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mercredi, 18 février 2015

Retour mouvementé

Roman-théâtre

L'autre jour Doofie revenait d'un cours dans sa grande métropole régionale. Le cours finissait assez tardivement. Bon, Doofie prend le métro régional avec Schnelly, jusque là pas de problème. Doofie sort du métro, les surprise commencent dès larrivée dans la gare de grande métropole régionale. A l'entrée qui est sur le côté à cause des travaux, Schnelly lui demande son billet pour aller le composter pour elle. Doofie cherche dans son sac, pendant que Schnelly manifeste son impatience. Un contrôleur ou homme de la sécurité ferroviaire arrive vers eux, on ne sait plus trop, s'avance vers eux apparemment aimable et prêt à les aider :"Vous allez où, messieurs dames". Dans cette gare quasiment déserte par rapport à l'habitude à la même heure, la question a de quoi surprendre. Doofie se dit : "Quoi, il veut  nous aider à trouver notre train, ici, dés l'entrée de la gare?" Doofie en est surprise, on n'a jamais montré autant d'empressement à les aider; Bêtie,si, l'autre jour elle allait râter son train, le dernier de la journée, parce qu'elle n'arrivait plus à aller jusqu'à un quoi lointain avec des cannes, alors, on l'a mise sur une chaise roulante, un homme l'a poussé et même s'il n'a pas couru, Bêtie avait l'impression d'avancer à une vitesse vertigineuse, par rapport à sa vitesse de croisière pédstre habituelle,  et on l'a apportée jusqu'à la pote de son train. M ais ce n'était pas à l'entrée de la gare, Bêtie et Rapidy avait attendu l'affichage du quai du train pendant plus d'une demi-heure.

Mais ce soir-là, même si Doofie avait aussi mal dans le genou, on lui a seulement demandé où ils allaient. On prend le train dans 25 minutes a dit Schnelly, à telle heure,à la minute près. Bien, le quai sera prochainement affiché, a dit l'employé de la SNCF en prendant congé. 

Doofie voulait aller chercher une revue au kiosque à journeaux qui ressemble à une peite boutique avec une pote d'entrée. Trois soldats, dont une femme, avaient pris position autour de la porte, un de chaque côté tourné vers l'extérieur, tels de gardes et un autre avait pénétré à l'intérieur du magasin et est ressorti avant que Doofie y entre et les trois sont repartis. Justement que j'écrivais, il y a environ deux mois dans le roman,qu'on voyait moins de soldats et de policiers dans la gare qu'à l'époque de l'empereur Entrebout. Doofie est allée faire sa course. Elle a pris le train quelque temps plus tard et a bien dormi dans le train après avoir lu et travaillé un peu. L'heure était tardive et le sommeil commençait à envahir ses pauipères.A l'arrivée contraiement à Bêtie qu'on aide depuis qu'elle a ses bâtons, avec ses bâtons tout le monde s'écarte sur son passage, enfin, on ne la bouscule plus. Doofie ne savait pas bien marcher et Schnely avait mis son sac à dos sur son caddie et il descendit l'escalier du souterrain si difficilement,que Doofie l'atendit avant de monter l'escalier à l'autre bout. Elle était en bas de l'escalier, et regardait Schnelly qui replaçait ses sacs en ordre avant d'entamer la ligne droite et plate qui le séparait d'elle, quand Doofie sursauta un bon coup, ce qui lui fait faire un bon de côté mémorable : un énorme chien venait d'aboyer en haut de l'escalier, c'est celui-qui surveille la gare tarad dans la soitée avec son maître, il n'avait pas de muselière comme à l'accoutumée.  Le maître l'a retenu en arrière, car il manifestait une certaine agréssivité vis à vis de Doofie qui ne lui avait pourtant rien fait  à ce pauvre chien. C'est vrai qu'en ce moment,les chiens n'ont pas l'air d'aimer beaucoup Doofie, elle ne sait pas pourquoi.

C'est peut-être à cause des nouveaux droits des animaux que le chien n'a plus de muselière, mais à ce moment là, il faudrait qu'il respecte les droits humains, il faudra les lui apprendre!

Doofie a pris ses gants et son bonnet dans son sac, avant de remonter l'escalier tellement il faisait froid, plus froid qu'à grand métropole régionale, même si on n'est que 100 mètres plus haut et 100 km plus loin de la mer. Le chien et le gardien n'étaient plus là, pourrtant, le chien connait Doofie, il y a deux ans, quand elel revenait de ses cours, elle attendait souvent Schnelly qui rentrait parfois tardivement, vers 9 heures du soir. le gardien était souvent là avec son chien qui gardait sa muselière et n'aboyait pas après Doofie qui attendait en corrigeant ses copies assise sur une chaise en fil de fer jaune qui parfois faisait un accroc à son pantalon.

Doofie et Schnely ont pris le taxi, c'est mieux d'être à trois dans la voiture pour les quatre kilomètres qui restent. Mais le monsieur ou la dame va devoir rentrer tout seul, je pense à lui ou àelle quand il ou elle  rentre après nous avoir déposé, pouvru qu'il ne fasse pas de mauvaises rencontres célestes. Là,Doofie a juste vu un truc clignoter dans le ciel et repartir aussitôt, mais elle n'a pas eu de "trou de mémoire" sur une partie de la route. Mais elle  a eu soudain très mal dans sa main gauche, une douleur qui est pasée aussitôt arrivée à la maison.  Encore bizarre! Pourtant Schnelly n'avait pas claqué la porte sur son bras comme cela arrive parfois...

Doofie raconte :

"Quand j'étais petite, j'avais une tante et un oncle qui avaient un chien-loup agressif, je crois que c'était un berger allemand, à l'époque, je n'avais pas encoe commencé l'allemand, et je suis devenue prof d'allemand, mais à l'époque, le fait que ce soit u berger allemand, cela me faisait peur.. je devais avoir sept ou huit ans. Le chien était dans une espèce de cage dans une pièce rapportée derrière les toilettes. il faisait peur,mais n'avait jamais le droit de sortir quand nous étions-là. C'est mieux qu'une niche,parce qu'il avait chaud.

C'est bizarre que ça me rappelle ce souvenir-là, parce que je me souviens bien de la première maison de ce frère de mon père, qui habitait dans la ferme de ses beaux-parents. la ferme était perpendiculaire à la route et il y avait des champs labourés autour. On y allait toujours faire un repas réveillon à la nouvelle année, un jour on est revenu à une heure du matin vers notre ville, des éclairs hivernaux striaient le ciel alors qu'il faisait moins vingt degrés. C'était impessionant.

Ils ont dû habiter ensuite dans une autre maison où il y avait ce chien-loup, mais je ne sais plus où, ce fut une péridoe assez brève, mais j'ai bien vu ce chien au moins trois à cinq fois.

Ensutie,ils ont habité près d'une usine où mpn oncle était contremaître. On nous a fait visiter l'usine. Je ne susi pas allée plus de deux fois là-bas.

J'ai encore vu cet  oncle à l'enterrement d'un oncle maternel, c'était assez loin de chez eux et ils étaient venus, alors que le reste de la famille de ma mère (ses soeurs) n'étaient pas là, car ils n'aimaient pas beaucoup mon autre tante qui était leur belle-soeur,  (le frère de ma mère) et lui est mort quelque temps après en tombant dans un esacalier.

 

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Pour Doofie et Schnelly (et pour Bêtie et Rapidy)..

 domino

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