vendredi, 29 août 2008
Les livres de SVT de collège.... à changer...
Pour les étrangers : SVT signifie Sciencee de la Vie et de la Terre, ce qui revient au même que Biologie.
Changer les livres.... En partie seulement.... L'iconographie, biologie humaine...
(âmes sensibles, s'abstenir...)
J'ai toujours aimé la géologie et la botanique, c'est ce qui me plaît vraiment dans la SVT, de même que l'étude des milieux écologiques.
Pour l'étude des animaux, ça allait tant qu'on en était à l'extérieur.... Mais dès qu'on disséquait des grenouilles ou des souris, j'en étais très peinée et un peu dégoûtée.
Je suis tombée deux fois presque dans les pommes pendant des cours qu'à mon époque on appelait les Sciences Naturelles, une fois en sixième, la prof parlait des os du crâne et on a commencé à expliquer les symtômes qu'on avait si on tombait sur la tête et qu'on avait une fracture du crâne. Et on a raconté qu'une fille qui était dans la classe des autres (je venais d'une autre école) était tombée sur la tête et en était morte, et mes camarades de classe parmi lesquelles il y avait des filles de médecins (c'était une bonne classe de latinistes de sixième) donnaient force détails sur l'accident, alors j'ai dû sortir, les soeurs qui étaient près de l'infirmerie m'ont fait asseoir sur une chaise dans la cour pour que je prenne l'air, et je suis restée là une bonne partie de l'après-midi, et je m'ennuyais un peu, régulièrement un soeur venait me demander "ça va mieux?". Je suis remontée pour un autre cours. Ce cours de "Sciences Naturelles" ayant eu lieu en début d'après-midi, j'avais bien passé la moitié de l'après-mdi dehors, je ne me souviens plus si c'était au début de l'automne ou au printemps, mais je sais qu'il ne faisait pas froid.
La deuxième fois, c'était beaucoup plus tard, en première... On parlait des ganglions qui défendaient l'organisme des microbes, que si des microbes qui s'infiltraient par une plaie des bras ou des jambes, et qu'ils dépassaient la barrière des ganglions on pouvait atraper une septicémie et mourir. J'étais en train de faire les shémas avec les ganglions, les vaisseaux sanguins et le système lymphatique quand soudain ça m'a pris.... Je me suis sentie très mal, c'était encore au début de l'après-midi, je ne savais pas si j'allais tomber dans les pommes, les toilettes étaient juste à coté de la classe, j'ai rendu tout mon repas. J'étais plutôt verte que blanche, je suis rentrée en classe au cours suivant, comme j'avais toujours 15/20 de moyenne en "Sciences naturelles", je ne sais pas pourquoi mais j'ai été abonnée à cette note là du primaire jusqu'en première pour cette matière (on ne faisait plus que des maths en Terminale, mais j'avais la fibre scientifique). Abonnée avec des O,25 et des 0,75 en plus, parfois ça montait à 16, rarement. Sur mon bulletin de ce trimestre -à, il était écrit "Bon travail, mais élève très sensible".
A l'époque, on se moquait un peu de moi dans la famille, je dois dire que enfant, je n'avais pas cette répulsion pour la biologie humaine, j'avais même des planches à découpe avec tout l'intérieur du corps humain et je passais des heures à les regarder, à les étudier et à replacer les organes sur les planches anatomiques. Mais à partir de cette histoire de crâne en sixième, j'ai fait une phobie à la biologie humaine et je ne pouvais plus voir une image, avec un crâne même pas préhistorique.
A 18 ans j'ai visité à Narbonne un musée avec des crânes préhistoriques, je mettais ma main le long du visage pour ne pas les voir en passant à coté.
Ah! Si! J'ai eu de meilleures notes que 15 en quatrième, avec la géologie et en seconde avec la climatologie (mais je crois qu'on faisait la climatologie en géographie).
C'est drôle parce que dans ma famille, avec l'âge, ils sont devenus comme moi. Ma soeur a des enfants, mais il ne faut surtout pas parler de dents devant elle, elle en devient toute pâle, il faut dire que petite, on l'avait obligée à porter des fils de fer autour de ses dents pour qu'elles poussent droit et elle en a gardé un souvenir atroce.
Quant à mon frère et sa famille, quand les enfants étaient petits et qu'ils se faisait mal, c"était mon frère qui tombait dans les pommes et quand les premiers ont grandi et que la petite se faisait mal, les deux grands aussi. Si bien que quand la peite se faisait mal, elle avait une blessée et trois malades à soigner.
Pourtant mon frère n'avait pas cette maladie de la phobie de l'anatomie humaine étant petit ou adolescent. Il s'est endurci je crois quand il a été opéré de son dos. Mais je ne l'ai plu trouvé aussi bien qu'avant à partir de ce moment-là. Sur le plan du caractère...
Moi, je suis endurcie vers l'âge de 21 ans quand ma mère avait failli mourir suite à une péritonite et qu'elle avait des tuyaux partout quand on allait la voir à l'hôpital, puis quand j'avais 30 ans, et que mon père est mort d'un cancer. Même si je n'étais plus à la maison lors de la maladie de mon père, on a vécu dans les maladies de nos parents de l'âge de 21 à 30 ans, et beaucoup plus jeune pour ma soeur, qui était déjà mariée quand mon père est tombé malade, il avait marié ses trois enfants avant de mourir.
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Parenthèse :
A l'âge de 21 ans, c'est moi qui me suis tapé tout le ménage de la famille, les chemises de mon père à repasser, le biftek à cuire à point pour midi, alors que je révisais deux oraux pour septembre, que j'ai réussi, et comme cela ma troisième année univesitaire en une seule année, mais en février-mars rebelote avec les chemises à repasser (et tout le reste pour toute la famille), les trois repas différents à prépare, un pour moi, mon frère et mon père, un pour ma soeur qui à 13 ans était encore difficile pour la nourriture, un caprice qu'on lui laissait depuis son enfance..) et que mon frère ne faisait rien pour le ménage parce que c'était un homme de 24 ans, et que ma soeur était trop petite pour la cuisine et le ménage, je lui ai quand même appris à repasser les torchons et les serviettes.
A ce propos dans la famille il y avait une légende qui disait que c'était la voisine qui venait allumer le gaz pour la cuisine, ce n'est pas vrai, elle n'était venue qu'une fois pour me montrer, mais il est évident que je n'aimais pas beaucoup ça, et que chez moi tout est électique, sauf le chauffage.
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Ceci tout simplement pour vous dire une chose : que les adolescents n'ont pas forcément envie de voir les manuels de SVT surtout dans la section "biologie humaine", tels qu'ils sont actuellement.
J'ai feuilleté quand on m'a fait faire de la documentation (ce n'est pas mon métier), voir la colonne de gauche du blog... les livres de SVT, pour voir les programmes de élèves premièrement, et je trouvais beau les livres de sixième avec les arbres, les fleurs, les milieux naturels, mais quand je me suis trouvée devant les livres de cinquième et de troisième avec la partie biilogie humaine, j'ai eu un mouvement de recul en voyant les photos d'intérieur du corps humain en couleur avec des rouges assez criards pour certains organes, j'ai vite refermé, j'ai failli en vomir. Nous, à notre époque on n'avait que des shémas et c'était mieux!
Je ne fais pas d'allergie au rouge, non... mais trop, c'est trop et quand c'est de la matière humaine rouge, même des lèvres couvertes de rouge à lèvre beurk....
Alors est-ce que vous savez, vous les profs et inspecteurs de SVT qui faites les manuels scolaires, que vous pouvez envoyer les élèves à l'infirmerie grâce à votre iconographie!!!
Après, les profs disent : "Ah! Elles -surtout elles - sèchent les cours, ces filles, toujours les mêmes...." Et bien non, là vraiment, si vous faites ouvrir les livres à une page qui les rend malades, ce n'est pas de leur faute.
En cas de pépin dans ce cas- le meilleur est que la personne trop sensible se couche quelques minutes, en attendant que ça passe. C'était mon cas, quand j'avais le malaise des "Sciences Naturelles" ou des gens qui parlaient de maladie autour de moi.
domino
17:55 Publié dans i-grimoire de l'enseignement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, svt, biologie, biologie humaine
mardi, 26 août 2008
Monsieur Je sais Tout
J'ai déjà fait parfois des notes sur les ragots et les rapporteurs qui se font un plaisir de raconter ce que fait tout un chacun, si possible en l'enjolivant dans le bien ou en exagérant les malheurs de la pauvre personne concernée.
Je vois déjà d'ici Monsieur Je Sais Tout qui a du avoir l'adresse de cet i-grimoire par personne interposée à une époque où il n'y avait presque rien dessus, dans mes débuts où je n'écrivais sur ce blog que pour moi ou presque, de ma belle écriture à la fois humoristiques et nostalgique, se gausser auprès des collègues de lycée où j'ai travaillé dix ans.
Tu sais, notre collègue domino, Ah! Tu ne l'as pas connue? Tu es arrivé après son départ? Dommage, tu sais, bon, elle avait bien son petit caractère, elle me balançait en face ce qu'elle pensait de moi, trouvait que je travaillais pas assez, que j'aurais du donner autant de devoirs qu'elle et en faire faire les corrections aux élèves....
Et bien, tu sais la collègue domino, et bien elle écrit des blogs. Il y en a un, la journaliste alternative, où elle parle même de moi, tiens, regarde, je m'appelle, dans son blog, Monsieur Je-sais-tout. C''est un peu vrai que au moment où elle a changé de poste, on a dit que je faisais souvent des hypothèses, et tu comprends, j'avais fait des hypothèses sur elle, et elle n'a pas trop apprécié...
Tiens, regarde, la journaliste alternative, elle raconte toute cette histoire d'inspection de 2002. Avant quand elle était ici, elle était certifiée titulaire, maintenant, je ne sais pas ce qu'elle fait exactement, elle est remplaçante, tu sais les remplaçants ça doit être des auxiliaires, moi, je ne connais pas trop ces histoires de remplacement. Elle allait à plein de stages de pédagogie, même plus par rapport à nos deux collègues qui ont fait un stage de 3 ou 4 jours en 2003, moi, j'allais aussi à des stages avec elle, mais je n'y vais plus, je ne sais plus tôt comment on s'inscrit, et alors malgré tous les stages où elle allait, il ne l'a pas trouvé bonne en didactique et en pédagogie; bien sûr il a dit qu'elle aurait du nous mettre au courant de ce qu'elle faisait dans les stages, mais moi quand j'allais avec elle, j'étais responsable de matière, donc c'était à moi de le faire, et nos deux autres collègues pensaient que les stages étaient inutiles, et elles ne voulaient rien entendre quand on leur parlait de nos stages de PAF. Puis c'est l'une des deux qui est devenue responsable de matière et il était hors de question d'écouter pour les deux autres, ce qui se faisait dans les stages.
Alors, domino, qui était celle qui faisait le plus de pédagogie, qui était au courant de toutes les nouveautés, elle a été descendue en flêche par l'inspecteur. Et elle a été tellement dégoûtée qu'elle est partie et s'est fait remplaçante, je ne connais rien à ses histoires de remplaements, un jour elle a même été documentaliste dans un collège pendant un an, mais elle disait qu'elle était toujours prof d'allemand, mais en fait elle était documentaliste, enfin on ne sait pas trop, tu sais, si elle est devenue documentaliste ou si elle est prof d'allemand, mais son mari m'a dit qu'elle n'aimait pas la documentation, qu'elle était obligée de faire cela parce qu'il n'y rien d'autre dans le coin.
Pourtant on a de jeunes collègues qui arrivent et trouvent des postes, c'est bizarre, çà! La plupart des jeunes collègues ont des belles voix, chantent avec les élèves, jouent de la guitare, nous on lui avait reproché de faire des chansons à la guitare avec les élèves, ça ajoutait à son charisme, mais tu comprends, par rapport à nous, qui ne savions pas le faire, on finissait par avoir moins de succès qu'elle auprès des élèves. Et puis ce n'était pas du travail: enfin, si, elle les faisait beaucoup travailler, elle donnait beaucoup de devoirs, elle donnait tellement de travail qu'on ne pouvait pas la suivre, il fallait quand même qu'on ai le temps de dormir, et puis les chansons étaient en allemand...
Bon, bref, je ne connais rien à ces histoires de remplacement, ce qu'elle devient, je ne sais pas exactement.
(Moi, non plus d'ailleurs, je ne sais pas si j'aurai un remplacement à la rentrée (je n'ai pas eu ma mutation sur l'un des lycées que j'avais demandé, avec cinq années de TZR et les dix échelons d'ancienneté), ou si la principale de mon collège de rattachement va encore me renvoyer chez moi le jour de la prérentrée à grand renfort de cris et de hurlements de sa part. Mais on n'a pas besoin de vous ici!).
Je continue le monologue éveillé de Monsieur Je-Sais-Tout à destination du ou des collègue (s) qui l'écoute (nt) d'une oreille distraite; Oui, Madame domino, regarde son blog, je vais te le montrer sur un ordianateur du CDI, si tu veux.
Bloqué pour raison de "ne convient pas à l'enseignement scolaire". Tiens, je te donne l'adresse, je l'ai là dans mon petit carnet de notes, il est vieux,j'ai le même depuis 10 ans (4 notes par an, voit le collègue par dessus son épaule???), tiens, là voilà, http;// Tiens il n'y a pas de www. je croyais pourtant que c'était dans toutes les adresses Internet? (il est évident que le collègue se sert souvent d'Internet) lajournalistealternative.hautetfort.com/ Tu veux que je te l'épelle? l.a. j.o..... etc...
Bon, tu l'a bien écrit? Il y a une barre derrière .com C'est .com/
Bon, et bien... Voilà, la collègue quand elle était là, ah, oui, elle était sympatique, dynamique, je l'ai revue il y a pas longtemps dans le comité de jumelage, tu sais, elle a veilli depuis qu'elle n'est plus ici, ça fait combien d'années 5? 6 ans???
Elle venait chez mes parents dans la proviince où ils habitaient, si, si, pendant plusieurs années, elle allait dans un stage de guitare, elle a même fabriqué deux guitare qu'elle avait montré à mes parents, la nina romantica et la nina barocca et sa troisième, elle s'appelle la Manuela à cause du luthier qui s'appelle Manuel de prénom, j'ai oublié son nom, je lui avais dit que c'était comme les trois caravelles de Christophe Colomb. Le directeur du stage, on en parlait dans les journaux de ma province, c'était le chef de fil de la guitare sud-américaine en Europe, mon père qui vivait encore avait essayé de parler de politique avec lui, quand on est allés la voir au stage. Et puis, bon, mon père il n'était pas rentré dans la salle de spectable -c'était une chapelle dans la forêt et les dortoirs étaient tout autour - et ma mère et moi on a assité à un concert. L'un des profs s'était fait mal au petit doigt, il jouait sans poser e petit doigt sur sa guitare (NDLB : sur son manche, c'était la main gauche).
domino n'était pas contente parce que mon père en arrivant au Centre du Stage (c'était les bâtiments d'une colonie de vacances), avait critiqué les longs cheveux du fils du directeur du stage, qui jouait au badminton juste devant le premier chalet. Il avait des cheveux blonds comme les blés (curieux pour un argentin) qui lui descendait jusqu'en bas du dos. Et mon père a fait une réflexion du style "Si c'était mon fils celui-là, je lui ferai raser la tête".
Bon, il va en raconter sur moi, le collègue, si vraiment il a eu mon adresse par personne interposée, mais même sans mon blog, il raconte plein de truc sur moi.
Car ces trucs là : Je te l'ai déjà raconté, quand on est allé rendre visite à domino à son stage de guitare, ce que mon père avait dit du fils du grand guitariste qui était chef de file de la musique sud-américaine etc..
Tiens, ajoute-t-il, j'ai même enregistré une interview de lui à la télé régionale de ma région, même que domino voulait en avoir un double en souvenir du stage, mais je n'ai jamais pensé à lui faire (de toutes façons, elle n'a rien pour lire les cassettes vidéos)
- et non, mais mon ordianteur lit les DVD! Je ne suis jamais passée par l'étape intermédiaire -rs
tiens, si tu viens chez moi, je te la montrerai. - Au fait, il habite à M. ses carreaux sont peut-être cassés... et qu'il ne le sait pas, il est dans sa province.
Ah! Oui, on faisait des petites réunions chez moi à quelques collègues à l'époque, quand les allemands venaient et à la fin de l'année avec l'assistante, et aussi le dernier jour de l'année scolaire, je les fais toujours, mais domino et son mari, ne font plus partie des collègues et de leurs conjoints.
Un autre collège arrive :
Tu te souviens de domino, tiens elle parle de moi sur son blog...
Son proviseur passe, tend une oreille discrète bien que semblant distraite...
Mme domino, c'est qui çà? Ah! La TZR dont on dit tant de mal....
Si c'est domino qui était ici, on n'en disait que du bien,rétorque une collègue...d'anglais ou d'espagnol.
Que du bien? Hlmm! Depuis qu'elle est TZR et qu'elle doit faire des remplacements dans des collèges on n'en dit que du mal, elle reste toujours trop longtemps, elle embête les personnels de service à cause de ça...
Tiens, dit Monsieur Je sais tout, les derniers temps où elle était là, on nous avait conseillé de partir à sept heures, ou de manger au restaurant d'application ou à la cantine des internes à 19 heures... maintenant on se réunit jusqu'à 9, 10 heures du soir sans problème...
Pourtant quand son mari lui amenait une pizza à 19 heures pour qu'elle laisse le plus possible de livres sur place, elle faisait bien attention de ne pas salir, il paraît que le proviseur de l'époque lui avait dit de ne plus laisser ses papiers de pizzas dans les poubelles, à cause de Vigipirate, parce qu'on pouvait mettre le feu aux papiers de pizza pendant la nuit. Et il était responsable de la sécurité du lycée... pourtant elle mettait les papiers de pizza dans un conteneur à l'extérieur ou les emmenait avec elle.
- Bon, là où j'ai été rattachée ensuite, c'était départ 19 h 30 au lycée de ratachement, on était souvent plusieurs à sortir à cette heure là, 17h 45 dans mon collège de rattachement actuel (les cours finissent à 17h30), 17h 10 dans les collèges où 'j'ai fait des remplacements, et où les cours finissait à 17 heures, il fallait souvent courir pour ne pas se faire gronder. -
Et oui, c'était le bon temps, le temps où domino était là, et tous les quatre finalement, on s'entendait bien, on formait unne bonne équipe, on se partageait les bonnes classes : domino avait une classe de BTS hôtellerie, la collègue ici aussi, moi, j'avais une classe de BTS tertiaire et notre collègue agrégée comme moi (NDLB : Je précise Monsieur Je sais tout, pas moi...) prenait les allemands de spécialité et aussi les 1 LV1 et les T LV1 les classiques parce que comme c'est une agrégée elle est très littéraire, plus que notre collègue certifiée ici présente, et domino, qui à l'époque n'était que certifiée et pas enocre bi-admissible... Mais maintenant on est trois agrégés, parce que le jeune collègue qui a succédé à domino, musicien comme domino, lui, est agrégé.
Moi aussi, j'ai été pendant un an bi-admissible, ajoute le collègue, avant de réussir mon agrégation... (puis il raconte tous ses passages d'agrégation jusqu'à sa réussiste en même temps que l'autre collègue agrégée, jeune à l'époque...) ... Je pase, mais c'est son Leitmotiv préféré.
Et puis, on prenait chacun une seconde, généralement ce n'était pas domino qui avait les LV1, sauf à l'époque où on ne faisait pas le partage nous-même. D'ailleurs, avant le nouveau proviseur, elle avat eu 4 Termnales et une 1ère année de BTS tertiaire la même année, le proviseur avait voulu mettre fin à un mandarinat (NDLB : qui ne durait que depuis 2 ans)..., c'est pour cela qu'il nous a demandé de partager nos classes ensemble. Alors domino ou la collègue certifiée avait les STT (actullement STG), L'année de l'inspection elle avait d'ailleurs la 1STT et la TSTT, et un de ses élèves de STT a eu son Master d'allemand. Il était dans la classe où elle avait été inspectée et elle l'avait depuis la première, et l'inspecteur ne les a pas trouvé bons.
Et puis... Et puis... Et puis.... Tu veux voir son blog....??? Tiens, je te donne l'adresse, toi aussi, je te donne l'adresse...
Le proviseur : Et moi? Ah oui, je vous donne l'adresse....
Le recteur : Vous avez l'adresse de son blog??????? A mme Domino ???? Ah! Interessant!
Alors Monsieur Je sais tout, si par hasard vous avez eu l'adresse de mon i-grimoire à quelqu'un, taisez-vous, bavard!
domino
20:19 Publié dans i-grimoire de l'enseignement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : médisance, ragots, enseignement, paf, tice, etc...
lundi, 25 août 2008
Vous êtes tous informaticiens...
Vous êtes tous informaticiens... Du moins si vous êtes jeunes...
Actuellemennt les Brevet d'Informatique et les Certifications en Informatique se répandent dans les lycées et collèges...
Le B2i 1er niveau ou Brevet d'informatique premier niveau, c'est au collège, on le passe en troisième...
Le B2i 2ème niveau ou Brevet d'Informatique, deuxième niveau, c'est au lycée, on le passe en Terminale....
Le C2i 1er niveau, c'est à l'université, on le passe quand on veut, pendant les trois premères années de licence, ou plus tard si vous êtes plus vieux et ne n'avez pas eu l'occasion de le fait avant. C'est le Certificat d'Enseignement supérieur d'Informatique 1er niveau.
Le C2i 2ème niveau se fait pendant l'année de stage, c'est le Certificat d'Enseignement supérieur d'informatique 2ème niveau. C2i deuxième niveau est appliqué à la profession pour laquelle vous faites des études après la licence et est passé pendant la ou les années de stage.
Pour être professeur des écoles le C2i premire niveau est maitenant obligatoire pour passer le concours.
Le C2i deuxième niveau, informatique est passé pendant l'année de stage pour les professeurs des écoles.
Il semblerait que peu à peu le C2i deuxième niveau soit étendu aussi aux stages de professeurs.
Ce C2i 2ème niveau correspond en gros à ce que nous faisons dans les stages dits d'informatique de la formation continue des professeurs (PAF). Il s'agit d'informatique appliquée à l'enseignement.
Donc, tous ceux qui ont passé l'un de ces brevets ou certificats seraient informaticiens????????
Vous comprenez que si vous avez le C2i premier niveau, vous pouvez postuler pour le bac +4 des écoles d'ingénieurs en informatique, et que si vous avez le C2i deuxième niveau, vous pouvez postuler pour le diplôme d'ingénieur en informatique et vous en avez même l'équivalent?
Nenni! Que dalle!
Vous vous êtes complètement fourvoyé, Messieurs Dames, avec le C2i 1er et 2ème niveau, vous n'irez pas bien loin. ce n'est pas dans ces C2i là que l'on vous apprendra à réparrer votre ordinateur, ni à faire du langage ALGOL ou PASCAL. Que dalle! Vous n'apprendrez même pas l'HTML, Messieurs Dames, si cher aux bloggueurs de la première époque.
Vous apprendrez les lois qui régisse l'informatique, par exemple que ce n'est pas bien d'aller voir dans les ordinateurs des autres (je ne sais pas le faire, rassurez-vous!), qu'il y a plein de Cookies espions sur le web, dont il faut se protéger.
Vous apprendrez à vous servir des touches du clavier, des raccourcis, à faire des taleaux, des bases de données, à bien présenter un texte pour votre mémoire, etc....
Rien à voir, rien à voir donc avec un niveau d'informaticien. Alors pour que cela ne prête pas à confusion dans la tête des gens, pourquoi ne pas appeler ces brevets et certificats autrement, par exemple "Brevets et certificats pour l'usage des ordinateurs". Ce n'est pas la même chose que la grande informatique.
Beaucoup de nos collègues de plus de 40 ans, disons, n'ont jamais touché à un ordianteur de leur vie. Ils vont suivre des stages, qui en premier niveau sont faits pour des personnes qui savent au moins se servir d'un traitement de texte, ouvrir et fermer un ordianteur et un compte et ne comprennent que dalle, parce que mêmes les stages de niveau 1 maisntenant sont faits pour des professeurs ayant des bases en manipulation d'ordianteurs.
J'ai eu une collègue agrégée dans lycée où j'ai travaillé dix ans... qui refusait obstinément de se servir d'un ordinateur disant qu'elle n'était pas douée pour la technique. Pourtant elle est au moins dix ans plus jeune que moi.
Il y a encore trois ans dans la salle d'ordianteur attenante à la salle des profs, j'apprenais, malgré le non souhait de l'administration à ce que je fasse un service de rattachement, à mes collègues de toutes matières à ouvrir et fermer l'ordinateur et à aller sur le logiciel de report de notes. Au moins la moitié ne savaient pas le faire et avaient besoin de l'aide d'autres personnes pour cela.
Il y a deux ans sur le service de rattachement imposé par ma principale en documentation (je suis titulaire donc jusqu'à cette année pas obligée de faire un service de rattachement et je dis imposé parce que dès que j'ai dit que finalenemant n'étant pas volontaire pour la documentation, je n'étais pas obligée de venir, elle a fait un rapport sur moi et j'ai eu 400 euros en moins et un blâme), ma jeune collègue de français nommée là par le recteur parce qu'elle était volontaire pour la documentation et qui avait le C2i 2ème niveau, avait fait buggué tous les vieux ordinateurs dès le premier jour, et avait prétendu ne pas savoir se servir d'un ordinateur. C'est vrai que j'ai du lui expliquer comment faire des tableaux sur Open Office, je ne m'étais jamais servie d'Open Office avant et j'avais cherché toute seule.
Ce qui vous donne une idée du niveau des certifications en informatique.... Ceci quelles connaissances avait-elle pour faire buggué les ordinateurs, mystère. Celui du bureau que nous avons gardé toute l'année a redéarré grâce à une disquette de données insérée dans le lecteur et que j'y ai laissé toute l'année. Comme elle était coincée il n'y avait pa moyen de l'enlever, mais c'était tant mieux, c'est grâce à elle que l'ordinateur démarrait assez rapidement.
Pour les ordinateurs des élèves, on en a eu des tout neufs (On en a eu des... n'est pas français, si! C'est un régionalisme, vive les régions!) qui fonctionnaient bien. Dépassés maintenant, ce n'étaient que des XP SP2, ils n'avaient même pas Vista...
Bon, alors, vous ne soufflez mots : pour qu'on ne me demande plus de faire de la documentation, si vous savez qui je suis, il faut dire, dans mon milieu professionnel uniquement bien sûr, que je ne saurais pas me servir d'un ordianteur.
D'ailleurs, quand j'ai fait mon stage de CAPES en 1976-77, j'étais l'une des rares à me servir d'une machine à écrire... La plupart de mes collègues écrivaient encore à la main avec des stylets sur des stencils où il fallait percer des trous. Ou bien sur les carbones à alcool des duplicateurs. Il m'a fallu d'ailleurs le temps de me mettre aux documents photocopiés à partir d'un maginifique original imprimé sur papier blanc à la sortie de l'ordianteur. Mon premier ordinateur acheté en 92 sous Windows 3-1 et sans Internet, qui avait une mémoire de disque dur de 4 Gigas (l'équivalent d'une grosse clef USB actuelle), était relié à une imprimante à rubans (je ne me souviens d'ailleurs plus du nom qu'on lui donnait, ah! si! une imprimante à aiguilles) et qui faisait des frappes stencils sur des carbones violets de suplicateurs qui salissaient à la fois mes mains et l'imprimante, et que je garde précieusement au cas où j'aurais un remplacement dans un établissement qui en est encore à ce stade-là.
Pendant mon stage, avant et après et jusqu'au début des années 90, j'enfonçais laborieusement mes touches sur une machine à écrire traditionnelle en frappant assez fort pour que ce soit lisible sur les stencils, un excellent exercice pour muscler les doigts des musiciens, car les touchez étaient plus difficiles à enfoncer que celles d'un piano.
domino
16:22 Publié dans i-grimoire de l'enseignement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : b2i, c2i, informatique à l'école, enseignement, université
mardi, 24 juin 2008
Autres sortes de ragots...
Dans l'enseignement, il n'y a a pas uniquement des ragots concernant la santé et violant le secret médical, ceux dont j'ai parlé dans la note précédente. D'autres types de ragots concernant la carrière antérieure des professeurs existent aussi. Et parfois en parlant d'un ou d'une collègue qui va arriver, on se trompe même de collègue... parce qu'un autre porte le même nom.
Voici une collègue TZR d'allemand agrégée qui arrive dans un collège dans le courant de l'année pour faire un remplacement.
Au bout de deux séances, une élève commence à bavarder avec ses copines autour d'elles.
La prof lui fait vertement remarquer qu'elle n'est pas là pour bavarder.
Et l'élève lui répond tout de go :
"De toute façon, la prof d'anglais, quand on lui a dit que vous vous appeliez "Mlle Comme çà" (la prof est une dame mariée), elle a dit que vous n'êtes pas prof d'allemand, mais prof de français, et que quand elle vous a eu comme prof il y a une dizaine d'années dans le lycée Commère-Ragot, vous étiez chahutée."
La prof répond : "Appelez-moi Madame, ce serait plus proche de la réalité, et ne vous en faites pas, j'ai toujours été prof d'allemand (c'était une prof très appréciée dans un autre lycée et qui a été vicime d'une suppression de poste due à la "baisse démographique"*), et je n'ai jamais enseigné au lycée Commère-Ragot."
- Que, moi, la journaliste alternative, je n'aurais jamais enseigné au lycée Commère-Ragot serait encore à vérifie, mais ce n'était pas le même que dans l'exemple précédent, car tous les lycées sont des lycées Commère-Ragot. -
Ce n'est pas vrai, répond l'élève, qui a entièrement confiance à sa prof d'anglais certifiée, parce que, elle, au moins, ce n'est pas une remplaçante.
Et pourtant la prof d'allemand a raison, elle a un nom très courant, et il existe réellement dans le coin une prof de français qui porte le même nom de famille qu'elle.
Mais à cause de la stupidité d'un ragot non fondé, d'une prof envers les élèves, son remplacement a bien mal commencé...
C'est pourquoi, on devrait apprendre aux jeunes collègues, et aussi aux plus agés, aux chefs d'établissements, et à tous les personnels, mais aussi aux parents et aux élèves plus âgés à ne pas ragoter à propos de tel ou tel prof, même pas à la maison devant les petits frères et petites soeurs. Sinon, c'est empêcher les professeurs de progresser en autorité. Et en notoriété.
De même lorsqu'un Monsieur Je sais Tout pense que tel blog ou i-grimoire doit être celui d'un/d'une de ses collègues parce que le contenu ressemble vraiment beaucoup à des choses ayant réellement existé dans son établissement, ou parce que Un Tel auquel le prof avait confié l'adresse, croyant pouvant lui faire confiance, et avec la recommandation express de ne pas divulguer l'adresse du blog, a cru bon de le montrer à Monsieur Je Sais Toiut, qui somme toute est un homme qui inspire confiance, puisqu'il recueille les confidences de toutes et de tous, lorsqu'un collègue donc pense que tel blog appartient à tel ou telle collègue, ne le colportez pas plus loin, cela pourrait nuire à l'auteur du blog ou de l'i-grimoire, par exemple si l'auteur d el'i-grimoire y parle de son dernier rhume, et Monsieur Je sais Tout doit aussi apprendre à se taire.
Bien sûr, si on découvre des choses très graves sur un i-grimoire, par exemple un prof qui serait harcelé par ses collèges ou son administration, il vaut mieux alors en parler à un syndicat qui est tenu par le secret professionnel, plutôt qu'aux collègues.
domino
08:25 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, commérage, ragots...
Flicage des malades... par les collègues
En salle des profs, il n'est pas rare d'entendre tel collègue dire :
"Ah! Une Telle, si elle n'est pas là, c'est qu'elle a un cancer du sein..."
"Ah! Un tel, s'il n'est pas là c'est qu'il a un cancer du poumon..."
"Ah! Un tel, s'il n'est pas là, c'est qu'il a une cyrrhose du foie", vous claironne le collègue qui lui-même n'hésite pas à boire de temps à autre une bonne bouteille.
"Ah! Une telle, si elle n'est pas là, c'est qu'elle a une grossesse difficile", vous sussure le collègue dans l'oreille, en prenant l'air mystérieux que prend un homme célibataire qui ne connaît rien aux femmes, dans ce cas précis de la grossesse et de la santé féminine... et aurait bien envie d'être enceint lui-même.... (S'il a choisi le plus beau métier du monde, c'est qu'il aimait les enfants...)
A la vérité, je vous le dis, ce n'est pas pour cela qu'il a choisi ce métier, c'est parce que ayant étudié une matière littéraire ou une langue, il ne savait pas quoi faire d'autre.
"Ah! Une telle n'est pas là, je suppose qu'elle a mal dans le dos... Tu sais, elle a souvent mal au dos", dit le collègue qui ignore pour lui-même tout des douleurs et de la maladie, car il n'est JAMAIS malade.
"Vous savez", dit-il aux élèves, "une Telle sera sûrement absente cette année, parce qu'elle est maladive et a souvent mal dans le dos".
"Ah! Et une telle, elle a l'air pas bien en ce moment, tu sais, elle a des ennuis avec les élèves, elle doit faire de la dépression...."
Et j'en passe et des meilleures.
Souvent c'est toujours le même collègue qui vous raconte à mi-voix les malheurs des autres collègues, soutire vos propres confidences et va les chuchoter aux oreilles des autres collègues....
"Monsieur Je sais tout" n'est pas dans chaque lycée et collège, mais presque....
Et il y a deux types de "Monsieur Je sais tout", le collègue célibataire qui s'étonne des maladies féminines et vous les raconte d'un air mystérieux, désirant savoir si vous en savez plus.
Le deuxième type, c'est la commère, celle qui colporte les ragots.
- J'ai entendu ce type de ragot en Allemagne, lorsque lors d'échanges scolaires, j'étais hébergée par des collègues, je me souviens d'un Kaffeetrinken chez une collège allemande, Kaffeetrinken mémorable, pendant lequel on avait donné tous les détails de la maladie d'une de leur collègue.
"Na, wisst ihr? Die Kollegin So und So, das ist schlimm, wirklich schlimm, was die hat..."
(Savez-vous, la collège Une Telle, c'est vraiment grave, très grave, ce qu'elle a....)
Mais au fond, collègue célibataire épris de santé féminine ou commères autour du café, c'est la même chose.
Et puis, il y a les "Monsieur" et "Madame Je sais tout" qui ont une influence étendue, qui, lors des stages PAF, donnent des nouvelles des collègues qui ne font pas le même stage qu'eux, toujours sur le ton de la confidence :
"Tu sais, une telle, qui était avec moi en Recherche Action en 1995, et bien, actuellement,.... on ne sait pas trop ce qu'elle fait... Il paraît qu'elle fait des remplacements.... Elle serait devenue auxiliaire (faux!), parce que il y a 6 ans environ, elle aurait été malade.. L'année dernière, elle avait même trouvé une planque en documentation", (Tu parles d'une planque!).
Si quelqu'un lui demande : Et au fait, ta collègue, qu'est-ce qu'elle fait en ce moment? Il raconte alors tous les ragots qu'il a récolté sur elle depuis qu'elle a obtenu sa mutation....
"Et tu sais le collègue qui est parti dans le midi, j'ai eu des nouvelles de lui par Un Tel, et bien, il semblerait qu'il soitt tombé malade et que...""
Et toute la France est au courant de la maladie de Monsieur Un Tel.
Mais, savez-vous que tous ces ragots arrivant aux oreilles des administrations, celles-ci font des vérifications, pour savoir si Un Tel ou Une Telle est encore apte à remplir ses fonctions.
Et comme les médecins du rectorat sont généreux, d'un seul coup Un Tel ou Une Telle se retrouve éloigné pour un temps indescriptible du plus beau métier du monde, et il lui faudra lutter pour reprendre le travail, si tel est son désir.
C'est pourquoi je pense que les médisances et persiflages d'ordre médical ne devraient pas exister dans les salles des profs et encore moins auprès des élèves et des parents.
De même, si on suit une formation et qu'un professeur de la formation trouve un professeur-étudiant fatigué, ce qui est normal quand on fait de longues routes, il n'est pas nécessaire qu'il en parle à des responsables de l'enseignement secondaire. Ce serait lui nuire administrativement.
Et le fait que les personnels des lycées et collèges qu'il soient profs ou autres personnels, ne doivent pas parler de la santé de leurs collègues en salle des profs, aux parents, aux élèves et aux administrations, doit être appris aux jeunes professeurs. Le secret médical est pour tout le monde et surtout vis à vis des administrations qui finissent toujours par apprendre les ragots de salles des profs.
De même, si on est invité chez un collègue, on ne doit pas raconter comment est rangée sa maison, surtout si elle est mal rangée.
Si j'étais chef d'établissement, j'irais mettre des avertissements et des blâmes aux professeurs et autres personnels qui parlent de la santé de leurs collègues ou divulguent leur vie privée en salle des profs ou auprès des parents d'élèves ou des élèves eux-mêmes. Pour divulagation de secrets médicaux et divulgation de la vie privée, pouvant nuire au collègue.
On devrrait apprendre aussi aux chefs d'établissement qu'ils ne doivent pas écouter les ragots et l'exagération étant inhérente à ce genre de commérage, leur apprendre qu'ils doivent en prendre et ne laisser dans ce que racontent les collègues sur leurs collègues.
Et il faut apprendre très vite aux élèves à ne pas ragotter sur les autres et en particulier sur les profs.
Mais dans la vie tout est ragot... Le journalisme n'exiterait pas si les journalistes ne pouvaient ragoter sur le dos des dirigeants et autres hommes politiques...
domino
06:49 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maladie, enseignement, secret médical, médisance, persiflage
mercredi, 28 mai 2008
Anomalies à l'oral...
La deuxième fois que j'ai passé l'oral, j'avais ma carte d'identité dans mon sac à main, et la convocation dans un petit sac à dos qui servait à transporter mon petit matériel comme de la nourriture ou des crayons.
Lorsque je suis entrée dans une salle d'oral, on m'a demandé ma carte d'identité et ma convocation. J'ai tiré ma carte d'identité de mon sac à main, et j'ai voulu aller prendre ma convocation dans mon petit sac à dos, et voyant que ça allait durer un certain temps, la professeure qui vérifiait m'a dit : "Ce n'est pas la peine de la montrer". En fait je l'avais déjà montrée au secretariat du concours le jour de l'arrivée et de la réunion d'accueil. J'ai donc fait demi-tour pour m'asseoir au bureau, mais pendant ce temps la professeure a tiré un autre papier qui ressemblait à la convocation (peut-être une facture, ou quelque chose de ce genre), en me disant : "C'est ça votre convocation!" J'étais surprise de la trouver où je ne l'avais pas mise, je l'ai ouverte et c'était autre chose. Je m'en fais pour cela, parce qu'elle a du croire que j'avais oublié la convocatrion et que j'aurais mis un autre papier pour faire semblant de l'avoir et j'aurais préféré qu'elle me laisse prendre la convocation dans l'autre sac. Ceci était à l'oral, j'ai pensé à cela durant tout l'oral.
Comme j'avais eu une mauvaise note à cette épreuve, je me suis dit qu'elle avait cru que j'aurais voulu la berner alors que ce n'était pas le cas.
J'ai déjà interrogé au bac et au BTS, quand un candidat va chercher sa carte d'identité et sa convocation dans son sac, je surveille du coin de l'oeuil s'il ne regarde rien d'autre et puis c'est tout, mais je ne lui dis jamais de ne pas les montrer. Car cela pourrait mettre le candidat mal à l'aise.
Une autre fois la présidente du jury est venue pendant ma préparation soulever mes feuilles de brouillon et a regardé l'enveloppe avec le sujet qui était en dessous en la dépliant. Elle m'a prise pour une tricheuse? Je me suis demandé pourquoi elle faisait cela juste au début de ma préparation.
domino
17:26 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, agrégation