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lundi, 24 janvier 2011

Roman-théâtre

(suite)

- Doofie a poussé une gu...... sur les élèves parce qu'elle ne pouvait pas en placer une le Vendredi après-midi dernier jour de la semaine.

Demain elle sera convoquée à la médecine du rectorat et on lui donnera des pilules pour la soigner.

Or, ce n'est pas elle qui est malade, mais les élèves qui sont énervés parce que c'est bientôt le week-end (certains n'ont que cette heure là le vendredi après-midi et ils n'ont pas cours le samedi).

Il faudrait déjà les soigner pour qu'ils se rendent compte que ce n'est pas pare qu'on est en fin de semaine qu'on fait le grabuge. Qu'au contraire si on a plus qu'une heure, on devrait respirer et profiter au maximum de cette heure puique l'on sait que l'on pourra souffler ensuite.

D'ailleurs les cours de 6ème de Doofie on toujours lieu l'après-mdii, jamais le matin, jamais dans l'heure  reconnue la plus efficace, celle de 10 à 11 ou à la rigueur celle de 9 à 10.

- Demain elle sera convoquée à la médecine du rectorat et on l'obligera à prendre les pilules du bonheur, celles qui à longue distance rendent fou, celles qui ont plein d'effets secondaires, vous donnent des vertiges, vous font grossir.... et rendent fou, détraquent le système nerveux, alors que des vitamines, des sels minéraux et des oligo-éléments sont bien plus efficaces. Ces pilules diminuent la mémoire à long terme, vous transforment en Alzheimer dans vogtre vieillesse, même si vous n'en prenez plus depuis longtemps, etc...

 

C'est dans le roman de Doofie,toute ressemblance avec la réalité..

domino

- Parfois on détruit certains profs de cette façon, pour des raisons politiques, vous souvenez vous des hopitaux psychiatriques d'URSS, regogeant d'opposants au régime. Ces techniques sont employées autant par l'extrême gauche que par l'extrême droite. Mais de façon larvée, bien avant leur arrivée au pouvoir.

 

Eux ou nous...

Doofie, mon personnage de roman-théâtre, TZR d'allemand,  écrit dans son journal :

Quand un prof "pique une colère", "pique une crise", en criant beaucoup à s'en décrocher la voix tout en faisant une discours de morale aux élèves, même s'il s'agit d'une mise en scène pour faire peur aux élèves... c'est toujours le ou la prof qui est considéré comme coupable, même s'il n'a pas touché à un élève, mais seulement envoyé une pile de livres par terre, pour leurs faire peut, parce que crier, supplier ou taper sur le bureau ne suffisait pas pour obtenir le silence immédiat, c'est toujours le/la prof qui crie qui est considéré comme coupable et non les élèves qui, sachant ce qu'ils font, même à dix ans, parce que certaisn élèves font preuve de maturité à dix ou onze ans, ce sera toujorus le ou la prof qu'on considérera alors comme anormal ou fou, et non les lélèves dont le métier est de travailler en classe.

Généralement, on choisit pour cible un prof qui donne du travail et interroge souvent, comme cela si on le fait crier, on sait qu'il sera "renvoyé" en fait mis en congé maladie), et qu'on pourra s'en débarasser ainsi. Enfin, c'est l'opinion des élèves. ..

Mais les élèves,généralement, ne savent pas que le prof (ou le prof remplaçant) est mis en congé maladie, ils croient qu'il est "renvoyé" de son métier de prof et jubilent ensutie "On a fait renvoyer le profeseur", même si rien d'autre qu'une colère assortié d'un discours de morale aux élèves, sur leur nvieau, sur leur attitude, sur leur impolitesse... .

A la procahine colère d'un prof, ils iront au bureau, demander que l'on renvoie le professeur Un Tel, et se vanteront l'année suivante :

"Oui, l'année dernière on a réussi à faire renvoyer quatre professeurs..."

Et si un professeur ne leur plait pas, ils ajouteront :

"Oui, et on va vous faire renvoyre aussi, vous allez voir, on va se plaindre de vous au bureau.."

Non, ce petit jeu des élèves et des administrations doit cesser : ne mettez plus les professeurs qui font des discours de morale en criant, en congé de longue maladie ou de longue durée... car vous faires ainsi le lit ds futurs chahuts : On a fait renvoyer un prof qui a "craqué" même quand il n'a pas craqué et que ce n'était que du théâtre pour faier peur aux élèves) et on fera rnvoyer trous ceux que l'on n'aime pas, qui ne sont pas jeunes, beaux et sportifs...

Bon, alors pour arrêter de donner aux élèves l'impression qu'ils peuvent faire renvoyer un prof, arrêter chers proviseurs et prinicpaux, de farie metrte abusivement en congé maladie un professeur qui a crié un peu trop fort à votre goût.

Si bous le faites metre en congé, le prof va se sentir "coupable" d'avoir crié, alors que si vous le laisser tranquille, il pourra peut-être continuer en étant moins ennuyée par les élèves, car ceux-ci vont commencer à avoir peur de lui.

En effet, dans certaines classes, il faut que les élèves aient peur du professeur pour qu'ils travaillent bien.

Voilà ce qui peut arriver : Une prof ayant crié le vendredi après-mdii, est convoquée au bureau le lundi matin, elle a trvaillé tout le dimanche, préparé un ou plusieurs DS, et pourf! on la renvoie chez elle... On dira, si c'est une remplacçante qui est là depuis peu de temps, tiens, elle n' a pas beaucoup de noters, même si elle allait faire un DS aujorud'hui même...et le corriger pour le lendemains.

Pour Doofie, domino

 Préparez bien vos DS, élèves de Doofie, on ne parle pas d'elle ici.

 

vendredi, 21 janvier 2011

La commère

Mon Roman-théâtre (suite)

M. JeSaisTout Supposition, professeur d'allemand de son état,  et  un jeune collègue d'une autre matière, discutent ensemble. Le jeune collègue travaille dans deux établissements qui sont celui où M. JeSaisTout sévit depuis plus de trente ans, et celui où Doofie qui avait réussi son CAPES "théorique" la même année que lui, et son CAPES "pratique" deux ans plus tôt, fait un remplacement.

JeuneProf :Ah, tiens, je connais une prof d'allemand dans le lycée TrucMuche de .... Elle a dit qu'elle a été dix ans ta collègue.

M. JeSaisTout : Ah! Je pense que ça doit être Doofie. Doofie, bla bla bla bla bla bla bla

Une heure plus tard, deux heures plus tard.... le jeune collègue n'a pas pu en placer une, mais il sait tout de la vie de Doofie durant les années 90, de leur amitié qui a malheureusement subi un froid à cause d'une inspection de 2002, de Doofie musicienne, qu'elle jouait dans l'orchestre du lycée, qu'elel n'est pas si bonne que lui, parce qu'elle n'a pas eu l'agrégation en trois ans comme lui, tout en faisant les jumelages, qu'elle lui a reproché de lui avoir fourgué le jumelage une année où elle était presque admissible à l'externe, qu'elle lui reprochait de travailler moins qu'elle,de donner moins de devoirs qu'elle,  etc... qu'elle avait été en stage de guitare en Alsace avec un grand leader de la musique sud-américaine pas seulement cela, mais surtout un musicien classique, mais enfin... M. JeSaisTout se réfère aux journeaux et pas à ce que dit Doofie...

JeuneProf : Ah! dit-il en baillant, il est temps de rentrer chez moi, il est déjà 7 heures du soir...

(Totute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite...)

domino

 

jeudi, 20 janvier 2011

La pagaille...

Doofie, mon personnage de roman-théâtre, TZR d'allemand, bi-ad agrèg. bi-admissible à l'agrégation) ne peut que oonstatre que tous les ennuis qu'elle a actuellement vient du fait que c'est la pagaille, en particulier dans les couloirs de la cité scolaire où elle enseigne.

Par rapport aux autres établissements où elle a enseigné avant, tant durant sa carrière de prof sur postes établissements, (j'ai horreur du mot poste fixe parce que une zone de remplacement est aussi un poste fixe accordée à titre "définitif", c'est à dire dont on ne peut muter que sur demande de mutation faite par le professeur lui-même. Car il s'agit  du poste "ministériel" du professeur fonctionnaire et ce TZR a les mêmes droits que les professeurs sur poste établissement.

En tant que TZR Doofie peut faire des compariaisons. et c'est surtout le fait qu'il y ait des élèves qui rentrent dans le bâtimenet à des heures différentes, qu'on ne va pas chercher les lycéens dans la cour et qu'ils obstruent les couloirs quand on monte avec les collégiens, que des élèvees traîenent dans les couloirs pendant les cours et font irruption dans votre classe, voulant s'y installer, que vous êtes dérangé pendant que vous installé votre matériel pendant les récréations par des élèves qui sont irruption dans votre classe il faut s'enfermer pendant les récréations, à clef, pour ne pas être dérangé dans son travail, il faut s'enfermer si on travaille dans sa salle entre midi, pour que des élèves que vous ne connaissez pas (j'ai découvert que ce n'était pas des BEP, mais des filles de CAP insdstriel, donc  qui ont été réoriantées après la cinquième, qui font cela), elle font de l'électricité, de la métallurgie et des choses  comme cela, parlent uniquement patois, font semblant d'être des surveillantes.... car elles paraissent âgées pour leur âge.

Ce sont peut être des filles que Doofie a eu sur son "service de rattachement en documentation" il y a quelques années, mais qu'elle ne reconnait pas car elles ont changé physiquement entre la sixième et maintenant. Et de plus  Doofie TZR, a fait au moins 5 ou 6 établissements depuis...

Sans compter que Doofie qui est sérieuse et travaille entre ses cours (elle a découvert un petit cabinet des langues où elle peut s'isoler pour travailler quand il y a un  autre prof dans la salle d'allemand, doit aller loin pour aller aux toilettes et ne peut pas y aller plus de deux fois par jour, en effet, les toilettes handicapées sous le bâtiment sont fermées à clef et sa clef ne les ouvre pas, les toilettes élèves sont sales et il y a toujours des élèves dedans...  Celles du bâtiment d'à côté sont uniquement élèves et sales et occupées constamemnt par des élèves de la permanence, même aux heures de cours, et il ne reste donc que celles du bâtiment admisnistatif, celles à côté de la salle des profs dont souvent occupées par les élèves du CDI et il faut monter des escalies pour y aller, il ne reste donc que celles résevées aux personnel dans le bâtiment administratif, les seules qui soient propres... Donc, Doofie se ontente de deux aller-retour toilettes salle des profs dans des journées qui durent de 9 heures du matin à 5 ou 6 heures du soir, car au rythme où elle marche  il faut compter au minimum 1/4 d'heure, 20 mn pour l'expédition "toilettes et casier de la salle des profs". , ce qui représente une grande perte de temps sur le travail.

Pour le collège il faut aller chercher les élèves dans la cour. Quelle cour? Au début, Doofie a eu du mal à trouver que les élèves étaient rangés derrière le bâtiment et non devant le bâtiment. Les sixième restent bien rangés et suvient le prof, les quatrième font pour la moitié d'entre eux, le tout du bâtiment et rentrent par une autre porte que l'autre moitié de la classe qui suit le prof, quand il ne sont pas déjà montés infiltrés dans des groupes de lycéens ou du LP qui eux, peuvent monter comme ils veulent... et cahcés dans les bouts de couloir, vous croyez qu'ils sont en bas quand vous allez chercher les élèves en bas, car vous ne les voyez pas devant votre classe, mais en fait, la moité sont déjà montés.

Il n'y a pas de surveillants qui surveillent les rangs dans la cour.

Comme Dooife instalel son matériel pendant les récréations, elle aimerait bien ne pas être dérangée pendant les récréations, mais il y a les "cahiers de suivis" à remplir : en ce moment quatre élèves par quatrième ont des cahiers de suivi, cahiers que l'on donne aux élèves qui posent des problèmes à plusieurs professeurs, et pendant ce temps des élèves du cours suivant veinennt déjà poser bryamment leur cartable. Ensuite, il y a ces filles de CAP qui, si elles ont cours après dans le coin (Doofie ne les a pas en classe), font irruption dans la classe de Doofie, lui disant qu'elle est sale, qu'elle devarit acheter du schampoing pour ses cheveux gras (alors que ces dernières années ses cheveux sont devenus très secs), qu'elle ne se lave jamais (alors qu'elle prend sa douche tous les jours...), vraiement des filles d'une méchanceté incroyable qui usent de la torture psychologique à souhait, et qui pourrait bien faire les futurs tortionnaires des camps de concentration de femmes si l'extême droite pasait au pouvoir, des filles recrutable pour tous les métiers où il s'agit de faire mal aux autres.

Pas du tout le milieu où Doofie a grandi...

Plusieurs professeurs se plaignent d'intrusions dans leurs cours... Quand des prorfesseurs  sont absents, des élèves, trop paresseux pour aller jusqu'en permanence, rentrent dans vos cours et s'installent parmi vos élèves, et il n'y a pas moyen de les faire déguerpir, ils prétendent qu'ils seront sages, mais bavardent dès que vous écrivez au tableau, vous voulez les éjecter dehors, ils font de la resistance, et comme on n'a pas le droit de les toucher, ils restent là. Les élèves de 4 LV1 qui n'ont pas de cours d'angalsi LV2 en ce moment, leur professeur étant absent, veulent entrer en force dans la calsse, comme ce sont des élèves qui souvent posent problème, Doofie n'a pas envie de les garder et doit crier de toute sa gorge,abîmant sa voix de chanteuse, pour les faire déguerpir, en effet la réglementation lui interdit de garder des élèves qui ne sont  pas à elle, à l'heure dite, en cas d'accident et c'est le type d'élèves qui pouraaient provoquer des incidents.

Ceci n'est pas de la faute des principaux et proviseurs qui font ce qu'il peuve, mais du manque de surveillants, qui appememnt n'ont pas du tout le temps de s'occuper des couloirs et de la cour au moment où les élèves doivent se ranger. J'ai connu beaucoup de collèges où prinicpal et principal adjoint sont dans la cour devant les ranges au moment de la montée des élèves.

Pour les CAP qui font irruption dans sa classe : L'autre jour, entre midi, et le bâtiment semblait vide, alors que d'habitude il y a des cours de lycée entre 12 h et 13 heures, ceci étant dû au manque de salles, et pourant le rectorat veut supprimer un collège dans cette ville, un autre collège de 300 élèves, qui seront partagés sur ce collège ci et un autre, en sachant qu'il y a  déjà pénurie de salle dans ce collège-ci et que dans l'autre collège c'est tout juste. Parce que le rectorat qui veut supprimer du personnel en supprimant un collège, et faire ainsi des économies, ne tient pas compte du nombre de salles et de l'exiguité des lieux.

Ailleurs, en particulier dans les collèges, Doofie a généraelement "sa" salle d'allemand, c'était les cas l'an dernier, dans le collège où tout restait ouvert, et où elle est restée deux mois.

Ici, effectivement elle est la plupart du temps dans la salle d'allemand de la collègue qu'elle remplace, avec son armoire (mais les nouveaux remplaçants d'anglais qui arrivent voudraient toujours ouvrir cette armoire qui est une armoire d'allemand... ), la classe est décorée avec des cartes d'Allemagne (que Doofie ne peut pas utiliser quand elle fait cours dans d'autres salles, et elle les utilise souvent), de posters sur l'Allemagne et de photos de Berlin, faites lors d'un voyage, et pourtant les profs des autrs martières (mathes et anglasi) qui vienennt là entre les cours de Doofie, mettant parfois même Doofie à la porte (elle a du changer une fois par semaine de salle avec ses sixièmes, car une prof d'anglais a demandé la salle pour cette heure et transporter le magnétophone à l'étage d'en-dessous en plus de ses cartables... Doofie a presque 60 ans... ).

Non, seulement, Doofie ne peut utiliser la salle d'allemand à cette heure, mais elle doit changer de salle entre l'heure de 13 à 14 et l'heure de 14 à 15 alors qu'elle finit la première heure à 13 h 55 et qu'elle doit pour l'heure suivante prendre les élèves à 13 h 55 un étage et quelques longueurs de couloir plus bas. Comme elle n'a pas le droit de quitter sa classe avant l'heure, et que Doofie n'a pas le don d'ubiquité, elle arrive toujours en retard pour prendre les 6ème dans la cour, car il faut quand même ranger ses affaires et faire sortir les élèves d'avant de la classe. Doofie ne peut pas être à deux endroits en même temps.

Ce mardi, la nouvelle salle de Doofie pour les 6ème était occupée par un professeur du lycée qui faisait de l'aide au travail et qui n'a pas voulu sortir cette salle lui ayant été accodée officielelemnt et la même salle figuarant sur l'emploi du temps rectiffié de Doofie, alors que la collègue en question n'avait que que quelques élèves, Doofie a dû se promener dans le collège avec ses 26 sixième bilangue, à la recherche d'une salle pendant une demi-haure rendant finalement ses copies sous le préau et ayant fait une partie du cours dehors par temps froid. PAr deux fois, les élèves parties au bureau ont amené des numéros de salles déjà occupée, et c'est finalement un homme inconnu de Doofie (un garnd homme très fort qu'elle n'avait jamais vu auparavant) qui lui  trouvé une salle.

Régulièrement des BTS se font passer pour des surveillants et ramassent les billets d'absence, et quand les vrais surveillants arraivent, on  a déjà donné le billet rempli à quelqu'un d'autre...

Il parait que dans ce lycée collège les collégiens bizutent les nouveaux professeurs en les chahutant, si bien que les remplaçants ne font pas long feu et sont obligés par l'admidnistration de se mettre en congé maladie. Ils ne se rendent pas compte que les remplaçants en question ont parfois des années d'enseignement derrière eux et ont eu des tas de classes calmes sur des postes établissement.

La salle d'alemand de Doofie est toute petite et mal concue, la deuxième porte donnant non dans le couloir, mais dans la salle d'à-côté, qui est la salle d'allemand de son collègue, elle aussi souvent occupée par des professeurs d'anglais,  le bureau se trouve près de cette porte là et non du côté de la porte d'entrée, ce qui est une erreur de conception, en effet la salle étant disposée sur deux rangées en u, les chaises sont tout autour conre les murs et une table va pratiquement jusqu'à la porte d'entrée obstruant presque celle-ci. Quand les élèves sont installée, Doofie ne peut absolument pas sortir de classe pour regarder dans le couloir, et ce sont souvent des élèves qui veulent faire la discipline dans le couloir, car Doofie ne peut passer au dessus des tables pour rejoindre la porte d'entrée, Doofie est coincée quand elle fait cours entre son bureau et le tableau.

Doofie ne peut disposer la salle autrement (et elle ne pourrait le faire seule car les tables sont extrêmement lourdes, ce sont des tables qui ont été conçues ppur que les élèves ne puissent pas les déplaceer), car sinon le tableau ne serait plus du côté du bureau du professeur.

Sur son premier poste il y a quarante and, Doofie avait une salle encore plus petite, mais mieux aménagée, car le bureau, le tableau et l'écran étaient du côté de la porte. Les élèves s'occupaient du projecteur (car c'était l'époque des méthodes audio-visuelles à film fixe) en faisant tourner le film à l'image suivante en répondant à un sonore "Weiter!" de Doofie... et les classes étaient complètement calmes, et ce qu'on appelait chachut à l'époque n'étaient que de rares bavardages à voix chuchotée, c'était la fin des années 70 et le début des années 80, presque les grands-parents de nos élèves actuels...

domino

 

mercredi, 19 janvier 2011

Pas une prof?

Dofie, mon personnage de roman-théâtrte, est une prof d'allemand bien formée : elle a le CAPES externe cmplet qu'elle a obtenu dans sa jeunesse, la double admissibilité à l'agrégation interne et porte le titre très envié de professeur bi-admissible à l'agrégation. Elle suit régulièrement des stages de formation continue de prof d'allemand : pendant plusieurs années le stage d'agrégation interne, et aussi ses cinq journées légales de formation continue par an...  donc, Doofie est une vraie prof d'allemand.

Seulement voilà, Doofie est TZR (titulaire en zone de remplacement) après avoir occupé différents postes établissement durant sa carrière. Elle a plusieurs décennies d'expérience d'enseignement de l'allemand. Seulement un jour une prinicpale, comme Doofie n'avait pas de remplacement avait décidé de lui donner de la documentation et ceci justement dans la ville où elle fait un remplacement lycée et collège actuellement.

Parmi ses secondes, il y a des élèves qu'elle a eu en documentation il y a quatre ou cinq ans, et le bruit court dans la ville, qu'elle n'est pas une vrai prof d'allemand, mais une documentaliste à laquelle on aurait donné dees heures d'alleamnd parce qu'elle connait un peu l'allemand. Alors élèves et parents ne lui font pas confiance et ce remplacement est très dur pour Doofie.

Alors celà demande rectification : Doofie est une vraie prof d'allemand, certifiée par CAPES, bi-admissible à l'agrégation...

Doofie a d'ailleurs souvent plus de diplômes d'allemand et de concours réussis en allemand que les professeurs qu'elle remplace.

Qu'on se le dise...

 

domino

mardi, 18 janvier 2011

ça s'en va et ça revient.....

L'année dernière, Doofie, mon personnage de roman-théâtre voayait ses classeurs d'université disparaître et réapparaître, quand ils réapparaissaient.

Par contre, pendant la période où elle a fait un remplacement de deux mois dans un petit bled, tout restait ouvert la surveillante qui lui avait fait visiter le collège lui avait dit, qu'il n'y avait pas de voleurs dans le collège), même les armoires restaient ouvertes et jamais rien n'a disparu. Doofie pouvait laisser son cartable pendant les cours et les armoires restaient ouvertes et jamais rien n'a disparu.

 

Par contre cette année, dans un collège à 20 ou 30 km de l'autre, dès les premiers jours sa trousse avec tous ses crayons et stylos favoris a disparu. Sa belle petitte trousse bleu ciel aux jolis motifs.

Ensuite, régulièrement des papiers disparaissent de son cartable et y reviennent. Comme des copies de 5ème qui cherchées partout sont réapparues soudainement, ou des papiers eus en stage qui ont disparu pendant quelques heures (Schnelly se souvient aussi de l'endroit du cartable où Doofie les avais mis), pour réapparaître plusieurs heures plus tard dans un autre endroit du cartable (dans un autre cahier où Doofie ne les a jamais mis).

Ensuite des grands filles de BEP qui font espagnol rentrent dans sa salle où elle travaille pendant les récréations ou entre midi, l'embête, la traite (Doofie ne sait pas leurs noms puisqu'elle ne les a pas en classe) lui dise qu'elle l'on vue dans les casserolles de la Nouvelle Star (alors que Doofie n'a jamais fait la Nouvelle star), etc...). Elle lui ont même renversé une table lourde qu'elle a eu du mal à relever et Dofie a dû s'enfermer à clef pour pouvoir travailler tranquillement.

domino