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vendredi, 29 août 2008

Les livres de SVT de collège.... à changer...

Pour les étrangers : SVT signifie Sciencee de la Vie et de la Terre, ce qui revient au même que Biologie.

Changer les livres.... En partie seulement.... L'iconographie, biologie humaine...

(âmes sensibles, s'abstenir...)

J'ai toujours aimé la géologie et la botanique, c'est ce qui me plaît vraiment dans la SVT, de même que l'étude des milieux écologiques.

Pour l'étude des animaux, ça allait tant qu'on en était à l'extérieur.... Mais dès qu'on disséquait des grenouilles ou des souris,  j'en étais très peinée et un peu dégoûtée.

Je suis tombée deux fois presque dans les pommes pendant des cours qu'à mon époque on appelait les Sciences Naturelles, une fois en sixième, la prof parlait des os du crâne et on  a commencé à expliquer les symtômes qu'on avait si on tombait sur la tête et qu'on avait une fracture du crâne. Et on a raconté qu'une fille qui était dans la classe des autres (je venais d'une autre école) était tombée sur la tête et en était morte, et mes camarades de classe parmi lesquelles il y avait des filles de médecins (c'était une bonne classe de latinistes de sixième) donnaient force détails sur l'accident, alors j'ai dû sortir, les soeurs qui étaient près de l'infirmerie m'ont fait asseoir sur une chaise dans la cour pour que je prenne l'air, et je suis restée là une bonne partie de l'après-midi, et je m'ennuyais un peu, régulièrement un soeur venait me demander "ça va mieux?". Je suis remontée pour un autre cours. Ce cours de "Sciences Naturelles" ayant eu lieu en début d'après-midi, j'avais bien passé la moitié de l'après-mdi dehors, je ne me souviens plus si c'était au début de l'automne ou au printemps, mais je sais qu'il ne faisait pas froid.

La deuxième fois, c'était beaucoup plus tard, en première... On parlait des ganglions qui défendaient l'organisme des microbes, que si des microbes qui s'infiltraient par une plaie des bras ou des jambes, et qu'ils dépassaient la barrière des ganglions on pouvait atraper une septicémie et mourir. J'étais en train de faire les shémas avec les ganglions, les vaisseaux sanguins et le système lymphatique quand soudain ça m'a pris.... Je me suis sentie très mal, c'était encore au début de l'après-midi, je ne savais pas si j'allais tomber dans les pommes, les toilettes étaient juste à coté de la classe, j'ai rendu tout mon repas. J'étais plutôt verte que blanche, je suis rentrée en classe au cours suivant, comme j'avais toujours 15/20 de moyenne en "Sciences naturelles", je ne sais pas pourquoi mais j'ai été abonnée à cette note là du primaire jusqu'en première pour cette matière (on ne faisait plus que des maths en Terminale, mais j'avais la fibre scientifique). Abonnée avec des O,25 et des 0,75 en plus, parfois ça montait à 16, rarement. Sur mon bulletin de ce trimestre -à, il était écrit "Bon travail, mais élève très sensible".

A l'époque, on se moquait un peu de moi dans la famille, je dois dire que enfant, je n'avais pas cette répulsion pour la biologie humaine, j'avais même des planches à découpe avec tout l'intérieur du corps humain et je passais des heures à les regarder, à les étudier et à replacer les organes sur les planches anatomiques. Mais à partir de cette histoire de crâne en sixième, j'ai fait une phobie à la biologie humaine et je ne pouvais plus voir une image, avec un crâne même pas préhistorique.

A 18 ans j'ai visité à Narbonne un musée avec des crânes préhistoriques, je mettais ma main le long du visage pour ne pas les voir en passant à coté.

Ah! Si! J'ai eu de meilleures notes que 15 en quatrième, avec la géologie et en seconde avec la climatologie (mais je crois qu'on faisait la climatologie en géographie).

C'est drôle parce que dans ma famille, avec l'âge, ils sont devenus comme moi. Ma soeur a des enfants, mais il ne faut surtout pas parler de dents devant elle, elle en devient toute pâle, il faut dire que petite, on l'avait obligée à porter des fils de fer autour de ses dents pour qu'elles poussent droit et elle en a gardé un souvenir atroce.

Quant à mon frère et sa famille, quand les enfants étaient petits et qu'ils se faisait mal, c"était mon frère qui tombait dans les pommes et quand les premiers ont grandi et que la petite se faisait mal, les deux grands aussi. Si bien que quand la peite se faisait mal, elle avait une blessée et trois malades à soigner.

Pourtant mon frère n'avait pas cette maladie de la phobie de l'anatomie humaine étant petit ou adolescent. Il s'est endurci je crois quand il a été opéré de son dos. Mais je ne l'ai plu trouvé aussi bien qu'avant à partir de ce moment-là. Sur le plan du caractère...

Moi, je suis endurcie vers l'âge de 21 ans quand ma mère avait failli mourir suite à une péritonite et qu'elle avait des tuyaux partout quand on  allait la voir à l'hôpital, puis quand j'avais 30 ans, et que mon père est mort d'un cancer. Même si je n'étais plus à la maison lors de la maladie de mon père, on a vécu dans les maladies de nos parents de l'âge de 21 à 30 ans, et beaucoup plus jeune pour ma soeur, qui était déjà mariée quand mon père est tombé malade, il avait marié ses trois enfants avant de mourir.

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Parenthèse :

A l'âge de 21 ans, c'est moi qui me suis tapé tout le ménage de la famille, les chemises de mon père à repasser, le biftek à cuire à point pour midi, alors que je révisais deux oraux pour septembre, que j'ai réussi, et comme cela ma troisième année univesitaire en une seule année, mais en février-mars rebelote avec les chemises à repasser (et tout le reste pour toute la famille), les trois repas différents à prépare, un pour moi, mon frère et mon père, un pour ma soeur qui à 13 ans était encore difficile pour la nourriture, un caprice qu'on lui laissait depuis son enfance..) et que mon frère ne faisait rien pour le ménage parce que c'était un homme de 24 ans, et que ma soeur était trop petite pour la cuisine et le ménage, je lui ai quand même appris à repasser les torchons et les serviettes.

A ce propos dans la famille il y avait une légende qui disait que c'était la voisine qui venait allumer le gaz pour la cuisine, ce n'est pas vrai, elle n'était venue qu'une fois pour me montrer, mais il est évident que je n'aimais pas beaucoup ça, et que chez moi tout est électique, sauf le chauffage.

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Ceci tout simplement pour vous dire une chose : que les adolescents n'ont pas forcément envie de voir les manuels de SVT surtout dans la section "biologie humaine", tels qu'ils sont actuellement.

J'ai feuilleté quand on m'a fait faire de la documentation (ce n'est pas mon métier), voir la colonne de gauche du blog... les livres de SVT, pour voir les programmes de élèves premièrement, et je trouvais beau les livres de sixième avec les arbres, les fleurs, les milieux naturels, mais quand je me suis trouvée devant les livres de cinquième et de troisième avec la partie biilogie humaine, j'ai eu un mouvement de recul en voyant les photos d'intérieur du corps humain en couleur avec des rouges assez criards pour certains organes, j'ai vite refermé, j'ai failli en vomir. Nous, à notre époque on n'avait que des shémas et c'était mieux!

Je ne fais pas d'allergie au rouge, non... mais trop, c'est trop et quand c'est de la matière humaine rouge, même des lèvres couvertes de rouge à lèvre beurk....

Alors est-ce que vous savez, vous les profs et inspecteurs de SVT qui faites les manuels scolaires, que vous pouvez envoyer les élèves à l'infirmerie grâce à votre iconographie!!!

Après, les profs disent : "Ah! Elles -surtout elles - sèchent les cours,  ces filles, toujours les mêmes...." Et bien non, là vraiment, si vous faites ouvrir les livres à une page qui les rend malades, ce n'est pas de leur faute.

En cas de pépin dans ce cas-  le meilleur est que la personne trop sensible se couche quelques minutes, en attendant que ça passe. C'était mon cas, quand j'avais le malaise des "Sciences Naturelles" ou des gens qui parlaient de maladie autour de moi.

domino

mardi, 08 juillet 2008

Une troisième dentition?

Chez l'être humain cheveux et ongles poussent, c'est un fait. Pour les ongles, nous sommes tous capables de les couper nous même, car si nous ne le faisions pas, nous aurions des ongles qui feraient trois fois le tour de chaque doigt comme le paresseux Struwelpeter, et nous ne pourrions pas travailler!

Pour les cheveux, pas de problèmes, les cheveux poussent et soit on les laisse longs, soit on va se les faire couper et arranger chez le coiffeur, et ça donne du travail à ceux-ci. Coiffeur est d'ailleurs une profession qui a de l'avenir. Il n'y a jamais trop de coiffeurs, car beaucoup ont besoin de lui.

Se couper les ongles et se faire couper les cheveux ne fait pas mal, ce n'est pas une maladie et  par conséquent, ce n'est pas remboursé par la Sécurité Sociale.

Mais voilà, il y a une question que je me suis toujours posée.... Pouquoi les dents ne poussent-elles pas d'une façon continue comme les cheveux et les ongles? Si les dents poussaient comme les cheveux et les ongles, les dentistes ne joueraient plus qu'un rôle esthétique comme le coiffeur, et on irait chez le dentiste se faire limer les dents trop longues, dont la partie en trop serait comme pour l'ongle, une partie qui perdrait d'elle-même son inervation  et par conséquent, les soins dentaires seraient indolores. Et comme plus personne n'aurait de caries, ce ne serait plus remboursé par la sécurité sociale, car les soins dentaires seraient devenus uniquement esthétiques. Comme on n'aurait jamais mal ni avant, ni pendant, ni après les soins dentaires (le mot soin étant employé dans le même sens que dans soin capillaire), on n'aurait plus aucune appréhension à aller chez le dentiste.

Mais les dents ne poussent pas?

L'homme a deux dentitions, les dents de lait et les dents définitives. Il change de dents entre l'âge de 4 et l'âge de 12 ans; A une époque où l'homme vivait en moyenne 25 ans, durant la préhistoire, ce nombre de dentition suffisait largement. Presque tous les humains mourraient avec toutes leurs dents.

Mais voilà, l'âge de passer de vie à trépas a augmenté, et maintenant la plupart des très vielles personnes portent des dentiers, qui appuient sur leurs gencives, empêchant peut-être l'humanité d'avancer vers une troisième dentition.

Car logiquement, depuis deux siècles que l'espérance de vie a augmenté  de beaucoup, l'homme devrait être en train d'évoluer vers une troisème, voir une quatrième dentition.

Mais cette évolution devrait se faire très lentement, peut-être sur plusieurs centaines ou milliers d'années. Si bien que si la longévité augmente encore de beaucoup et que nous pouvions tel Moïse vivre 800 ans (il s'agissait peut-être de 800 mois...)... le nombre de dentition n'arriverait jamais à couvrir toute la vie, le progrès et l'augmentation de la longévité, allant plus vite que l'évolution biologique qui pourrait nous donner ces dentitions supplémentaires.

En attendant, j'ai imaginé un système qui pourrait compenser ces dentitions manquantes... mais attention, c'est cet article qui dépose mon brevet d'invention, puisque je suis la première à en avoir l'idée. Même si je ne suis pas capable de la réaliser biologiquement parlant.

Habituellement on met des amalgammes à base de produit et de matières élaborées chimiquement, et qui sont extérieures et étrangères à l'être humain. Certains amalgames étant même nocifs pour la santé, car ils contiennent trop de mercure. Et le mercure est un poison pour l'homme.

Ne pourrait-on pas trouver des amalgammes biologiques, qui auraient une particularité essentielle pour la dentition : celle d'attirer des particules d'ivoire et d'émail du reste de la dent ou des dents voisines, de façon à ce que ces éléments naturels de la dent repoussent au travers de l'amalgamme, reformant la dent de façon naturelle en reliant celle-ci d'une façon naturelle avec la matière poussée dans l'amalgame biologique?

Ne serait-ce pas là une fameuse idée? Alors, biologistes à vos éprouvettes, et solutionnez nous ce problème, pour que les humains n'aient plus de maux de dents, ce qui certes mettrait les dentistes presque au chomâge, mais ils pourraient faire un autre métier qui ne les ferait pas rêver chaque nuit des dents de la mer...

domino

lundi, 30 juin 2008

Anciens microbes...

Quand on est allé sur la lune, on a mis les cosmonautes en quarataine et leur scaphandres aussi, pour qu'ils ne communiquent pas de microbes et virus lunaires aux habitants de la Terre, si tant est que la Lune puisse héberger quelque forme de vie unicellulaire, ce qu'on pensait possble à l'époque.

Quand on a exhumé des momies, on les a manipulé avec mille précautions (pas assez au début?) pour qu'elles ne nous refilent pas des microbes et virus d'il y a 6000 à 4000 ans....

On a retrouvé sur une terre gelée, permafrost trois tombes à l'écart d'un village, de personnes décédées de la grippe espagole en 1917-18, pour retrouver quel était ce virus, des scientifiques armés de combinaisons et de masques les ont déterrées, ont fait des prélèvements et les ont enterrées de nouveau.

As-t-on pris assez de précautions quand on a exhumé Ötzi des glaces d'un glacier situé au fond de l'Ötztal dans le Tirol italien (Tirol du Sud pour les autrichiens, terre "arrachée" à l'Autriche en 1918, c'est pour cela que sur la carte géographique, l'Autriche a un long nez)  ?

Alors, que pensez-vous de la fonte des glaciers? Ne va-t-on pas voir des microbes et virus surgis de la préhistoire, et du temps où il n'y avait pas encore d'humains, surgir  dans l'air des montagnes, et polluer l'eau claire qui coule vers les vallées.

Alors, attention, randonneurs, si vous allez à la montagne et que vous randonnez près des glaciers. Soignez le moindre refroidissemant assorti d'un rhume, qui pourrait être provoqué par quelque microbe sorti de la préhistoire et laissé là par l'un de nos ancêtres!

Bien sûr le paragraphe précédent est écrit par déduction logique et n'a aucun fondement scientifique autre que l'intuition, c'est pourquoi vous ne devez pas prendre mon information au sérieux et bouder la montagne (je vais me prendre les foudres du tourisme montagnard, bien qu'ils font plus d'affaire en hiver, quand les glaciers ne dégèlent pas, mais que le froid active grippes et rhumes).

domino