Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 11 octobre 2010

Roses et avion

Mon roman-théâtre (suite) :

Pendant que Doofie travaillait sur sa terrasse cette après-midi, il s'est passé deux choses étranges :

- Doofie a découvert que le seul rosier qu'elle n'avait pas taillé, c'est à dire le seul rosier qui lui reste derrière, a été réduit à l'état de deux branches d'une vingtaine de centimètres de haut, deux vielles branches de son tronc noueux, alors que d'habiture sont rosier culmine à 1 mètre 70 environ. Elle a demandé à Schnelly. "C'est toi qui a fait cela?", et Schnelly, ahuri, a répondu que non. Donc une tierce personne est venue dans leur jardin couper le rosier aussi court qu'il n'a jamais été... Intrusion, violation de domicile (Schnelly et Doofie sont en propriété indivisible...); Doofie ne sait plus à quel saint se vouer.... Et pourtant, c'est bien eux les propriétaires, 500 € d'impôts lfonciers, et 700 € d'impôts locaux à payer en octobre et novembre, en plus des impôts sur le revenu, mensualisés. Et le rosier aux magnifiques roses de porcelaine, situé devant le salon, réduit à sa plus simple expression, deux bâtons de bois, alors que d'habitude, à cette époque-ci, il donnait encore...

- Des avions sont passés à très basse altitude, alors que par ici, ils passent rarement à basse altitude, mais avec un bruit énorme... un bruit métallique qui résonnait dans les oreilles, à en faire vibrer les tympas et à en faire mal aux oreilles. Qu'est-ce? Une puissance étrangère violant l'espace aérien de notre beau pays? On a presque l'impression que ce bruit est fait exprès pour rendre les gens d'ici malades.

Bon, violation de domicile, violation de l'espace aétien, voilà deux points communs pour ces deux bizarreries.

domino

 

mercredi, 08 septembre 2010

Retrouvés...

(suite)

Doofie continue à écrire dans son journal (Doofie est un personnage de théâtre) :

Excuse-moi de te déranger de nouveau, chère correspondante imaginaire, déjà, j'étais à peine en train de l'écrire que le bruit aigu de perceuse ou de scie à métaux a cessé dans la maison d'à-côté. A un moment où j'y repensais, le bruit est revenu beaucoup plus loin.

Mes bourdonnements d'oreille ont cessé. Juste que j'éntends le même bruit beaucoup plus loin dans la ville, semblant provenir d'une usine.

J'ai retrouvé toutes mes revues coup sur coup. La première dans un emballage près de la porte d'entrée, je dois dire que j'avais regardé déjà plusieurs fois dedans ce matin et qu'elle n'y était pas, c'est la revue d'informatique.

J'ai retrouvé les revues de randonées et sur les voyages régionaux dans l'escalier, mais pas sur le palier. J'avais préparé quatre tas de revues et livres à monter (rassurez-vous, l'escalier est assez large et on ne tombe pas, on fait attention...),  mais ces revues là je les avais laissées en bas, Schnelly m'avait dit qu'il les avait mises sur la quatrième tas, dans le coin du palier...  mais elles étaient à l'intérieur du deuxième tas, sous des choses plus anciennes... quelquefois quand je ne trouve plus quelquechose, il suffit que je soulève quelque chose à l'endroit où je les avais mises pour les retrouver, car Schnelly renverse parfois l'ordre des tas. Et il prend souvent des papiers plus anciens, pour les remettre au dessus des papires plus vieux et moi je ne pense pas qu'ils peuvent être au-dessous des papiers plus anciens, car je me dis, ces papiers là, ça fait longtemps que je n'y ai plus touché, donc, ça ne doit oas être là.

A moins que ce soit St Antoine de Padoue qui ait remis les objets en place, car quand j'étais petite, il fallait faire une prière à St Antoine de Padoue si on ne trouvait plus quelque chose et c'est vrai qu'on les retraouvait tout de suite après la prière.

En fermant les yeux -j'ai failli m'endormir en écrivant juste maintenant, et quand je m'endors en plein jour, j'entre directement en phase de sommeil paradoxal, celui où il y a des rêves - j'ai rêvé d'un peit homme, couleur et genre statue de l'île de Pâques, mais tout petit et vivant, qui essayait de ma parler, il était dans un champ de blé, sur la droite, et le ciel était bleu. Je me suis réveillée alors que ma tête commencait à s'incliner dangereusement vers le clavier de l'ordinateur et je me suis demandée ce que cet homme vu en rêve a voulu me dire. Au début il avait l'air méchant, il parlait mais en silence, puis il s'est radoucit.

Bon, domino m'a permis d'écrire sur son blog, mais je sis peut-être un peu trop longue encore. A bientôt, mon intermocuteur imaginaire;

Doofie

........................;;

Ah que mon personnage devient bizarre, elle rêve maintenant.... Mais continue à écire, Doofie, je ne t'en emêche pas...

domino

(Toute ressemblance...; fortuite)

domino

 

 

vendredi, 25 juin 2010

Bizarre autant qu'éttrange....

Smoothie  écrit dans son journal :

Chère Amie des coeurs tristes,

Mon journal est sur le blog de domino? C'est normal.... Tous les journaux intimes de ses personnages de roman-théâtre arrivent tôt ou tard sur le blog de domino, la journaliste alternative.

Voilà ce que j'ai remarqué : la dernière fois que j'ai passé le CLES 3 d'anglais, il y avait deux jours de passages à cause des Rendez-vous dus aux oraux à passer entre deux écrits, et donc aux départs décalés des préparations. J'ai remarqué que tous les étudiants reçus étaient passés le premier jour. Alors, je me suis dit que c'est peut-être qu'on a pensé que les étudiants du premier jour avait parlé du sujet à ceux du deuxième jour. En tout cas, moi, j'étais passée le deuxième jour, et on ne m'a pas parlé du sujet (les sujets sont relevés à la fin des épreuves, pour qu'on ne les passe pas aux autres).

Certains disent ne pas se souvenir des sujets après un examen et les oublier vite, mais ce n'est pas mon cas, je m'en souviens souvent encore plusieurs années après, même si les détails s'estompent mais je n'en parle pas aux autres, si on dit qu'ils peuvent encore être donnés.

Bon, maintenant, j'ai été intriguée par le même phénomène cette année, il n'y a que trois candidats qui sont admis dans mon université, sur une douzaine qui l'ont passé. Bon, ça se peut...  25% de réussite,  après tout, c'est plus qu'au CAPES ou à l'agrégation.

Mais voilà, c'est la répartition des candidats admis qui m'inquiète.

En effet, sur les 4 candidats qui ont été convoqués le premier jour de 8 heures à 9 heures, 3 sont reçus et ensuite après la "pause du jury" (comme on prévoit une pause de 12h20 à 12h40 pour le jury, personne n'est convoqué à 9h20, il y avait encore quelques candidats et personne n'est reçu. Le lendemain, il y avait encore 5 candidats et personne n'est reçu.

Si les candidats du deuxième jour sont susceptibles d'avoir des renseignements sur les sujets  par les autres (les sujets sont relevés), ceux qui passent après le trou fait pour la pause du jury, ne peuvent pas avoir de communication avec les quatre premiers, dans la mesure où les quatre premiers préparent pendant trois heures, sont accompagnés jusqu'à la salle d'examen, et reviennent accompagnés vers la salle de préparation et ne soirtent de celle-ci que vers midi 20 pour le premier. Or, le dernier candidat de la journée à entre dans la salle, entre vers 11 heures.

En gros si on met la liste des reçus à côté de celle des passages, on a (je met des n°s à la place des étudiants)

1er jour

1) Reçu

2) Reçu

3) Echoué

4) Reçu

Pause

5) Echoué

6) Echoué

7) Echoué

2ème jour

1) Echoué

2) Echoué

3) Echoué

4) Echoué

5) Echoué

 

Bon, si un jour vous passez un CLES 3 d'anglais, dans cette université, pressez vous pour passer parmi les quatre premier, ou ne passez pas après Smoothie qui est peut-être victime d'un harcèlement informatique!

Ce harcèlement informatique ne vient pas focément de France, il peut venir de gens bien renseignés sur moi qui installent leurs espions sur des serveurs. Moi même et mes amies, nous n'avons pas assez de connaissances en informatique pour faire cela, le C2i 1er niveau ne dispense pas ces connaissances, pas plus que le C2i2ème niveau enseignant.

Mes regards ne se tournent pas vers l'Amérique, mais vers le Centre et le Sud-Est de l'Europe. Et l'auteur de ce harcèlement doit être une bonne informaticienne amateur qui n'a jamais habité dans ma région, ne m'a jamais vue personnellement, mais connait ce blog-ci depuis presque ses débuts.

Cela pourrait expliquer aussi les échecs répétés de Doofie à l'agrégation. Et les échecs de notre académie si les notes d'agrégation sont tapées par académie à partir du nom de Doofie. Une fois, il n'y avait sur toute la France aucun admissible à l'agrégation à partir de la lettre de Doofie, et Doofie en ayant fait la remarque, le lendemain, plusieurs admissibles de la fin de l'alphabet sont apparus sur la liste, mais aucun n'avait la lettre d'alphabet de Doofie (qui n'est pas un D, soit dit en passant).

Doofie a été admissible pour la dernière fois à l'agrégation en 2005 et elle a commencé ses blogs d'abord en septembre 2005 et ensuite domino a comencé ce blog-ci en janvier 2006, est-ce que cela voudrait dire que faire un blog empêche d'avoir l'agrégation?

Il y a eu le même phénomène à la Grande Etoile d'Internet. J'ai voulu voter pour Doofie, ça marchait bien sur les vidéos qui n'avaient pas beaucoup de clics, et les votes restaient, mais dès que je cliquais sur le vote l'une des quatre vidéos les mieux placées de Doofie, tous les compteurs qui avaient avancé d'un point auparavant sur la même connection reculaient d'un point.

Quant à Dummie, elle a failli se faire enlever deux fois par des femmes qu'elle ne connaissait pas et qui lui proposaient de monter dans leurs voitures. Il s'agissait à chaque fois de femmes avec des grosses lunettes qui ne voyaient pas fort clair. La première fois juste avant des résultats d'admssibilité de l'agrégation, en rentrant d'un service de rattachement, la deuxième fois le dernier jour de l'année scolaire en rentrant d'un service de rattachement, que syndicalement parlant, elle ne devait pas faire.

Smoothie

 

 

'(Pour Smoothie, domino)

autres,

mercredi, 23 juin 2010

Doofie cherche encore quelque chose...

(Doofie et Dummie sont encore attablées, leur peur des bruits et craquements dans la maison a cessé, elles ont été rassénérées par la musique, la musicothérapie fait aussi son oeuvre et couvre les craquements et plocs ambiants.)

Doofie : Tu sais, Dummie, je viens de penser à quelque chose...

Dummie : Qui donc?

Doofie : Hier soir, j'avais mis des livres à monter dans l'escalier.

Dummie : Ah bon, ça a encore disparu.

Doofie : Je les avais mis sur l'escalier, avec sur la marche en dessous les prosperctus  à  jeter, et au dessus des papiers à jeter, j'avais placé, soit un classeur d'une certaine importance, soit un vêtement, je ne sais plus bien....

Dummie : Et tout cela a disparu...

Doofie : Non, c'était un classeur, pas un vêtement...  ou quelque chose d'assez épais. Les prospectus à jeter, que j'avais regardé et trié avant -ce sont ceux que l'on met toutes les semaines dans les boîtes aux lettres, je les ai mis dans le sachet qui est suspendu sur le mur de l'escalier de la cave et est une étape intermédiaire avec la poubelle à papiers qui est au garage. C'est à cause du tri sélectif.

(Le garage est au même niveau que la cave, pour ceux qui ne connaissent pas la maison de Doofie).

Dummie : Donc, les prospectus sont à leur place, prêts à quitter la maison.

Doofie : Si on veut, c'est Schnelly qui s'occupe des poubelles, mais il sort la poubelle à papiers, cartons et emballages, une fois par mois. Celle avec les denrées périssables, il la sort toutes les semaines.

Dummie : Bon, pour les prospectus, c'est réglé. Et le reste, les livres.

Doofie : J'ai regardé en haut, rien n'a changé depuis deux jours sauf l'aspect du lit et des objets de salle de bain, bref les deux pièces qu'on emploie tous les jours. J'ai regardé du côté de Schnelly pour le lit, et je ne les ai pas vus non plus. Et en bas non plus. C'était des affaires que j'avais trié hier, parce qu'elles étaient en bas et je voulais les monter, mais Schnelly est arrivé avant que je ne les monte.

Dummie : Alors, l'esprit farceur, c'est Schnelly.

Doofie : Je ne pense pas qu'il soit si farceur que cela, il  a paut-être monté les affaires pour m'aider, mais dans ce cas là, je devrai voir où il les a mises, car quand il fait cela, il les met au-dessus de tout.

Dummie : Schnelly les a peut-être mise à un auter endroit. Elle le gênait pour monter, alors, il les a reposé dans un coin du rez-de-chaussée.

Doofie : Si je trie des affaires que je monte, ce n'est pas pour les retrier une deuxième fois, parce qu'elles sont revenues en bas....

Dummie : Il les a peut-être mise à la cave...

Doofie : Dans ce cas, je devrais les remonter de deux étages... Tiens, j'entends justement des bruits à la cave. Je voulais aller y chercher le linge pour le pendre.

Dummie : La machine à laver est dans la cave...

Doofie : Dans le garage au niveau de la cave....

Dummie : Et les cordes à linge?

Doofie : Le séchoir est à l'étage. J'entends dub bruit à la cave, pouvu que personne ne prenne ma lessibe...

Dummie : C'est déjà arrivé?

Doofie : Oui, il y a aussi un séchoir à la cave, et parfois du linge pendu là disparaît!

Dummie : On peut y entrer de dehors?

Doofie : Il y a une soupirail avec une grille, c'est trop petit pour qu'un être humain rentre par là.

Dummie : C'est peut-être un petit animal ou une pie.

Doofie : Les pies ne prennent que ce qui brille et il n'y en a pas par ici, par contre il y en avait beucoup dans la ville où habitait ma mère.  Il  y en a aussi autour de l'université.

Dummie :  Elles volent peut-être les copies...

Doofie : Non, elles ne volent que ce qui brillent, elles ne volent ni les papiers, ni les habits.  MAis elles sont belles, ce sont de grands oiseaux au ventre blanc et à la queue bleutée.

Dummie : Oh, ça sonne, Schnelly est là...

Doofie : Déjà, vite, vite, il n'y a pas de choses qui traînent dans l'escalier?

Dummie : Bon, je vais aller rejoindre Quicky chez moi, il doit être rentré aussi...

Doofie : Pour les affaires qui ne sont plus là, je ne dirai rien à Schnelly,sinon  il va hurler : Ce n'est pas moi!  Alors, je préfère ne pas le véxer.

domino

(Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite)

 

 

 

Doofie retrouve ses affaires...

Suite de la scène  précédente (voir note précédente)

(Dummie et Doofie, mues par la peur des bruits étranges, retournent dans la cuisine)

Doofie (pointant du doigt vers un sachet en plastique qui se trouve dans la cuisine, sous le manteau de Schnelly, déposé négligemment par terre devant le réfrigérateur...) : Là...!

Dummie :  C'est le manteau noir de Schnelly, pas celui du fantôme.. Schnelly est rentré?

Doofie : Non, il travaille tous les jours sauf le Vendredi matin. Mais regarde, sous le manteau...

Dummie : Des sachets en plastique..

Doofie : Oui, deux, regarde ce qu'il y a dedans...

Dummie : Des journeaux d'hier, une revue et un disque...

Doofie : Et bien lui, c'est celui-là que je voulais qu'on écoute... Mais pourtant, j'avais déjà regardé à cet endroit.

Dummie : Le manteau y était, je l'ai vu, je me suis dit : Que fait-il là, il est mal rangé. Ou alors, que Schnelly était là...

Doofie : Il fait trop chaud pour metre des manteaux, mais j'avais regardé autour du manteau et dessous, il n'y avait rien... Pourant, je pense que Schnelly a dû les mettre là ce matin, parce que ça le gênait devant la porte d'entrée, quand il est sorti...

Dummie : Oui, c'est sûrement cela, mais je t'assure que rien ne dépassait de ce manteau tout à l'heure... Brr... brr... j'ai peur...

Doofie (s'aggipant à elle)... Moi aussi...

Dummie : On n'entendait plus les mobylettes, elles sont revenues...

Doofie : Et on entend des petits bruits ici et là dans la maison, des petits craquements, des petits pocs...

Dummie et Doofie : J'ai peur.... J'ai peuir... Nous avons peur....

Doofie : Puisqu'on a retrouvé les revues, il vaut mieux en pas en parler à Schnelly, parce que il n'avouera pas qu'ils les a changées de place, et il fera le vexé.

Dummie : Il est comme Quicky, gentil à l'extérieur, et soupe-au-lait dans la maison... Mais c'est peut-être le fantôme qui les a amenées ou l'homme à mobylette pendant qu'on était dans la salle de séjour.

Doofie : La porte était fermée... Ce n'est pas possible.... C'est un fantôme.... J'ai peur...

Dummie et Doofie (s'agrippant chacune au bras de l'autre) : J'ai peur... J'ai peur... Nous avons peur...

Doofie : Je vais mettre le disque, ça nous donnera du courage et ça étouffera les petits craquements et les auters petits bruits....

Dummie : Tiens, le bébé d'à côté pleure, mais c'est avant que je mette le disque, ce n'est pas nous qui l'avons réveillé.

(Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite).

domino

 

Dummie et Doofie se tiennent

samedi, 06 mars 2010

Fautes...

Je ne vais pas m'excuser pour les fautes qui émaillent certaines de mes nouvelles notes, la plupart apparaissent au moment de la publication, j'ai constaté souvent ce défaut, dû sans doute à un correcteur d'orthographe d'une langue étrangère, qui remet mon bon français en mauvais français.

Par exemple j'avais bien écrit dans la dernière note :

"Ne plus guère" et cela s'est transformé en "Plus guère".

J'avais écrit et je l'ai bien lu : "Propre à" et cela s'est transformé à cause de la référence géographique qui suivait en "proche à" et même pas en  "proche de", changeant non seulement le sens de ma phrase, mais ajoutant une faute de français.  Il s'agit bien de "Une coutume propre aux bords de la France".

Je suis bonne en français et francophone, alors qu'on me laisse tranquille et qu'on ne transforme pas ce que j'écris, déformant ainsi ma pensée, tout en voulant faire mieux que moi.

domino