lundi, 31 mai 2010
Discrétion assurée...
Actuellement, on parle encore de protections des données personnelles, dans les dossiers des administrations, etc...
Mais savez-vous que pour nous les internautes, la protection de notre vie privée est bien mise à mal.
Déjà, il suffit que nous fassions une inscription sur une boîte e-mail, un blog, ou même plus vaguement un forum ou pour déposer votes et commentaires pour voter pour notre chanteur préféré lors d'une émission de promotion de jeunes chanteurs, pour que de suite, nous devions y fournir de multiples renseignements comme la date de naissance, l'adresse, le n° de téléphone...
Bon parfois on arrive à échapper à quelques données, l'adresse géographique n'étant pas obligatoire par exemple (mais méfions-nous, car fournir son adresse, c'est s'exposer à des visites intempestives...)
Mais souvent on y donne une multitude de renseignements personnels qui peuvent être interceptés par des intermédiaires informatiques, par exemple. Les informaticiens n'étant pas tenus au secret professionnel autant que les mdecins qui ont fait le serment d'Hyppocrate. Et les espions informatiques se recrutant généralement parmi les informaticiens.
Il n'y a pas que des secrets internets qui peuvent être interceptés, mais aussi dans l'enseignement par exemple, les collègues parlent beaucoup au moment des repas, dévoilant la vie privée de tot un chacun.
Revenons en à Internet : beaucoup de personnes y étalent leur vie en long et en large, y presentent leur famille, leurs enfants, etc... Moi même, je n'y échappe pas, même si la plupart du temps je reste anonyme dans mes blogs et sites. Sur des vidéos on voit ma tête quand même, et quel ne fut pas ma stupéfaction l'autre jour en entrant au collège lorsque des élèves m'ont demandé si c'était bien moi qui était sur tel site Internet.
On ne peut rien cacher.
On est entraîné à ne rien cacher, ni ses colères, ni ses déceptions, quand le succès n'est pas au rendez-vous.
Mais voilà, le danger qui guette, c'est que l'on sache tout de vous, car vous vous dévoiles vous même.
Et si la célébrité vient, plus moyen de se cacher A seize ans, je savais par coeur la date de naissance de ma chanteuse préférée, son lieu de naissance,; je connais actuellement encore en plus le prénom de son père et le nouveau nom de famille (par mariage) de ses soeurs, le prénom de son père, le prénom et le nom de jeune fille de sa mère...
Quand vous devenez une personne célèbre, vous devez donner ceraines informations au public qui en est friand, et ensuite vous vous n'avez plus aucune vie privée. . Les paparazzi se troubent toujours dans le chemin, auprès des portes que vous devez paser, pour vous demandez vos impressions sur l'événement que vous venez de voir,etc... Plus rien de ne leur échappe. vous êtes devenu un peresonnage public.
On fait de vous une star, vos fans savent tout de vous.
Mais sur les sites de partages vous n'êtes pas l'abri d'un abus concernant vos coordonnées. Et vous parlez de choses et d'autres concernant le fait que vous venez d'avoir la grippe, ou que vous allez aller chez votre soeur qui habite à NN. NN étant un petit village, on a vite fait de trouver où votre soeur habite. Soit pour votre bien (on vous fait des cadeaux, on met des fleurs sur son seuil). Soit pour votre mal : on essaie de vous renverser en voiture qaund vous traversez à pied , on vous prend vos affaires, on enlève vos enfants ou vos neveux, bref, la vie devient dangereuse. Rassurez-vous, c'était le calme plat devant chez moi ce dimanche!
Vous n'êtes pas à l'abri non plus du vol d"idées. Vous parlez à votre copine de votre tenue préférée : un jean assorti d'une tunique. Vite une revue de mode sort trois jours plus tard, sur laquelle les mannequins ne portent plus que jeans et tuniques. Vous apparaissez sur une vidéo avec une demi-tresse qui se termine en tire-bouchon, votre moteur de recherche présent le lendemain trois mannequins portant la même coiffure que vous aviez hier.
Pire, les autres internautes font comme vous. L'autre jour, je mets un foulard de cou rose, je rencontre vingt femmes dans le métro qui ont un foulard de cou rose: je mets une casquette sur la tête, le lendemain, je rencontre en faisant mes courses vingt femmes qui ont une casquette sur la tête. Si je me promenais avec un nounours dans mes bras, le lendemain et même dans la journée je rencontrerais cinquante personnes avec un nounours dans leurs bras. Bon, je change la façon de nouer mon foulard de cou et sa longueur, le lendemain je remarque que la moitié des gens nouent leur foulard de cou comme moi.
Ce n'était pas le cas quand il n'y avait pas internet et que la mode n'était pas aussi fluctuante.
Tiens, après le début de la Nouvelle Star, j'ai rencontré cinq Luces sur mon chemin dans la journée : même teinte de cheveux et même coiffure.
Bon, bref, même encore à moitié inconnue et sans être connue vraiment, vous voyez les gens qui font comme vous, ou bien vous dévisagent ou alors ils vous sourient ou vous disent carrément bonjour sans que vous les connaissiez, car ils sont persuadés rencontrer l'une de leur connaissance! Ils ne savent plus où ils vous ont vue.
Mais la plupart ne vous connaissent pas, ils vous bousculent en sortant du métro, vous empêchant d'en sortir vous mêmes et en sortant in extrémis, vous vous faites bousculer par ceux qui montent, bref, la vie habituelle, quoi, pas celles où l'on sort tous les appreils de photos et les mini-caméras pour garder une image de vous et dire "Je l'ai rencontrée!".
Bon, enfin, bref, la vie privée sur Internet, ça n'existe pas.... Et puis avais(je une vie privée dans les années 60 quand ma mère lisait mon journal en cachette pendant que j'étais au lycée, et qu'elle ouvrait toutes les lettres de mes copines... que la maison était emplie de copains copines et que ma chambre était envahie par mon frère, ma soeur et parfois mes cousines ou correspondantes...?
Bref, la vie privée, existe-t-elle?
domino
01:33 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : protection des données, vie privée, confidentialité
lundi, 24 mai 2010
Piratage...intellectuel...
Dans le domaine interllectuel le piratage et le plagiat ont existé de tout temps.
Voilà.... Certains sont en mal de paroles pour écrire leurs chansons...
Ceci s'est passé en haut lieu, chez des gens très connus.
Une jeune dame écrit un journal et l'écrit très bien... La jeune femme va devenir une romancière à succès, mais pesonne ne peut encore le prévoir à l'époque.
Une copine à elle, récemment arrivée par mariage dans sa famille, fouille en cachette dans ses cahiers intimes : "Tiens, bonne idée?" se dit-elle...
Tu peux me préter tes cahiers. Gentiment, elle les photocopie pour les rendre plss vite. Puis pensant que le journal intime de cette jeune fille ne sera jamais publié, tire de ses écrits des pans entiers de ses chansons.
La romancière reprend ses cahiers, en tire un roman, qu'elle va déposer chez un éditeur.
Entre temps un groupe de musiciens avec une autre chanteuse a eu les cahiers en mains et a composé une chanson à succès, trouvant ses paoles dans les phtocopies des journaux intimes et sa musique resseble étrangement à une chanson à succès de la première chanteuse.
Doofie lit le livre de la romancière, elle commence à lire un paragraphe... le lit et le relit ... Mais c'est la chanson de.... bute sur un deuxième paragraphe qui lui semble connu... Mais c'est la chanon de.... Au fil des pages elle retrouve les paroles de quatre ou cinq chansons à succès...
Et maintenant on va dire que la romancière qui s'est inspirée des chansons, alors que c'est le contraire...
domino
07:29 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chanson, roman, chanson actuelle
lundi, 17 mai 2010
Doofie et le drapeau
LE JUGE : Doofie est citée davant ce tribunal pour déchéance de la nationalité française, parce que à l'âge de 17 ans elle a brandi un drapeau allemand dans un stade français, en juillet 1968.
LE PROCUREUR : Pourquoi a-t-elle fait cela?
L'AVOCATE : C'est son club de judo qui...
LE JUGE : Taratata... Doofie a brandi..
L'AVOCATE : Elle n'a pas brandi le drapeau, elle l'a....
LE JUGE : un drapeau allemand dans un stade français à l'occasion du départ du Tour de France.
LE PROCUREUR : Pouruqoi a-t-elle fait cela. Voulait-elle soutenir un coureur allemand?
LE PUBLIC : Qui a gagné ce tour..... Anquetil..... Merx... Hinault..... Pas Poulidor, il était toujours deuxième.
DOOFIE : Je crois que c'est Eddy Merx.
LE PRCUREUR (jeune) : Eddie Merx a brandi le drapeau allemand et pas vous?
DOOFIE : Non, il était belge et est sans doute toujours belge...
LE PUBLIC : Il était flamand ou wallon.... flamand je crois..... Ils vont encore participer les flamands au tour de France?.... Peut-être qu'ils vont empêcher les wallons de participer....
LE JUGE : Pourquoi brandissiez vous le drapeau allemand? Aucun allemand n'a gagné....
L'AVOCATE : Doofie était porte drapeau pour la fête du départ....
LE JUGE : Doofie a empêché avec le drapeau tous les coureurs qui n'étaient pas allemands de partir au signal de départ?
L'AVOCATE : Non, tous les clubs sportifs de sa ville devaient porter les drapeaux autour du stade et Doofie a été choisie poru aller devant le podium.
LE JUGE : Mais les autres portaient le drapeau français.
DOOFIE : Non, celui qui est passé à la télévision était de l'autre club, du club ennemi pour les compétitions. Il portait le drapeau anglais.
LE JUGE : Donc, vous étiez un club pour les allemands et l'autre pour les anglais?
DOOFIE : Non, on avait tous toutes sortes de drapeau. On choisissait celui qu'on voulait.
L'AVOCATE : Je viens de recevoir un SMS : Un décret bient d'être promulgué, on peut porter des drapeaux étrangers pour les fêtes liées à des compétitions sportives du moment qu'il ne s'agit pas d'hooliganisme.
LE JUGE : (Quelqu'un lui chuchote à l'oreille...) Bon, un non-lieu pour Doofie... Un décret la sauvant vient d'être pris. Elle avait le droit rétroactivment de porter ce drapeau.
DOOFIE : Merci Monsieur le juge, heureusement qu'on est plus en Sarpénie...
domino
13:59 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, drapeau, perte de la nationalité française
Doofie peut-elle rester française? (2)
J'ai écrit de Doofiedans la note précédente qu'elle avait dit à sa mère -Doofie a ses deux parents bien français - au début des années 90 de ne plus porter de foulard noué sur la tête, car c'était mal vu.
Pourquoi mal vu?
Parce que tout simplement, ces foulards que toutes les européennes portaient depuis belle lurette (déjà dans les années 30, je pense, et même avant), ont été bannis de la mode à cause de l'interdiction du foulard dans les écoles. Débat de société dans els années 80-90.
Dans mon enfance, toutes les femmes et les petites filles portaient des foulards qu'on appelait aussi carrés ou fichus, sur la tête. Mais quand on a commencé à parler du foulard musulman (le nôtre était seulement une pièce vestimentaire comme les autres), le petit foulard de style paysan que portaient les européennes a disparu de la mode, surtout en France, et les modistes ont habillés leurs mannequins de foulards de cou.
En Sarpénie, un pays dictatorial, après avoir lu la note où je parle de Doofie, on promulga un décret interdisant aussi les foulards mis autours du cou, car les jeunes avaient décidé d'en faire un signe de protestation contre la disparition du foulard de tête.
domino
13:08 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, nationalité, foulard
Doofie peut-elle rester française?
Sur la première page d'entrée d'un moteur de recherche Internet, Doofie vient de découvrir les mille et une raisons pour lesquelles on peut être déchu le la nationalité française, même quand on est fille et fils, petite fille et petite fille de français, c'est à dire français(e) par filiation.
La polygamie : Doofie aurait du mal à être polygame en tant que femme, mais elle n'est pas -comment on dit en sens inverse, polymane? - bon, elle n'est pas polymane non plus, elle n'a que Schnelly comme mari.
Les actes de sabotage de l'Etat : en font partie le déraillage d'un train. Schnelly et elle ne sont pas encore resté coincés sur les rails d'un passge un niveau, donc, ils n'ont pas fait dérailler de train! Et le piratage informatique : Doofie écrit son journal dans mon blog, et elle chante sur de belles vidéos, mais elle est incapable de pirater les ordinateurs, elle n'a pas les connaissances pour, ouf! Heureusement qu'elle n'est pas informaticienne. Quant à Schnelly, il refuse la modernité et tout contact avec un ordinateur, pour ne pas être accusé de cela.
Commettre un acte terroriste : Doofie ne sait pas construire de bombes, et elle aurait trop peur d'exploser avec en en lançant une, alors, elle ne va pas aller faire du terrorisme pour exprimer ses idées. Pour exprimer ses idées, elle peut écrire son journal sur mon blog.
Se soustraire au service national : Doofie fait partie d'une génération de femmes qui n'ont pas dû effectuer de journée militaire, ni de service militaire. C'était largement avant que l'on crée cette journée militaire, pour laquelle elle voyait quand elle enseignait en lycée, régulièrement les élèves de première ou de terminale manquer une jourée de classe. A partir du milieu des années 90 environ. Avant les filles n'entendaient jamais parler de l'armée. Heureusement pour elle : car Doofie, à l'âge de 18 as était déjà pacifiste dans l'âme.
Nuire à l'administration publique par corruption, abus d'autorité, discrimination. Ceci est pour les fonctionnaires. Doofie est bien fonctionnaire, mais elle n'est pas corrompue, elle a bien interrogé au bac ou au BTS, mais ce n'était pas ses élèves et étudiants à elle... et puis elle n'a jamais pris de pots de vin. Pour l'abus d'autorité, on reproche certaines années seulement, d'en manquer, mais elle personnallement n'est pas de cet avis et voudraient bien voir les pesonnes qui lui mettent ses notes administratives à l'oeuvre dans ses classes, sans avoir la fonction qui leur confère l'autorité et ceci pendant des années complètes (on peut perdre une autorité bien établi au bout de plusieurs années si on est victime de médisance par exemple), pour les abus de pouvoir et les discriminations, elle en a été victime tout au long de sa carrière. En particulier dès qu'elle a vieilli et grossi, elle a été victime de discrimination à cause de son embonpoint (d'après la charte des droits de l'homme européenne, disciriminer quelqu'un professionellement à cause de son embonpoint, c'est commettre un acte de racisme).
Servir une armée ou un service public étranger : donc, les conditions de concours internes sont à réviser : en effet, il est écrit que les services publics effectués dans un pays de la communautré européenne comptent pour l'ancienneté requise pour les concours internes, par exemple les années d'assistanat en Allemagne. Donc, ces conditions de concours sont en contradiction avec les lois sur la nationalité française, et tous les profs qui ont été assistants ou lecteurs dans les écoles publiques et universités étrangères devraient être déchu de leur nationalité et renvoyés de France. De même tous les profs qui ont d'abord été prof à l'étranger ailleurs que dans un lycée-collège français. Grand ménage parmi les condidats au CAPES et à l'agrégation d'allemand.Doofie qui est de parents françasi et n'a jamais été assistante ni lectrice, pourra rester!
Par exemple être lecteur dans une université étrangère et y apporter la science française peut être considéré comme acte d'espionage!
Brandir un drapeau étranger ou porter la burka.
Au départ du Tour de France, dans les années 60, Doofie a porté le drapeau allemand pour son club de judo qui était chargé de porter les drapeaux aux couleurs des coureurs devant le podium. C'était à la fin des années 60 ou au début des années 70. Il n'y avait pas d'allemand dans le club et Doofie faisait des études d'allemand.Mais elle a les circonstances atténuantes, car la majorité étant à 21 ans, elle était mineure.
Porter la burqa, Doofie ne la porte pas, mais elle revendique le droit pour les femmes de toutes nationalités et de toutes religions de se protéger les oreilles avec un carré plié en deux noué sous le menton ou derrière la tête, comme le faisait sa mère bien française, dans les années 50, 60, 70, et même 80. C'est un jour Doofie qui dans les années 80, a dit à sa mère, tu devrais mettre un bonnet de laine, parce que tu sais que les foulards, c'est mal vu? Sa mère qui tombait des nues a dit : Pouquoi? Ce n'est plus la mode? C'est vrai qu'il n'y a plus beaucoup de monde qui en porte, ça fait vieux? Non, maman, on te prend pour une musulmane quand tu mets un foulard (ma mère avait les yeux très bleus et les cheveux châtain clair). Ah! a dit ma mère... Ils exagèrent. Puis je n'ai plus vu ma mère avec un carré plié en deux sur sa tête et noué sous le menton. Elle s'est mise comme moi à porter ses foulards autour du cou. Er à attraper froid aux oreilles quand le vent soufflait et du sable dans les cheveux sur la plage.
Eux, là-bas, se protégeaient les yeux et la tête des vents de sable dans les déserts avec leurs foulards, c'était leur costume traditionnel et aussi celui de la Vierge Marie, avant même que Mahomet ne soit né.
Quitter son époux français après moins de 12 ans de mariage, si on est étranger, et naturalisé par mariage. Doofie est mariée depuis presque 36 ans. Et est fraçaise par filaition, donc, elle ne pourra jamais commettre ce délit. C'est impossible.
Dire du mal de la France, au profit d'un pays étranger : Schnelly, qui avait vécu en Allemagne pendant 18 ans étant jeune, ne possédait que la nationalité française (né en France de père français,il n'a pas eu la double nationalité comme son frère et ses soeurs nés en Allemagne), disait du mal de la France quand il était étudiant, comparant sans cesse l'Allemagne à la France, et disant sans cesse que en Allemagne c'était mieus. S'il est resté en France, c'est parce que les parents de Doofie qui étaient encore vivants à l'époque, ne voulaient pas que leurs enfants partent trop loin. Sinon, il serait retourné dans la région d'Allemagne où il a grandi.
Par exemple, en Allemagne il y avait beaucoup de poubelles dans les rues, beaucoup de bancs, dans le moindre espace vert et même sur les trottoirs, etc... En France, on a fait quelques progrès à ce prpos, et on voit moins de papiers par terre que dans ma jeunesse, masi enfin, les poubelles ne sont toujours pas aussi nombreuses qu'en Allemagne et les bancs encore moins. Scnelly avait remarqué qu'en France, à l'époque, les sols étaient jonchés de papiers. Ce n'est plus le cas aujroud'hui, où les balayeuses municipales passent plus souvent... Mais Schnelly n'a plus d'ordre à l'interieur d'une maison, pas plus que dans son sac où je n'y comprendrais rien si je devais m'y servir. Alors qu'il ne nous accuse pas de désordre!
En fait, ce que Schnelly disait de son propre pays en y arrivant.... (quand il était jeune, il ne venait voir sa famille française que pour les vacances, il a eu dans un lycée français quelque chose comme l'un des premiers Abibac et était dans la classe des germanophones, d'ailleurs quand il est arrivé (Schnelly et Doofie se sont rencontrés à la fac) il faisait des germanismes. Ce que disait Schnelly de son propre pays en y arrivant, c'était en général tous les défauts que les allemands trouvaient à l'époque à la France!
Alors, Doofie pense que, mis à part avoir porté le drapeau allemand au départ du Tour de France, Doofie n'a commis aucun crime qui peut la destituer de sa nationalité française. Et où irait-elle? Elle deviendrait apatride.
Par contre ce que Doofie voudrait, c'est que l'on expatrie tous les poivrots, les fumeurs et les toxicomanes. Pour nettoyer la France de toutes ses plaies. Les viticulteurs en s'en plaindraient pas, car ils exporterait du vin pour les français résidant nouvellement à l'étranger (tous les buveurs d'alccol expatriés!) et pourrait augmenter leur prix, bien qu'ils ne pourraient plus boire leur propre consommation!
Pour Doofie toute personne qui enfreindrait l'abstinence et la prohibition serait expatriée, et sur ce point je suis d'accord avec elle...
domino
12:08 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nationalité, nationalité française, déchéance de la nationalité
lundi, 10 mai 2010
Les fous
Doofie, mon personnage de roman théâtre, écrit dans son journal :
Samedi soir, nous étions en train de revenir à pieds bien tranquillement de mon cours du samedi, quand tout à coup, j'ai entendu un cri à côté de moi, vers le bord du trottoir ou trottait Schnelly, j'ai vraiment eu l'impression qu'un sauvage était en train d'hurler sur nous, et en train de nous attaquer ou de s'attaquer à Schnelly.
J'ai sursauté tellement fort - et heureusement que bien que quinquagénaire je ne sois pas cardiaque - que j'en tremblait encore de peur dix minutes après.
Schnelly semble avoir l'habitude des singes hurleurs qu'il y a dans cette ville, des gens qui se penchent aux fenêtres des voitures en roulant à fond la caisse et hurlent sur les passants qui se trouve sur les trottoirs.
Il y en a aussi qui dépassent à fond la caisse les voitures, en se penchant aux fenêtres et en hurlant sur les conducteurs et les conductrices et en leur faisant peur, puis ils ralentissent devant pendant une vingtaine de secondes, pour faire peur à nous, plus vieux, qui sommes soi-disant embourgeoisés.
Moi, en tout cas, je ne suis pas du tout embourgeoisée et je n'ai pas à faire les frais de ces singes hurleurs qui de plus conuisent dangereusement leurs voitures, profitant des rues à moitié vides le soir pour faire peur aux quelques passants.
Doofie
(pour mon personnage de théâtre, domino)
19:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, jeunes, délinquance, bruit