vendredi, 22 juin 2007
Le blog exutoire, non, à bas le Berufsverbot...
Bon, c'est un blog exutoire, d'accord ! Un blog qui sert à déverser mon amertume, d'accord !
Mais voici que certaines coïncidences troublantes me font dire : le harcèlement dont je suis victime est commandité par la droite sarozyste :
22 mars 2002, entre deux tours d'élections où au deuxième tour l'exrtrême droite est en ballotage contre la droite, inspection par un inspecteur sarlozyste ou lepéniste :
- "Vos élèves ne vous aiment pas".
- "Après 30 ans de carrière, vous avez fait une faute de débutante",
- "Si vous aviez vu, ce que j'ai vu moi",
- "Si j'étais parent, je ne vous confierai jamais mes enfants",
.... et pourtant ma principale actuelle cartée UMP, m'avait laissé son fils dans ma classe durant toute sa seconde...
... et pourtant, mis à part parler de la RDA, ce qui est obligatoire dans les cours d'allemand, je ne faisais pas de politique en classe, le prosélytisme dont avait parlé un collègue, mot repris par le proviseur d'alors, n'étant ni religieux, ni politique, il s'agissait seulement du contraire de l'élitisme, parce que pour faire aimer l'allemand, je donnais soi-disant de trop bonnes notes aux élèves faibles.
Septembre 2002 : M. Sarkozy est premier ministre.
Je suis convoquée à la médecine du rectorat, mise en congé longue maladie. (= Mise à pied déguisée)
Septembre 2003 : toujours ère sarozyste, en CLM toujours, je suis mise en Zone de Remplacement avant ma reprise de travail qui s'effectue en octobre. Pour reprendre le travail, je dois adhérer à un syndicat dit de droite. Car, au moment de mon inspection, M. le Président Actuel, je n'étais même pas syndiquée.
Octobre 2003 : Ma reprise est prononcée (enfin) par le comité médical. J'ai du envoyer de nombreuses fois mon époux en éclaireur pour faire avancer le comité médical et faire hâter la reprise.
Galères de TZR : nominations comme CPE, services de rattachement en documentation (non volontaire, etc...) L'ancien jury de BTS que j'étais et de baccalauréat s'ennuie. En rattachement dans un lycée, seul le mois de juin devient interessant : surveillances de bac où je surveille avec des vrais profs du lycée, ambiance bac, concert de fin d'année avec élèves et profs du lycée.
Décembre 2004 : Nouvelles attaques de la médecine du rectorat alors que je n'ai pas de remplacements à effectuer, que je suis sur un service de rattachement informel (Fabrication d'un Centre de Ressources d'Allemand), et je m'entends bien jusqu'alors avec tout le monde dans ce lycée. "Vous éprouvez des difficultés dans votre enseignement..." Je réussi à faire ôter la convocation par un médecin en prouvant par A plus B que je ne peux éprouver de difficultés alors que je n'ai pas d'enseignement à faire. J'avais refusé une suppléance de CPE en novembre et c'est sans doute à cause de cela.
Mai 2007 : Depuis la victoire du Président Sarkozy, nouvelles attaques de la principale RPR qui m'avait pourtant bien accueillie au début de l'année, comme l'ancienne prof de son fils. Convocations au bureau, etc... Les convocations n'ont aucun rapport avec les élèves... ni avec mon travail proprement dit, mais avec les agents de service, qui trouvent que je reste trop longtemps le soir, et qui se sont sentis humiliés parce que j'ai demandé à ce qu'on ne prenne pas les papiers que j'ai installé sur les tables pour l'exposition. Aujourd'hui le maître ouvrier m'a encore souri et les techniciennes de surface (traduisez femmes de ménage) m'ont souri aussi. C'est vraiment bizarre. C'est la principale affabulatrice qui m'invente de mauvais rapports avec eux.
20 Juin 2007, : La droite UMP a gagné les élections. Avec une moins forte majorité, mais elle a gagné quand même. Nouvelles convocations à la médecine du rectorat, en dehors des périodes scolaires, c'est à dire pendant les congés annuels pour que ma disparition de l'enseignement passe inaperçue.... Avec peut-être à la clef une mise au secret dans un hôpital psychiatrique comme dans l'Ex-URSS (les techniques dictatoriales qu'elles soient de droite ou de gauche sont toujours les mêmes). Le goulag ? Qui sait ... dans lycée où j'ai travaillé dix ans, je voyais régulièrement disparâitre des collègues en cours d'année dont personne ne semblait se soucier, et quand on demandait où ils étaient , on répondait, ils doivent être malades... Donc, n'importe qui peut disparaître, n'est ce pas ? Heureusement que je suis mariée et que j'ai une famille, ce qui m'empêchera peut-être de disparaître à mon tour.
Les convocations à la médecine du rectorat ont été envoyée la veille des commissions paritaires des mutations intra-académiques , ce qui m'a peut-être empêché d'avoir le poste en lycée espéré.
20 juin 2007, on essaie de me faire craquer en me convoquant à la médecine du rectorat. Ceci le jour des commissions paritaires de mutation. Un syndicat m'a annoncé que je n'en avais pas.
Résultat : dès que je vais dormir, je pleure, je pleure, je pleure, si fort que je suis obligée de fermer la fenêtre pour que les voisins ne m'entendent pas. Pour que les voisins ne m'entendent pas pleurer à cause de la convocation à la médecine du rectorat (avant de recevoir ces lettres harceleuses de la médecine du rectorat, je ne pleurai pas), pour que les voisins ne m'entendent pas mon mari souffle très fort : "Chut, chut". Je n'ai jamais pu pleurer à chaudes larmes quand on me fait des crasseries à cause des voisins. Au collège je ne peux pas pleurer quand je reçois cette lettre harceleuse de la médecine du rectorat (la preuve que c'est bien du harcèlement, c'est qu'ils me convoquent pendant les vacances), à cause des élèves et des collègues rapporteurs : "C'est bien la preuve qu'elle est malade, puisqu'elle pleure!" Je pleure à cause de vous, médecine du rectorat, c'est vous médecins du rectorat qui me rendez malade. Les médecins qui rendent malade, les sbires de l'UMP et du recteur !!!!!
A cause de vous, les médecins du rectorat que ma convocation soit en juillet (fin de l'année scolaire, le 4 juillet à midi, vous m'avez convoquée le 6, je serai partie en vacances ! ) ou en septembre, à cause de vous les médecins qui rendent malades, je vais passer des vacances atroces, deux mois atroces à pleurer toutes les nuits à me demander ce que je vais devenir après le congé, s'ils me mettent en congé.
Je sais : il n'y a plus un poste de TZR vacant sur ma zone de remplacement. Certaines personnes qui ont des mesures de cartes scolaires voulaient y être nommées. Certaines personnes proches de l'UMP et des syndicats de droite. Un bon moyen : mettre Mme domino en CLD pour qu'elle perde son poste qui n'est qu'une zone de remplacement, mais en allemand les postes sont chers, et le harcèlement sur les professeurs en poste, même sur une zone de remplacement est terrible. Ils ont aussi beaucoup, trop de néo-titulaires à placer en provenance d'autres académies, qui traditionellement viennent dans la nôtre qui était jadis déficitaire en professeurs d'allemand, mais est aujourd'hui très excédentaires en professeurs d'allemand. Il y a sur environ 900 professeurs titulaires d'allemand, 100 TZR. Et chaque année 30 nouveaux profs d'allemand arrivent en provenance d'autres académies dans notre académie où ils viennetn gonfler le flot des TZR.
J'ai déjà écrit il y a plusieurs années à plusieurs syndicats, qu'il fallait arrêter de recruter néo-certifiés et agrégés en provenance d'autres académies; qu'ils soient TZR chez eux ou ici, c'est du pareil au même. Ils préfèreraient rester au pays. Alors pourquoi les inviter chez nous, à prendre nos postes. Dans deux ans, ils auront contrairement à moi un poste fixe, dans trois ans une mesure de carte scolaire, dans quatre ans seront en concurrence avec moi pour un poste fixe et gagneront avec leurs 1500 points de mesure de carte scolaire, eux qui n'ont pas demandé à venir dans le Nord, qui ne demandent pas un poste particulier, il seront nommés sur le poste que je demande depuis 10 ans en écrivant "Tout poste dans le département".
Ce que je prévois malheureusement pour moi, ce qui me fait hurler maintenant : médecine du rectorat : CLD, perte de ma zone de remplacement, reprise un an plus tard sur une zone de remplacement située à 200 km de mon poste d'origine (l'académie fait 250 km en diagonale). Je vous ai déjà expliqué qu'à cause de ma mise à pied décrétée par la médecine du rectorat il y a cinq ans (gouvernement RPR), mes conditions de travail se sont franchement dégradées. Passage d'un lyvée relativement tranquille à 15 km à des rattachements situés à 20 km et à 35 km de chez moi, avec des suplléances en collège REP, zone prévention violence, CDI, etc...
Prévu pour dans 1 an : nette dégradation des conditions de travail avec à cause de la perte de ma ZR actuelle due au CLD que m'octroiera en sanction pour avoir dit à ma principale que sa supériorité hierarchique ne valait rien à mes yeux la médecine du rectorat, 500 km AR à faire par jour pour une ville située en bord de mer (Les lois sur le domicile conjugal n'autorisent pas les époux à être séparés de corps pour le travail. Celui dont la femme travaille au loin et ne revient pas le soir est en droit de demander le divorce, c'est arrivé à beaucoup de collègue que je connais). Au bout de 33 ans de mariage, ce serait lamentable. Quand on était jeunes mariés durant les trois premières années on se rencontrait dans les escaliers des appartements, je revenais quand il partait et vice-versa. On était ensemble que le dimanche ! La galère des débuts de carrière revient en fin de carrière.
Et je sais bien que vous tous, tout comme pour mes collègues, mes petites histoires de médecine du rectorat à la solde du RPR qui me font pleurer toute la nuit, me feront pleurer pendant toutes les vacances, alors que j'aurais pu, s'ils ne m'avaient pas convoquée, passer des vacances reposantes et semi-heureuses, et que à cause d'eux je vais pleurer toutes les vacances, à cause des médecins tueurs du rectorat.
Et pour que la femme médecin du rectorat ne vienne pas me harceler chez moi,comme elle me l'avait promis en 2002 (cela constituerait une violation de domicile) je déménage dès que possible sur une location inconnue de tous (sans vendre notre maison pour la garder pour plus tard).
Et qu'ils ne viennent pas dire qu'ils viennent vérifier un congé maladie : je n'ai manqué de toute l'année qu'une semaine en mai, pendant laquelle il y avait des jours fériés et j'ai rattrapé toutes mes heures. Je ne suis actuellement pas en congé maladie, mais libérée parce tout le collège est fermé pour cause d'examens (brevet).
domino
02:00 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral médecine du rectorat
mercredi, 06 juin 2007
Analogies
- Vous vous souvenez que pour l'agrégation externe, j'avais trouvé quelques anomalies dans les noms, en particulier, alors que sur HAUT et FORT l'affaire du faux Evariste battait son plein, on a vu une candidate porter comme deuxième prénom Evariste. Pour une candidate au féminin, c'est un fait exceptionnel.
Voici quelques anomalies remarquées dans la liste des admissibles de l'agrrégation externe :
- une candidate qui porte comme premier prénom le nom d'une chanteuse Star Ac, a les mêmes deuxième et troisièmes prénoms que moi, des prénoms qui datent de la génération de mes grands-parents qui sont les arrière arrière grands-parents des jeunes actuels;
- Deux admissibles portent le nom de famille de professeurs d'allemand de mon université, des noms quand même assez rares,
- Une allemande porte le nom de famille d'un responsable d'un jumelage dont je fais partie coté allemand.
Bizarre bizarre, qui dit mieux que bizarre?
domino
P.S. Maintenant, il se peut autre chose. Comme toute femme mariée, j'ai deux noms. Je suis connue comme professeur dans mon académie sous mon nom marital, et je concours sous mon nom de jeune fille (avec mon marital précisé en filigranes et il ne figure jamais sur les listes). Comme je déclare comme profession "professeur certifié", le grade de bi-admissible étant une catégorie de certifiés, on me cherche peut-être dans mon académie sous mon nom de jeune fille (rare et aucun autre professeur que moi ne possède ce nom dans toute la France, car nous ne sommes que ma famille proche à porter ce nom, et il n'y a pour le moment pas d'autres enseignants dans ma famille (de mon coté, mon époux est aussi enseignement)).Quand le ministère demande à mon académie, Mme domino (nom de jeune fille) est-elle professeur certifiée chez vous? On répond : Madame domino (nom de jeune fille). Connais pas. Alors que si l'on demandait Mme domino (nom marital). ALors on répondrait Mme (domino) nom marital ? Ah: Oui! Elle est connue, on la connaît très bien. Comme je vous l'ai dit dans un autre article, quand je faisais partie des jurys de BTS, j'étais régulièrement reçue au centre des examens du rectorat et on m'offrait le petit café à moi et à mes trois collègues au milieu des commissions de BTS. C'était la personne qui signe les convocations d'agrégation (écrit) qui nous l'offrait. Et donc la personne qui est censée vérifier les conditions de concours.
Comme on répond : Madame domino (nom de jeune fille), connais pas ! On se dit alors, fausse déclaration et on baisse les notes données par les jurys pour que je ne sois pas admissible, et pour que de cette façon , au cas où je serais réellement professeur certifié -comme je l'ai déclaré- je ne doive pas passer devant une juridiction professionnelle. Car je suis réellement professeur certifiée (bi-admissible est-il précisé sur mes papiers à coté de certifié).
Bon, aujourd'hui je vais aller travailler et continuer à rattraper les quelques heures qui me restent à rattraper à propos de la semaine où j'ai été absente à cause d'un rouleau de paper-board. Et cette exposition risque de réellement se faire pour la journée porte ouverte, puisque je vais avoir le temps de m'en occuper vu que je ne passe pas l'oral.
00:00 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral
jeudi, 15 mars 2007
Les hommes gris de la future dictature.
Non, ce n'est pas un i-grimoire à deux voix. La personne de 56 ans qui vous parle maintenant, c'est la même personne que celle qui ci-dessous vous parle de ses études.
J'ai presque 56 ans et vous savez comme je vous l'ai déjà dit que pour avoir les quarante ans et deux trimestres d'ancienneté de fonctionnaire que selon mon âge je dois avoir pour bénéficier d'une retraite de fonctionnaire complète, itravailler jusqu'à 65 ans au minimun et ceci à temps complet. Si j'arrête de travailler à 60 ans la retraite que je percevrai serait trop faible pour subvenir à mes besoins quotidiens et au quelques besoins culturels que j'aurais alors.
C'est aussi pourquoi, je cherche absolument à avoir l'agrégation, sinon, je n'aurais jusquà l'âge de 65 ans plus qu'un seul échelon de promotion devant moi.
Mais là n'est pas le thème de mon propos d'aujourd'hui.
Le thème d'aujourd'hui concerne "Les hommes gris", comme ceux du pianiste d'Andreî Makine (ils se sont trompés pour le prix Nobel de littérature, c'était lui qui devait l'avoir et pas Elfriede Jelinek). Pour Andreï Makine, ces hommes gris étaient ceux du révisionisme soviétique pour parler comme Radio Tirana à une époque. J'ai encore le petite musique en tête du début des informations en français et en allemand, ça nous amusait d'écouter Radio Tirana.
Mais les hommes gris de la dictature de droite et d'extrême droite qui pourrait s'établir en France (quand on voit le harcèlement moral dont je suis victime, on sait que c'est déjà fait et qu'ils emploient les techniques de la torture psychologique, nommée aussi harcèlement moral et du Berufsverbot). Mais les hommes gris de ces dictatures de droite ou de gauche ont le même style. Le visage fermé, le regard méprisant. Ils sont habillés BCBG. Ont des cravates pour les hommes, des tailleurs jupes courtes pour les dames.
Voilà les hommes et les femmes grises, je les ai rencontrés dans le train aujourd'hui. Moi, une femme de 56 ans, la plus âgée sans doute de tout le wagon, j'arrive dans un train bondé par les gens qui reviennent du bureau. Comme les profs de l'université ne savaient pas que je n'avais pas didactique, ils n'étaient pas là et j'ai pris un train plus tôt que d'habitude, pas celui des étudiants et des profs de lycée qui générallement finissent vers 6h, mais celui des secrétaires et des hommes d'affaires qui finissent leur boulot à 5 heures.
Alors en tant que femme la plus veille de tout le wagon, je n'ai eu droit à aucun égard. Les sièges étaient tous pris, les strapontins aussi, même ceux du couloir. Des jeunes gens y étaient assis, mais ils n'avaient pas du tout l'intention de céder leurs places.
J'avais deux solutions : rester debout, en tant que seule personne debout, ou m'assoir sur l'escalier qui monte à l'étage du train. Comme j'étais quelque peu fatiguée par la nouvelle que je venais d'apprendre, mon échec total à l'agrégation interne alors que j'y ai été admissible deux fois, je choisissais la siolution de m'asseoir sur l'escalier, tout en laissant un passage sur ma gauche pour que des gens d'une taille et d'un poids plus normal que le mien puisssent y accéder.Voilà que le train s'arrête dans une gare. Un ou deux passagers sveltes passent sur ma gauche, mais voilà le tour d'une dame, qui, ostentiblement, elle, s'arrête derrière moi, attendant que je me lève moi-même pour la laisser passer. Je mets un certain temps à me relever, m'aggripant comme je peux à la rampe. La dame alors dégage rapidement sur le coté, me jetant un regard de mépris, comme j'en ai rarement vu. Puis une cohorte de secrétaires à jupes courtes pour ne pas dire mini, et une cohorte d'hommes d'affaires BCBG d'une petite quarantaine, passent, le nez haut, devant moi. Lançant à cette presque va-nus-pieds que je suis, des regards de mépris et de dérangement.
Ce sont eux les hommes gris, je les vois dans une vie future, sous une dictature, pas en URSS mais en France des années 2000, voter pour mon euthanasie par rapport à mon aspect physique et non par rapport à tout ce que je peux encore apporter au monde : mon plurilinguisme (acquis, 5 langues), ma culture, ma musique, mon chant, mon écriture... Ils ne savent pas quand ils passent à coté de moi, tout ce que je vaux, ils s'imagine avoir affaire à une mère de 10 enfants usée par ses enfants et par son époux, tout juste bonne à faire la popote, le ménage, la lessive, le repassage. Tout cela aussi, je sais le faire, mais je suis beaucoup plus que cela, et les visages gris de la future dictature me jettent à moi la bi-admissible à l'agrégation (pas tri-admissible, hélas!), eux les petites secrétaires qui n'ont que leurs touches d'ordinateur en tête, les lettres aux diverses entreprises partenaires ou concurrentes, à écrire, eux les hommes d'affaires affairés, ils ne savent que manipuler les chiffres, le Cack 50, la bourse de Paris, de New York, de Londres, de Tokio, et jettent des regards de haine et de mépris à dame Culture que je représente.
Eux, les hommes gris de demain qu, euthanaront la Culture, la Musique, le Chant, parce qu'is ne sauront reconnaître en une personne qui ne paie pas de mine, les potientialités, les savoir-faire et les acquis, accumulés pendant des années d'enseignement, et de temps pa"r à se cultiver soi-même.
domino
23:35 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : société, avenir
mardi, 27 février 2007
1500 Euros ?
1500 Euros titre Yahoo en grand, quand je l'allume, le minimum vital (pour une personne). Je n'ai rien contre. On pense toujours aux chômeurs. Mais moi, j'ai trimé presque sans interruption depuis l'âge de 22 ans et à 56 ans, je me demande de quoi sera faite ma retraite et j'envisage de travailler jusqu'à 65 ans pour avoir une retraite correcte, c'est à dire presque complète.
J'ai du calculer que ma retraite de prof bi-admissible à l'agrégation, si j'arrête de travailler à 60 ans pour faire de la place aux jeunes devrait culminer entre 800 et 900 euros sans retraite complémentaire. Ce qui veut dire, que ayant trimé presque toute ma vie, si on inclue des études qui ne sont pas des plus faciles, je n'aurai même pas, étant âgée, le minimum vital par personne, et mon mari aura encore moins que moi, sans avoir jamais arrété de travailler.
Le minimum vital pour une personne, on l'atteindra à deux personnes, donc on aura la moitié du minimum vital chacun.
Après avoir trimé toute notre vie. Avec parfois en période de bulletins des pointes à 105 heures par semaine, car je fais partie des professeurs qui ne comptent pas la peine qu'il se donnent pour les élèves. Le minimum quand je travaillais en lycée et BTS était de 70 heures par semaine.
Et je n'aurai pas d'enfants pour m"aider à m'offiir un séjour dans une maison de retraite.... Parce que quand on fait ce métier là, si on met des enfants au monde, on n'a pas le temps de s'en occuper. D'ailleurs, il y a de plus en plus d'enfants de profs qui posent des problèmes à leurs parents. C'est pour cela qu'on a pas eu d'enfants.
Si je n'ai pas d'enfants pour m'offrir un séjour dans une maison de retratie tant mieux. Au moins je resterai chez moi. Et personne ne décidera pour nous ce que nous avons à faire.
domino
13:35 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : retraite, minimum vital
mercredi, 29 novembre 2006
Femmes mariées portant votre nom marital : ne songez jamais à réussir l'agrégation interne !
Je suis connue dans mon académie où je travaille depuis toujours, uniquement sous mon nom marital. Mon nom de jeune fille ne figure qu'en tout petit sur une seule page de mon dossier électronique i-prof (données personnelles).
Mais c'est bien sour son nom de jeune fille que l'on passe les concours internes.
Aucun problème pour s'inscrire à l'agrégation externe ; votre nom de jeune fille et votre maîtrise suffisent. Mais on vous dira - et bien que les textes de loi ont supprimé toute limite d'âge à cette agrégation - lorsque vous passerez l'oral comme on l'a dit à une de mes camarades de formation, que même si vous êtes du niveau, on ne vous donnera jamais l'externe parce que vous êtes trop veille.
PAr contre pour l'interne, c'est une autre paire de manche :
Normalement, si vous avez fait vos deux premières étapes d'inscription électronique, inscription et pré-inscription, on vous demande de remplir en décembre -troisième étape de l'inscription - vos états de services, etc... rien de bien compliqué.
Seulement , cette année, bien qu'ayant effectué mes deux premières étapes en bonne et due forme, pas de troixième étape en perspective, je n'ai pas reçu la liste des pièces à fournir et le bordereau à signer en même temps que les autres.
Comprenez vous ?
Pour le rectorat, étant mariée lorsque j'ai eu mon CAPES, j'ai travaillé 25 ans comme Madame (nom marital- tiret- nom de jeune fille).
Puis on a omis depuis plusieurs années de mettre mon nom de jeune fille derrière le tiret, si bien que professionellement je suis devenue Mme (nom marital uniquement).
Pour le service des examens et concours je suis Mme (nom de jeune fille) suivie en tout petit (lorsqu'on ne l'oublie pas) de épouse (nom marital).
Donc, quand le service des examens téléphone au collège que j'ai déclaré comme étant mon collège d'exercice (qui s'affiche automatiquement sur l'ordinateur quans je m'inscris), demandant si Mme (nom de jeune fille) remplit bien les conditions pour l'agrégation interne, on leur répond Mme (mon nom de jeune fille, moins 1 syllabe) est PEGC d'anglais.
Elle n'a pas son CAPES ? Boum, pas de troisième phase d'inscription, elle n'est pas assez diplomée.
Et pourtant moi, Mme (nom marital seul connu du rectorat ) + (nom de jeune fille avec une syllabe en plus que celui de ma collège d'anglais), je remplis tout à fait les conditions de titres et de diplômes et même quadruplement :
- maîtrise (sous mon nom de jeune fille),
- CAPES complet (avec le stage),(sous nom marital, née nom de jeune fille)
- certifiée (titre requis),(sous mon nom marital uniquement (nom sous lequel j'enseigne).
- bi-admissible à l'agrégation (titre preque trop élevé).(sous mon nom de jeune fille sur les certificats d'admissiblilité), nom marital sur le reclassement, nom maritel née nom de jeun e fille en tout petit sur la "titularisation" (bizarre, car j'atais dejà titulaire avant de passer bi-admissible).
Mais la personne qui a regardé mon dossier électronique d'inscription, a compris : Mme '(mon nom de jeune fille), prétend être au collège UNTEL, mais en fait c'est Mme (Mon nom marital) qui est prof là-bas, a répondu le téléphone. Usurpation! Mon nom de jeune fille ayant usurpé pour le concours La place de mon nom marital. Facteur d'élimination avant la troisième phase de l'inscription... Et mon nom de jeune fille, le seul possible pour m'inscrire à l'agrégation INTERNE, n'étant répertorié au rectorat que de façon très peu visible, je n'ai pas reçu les papiers pour faire cette troisième phase. En effet, tout laisse penser que Mme (mon nom de jeune fille) n'aurait jamais été professeur (sauf une année à ses débuts, au début des années 70, mais c'était avant le CAPES.
Après avoir travaillé pendant 10 ans dans le même lycée sous le nom (nom marital-tiret-nom de jeune fille), j'ai été nommée comme TZR sous (tenez-vous bien, ceci après 30 ans de mariage et de fidélité) Mlle (nom marital).
A l'oral, même topo :
Le ministère recherche si vous remplissez bien les conditions avant de vous déclarer admis, il téléphone au rectorat de REGION Où J'HABITE et il demande : "Mme (nom de jeune fille) est bien prof dans votre académie. Et on lui répond : "Madame (nom d ejeune fille) inconnue au bataillon de cette académie. Bon très bien, alors, ne la recevons pas ! Et Mme (nom marital) de continuer son petit bonhomme de chemin de professeur sous Mme (nom marital). Pas d'agrégation en vue, à cause simplement du fait d'avoir deux noms !
Mais il y a encore pire que pour moi :
Imaginez le cas d'une femme marié ou veuve et remariée 2 fois.
CAPES obtenu sous NOM MARITAL TIRET NOM DE JEUNE FILLE dans les années 70.
Enseignement titulaire pendant 10 ans sous nom marital n° 1.
Enseignement titulaire pendant 4 ans sous nom de jeune fille.
Enseignement titulaire sous nom marital n°2. Inscription à l'agrég interne sous nom de jeune fille, épouse deuxième nom marital,
Papiers fournis : CAPEs 1er nom marital : FAUX.
Années d'enseignement : 1er + 2 ème nom marital : faux
Il ne reste comme ancienneté que les 4 ans que la dame a fait sous son nom de jeune fille. Insuffisant.
domino
02:20 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : enseignement, inepties bureauxcratiques.
lundi, 28 août 2006
Pas de nouvelles (2)
Attention : cette note n'est pas terminée... (en relecture)
Je vous rappelle qu'un blog est un journal personnel et qu'il ne doit pas être considéré par l'administration comme un écrit officiel disant "Je veux ceci ou celà". Le fait que le personnel est l'officiel soit mélé ne dénote pas un manque de cohérence chez un auteur qui épanche ses sentiments. Si un rectorat ou un ministère découvrant mon identité me dit dans 10 ans, mais là vous avez écrit que..., je saurai lui en faire la remarque...
Vous savez que je n'ai toujours pas de nouvelles de mon rattachement (il ne s'agit même pas de mon affectation sur une suppléance puisque les affectations peuvent même être données en cours d'année et du moment que vous avez fait votre pré-rentrée, on vous dit soit "Faites ce que vous voulez dans le lycée", soit rentrez chez vous et attendez qu'on vous téléphone ou qu'on vous envoie un avis d'affectation , c'est selon les proviseurs) , je suis titulaire de zone de remplacement (la même depuis 3 ans et pour cette quatrième année consécutive puisque je n'arrive pas à reprendre le poste fixe que j'ai occupé pendant 10 ans comme titulaire certifiée du poste, poste qui est dans ma zone de remplacement).
Rappel : je suis prof d'allemand, Titulaire en Zone de Remplacement, Titulaire du CAPES externe et de deux admissibilités à l'agrégation, donc officiellement bi-admissible à l'agrégation, ancien jury de BTS, ancien membre de commissions de choix de sujets de BTS et ceci pendant 8 ans. J'ai une cinquantaine bien sonnée, mais comme les fonctionnaires ont été mis pour la retraite au même rang que les autres, je dois 40 ans et 2 trimestres de services à mon ministère. Pour avoir toutes mes années, il faut que je travaille à temps complet jusqu'à passé 65 ans.
On a téléphoné tout à l'heure au rectorat, j'ai fait téléphoné par mon époux, car je sais que j'aurai une fin de non-recevoir, et au moins cela leur montre qu'il y a un témoin téléphonique :
Il a posé la question suivante (à mon avis erronée) :
"Est-ce que je peux être mis en relation avec le service des affectations?"
Je lui ai crié de loin que j'étais déjà affectée depuis 3 ans (cela va faire la quatrième année) sur la zone de remplacement et qu'il devait dire "chargé des rattachements".
Il n'a pas eu le temps de rectifier, on lui a répondu :
"Quel est votre nom?"
Il a dit :
Je l'avais prévenu : "Quand tu téléphones au rectorat, ne dis surtout pas mon nom, sinon on te raccrochera au nez ou on ne te donnera pas le bon service".
"Monsieur "domino" " (pas domino, bien sûr, vous comprenez que je ne peux pas dire mon vrai nom marital, connu à 50 km à la ronde, ici, car de par notre activité de professeur et nos activités associatives, jumelages, mes anciennes activités musicales amateur,- je n'en ai plus car on me les a reprochées - etc.. nous sommes connus à au moins 40 km à la ronde).
On lui a répondu :
"Dans quelle matière?"
Mais bon sang, je lui avais demandé de demander si les rattachements de TZR étaient déjà faits (d'habitude je reçois le papier à la mi-juillet), mais il n'y a décidément pas moyen de rester anonyme quand on téléphone au rectorat. Moi, j'aurais été sèche, j'aurais dit "Je vous donnerai mon nom après, quand je saurai si oui ou non, les rattachements administratifs des TZR on déjà été faits".
La personne au téléphone a dit :
"Je vais vous donner le service concerné"
Dring, dring, dring fait le service, je me demande pourquoi on n'entend plus le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi que le rectorat diffusait à qui mieux mieux jusqu'à cette année. Est-ce que mon époux téléphone au bon endroit ? Est-ce qu'on a pas redirigé le coup de téléphone. J'ai vu un jour quelqu'un monter à un mur vers des fils dans la rue, c'était peut-être seulement pour l'ADSL...
Dring, dring, fait le service, dring, dring , inlassablement, pendant 10 minutes, pas de Vivaldi. Pas de réponse non plus.
Je dis à mon époux, tu as fait une erreur, il fallait demander s'ils avaient déjà fait les rattachements sur les zones de remplacements.
Il y a une différence entre un rattachement administratif qui me permettra d'avoir mon salaire en continu à partir de septembre, dans quelques jours, (et que je nai plus à partir du premier septembre) , car c'est l'intendant du lycée ou collège de rattachement qui fait le salaire, et une affectation en zone de remplacement (qui elle, est définitive, c'est à dire ne peut être changée qu'à votre demande par demande officielle de mutation faite lors de la phase intra-académique), que j'ai déjà depuis quatre ans).
L'affectation en suppléance vient après et peut même venir après quelques mois; en attendant, selon votre proviseur, soit que l'on vous renvoie chez vous en disant, "attendez une suppléance", à ce moment-là vous vous sentez même si vous êtes titulaire, psychologiquement, comme une personne au chômage, " -, soit que l'on vous donne carte blanche pour faire ce que vous voulez dans le lycée. C'est ainsi que j'ai fait pendant 2 ans un Centre de Ressources d'Allemand, qui coûtait trop cher à l'établissement bien que j'amenais de chez moi quasiment tout le matériel (classeurs, intercalaires, pochettes plastiques transparentes, rames de papier pour l'imprimante. Comme en fin de journée je remettais dans mon cartable le matériel amené de chez moi, payé par moi-même dont je ne m'étais pas servie, ils ont insinué que j'étais une voleuse).
N.B. Le Centre de Ressources Electronique mis en lien ici n'a jamais été fait au nom du rectorat, mais en mon nom personnel, et chez moi ; à un moment, ils proposaient au lycée de mettre le logo du lycée (de rattachement) sur nos sites; sur nos blogs, pourquoi pas, le rectorat va se déclarer auteur de nos blogs à notre place ? On n'arrête pas le progrès ! Qu'ils ne m'en demandent pas les clefs, j'ai 10 blogs perso sur le même profil que mon Centre de Ressources d'allemand électronique et sous les mêmes clefs.
Je sais que dans un autre établissement un collègue qui était titulaire remplaçant, dans une autre matière, avait été accusé sans preuves ni poursuites officielles d'avoir volé au CDI. C'était de la médisance. Après mon inspection, je l'avais d'ailleurs écrit au rectorat, et ils ont employé ensuite contre moi, toutes les pratiques de harcèlement moral qu'on avait employé contre lui ou presque, pratiques que j'avais dénoncées.
Après cette parenthèse, résumé :
Quand vous êtes TZR - titulaire en zone de remplacement - (avant on disait Titulaire Remplaçant"), il y a trois choses différentes :
1) Vous êtes affecté à titre définitif sur une zone de remplacement (comme moi, actuellement), (possibilités de sortie : demande de mutation annuelle intra-académique si vous êtes dans votre académie d'origine comme moi, et que vous n'avez pas envie d'en changer parce que vous êtes propriétaire de votre domicile conjugal et vous seriez en perte fianancière, si vous deviez découcher pour aller travailler en payant un loyer ailleurs et qu'il n'a pas moyen quand vous êtes quinquagénaire d'obtenir de nouveaux crédits pour acheter un logement forcément plus cher qu'il y a dix-sept ans).
Parenthèse :
Quand vous n'avez pas encore d'affectation en suppléance et que les profs d'université qui font cours pour l'agrégation interne vont dire au jury que vous n'avez pas de poste, ça vous hérisse le poil, parce qu'une affectation sur zone de remplacement est un poste aussi digne qu'une affectation sur poste-établissement. Quand ces profs qui ont été eux-mêmes profs de secondaire vous demandent toutes les semaines "Vous n'avez pas encore de poste?", ça vous hérisse encore plus le poil , parce que nommé en zone de remplacement, vous avez un poste, une zone de remplacement est un poste. Et cela dénote un manque total de conaissance des conditions pour passer le concours d'agrégation interne "Etre ou avoir été fonctionnaire et avoir accompli 5 ans de services publics dans sa carrière, quelquesoit le moment où ils ont été accomplis". Elles ne sont pas les mêmes que pour le CAPES interne ou spécifique, etc....
2) En deuxième lieu, vous êtes rattachés à un collège ou à un lycée (ou à un LP pour les PLP-TZR, ce sont les titulaires des lycées professionnels), je suis TZR certifiée bi-admissible à l'agrégation, un grade au dessus de certifiée de classe normale, et juste avant la Hors-Classe. Donc, rattachable à des lycées ou collèges, mais plutôt à des lycées classiques ou polyvalents dans la mesure où je suis bi-admissible à l'agrégation, et où j'ai fait pendant 10 ans partie des commissions de BTS, etc... C''est l'intendant du lycée de rattachement ou l'agent comptable du collège de rattachement qui fait votre salaire (selon votre grade et votre échelon quand même!) (et non pas celui de votre lycée ou collège d'affectation), c'est le proviseur ou le principal de rattachement qui fait votre note administative. c'est votre lycée de rattachement qui gère tout le courrier qui vous vient du rectorat et si le collège d'affectation en suppléance vous fait signer des papiers carrières autre que votre affectation en suppléance elle-même, les papiers concernant une demande de mutation par exemple doivent être signés dans votre lycée de rattachement et pas dans votre établissement d'affectation s'il est différent. Vos arrêts-maladie doivent être envoyés dans l'établissement de rattachement avec à la rigueur une piqûre de rappel pour l'établissement d'affectation -une photocopie par exemple -, cela m'a sauvé il y a deux ans et demi alors que mon collège de suppléance avait prétendu ne pas recevoir mon arrêt maladie de quelques jours (je lui en avais envoyé un double). Heureusement que le lycée de rattachement avait été honnête et avait fait parvenir les papiers au rectorat. Si tout se passe bien sur vos suppléances, il ne reçoit aucune information et met l'appréciation de l'année précédente, si vous avez une classe sur six qui ne marche pas, ou un parent d'élève qui râle parce que votre méthode est différente de celle du collègue que vous remplacez (même si elle est plus proche de ce qu'exigent les inspecteurs), votre collège ou lycée d'affectation fera un rapport sur vous pour votre proviseur de rattachement et votre appréciation empirera. Si vous faites une demande de révision de l'appréciation, vous recevez un papier "Votre demande est irrecevable".
3) En troisième lieu, vous êtes affecté sur une suppléance, c'est là que ça se complique, car selon les années, les secrétaires du rectorat qui font votre affectation et ne connaissent pas votre statut, vous recevez des avis et des arrêtés d'affectation qui sont mal rédigés, qui ne comportent pas votre nom de naissance (gênant quand vous avez des homonymes de votre nom marital) et aussi des avis d'affectation dans d'autres matières ou comme CPE, refusez les, si vous êtes bi-admissibles à l'agrégation ou agrégés, c'est que vous êtes de grands spécialistes de votre matière. Ce n'est pas pour rester dans un bureau à répertorier les absences de la moitié d'un lycée. Quand j'ai été nommée TZR, je pouvais choisir entre des remplacements de longue et de courte durée... j'ai choisi des remplacements de courte durée (de 3 semaines à 6 mois), en pensant en avoir beaucoup, qu'ils allaient être variés et connaître de nombreux établissements interessants où je serais bien accueillie, pour l'accueil cela dépend, il y a des endroits où ça se pose là...). J'ai été déçue, la première année j'ai eu une suppléance de cinq mois dans un collège pour remplacer une colègue de 40 ans qui allait avoir et a eu un bébé. Donc, dix ans plus jeune que moi, et certifiée par concours interne (alors que 'j'étais certifiée par concours externe et une fois -maintenant deux fois - admissible à l'agrégation interne. donc, moins gradée mais mieux considérée que moi, car j'étais deux ans auparavant jury de BTS (enseignement supérieur +2) depuis 8 ans (je relève toutes les incohérences administratives).
Je trouve que lorsque l'on fait une suppléance les principaux et proviseurs devraient quand même faire taire les parents en disant à ceux-ci, c'est un professeur qui a été titulaire de postes fixes pendant plus de 20 ans, je n'avais pas commis de faute professionnelle, donc, il n'y avait pas de raison de me laisser enfoncer par des parents localement influents dès ma première suppléance de TZR. Il y a des professeurs -surtout en allemand- qui se retrouvent TZR par suppression budgétaire de leur poste alors qu'ils ont été titulaire d'un poste lycée et "pilier de lycée" pendant des années. Lorsque je suis arrivée pour la première fois dans mon lycée de rattachement une collègue que j'avais eu auparavant sur poste fixe dans le lycée où je suis restée 10 ans a ouvert des grands yeux :"Mais, comment, tu es devenue remplaçante, toi un pilier du lycée "truc-chose?". Et des anciens élèves m'ont dit :"Mais, vous êtes devenue remplaçante, mais vous n'étiez pas titulaire?" parce que qui croient que tous les remplaçants sont auxiliaires. Et même de jeunes collègues qui ont eu la chance d'avoir un poste établissement dès leur première nomination de titulaire aussi... comme moi dans les années 70. C'est aussi peut-être pour cela qu'ils ont essayé de me faire partir dans une autre académie, alors que je suis née et que j'ai fait mes études dans cette académie jadis déficitaire en profs d'allemand. Pour qu'on ne puisse plus s'étonner du fait qu'une ancienne titulaire, qui est en réalité une vraie titulaire puisse être reconnue par ses anciens élèves et collègues comme une ancienne bonne prof et un ancien pilier de lycée (qui n'a rien à voir avec un pilier de bistrot, rassurez-vous, je suis anti-alcoolique et je n'ai pas consommé une seule goutte d'alcool deuis l'âge de 18 ans, par oposition à mon père, mais je l'en remercie... qu'il me sourie de sa tombe).
Voilà, après cette deuxième parenthèse, il paraît que dans mes dissertations d'agrégation, il y a de très nombreuses parenthèses, mais il n'y en a pas, je connais et j'applique très bien la technique de dissertation dans mes dissertations, mais cette réputation m'est due à mes écrits sur ma carrière, et non à mes dissertations.
Revenons à nos moutons...
Donc, comme le bureau appelé par la standardiste du rectorat, ne répondait pas, la standardiste est revenue au bout du fil... (il était environ 16h 20), celle-ci a dit, je vais vous donner le n° de téléphone de la personne qui s'occupe des afectations en allemand (mon époux avait dit affectation au lieu de rattachement), bla-bla-bla, je ne vais quand même pas vous donner son n° de Tel. sur INTERNET, quoique, vous pourriez faire le siège de son téléphone en disant "Et le rattachement de domino?"
Quand mon époux a raccroché, je lui ai dit qu'il s'était trompé entre le mot d'"affectation" et de "rattachement", comme la prof d'agrégation qui me hérissait le poil il y a deux ans.
Il a donc rappelé et après avoir appris la phrase presque par coeur (ça me fait penser au Da Vinci Code, mais ici, ce n'est pas un mensonge...) et a dit : "Je voudrais parler à la personne chargée des rattachements administratifs de TZR".
Même topo, pas moyen de rester anonyme dans ce rectorat, "De la part de qui? "(elle n'avait même pas reconnu sa voix), et "En quelle matière?". Pourtant le rattachement administratif ne dépend pas de la matière. et on ne peut pas parler de mauvaise répartition des TZR dans une zone, parce qu'il y en a plusieurs dans le même lycée, ils peuvent travailler dans des endroits différents, donc attendre la rentrée pour faire votre rattachement est abusif.
Bon, on continue... La dame dit "Je vais vous passer la personne chargée des rattachements..." Même topo ... Dring... Dring... Dring... Même pas le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi, qui est habituellement en musique d'attente au rectorat, que j'ai joué par le passé à la guitare, en duo avec une amie, l'ancienne femme de mon ancien prof de guitare que j'aime bien tous les deux, mais ils ne s'aiment plus entre eux. Pas le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi, est-ce vraiment le rectorat ou l'appel téléphonique de mon époux aurait-il été détourné ?
Retour sur le standard... Je vais vous donner le n° de la personne chargée de faire les rattachements administratifs. Il est 10 mn plus tard que tout à l'heure. Mon époux appelle le n° en question :"Dring, Dring, Dring, pas de réponse...
Il n'était pas encore 17 heures, donc, soit les personnes ont quitté leur bureau à l'avance, soit c'est une fin de non-recevoir, à quelqu'un qui par le passé (1995-2002) a rendu de nombreux services aux commissions d'examen du rectorat : c'est en particulier mon époux qui germanophone par sa mère prenait une grande part aux enregistrements de sujets oraux sur cassettes, pour la commission dont je faisais partie (avec l'aval de l'inspecteur d'alors).
S'il avait dit :"Je vous appelle de la part de tel syndicat", la personne aurait été là.
Je vais vous dire une chose, le harcèlement moral dont je suis victime, n'est pas du à des opinions politiques puisque comme je vous l'ai expliqué dans l'article "la politique à domino", j'estime que la politique ne devrait pas être une affaire de partis, mais de personnes (élues) vouées au bien de la cité ou de l'état.
(Affaire à suivre...)
domino
J'ai de nouveau un "keylogger" sur mon ordinateur, car je n'arrive plus à bien taper les "p", ma touche bloque. Je me demande où est l'utilité d'enlever le "p" dans cet article dans la mesure où le "p" ne sert pas pour écrire TZR. Le "keylogger" est toujours là, je le sens dans mes touches.... il a changé de touche, c'est le "m" qui est devenu tout mou, en tout cas, si le "keylogger" cherche un bon texte littéraire, celui-ci ne fera pas annale dans la littérature française ! A la rigueur pourra-t-il être considéré comme un article journalistique moyen, mais le journal intime est aussi un "genre littéraire". Ai-je supprimé le "keylogger", même pas, supprimer les fichiers temporaires Internet et les Cookies n'a pas suffit.. Je le sens toujours dans mes touches qui sont plus dures que d'habitude. J 'ai remis les "p" qui manquaient, quand c'est comme cela, il y en a qui vont mettre leur ordinateur en réparation...pas moi, j'arriverai à régler le problème.
Dans mon ancien lycée, celui où je suis restée dix ans, j'avais un collègue qui était agrégé et lorsque je suis devenue TZR, il me disait "Je ne comprends rien aux histoires de remplacement". Pourtant moi, je comprenais quand j'étais titulaire ce qu'était les titulaires remplaçants qui sont devenus TZR et les titulaires académiques qui n'existent plus. C'est peut-être à cause de sa grande intelligence d'agrégé qu'il ne comprenait pas, peut-être que quand je deviendrai agrégée je ne serai plus intelligente, mais il était apparemment d'extrême-droite. En tout cas, dès que je suis devenue TZR, il a voulu ignorer complètement ce qu'était les remplaçants les reléguant au statut d'auxiliaire (il y a des TZR agrégés).
Je vais relire pour remettre les "p" et autres lettres qui manquent encore....
Je sais que chez HAUT et FORT il y a beaucoup de professeurs et aussi des TZR et des auxiliaires, et je voudrais que ceux-ci m'indiquent en commentaire :
- S'ils sont auxiliaires, s'ils ont déjà leur rattachement administratif (je suis titulaire et je suis d'avis que ce n'est pas normal que des auxiliaires aient leurs rattachement avant leur collègues titulaires et je pense que les auxiliaires le pensent aussi).
- S'ils sont tzr, si leurs rattachements administratifs sont déjà faits. Pour voir si je passe après les autres...
- Qu'ils me précisent alors,
. s'ils sont nouvellement nommés dans l'académie, (les professeurs en poste depuis longtemps dans l'académie doivent à mon avis avoir leur rattachements administratifs avant les nouveaux surtout si'ils n'ont pas changé de zone).
. s'ils sont depuis longtemps dans la même zone de remplacement.
Idéez en vrac
De toute façon, j'ai l'impression que le rectorat retarde toujours le moment où il me donnera mon rattachement administratif, que en tant que titulaire je devrais avoir depuis le mois de Juin, et même depuis 3 ans (J'avais d'ailleurs eu un rattachement définitif, il y a trois ans qui a été transformé en rattachement provisoire) pour me déstabiliser avant la rentrée et m'empêcher de bien aborder celle-ci.
Et SURTOUT ne me rapprochez PAS de la MEDECINE PREVENTIVE DU RECTORAT ni de l'INFIRMERIE d'un LYCEE, ce sont des médecins du rectorat qui ont mis fin à ma carrière de jury de BTS, il y a 4 ans, en accord avec l'inspecteur, alors que le proviseur du lycée où je venais d'interroger les BTS était très content de mes interrogations.
Si à cette époque là, j'avais su que les blogs existaient, j'aurais pu écrire tout ce que j'ai ressenti du harcèlement MORAL dont j'ai été victime et les choses se seraient peut-être déroulées autrement, car certaines personnes qui agissent soi-disant pour aider les autres ou pour leur bien, auraient compris qu'ils agissent pour le malheur des autres.
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C'est pareil pour ma mère, en la persuadant qu'elle devait aller en maison de retraite parce qu'elle n'avait pas de mémoire (la mémoire du temps, attention, depuis que je lui ai appris à tenir un calendrier elle sait toujours mieux que moi quel jour on est !), mon frère et ma tante ont agi pour son bien et ma mère retourne à pied voir sa maison dont ils ont pris la clef (malheureusement je ne l'ai jamais eue) et va voir ses voisines. Ma mère n'est pas enfermée, elle est dans une maison de retraite et pas dans une maison de fou, là où mon frère voudrait bien l'enfermer.
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On ne peut pas me rattacher par exemple dans la zone de D. qui est à 170 km de la zone de M. - ... où j'ai mon poste zone (même si on peut me donner à la rigueur une suppléance courte là bas -avec logement en plus ? - bien que D. soit dans le même département, puisqu' on doit être rattaché dans sa zone, sinon, c'est ouvrir la porte à tous les abus, C'est peut-être bien quand on est jeune (avant l'âge de 40 ans environ).
Bien sûr, le nouveau recteur dira, qu'il a trois ans de plus que moi et que lui a changé de place souvent, mais il l'a fait pour avoir une promotion. Or, quitter une zone dans laquelle on a été pilier (sur poste établissement) du même lycée pendant 10 ans, pour faire des remplacements dans un collège de ZEP, quelle promotion ! Si on me nommait professeur des universités, alors pourquoi pas ?......
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(Au fur et à mesure que je me relis et que je corrige, il y a toujours de nouvelles fautes qu'y s'ajoutent : j'avais écrit à un endroit "j'aurais", une minute plus tard je regarde une deuxième fois, il est écrit "j'aurai", à un endroit où je viens de regarder, il est écrit "ont", je regarde une deuxième fois et je vois "on". Décidément les fantômes informatiques ont (avec un -t) de drôles d'idées...)
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......Je sais que on cherche toujours à me nuire à partir d'un souhait vaguement émis, d'un souhait en l'air, que je risque de recevoir d'ici peu un papier, vous êtes nommée à Tahiti professeur des universités ou rectrice, ben, oui, quoi, vous aviez écrit sur votre blog que.... un blog n'est pas un écrit officiel, M'Sieur l'ministre et mon mari certifié par liste, jamais admissible à l'agrégation, travaille sur poste fixe dans ma zone de remplacement actuelle.......
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(Cela fait une heure que je relis, et il y a toujours des fautes qui se mettent où il n'y en avait pas avant. Sur le traitement de texte de mon site, je n'ai que des lettres d'une taille minuscule, il n'y a pas moyen de changer la taille. Si je mets des lunettes pour voir de près, ça rend un écran déformé.)
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A propos des professeurs d'université, il y a ceux qui voient sur votre affectation (les listes à signer pour la préparation d'agrégation interne qui passe dans les rangs) LPO qui veut dire lycée polyvalent, et ils croient que vous êtes en LP (lycée professionnel) , il y a deux ans ils ont renvoyé un PLP de LP (lycée professionnel) inscrit à la formation en lui disant qu'il n'avait ni le niveau (peut-être aussi ni le statut requis) parce qu'il était PLP, or c'est faux, un PLP a le même statut qu'un certifié et peut se présenter à l'agrégation interne. A coté de mon nom était écrit LPO (lycée polyvalent, = classique et technique), ils ont du confondre avec LP, mais même si j'avais été PLP, ils auraient du m'accepter (Et oui, j'ai eu aussi des ennuis à l'université dans ma préparation d'agrégation interne il y a deux ans , et pourtant j'ai eté cette année-là la seule admissible de ceux qui suivaint assidûment la préparation à l'interne).
Mon inspecteur avait dit dans mon inspection du printemps 2002 "je vois l'avenir très noir pour vous..." . S'il m'avait laissée tranquille sur le même poste où j'étais depuis 10 ans, l'avenir aurait été rose pour moi, mais en me faisant partir de là, il a fait devenir mon avenir administratif noir, comme le tableau noir dont il parlait, et qui était vert... - Il y a certainement une symbolique là-dessous -, mais de toute façon mon inspecteur était voyant par rapport au malheur qu'il a provoqué ....
domino
17:50 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : enseignement, TZR