaient esclaves généralement tous les prisonniers de guerre, qui lorsqu'ils étaient affranchis devenaient les égaux des gaulois et pouvaient ensuite peut-être se marier avec gaulois et gauloises comme l'ont fait les occupants romains, provoquant ainsi des mélanges de sang, dont seraient issus par exemple des Princes de Sang Mélés).
On n'a quand même jamais retrouvé les habitations des gaulois qui selon l'histoire traditionnelle "vivaient dans des huttes en bois...", et s'ils avaient vécu dans les tertres et les tumulus?
Dans la tradition médiévale et encore jusqu'en des temps assez proches, les châteaux tout d'abord, puis les égliss fortifiées ont servi de refuges aux habitants en cas d'invasion, les tumulus, cachés à moitié sous terre, et les maisons aux toits herbeux, auraient pu remplir la même fonction, mais étaient construites églament pour résiter aux intempéries.
Les tornades si on regarde bien les vidéos aspirent tout ce qui est au-dessus du sol, mais pas les sols et l'herbe. La végétation haute est bousculée, mais la terre, même si la poussière antérieurement accumulée si le sol est sec peut voler (j'ai assité à une tornade dans les Landes vers l'âge de 20 ans, nous étions sur la Route du Pays-Basque, toute la poussière s'est soulevée, nous étions à la sortie d'un village, quand mon père a vu cela, on s'est arrêté sur le bord de la route, je crois d'ailleurs que tout le monde s'est arrêté. Mon père a dit : "On s'arrête avant la reprise de la forêt, sinon on risque de recevoir un arbere sur la voiture". Puis, il est tombé des trombes d'eau, peut-être aussi des grélons, mais des petits, la voiture n'a pas eu de bosses. Quand ce que mon père a appelé une tornade fût passé, on a repris la route, sur des dizaines de kilomètres des troncs jonchaient la route et on devait attendre en file sur la N. 10 que les troncs soient débarassés. L'arrivée de la troisième journée de voyage qui devait s'effectuer vers 12 heures, s'est faite vers 20/21 heures et de la route qui surplombait la côte basque on voyait un superbe coucher de soleil sur l'Océan. On nous a dit qu'il avait fait beau au Pays Basque, c'était juste le Sud des Landes qui avait été touché, et les campings de la côte avaient particulièrement souffert, car beaucoup d'arbres étaient tombés sur les caravanes, mais rien n'avait été aspiré, seuls les arbres étaient tombés. C'était en 1971 je crois.
(La petite pixie a dit qu'elle ne voulait pas de tornade sur les Landes dans les jours prochains, parce que j'ai parlé de cela ici!!!)
Revenons aux habitations :
Si à l'avenir les architectes faisaient des habitations en forme de tumulus, enfoncées dans la terre au moins en partie avec de bons toits en terre recouverte d'herbe verte (et pas de chaumes, parce que ça s'envole aussi, et encore plus vite que les tuiles), peut-être qu'il y aurait moins de dégâts et de blessés et morts lors des tornades!
Déjà on pourrait recouvrir les toits en terrasse des blocs d'appartement de terre et d'herbe, si les plaques de bétons qui forment les terrasses ne s'écroulent pas sous le poids de la terre : la plupart des blockhaus ne s'écroulent pas, même sous des kilos de sable.
Ensuite pour les nouvelles maisons que l'on construit dans des régions où il y a déjà des tornades, on pourrait les faire sous forme de petits tumulus à un seul étage et une cave et on pourrait poser sur el toit herbeux des plaques solaires pour le chauffage, à proximité une éolienne pour l'approvisionement en éléctrité, et cette éolienne fournirait l'électicité à une pièce de séjour située à l'extérieur sur le coté de la maison, dans le jardin et où les habitants n'habiteraient que la journée en cas de très beau temps.
Mais ils dormiraient toujours dans la maison sous tertre en cas de tempête et d'orage.
On sait que par ailleurs qu'en hiver, le sol ne gèle qu'en surface. Si nos caves sont froides, c'est parce qu'elles ne sont pas chauffées, mmais la plupart des petits mammifères hibernent dans des terriers placés sous terre suffisamment profondément pour ne pas souffir du froid. Les chats qui dorment la nuit dehors se pelotonnent sur eux-mêmes en s'installant dans un endroit abrité du vent ou dans un creux de la terre, ou au milieu d'une végétation dense qui les protège du vent.
On devrait prendre exemple sur les animaux, et faire notre maison des pays froids comme la leur.
D'ailleurs j'ai écrit à un endroit que l'homme descend de l'ours et pas du singe, j'ai ma peitte théorie là-dessus basée sur la forme des pieds. Le singe seraient au niveau des pieds qui ont une forme de main, plus évolué que l'homme, et donc l'homme ne pourrait pas descendre du singe, sinon, il aurait aux pieds des doigts aussi longs que ceux de la main.
On a dit que les ours vivaient dans des cavernes et les hommes préhistoriques aussi, hors les hommes préhistoriques ne se seraient servi que des cavernes abandonnées par les ours, ou où un ours était mort pour lui prendre sa fourrure, et se tailler des outils dans ses dents. Ils n'auraient pas osé affonté les ours et ne les auraient pas tués et les ours auraient vécu dans la proximité des hommes sans avoir peur d'eux et auraient dormi aussi à proximité des cavernes et ne s'y seraient réfugiés qu'en cas de mauvais temps. Les hommes aussi se seraient servis des cavernes comme refuges en cas d'intempéries, et les hommes des plaines qui n'avaeint pas de cavernes où s'abriter se seraient réfugiés dans les tumulus, la dernière idée étant de moi, ils auraient construits des tumulus pour reproduire les cavernes qu'ils connaisaient dans les pays de montagen. Les dolmens et allées couvertes auraient pu être aussi des habitations dans les pays où la piere dominait par rapport à l'argile et à l'herbe.
Ne vous méprenez pas sur mes idées, il est hors de question de revenir à une société primitive, masi il est question ici seulement de s'inspirer de nos ancêtres qui disposant de moins de moyens techniques que nosu, avaient dû parer à l'eessentiel, se protéger des intempéries et du froid, en se construisant des habitations solides dont on pourrait s'inspirer. Et construire ces habitations en utilisant les énergies du vent et du soleil, énergies renouvelables, de façon à ce que chaque maison est sa propre énergie et ne doivent pas faire appel aux alimentations extérieures, qui elles attirent la foudre, on placerait les éoliennes et antennes sur le côté de la maison et pas dessus, donc on s'inspirerait de nos ancêtres très lointains pour cosntruire des habitations solides et écologiques.
Sur les tumulus dans lesquels seraient les maisons, on ne mettrait pas d'arbres, les arbres et les haies seraient autour des maisons et des jardins et traverseraient aussi les champs perpendiculairement au vent dominant pour faire monter les nuages et le vent plus haut dans l'atmosphère, je vous ferai une autre note là-dessus, j'en ai déjà parlé dans les commentaires de "La soeur de la petite pixie a peur".
Bonsoir, et qu'il fasse beau chez vous, en attendant de vous contruire une maison-tumulus!
domino
* Petite note : Dans le Nord de l'Aisne, il y a des tertres qui marquent les emplacements d'anciens châteaux-forts. Dans ces tertres les archéologues trouvent des objets anciens datant du Moyen-Age. Il est probable que s'ils creusaient des strates plus anciennes, ils trouveraient aussi des poteries et autres objets de l'époque gauloise, car peut-être (c'est une hypothèse que j'avance) que les Celtes comme les Vikings, installaient leurs habitations assez profondément dans la terre) Il n 'y a presque pas de vestiges d'une période située entre la fin de l'empire romain et la période de Charlemagne. Des profs d'hisotire m'ont dit que cela était du au fait que les Barbares auraient réutilisé les bâtiments romains qu'ils trouvaient bien (donc ils auraient été entretenus assez longtemps) et auraient aussi vécu pour les moins riches dans des cabanes de bois, dont on ne trouveraient plus rien, le bois ayant pourri. Mais je pense que pour ceux qui n'avaient pas d'habitation gallo-romaine à proximité, des seigneurs Barbares ou d'anciens Gaulois, auraient pu réutilser les tumulus des anciens Gaulois ou Celtes, pour y établir leurs point principal d'habitation, et leur seigneur aurait pu y habiter et eux-mêmes s'y réfugier pour lutter contre invasions et intempéries. Ces tertres qui auraient ensuite servi de fondations aux châteaux, un peu comme les cryptes qui sont les églises primitives ont servi aux fondations des églises qu dans les campagnes sont aussi souvent situées sur des tertres.
15:58 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tornade, construction, bâtiment
mardi, 08 juillet 2008
Une troisième dentition?
Chez l'être humain cheveux et ongles poussent, c'est un fait. Pour les ongles, nous sommes tous capables de les couper nous même, car si nous ne le faisions pas, nous aurions des ongles qui feraient trois fois le tour de chaque doigt comme le paresseux Struwelpeter, et nous ne pourrions pas travailler!
Pour les cheveux, pas de problèmes, les cheveux poussent et soit on les laisse longs, soit on va se les faire couper et arranger chez le coiffeur, et ça donne du travail à ceux-ci. Coiffeur est d'ailleurs une profession qui a de l'avenir. Il n'y a jamais trop de coiffeurs, car beaucoup ont besoin de lui.
Se couper les ongles et se faire couper les cheveux ne fait pas mal, ce n'est pas une maladie et par conséquent, ce n'est pas remboursé par la Sécurité Sociale.
Mais voilà, il y a une question que je me suis toujours posée.... Pouquoi les dents ne poussent-elles pas d'une façon continue comme les cheveux et les ongles? Si les dents poussaient comme les cheveux et les ongles, les dentistes ne joueraient plus qu'un rôle esthétique comme le coiffeur, et on irait chez le dentiste se faire limer les dents trop longues, dont la partie en trop serait comme pour l'ongle, une partie qui perdrait d'elle-même son inervation et par conséquent, les soins dentaires seraient indolores. Et comme plus personne n'aurait de caries, ce ne serait plus remboursé par la sécurité sociale, car les soins dentaires seraient devenus uniquement esthétiques. Comme on n'aurait jamais mal ni avant, ni pendant, ni après les soins dentaires (le mot soin étant employé dans le même sens que dans soin capillaire), on n'aurait plus aucune appréhension à aller chez le dentiste.
Mais les dents ne poussent pas?
L'homme a deux dentitions, les dents de lait et les dents définitives. Il change de dents entre l'âge de 4 et l'âge de 12 ans; A une époque où l'homme vivait en moyenne 25 ans, durant la préhistoire, ce nombre de dentition suffisait largement. Presque tous les humains mourraient avec toutes leurs dents.
Mais voilà, l'âge de passer de vie à trépas a augmenté, et maintenant la plupart des très vielles personnes portent des dentiers, qui appuient sur leurs gencives, empêchant peut-être l'humanité d'avancer vers une troisième dentition.
Car logiquement, depuis deux siècles que l'espérance de vie a augmenté de beaucoup, l'homme devrait être en train d'évoluer vers une troisème, voir une quatrième dentition.
Mais cette évolution devrait se faire très lentement, peut-être sur plusieurs centaines ou milliers d'années. Si bien que si la longévité augmente encore de beaucoup et que nous pouvions tel Moïse vivre 800 ans (il s'agissait peut-être de 800 mois...)... le nombre de dentition n'arriverait jamais à couvrir toute la vie, le progrès et l'augmentation de la longévité, allant plus vite que l'évolution biologique qui pourrait nous donner ces dentitions supplémentaires.
En attendant, j'ai imaginé un système qui pourrait compenser ces dentitions manquantes... mais attention, c'est cet article qui dépose mon brevet d'invention, puisque je suis la première à en avoir l'idée. Même si je ne suis pas capable de la réaliser biologiquement parlant.
Habituellement on met des amalgammes à base de produit et de matières élaborées chimiquement, et qui sont extérieures et étrangères à l'être humain. Certains amalgames étant même nocifs pour la santé, car ils contiennent trop de mercure. Et le mercure est un poison pour l'homme.
Ne pourrait-on pas trouver des amalgammes biologiques, qui auraient une particularité essentielle pour la dentition : celle d'attirer des particules d'ivoire et d'émail du reste de la dent ou des dents voisines, de façon à ce que ces éléments naturels de la dent repoussent au travers de l'amalgamme, reformant la dent de façon naturelle en reliant celle-ci d'une façon naturelle avec la matière poussée dans l'amalgame biologique?
Ne serait-ce pas là une fameuse idée? Alors, biologistes à vos éprouvettes, et solutionnez nous ce problème, pour que les humains n'aient plus de maux de dents, ce qui certes mettrait les dentistes presque au chomâge, mais ils pourraient faire un autre métier qui ne les ferait pas rêver chaque nuit des dents de la mer...
domino
20:12 Publié dans Science i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : dent, dents, cheveux, ongles, corps humain, biologie, découverte