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jeudi, 27 décembre 2007

Joyeuses fêtes...

Ah! C'est vrai, chers ami(e)s! J'avais oublié de vous souhaiter un joyeux Noël, voilà qui est fait.... en retard. En tout cas je vous souhaite de bonnes fêtes et une bonne semaine inter-fêtes, ou comme on disait chez moi "un bon reste", ou comme on dit dans la famille allemande de mon horloge parlante (vous comprenez pourquoi c'est une horloge parlante, c'est à cause de l'exactitude allemande... et quand elle met longtemps à sortir de la maison, c'est son coté français qui reprend le dessus...), bref, dans la famille allemande de l'horloge parlante, on dit "einen guten Rutsch ins Neue Jahr". Comme c'est plus à l'Est qu'ici, il y a souvent du verglas là-bas à la Nouvelle Année à cause du climat continental, et alors c'est plus facile de glisser dans la nouvelle année, rutsch..., rutsch..., je rutsche, tu rutsches, il rutsche dans la nouvelle année. Cela se dit avant la nouvelle année, en abrégé ça donne : "Einen guten Rutsch!" Alors je vous souhaite un bon reste ou "einen guten Rutsch"! Mais n'allez surtout pas traduire "reste" par "Rutsch", ce serait faux.

Et digne de la traduction automatique.

Tiens tout à l'heure, sans le faire exprès, j'ai traduit une page de français en français, c'était rigolo, cela donnait : "Traduire du l'anglais à le du français!". Bon, bref, on n'arrête pas le progrès! Dire qu'il y a des élèves qui prennent ces traductions là pour la Bible. Ils tapent leur texte en français dans un traducteur automatique et recopient le résultat dans leur DM. Et après vous corrigez les fautes du traducteur et pas de l'élève, et l'élève vient vous dire 'Ah! Non, Madame, j'étais sûr d'avoir bon, c'est Internet qui m'a donné la traduction!" Grrr.... Mille fois grr... Alors il faut leur expliquer comment traduit un traducteur automatique et tout, il faudrait rajouter une page de mise en garde contre les traducteurs automatiques dans les manuels, au moins, ils nous croiraient, ils croiraient enfin que tout ce qui est virtuel n'est pas vrai, je veux dire que tout n'est pas vrai dans ce qui est virtuel, ah! ah! Le/la prof non plus n'est pas virtuel. Dans les salles trop longues, le/la prof apparaît de loin tout petit à l'élève et il pourrait croire qu'il est virtuel. (Il y a même des inspecteurs qui pensent que les profs sont virtuels, mais je ne m'étendrais plus longtemps là-dessus, je l'ai trop fait par le passé, et cet inspecteur là n'est plus dans mon académie).

Bon, l'élève qui m'avait dit ça, elle ressemblait à Claire-Marie (avec ses lunettes) dans Star Académy, elle était gentille et tout, alors je ne l'ai pas punie pour ça. Elle pensait avoir vingt et n'a eu que huit ou quelque chose comme cela, c'était déjà une leçon.

Bon, ceci dit, je n'ai pas fini ma note, même si un message automatique me presse de la publier!

Quand je suis dans la rue, dans le train et tout, je vois un tas de choses que je pourrais raconter, et j'observe les gens et tout et je me dis, tiens, je vais parler de ça. Les gens, ils doivent se demander pourquoi je les regarde comme cela. Mais le soir, je n'ai pas le temps d'écrire et tout ce que j'ai enregistré sur la route dans ma petite tête s'est évaporé le lendemain pour laisser la place à ce que je dois réellement retenir. Pour mes études et mon travail. Comme quoi le sommeil paradoxal fait travailler la mémoire d'une façon sélective, nous laissant que ce dont nous avons besoin pour continuer à vivre.

Dans le train j'écris mon i-grimoire dans la tête, je ne l'écris pas sur du papier, je suis si souvent mal installée que c'est tout juste bon pour lire. Alors je le fais dans ma tête, et arrivée à la maison, je m'endors sur l'ordinateur en vérifiant le courrier, puis le lendemain, je recommence une nouvelle page de l'i-grimoire dans ma tête, et voilà, la page s'envole à nouveau.

Bon, vous voyez toutes les lectures que vous avez râté. Cela fait même au moins deux mois ou un mois que je n'ai pas regardé les statistiques. Tiens, je vais le faire. mais entre le moment où vous commentiez mon i-grimoire et le moment où j'ai fermé les commentaires, mon lectorat a diminué des deux tiers!

Allez, tchüss, et tout schuss einen guten Rutsch! C'est joli toutes ces sonorités.... Allez, va, ne m'en voulez pas, de ne pas vous avoir dévoilé ces temps derniers les tréfonds de mon âme et de mon humeur.

domino

 

samedi, 22 décembre 2007

L'horloge parlante....

Dans ma maison, il y a une chose que je déteste : C'est l'horloge parlante ambulante.

Vous n'avez pas d'horloge parlante ambulante, et bien moi, j'en ai une...

Quand je dois partir à 6h30 pour prendre le train  à 7h, l'horloge parlante me secoue à 4 heures 30 du matin tapantes :

"Eh! Dans deux heures il faudra partir!"

Moi : "Hein? C'est encore l'horloge parlante? Mais j'ai le temps, il y a encore deux heures, horloge parlante, ferme la lumière, s'il te plaît, je veux encore dormir!"

"Eh! Dans une heure et demi, il faudra partir!" me crie dans l'oreille, l'horloge parlante, en me secouant.

"Hein???? Mais il reste une heure et demi, je voudrais encore dormir..."

"Et dans une heure vingt-cinq il faudra partir", me crie dans les oreilles l'horloge parlante, réallumant toutes les lumières qui m'éblouisent, me faisant irrémédiablement mettre le nez et les yeux sous la couette.

"Et dans une heure vingt, il faut partir!", hurle l'horloge parlante.

"Eteins la lumière, horloge parlante, tu vois bien qu'en étant éblouie, je ne peux pas ouvrir mes yeux!"

"Et dans une heure dix-neuf, il faut partir!", tonne l'horloge parlante.

"Oui, horloge parlante, je vais me lever".

J'attends que l'horloge parlante ait le dos tourné, car pour moi, le lever est un acte primordial, qui doit être fait en toute concentration, le pied droit en avant alors que je suis à gauche du lit. Etirements des bras. Le pied gauche dehors, le pied droit, je me roule sur le lit, pour me lever en prenant appui sur celui-ci avec mes mains, c'est moins stressant pour le dos. Et puis voilà... je suis debout.

L'horloge parlante est contente. Petit déjeuner, lecture du courrier sur l'ordinateur, pourvu qu'il n'y ait pas eu une mise à jour automatique, sinon, l'horloge parlante va encore tonner, le temps que l'ordinateur se ferme. L'horloge parlante tourne autour de moi, vérifie que je ne fais rien d'autre que vérifier le courrier, que je ne regarde pas les commentaires d'i-grimoires, etc.... (ici, pas de problème, ils sont fermés).

Salle de bain, l'horloge parlante monte de temps en temps, il ne reste que 25 minutes avant de partir, habillement, il ne reste que 15 minutes avant de partir.

Je descends : "Où sont mes lunettes", pas dans l'étui douillet sur lequel il est écrit "Qu'on est bien ici!". Où sont mes lunettes, dis-je tout haut. "Là-bas dans l'entrée, je les ai préparées!" dit l'horloge parlante.

"Mon cartable... mon cartable..." Je cherche partout en haut, dans le rez-de-chaussée mon cartable dans lequel je devais rajouter un livre et en enlever trois avant de partir. Il fallait dix secondes pour le faire. Et mon cartable était ici près de la porte d'entrée, je l'ai vu tout à l'heure.

"Je l'ai descendu dans la voiture" répond l'horloge parlante qui remonte du garage après cinq minutes infrutueuses  de recherche de mon cartable.

"Ah bon!"

Je descends,  je commence à ouvrir la porte du garage, que depuis que l'horloge parlante attend, elle n'a pas ouverte.

"Laisse ça, je vais le faire' dit l'horloge parlante, m'arrachant des mains la poutre en bois qui sécurise la porte du garage, pour la mettre de l'autre coté de la voiture (j'allais la poser en un seul geste du bon coté), puis la reposer ensuite de ce coté là (elle sert aussi à tenir la porte du garage pour qu'elle ne se referme pas sur ma voiture à cause du vent, comme c'est déjà arrivé une fois).

Je mets le moteur en route, la porte commence à s'ouvrir. Merci, l'horloge parlante. Je sors la voiture du garage et j'attends. L'horloge parlante ferme la porte du garage, ça dure longtemps.

J'attends une minute, la lumière du garage se ferme enfin. Une autre minute, rien ne se passe, une autre minute, l'horloge parlante a allumé la lumière de la cuisine pour voir si tout est fermé, la lumière de la cuisine se ferme, s'allume, se ferme, s'allume, trois minutes ont passé.

Tiens? L'heure tourne... L'horloge parlante va râter son train. Je ne vois plus rien qui bouge, la lumière de l'entrée est allumée. La persienne de la porte d'entrée se soulève. L'horloge parlante pase la tête. J'entends, par dessus le jardinet : "Tu prends ton cache-nez violet?"

- Non, j'en ai un autre (c'est un châle, mélangé de mauve, de vert et d'autres couleurs).

- Et ton manteau vert?

- Tu vois bien que j'ai déjà, un manteau vert, j'ai trois manteaux verts.

La porte de referme, mais que fait donc l'horloge parlante?

Je mets le moteur, je commence à m'apprêter à quitter la rue, je mets la voiture dans le bon sens pour partir.

Dix minutes que je suis dehors. C'est parfois un quart d'heure...

L'horloge parlante ferme la porte et la persienne de la porte, ouf: l'horloge parlante descend l'escalier en courant... Pourvu qu'elle ne tombe pas! Que ferais-je sans horloge parlante?

Et alors, l'horloge parlante, entre dans la voiture, installe ses affaires, ferme, rouvre les portières, les referme, ouf! On peut y aller.

"Mon train part dans 10 minutes", tonne l'horloge parlante.

Aujourd'hui, c'est mardi, à je n'ai cours que l'après-midi. Tant mieux, je serai à l'avance, me dis-je.

"Dépêche-toi, le train est dans dix minutes, neuf minutes", gronde l'horloge parlante.

"Tiens, un vélo!"

"Double, hurle l'horloge parlante, si, tu as le temps!"

"Moi, non, jamais le temps, je reste derrière le vélo, il y a une ligne blanche, Môssieur Horloge Parlante".

"Plus que 5 minutes pour mon train", gromelle l'horloge parlante.

"Arrête-toi devant la gare!" hurle l'horloge parlante.

"Peux pas, tu vois bien que je ne peux pas stationner ici."

Je vais un peu plus loin, l'horloge parlante descend en trombe, ouvre la porte de derrière, arrache son cartable, reclaque tout.

Ouf, le tourbillon de l'horloge parlante est parti. Je rejoins le parking habituel, je change de chaussures, prends mes affaires tranquillement, vérifie les fermetures de la voiture, et hop, je vais à la gare, j'ai un train dans 30 minutes, OK, qui me fera arriver deux heures à l'avance. Merci l'horloge parlante, j'ai encore le temps d"aller au kiosque à journeaux avant le train.

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Et quand on ne doit partir que l'après-midi ou le soir, l'horloge parlante dit dès le matin :

"N'oublies pas que cet après-midi, on doit partir à 15 heures!"

Une heure plus tard :

N'oublies pas que cet après-midi on doit partir à 14 heures"

L'horloge parlante fonctionne toutes les heures.

Deux heures et demi avant l'heure, elle fonctionne toutes les demi-heures.

Une heure à l'avance, toutes les cinq minutes. Pratique, n'est-ce pas, vous aimeriez avoir une telle horloge parlante, ou elle vous stresserait ? C'est surtout la façon dont l'horloge parlante me parle : "N'oublies pas que dans trois heures.... N'oubliez pas que dans deux heures 30.... n'oublies pas que dans 2 heures 15, il faudra partir". Un vrai compte à rebours, on dirait que je vais devoir prendre une fusée pour l'espace.

Dix minutes à l'avance, toutes les 30 secondes, elle me poursuit dans mes derniers préparatifs, m'en faisant oublier la moitié.

Elle me prend les affaires des mains, mets trois fois plus de temps que je l'aurais fait à emballer les affaires dans un sac.

Cinq minutes avant le départ présumé, j'attends dans la voiture. Puisque qu'il fait jour, je ne vois pas dans quelle pièce est l'horloge parlante.

Les cinq minutes sont passées.

Dix minutes sont passées, l'horloge parlante amère un sac supplémentaire dans la voiture.

Quinze minutes sont passées, l'horloge parlante amère deux sacs supplémentaires dans la voiture.

On démarre... Ah non, l'horloge parlante n'a pas fini. elle remonte, referme la porte de la maison derrière elle, ressort cinq, dix, quinze minutes plus tard avec quelques bricoles.

On peut partir. Tu vas pas emmener toute la maison avec toi?

Oui, on y va, dit l'horloge parlante, prenant son téléphone, pour prévenir qu'on sera en retard.

Je démarre, laissant l'horloge parlante faire nos excuses.

domino

mercredi, 17 octobre 2007

Derniers jours de mon i-grimoire...?????

Une personne a cru bon de citer mon blog à la police ou au tribunal dans une plainte déposée contre une de mes commentatrices qui soi-disant l'insultait. Or, elle n'a à aucun moment été attaquée nommément par cette personne, ni par moi-même. Par contre, elle est venue ici copieusement nous insulter toutes les deux, et j'ai du enlever ses insultes.

Je ne connais pas cette personne personnellement, tout ce que je sais, c'est que comme moi, elle est prof d'allemand, mais dans une autre académie.

Toujours est-il qu'en faisant cela, elle me met dans le pétrin, et les petits pixies ont peut-être vécu ici leurs derniers jours.

A propos de ses insultes, est-ce que cette personne se rend compte que si je subis un préjudice à cause du fait qu'elle a cité mon i-grimoire comme témoin dans sa plainte, je pourrais toujours produire les insultes qu'elle a proféré ici à mon égard et à l'égard de ma commentatrice qu'elle dit connaître personellement.

En tout cas, je ne les connais ni l'une ni l'autre, et j'espère que cette personne enlèvera le nom de mon i-grimoire dans sa plainte.

Si elle est devenu principale, elle cite peut-être mon i-grimoire par solidarité avec le corps de principaux????

Les insultes dont elle dit faire l'objet au téléphone et sur son mail n'émanent pas de moi, si elle avait laissé ses coordonnées sur mon i-grimoire, ce n'est pas de ma faute, et je considère cela comme une imprudence de sa part. C'est peut-être tout simplement un jeune qui s'amuse de la même façon que  mon usurpatrice s'est déjà amusée ici, et s'est amusée à se faire passer pour moi, sur un peu tout les blogs d'Haut et Fort, pour dissuader les autres bloggueurs d'Haut et Fort de venir faire des commentaires ici.

J'ai d'ailleurs remarqué que l'usurpatrice (je pense que c'est une femme) arrive toujours quand le nombre de mes commentateurs augmente, pour essayer peut-être de les faire partir et diminuer mon audience.

Je me demande aussi si ces deux personnes qui se "bouffent" le nez ici, ne sont pas de connivence entre elles, pour faire tomber mon i-grimoire, mes petites pixies et mes poèmes. J'ai en tout cas tout sauvegardé et je pourrais toujours le recommencer, si elles arrivent à le faire tomber, c'est pourquoi j'ai intitulé cette note "Dernier jour de mon i-grimoire...?", avec un point d'interrrogation,

Tout ce que j'ai écrit ici, c'est en mon âme et conscience et je pense réellement tout ce que j'ai dit. Ceux qui se moquent de moi en disant que je me crois persécutée, ne connaissent ni ma joie de vivre, ni les conditions parfois difficiles de travail que nous avons dans notre région (Combien peuvent-ils avoir d'élèves en allemand dans une académie du Sud? Deux ou trois par classe, la planque, quoi!), conditions qui font qu'au moindre petit grain de sable dans les rayons de la roue, les "supérieurs" ruent dans les brancards et s'en prennent à nous les profs. Celui qui se moque de moi, n'a jamais connu le harcèlement moral d'un supérieur hérarchique, et le fait que l'on se demande encore des années plus tard :"Quelle lettre de mon principal (de mon proviseur) vais-je encore avoir aujourd'hui dans mon casier quand je vais le regarder?" Même en étant considérée dans d'autres établissement, comme ayant beaucoup d'autorité. Ce sont des personnes qui ont toujours travaillé dans des conditions idéales.

Je me demande quelle est cette personne qui concurrente à l'agrégration, vient encore essayer de faire tomber mon i-grimoire et tout ce qu'il y a dessus, mes poèmes, certains de mes plus beaux textes en prose et mes petites pixies. De toute façon, s'il tombe à cause d'elle, je pourrais toujours le recommencer ailleurs et j'ai sauvegardé tout ce qui est écrits importants, poèmes, etc... avec la preuve des dates de publication.

Tout ces jolis textes et ces poèmes que j'ai concocté avec amour. Et ils veulent m'enlever tout cela. Tenez aujourd'hui, dans le métro (je suivais une formation dans un endroit où il y a un métro), on ne m'a pas laissé descendre... Tous les gens montaient en me bousculant et m'empêchant de descendre. J'ai du descendre un arrêt plus loin que prévu à cause de la méchanceté de ces gens qui seraient passés sur mon corps si j'étais tombée.

iIi, c'est pareil. On dirait que des personnes méchantes s'amusent à faire tomber tout ce que je fais.

Je n'ai pas eu de chance dans la vie. Tout comme je n'ai pas eu de chance d'attirer ces dames là sur mon i-grimoire.

En tout cas, si je peux demander quelque chose à ces deux personnnes, c'est qu'elles passent leur chemin et ne viennent plus ici. Nous étions doucement en train de deviser de choses et d'autres dans les commentaires de mon blog, lorsqu'elles arrivent, venant tout nous démolir...

Je vais peut-être protéger mon i-grimoire pendant un certain temps derrière un code d'entrée.

Certaines personnes ont souvent vanté la langue propre, directe et  littéraire de cet i-gtrimoire,...

domino

dimanche, 14 octobre 2007

Commentaires fermés (2) (3) ou (4)...

En raison de l'indélicatesse de certaines commentatrices qui se disputent entre elles par mon blog interposé, je suis momentanément réduite à fermer les commentaires pour les dissuader de venir.

Elles font aussi peut-être exprès de se disputer sur mon i-grimoire pour me mettre à mal.

De plus, l'une d'entre elles me menace de plainte, on ne sait pourquoi, car je ne la connais pas et je n'ai jamais dit du mal d'elle.

A bientôt donc, en attendant vous pourrez lire mes petits mots si j'écris d'ici la réouverture des commentaires....

domino

samedi, 13 octobre 2007

Arrête, bûcheronne...

"Arrête, bucheronne, arrête un peu le bras,

Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoutte à force,

Des mots allemands qui vivaient dessous la virtuelle écorce!"

Pastiche d"après Joachim Du Bellay,

"Arrête Bucheron, arrête un peu le bras,

Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force,

Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce!"

J'ai appris cette poésie quand j'étais en seconde (seconde C, mais ensuite,  malgré mon 16/20 en maths, je suis partie en A),

Je me souviens l'avoir récitée debout, je mettais tellement le ton, que toute la classe en tremblait.

Enlever de si beaux commentaires en allemand, je n'enlèverai pas mes réponses, na! J'en traduirai la substantifique moëlle en français, c'est un peu comme si on coupait des arbres, je me sens bûcheronne sur mon i-grimoire.

domino

vendredi, 12 octobre 2007

A la demande...

J'enlève certains commentaires à la demande de l'intéressée....

Dommage, certains étaient intéressants.

Et maintenant, mes réponses, ça fait un peu décousu...

Admin domino