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jeudi, 27 octobre 2011

La retraite à 60 ans, bernique!

Roman-théâtre

Beaucoup disent que les profs prennent leur retraite à 60 ans certains même disent, les confondant avec les anciens instituteurs qu'ils la prendraient à 55 ans. La retraite à 60 ans pour les profs, bernique! Quand vous avez fait des études à temps plein au delà de l'âge de 20 ans, il est évident que vous ne pouvez prendre votre retraite à taux complet à 60 ans.

Doofie Bêtie et les autres ont reçu leurs nouvelles évaluations de retraite. Professeur certifiées bi-admisibles à l'agrégation au 11ème échelon elles peroivent actuellement environ 2700 € de salaire à temps plein. Si elle prennent leur retraite à 60 ans elle n'ont pas leur retraite à taux plein pour la partie fonctionnaire de leur retraite (leurs quelques années d'activité professionelle avant l'obtention du CAPES à l'âge de 25 ans, leur compte comme retraite du secteur privé à taux plein à l'âge de  65 ans. La retraite de fonctionnaire à taux plein n'intervenant qu'à l'âge de 63 ans.

Actuellement, si elles prenaient leur retaite, elles auraient 1200 € par moi brut environ, ce qui net revient à 1100 €, les deux retraites cumulée. Donc en continuant à travailler, elles gagnent actuelelment 1500 € de plus que si elles ne travaillaient plus donc c'est comme si certifiées bi-admissible à l'agrégation, elles ne gagnaient que 1500 € par mois, au 11ème échelon. Donc, comme si elles étaient rétribuée à un peu plus d'un mi-temps.

Il faut savoir qu'une fois que l'on prend sa retraite, c'est jusqu'à la fin de sa vie, et que ces 1200 € seraietn ce qu'elle gagneraient jusqu'à la fin de sa vie alors que si elle travaille juqu'à 65 ans, elles aurait 2000 € par mois jusqu'à la fin de sa vie.

Dans six mois elles auraient 1300 € brut de retraite, si elles la prenaient (1200 € net?) , la différence avec leur salaire serait alors de 1400 € environ. Donc, c'est comme si elles ne seraient plus payée que 1400 €, avec plus d'ancienneté que six mois auparavant. Puisque je déduis ici ce qu'elles percevraietn si elles ne travaillaient plus.

Dans un an et six mois, cela augmentant vite, elles auraient 1500 € de retraite si leur salaire n'augmente pas, c'est comme si elles étaient rétribuées 1200 € par mois, soit moins d'un mi-temps : salaire réel - le montant de la retraite = salaire effectivement payé après 60 ans.

Dans deux ans et demi donc, si elle reste certifiée bi-admissible à lagrégation 1700 € brut de retraite ou 2700 € de salaire, soit si lels continuent à travailer : 1000 € d salaire réel comparé à ce qu'elles auraient  en retraite.

Dans cinq ans, à 65 ans, Bêtie et Doofie gagneraient 2000 € de retaite par mois.Entre 63 et 65 ans la retraite de fonctionnaire, déjà à taux plein, n'augmentrerait plus que de 70 à 80 € mensuel de pension, par année supplémentaire de travail, mais par contre, la retraite du secteur privé elle augmenterait entre 63 à 65 ans de 200 € par année travaillée.

A 65 ans, les deux retraites cumulées, elle aurait 2000 € de retraite, toutes retraites à temps complet encore 700 € de moins que son salaire actuel. Si elle travaille jusqu'à cet âge, ce serait la dernière années comme si elle gagnait son salaire 2700 € (elle est actuellement au plus au échelon de son grade), - les 2000 € de retraiet qu'elle pourrait percevori sans travailelr, = 700 € de salaire pour un temps complet de certifiée bi-admissible à 'lagrégation.

Il serait donc plus logisque que, tout en continuant à travailler jusqu'à 65 ans, on touche déjà sa retraite à 60 ans, augmentée du salaire réel, c'et à dire les 1200 de retaite auxquelles on a droit + le salaire complet, puisque quand on continue à travailler, ,on perçoit unn salaire qui est fictivement diminué par la somme que l'on percevrait pour travailler.

Alors pourquoi exiger des TZR de plus de 60 ans qu'ils fassent des temps complet et leur trouver absolument des activités en documentation  ou autre pour compléter leur horaire, alors que s'il ne travaillaient pas, ils percevrait déjà presque la moitié de leur salaire.

Même quand elle est en classe à temps complet, cela corespond à du bénvolat pour la moitié de l'horaier quand il es tcomplet.

J'espère que vous avez compris que le recteur a bien du mal à mettre ses TZR à la retraite,sous prétexte qu'ils ont moins d'autorité qu'avant, si de plus presque la moité du traitement correspont à du bénévolat si on soustait de la somme versée comme salaire ou traitement, le montant de la pension que le professeur TZR ne reçoit pas.

Pour Bêtie et Doofie, qui n'ont pas enive d'être mises à la retraite.

domino

 

 

dimanche, 16 octobre 2011

Doofie réconciliée

Roman-théâtre

Bon, Schnelly est revenu d'Allemange, Doofie l'a laissé poiroter un peu à la porte, puis la laissé rentrer, il a déposé ses paquets, sans que Doofie ne dise mot, puis peu à peu, ils se sont réconciliés.

Il n'a pas dragué la collègue blonde, ni l'autre, apparemment... Doofie a perdu trois kilos pendant son absence, elle a mangé ce qu'elle voulait, c'est-à-dire peu, mais depuis hier, elle a peut-être déjà repris le poids perdu.

Bon, il a peur que sa femme meure de faim.

Allez, bonsoir, soyez rassuré, Schnelly et Doofie habitent toujours ensemble.

domino

vendredi, 14 octobre 2011

Et les arbres?

Roman-théâtre

Quand Doofie et Schnelly sont venus habiter dans ce quartier, il y avait des arbres de 50 ans aux feuillages magnifiques et aux grandes branches qui s'élançaient vers le ciel..

Par deux ou trois fois on a coupé ces arbres aux ras des grosses branches, en faisant des manches à balai, Doofie et Schnelly dégoûtés ont quitté le quartier, mais Bêtie est restée avec Rapidy.

Devant chez Rapidy et Bêtie, il y avait de magnifiques arbres verts qui n'avaient pas été coupés à ras depuis trois ans, il faisaient de belles boules ovales qui avec l'automne allaient prendre des teintes magnifiques, comme dans le quartier que petite Bêtie aimait tant, il n'y avait pas d'arbre dans sa rue, mais pour aller au parc, on prenait l'avenue des Cottages et on shootait dans les feuilles mortes, on marchait dessus, ça crissait et ça faisait doux sous les pieds.

Là-bas dans l'ancienne avenue des cottages, les arbres plus que centenaires continuent à rendre au sol leur lot de feuilles rousses tous les ans devant les villas à l'anglaise, tandis que devant chez Bêtie, on a encore coupé tous les arbres à ras, juste au moment où les feuilles prenaient quelques tons de jaune et s'apprêtaient à roussir et à rougir, donnant à Bêtie et à Rapidy un magnifique cadre de vie et maintenant devant chez eux, c'est de nouveau Désolation Avenue, l'avenue des arbres décapités.

Alors Doofie qui est venue seule et sans Schnelly rendre visite éclaire à Rapidy et Bêtie en prenant l'avion qui a atteri devant la cabine vide de la petite pixie, a pris quelques photos pour les envoyer aux associations du cadre de vie et aux associations écologiques.

Et a dit aux oisiaux : Petits oiseaux chassés des arbres, tous dans les buissons de Bêtie et les quelques arbustes qui restent dans son jardin et qu'un voisin malfaisant n'a pas encore enlevé.

Pour défendre les arbres autour de Bêtie

domino

S'excusera-t-il?

Roman-théâtre

Bien sûr, Schnelly ne s'est toujours pas excusé pour l'avoir envoyé sur les roses aux téléphone et s'être moquée d'elle. Doofie ne l'acceptera de nouveau à la maison que s'il lui présente ses excuses pour s'être mal comporté vis à vis d'elle.

Elle voudrait repeindre l'entrée dans des couleurs ensoleillées, et il ne veut pas...

Elle voudrait faire à manger elle-même et il se met aux fourneaux aux aurores pour l'empêcher de faire la cuisine, et il fait des choses immangeable et qui font grossir et elle doit dire que c'est bon.

Elle commence à débarasser un coin de la maison pour que ça fasse plus beau et tout de suite il est réencombré par un tas de choses hétéroclites, alors qu'avant avec ses affaires à elle, le coin avait l'air à peu près bien rangé. A chaque fois qu'elle ne fait qu'une petite place quelque part il réencombre.

Elle veut faire le jardin, il dit qu'on a pas le temps...

A chaque fois qu'elle veut faire quelque chose pour améliorer son confort, il dit que l'on a pas le temps, que ce n'est pas la bonne couleur, que c'est mieux comme c'est maintenant..

Elle voudrait qu'il s'en aille un mois pendant les vacances pour la laisser faire un mois de rangement sans l'avoir dans ses jambes, et sans qu'il réencombre au fur et à mesure, mais il n'y a pas moyen, il part quand Doofie a beaucoup de choses à faire à l'extérieur comme cela elle ne peut rien entreprendre chez elle pendant qu'il n'est pas là.

Elle voudrait se construire des meubles de rangemant sur mesure pour suivre la forme des murs et remplir les coins et il ne veut pas, il a peur qu'elle se fasse mal.

Elle lui demande de percer un trou dans le mur pour accrocher quelque chose,il la fait attendre deux ou trois ans pour faire le travail demandé.

Il met en panne tout ce qui fonctionne bien.

Dès qu'il se sert d'un appareil, il casse.

Et d'après les gens, c'est lui qui fait tout, car il fait les courses courses, ce que tout le monde peut voir, empêchant Doofie de faire ses cours le soir et d'acheter ce qui lui plaît à elle.

Pour défendre Doofie

 

domino

Schnelly a trop changé, Schnelly sera à la porte...

Roman-théâtre

Schnelly est souvent pas très gentil avec Doofie : moqueries, quand elle était jeune Doofie supportait et répondait en riant. Mais les temps ont changé.

Schnelly est parti une semaine avec ses élèves et deux collègues femmes dont une ancienne élève que Doofie a eu en lycée, une élève toute blonde, gentille et très mignonne, qui avait en allemand des réusltats moyens. Il est parti une semaine en Allemagne avec elles et des stagiaires qu'il n' a même pas e classe. Schnelly a  63 ans passé, presque 64, et il se paie du bon s temps en Allemagne pendant que Doofie qui a des SEGPA comme Bêtie, trime dur avec des élèves difficiles, va à l'université jusqu'à 20 heures et revient toute seule comme une grande à presque minuit, tout en tremblant de peur quand elle est devant la maison à prendre la courrier dans la boîte et à ouvrir la porte et en scrutant le ciel d'yeux inquiets. Mais une chose est sûr, depuis qu'elles sont passés celles-là, ces triangles soucoupes volantes, rien ne va plus dans la vie de Doofie : poste en SEGPA, remontrance des supérieurs hierarchiques, etc...

Et voilà que Schnelly s'en mêle. La semaine dernière, au moment de quitter sa salle de cours où elle fait cours pour des adultes, Doofie s'aperçoit que l'imprimante bloquera à la prochaine photocopie car il manque une sorte d'encre. Pas moyen donc d'imprimer son cours si elle n' a pas d'encre avant samedi prochain, c'est Schnelly qui se charge de la commission d'habitude et les achète dans un supermarché pas loin d'où il travaille. Alors Schnelly dit : O ça ne fait rien, j'irai les chercher samedi prochain matin.

Schnelly ne donne pas de nouvelles de son séjour. Peu de nouvelles. D'habitude, il téléphone trois fois par jour, rien de tel cette fois-ci. Trois soirées sur les quatre, Doofie doit téléphoner elle-même et à minuit en plus.. car, elle attend que sa sonne, mais rien... Il s'amuse bien avec ses deux collègues.... Il est avec la blonde, mon ancienne élève, ou avec la brune...? L'autre je ne la connais pas, elle est plus vieille? Brune? Blonde? Rousse?  se dit Doofie...

Ce matin, Doofie n'a pas cours, elle téléphone pour avoir de ses nouvelles, il devait rentrer que ce soir et faire la route cette après-midi, mais visiblement, le voyage a été avancé. Il n'est plus qu'à 140 km à onze heures du matin. Il va sans doute rentrer à midi ou vers une heure se dit Doofie, je vais lui préparer le repas et le café... Je n'ai pas encore pris le café ce matin, j'attendrai une heure pous prendre la premier repas de la journée.

Elle téléphone vers midi : le car n'est plus qu'à 40 km, mais s'est trompé route, il s'en va vers le Nord au lieu d'aller vers le Sud, il suti son GPS, lui répond Schnelly.

Mais, ça va faire 200 km en plus? Vous allez payer plus cher.

Pas de danger, on a un forfait, répond Schnelly.

Dix minutes après, elle téléphone de nouveau... Alors, tu t'en vas vers le Nord... Non, le chauffeur a changé de route, il revient en arrière, à la sortie où l'on aurait dû sortir avant... Mais pense Doofie, il aurait dû sortir là où il était, une fois la première sortie râtée, c'était plus près de sortir à celle-ci plutôt que de revenir en arrière.

Bon, en fait, non, une heure plus tard Doofie téléphone de nouveau : il est dans la ville qui précède celle de son bahut, ils ont fait une heure de pause pour ne pas arriver trop tôt car les parents viennent les chercher à 17 heures... Les parents? Ils ont tous près de 20 ans et rentre sûrement pour le week-end en train.

Et toi? Qu'est ce que tu fais? Tu rentres? Tu n'oublies pas ma cartouche d'encre? Et tu as ramené les albums pour enfants que je t'ai demandé, pour préparer mes cours de SEGPA?

La cartouche d'encre?  On a le temps jusqu'à demain matin... (On dirait vraiment qu'il veut lui saboter son cours, souvent il entre en plein cours et fait des dgressions, Doofie l'a rappelé mille fois à l'ordre..)

Aucune réponse pour les albums et les imageries... Qu'est ce que tu m'as ramené... Rires et plus rien... Bon, Doofie téléphone de nouveau : Tu rentres quand? J'ai réunion de parents ce soir... Et tu iras chercher ma cartouche en attendant? On verra demain... rires.. ça a le temps... rire...  Et moi, je n'ai rien mangé, je t"attends pour la café... Rires... Le café, on le prendra demain matin...

Demain matin, pense Doofie qui n'a jamais entendu son mari parler avec autant de légèreté et de moquerie dans la voix. Il est chez son ancienne élève, ou chez l'autre collègue? Ou chez une étudiante?

Ce matin, il disait qu'il était dans le bus, mais on n'entendait même pas le moteur du bus dans le téléphone... Il y était vraiment? Il ment à longueur de journée.

De toute façon, j'ai dormi ici tous les jours, et ça fait quatre nuit qu'il a découché. Pour accompagner quelques stagaires qui ne savent même pas parler allemand tous seuls.

Alors, je suis dans mon droit "Allô? " ça décroche quand même... "Bon, j'ai les clefts et tu ne les as pas, ce soir, si tu trouves porte close, ce sera de ta faute, tu t'es trop moqué de moi..." Réponse : rires étouffés. Plus : "Ah oui? " puis plus rien depuis, il ne répond même pas dans l'autre sens, ne téléphone pas de nouveau pour s'excuser.

Je vais faire des ballots avec ses vêtements qui trainent là dans des tas informes formés de livres, de papiers, de copies, de vêtements, de nourriture et d'objets hétéroclites. Je les mettrai devant la porte quand il rentrera, et si je n'ai pas le temps, il n'a qu'à me donner une adresse, je lui enverrai ses habits par la poste.

Au moins, mes tas sont triés par genre, pense Doofie...  j'aurai l'avantage..; et quand je n'aurai plus ses tas informes, j'aurai plus de place pour nettoyer et ranger la maison...

Et ceci après 38 ans de mariage... un vieux qui se moque de sa femme à cause de collègues jeunes. Et qui s'en va avec une jeune. Elle déchantera, quand elle entendra tous les matins les cahiers qu'il range dans ses plastiques infernaux qui crissent comme ce n'est pas possible, que tout les matins elle entendra la sonnerie du réveil à 4 heures et demi ou  heures du matin et qu'il lui criera : "Dépêche toi de te lever, je vais râter le train!"  Quand il dépensera tout l'argent qu'elle gagne à manger et à farie des cadeaux aux autres gens et à ses élèves. Quand, s'ils ont un compte commun comme nous, il ne lui donnera jamais ses comptes, si bien qu'elle ne saura jamais ce qu'elle peut acheter ou non, quand il choisira ses habits pour elle, quand il laissera ses habits et ses affaires aux quatre coins des pièces et fera tomber des papiers sans les ramasser. Plein de petits papiers par terre. Elle verra, sa belle collègue blonde ou brune, si elle le supportera encore, surtout quand il se moquera d'elle.

Leur compte commun est son compte de jeune fille, qu'il aille se faire verser son salaire sur un compte séparé et qu'elle puisse enfin faire ses propres comptes. Depusi le temps qu'elle le lui demande.

(Bien sûr tout ceci n'a rien à voir avec la réalité).

Pour défendre Doofie

domino

jeudi, 13 octobre 2011

Le matériel vaudrait plus que l'humain...

Roman-théâtre :

Du journal de Bêtie :

D'une manière générale, dans le collège où je suis le matériel vaut plus que l'humain, quand l'humain est professeur.

En effet, les récriminations essentielles concernant mes cours concernent le matériel : certains élèves grands et forts de SEGPA 3ème et 4ème déboulonnent les tables par en dessous (ou du moins l'on fait, car ça s'est calmé), ou plient le pied de la chaise libre qui est à côté d'eux (avec les groupes ils sont un par table, mais ont deux chaises!), et alors on me reproche la destruction du matériel par les élèves. Il faut remarquer quand même que ce sont eux qui le détruisent et pas moi. Bien sûr quand une chaise est bancale, ce n'est pas eux qui l'ont cassée car ils s'attaquent toujours aux vieilles chaises déjà resoudées.

Alors pour préserver le reste on a enlevé l'ordinateur, le rétroprojecteur et le système de vidéo-conférence de ma salle. Le rétro-pojecteur, ce n'est pas malin, car ça m'aurait permis de faire cours sans me retourner pour écrire au tableau (à conditions d'avoir un feutre pour écrire le tableau sur les transparents). Et de focaliser l'attention des élèves sur l'écran.

Actuellement, j'ai remarqué que lorque les élèves ne salissent pas la classe, d'autres élèves d'autres classes du collège cette fois, élèves que je ne connais pas, d'autres classes,  lancent des boulettes par la porte ouverte, le temps que j'aille jusqu'à ma porte pour chercher mes élèves à l'intercours. Par ailleurs, ils empêchent mes élèves de rentrer rapidement. Au retour de la récréation, ils se massent avec mes élèves dans mon rang, pour entrer dans l'autre classe, celle qui a sa porte 10 mètres plus loin et font du bruit quand mes élèves sont silencieux.

Et c'est toujours sur moi que ça retombe, toujours moi qu'on accuse de manque d'autorité.

Doofie lit le journal de Bêtie :

On veut pousser les profs au suicide en leur faisaint des reproches pour  sauver le matériel,  on veut détruire Bêtie, une excellente chanteuse à la voix qui a été définie comme un filet d'argent, compositrice encouragée à l'époque par Robert J. Vidal de Radio France, poètesse à ses heures, guitariste presque virtuose (elle serait virtuose si elle avait le temps de jouer).

On se demande en passant pourquoi la première de France, qui est guitariste, n'a rien fait pour relancer une émission sur la gutaire à Radio-France. Ni pour relancer les Cahiers de la Guitare, reuvue de guttare classique de renommée internationale, qui sont morts en 2002 en même temps que l'arrivée de la droite au pouvoir.

Ils veulent tuer Bêtie qui est Mozart, et l'allemand en classe, langue de Mozart et de Bach et de Beethoven, passer sous silence la guitare classique (quand on voit que chanter amène plus de clics sur Internet qu'un morceau de guitare classique nouvellement composé).

Pour Bêtie et Doofie :

 

domino