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mardi, 26 août 2008

Monsieur Je sais Tout

J'ai déjà fait parfois des notes sur les ragots et les rapporteurs qui se font un plaisir de raconter ce que fait tout un chacun, si possible en l'enjolivant dans le bien ou en exagérant les malheurs de la pauvre personne concernée.

Je vois déjà d'ici Monsieur Je Sais Tout qui a du avoir l'adresse de cet i-grimoire par personne interposée à une époque où il n'y avait presque rien dessus, dans mes débuts où je n'écrivais sur ce blog que pour moi ou presque, de ma belle écriture  à la fois humoristiques et nostalgique, se gausser auprès des collègues de lycée où j'ai travaillé dix ans.

Tu sais, notre collègue domino, Ah! Tu ne l'as pas connue? Tu es arrivé après son départ? Dommage, tu sais, bon, elle avait bien son petit caractère, elle me balançait en face ce qu'elle pensait de moi, trouvait que je travaillais pas assez, que j'aurais du donner autant de devoirs qu'elle et en faire faire les corrections aux élèves....

Et bien, tu sais la collègue domino, et bien elle écrit des blogs. Il y en a un, la journaliste alternative, où elle parle même de moi, tiens, regarde, je m'appelle, dans son blog, Monsieur Je-sais-tout.  C''est un peu vrai que au moment où elle a changé de poste, on a dit que je faisais souvent des hypothèses, et tu comprends, j'avais fait des hypothèses sur elle, et elle n'a pas trop apprécié...

Tiens, regarde, la journaliste alternative, elle raconte toute cette histoire d'inspection de 2002. Avant quand elle était ici, elle était certifiée titulaire, maintenant, je ne sais pas ce qu'elle fait exactement, elle est remplaçante, tu sais les remplaçants ça doit être des auxiliaires, moi, je ne connais pas trop ces histoires de remplacement. Elle allait à plein de stages de pédagogie, même plus par rapport à nos deux collègues qui ont fait un stage de 3 ou 4 jours en 2003, moi, j'allais aussi à des stages avec elle, mais je n'y vais plus, je ne sais plus tôt comment on s'inscrit, et alors malgré tous les stages où elle allait, il ne l'a pas trouvé bonne en didactique et en pédagogie; bien sûr il a dit qu'elle aurait du nous mettre au courant de ce qu'elle faisait dans les stages, mais moi quand j'allais avec elle, j'étais responsable de matière, donc c'était à moi de le faire, et nos deux autres collègues pensaient que les stages étaient inutiles, et elles ne voulaient rien entendre quand on leur parlait de nos stages de PAF. Puis c'est l'une des deux qui est devenue responsable de matière et il était hors de question d'écouter pour les deux autres, ce qui se faisait dans les stages.

Alors, domino, qui était celle qui faisait le plus de pédagogie, qui était au courant de toutes les nouveautés, elle a été descendue en flêche par l'inspecteur. Et elle a été tellement dégoûtée qu'elle est partie et s'est fait remplaçante, je ne connais rien à ses histoires de remplaements, un jour elle a même été documentaliste dans un collège pendant un an, mais elle disait qu'elle était toujours prof d'allemand, mais en fait elle était documentaliste, enfin on ne sait pas trop, tu sais, si elle est devenue documentaliste ou si elle est prof d'allemand, mais son mari m'a dit qu'elle n'aimait pas la documentation, qu'elle était obligée de faire cela parce qu'il n'y rien d'autre dans le coin.

Pourtant on a de jeunes collègues qui arrivent et trouvent des postes, c'est bizarre, çà! La plupart des jeunes collègues ont des belles voix, chantent avec les élèves, jouent de la guitare, nous on lui avait reproché de faire des chansons à la guitare avec les élèves, ça ajoutait à son charisme, mais tu comprends, par rapport à nous, qui ne savions pas le faire, on finissait par avoir moins de succès qu'elle auprès des élèves. Et puis ce n'était pas du travail: enfin, si, elle les faisait beaucoup travailler, elle donnait beaucoup de devoirs, elle donnait tellement de travail qu'on ne pouvait pas la suivre, il fallait quand même qu'on ai le temps de dormir, et puis les chansons étaient en allemand...

Bon, bref, je ne connais rien à ces histoires de remplacement, ce qu'elle devient, je ne sais pas exactement.

(Moi, non plus d'ailleurs, je ne sais pas si j'aurai un remplacement à la rentrée (je n'ai pas eu ma mutation sur l'un des lycées que j'avais demandé, avec cinq années de TZR et les dix échelons d'ancienneté), ou si la principale de mon collège de rattachement va encore me renvoyer chez moi le jour de la prérentrée à grand renfort de cris et de hurlements de sa part. Mais on n'a pas besoin de vous ici!).

Je continue le monologue éveillé de Monsieur Je-Sais-Tout à destination du ou des collègue (s) qui l'écoute (nt) d'une oreille distraite; Oui, Madame domino, regarde son blog, je vais te le montrer sur un ordianateur du CDI, si tu veux.

Bloqué pour raison de "ne convient pas à l'enseignement scolaire". Tiens, je te donne l'adresse, je l'ai là dans mon petit carnet de notes, il est vieux,j'ai le même depuis 10 ans (4 notes par an, voit le collègue par dessus son épaule???), tiens, là voilà, http;// Tiens il n'y a pas de www. je croyais pourtant que c'était dans toutes les adresses Internet? (il est évident que le collègue se sert souvent d'Internet)  lajournalistealternative.hautetfort.com/ Tu veux que je te l'épelle? l.a. j.o..... etc...

Bon, tu l'a bien écrit? Il y a une barre derrière .com C'est .com/ 

Bon, et bien... Voilà, la collègue quand elle était là, ah, oui, elle était sympatique, dynamique, je l'ai revue il y a pas longtemps dans le comité de jumelage, tu sais, elle a veilli depuis qu'elle n'est plus ici, ça fait combien d'années 5? 6 ans???

Elle venait chez mes parents dans la proviince où ils habitaient, si, si, pendant plusieurs années, elle allait dans un stage de guitare, elle a même fabriqué deux guitare qu'elle avait montré à mes parents, la nina romantica et la nina barocca et sa troisième, elle s'appelle la Manuela à cause du luthier qui s'appelle Manuel de prénom, j'ai oublié son nom, je lui avais dit que c'était comme les trois caravelles de Christophe Colomb. Le directeur du stage, on en parlait dans les journaux de ma province, c'était le chef de fil de la guitare sud-américaine en Europe, mon père qui vivait encore avait essayé de parler de politique avec lui, quand on est allés la voir au stage. Et puis, bon, mon père il n'était pas rentré dans la salle de spectable -c'était une chapelle dans la forêt et les dortoirs étaient tout autour - et ma mère et moi on a assité à un concert. L'un des profs s'était fait mal au petit doigt, il jouait sans poser e petit doigt sur sa guitare (NDLB : sur son manche, c'était la main gauche).

domino n'était pas contente parce que mon père en arrivant au Centre du Stage (c'était les bâtiments d'une colonie de vacances), avait critiqué les longs cheveux du fils du directeur du stage, qui jouait au badminton juste devant le premier chalet. Il avait des cheveux blonds comme les blés (curieux pour un argentin) qui lui descendait jusqu'en bas du dos. Et mon père a fait une réflexion du style "Si c'était mon fils celui-là, je lui ferai raser la tête".

Bon, il va en raconter sur moi, le collègue, si vraiment il a eu mon adresse par personne interposée, mais même sans mon blog, il raconte plein de truc sur moi.

Car ces trucs là : Je te l'ai déjà raconté, quand on est allé rendre visite à domino à son stage de guitare, ce que mon père avait dit du fils du grand guitariste qui était chef de file de la musique sud-américaine etc..

Tiens, ajoute-t-il, j'ai même enregistré une interview de lui à la télé régionale de ma région, même que domino voulait en avoir un double en souvenir du stage, mais je n'ai jamais pensé à lui faire (de toutes façons, elle n'a rien pour lire les cassettes vidéos)

- et non, mais mon ordianteur lit les DVD!  Je ne suis jamais passée par l'étape intermédiaire -rs

tiens, si tu viens chez moi, je te la montrerai. - Au fait, il habite à M. ses carreaux sont peut-être cassés... et qu'il ne le sait pas, il est dans sa province.

Ah! Oui, on faisait des petites réunions chez moi  à quelques collègues à l'époque, quand les allemands venaient et à la fin de l'année avec l'assistante, et aussi le dernier jour de l'année scolaire, je les fais toujours, mais domino et son mari, ne font plus partie des collègues et de leurs conjoints.

Un autre collège arrive :

Tu te souviens de domino, tiens elle parle de moi sur son blog...

Son proviseur passe, tend une oreille discrète bien que semblant distraite...

Mme domino, c'est qui çà? Ah! La TZR dont on dit tant de mal....

Si c'est domino qui était ici, on n'en disait que du bien,rétorque une collègue...d'anglais ou d'espagnol.

Que du bien? Hlmm! Depuis qu'elle est TZR et qu'elle doit faire des remplacements dans des collèges on n'en dit que du mal, elle reste toujours trop longtemps, elle embête les personnels de service à cause de ça...

Tiens, dit Monsieur Je sais tout, les derniers temps où elle était là, on nous avait conseillé de partir à sept heures, ou de manger au restaurant d'application ou à la cantine des internes à 19 heures... maintenant on se réunit jusqu'à 9, 10 heures du soir sans problème...

Pourtant quand son mari lui amenait une pizza à 19 heures pour qu'elle laisse le plus possible de livres sur place, elle faisait bien attention de ne pas salir, il paraît que le proviseur de l'époque lui avait dit de ne plus laisser ses papiers de pizzas dans les poubelles, à cause de Vigipirate, parce qu'on pouvait mettre le feu aux papiers de pizza pendant la nuit. Et il était responsable de la sécurité du lycée... pourtant elle mettait les papiers de pizza dans un conteneur à l'extérieur ou les emmenait avec elle.

- Bon, là où j'ai été rattachée ensuite, c'était départ 19 h 30 au lycée de ratachement, on était souvent plusieurs à sortir à cette heure là,  17h 45 dans mon collège de rattachement actuel (les cours finissent à 17h30), 17h 10 dans les collèges où 'j'ai fait des remplacements, et où les cours finissait à 17 heures, il fallait souvent courir pour ne pas se faire gronder. -

Et oui, c'était le bon temps, le temps où domino était là, et tous les quatre finalement, on s'entendait bien, on formait unne bonne équipe, on se partageait les bonnes classes : domino avait une classe de BTS hôtellerie, la collègue ici aussi, moi, j'avais une classe de BTS tertiaire et notre collègue agrégée comme moi (NDLB : Je précise Monsieur Je sais tout, pas moi...) prenait les allemands de spécialité et aussi les 1 LV1 et les T LV1 les classiques parce que comme c'est une agrégée elle est très littéraire, plus que notre collègue certifiée ici présente, et domino, qui à l'époque n'était que certifiée et pas enocre bi-admissible...  Mais maintenant on est trois agrégés, parce que le jeune collègue qui a succédé à domino, musicien comme domino, lui, est agrégé.

Moi aussi, j'ai été pendant un an bi-admissible, ajoute le collègue, avant de réussir mon agrégation... (puis il raconte tous ses passages d'agrégation jusqu'à sa réussiste en même temps que l'autre collègue agrégée, jeune à l'époque...) ... Je pase, mais c'est son Leitmotiv préféré.

Et puis, on prenait chacun une seconde, généralement ce n'était pas domino qui avait les LV1, sauf à l'époque où on ne faisait pas le partage nous-même. D'ailleurs, avant le nouveau proviseur, elle avat eu 4 Termnales et une 1ère année de BTS tertiaire la même année, le proviseur avait voulu mettre fin à un mandarinat (NDLB : qui ne durait que depuis 2 ans)..., c'est pour cela qu'il nous a demandé de partager nos classes ensemble. Alors domino ou la collègue certifiée avait les STT (actullement STG), L'année de l'inspection elle avait d'ailleurs la 1STT et la TSTT, et un de ses élèves de STT a eu son Master d'allemand. Il était dans la classe où elle avait été inspectée et elle l'avait depuis la première, et l'inspecteur ne les a pas trouvé bons.

Et puis... Et puis... Et puis.... Tu veux voir son blog....??? Tiens, je te donne l'adresse, toi aussi, je te donne l'adresse...

Le proviseur : Et moi? Ah oui, je vous donne l'adresse....

Le recteur : Vous avez l'adresse de son blog???????     A mme Domino ???? Ah! Interessant!

Alors Monsieur Je sais tout, si par hasard vous avez eu l'adresse de mon i-grimoire à quelqu'un, taisez-vous, bavard!

 domino

mardi, 24 juin 2008

Flicage des malades... par les collègues

En salle des profs, il n'est pas rare d'entendre tel collègue dire :

"Ah! Une Telle, si elle n'est pas là, c'est qu'elle a un cancer du sein..."

"Ah! Un tel, s'il n'est pas là c'est qu'il a un cancer du poumon..."

"Ah! Un tel, s'il n'est pas là, c'est qu'il a une cyrrhose du foie", vous claironne le collègue qui lui-même n'hésite pas à boire de temps à autre une bonne bouteille.

"Ah! Une telle, si elle n'est pas là, c'est qu'elle a une grossesse difficile", vous sussure le collègue dans l'oreille, en prenant l'air mystérieux que prend un homme célibataire qui ne connaît rien aux femmes, dans ce cas précis de la grossesse et de la santé féminine... et aurait bien envie d'être enceint lui-même.... (S'il a choisi le plus beau métier du monde, c'est qu'il aimait les enfants...)

A la vérité, je vous le dis, ce n'est pas pour cela qu'il a choisi ce métier, c'est parce que ayant étudié une matière littéraire ou une langue, il ne savait pas quoi faire d'autre.

"Ah! Une telle n'est pas là, je suppose qu'elle a mal dans le dos... Tu sais, elle a souvent mal au dos", dit le collègue qui ignore pour lui-même tout des douleurs et de la maladie, car il n'est JAMAIS malade.

"Vous savez", dit-il aux élèves, "une Telle sera sûrement absente cette année, parce qu'elle est maladive et a souvent mal dans le dos".

"Ah! Et une telle,  elle a l'air pas bien en ce moment, tu sais, elle a des ennuis avec les élèves, elle doit faire de la dépression...."

Et j'en passe et des meilleures.

Souvent c'est toujours le même collègue qui vous raconte à mi-voix les malheurs des autres collègues, soutire vos propres confidences et va les chuchoter aux oreilles des autres collègues....

"Monsieur Je sais tout" n'est pas dans chaque lycée et collège, mais presque....

Et il y a deux types de "Monsieur Je sais tout", le collègue célibataire qui s'étonne des maladies féminines et vous les raconte d'un air mystérieux, désirant savoir si vous en savez plus.

Le deuxième type, c'est la commère, celle qui colporte les ragots.

- J'ai entendu ce type de ragot en Allemagne, lorsque lors d'échanges scolaires, j'étais hébergée par des collègues, je me souviens d'un Kaffeetrinken chez une collège allemande, Kaffeetrinken mémorable, pendant lequel on avait donné tous les détails de la maladie d'une de leur collègue.

"Na, wisst ihr? Die Kollegin So und So, das ist schlimm, wirklich schlimm, was die hat..."

(Savez-vous, la collège Une Telle, c'est vraiment grave, très grave, ce qu'elle a....)

Mais au fond, collègue célibataire épris de santé féminine ou commères autour du café,  c'est la même chose.

Et puis, il y a les "Monsieur" et "Madame Je sais tout" qui ont une influence étendue, qui, lors des stages PAF, donnent des nouvelles des collègues qui ne font pas le même stage qu'eux, toujours sur le ton de la confidence :

"Tu sais, une telle, qui était avec moi en Recherche Action en 1995, et bien, actuellement,.... on ne sait pas trop ce qu'elle fait... Il paraît qu'elle fait des remplacements.... Elle serait devenue auxiliaire (faux!), parce que il y a 6 ans environ, elle aurait été malade.. L'année dernière, elle avait même trouvé une planque en documentation", (Tu parles d'une planque!).

Si quelqu'un lui demande : Et au fait, ta collègue, qu'est-ce qu'elle fait en ce moment? Il raconte alors tous les ragots qu'il a récolté sur elle depuis qu'elle a obtenu sa mutation....

"Et tu sais le collègue qui est parti dans le midi, j'ai eu des nouvelles de lui par Un Tel, et bien, il semblerait qu'il soitt tombé malade et que...""

Et toute la France est au courant de la maladie de Monsieur Un Tel.

Mais, savez-vous que tous ces ragots arrivant aux oreilles des administrations, celles-ci font des vérifications, pour savoir si Un Tel ou Une Telle est encore apte à remplir ses fonctions.

Et comme les médecins du rectorat sont généreux, d'un seul coup Un Tel ou Une Telle se retrouve éloigné pour un temps indescriptible du plus beau métier du monde, et il lui faudra lutter pour reprendre le travail, si tel est son désir.

C'est pourquoi je pense que les médisances et persiflages d'ordre médical ne devraient pas exister dans les salles des profs et encore moins auprès des élèves et des parents.

De même, si on suit une formation et qu'un professeur de la formation trouve un professeur-étudiant fatigué, ce qui est normal quand on fait de longues routes, il n'est pas nécessaire qu'il en parle à des responsables de l'enseignement secondaire. Ce serait lui nuire administrativement.

Et le fait que les personnels des lycées et collèges qu'il soient profs ou autres personnels, ne doivent pas parler de la santé de leurs collègues en salle des profs, aux parents, aux élèves et aux administrations, doit être appris aux jeunes professeurs. Le secret médical est pour tout le monde et surtout vis à vis des administrations qui finissent toujours par apprendre les ragots de  salles des profs.

De même, si on est invité chez un collègue, on ne doit pas raconter comment est rangée sa maison, surtout si elle est mal rangée.

Si j'étais chef d'établissement, j'irais mettre des avertissements et des blâmes aux professeurs et autres personnels qui parlent de la santé de leurs collègues ou divulguent leur vie privée en salle des profs ou auprès des parents d'élèves ou des élèves eux-mêmes. Pour divulagation de secrets médicaux et divulgation de la vie privée, pouvant nuire au collègue.

On devrrait apprendre aussi aux chefs d'établissement qu'ils ne doivent pas écouter les ragots et l'exagération étant inhérente à ce genre de commérage, leur apprendre qu'ils doivent en prendre et ne laisser dans ce que racontent les collègues sur leurs collègues.

Et il faut apprendre très vite aux élèves à ne pas ragotter sur les autres et en particulier sur les profs.

Mais dans la vie tout est ragot... Le journalisme n'exiterait pas si les journalistes ne pouvaient ragoter sur le dos des dirigeants et autres hommes politiques...

domino