mercredi, 28 février 2007
Stats i-grimoiriennes
J'ai encore battu mon record de visites journalier (hier) 132 visites. Bien sûr tous mes visiteurs n'ont pas toujours de bonnes intentions avec moi. Certains arrivent par le biais d'un moteur de recherche sur un seul article et s'imaginent qu'ils seraient sur un forum d'enseignement, alors qu'ils sont sur un journal comme on en faisait adolescent, un journal public, pour faire partager ses passions et aussi s'exprimer pas seulement sur des informations générales, mais sur les joies et embûches que l'on rencontre dans la vie. Des syndicalistes acharnés viennent ici me démolir, alors que j'essaie plutôt de trouver de l'aide et de trouver des personnes qui peuvent aider des enseignants perdus dans la machine administrative occupée à broyer du prof, à réaliser ce qu'ils souhaiteraient que soit l'école de demain, un espave où tout le monde pourrait travailler à son rythme dans la paix et le calme.
domino, la journaliste alternative
18:25 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stats, enseignement
mercredi, 07 février 2007
Plusieurs notes
J'avais envie d'écrire plusieurs notes ce soir, comme des notes de musique qui s'égrènent. Je suis fatiguée, j'ai failli m'endormir sur l'ordinateur. Comme c'est un portable, c'est dangereux si je pique une tête dedans. Cela a déjà failli m'arriver plusieurs fois ce soir... C'est vrai que dans 30 mn, il sera minuit.
Après des péripéties ferroviaires, je suis arrivée au cours qui était en l'absence de professeurs remplacé par un film sur le colonialisme néerlandais. Dur ! Je n'ai vu que les derniers 3/4 d'heures du film qui dure 4 heures. Les autochtones pro-colonialistes qui étripaient les autochtones restés dans la forêt tropicale, voilà ce que ça donnait. Et un homme, alors que tout son village a été assassiné, va au devant de ses tueurs, plutôt que de sauver le seul survivant du massacre, un bébé qui pleurait en se serrant contre sa maman morte, et d'aller se cacher avec lui, ou de s'enfuir avec lui, déchirant ! Parce que sa femme a lui est morte, il se fait tuer plutôt que de sauver le bébé.
Et le bébé blanc qui se met à pleurer parce que son papa se met en colère. Comme on dirait maintenant Max Havelaar le papa du bébé, pique une crise. - D'ailleurs ce sera la journée des Max, n'en déplaise à Max, après on va rencontrer Max Liebermann dans une version. - Mais le bébé blanc, il réagit comme moi quand j'étais petite. Avant l'âge de dix ans j'étais comme le bébé blanc, quand mon père criait sur mon frère, parce qu'il ramenait toujours des mauvaises notes en histoire, je pleurais, et j'allais au coin, parce que mon papa, il aimait pas qu'on pleure. Mais moi, j'aimais pas qu'on crie. A quoi on pense quand les profs nous passent des films !
Le film est sous-titré, mais d'où je suis, je ne vois pas bien les sous-titres, heureusement que je saisis un peu le néerlandais, j'en ai fait deux ans. En sortant, je dis au professeur de néerlandais qui nous a offert cette solution de remplacement à nos professeurs absents, "Dank u wel". Et il me répond quelque chose que j'ai compris mais oublié. Et je lui dis avec un excellent accent en roulant les rrrrr, comme il faut : "Ik spreek een beetje nederlands !" Aaaah! ça à l'air de lui plaire. Si j'ai pas mon agrégation d'allemand, je pourrais passer celle de nederlands, mais il n'y a que une ou deux places pour la France, trustées par des néerlandophones. D'ailleurs, il n'y a que des néerlandophones qui se présentent. Quoiqu'avec mon nom de jeune fille, je pourrais tromper l'ennemi et me faire passer pour une néerlandophone. Ces brutaux colonialistes qu'on a vu dans le film sont mes ancêtres ????? Cela s'est passé au 19ème siècle et finalement en Europe, on a beaucoup évolué en 150 ans quand même.
On a moins de cours parce que le 1er semestre universitaire est passé et maintenant on prépare plutôt les oraux. Les autres de l'agrèg interne ne viennent plus. Il se pointeront Vendredi tous à la didactique. Obligatoire si on veut que la formation tienne.
J'ai passé une colle de version avec Papageno l'Enchanteur, il m'a dit qu'il ne comprend pas qu'avec mon niveau je n'ai jamais été admissible à l'externe (mais seulement deux fois à l'interne). J'ai dit que c'est surtout en dissert que ça pêche : des dissertations trop longues avec des phrases alambiquées, cependant la technique est bonne, transitions entre les parties, et tout, et tout... J'essaie d'améliorer mon style. D'ailleurs ici, sur la journaliste, je ne fais pas de phrases alambiquées, oder ? On m'a déjà dit que j'ai une pensée très riche, mais qu'il faut en suivre les méandres dans mes phrases à la Thomas Mann. Il faut penser aux correcteurs. Alors l'année dernière, j'ai fait plus court et j'ai eu de moins bonnes notes que d'habitude. Alors, que faire ???
Je marche sur le quai... J'ai composté mon billet à l'entrée de la gare. A l'entrée du quai le controleur me regarde. Il est sûr que j'oublie de compioster, mais moi, je sais que j'ai composté. Il ne va pas manquer de passer. Il sussure, non, il lit comme un acteur, mais vraiment un acteur, je n'ai jamais entendu un contrôleur qui parle dans son micro d'une façon aussi théâtrale, mais il est plus âgé que les autres, alors, c'est normal... "Les passagers qui n'ont pas... doivent..." Il passe. Je lui donne 4 billets d'un coup. "Je ne sais pas où est le bon". "Pas besoin de chercher, Madame, il est au-dessus!" Ah, mince, me dis-je, il a pas du chercher, je croyais qu'il était en dessous. En dessous, ce sont ceux de ce-matin ! Celui de ce soir, il était au dessus. Il a pas du chercher ! Et il me le poinçonne. Il doit être déçu que mon billet est composté, comme toujours, comme d'habitude, mais je ne le composte jamais au quai d'où part le train, mais presque toujours à un autre. Alors, ils pensent toujours que je n'ai pas composté, mais en réalité j''ai toujours composté. Il ne fera pas d'affaires avec moi. Je voyage toujours à plein tarif. Si je prends une carte, je risque de l'égarer au fond de mon sac, et alors, c'est la panique. Alors je voyage toujours à plein tarif. Obstinément. Tant pis pour mes finances.
Bon, je suis bientôt toute seule dans le wagon, avec un jeune homme bien, plus jeune que moi, un peu barbu, c'est peut-être Dylan en 1976. Je fredonne, et je fredonne seulement (je ne chante pas, si je chantais, on m'entendrait dans tout le train), Railroad Boy. Railroad Boy, ça va bien avec le train. J'aurais pu aussi chanter Freight Trein.
Je feuillette la revue Guitare Classique. Page 77, il est là, c'est lui, pas Dylan, non, un autre barbu... Il joue de la guitare debout. Lui, le virtuose, je le connais, c'est lui que de 94 à 2000 j'allais voir tous les ans dans les forêts de sapins jurassiens et alsaciens. C'est lui le compositeur au 400 morceaux. C'est lui qui à la fin du premier stage m'a fait la bise comme à tous les autres stagiaires, puis me félicitant pour ma composition que je venais de jouer au concert des stagiaires m'a fait la bise une deuxième fois. Et ils ont tous crié "Ouh! Ouh!", en rigolant, parce que j'avais eu plus de bises qu'eux. C'était en 1994. Il y a plus de dix ans déjà et c'est comme si c'était hier. C'est grâce à lui que j'ai construit les nina (avec un tilde sur le n qui n'est pas sur mon clavier) romantica et barrocca, qui tiennent compagnie à la manuela clasica. Mes filles de bois. Et on repartait des stages avec une accolade qui vous donnait l'envie de jouer pendant presque un an, jusqu'au stage suivant. On repartait avec plein de musique dans la tête, de cette douce nostalgie des sonorités ineffables des instruments les plus merveilleux. Et des airs qu'on avait entendu sous des doigts la plupart du temps très jeunes, qui nous trottaient dans la tête à longueur d'année. Je ne peux pas décrire ces sonorités. Celles du plus bel instrument de musique.
C'est là que la nina romantica est le jour de sa naissance et jusqu'à environ 24 heures après passée de main de maîtres en main de maîtres, sans que l'on sacjhe exactement pourquoi, son son magique tenait le musicien qui en jouait sous son charme pendant des demi-heures entières. J'ai pensé au violon magique...
Et il est là à la page 77, il joue de la guitare debout. Comme il nous l'a dit, c'est la meilleure position pour jouer de la guitare. Ancien médecin, il sait de quoi il parle. Et il est toujours là. Il joue de la guitare debout.
Et je ne joue presque plus : On m'a dit que la musique et l'agrégation d'allemand, cela ne fait pas bon ménage.
Il était pas tout seul, ils étaient trois, quatre, cinq amis.
Et à la page 78, encore quelqu'un que je connais. Je l'ai rencontré cet été. Il faisait la basse continue dans deux groupes à St Michel-en-Thiérache. Je ne me souviens plus des noms des groupes. Il m'a dit d'aller voir le site de la Société Française de Luth ou le site belge, ce que j'ai fait depuis;
mais dans ces mêmes semaines de Juillet 2006, j'ai rencontré aussi Arnaud pour la troisième fois, et le grand Hopkinson qui lorsque je lui ai fait dédicacé ses disques, et que je lui ai dit que je jouais de la guitare baroque, s'est levé de sa chaise, très gentleman, en me serrant la main. Serrer la main au grand Hopkinson, au gentleman du luth, à l'un des plus grands musiciens de ce monde, imaginez-vous, j'aurais voulu ne plus jamais me laver la main et garder les cellules de sa main merveilleuse qui se sont collées aux miennes toute ma vie. Pour jouer aussi bien que lui.
Moi, toute petite, j'ai joué dans la cour des grands.
Bon, "demain sera un autre jour", je vais me lever tôt, j'aurai un cours sur la Renaissance et Faust, et d'autres cours, je ne sais pas lesquels, on ne sait plus trop quel prof vient, quel prof ne vient pas. L'horaire s'allège, mais moins pour moi que pour ceux qui n' ont fait que l'interne.
domino
23:50 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : i-grimoire, blog, Renaissance, luth, guitare, Hopkinson Smith
jeudi, 18 janvier 2007
Mauvais anniversaire (2).
C'est peut-être à cause de mon chapeau vert que j'ai tous ces soucis. Certains règlements de lycée interdisant d'avoir chapeaux et bonnets en hiver.
domino
05:07 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : société
Mauvais anniversaire !
Je vous en prie, lisez cet article entièrement, je suis dans la détresse :
Ce jour-ci aurait pu être merveilleux. Je serais rentrée à la maison ce soir, en disant, joyeux premier anniversaire mon blog. Et en vous racontant qu'après les cours à l'université, je suis allée à magasin de hi-fi et d'ordinateur de Grande Préfecture pour m"acheter la première caméra que j'ai jamais eu de ma vie, une webcam. Mon mari a cru que c'était volumineux et cher, mais quand je lui ai montré le minuscule objet qui coûte 90 Euros (le prix de 4 CD), il a accepté que l'objet entre à la maison. J'aurais voulu l'essayer ce soir, pour vous prouver que c'était bien moi qui chantait et jouait sur les podcasts de ce blog. Mais comme mon i-grimoire est anonyme, et que, selon les lois sur la confidentialité, je veux qu'il le reste, j'aurais du me filmer de dos.
Mais lorsque mon mari a jeté négligemment les réclames et les courriers qui étaient dans la boîte aux lettres sur le siège de ma voiture à coté de moi, j'ai trouvé (c'est étonnant d'ailleurs, qu'il ne l'ai pas vu, car il enlève de mon courrier tout ce qui pourrait me blesser) dans un pli qui devrait être condidentiel et collé par les bandes adhésives qu'il y a tout autour, mais ne l'était pas, une lettre adressée à mon nom marital et au prénom qui pourrait être celui de ma soeur, mais pas le mien (mais ma soeur ne porte pas mon nom marital, puisqu'elle est mariée, ni avec mon mari, ni avec son frère, et ma soeur habite depuis longtemps, depuis son mariage il y a presque 30 ans, hors les murs de France.
Cette lettre est tout simplement une lettre qui convoque cette personne qui porte mon nom marital et le prénom de ma soeur et serait sensée vivre à mon adresse au commissariat (pour affaire vous concernant).
J'ai passé en revue ma Conscience et je me suis dit que je n'ai absolument rien à me reprocher.
Il ne s'agit pas d'un problème de voiture. Les radars qui liraient éventuellement mon immatriculation, renverraient à ma carte grise qui est à mon nom de naissance ou nom patronymique ou nom de jeune fille (qui est lui, le même que celui de ma soeur). Et en plus je n'arrête pas de me faire doubler par de sauvages chauffards qui trouvent que je roule trop lentement en respectant les limitations de vitesse. Et me doublent avec force klaxons et autres appels de phares.
Professionnellement je n'ai rien à me reprocher non plus. Les élèves de la REP (nouvelle dénomination de la ZEP), sont gentils. Je fais le travail que l'on me demande de faire, de mon mieux. Peut-être maintenant que les élèves nous en veulent pour un oui ou pour un non, et font des déclarations mensongères sur nous?
Je sais que tout ce que j'ai écrit dans mes blogs, dans la mesure où je ne cite aucun nom de personne, sauf ceux des bloggueurs pour en dire du bien, est légal. Je ne viole pas les droits d'auteurs, puisque tous les écrits et photos qui sont dans mes blogs sont de moi, et que je n'ai publié que des musiques traditionnelles ou classiques (donc hors droit d'auteur) avec ma propre voix ou en jouant moi-même de la guitare. Pour le reste, il s'agit de liens et tant qu'il n'y a pas de podcast direct sur mon blog de ce qui est dans ces liens, je ne suis pas considérée comme la publicatrice de ces podcasts. Du moment que les liens ne sont pas sur de l'incitation à la violence, ou d'autres choses de ce genre, il n'y a aucun problème.
A ce propos, le lien que j'ai mis sur le Daily Motion où Joan Baez chante pour les mères des soldats américains tombés en Irak, n'est pas de l'incitation à la violence, puique Joan Baez est bien connue pour son action pacifiste et anti-militariste. Si j'ai mis en lien cette vidéo avec cette chanson contre la guerre, en comparaison avec Marlene Dietrich, ce n'est pas pour vous faire voter comme à la Star-Ac (j'étais ironique, car je sais que Joan Baez, qui fut longtemps considérée comme ayant la plus belle voix du monde (on lisait cela dans les journeaux dans les années 60/70), chante mieux que toute la Star Ac réunie), si j'ai mis ces deux chanteuses face à face, c'est parce que je me pose une question sur ces actions à double tranchant, Marlene qui chantait dans les camps militaires américains à la fin de la seconde guerre mondiale, et Joan Baez qui, tout en voulant montrer que la guerre est absurde, puisque les jeunes américains vont se faire tuer là-bas comme au Vietnam. Mais, à l'époque ils renvoyaient leurs cartes de recrutemen., Par ailleurs, en chantant pour les mères de ceux qui ont accepté de faire la guerre, elle pourrait être condidérée comme cautionnant cette guerre, ce que je m'en doute, elle ne fait pas.
Revenons-en à nos moutons :
Comme cette convocation au commissariat portait le nom de ma soeur, je me suis demandée si ce n'était pas encore une fois une de mes tantes (elles ont toutes plus de 80 ans, mais certaines sont fameuses!) qui trouvait à redire sur nous.
Maintenant, mon époux à téléphoné au commissariat devant moi :
1) Le policier au téléphone lui a répondu que si ce n'était pas le prénom de sa femme et que la dénommée du prénom de C.., n'habitant pas sous son toit, ceci ne nous concerne pas. Mais c'est pourtant notre adresse et le nom de famille de mon époux, et mon nom marital (sans être aucun de nos deux prénoms). C'est d'ailleurs lors de cet appel téléphonique que j'ai appris que mon époux a déjà eu un coup de téléphone du commissariat vers 3 h de l'après-midi qu'il a intercepté sur son portable, concernant la même chose, J'étais à ce moment là à l'université. Mais il avait effacé le message du fixe, si bien que je ne sais même pas comment il était formulé et s'il était à mon adresse ou non (Je lui en veux de l'avoir effacé, le cachottier!).
2) D'après mon époux, il était simplement dit d'appeler d'urgence le n° tant. Maintenant, je me demande comment le commissariat a pu avoir un n° qui
a) est en liste rouge (mais je suis obligée de le donner à mon administration et au rectorat), pour l'étranger la liste rouge n'a rien à voir avec le communisme, il s'agit d'une liste secrète.
b) est pour le cas présent en rapport avec une identité qui n'est pas la nôtre.
c) et qui pour les Telecom est à mon nom de naissance, qui n'est pas mentionné dans la convocation.
Finalement le policier qui était de faction quand je suis rentrée vers 9h du soir (on termine à 6h, mais il faut le temps de faire la route pour revenir de l'université), a dit qu'il venait de prendre le poste de la nuit, et qu'il ne connait pas les dossiers de ceux qui sont en poste le jour, mais qu'il s'agissait bien d'une C. et non d'une "domino". Et que par conséquent cette personne ne vivait pas sous notre toit, et que par conséquent je ne suis pas concernée.
Maintenant, je vis dans la hantise de recevoir une convocation à mon vrai nom. Et rien que pour celle-ci qui n'est pas à mon prénom, j'ai déjà fait deux crises de larmes ce soir; dans 15 jours très exactement, je passe l'écrit de l'agrégation interne, alors -vous allez dire que je fais encore un complexe de persécution-, j'ai pensé que des gens l'avait fait exprès :
a) Pour me déstabiliser 15 jours avant les écrits.
b) Pour m'empêcher d'être bien concentrée pendant mes révisions.
c) Pour m'empêcher de finir mon exposition pour la semaine franco-allemande. On est "aux pièces". On m'a prévenue il y a une semaine (mardi) que je devais faire quelque chose pour la semaine de l'Allemagne, jusque-là mon collègue avait dit qu'il s'en ocuupait lui-même et il avait répoussé aux calendes grecques ma participation. Puis, j'ai appris il y a une semaine que c'était moi qui devait m'en occuper. Mais cette semaine là, j'étais trois jours en stage d'agrégation (les 2 jours normaux d'université, plus l'après-midi du Vendredi pour laquelle j'avais rattrapé mes cours.) Lundi, les élèves du club d'allemand ont commencé à faire des panneaux, mardi, ils ont continué pendant une heure de permanence. Mardi soir, je suis restée une heure de plus pour mettre les feuilles sur des panneaux rigides et je me suis rendue compte qu'ils avaient fait des fautes d'orthographe, si bien que j'ai du rapiécé les panneaux en recollant des morceaux de panneaux (des pièces de panneaux) avec les bonnes lettres sur les fautes d'orthographe, en imitant leur façon d'écrire pour que cela ne se voit pas de trop. Il y a encore des panneaux qui n'ont pas été rapiécés fautes de feutres adéquats et d'autres qui ne sont pas finis. Et il faut que tout soit prêt Vendredi Soir. Demain, je vais à l'université, ils le feront sur le club de Vendredi. En tant que faute d'ortographe, l'un d'entre eux a écrit flash au lieu de falsch.
d) Si on m'empêche de faire finir ou de finir mes panneaux en me convoquant Vendredi, je vais encore une fois être mal notée administrativement pour ne pas avoir mené à bien un travail que j'ai commencé. C'est bizarre, c'est au moment où je fais une activité supplémentaire pour l'allemand que l'on me met des bâtons dans les roues.
e) On essaie aussi peut-être de me faire faire des crises de nerfs en m'envoyant de telles convocation, pour me mettre en congé longue maladie, parce que si je réussis l'agrégation (25 places pour toute la France à l'interne), et que je suis en congé maladie le 1er septembre, on m'enlèvera le bénéfice de l'admission. Or, j'essaie de tout mettre de mon coté pour ne pas être mise en congé maladie.
f) On essaie aussi peut-être de noircir mon casier judiciaire vierge jusqu'ici (en 30 ans de conduite, je n'ai même jamais eu de contravention) pour m'empécher de concourir à cette sacro-sainte agrégation (être agrégée d'allemand, le rêve de ma vie). En faisant des accusations mensongères contre moi.
e) C'est peut-être un/e autre candidat/e d'agrégation qui essaie de me noircir pour gagner une place chère, car je suis potentiellement en mesure de réussir.
Il y a aussi quelqu'un qui porte le même prénom que moi et comme nom de jeune fille mon nom marital, qui habite dans mon quartier. Elle a la même adresse mis à part le n° de maison. Quand j'ai appris cela, je me suis dit que j'étais vraiment poursuivie par le sort !
ça sent aussi la dictature. D'ailleurs j'ai un médecin qui dit qu'on est dans une semi-dictature (Mon blog est lu à l'étranger!) Certes, pas la dictature du prolétariat. Et je crois fermement que l'on est dans une dictature depuis mon inspection du 22 mars 2002. Avant, même au temps de de Gaulle et de ¨Pompidou, je n'avais jamais eu l'impression d'être dans une dictature.
Bon, si je n'écris plus à partir de Vendredi, vous pourrez m'amener, pas des oranges -je ne les aime pas- mais des clémentines. Mais de toute façon, je ne ferais pas long feu dans une prison. Je ne mangerais plus et je mourrais très vite. Je n'avalerais pas un seul liquide non plus, de peur que l'on metre des substances toxiques dans mon eau. Et je ne tiendrais pas plus de huit jours. Je sortirais bien vite les pieds devant.
Si vous ne me voyez plus revenir sur le blog, vous saurez que cela est arrivé.
Quel cadeau d'anniversaire à mon blog !
domino
02:05 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : musique, police, Joan Baez, REP, semaine franco-allemande
mardi, 16 janvier 2007
Il y a un an, dans un jour
Il y aura un an demain, j'ai créé "La journaliste alternative". Par hasard....
Comment ai-je connu HAUT et FORT et pourquoi suis-je arrivée ce jour là... par hasard.
Je regardais un i-grimoire d'une autre marque, des Etats-Unis, i-grimoire qui avait beaucoup de liens sur la side-bar. Et voilà que j'ai cliqué sur l'un de ces liens, au hasard, ou parce que la dénomination du lien me plaisait. Et tout à coup, me voilà sur un i-grimoire HAUT et FORT, je ne me souviens d'ailleurs plus duquel. Puis de là, prise de curiosité pour ce type d'i-grimoire, je vais sur la page d'accueil de HAut et Fort et je vois "Créer votre i-grimoire!" Enfin, ils n'employaient pas le mot i-grimoire. Alors, j'ai décidé de créer le mien, pour essayer.
Et j'ai choisi cette couleur verte que vous voyez toujours. C'était la première fois aussi que je créais un i-grimoire à commentaires. Il fallait que je trouve un titre. Je n'y avais même pas réfléchi avant. Et il m'est venu comme cela tout naturellement à ma pensée, comme une inspiration "La journaliste alternative". Je me suis dit que ça sonnait bien. Et j'ai opté pour ce titre qui m'arrivait tout naturellement dans la pensée.
Puis, il fallait écrire quelque chose.... Alors, je me suis dit, j'ouvre mes commentaires, alors je vais aussi commenter les autres. Je regardais les derniers i-grimoires mis à jour, et je faisais un article de commentaire pour les articles d'igrimoire que je trouvais correspondre à mes goûts. C'est ainsi que je me suis fait une réputation de "pas sympa", chez les autres.... car parfois je critiquais certains travers de ces i-grimoire... J'en révélais aussi les qualités en leur faisant ainsi de la pub. Au cours des semaine, mon i-grimoire a évolué....
Puis des gens sympas sont venus mettre des commentaires, Bona, Elisabeth, etc...
domino
22:31 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : anniversaire d'i-grimoire
mercredi, 03 janvier 2007
Record battu
En février j'ai battu mon record journalier : 107 visiteurs, si bien que j'ai repris mon lectorat du mois de Mai 2006 et même un peu plus, puisque ma moyenne journalière est plus élevée et que je reçois ces derniers jours environ 60/70 visiteurs par jour.
Cependant, j'ai vu que je n'ai eu aucune visite le 14 décembre. Pourquoi ce jour-là? Etait-ce un jour de semaine où je n'étais pas là - je pourrais regarder le calendrier de l'an dernier) et qu'il y aurait eu ce jour là une panne qui m'aurait échappée? Ce jour-là fait baisser ma moyenne journalière.
domino
14:50 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (30) | Tags : stats