lundi, 10 mai 2010
Doofie monte et descend....
Vous connaissez tous ces émissions télévision où une quinzaine de jeunes chanteurs se battent pour décrocher la première place et le contrat de disque...
Bon, notre Doofie qui a une voix merveilleuse, n'en est pas là, elle se contente des petits karaokés associés où elle pourrait gagner à la rigueur une place au théâtre pour aller voir la finale d'un tel TV-crochet.
Bon, voilà que Doofie fait cela pour la première fois, et elle entre dans les six premiers de la deuxième phase du crochet. Mais bien vite d'autres candidats montent et lui souffle ses cinquièmes et sixièmes place en faisant du rythme, du rock de leur voix viriles, rockeuses et rocailleuses.
Doofie a pourtant pris longtemps des cours de chant et a travaillé pour avoir une voix comme celle-là.
Quelques dénigreurs étaient d'ailleurs arrivés avant la descente du hit-parade momentané.
Doofie éssaie deux nouvelles chansons du répertoire indiqué, mais bien qu'elles soient enregistrées, pas moyen de les publier.
Doofie tempête, elle voit que tous le monde se cantonne à cinq chansons, les mêmes qu'elle et que personne n'enregisstre les autres chansons proposées. Depuis deux jours une chanson d'une chanteuse française célèbre dans les années 80, défile au hit-parade karaoké, tout le monde fait la même chanson, teinte de mysoginie, et de machisme. Cette chanteuse s'est-elle rendu compte de ce qu'elle chantait?
Bon, Doofie refait la chanson en changeant les paroles et en la parodiant d'une voix qui imite les voix rocailleuses des autres. Le verdict tombe, deux commentatrtices indélicates viennent écrire sans écouter les autres chansons, que Doofie chante mal et faux, qu'elle ferait mieux de se taire.
Doofie leur répond, mais les réponses sont souvent truffées de mots "interdits", soi-disant, car en fait elles sont très polies par rapport aux attaques, en fait on lui nie le droit le plus élémentaire, celui de réponse. Elle finit par faire comprendre à ses deux détractrices, qu'elle chante autrement et que c'est une parodie, mais en fait ces deux femmes ne veulent rien comprendre.
Ensuite elle retourne à l'une des autres chansons, refait une version style lyrique et d'autres internautes viennent lui écrire qu'elle a une belle voix.
Comme quoi...
On peut être perçu de façon complètement différente d'une chanson à l'autre.
Bon, ceci concerne Doofie, pas moi bien entendu....
domino
19:55 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tv-crochet, concours chanson
mardi, 05 janvier 2010
Ressemblances....
Dans la salle des profs, nos trois vieilles profs d'allemand, Doofie étant retenue ailleurs, discutent de l'actualité !
- Tiens, t'a vu comment elle s'appelle la fille de Johnny? dit Sottie,
- Laura Smet, ben oui, c'est normal, c'est son nom de famille à lui, Johnny Hallyday, c'est un pseudonyme...
- Comme domino?
- Oui, comme domino, notre auteure, notre mère à toutes...
- C'est terrible cette histoire là, tu te rends compte.... Une histoire comme dans Roméo et Juliette, Laura partagée entre la famille de son amour et la sienne, c'est comme les Capulet et les Montaigut!
- Ben, oui, mais c'est pas ça que je vois...
- Quoi?
- Johnny, il est d'origine belge, et le nom Smet est un nom flamand.
- Et alors?
- Et bien, Doofie m'a dit un jour le nom de ses ancêtres...
- Ses ancêtres. Quel rapport? On le sait bien que c'est une princesse de sang royal...
- Oui, mais princesse de sang royal, ce n'est pas par les mêmes ancêtres, c'est par les ancêtres de son grand-père paternel.
- Ah? Et de quells ancêtres vas-tu parler alors?
- Du côté de sa grand-mère paternelle, Doofie avait une arrière grand-mère qui s'appelait Smet.
- La mère de sa grand-mère paternelle alors?
- Oui...
- Et tu crois que....
- Ben oui, quoi, Doofie c'est aussi un génie musical, t'as déjà vu comment elle improvise sur sa guitare...
- Et en plus... Tu m'y fais penser... En regardant ses vidéos, celle où elle explique la technique de guitare, je me suis rendu compte que son visage me faisait penser à quelqu'un....
- A qui?
- Ben, c'est peut-être parce que je le savais déjà, qu'elle a une ancêtre du nom de Smet, son arrière grand-mère, mais elle ressemble à Johnny...
- Et son frère, il paraît que c'est un sosie de Bob Dylan... Ya juste qu'il ne chante pas...
- Il paraît que quand il était petit, il chantait comme un rossignol, ya un curé qui voulait le faire chanter en soliste dans le choeur de garçon de l'église, mais lui, il ne voulait pas...
- Mais un jour ya une prof de musique qui a dit qu'il chantait faux, il était en 5ème et il avait 13 ans, l'âge de la mue... Alors, il n'a plus jamais voulu chanter... Quelquefois, Doofie, elle l'entendait fredonner dans sa chambre, et elle trouvait qu'il ne chantait pas faux mais à cause de cette prof, il n'a plus chanté devant les gens. Il a eu une autre prof de musique dans le lycée où il a été à partir de la quatrième, elle leur parlait du groupe des cinq, alors son frère, il écoutait Smetana (encore Smet? C'est vraiment d'origine belge? Doofie a peut-être aussi des origines tchèques...), Borodine, Moussorsky, Rimsky-Korsakov, et Doofie elle entendait tout cela de sa chambre, et il écoutait aussi la musique symphonique des années 70 : les Pink Floyd et Genesis!
- Oui, il avait quand même bon goût, le frère de Doofie...
- Son frère, il ressemble à Johnny?
- Il ressembait plutôt à Gene Vincent, une espèce de look de crooner et de garçon anglais, toutes les filles en étaient amoureuses, il avait aussi un peu du prince Charles dans sa jeunesse.
- Ben, oui, sang royal oblige...
- Et Doofie, elle ressemblait à la princesse Anne... Et sa mère à la Reine d'Angleterre.
- Enfin, bref, c'est marrant ces ressemblances. Dommage que Johnny ait des enfatns, sinon, elle aurait pu hériter une fortune d'un cousin éloigné...
Plus loin, Coolie :
Vous avez entendu les convesations de nos maîtresses de stage, elles sont cool!
Oui, vieilles surtout, objecte Sweetie.
C'est vrai que pour leur âge, elles ont des conversations intéressantes, dit Softie.
domino
00:16 Publié dans Famille i-grimoirienne, Humour i-grimoirien., Les aventures de Dummie, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : johnny hallyday, smet, ancêtres
dimanche, 29 juin 2008
La toute puissance des magnats de l'informatique...
Je vous ai sans doute déjà dit que j'improvise et que je compose, et que je fais des poèmes, est un fait asquis sur et i-grimoire. De là à faire des chansons il n'y a qu'un pas.
Et bien voilà....
Quand on fait cela, on a envie de les enregistrer, même et aussi en vidéo, seulement voilà, il y a un hic.
Tant que j'enregistre tout modem fermé dans la maison, impeccable, la sonorité est impeccable, le reproduction sonore sur l'ordinateur aussi.
Dès que je mets l'ordinateur sur secteur et le modem en même temps, sans que le modem ne soit cnnecté à l'ordinateur et en contrôlant que le Wi-Fi est déconnecté sur mon ordinateur, le son change.
Le son devient nasillard et un son métallique vient alors ponctuer chaque note de guitare et/ou chaque son de ma voix.
Alors, voilà ce que je me suis dit :
Entre mon modem et l'ordinateur il y a Wi-Fi secret que je n'arrive pas à voir parmi les connections Wi-Fi possibles de l'ordinateur, puisqu'il n'en détecte aucune dans ce bled retiré) et comme Windows
(je suppose que c' est Windows qui passe au travers de l'air sans WiFi, mais je n'en suis pas sûre, donc ne m'attaquez pas, Monsieur Windows, quand on suppose, on n'accuse pas, selon l'un de mes collègues qui a détruit ma carrièrel en faisant une supposition le 16 septembre 2002)
puisqu'il avait déjà mis des DRM sur des Noëls traditionnels donc du domaine public et chantés et joués par moi-mêem selon mes propres harmonisations et accmpagnements, et a la manie de mettre des protections DRM sur tout ce qu'il trouve de musical ou d'images animées (vidéos) dans un ordinateur, iapparemment c'est lui qui détruit systématiquement le son de mes vidéos non commerciales et jamais publiées, dont je suis l'auteur, le compositeur et l'interprète bloquant à jamais l'écoute confortable de mes improvisations et de ma belle voix pour les générations à venir
(je vous vois venir, c'est bien fait pour elle, diront-ils de moi, elle manque de modestie! Mais qu'est-ce que ça a avoir avec le modestie, des Nana sans voix et qui se la joue grande, et font les belles madames, réussissent à faire enregistrer leurs voix de pacotille par les multinationales du disques, simplement parce qu'elles ont de belles jambes et de beaux yeux bleus... et le système d'exploittion de leur ordianateur ne viendra pas les ennuyer en détruisant l'enregistrement de leurs piètres vocalises aphones, parce que de toute façon la postérité les ignorera aussi, mais les multinationales ont peur des belles voix amateur au timbre unique, des compositeurs amateurs parfois meilleurs que les professionnels, et se font soutenir par les grands de l'informatique pour rendre leur oeuvre inaudible)
Alors, aucun espoir de faire une deuxième carrière, une fois l'heure de la retraite sonnée, et pourtant Segovia a joué et fait des tournées jusqu'à l'âge de 93 ans, etc...
La prochaine fois j'aurai appris ma lecçon, je ferais les sauvegarde avant de brancher le modem sur le secteur, et pas après (mais c'est bien l'original sur l'ordianteur qui est devenu nassillard dès le branchement du modem. Le problème pour faire les sauvegardes étant que l'ordianteur n'a qu'une heure et demi d'autonomie sans secteur et que la seuvegrde des vidéos dure un certain temps.
Sans compter que je ne peux enregistrer les improvisations qu'une seule fois, et que si je les enregistre sur la webcam, dès que le modem est allumé même sans connection, le son en est alors détruit sur mon seul exemplaire.
domino
10:38 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (3)
lundi, 28 avril 2008
Droits d'éditeurs?
Il paraîtrati que pour la musique, il existe aussi des droits d'éditeur...
C'est à dire que si vous jouez Mozart, mort très pauvre paraît-il, et qui n'a rien laissé à sa veuve pour subsister, mort riche et assassiné, selon des sources nouvelles, et que vous mettez la partition sur la scène, la Sacem va payer l'éditeur dont vous utilisez la partition.
Un éditeur aurait l'exclusivité ou non de l'édition ud vivant de l'auteur, masi cela, comment le savoir? Ainsi Manuel M. Ponce a soudain eu de nouvelles éditions des ses préludes autres que celle de Schott, car apparemment le temps légal était écoulé.
Après l''expiration des droits d'auteur, 70 ans après la mort du compositeur ou de l'auteur, n'importe quel éditeur peut éditer l'oeuvre, dont vous-même sur un ordinateur ou sur papier libre, manuscrit. Vous devenez alors éditeur, utilisant votre propre édition. Même s'il n'en existe qu'un seul exemplaire, sans valeur commerciale (à moins que vous ne soyez célèbre, dans ce cas on pourra vendre votre copie aussi chère que les vêtements ayant appartenu à John Lennon).
70 ans après la mort de l'auteur ou du compositeur, si vous n'utilisez aucune partittion et que vous chantez par coeur, vous ne paierez pas de droit.
Mais si vous utilisez la partition d'un éditeur, dans ce cas là, c'est par rapport à cette partition que vous paierez enocre des droits. Souvent un petit forfait si le concert est gratuit.
domino
15:34 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, droits d'auteur, droits d'éditeur...
mercredi, 13 juin 2007
Explications des sigles...
Pour les étrangers qui lisent mon i-grimoire, voici quelques explications de sigles et de cursus français, qui leur permettront de mieux comprendre ce que j'écris, en particulier la longue note deux notes en dessous de celle-ci par ordre chronologique.
Les étrangers de la francophonie ou non seraient d'ailleurs bien gentils d'expliquer aussi leurs sigles, parce que si je sais ce qu'est une ASBL en Belgique parce que ce n'est pas loin, je n'ai aucune idée de l'équivalent canadien.
Alors voici
Déjà, deux abréviations qui ont deux sens :
CPE signifie Conseiller Principal d'Education, mais aussi Contrat .... (j'ai oublié le reste, c'est ce contre quoi il y a eu tant de manifestations l'an dernier). Bref, un contrat qui devait servir à l'insertion professionelle des jeunes.
Pour le premier sens un CPE est chargé de la discipline dans un collège ou un lycée, il est sous les ordres du principal ou proviseur adjoint et travaille en collaboration avec lui. Il est le chef des surveillants, aide-éducateurs, etc... Il est aussi chargé du contrôle des absences et des présences.
CDI a aussi deux sens : Centre de Documentation et d'Information du collège ou du lycée. Une sorte de bibliothèque médiathèque dans laquelle on trouve des livres (littérature, documentaires), des manuels scolaires, des revues pour les professeurs et des revues de jeunesse pour les elèves des collèges, de la littérature de jeunesse pour les élèves de collège, Des ordinateurs, des CD-Roms, des DVD, Internet, du matériel audio-visuel (TV, magnétoscopes), les brochures servant à l'orientation des élèves (métiers...).
Le documentaliste, appelé maintenant professeur-documentaliste, s'occupe des CDI (ou médiathéques des collèges) et lycées), il a trois fonctions principales :
1) Gérer le CDI, c'est à dire, faire les achats avec un tout petit budget, ranger le CDI, veiller à ce que tout soit toujours bien en place, enregistrer les prêts et les retours de livre, enregistrer les articles des revues qui arrivent et les nouveaux livres, ou documents dans l'ordinateur.
2) Organiser expositions et projets en accord avec ses collègues, ou seul avec les élèves, donner des cours de recherche documentaire aux élèves.
3) Surveiller les élèves, veiller à ce que leurs déplacements dans le CDI se passent bien (surtout en collège, âge 10 à 16 ans) où ils ont tendance à courir. Veiller à ce qu'ils respectent la Charte Internet du Collège (qui limite leur surf sur le web), conseiller les élèves sur les documents à choisir, effectuer le suivi des élèves au CDI, le contrôle des présences, aider les élèves qui ne savent pas faire quelque chose sur l'ordinateur, aider les élèves qui ne comprennent pas quelque chose, etc... à chaque heure le documentaliste de collège voit débarquer une quinzaine d'élèves qui ont tous des besoins différents, et il faut subvenir dans l'immédiat à leurs besoins. Et en même temps continuer le travail administratif du collège. A chaque intercours, vous faites le tour du CDI, remettez les livres mal rangés en place, remettez les ordinateurs mal gérés sur la page où on tape son code, etc... Aux récréations vous recevez les élèves pour les emprunts et les retours de livre, pour la lecture libre, pour prendre un renseignement sur internet dont on a besoin pour un exposé urgent en 5 minutes de temps, entre midi vous mangez sur le pouce, puis vous faites un club de lecture ou vous recevez les élèves qui n'ont pas d'heure de permanence....
Un vrai casse-tête, ce CDI. Surtout en faisant cela 18 heures par semaine, horaire statutaire à ne pas dépasser quand on est TZR, en recevant les élèves à chaque heure. Vous êtes pour faire le travail administratif du CDI obligés de rester le soir et de revenir entre deux. Pour travailler au calme sans élèves. C'est à cause de cela que j'ai des problèmes avec la concierge.
CDI signifie aussi Contrat à Durée Indéterminée. C'est alors un mot de la langue du travail salarié.
Permanence signifie salle dans laquelle les élèves sont en étude libre et font leurs devoirs pendant leurs heures de trous ou quand des profs ne sont pas là.
Profs est une abréviations communément admise pour désigner les professeurs. En France les profeseurs enseignaient jusqu'ici dans le secondaire ou le supérieur. Ils ont divers grades, car il n'y a pas d'unité en la matière. Dans le primaire (pour des élèves jusqu'à l'âge en principe de 11 ans), ils étaient appelés instituteurs, mais depuis une dizaine d'année existe le concours de professeurs des écoles, de même niveau que le CAPES permettant d'enseigner dans le secondaire, et les nouveaux instits, ne sont plus nommés instituteurs, mais professeurs des écoles.
Que la France est compliquée !
Voici en gros du primaire au supérieur les grades des professeurs.
Primaire (de 6 à 11 ans) :
1) Instituteurs pour les plus anciens, ils passaient après une ou deux années d'université quelques temps en école normale d'instituteurs, et devenaient après validation de leurs stages, instituteurs. Ils pouvaient prendre leur retraite dès l'âge de 55 ans (si j'avais été institutrice, je serais déjà en retraite), devenir directeurs d'école tout en gardant leur classe d'enseignement, ou devenir inspecteurs du primaire.
2) Les professeurs des écoles sont les nouveaux instituteurs, ils passent un concours un an environ après la licence (donc un concours de niveau bac + 4), ils sont fonctionnaires de l'état comme les professeurs du secondaire, ils font une année de stage après leur concours qui correspond à un baccalauréat +5 (comme les professeurs du secondaire ayant leur CAPES).
Parenthèse : les diplômes et concours pour enseigner :
Que signigie bac + 1, bac + 2, bac +3, etc....
Avec la réforme européenne LMD (licence, master, doctorat), la licence est un bac + 3, le master un bac +5, et le doctorat un bac + 8.
bac = baccalauréat (en allemand Abitur), je ne connais pas les équivalences des autres pays. Le baccalauréat se passe à l'issue des études secondaires, dans l'année civile des 18 ans, en principe, mais en réalité beaucoup sont plus agés.
Le baccalauréat a des mentions : passable (10/20 à 11,99/20), AB ou Assez Bien (de 12 à 13,99 de moyenne) (pour mémoire j'ai eu 13 de moyenne au bac avec une année d'avance (17 ans dans l'année civile, alors que le baccalauréat se passe à 18 ans dans l'année civile, mais à l'époque où j'ai passé le bac la sélection à l'entrée en sixième était très dure (deux élèves par classe de primaire), et une mention AB de l'époque vaut une mention TB de maintenant). Bien ou B(de 14 à 15,99 de moyenne), TB, Très Bien (de 16 à 20 de moyenne).
A l'issue de la première année d'université (en principe à 19 ans, mais on peut aller à l'université à tout âge), vous avez le niveau Bac +1, à l'issue de la deuxième année, Bac + 2, à l'issue de la 3ème année la licence et bac +3, à condition d'avoir réussi tous vos examens bien entendu, car le passage ne se fait plus sur dossier examiné en conseil, comme dans le secondaire, mais sur examen.
La licence se passe donc à Bac + 3, le Master à Bac + 4, le doctorat à Bac + 8.
Auparavant, jusqu'à la réforme LMD, contre laquelle il y a eu de nombreuses grèves, deux diplômes intermédiaires étaient attribués,
1) le DEUG (appelé à mon époque (dans les années 70) DUEL, DUES, DUEJ ou DUET) couronnait un succès aux deux premières années universitaires. (Ces diplômes sont de niveau Bac +2)
DEUG = Diplôme universitaire d'études générales.
DUEL : Diplôme universitaire d'études littéraires.
DUES : Diplôme universitaire d'études scientifiques.
DUEJ : Diplôme universitaire d'études juridiques.
DUET (actuellement DUT) : diplôme universitaire d'études. techniques.
Tous ces diplômes n'existent plus.
De même niveau, vous avez encore, il me semble le DUT et le BTS. Le DUT couronne des études univeristaires technologiques de deux ans dans une université, alors que le BTS couronne deux années d'études supérieures dans une section supérieure rattachée à un lycée secondaire, ce sont généralement des professeurs du secondaire qui enseignent aux TS. BTS signifie Brevet de Technicien Supérieur.
(J'ai déjà enseigné l'allemand en BTS tertiaire (comptabilité-gestion et assistante bilingue) et en BTS hôtellerie-restauration, en même temps que j'enseignais en secondaire de lycée. Trois ans pour la première sorte de BTS et 8 ans pour la deuxième sorte de BTS, j'étais connue pour mes activités pour les examens de BTS dans 3 académies (régions).)
Au niveau bac + 4, il y avait la maîtrise que beaucoup confondent maintenant avec le Master. Alors que le Master est la nouvelle dénomination du DEA. Cependant pour obtenir la maîtrise, il fallait déjà écrire un mémoire plus conséquent que celui du master actuel. Pour le M1 (équivalent de la maîtrise), on ne demande plus que 20 pages de mémoire. Et 80 à 100 pages pour le M2. Alors qu'un mémoire de maîtrise pouvait largement faire 150 à 300 pages. Diminution des exigences donc, pour le même niveau.
Donc la maîtrise est l'équivalent de la première année de Master, et le DEA (Diplôme d'Etudes Approfondies) ou DESS (Diplôme d'études supérieures ....?) qui n'existent plus sont l'équivalent de la deuxième année de master (M2) ou Master tout court.
[Pour mémoire en plus du CAPES (filière enseignement), j'ai la maîtrise (filière recherche) de linguistique allemande.]
Enseignement secondaire :
A/ Le CAPES
Pour se présenter au CAPES (Certificat d'Aptitude au Professorat de l'Enseignement Secondaire), il faut un bac + 3, soit une licence, seulement pour obtenir ce CAPES, il faut trimer sur un programme d'études - qui en allemand, tout pour l'agrégation, est renouvelé entièrement tous les ans, seules les matières techniques (pour le CAPES didactique, épreuve sur dossier de l'oral et traduction) gardent un programme fixe. Pour l'allemand deux questions de littérature, une question de civilisation - une époque différente chaque année - et une question d'histoire des idées ou de philosophie (pour l'année qui vient Schlegel et le romantisme politique) sont données chaque année, tous les ouvrages étant lus et traités à l'université en allemand). Donc, le concours auquel il y avait quand je l'ai réussi (années 70 : 4000 candidats pour 400 reçus,) 10% de réussite, actuellement il y beaucoup moins de candidats, mais le taux de réussite est un peu plus élevé (15 à 20%). Il peut donc être considéré comme un bac + 4. Beaucoup de candidats le passent plusieurs fois avant de le réussir. Certains candidats au CAPES passent celui-ci trois fois (c'est une bonne moyenne pour le réussi), en restant étudiants, ce qui les amènent à réussir le CAPES généralement vers l'âge de 25 ans, le CAPES, un bac +6?
Mais quand vous avez le concours du CAPES (appelé à mon époque, années 70, épreuves théoriques du CAPES ou CAPES théorique), ce n'est pas fini !!!!
En allemand le CAPES théorique comprenait à l'écrit plus d"épreuves que le CAPES externe actuel, et la langue allemande était plus coefficientée. Les deux traductions étaient comptées séparément et passées séparément, comme pour l'agrégation jusqu'à il y a deux ans, la dissertation était en allemand et coefficientée 2 (actuellement elle est en français et coefficientée 1), et le commentaire d'un texte allemand était en français (il est actuellement en allemand, et était coefficienté comme maintenant 1). A l'oral, nous avions deux épreuves uniquement univesitaires, une explication de texte sur un texte inconnu et un exposé de grammaire sans texte d'appui, on vous donnait un sujet comme "la négation" ou "le directif et le locatif" et vous deviez faire vos exemples vous même.
Une année de stages en IUFM (institut Universitaire de Formation des Maîtres) est demandé pour que vous soyez titulaire d'un poste d'enseignement (qui à l'heure actuelle est souvent une Zone de Remplacement, et vous serez alors TZR).
A mon époque, cette année de stage était faite dans l'ancêtre de l'IUFM qui s'appelait le CPR (Centre Pédagogique Régional). On avait trois stages en un an qui duraient environ 1 trimestre chacun, avec 3 conseillers pédagogiques différents, pour voir trois façons d'enseigner, et on enseignait dans leurs classes, et on passait à l'issue de ce stage ce qu'on appelait les épreuves pratiques du CAPES ou CAPES pratique, qui était sanctionnée par le diplôme du CAPES pratique équivalent à un Bac + 5), Pour le CAPES pratique ou que l'on appelait la deuxième année de CAPES, on avait deux inspactions soit la même journée, si c'était dans la même ville, soit deux jours d'affilée, si c'était dans deux villes différentes (ce fut mon cas), une en collège et une en lycée (j'ai passé mon CAPES "pratique" en 3ème LV1 et en première S LV1).
A mon époque la moitié des candidats redoublaient leur année de stage (il n'était pas donné, je l'ai eu du premier coup, par contre j'avais passé le CAPES trois fois tout en travaillant comme auxilaire avant de la réussir). Deux candidats sur les quinze stagiaires dont la moitié de "redoublants", étaient recalés lors du redoublement, et devaient tout recommencer (recommencer le concours), s'ils voulaient devenir profs.
Depuis les années 70 un tas d'autres concours internes de niveau CAPES ont été créés, mais ils n'existaient pas à mon époque, Capes réservé, spécifique, interne, 3ème concours, mais ils ne sont pas de niveau CAPES unique (théorique et pratique) de mon époque qui est devenu le CAPES externe. En allemand ces CAPES annexes n'existent d'ailleurs plus, faute de candidatures. Ces CAPES avaient été créés pour la résorption de l'auxiliariat. Il y a aussi les certifiés par listes qui ont ce qu'on appelle le CAPES d'intégration qui est une titularisation sur inspection unique dans un seul niveau collège ou lycée. Le pire étant que certains profs ayant eu ces CAPES d'intégration en collège, enseignement maintenant en lycée sur des postes fixes (j'en connais même qui enseignent en BTS, enseignement supérieur), alors que des profs comme moi, titulaires du CAPES de type externe et bi-admissibles à l'agrégation sont en zone de remplacement et enseignent dans des collèges REP, en zone de prévention violence. Je suis réac, d'accord, mais les personnes qui viennent me critiquer ici sont essentiellement des personnes qui ont réussi ce type de CAPES et surtout des certifiés par liste, des "CAPES d'intégration", qui ne savent pas ce que c'est de préparer un concour jusqu'au point de le réussir, Ils font preuve d'un manque d'intelligence, car si j'étais dans leur situation, je serais en admiration devant ceux qui ont le CAPES externe ou son ancêtre, le CAPES théorique et pratique, passé en deux ans, que je situe comme l'ONISEP à bac +5 (Organisation Nationale ... ???? chargée de l'Orientation scolaire et univeristaire). Car je suis moi-même en tant que bi-admissible à l'agrégation et cependant un peu des leurs, en admiration devant les agrégés.
Il existe un autre concours pour les LEP, le PLP2. Dans ce sigle PLP doit signifier Professeur de Lycée Professionnel. Ce concours est du niveau du CAPES, et passé aussi après la licence, mais est bi-matière.
B/ Concours de recrutement de professeurs du plus haut niveau : l'agrégation. Il se passe après la maîtrise ou Bac + 4. Son programme, surtout celui de l'externe, étant plus chargé que celui du CAPES encore, l'oral de l'externe étant passé en juin/juillet donc un an après la maîtrise, elle peut-être considérée comme un BAC + 5 et même plus, pour sa partie théorique, avec le stage comme un Bac + 6. Mais beaucoup d'agrégés qui étaient certifiés avant de passer l'agrégation n'ont pas fait de stage, ils ont été déclarés agrégés titulaires au bout d'un an de stage où ils étaient agrégés stagiaires sans inspection. C'est le cas d'au moins deux de mes anciens collègues de Lycée-Où -J'-Ai-Enseigné-Pendant-Dix-Ans.
(Une partie de ma note est tombée parce que je ne l'ai pas enregistrée à temps, je ne sais plus ce que j'avais écrit).
Pour être déclaré bi-admissible à l'agrégation qui est un grade supérieur à celui de certifié de classe normale, il faut être titulaire de l'enseignement par CAPES et avoir réussi deux écrits d'agrégation. En devenant bi-admissible, vous avez un reclassement qui vous resitue environ deux ans en arrière dans votre échelon, mais avec une rémunération équivalent équivalente à un passage d'échelon, ce qui vous avance financièrement d'environ deux ans dans votre carrière.
[En ce qui me concerne, c'est mon grade, puisque j'ai réussi dans ma jeunesse le CAPES d'allemand et récemment j'ai eu deux admissiblités à l'agrégation interne d'allemand (deux fois l'écrit de l'agrégation interne d'allemand), si je dis cela, ce n'est pas pour écraser les autres, mais parce que en tant que bi-admissible à l'agrégation d'allemand, je voudrais faire valoir mes droits à enseigner l'allemand et à être délivrée de mon service "illégal "en documentation (Ce service est légal que pour ma principale qui m'a menacée de baisser ma note administrative, si je ne le faissais pas), il semblerait que ma principale soit mal renseignée sur le statut des TZR et les confonde avec des auxiliaires, elle a dit d'ailleurs que si j'arrêtais mon service en documentation, elle se renseignerait pour savoir si ce que je dis est vrai, mais en attendant elle me menace de tous les maux si je ne viens pas 18 h par semaine au collège. Un cercle vicieux.)
Si 'j'écris cela ici, c'est un appel au secours de la bi-admissible à l'agrégation d'allemand, qui n'a plus d'heures d'allemand parce qu'elle est TZR sans remplacements, que l'on oblige à faire un service de documentation qu'elle n'aime pas, et qui voit des collègues moins chevronnés qu'elle professeurs de lycée ou en BTS (en supérieur). Ce n'est pas de la jalousie que j'ai pour eux, mais j'éprouve du dépit de voir ma carrière se terminer en queue de poisson et 'en pleure, une déchéance totale, à chaque fois que je monte en grade, je descends dans mes attributions de fonctions, l'agrégation de documentation n'existant pas, je fais actuellement le travail d'une certifiée de classe normale et pas d'une certifiée bi-admissible à l'agrégation.
Le gouvernement ne voit pas qu'en obligeant des personnels qui se sont consacrés durant toute leur vie de toutes leurs forces, de tout ce qu'il leur était possible de faire pour leur matière, à exercer des fonctions subalternes (je suis réac, je vais me payer les foudres des vrais documentalistes, mais ils passent souvent le CAPES de documentation par défaut, parce qu'ils n'ont pas réussi les autres CAPES, et ils deviennent documentalistes par défaut), en obligeant ces personnels là, sous menaces de services non faits (service non faits = si vous ne faites pas ce que je vous donne, on arrête de vous payer, quand je suis partie une demi-ournée à cause de l'attitude que la principale a avec moi;
(alors que je fais un travail pour laquelle, je ne suis pas formée, alors que je suis formée pour un autre travail, professeur d'allemand , ma principale m'a envoyé une injonction de reprendre le travail immédiatement, sous menace d'être considérée comme démissionaire,)
A faire de la documentation, (c'est vrai que en tant que bi-admissible, je suis payée plus que les documentalistes eux-mêmes, puisqu'aucun d'entre eux ne peut être bi-admissible ou agrégé), je cours le risque que l'on me fasse changer de matière, malgré tous les efforts que j'ai fait pour la promotion de l'allemand, et c'est cela que je crains surtout).
Je sais que mon appel, surtout avec les commentaires de mon blog fermé, à cause de la personne qui vient régulièrement m'insulter dans les commentaires, restera sans résultat, et tous les abus resteront permis pour ceux qui me succèderont dans l'enseignement.]
Pour être professeur agrégé, il faut réussir les deux parties de l'agrégation (donc passée un an après un bac + 4, cette partie théorique de l'agrégation pour laquelle il y a un lourd programme peut être considéré comme un bac +5). Mais en réalité l'agrégation pour laquelle le taux de réussite est compris entre 10% à 15%, actuellement (à mon époque il s'agissait de 5% à 10%, c'est pour cela qu'on ne l'a pas passée étant jeune).
Si vous êtes étudiants, il vous faudra faire aussi un stage en IUFM. Théoriquement on devrait être plus exigeant pour le stage d'agrégation que pour le stage de CAPES, dans la mesure où celui-ci couronne cinq années d'études et une année de stage, donc un Bac + 6. A l'agrégation interne le jury d'agrégation qui n'interroge pratiquement que des professeurs déjà certifiés, est plus exigeant en didactique que le jury de CAPES.
Si vous êtes déjà professeurs, vous faites un stage en situation, de 15 heures de cours par semaine, donc avec une diminution d'horaire par rapport aux années où vous étiez certifiés et il vous est fortement conseillé pour l'agrégation externe de suivre les cours d'IUFM réservés aux ex-étudiants, et vous êtes considérés à l'issue de votre stage comme un bac +6.
Bien sûr toutes les universités ne donnent pas les équivalences. C'est un leurre de penser que l'on vous donnera le niveau T1 avec votre agrégation. Tout au plus on vous donnera le Master 1 ou 2, si vous ne les avez pas déjà. Master 1 parce que tout professeur certifié peut passer l'agrégation, même sans maîtrise ou Master 1. Il faut pour cela avoir le CAPES entier (avec stage) ou être professeur certifié. C'est une équivalence que reconnaît le ministère de l'Education nationale qui organise le concours, mais ne reconnaissent généralement pas les universités. C'est un leurre de penser que l'on vous donnera l'équivalence de la maîtrise ou du Master 1 avec le CAPES. Ce n'est pas la même filière, le Master fait partie de la filière "recherche", alors que le CAPES et l'agrégation font partie de la filière "enseignement".
Maintenant l'agrégation se passe généralement plusieurs fois, et même une quantité de fois avant d'être réussie. Rares sont ceux qui l'ont du premier coup. Ce sont généralement des normaliens. C'est pour cela que l'agrégation peut être condidérée comme un bac + 10. Les professeurs d'université considèrent généralement que ceux qui passent l'agrégation cinq ou six fois ou plus, sont généralement beaucoup plus forts et plus cultivés au moment où ils l'a réussissent que ceux qui l'on réussie du premier coup, tant sont diversifiés les programmes qu'ils ont du assimiler annuellment avant d'être reçus.
En allemand, contrairement aux autres matières, le programme est renouvelé entièrement tous les ans.
Pour l'écrit de l'externe en plus des deux traductions, vous avez deux dissertations sur un programme de langue allemande qui comprend 5 questions :
1) Une question de littérature du Moyen-Age ou de la Renaissance.
2) Deux questions de littérature générale.
3) Une question de philosophie ou d'histoire des idées (Schlegel l'année prochaine).
4) Une question de civilisation.
Pour l'oral vous avez en plus de ces cinq questions qu'il faut réviser, une option obligatoire : une question supplémentaire de littérature moderne, ou une question de linguistique, ou une question supplémentaire de civilisation.
Plus une épreuve de version orale, de thème oral et une épreuve de grammaire générale pour laquelle il faut travailler aussi. Toutes ces questions portent naturellement sur les pays de langue allemande.
Quand je dis une question, il s'agit d'un programme sur une période ou une oeuvre littéraire.
A l'agrégation, vous avez trois des questions de l'agrégation externe, plus linguistique pour l'oral et didactique pour l'oral, plus traduction pour l'écrit, avec justification de la traduction selon les théories de Malblanc, etc... A l'interne aussi les trois questions de programme changent tous les ans.
[Ne me demandez pas ce qu'il y a au CAPES de documentation, je ne me suis jamais intéressée à la question, car c'est une matière qui ne me plaît pas et que ma principale m'oblige à faire sur mon "service de rattachement de TZR titulaire bi-admissibles à l'agrégation d'allemand" sous menace de me couper les vivres.]
Voilà, puisque mon sujet ne devait concerner que les sigles et les explications des examens et concours français, encore quelques explications de termes et sigles à destination des étrangers francophones ou non :
collège : école secondaire française fréquentée par des enfants de 11 à 16 ans environ. L'examen final s'appelle le Brevet.
lycée : école secondaire française fréquentée par des jeunes de 15 à 18 ans en principe. Ces lycées contiennent aussi des sections supérieures qui sont des classes préparatoires aux grandes écoles, les BTS dont j'ai déjà parlé, et aussi récemment des licences professionnelles dans les matières techniques. Ces sections supérieures sont de Bac + 1 ou Bac + 2, parfois Bac + 3. Y enseignent en priorité les professeurs agrégés. Mais ce n'est pas toujours le cas. Même des certifiés par liste y enseignent.
SEGPA : sections spécialisée de collèges pour les élèves en grande difficulté scolaires. La plupart de ces élèves a du mal à lire.
COP : conseiller d'orientation professionelle, conseille les élèves pour les métiers qu'ils peuvent exercer plus tard, les renseignent, leur indique les études à faire.
EILE : enseignement des langues vivantes étrangères en école primaire.
CP, CE1, CE2, CM1, CM2, désignation des classes d'école primaire. CP = cours préparatoire (6 à 7 ans), CE1, CE2 (cours élementaire première et deuxième année); CM1, CM2, (cours moyen première et deuxième année). Les mêmes sigles étaient utilisés en école de musique, jusqu'à il y a quelques années, une nouvelle organisation en cycles s'y installe maintenant.
Equivalences pour les écoles de musique, avec niveau canadien en 3ème position.
Initial : 1ère année, 1er cycle = Level Preparatory
Débutant 1 (D1): 2ème Année, 1er Cycle = Level 1
Débutant 2 (D2): 3ème Année , 1er Cycle = Level 2
Préparatoire 1 (P1) : 4ème Année, 1er Cycle = Level 3
Préparatoire 2 (P2) : 1ère Année, 2ème Cycle = Level 4
Elémentaire 1 (E1) : 2ème Année, 2ème Cycle = Level 5
El"mentaire 2 (E2): 3ème Année, 2ème Cycle = Level 6
Moyen 1 (M1): 4ème Année , 2ème Cycle = Level 7
Moyen 2 (M2): 1ère Année , 3ème Cycle = Level 8
Fin d'études : 2ème Année 3ème Cycle = Level 9
Supérieur : 3ème Année , 3ème Cycle = Level 10
Excellence : 4ème Année, 3ème Cycle = Level 11
A plus tard,
domino
08:55 Publié dans enseignement (3), La musique de mon i-grimoire, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : documentaliste, CDI, sigles, abréviations, agrégation, CAPES
samedi, 04 novembre 2006
Site disparu
J'ai mis sur ce blog depuis plusieurs mois un lien sur le site officiel de Joan Baez. Je suis tombée sur un blog où l'on parlait d'elle en des termes élogieux, mais en dessous de l'article une cinquantaine de commentateurs ont écrit mille bétises en s'éloignant de plus en plus du sujet. Heureusement juste à la fin une blogueuse est venue rappeler le sujet aux commentateurs. Je voulais mettre un lien sur le site officiel de JBaez dans le commentaire suivant. Je venais de regarder le site qui existait belle et bien deux minutes plus tôt. Au moment de prendre l'adresse, plus de site de Joan Baez, pas plus que sur mon lien ici. Peut-être que vous l'avez encore sur votre ordinateur et que c'est mon ordinateur seulement qui a été visé par cette disparition de site et dans ce cas-là je pense de plus en plus qu'il y a un espion sur mon ordinateur qui a voulu m'empêcher de faire ce lien dans le commentaire. De ce fait, je n'ai pas publié le commentaire en question, élogieux pour JBaez et pour que le lien sur ce blog-ci ne soit pas spammé, je suis obligée de l'enlever aussi. Notez donc bien l'adresse dans ces quelques minutes qui vous restent pour le faire au cas où
1) Le site n'aurait disparu que de mon ordinateur,
2) Le site reviendrait dans quelques jours comme ce fut le cas par le passé.
Voici en tout cas l'article de blog en question qui lui n'a pas disparu... Quelles méchancetés ils ont écrit sur elle.!
http://clesnes.blog.lemonde.fr/etatsunis/2006/05/cocotier...
C'est comme la PPJA heureuse, ou je ne sais plus comment s'appelle cette collègue d'allemand qui a écrit des méchancetés sur moi.
Pas besoin d'enlever le lien, le site est revenu pendant que j'écrivais cette note. http://www.joanbaez.com/
domino
22:15 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (7)