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mercredi, 18 février 2015

Retour mouvementé

Roman-théâtre

L'autre jour Doofie revenait d'un cours dans sa grande métropole régionale. Le cours finissait assez tardivement. Bon, Doofie prend le métro régional avec Schnelly, jusque là pas de problème. Doofie sort du métro, les surprise commencent dès larrivée dans la gare de grande métropole régionale. A l'entrée qui est sur le côté à cause des travaux, Schnelly lui demande son billet pour aller le composter pour elle. Doofie cherche dans son sac, pendant que Schnelly manifeste son impatience. Un contrôleur ou homme de la sécurité ferroviaire arrive vers eux, on ne sait plus trop, s'avance vers eux apparemment aimable et prêt à les aider :"Vous allez où, messieurs dames". Dans cette gare quasiment déserte par rapport à l'habitude à la même heure, la question a de quoi surprendre. Doofie se dit : "Quoi, il veut  nous aider à trouver notre train, ici, dés l'entrée de la gare?" Doofie en est surprise, on n'a jamais montré autant d'empressement à les aider; Bêtie,si, l'autre jour elle allait râter son train, le dernier de la journée, parce qu'elle n'arrivait plus à aller jusqu'à un quoi lointain avec des cannes, alors, on l'a mise sur une chaise roulante, un homme l'a poussé et même s'il n'a pas couru, Bêtie avait l'impression d'avancer à une vitesse vertigineuse, par rapport à sa vitesse de croisière pédstre habituelle,  et on l'a apportée jusqu'à la pote de son train. M ais ce n'était pas à l'entrée de la gare, Bêtie et Rapidy avait attendu l'affichage du quai du train pendant plus d'une demi-heure.

Mais ce soir-là, même si Doofie avait aussi mal dans le genou, on lui a seulement demandé où ils allaient. On prend le train dans 25 minutes a dit Schnelly, à telle heure,à la minute près. Bien, le quai sera prochainement affiché, a dit l'employé de la SNCF en prendant congé. 

Doofie voulait aller chercher une revue au kiosque à journeaux qui ressemble à une peite boutique avec une pote d'entrée. Trois soldats, dont une femme, avaient pris position autour de la porte, un de chaque côté tourné vers l'extérieur, tels de gardes et un autre avait pénétré à l'intérieur du magasin et est ressorti avant que Doofie y entre et les trois sont repartis. Justement que j'écrivais, il y a environ deux mois dans le roman,qu'on voyait moins de soldats et de policiers dans la gare qu'à l'époque de l'empereur Entrebout. Doofie est allée faire sa course. Elle a pris le train quelque temps plus tard et a bien dormi dans le train après avoir lu et travaillé un peu. L'heure était tardive et le sommeil commençait à envahir ses pauipères.A l'arrivée contraiement à Bêtie qu'on aide depuis qu'elle a ses bâtons, avec ses bâtons tout le monde s'écarte sur son passage, enfin, on ne la bouscule plus. Doofie ne savait pas bien marcher et Schnely avait mis son sac à dos sur son caddie et il descendit l'escalier du souterrain si difficilement,que Doofie l'atendit avant de monter l'escalier à l'autre bout. Elle était en bas de l'escalier, et regardait Schnelly qui replaçait ses sacs en ordre avant d'entamer la ligne droite et plate qui le séparait d'elle, quand Doofie sursauta un bon coup, ce qui lui fait faire un bon de côté mémorable : un énorme chien venait d'aboyer en haut de l'escalier, c'est celui-qui surveille la gare tarad dans la soitée avec son maître, il n'avait pas de muselière comme à l'accoutumée.  Le maître l'a retenu en arrière, car il manifestait une certaine agréssivité vis à vis de Doofie qui ne lui avait pourtant rien fait  à ce pauvre chien. C'est vrai qu'en ce moment,les chiens n'ont pas l'air d'aimer beaucoup Doofie, elle ne sait pas pourquoi.

C'est peut-être à cause des nouveaux droits des animaux que le chien n'a plus de muselière, mais à ce moment là, il faudrait qu'il respecte les droits humains, il faudra les lui apprendre!

Doofie a pris ses gants et son bonnet dans son sac, avant de remonter l'escalier tellement il faisait froid, plus froid qu'à grand métropole régionale, même si on n'est que 100 mètres plus haut et 100 km plus loin de la mer. Le chien et le gardien n'étaient plus là, pourrtant, le chien connait Doofie, il y a deux ans, quand elel revenait de ses cours, elle attendait souvent Schnelly qui rentrait parfois tardivement, vers 9 heures du soir. le gardien était souvent là avec son chien qui gardait sa muselière et n'aboyait pas après Doofie qui attendait en corrigeant ses copies assise sur une chaise en fil de fer jaune qui parfois faisait un accroc à son pantalon.

Doofie et Schnely ont pris le taxi, c'est mieux d'être à trois dans la voiture pour les quatre kilomètres qui restent. Mais le monsieur ou la dame va devoir rentrer tout seul, je pense à lui ou àelle quand il ou elle  rentre après nous avoir déposé, pouvru qu'il ne fasse pas de mauvaises rencontres célestes. Là,Doofie a juste vu un truc clignoter dans le ciel et repartir aussitôt, mais elle n'a pas eu de "trou de mémoire" sur une partie de la route. Mais elle  a eu soudain très mal dans sa main gauche, une douleur qui est pasée aussitôt arrivée à la maison.  Encore bizarre! Pourtant Schnelly n'avait pas claqué la porte sur son bras comme cela arrive parfois...

Doofie raconte :

"Quand j'étais petite, j'avais une tante et un oncle qui avaient un chien-loup agressif, je crois que c'était un berger allemand, à l'époque, je n'avais pas encoe commencé l'allemand, et je suis devenue prof d'allemand, mais à l'époque, le fait que ce soit u berger allemand, cela me faisait peur.. je devais avoir sept ou huit ans. Le chien était dans une espèce de cage dans une pièce rapportée derrière les toilettes. il faisait peur,mais n'avait jamais le droit de sortir quand nous étions-là. C'est mieux qu'une niche,parce qu'il avait chaud.

C'est bizarre que ça me rappelle ce souvenir-là, parce que je me souviens bien de la première maison de ce frère de mon père, qui habitait dans la ferme de ses beaux-parents. la ferme était perpendiculaire à la route et il y avait des champs labourés autour. On y allait toujours faire un repas réveillon à la nouvelle année, un jour on est revenu à une heure du matin vers notre ville, des éclairs hivernaux striaient le ciel alors qu'il faisait moins vingt degrés. C'était impessionant.

Ils ont dû habiter ensuite dans une autre maison où il y avait ce chien-loup, mais je ne sais plus où, ce fut une péridoe assez brève, mais j'ai bien vu ce chien au moins trois à cinq fois.

Ensutie,ils ont habité près d'une usine où mpn oncle était contremaître. On nous a fait visiter l'usine. Je ne susi pas allée plus de deux fois là-bas.

J'ai encore vu cet  oncle à l'enterrement d'un oncle maternel, c'était assez loin de chez eux et ils étaient venus, alors que le reste de la famille de ma mère (ses soeurs) n'étaient pas là, car ils n'aimaient pas beaucoup mon autre tante qui était leur belle-soeur,  (le frère de ma mère) et lui est mort quelque temps après en tombant dans un esacalier.

 

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Pour Doofie et Schnelly (et pour Bêtie et Rapidy)..

 domino

lundi, 16 février 2015

Sherlock Holmes

Roman-théâtrre

Ce soir,ou plutôt cette nuit, Doofie, bien fatiguée s'apprêtait à alle dormir, le sommeil lui tombant dans les yeux, car elle venait de s'être endormie à son ordinateur devant ses grimoires de généalogie. Elle va aux toilettes et au moment d'en sortir, regarde machinalement à l'endroit où elle a posé son bonnet et ses beaux gants-moufles que Schnelly lui a offert à Noël et ne voit plus que le bonnet : où sont passé les gants si pratiques qui se transfoment en gants à doigts nus, quand on a besoin de prende un objet dans son sac par exemple?

Juste à ce moment, Schnelly qui état déjà parti se coucher redescend. Doofie avait remaqué par la fenêtre du haut de l'entrée deux éclairs blancs très brefs qui pouvaient émane d'un orage, bien que Doofie en doutât fort,car ce n'était pas la saison, et voilà son Schnelly qui descend,malgré la lumière allumée dans l'exaclier avec une lampe-torche à la lumière forte.

'Je ne trouve plus mes gants' dit Doofie qui avait commencé à tout retourner, mais calmement pour les cherche, pourtant j'étais sûre de les avoir posés-là, lorsque nous sommes rentrés hier, je me souviens encoe les avoir regardé plusieurs fois, car je me demandais pourquoi j'avais eu soudain mal au bras,retourné dans tous les sens, puis reposés à plat sur le bonnet, comme je les pose d'habitude. (En effet, Doofie,même quand elle met ses gants dans son sac, ne les met jamais en boule, mais toujours à plat, ou étalés en longueur. Et elle ne les retourne pas sur eux-mêmes.

Schnelly se fâche tout de suiet : 'Je n'ai rien fait, je ne les ai pas pris!" Ses yeux roulent comme des boules dans leurs orbites. Doofie dit : Mais je n'ai rien dit : je cherche seulement mes gants que j'avais posé là. Doofie a scruté toute le pièce, cherché sous quelques livres, et dans les deux grands compartiments de son cartable, il ne reste plus que le petit compartiment devant : rien! Bizare!

Ridicule, Schnelly, balait le coin où Doofie cherche avec sa torche électrique alos que la lumière est allumée. On dirait Sherlock Holmes, pense Doofie, qui doit rire en elle-même du ridicule de Schnell : . Cette lampe à fasiceu lumineux, c'est vraiment de trop!

Doofie dit à Schnelly : "Tu vois bien que c'est ridicule, ce que tu fais, les gants sont suffisamment grands,il n'y a pas besoin de lampe de poche pour les trouver.  Tu as vraiment l'air ridicule, dit Dofoie et arrête de tourner comme cela  autour de moi avec ta lampe."

Schelly se fâche encore avec des yeux comme des billes. Doofie prend peur, elle va pleurer. Elle cherche encore partout dans la pièce, étant sûre de ne pas les avoir mis ailleurs, à moins qu'elles les auraient mis dans la chambre, mais c'est peu probable. Elle dit à Schnelly : Ils ne sont nulle part dans cette pièce, elle replonge plusieurs fosi ses mains dans le cartable, rien...

Elle dit à Schnellly qu'ele n'acceptera plus de cadeau de lui, si c'est pour le lui reprendre ensuite.

Schnelly finit par abandoner la dispute et son éclairage intempestif autour des mains de Doofie, il monte se couche, Doofie fait une dernière recherche dans le cartable et à peine Schnelly disparu en haut de l'escalier, retrouve les gants dans une poche intérieure du cartable qui a gonflé d'un seul coup, les gants sont là tous roulés en boule, retournés, alos qu'ele est sûre qu'elle les avaient mis à plat sur le bonnet..

Elle dit à Schnelly qu'elle les a retrouver et alors que Doofie avant qu'il ne crie ce n'est pas moi, n'a jamais dit que c'était lui, crie : "Tu vois bien que ce n'était pas moi!"

Doofie regarde les gants,,les tourne dans tous les sens, ils ne sont plus comme avant , ils lui semblent plus usés, plus étroits, moins propres, comme si quelqu'un d'autre les avait enfilé entre deux. Elle a l'impression qu'ils ne lui appartiennent plus, il va falloir cse les réaprpoprier. Doofie ne les aime plus comme avant. Elle al(impression que les fils de coutures entre le poignet et le gant et à la jonction des doigts sur la moufle sont plus serrés qu'avant. Avant les manchettes étaient plus larges aussi. C'est bizarre... Doofie a vraiment l'impession que ses gants ne sont plus les mêmes.

Elle se demande si elle va aller se couche, il n'y a qu'un lit dans la maison.. Elle est unpeu dégoûtée par le fait qu'il se soit mis en colère, elle voit ses yeux ronds comme des bielles,mais elle est pesuadée qu'il a glissé les gants furtivement dans le cartable en approchant sa lampe électrique.

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Pour Doofie,

domino

 

dimanche, 15 février 2015

Zéro, c'est zéro ou pas zéro?

Roman-théâtre

Décidement, la petite fille de Doofie, qui a un grand QI comme sa grand-mère, bac en poche à 12 ans et agrégée d'allemant à 19 ans, et qui tout en travaillant a repris d'autres études car elle a grand soif de connassances n'a que des ennuis avec ses nouveaux cursus. Et maintenant qu'elle a le même âge que les autres et qu'elle ne se distingue plus par sa grande maturité malgré son jeune âge, on le lui fait bien sentir qu'elle n'est qu'une vulgaire petite étudiante.

Mais comme elle est quand même salariée fonctionnaire, elle étudie par correspondance.

Déjà pour passer les examens du troisième semestre en deuxième année, sur les 20 UE (= unités d'étude) qu'elle devait passer pour ces deux cursus un certain nombre tombaient en même temps. Ce n'est pas de sa faute si l'université oraginse mal les examens de ces deux cursus alors qu'ils sont plusieurs dans le même cas.

Donc, elle comptait avoir sur ses relevés de notes (informatiques, donc tranformables à merci), d'une part des notes et d'autres part pour les UE qu'elle n'a pas pu passer des DEF (= défaillance) avec ABJ (absences justifiées).

Or, elle a constaté sur ces relevés dans un premier temps des DEF avec des absences injustifiées : sur une ligne ABI et sur la ligne au dessus DEF.

Alors, elle a envoyé un mail disant que ses absences étaient justifiés. Résultat : transformation d'un de ses relevés de notes : ABJ, certes, mais au-dessus de chaque absence justifiée un zéro qui compte dans la moyenne. Donc, dans ce cursus où elle avait passé 5 UE sur 10, il y avait 5 DEF et un résultat général DEF. Avec les UE résussies qu'il ne falait pas repasser. ET maintenant il y a à la place, 5 notes + 5 zéros et une moyenne très basse qui fait mauvais effet, alors que ses abseces sont juitifiées.

Donc, quand on justifie de ses absences et que l'on devrait être excusé (donc ici DEF) on vous met un 0, ce qui est une sanction négative.

Une sanction négative, quand sa grand-mère était en Master 2, on a dit à Doofie qu'un 0,cela valait une absence de note et ne voulait rien dire. Pour la première fois depuis que l'université existe on avait supprimé la session de septembre qu'on avait avancé en juin et la session de juin avait été avancée en mai,alors Doofie qui faisait en même temps cette année là beaucoup plus de remplacements que d'habtiude (comme par hasard!), avait râté le coche pour rendre ses devoirs, et les profs lui avaient dit : C'est rien vous avez le temps. Et Doofie a rétorqué : Mais su mon ENT (êspace numérique de travail), il y a plein de zéros. Les profs ont dit :  Ce n'est pas possible. Doofie a dit : Si, si regadez : et ils ont dit : Un zéro cela ne veut rien dire, c'est une absence de notes.

(Alors pourquoi une maman a tant râlé pou un zéro qui vu le nombre de devoirs donnés dans le trimestre, ne faisait qu'une infime partie de la note d'allemand, et mis pour ticherie? Ce zéro était une sanction mal acceptée par l'élève et sa maman surtout...?) Il parait que c'est à cause de cette mère que Doofie a été saquée en inscpection).

Mais là le problème est différent : Cinq zéros dans un semestre de cursus en première session pour des absences justifiées dues à la mauvaise organisation des examens de l'université. Donc qui ne sont pas de la faute de la petite fille de Doofie.

Dans l'autre cursus par contre : encore mieux : il n'y a plus de notes du tout,sauf une,celle de langue vivante. Toutes les autres notes qui avait été mises ont été enlevées. Là aussi, la petite fille de Doofie avait passé une UE  de l'aute cursus en même temps qu'il y avait une UE de celle-ci à laquelle ele était aussi absente de façon justifiée. Jusque là, elle avait DEF dans cete UE (donc à repasse en deuxième session avec une seule chance de réussite au lieu de deux), mais ABI donc absence injustifiée. Maintenant, que toutes ses notes ont disparu, elle s'attend à ce que ses notes soient remises sur 9 UE avec un 0 et absence justifiée dans cele-ci, cela risque de la rendre admise au semestre, mais avec une petite moyenne et une baisse de moyenne due à ce 0, ce qui peut lui coûter une mention.

Pour Doofie qui est professeure, un zéro peut signifier trois choses :

1) Sanction pour tricherie,

2) Copie blanche qui veut dire que l'étudiant n'a rien sû faire, soit parce qu'il n'avait  pas appris, soit, dans le cas de mathématiques par exemple, parce qu'il n'avait pas les capacités intellectuelles pour résoudre les problèmes.

Est-ce que ne pas avoir le don d'ubiquité est un manque de capacités intellectuelles?

3) L'élève ou l'étudiant a répondu aux questions, mais a tout faux, soit parce qu'il n' pas aprpis, soit parce qu'il ne sait pas résoudre les exercices.

Or, la petite fille de Doofie avait travaillé et aurait su faire le travail. la question qui a été donnée en esthétique philosophique était d'ailleurs en français une question de l'agrégation 'allemand de 1991. Donc, elle ne répond pas  aux trois criètes du zéro qui est une sanction négative.

En plus, on dirait que le logiciel de notes de l'université travaille à l'envers : il met des 0 pour les absences justifiées, et des défaillances pour les absences injustifiées, ce qui est une aberrration.

La petite fille de Doofie (ce ne sont pas les notes de Doofie, ni de domino, ni de Bêtie) a cinq 19/20 et cinq 0, ce qui fait qu'au lieu de la mention TB qu'elle s'attendait à avoir en 2ème session, elle a 9,5/20 + 1 point de jury = 10,5/20 = mention passable. La mauvaise organisation des examens de l'univesité lui a coûté trois niveaux de mention.

Une solution serait de faire rattrapper les épreuves des absences justifiées avant la dexième session. De cette façon les UE rattrapées auxquelles l'étudiant aurait la moyenne, ne seraient plus à refaire en 2ème session. Et l'étudiant qui est en double cursus aurait ses deux chances comme les autres. C'est d'ialleurs ce qui se passait avant, car quand Doofie était en préparation d'agrégation à l'université, il y avait parfois des étudiants  d'autres matières qui venaient demander à rattraper leur UE d'alelmand et les professeurs très gentils les installaient seul dans une salle avec le sujet, leur stylo et leur copie (il n'y avait pas encore de traducteur électronique à 'l'épqoue) pour rattraper leur examen.

Ele est désespérée, elle pleure tout la journée! Elle ne sait même plus travailer pour son 4ème semestre!

Préciisons que la petite file de Doofie avait réussi sa première année de  double cursus . Et en une seule année.

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Pour Doofie et sa petite fille

domino

mardi, 10 février 2015

Des effluves exotiques

Roman-théâtre

Dummie sonne à la porte de Doofie. Doofie qui vient de descendre de son étage, ouvre la porte...

Doofie : Qu'est-ce qui t'amène si tard Dummie? Il est presque neuf heures du soir.

Dummie : O! Presque rien, Dummie. J'étais en train de travailler quand soudain des parfums exotiques ont empli l'air. Il y avait en même temps des notes de musique qui semblaient venir de par ici. J'ai attendu que ces douceurs suaves, qui m'avaient complètement dérivée de mon travail, cessent, pour venir te voir...

Doofie  (souriante et moqueuse): Ah! dit Doofie... Tu as rêvé..?? 

Dummie : Je t'assure que non! (Soudain réveuse...) Il y avait là des senteurs d'Amérique du Sud, j'étais au Brésil, en Argentine, je voyais aussi des danseuses flamencos et parfois j'étais de retour dans une Europe ancienne, où il faisait bon jouer quelques valses que l'on soit italien ou allemand, ou quelque mazurkas...

Doofie  (toujours un peu moqueuse...) : Oh! Mais c'est un très beau rêve...

Dummie :Je t'assure que je ne  rêvais pas... il y aviait même un certain Léo qui nous envoyait des nouvelles de Cuba, et Maria, la fille du drapier allemand, qui nous berçait lentement... et tout cela porté par des doigts, des doigts de princesse... d'une pricesse... hmm.. qui n'a pas sorti sa fille Manuela depuis plusieurs année, princesse abandonnée dans un étui, ni sa nina (prononcez nigna) barocca, ni sa nina romantica...

Doofie : Mais ce n'était aucune d'elle, Dummie... J'ai maintenant quatre caravelles pour partir en exploration de l'Europe au Nouveau Monde...  Schnelly ne voulant pas me l'apporter ici en bas quand il est là (il est parti faire des courses), je suis montée dans la chambre, j'ai tiré Santa Monica, ma quatrième caravelle de son étui et je l'ai fait chanter en la prenant près de moi dans mon lit.

Dummie : Elle chante bien, ta Santa Monica, quelle voix douce et inneffable...

Doofie : Je l'ai prise dans mes bras et elle a chanté, elle a même chanté les morceaux de l'ange déchu, le tombeur de femme d'il y a deux siècles, mais Dieu a dit qu'il le ferait entrer finalement au paradis, après deux siècles de purgatoire,  pour que Javier voit qu'il n'était pas si méchant que cela.

Dummie : Ah! Javier est arivé au paradis, quelle bonne nouvelle... Il doit jouer de sa nina barocca et de sa vihuela qui chantent avec les anges...Mais pourquoi tu n'as pas fait chanté ta nina barocca?

Doofie : Oui, la Santa Monica est la plus jeune, elle dort près du lit et a besoin de soins attentifs et de beaucoup de douceur, c'est pour cela que j'ai profité que Schnelly n'était pas là, pour caliner ses cordes de mes doigts...

Dummie : D'où ces sons ineffables, Doofie... Tu as bien joué une heure...

Doofie : Une heure et demi et mes doigts allaient tout seul, je n'ai rien enregistré, rien que pour moi...

Dummie : Et pour le quartier, Doofie, c'était si beau, j'ai entendu les cinq premières études de Léo, plein de valses, d'études, le début d'une larme

Doofie : Cale ira vite de le réapprende, il faut que je passe seulement une demi heure sur cette larme et elle reviendra dans mes doigts. 

Dummie : J'a entendu des berceuses, des sons d'Amérique du Sud, d'Amérique du Nord, plein de belles choses...

Doofie : Mais tu vois, je ne sais rien par coeur, Dummie, je suis obligée de tout lire, sans papier, j'improviserais. mais tu entendais Santa Monica, ... Je jouais tout doucement, vraiment en sourdine.

Dummie : Mais oui, Doofie,au plus tu joues doucement, au plus cela s'entend car tout se tait pour écouter ces sons ineffables et respirer ces parfums d'antan et ces odeurs exotiques...

Doofie : Ah oui, Merci des compliments que tu fais à ma quatrième caravelle, Santa Monica, qui nous emporte sur ses océans de douceur,  vraiment, moi-même, je n'y suis pour rien, je n'ai voulu que faire chanter un peu cette caravelle enfant qui ne demande qu'à voler sur les mers de sonorités douces, étranges ou enchantées.

Dummie : Oui, parfois un son étrange, une dissonance, nous entraîne dans une de ces églises aux clochers à bulbes ou dans un de ces chateaux où les princes sortent des mares d'eau du parc.

Doofie : Tu me fais frissoner..

Dummie : Mais non, c'est toi avec ta Santa Monica qui me fait frissoner.

Doofie : Un de ces jours on pourra faire un duo et faire chanter Santa Monica et Manuela ensemble...

Dummie : Bonne idée... Tiens voilà, Schnelly..

Schnelly : Attention, les filles reculez, j'ai besoin de place pour poser mes caddies, j'ai amené ....

Dummie : Oui, on sort de la poésie... bonne nuit Doofie... je rentre  la masion rêver aux sons de ta quatrième caravelle...

Schnellly : Tu as fait ta langue slave 2... fait chanter Santa Monica? Qui est-ce? ... ah oui, Santa Monica...?

Doofie pense : Pourtant c'est lui qui me l'a offerte et il ne s'en souvient plus...

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Pour Doofie et Dummie *

domino                                                                        

 

vendredi, 06 février 2015

La principale s'acharne...

Roman-théâtre

Je n'ai pas parlé de Bêtie depuis longtemps, mais je dois dire que même si cela s'était calmé ces derniers temps, la principale de son collège de rattachement (toujours la même depuis 2006-2007, mais il parait qu'elle va partir à la retraite à la fin de l'année scolaire) continue à s'acharner sur elle.

Elle vient d'émettre un avis défavorable à l'accès à la hors classe des certifiés de Bêtie. Ceci dit,elle commet une première erreur, parce qu'une hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation a été créée il y a quelques années, et il est évident qu'en étant bi-admissible à l'agrégation, Bêtie ne peut accéder qu'à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, et non à la hors classe des certifiées qui est inférieure à la hors-classe des bi-admissibles à l'agrégation, car si Bêtie accédait à la hors-classe des certifiés, elle reisquerait dête lésée au nveau du salaire et du titre.

Donc, il s'agit déà d'une erreur dans sa lettre.

La principale ne parle plus de l'inspection. Son rapport de l'année précédente serait-il meilleur que ceux d'avant?

Par contre, elle met en exergue le blâme qu'elle a mis en 2008 pour une histoire ridicule, celle du paperboard. Rappelez-vous, Bêtie qui n'avait pas eu de services de rattachement à faire lors de son rattachement administratif précédent dans un lycée,  même si par prudence, elle restait sur place 18 heures par semaine entre ses remplacements, à aider un peu ses collègues d'allemand en leur préparant des ressources sur internet, a dû tout de suite dans ce collège rejoinde le CDI (Centre de Documentation et d'Information) où elle a dû aider toute l'année ou presque, la TZR de français qui avait été nommée par le recteur dans ce CDI. La TZR de français en question l'a remerciée chaleureusement en fin d'année disant que sans elle, elle ne s'en serait jamais sortie. Bêtie qui était une ancienne professeur certifiée de lycée et de BTS ayant perdu son poste, était depuis deux ans bi-admissible à l'agrégation, mais sous les ordres d'une "certifiée" qui lui mettait des bâtons dans les roues pour réaliser tout ce qu'elle voulait dans ce CDI.

Bon, Bêtie avait commencé fait dans l'année, profitant de la postition au CDI, uneexpostiion sur l'Alelmagne pour le 22 janvier et avait commencé une expostition sur certains pays européens sélectionnés par des élèves,dont l'Autriche, qui n'a pu aboutir à cause de l'hsitoire du paperboard. Bêtie ayant appelé à la rescousse un ouvrier qui était dans la cour, un soir après les cous, parce que alors qu'elle voulait fermer le CDI le paperboard avec une affiche commencée qu'elle avait posé sur une table était introuvable.Il a cru, on ne sait pourquoi, qu'il était de voleur, alors que Bêtie avait entendu des pas à l'étage et la porte de la salle de lecture qui ouxtait le CDI, où aurait dû être le paperboard s'ouvrir, et que venant de la cour, il n'était pas concerné par ce supposé "vol". D'ailelurs quand la principale est venue lui parler d'un ton sec le lendemain, elle avait fermé la paroi qui séparait les deux salles pour faire croire que Bêtie ne trvaillait qu'au CDI et pas dans la salle de lecture. Cet ouvrier qui n'était pas concerné par l'affaire a fait un rapport sur elle, disant qu'elle l'aurait traité de voleur, alors qu'elle l'avait appelé à la rescousse pour savoir s'il n'avait pas vu quelqu'un dans les parages qui arait emmené ce paperboard. Le lendemain, on l'a retrouvé dans l'armoire, mais on ne sait pas si ce n'est pas la TZR de français qui l'aurait remis dans l'armoire. Cette TZR, 30 ans plus jeune que Bêtie,  a eu sa mutation sur un poste de français l'année suivante, et on ne sait pas ce qu'elle est devenue, alors que Bêtie est toujours rattachée là.

Bon, passons à l'étape suivante : la principale dit que depuis lors et bien depuis lors, des principaux ont fait des repports sur son manque d'autorité lors de ses différentes suppléances, mais notons au passage que l'orsque les remplacements se passent bien (généaralement quand ils sont suffisamment courts et éloingnés pour que les principaux n'aient pas le temps de recevoir le dossier de Bêtie), aucun rapport positif n'est fait. En effet, lorsque les principaux reçoivent le dossier avec le blâme, même s'ils avaient une attitude aimable et positive vis à vis d'elle jusqu'alors, ils se braquetn conte elle. C'est donc le dossier qui prédomine sur le tavail réel de Bêtie.

3ème étape :La principale a dit que Bêtie aurait l'année scolaire dernière reçu des mises en demeure durecteur  de rejoindre des postes de suppléances. Or, Bêtie n'en a reçu aucune,  si ces mises en demeure ont réellemet été envoyées, eles ont dû être bloquées par son mari, qui trois ans et demi plus âgé qu'elle et professeur retrraité depuis un an et demi. Bêtie n'a jamasi reçu les mises en demeure de rejoindre son poste en question. De même qu'elle n'a pris connaissance des salaires à moitié perçus de mars 2014 et de mai 2014, qu'en août 2014, au moment où elle a eu besoin de justificatifs de sa qualité de salariée pour avoir le droit de suivre des études par correspondance, ce qui a provoqué une grande dispute entre Monsieur et Madame,car Madame continuait à dépenser comme si elle avait eu ses salaires complets. Depuis,ils ne s'entendent plus et malgré un mariage qui date de 40 ans, Bêtie a souvent envie de divorcer.

Donc, contrairement à ce que dit la lettre, Betie n'a reçu à sa connaissance auucne mise en demeure de reoindre un poste.

De courant septembre 2013 à décembre 2013, Bêtie a fait un remplacement sur deux établissements dans sa zone initiale. L'un des collèges situé à 26 km de chez elle, l'autre à 36 km

(signalons que la zone initiale fait environ 50 km de large sur 35 km de haut quand on regarde la carte, et que Bêtie habite au Sud-'Ouest de la zone. Cette zone a été agrandie il y a quatre ans à 3 autres zones, dont les extrêmités sont situées à 100 km de chez Bêtie : pont le plus éloigné à l'Ouest de sa première zone : 90 km, point le plus éloigné en diagonale , donc au Nord-Ouest de sa zone : 100 km, point le plus éloigné au Nord-Nord-Ouest (il n'y a pas de Nord, c'est un pays étranger), 80 km. Bêtie utilise les transports en commun. Il y a deux lignes qui passent près de chez elle, l'une traverse sa zone intitiale du Nord au Sud, ele vient de Paris et va jusqu'à la frontière d'un pays étranger, mais les trains y sont souvent remplacés par des autocars. L'autre la conduit à son rattachemetn à 32 km au Sud-Est, puis passe dans une autre académie et dans l'autre sens, rejoint Grande Métropole Régionale à 100 km. Son premie poste du public, qu'elel a occupé il y a un peu plus de 30 ans est à 4 km de chez elle, non loin de la gare de départ. Ce collège a été démoli et n'existe plus. )

Bon, elle a commencé une  allant de fin septembre aux vacances de Toussaint, et a dû rendre les clefs des classes,  avant les vacances, car sa collègue allait revenir. Elle a repris une semaine et demi après la reprise, car la collègue tardait à revenir ou à faire son prolongement de congé maladie et Bêtie n'avait pas le droit de reprendre la suppléance, sans y être invitée. C'est une semaine et demi après les vacances qu'elle a été rappelée ssur la même suppélance, donc sur deux établissements desservis par deux lignes de train différentes, assorties chaque fosi d'un traet en autocar de 15 km après la descente du train. Les deux collèges n'étant pas reliés entre eux par les transports en commun aux heures où Bêtie devait aller de l'un aà l'autre, Bêtie devait faire deux fois par semaine une traet en taxi de 15 km.

Ensuite, elle a été appelée durant la première semaine de janvier pour un remplacement impossible à faire. Deux collèges encore, l'un étant sur la ligne de grande métropole régionale, mais pas tout à fait puisqu'il fallait prendre un autocar à partir de la descente du  train à 70 km de son domicile pour atteindre le collège, sur une dizaine de kilomètres, et d'autre part,l'aute collège était sur une autre ligne de train, avec correspondance dans une gare intermédiaire, plus un trajet en autocar d'aussi une dizaine de kilomètres. Les deux collèges distants l'un de l'autre de 25 km n'étaient pas joignables entre eux par les transports en commun,dans les délais impartis. Donc,Bêtie aurait dû prendre ente les deux établissements un taxi sur 25 km. De plus, lorsque Bêtie a reçu le coup de téléphone,un seul chef d'établissement ayant téléphoné sur les deux, victime d'un refroidissement ou d'une grippe depuis la première semaine des vacances de Noël, elle était complètement aphone,ne savait sortir aucun son, toussait comme une dératée, et ne pouvait donc répondre au téléphone. Elle n'a pas reçu de mise en demeure de rejoindre ce remplacement de trois semaines, ou alors, il ne lui a pas été remis.

Début février, Bêtie reçoit un coupe de téléphone d'un lycée avec un collège à seulement,ouf, 20 km de chez elle! Enfin! Les collègues sont sympas et la collègue qu'elle remplace partant enretraite à la fin de l'année, ils envisagent avec elle, qu'elle pourrrait bien rester et demander le poste l'année suivante. . Tout roule bien, pas de problèmes de discipline,mais elle est inspectée dès la deuxième semaine, dans une classe qu'elle n'a eu qu'une seule foir auaravant. L'inspection est ce qu'elle est, car Bêtie en suivant le cahier de texte de la collègue qu'elle a lu sur internet, fait le thème de l'évolution du sentiment national en Allemagne, ce qui s'avère dfficile pour les élèves. C'est en première classique première et seconde langue. Bêtie depuis douze ans a touours été inspectée en lycée, alors qu'elle a travaillé comme TZR la plupat du temps en collège. Bon, pour une fois on signale quand même que son allemand est plus que satisfaisant. Alors que les deux rapports précédents se taisaient sur ce point, on se doute pourquoi, alors que d'autres collègues avaient des floppées de fautes de prononciation signalées.

Avant les vacances de février, c'est la date de fin du remplacement, mais Bêtie a commencé à s'occuper de l'échange scolaire en 4ème et 3ème, à tavailler en commun avec la professeure d'anglais de 5ème bilangue (30 élèves en 5ème et 6ème bilangue, dans chaque classe, mais adorables). Elle a une heure en commune prévue et préparée le jour de la rentrée de mars, elle va donc faire l'heure avec la collègue d'anglais (non rémunérée pour elle-même), on voit donc  qu'elle n'a pas de mauvaise volonté, pour continuer le remplacement. Et la classe qui suivait n'a pas de nouveau professeur et felle ait donc cours à ses élèves toute la matinée. Le proviseur entre midi voit qu'elle est encore là et finalement l'autorise à faire cours l'après-midi alors que l'avis officiel du rectorat pour la prolongation n'est pas encore arrivé. . Elle reçoit sa prolongation de 15 jours dans l'après-midi, elle fait cous 15 jours et alors qu'elle commence à bien s'habituer, à mettre léchange scolaire en route, le proviseur lui dit le denier vendredi que le rectorat a nommé un monsieur à partir de lundi. Donc,"au revoir, tous mes chers collègues et élèves chéris", Bêtie doit de nouveau partir. Avec ses larmes.

Peu de temps après un collège à 80 km de son domicile l'appelle. Encoe cous dans deux collèges. Le deuxième collège est à 90 km de son domicile. Train avec corespondance. Bêtie qui n'a pas refusé la remplacement,  étudie les parcours sur les cartes d'internet avec les horaires des transports en commun d'internet. Il y a deux hics, l'un des collèges dans une grande ville est à 'l'extrêmté opposée de la ville, près de l'autorute A1 certes, mais loin de la gare. l'autre collège, celui qui a appelé est dans une petite ville à une dizaine de kilomètres dans l'autre sens par rapport à la ville. Autocar obligatoire. Mais le principal dit qu'il va regader lui-même si le remlacement est réalisable : Non, le car revient de l'aute collège 20 minutes trop tard et il ne peut pas  changer les horaires du collège. C'est aussi de la mauvaise volonté de la part des principaux et des collègues en poste dans ces collèges qui ne veulent pas changer d'emploi du temps pour que la TZR puisse farie cours.

Donc, ce remplacement qui devait durer deux ou trois semaines a été supprimé.

Si elle a reçu une lettre de mise en demeure du rectorat de rejoindre son poste, elle n'en sait rien...

Peu de temps après, c'est un lycée du même secteur qui appelle pour un remplacement qui va jusqu'au 16 juin. Bien que le lycée soit à 60 km de chez elle avec une correspondance et soit une assez longue route à pied pour aller jusqu'au lycée, soit encore un autocar qui roule 5 minutes. Mais il faut l'attendre à la gare. Un jour  le train est arrivé en retard à cause d'une grève et le car étant râté, elle a dû prende un taxi pour être à l'heure. Le taxi est rentré dans l'enceinte du lycée, sur le parking et ça a fiat une histoire. L'avant-dernier jour, Bêtie a rencontré un élève de son cous d'adultes de sa ville de ratatchement à plus de 100 km de là, il s'est arrêté aec sa voiture devant elle et Rapidy, alors q'uelle  attendait le car pour aller à la gare, et il se demndait ce qu'elle faisait-à. le car est arrivé derrière et a klaxonné. Donc,la rencontre fut brève. Parce que Bêtie en fait tient toujours secret les endroits où elle travaille et ne les révèle qu'après-coup.

Bêtie n'a plus fait ses cours d'adultes cette année scolaire, elle commençait déjà depuis mai à avoir de fortes douleurs aux genoux lors de ses déplacements à pied et a commencé à avoir très mal et à ne plus pouvoir se déplacer qu'avec difficulté et des bâtons pour aider sa jambe droite à avancer quand le genou gauche est si douloureux qu'elle ne peut plus s'appoyer dessus. Depuis janvier elle a encore une grippe et la voix de nouveau fort enrouée. Bêtie pense toujours qu'elle reprenda ses cours 'd'adultes, mais elle ne sait pas quand elle reprendra. Bête a fait sa prérentrée. Elle a attendu la navette qui fait elle tour de la ville entre midi pendant bien une heure et a râté le pot d'entre-midi dans son établissement,car la pré-rentée avait lieu dans l'autre établissement de la principale (dans la même ville, sur une autre collinne).

Sa principale va encore attirer l'attention du rectorat sur Bêtie avec le rapport qu'elle fait sur elle, alors que bêtie voulait rester discrète par rappot au recorat. Un rapport toatlement inutile. Si Bêtie passait en hors-classe elle serait à l'indice immédiatement supérieur, c'est à dre que son salaire n'augmenterait que de petu-être vingt Euros par mois. L'enjeu financier ne vaut pas ce rapport.

Bêtie a réussi plusieurs (trois années) formations universitaires l'an dernier qui complète sa formation. Avec toutes ces galères de TZR!! Lej eu en vaut-il la chandelle? je veux dire, ce rapport contre une professeure âgée qu ia vait fait ses preuves dans sa jeunesse et qui a mal à ses deux genoux et ne sait presque plus marcher en vaut-il la chandelle? Cela ressemble nettement à un harcèlement moral de la part de sa principale de rattachement.

Bêtie part en retraite dasn une an et sept mois en septembre deux mille seize. Est-ce qu'elle tiendra d'ici-là? Est-ce qu'elle va réussir à bénéficier de sa retraite de fonctionnaire.

Pour défendre Bêtie

domino

 

 

mardi, 03 février 2015

La petite fille de Doofie attend ses notes de fac : Rien : le vide!!!!

Roman-théâtre

La petite fille de Doofie, agrégée d'allemand à 19 ans, car elle a un QI comme sa grand-mère, attend ses notes de 1ère session de 1er semestre pour les deux formations de Licence 2 (ex-Deug 2) qu'elle suit par ailleurs :

L'université l'a annoncé depuis une semaine sur l'ENT (espace numérique de travail) des études par correspondance : résultats hier soir sur l'ent, consultation des copies auourd'hui vers midi. Et bien il est déjà le lendemain des résultats, presque 8 heures du matin et sur l'ENT : il n'y a rien, rien, rien,le vide complet. La petite fille de Doofie a envie de tout plaquer,d'autant plus qu'elle n'a pas pu passer toutes ses UE en 1ère session : en double cursus 7 UE (Unités d'études) tombaient en même temps qu'une autre en permière session. Il y en avait bien deux qui tombaient à la même heure, même amphi,même place, mais les professeurs n'ont pas voulu qu'elle passe les deux, elle doit repasser l'autre en deuxième session,sans seconde chance, donc sans rattrapge. LEs 7 UE qui tmbaient en même temps qu'une auttre, ele doit déjà les faire au rattrapge(donc une seule chance au lieu de deux, ce qui est foncèremet injuste par rapport à ceux qui ne font qu'un seul cursus, d'autant plus que ceux qui en font deux sont plus courageux),  et elle espère avoir réussi les treize autres, mais elle n'a aucune nouvelle de ses notes, elle  a attendu toute la nuit, il est déà top tard pour prendre le seul train,ensuite ce sont des autobus sur 35 km avant d'atteindre un train à cause de ces éternels tavaux sur les voies. Elle a attendu toute la nuit après ses notes, elle pleure, pleure, pleure, ele pense qu'elle a tout râté et rien, rien,rien, touours aucune note, les admistrations ne répondent jamais à ses demandes, pour avoir des renseignements sur quelque chose, elle est obligée de se référer aux forums d'étudiants, sinon rien, rien, rien,les deux secrétaires chargées de répondre aux étudiants sur l'ent répondent à tous sauf à elle : c'est le harcèlement moral complet vis à vis de cette fille qui a fait de billantes études secondaires. Et universitaires.

D'autres se targuent d'avoir des bacs + 5 avec des BTS de tourisme, des écoles de coaching et de psychologie du coaching et des trucs idiots comme cela. Et nous, bi-admissibles et agrégées d'allemand, on se bidonne bien quand on les voit brandir sur l'ent, sur Lindkn et su Viadeo leurs diplômes de tourisme, de feng-shui, leur bac + 5 de décoration maison et de psychologie du coaching. Des bacs ° 5, cela? Ils se moquent du monde ou quoi???? Et avec cela, elles obtiennent des équivalences en histoire de l'art, parce qu'elles savent meubler une maison ou la peindre.

Enfin,la petite fille de Doofie pleure, ele a déà râté son train de 8 heures, touours prostrée devant son ordinateur à la recherche de ses notes qui apparaitront peut-être un jour. Sans espoir, ils m'ont peut-être mis des défaillances où j'ai composé, des notes où j'ai été absentes, ils ont peut-être donné mes notes à une autre personne, c'est pour cela qu'il faut que 'j'aille absolument voir mes copies avec ces trains qui ne fonctionnent pas (d'habitude il y en a un par heure et comme e dois aller là-bas, ils font des travaux exprès pour me géner, c'est touours comme cela, pense-t-elle : le monde entier est contre moi. La petite fille de Doofie est complètement déprimée parce ce que ses notes n'arivent pas.

Vous vous demandez pourquoi la petite fille de Doofie qui est agrégée d'allemand et a déjà réussi des CLES et autres DU dans sept langues vivantes, n'a pas demandé de validation d'acquis pour ses licences d'autres matières : tout simplement parce qu'elle est honnête. Et pense que pour demander une équivalence, il faut avoir fait exactement les mêmes programmes que les UE dont on demande les équivalences. Ce que n'ont bien sûr pas fait ceux qui ont des diplômes de décoration maison et de feng-shuit à bac + 5!!!

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Pour Doofie et sa petite fille

domino