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mercredi, 13 juillet 2011

Réapparition

Doofie mon personnage de théâtre téléphone à son amie Dummie :

Doofie : Allô, Dummie!

Dummie : Hallo!

(Chez les profs d'allemand le allô téléphonique sonne toujours un peu germanique avec un h expriré!)

Doofie : Tu sais Btie m'a téléphoné, elle a retrouvé son Schanen et Confais.

Dummie : Et où cela?

Doofie : Et bien en fait, c'est Rapidy qu l'a retrouvé, à un endroit où elle avait déjà regardé cinquante fois!

Dummie : Ah... Et elle ne l'avait pas vu.

Doofie : Quand il l'a retrouvé, derrière l'oridateur, il y avait un fascicule et un DVD étalés par dessus et qui le cachait, mais Doofie a trouvé que l'endroit faisait moins plat qu'avant, car effectivement ces deux objets étaient à cet endroit là, mais au ras de la surface. Et là, ça faisait une bosse..

Doofie : Et Dummie pense que c'est lui qui l' a remis en place...

Doofie : Oui, mais... elle ne le lui a pas dit. Quand elle s'est levée une deuxième fois, il était déjà debout, elle n'a pas bu le café, pas pris le petit déjeuner et elle a cherché son livre sans lui dire ce qu'elle cherchait. Schnelly s'est fait d'abords tout doux : Qu'est ce que tu cherches? Rien, a dit Bêtie qui ne voulait rien dire. Mais qui pleurait tout en cherchant. Apparemment ça faisait plaisir à Rapidy qu'elle pleure, car il était tour gentil. ça énervait Bêtie qu'il était autour d'elle. C'était comem si sa peau se hérissait de pics pour le repousser quand il s'approchait d'elle.  Et quand elle lui a dit qu'elel cherchait un livre, il a pris ombrage et a dit "Ce n'est pas moi!"

A un moment, Dooie a dit que même si elle ne faisait plus option linguistique (en raison de sa mauvaise note en oral de lingusitique, sa matière préféré étant la linguistique), il y avait de la grammaire aux oraux.

Bêtie a dit que c'était un truc telement gros qu'on ne pouvait pas ne pas le voir. Elle est descendue au garage et a cherché dans la poubelle.

Quand elle est remontée, Rapidy cherchait dans l'entrée, là où Bêtie a dit qu'elle avait mis l'objet. Sur le radiateur, et puis il s'est retourné a soulevé le fascicle et le DVD et a dit : "C'est là!" Comme s'il le savait déjà!

Bêtie a dit : Pourtant j'ai regardé là 36 fois, et il n'était pas là.

Rapidy, Si, c'était en dessous des fascicules. Tu n'as pas soulevé les fascicules.

Bêtie : Mais ce n'était pas aussi épais quand j'ai regardé.

Dummie : Et comment pourrait-il savoir qu'il n'a pas soulevé les fascicules, s'il n'était pas là quand elle a regardé cette nuit?

Doofie : Non, il n'était pas là, il ne sait même pas qu'elle s'était levée et a eu une quinte de tous de 5 minutes. Quand il dort, le monde peut s'écrouler autour de lui, il ne l'entendrait pas. Il a même dit :"Tiens, tu ne tousses plus, tu n'a pas toussé cette nuit!" Bizarre!

Dummie : De toute façon, le mien il est pareil, quand il me prend quelque chose, il ne dit jamasi que c'est lui.

Doofie : Schenlly, c'est pareil! Moi, je pense que tous les hommes sont pareils. Des cachotiers. Des mahonnêtes, quoi!

Dummie : Oui, pas comem nous les filles. Quand nosu faisaons un bêtise, nous le disons tout de suite, tiens j'ai cassé ça, alors que Quicky cacher soigneusement ce qu'il casse!

Doofie : Oui, ils ont peur de se faire attrapper, mais ça n'améliore pas le climet des couples.

Dummie : Oh non..

Doofie : Tiens, parlons d'zutre chose : si on allait au camping avec la piscine, j'ai envie de me lover au soleil dans mon sac de couchage, sur mon transat.

Dummie : Bonne idée, j'ai envie de nager. On va prévenir nos amies pour qu'eles nous rejoingnent.

Doofie : Mais surtout pas Sweetie qui a râté pour la deuxième fois son stage.

Dummie : Non, seulement les vieilles, mais pourvu qu'elle n'est pas la même idée que nous...

Doofie : Ah, je me languis, la mer qui scintille là-bas, au loin, entre les collines....**

 

Pour Doofie, Dummie et Bêtie, mes personnages de théâtre,

domino

 

** Voir les épisodes des "aventures de Dummie"deux étés précédents..dans la journaliste alternative.

 

 

Nouvelles disparitions

Du journal de Bêtie, mon pesonnage de théâtre :

Depuis envrion un an, je n'avais pas constaté de nouvelles disparitions dans la maison, ou alors,  les choses disparues sont revenues très rapidement, à l'endroit où 'je les avais mises et cherchées vingt fois sans les voir, c'était toujours Rapidy qui les avait retrouvé après que j'eus abandonné mes recherches : "Mais tiens, c'est là, ça crêve les yeux!" Et ouis, c'est exactement où j'ai regardé vingt fois et que ça n'était pas là il y avait cinq minute, car j'avais tout regardé feuille par feuille et ce cahier de cent page, en regardant feuille par feuille, j'aurais dû le voir.

Bon, de ce qui avait disparu il y a deux ans, alors que j'étais en train de nettoyer certains objets qui étaient sur la table de la salle de séjour et que Rapidy venait de rantrer laissant la porte d'entrée grande ouverte, j'ai retrouvé les sets de table, mais mon mértonome en forme de soucoupe volante d'une vert bleuté a bel et bien disparu (j'en avais d'ailleurs acheté deux, il y a longtemps, car le premier était tombé en panne, mais c'est un modèle qui ne se fait plus, et le deuxième, celui en panne, je l'ai encore).

Bon, j'ai aussi deux grammaires Schanen et Confais, une vieille e tune ancienne, comme la vieille est enfouie au fin ond de piles de livres, j'ai utilisé récemment la verte, la neuve, pour mes révisions pour mon concours. Je l'avais même emmenée avec moi en voyage pour réviser entre mes épreuves de concours. Je l'ai bien ramené ici, je l'ai feuilleté encore il y a deux jours, me disant que j'allais en faire une révision systématique, juste au dessus de cet ordinateur qui n'a pas changé de place. La verte, celle que j'avais emmenée dans mes bagages était bien rentrée avecc moi, d'ailleurs j'avais fait une liste de tout ce que j'avais emmené et tout est rentré avec nous à la maison.

Je ne l'ai pas vu hier.

J'ai touvé cela bizarre, mais Rapidy est parti à six heures du matin en pleines vacances scolaire hier matin pour aller travailler dans l'un de ses établissements. Quand je lui ai téléphoné pour lui dire que c'est bizarre qu'il prétend avoir des activités de baccalauréat dans un établissement qui va jusqu'à la troisième (on autre établiseement va jusqu'à la terminale), il m' répondu qu'il fallait qu'il se mette au courant des novuelles choses et qu'il était avec son directeur adjoint. Après il a dit qu'il était allé fixer son amploi du temps qu'il a déjà! Quand je pense que moi, en tant que T2R, je découvre souvent mes emplois du temps la vielle de faire cours dans un établissement et parfois le jour même! Il y a des établissement où on nous donne l'emploi du temps quand on arrive ppour prendre contact et on nous dit "Vous allez en classe!" ça s'est passé l'année dernière sur un remplacement d'une semeiane. On m'a donné les listes d'élèves, l'emploi du temps amenée devant la classe et dit "Tiesn voilà votre première élève qui vient d'arriver!"

Bon, hier, Rapidy l'a pris de haut, il a remis un message sur le fixe alors que j'étais dans un coin de la masion trop éloignée pour répondre à ce teléphone qui sonne cinq fois et se met automatiquement en messagerie comme les portables, un message hatain avec un accent qui n'es pas habituel qui fait nouveau riche de ma vilel natale, en ouvrant très fort toutes les voyelles :"mais oui, voyons, j'étais en entretien avec mon directeur et mon directeur adjoint..." Il le prend de haut, monsieur.. je ne suis que la petite TZR remplaçante, un échelon au dessus de lui, bi-admissilbe (que dis-je tri-admissible) alors qu'il ne l'est pas, même pas mono-admissible, mais il le prend de haut monsieur, il a déjà son emploi du temps en juillet comme tous les ans, un un poste fixe depuis des années.

Mais ma grammare était-elle encoer là hier? Alor qu'il était soi-disant en entretien avec ses directeurs, mystère, car je ne l'ai pas cherchée.

Je me suis levée à 5 heures du matin à cause de ma quinte de tout de fin de nuit (fin de rhume qui trîne) et j'en ai profité pour faire du ménage par terre dans l'entrée, et d'un seul coup, je pense à ma grammaire, je ne sais pas pourquoi, celel qui doit être soit sur la radiateur (froid en été), soit à côté de mon ordinateur, deux endroits où je pose les affaires sur lesquelles je travaille. Et bien... j'écarquille les yeux, elle n'est pas là. Et pourquoi j'ai jsutement pensé à cette grammaire, mystère...

J'ai parlé récemment sur un forum d'avant première postition et d'après dernière position (dans la phrase allemande), alor quelqu'un a-t-il demandé à Rapidy ma grammaire pour voir où éaient écrites ces notions?

PAr aqquis de conscience j'ai regardé tous les endroits  de la maison quej'ai fréquenté depuis la dernière fois que j'ai vu mon livre. Sans succès. Et pourtant ce livre de la tailel d'un distionaire est assez grois pour qu'on le voit facilement.

Peut-être que quelqu'un du quatier a frappé à la porte et dit à mon mari "Tiens, une grammaire allementde, c'est intéressant pour mes enfants" et aura emmené la grammaire, mais comment des enfants ou des élèves pourraient-ils se servir de cette grammaire de niveau universitaire, avec son jardon linguistique inacessible au commun des vivants.

Ce livre est grois et en faisant le tour de la maison, j'aurais dû le voir. Il devrait "crever les yeux" comme dit Rapidy, même au milieu d'un tas de livre ou de cours, je devrais en apercevois la tranche. J'ai vraiment regardé à tous les endroits, avec les nerfs qui se frisaient et l'envie de culbuter tous les tas de livres et de cours. Et j'écris pour calmer mes nerfs qui se sont calmés d'ailleurs depuis, car il n'y a rien qui  ne puisse m'énerver tant que de ne pas trouver quelque chose dont je sais que c'était là avant, et que ça devrait  toujours être là. Ces "disparitions" font constamment l'objet de disputes entre moi et Rapidy. Parfois il prend aussi un livre pour le regarder, mais j'ai regardé à côté du lite de son côté, il n'y est pas.

Il ne faut surtout pas que je lui dise que je ne trouve plus mon livre, car il va se mettre en colère et hurler "Ce n'est pas moi, je n'ai rien fait", même si je ne l'accuse pas et je ne dis pas que c'est lui. Et si je commence à dire que quelque chose à disparu, il va se metre dans une colère terrible contre moi, ses yeux vont devenir rond comme des billes au point que je me demanderais s'il ne va pas me tuer. Alors ne lui dites pas, si vous lisez en douce mon journal, comme le fait parfois Doofie, ou mon auteure domino, que j'ai écrit cela ici.

Je ne suis pas non plus sortie de la maison depuis la dernière fois que j'ai vu le livre, sauf une fois samedi pour aller faire cours à mes adultes (dernier cours de  la saison), mais je n'ai pas emmené cette grammaire là qui est au dessus de leur nvieau.

Alor si ce n'est pas lui qui a pris le livre et l'a peut-être amené dans un coin de la maison où je n'ai pas été depuis plusieurs jours, alors, qualqu'un a-t-il un double des clefs et est-il rentré prendre le livre pendant notre sommeil et pouquoi justement celui-là, quel voleur ce livre peut-il intéresser? Sinon un voleur universtaire ou académique.

Parce que je pesne qu'on essaie de m'empêcher d'avancer dans mes études. La disparition de ce livre n'est rien que du harcèlement universitaire. Mais quel est le rôle de Rapidy là-dedans. A-t-il vraiment intérêt financièrement parlant a faire en sorte que je ne réussisse pas concours, puisque l'on a un compte commun. Ce que je gagnreais en  plus en réussissant le concorus irait  aussi dans son escarcelle à lui! Donc, s'il est complice de la disparition du livre, fainancièrement parlant, il agit contre lui-même en agisant contre moi. Donc, s'il se fait complice des harceleurs académiques, il agit alors contre lui-même, puisqu'on est marié depusi plus de 35 ans, et qu'il ne va sûrement pas partir.

(Bon, voilà, c'était le journal de Bêtie, n'allez surtout pas croire que Rapidy serait mon mari et que cette hitoire soit vrai, c'est du pur roman, sauf que Schanen et Confais (la grammaire) existe vraiment.)

Pour Bêtie, et pour sa défense

domino

jeudi, 07 juillet 2011

Titre ou diplôme?

Blödie, mon personnage de roman-théâtre vient d'avoir essayé le logiciel d'inscritpion à l'agrèg ext pour vous.

Si vous êtes professeurs certifié ou comme Bêtie et Doofie et Dummie, professeur certifié bi-admissible (à l'agrégation), pas de problème.

A la rubrique Titre ou Diplôme, un menu déroulant s'offre à vous : vous sélectionnez soit un titre, soit un diplôme. Si vous n'avez pas de diplôme de Bac + 5, Master 2 ou DEA, pas de panique! Vous sélectionnez votre titre : "Etant ou ayant été professeur fonctionnaire de la catégorie A", ce qui remplace un bac + 5 : professeurs des écoles, PLP2, certifiés, sont des fonctionnaires de catégorie A, les bi-admissible, en échelle de rémunération supérieure d'un échelon aussi.

Plus loin, on vous demande "profession", vous cliquez sur "Professeur certifé", aussi si vous êtes bi-ad, les bi-ad étant des certifiés supérieurs. Bi-ad ne figurant pas dans les professions, par contre agrégé y figure, si vous êtes un agrégé qui veut changer de matière par exemple!

Mais surtout ne cliquez pas sur "licence" ou "maîtrise" dans le premier menu, c'est niveau +3 ou +4, c'est vrotre titre de professeur titulaire de la catégorie A qui vous donne le niveau +5.

(Il y a un an, Bêtie a dû cliquer sur maîtrise et sur professeur certifié, ce qui lui a peut-être sucré son oral, alors que si elle avait cliqué sur Prof. Tit. Fonct. cat. A, il n'y avait pas de problème.

Pour Bêtie, Blödie et Cie

domino

 

 

Toujours pas de hors classe pour Bêtie

Bêtie, l'un de mes personnages de roman-thâtre, n'est pas encore passée à la hors-classe des certifiés bi-admsissible (ou hors classe des certifiés tout court, car il semblerait qu'en hors-classe, on ne fasse plus la différence entre les certifiés bi-admissibles ou non, mais bi-admissible à l'agrégation est un titre que j'espère que ce type de certifié garde quand même, et Bêtie est maintenant admissible trois fois, bi-admissible à l'iagrégation nterne depuis quelques années, elle a été admissible à l'externe cette année .

 

Certains diront "Bêtie est m'as-tu-vue, Bêtie dit qu'elle est bi-admissible pour écrases ses collègues qui ne le sont pas, mais je demande à ^ces collègues là de trimer pour passer leur agrégation tout en faisant des remplacements sur deux établissements sur 2 établissements à 90 kilomètres de chez eux (Bêtie est TZR à remplacement de courte et moyenne durée), en employant les transports en commun, pour voit s'ils font mieux que Bêtie et réussissent à être trois fois admissibles à l'agrégation! Ceux qui disent que Bêtie se vante, c'est de la pure jalousie!

 

L'une de ses collègues admissible pour la première fois à l'agrégation cette année en même temps qu'elle, mais moins âgée, donc ayant sans doute moins d'ancienneté, est passée à l' hors-classe.

Une autre collèuge qui a eu le CAPES interne et n'a jamais passé l'agrégation, est pasée à la hors-classe, elle a commencé à travailler bien dix ans après Bêtie.

Si ces collègues sont passées au choix comme Bêtie (Bêtie n'a jamais passé ses échelons à l'ancienneté, mais toujours au choix (vitesse moyenne), mais cela, on n'en tient plus compte actuellement, depuis qued des principaux ont été mettre AB dans leurs avis pour la hors classe et un inspecteur "défavorable", alors qu'elle avait encore AB l'an dernier. Soit diant que Bêtie n'aurait pas assez d'autorié, alors qu'elle en a eu sur ses deux derniers remplacements, mais l'appréciation a été faite en févirier, juste après le passage de l'inspecteur.

Donc, pour octroyer la hors classe, on ne tient pas compte de l'ensemble de la carrière, mais seulement des dernieèrs années, parfois seulement de la dernière année, du moins en ce qui concerne Bêtie... pour les autres c'est sans doute autrement, car il y a eu deux poids et deux mesures, mais seulement pour Bêtie.

Si le système actuel avait prévalu il y a 10 ans, on aurait mis Bêtie en hors classe tout de suite, car elle vait des B et des TB sur ses notes adl$minsitratives.

Cette année, en arrivant toujours à l'heure sur ses remplacements situés de 35 à 90 kilomèrtres de chez elle, en commandant des taxis à l'avance pour faire les déplacements aux heures où les autocars ne roulent pas ...  Si elle refuse ces remplacements, on lui reproche un manque d'assiduité même si elle est dans la zone d'à côté, alors elle les accepte tous du moment que  c'est sa matière, de l'allemand.

L'une des collègues plus jeune et qui a moins d'ancienneté, passée en hors-classe, avec le CAPES interne et sans admissiblilité à l'agrégation, qu'elle n'a jamais passée, habite à queluqes kilomètres de son établissement seulement.

Or, Bêtie est au onzième échelon des certifiés bi-admissibles à l'agrégation depuis deux ans, ce qui correspond à six ans d'ancienneté au onzième échelon des certifiés classe normale, puisque la bi-admissiblité vaut un échelon en plus (donc quatre ans) et l'admissibilité de cette année devrait compter pour 5 points en plus dans le barême, la bi-admissiblité je crois pour 60 points en plus. Alors, comment se fait-il que des certifiés classe normale, réussissent à passer en hors classe avec moins d'ancienneté que Bêtie qui est dans un grade plus élevé?

En plus, question note admiinstrative, il y a des choses quie Bêtie en comprend pas, par exemple le médiocre en assiduité, alors qu'elle ne manque jamais (sauf des congés style stage ou concours, qui sont de droit pour les concours). Qu'elle n'est jamais malade, ou plutôt elle vient quand même travailler avec 39°C de température, avec la toux qui la tenaille pendant parfois deux mois en hiver, par paur d'être considéré comme pas assez assidue. Bêite va travailler quand elle a la crêve, elle prend le train, se refroidit sur les quais de gare, et met des semaines à guérir. Tout cela pour ne pas être notée "pas assez assidue". Bêtie se lève à 4 heures du matin pour prendre le train à 5 heures 20 quand sa principale a encore 1 heure et demi de sommeil devant elle, dans son appartement de fonction, sans déplacement à faire. Bêite court par mont et par vaux, par temps de neige, de verglas, tombe sur les trottoirs verglacés, se relève, prend des bus, dess trains, des trams, des taxis, sur le verglais ou non, des taxis qui sont parfois pressés car ils ont une autre course apès et roulent trop vite et sont chers. ça, c'est Bêtie, pas assez assidue parce qu'elle ne fait pas de documentation entre ses remplacements d'allemand (les tiutlaires d'allemand n'ont pas à faire de documentation, c'est légal). Ce ne sont que les auxiliaires qui doivent faire des services de rattachement. Mais Bêtie la plupart du temps n'a pas le temps de dire ouf, entre deux remplacement, à peine à la maison à la fin du remplcament pour soigner sa crêve,on la rappelle déjà sur un autre. Encore plus loin, plus compliqué siur le plan de la route.

Il y a heureusement quelques principaux sympas, qui disent à la fin du remplacement : "Bon, ça s'est bien passé, n'est-ce pas?", mais envoient-ils un rapport positif sur elle. Bêtie pensent que quand ça c'est bien passé, il n'y a aucune trace dans le dossier et que lorsqu'il y a eu quelques récriminations de parents concernant par exemple le "changement de méthode", il y a tout de suite un rapport fait.

Toutjours à l'heure, Bêtie a fait tous ses remplacements depuis deux ans, et elle n'a que AB en assiduité et exactitude.

Et toute ses injustices jouent sur son passage à la hors-classe.

Est-ce que cela joue sur l'obtention de l'oral de l'agrégation? Dans la mesure où l'agrégation externe est ouverte aussi aux étudiants qui n'ont jamais enseigné (ou n'ont fait que trois jours de sensibilsation dans en établissement scolaire....:  Qu'est-ce en comparaison des 30 ans d'ancienneté de Bêtie? Pendant ces trois jours de sensibilisation, ils suivent un guide qui leur fait visitér l'établissement, et assistent à quelques cours et encore pas toujours... Et donc, ces étudiants qui n'ont jamais enseigné, sont en concurrence avec des profs (défavorisés par leur dossier d'enseignant?)

Il parait que pour passer le CAPES maintenant, il faut passer en même temps le Master 2 enseignement. Mais pour les certifiés qui enseignent déjà, leur CAPES vaut un master 2 enseignement.

Donc, eux peuvent passer l'agrégation, mais les auxiliaires (bien que Bêtie soit titulaire, je pesne aussi à eux..) vont-ils devoir prendre deux ans de congé pour passer le Master 2 enseignement, s'ils veulent passer le CAPES ou rester auxiliaire toute leur vie?

Généralement, ces MA en obligation de réemploi, ont plus de chance d'avoir des remplacements ou même un poste à l'année que les TZR (tiulaires en zone de remplacement, certifiés, bi-admissibles à l'agrégation et agrégés) qui sont eux de toute façon question salaire déjà "casés", même s'ils sont dans une espèce de chômâge technique (qui n'en a pas le nom, pusiqu'ils restent en actifivté et sont pays pareil pendant les périodes sans remplcament) dû au réemploi des auxiliaires...

Pour la hors-classe, la note d'inspection de Bêtie n'est pas encore mise (pouvu qu'elle ne baisse pas, car elle avait eu des notes relativement élèvées pour ses échelons d'alors par le passé),  et ne comptera que pour l'an prochain, le rapprot d'inspection, lui, compte déjà! Et a inluencé aussi l'appréciation de la principale du collège de rattachement.

PArce que l'année dernière Bêtie avait AB de la part de l'inspecteur et elle n'a plus que "Défavorable" pour la hors-classe (pas pour enseigner, car la hors classe c'est après de nombreuses années de travail), cette année. Et ce rapprot a compté à l'avance. Fait exprès pour qu'elle n'entre pas en hors-classe.

Peut-être que pour la hors-classe, les bi-admissibles ont été oubliés?

La hors-classe n'est pas un concours, mais une liste d'aptitude.

Pour défendre les droits de Bêtie

 

domino

 

mardi, 05 juillet 2011

Les ancêtres de Doofie...

Doofie, Bêtie, Dummie, Foolie, Blödie et Sottie mes sympathiques profs d'allemand, personnages de théâtre ont découvert qu'elles avaient des ancêtres en commun et que finalement, elles s'aimaient bien les unes les autres, car elles sont de lointaines courines.

Doofie est certainement celle qui a le plus d'origines nobles, rois, princes, ducs, empereurs. Doofie est princesse de Taxandrie et de Ligne, reine de Jérusalem et impératrice de Constantinople, par ses ancêtres croisés, et aussi impératrice romaine d'Orient et d'Occident, reine mérovingienne, carolingienne, reine et duchese de sang capétien Valois. Elle descend aussi de bourgmesters de grandes capitales européennes.

Dummie est plus modeste, elle se contente de quelques ancêtres artistes peintres ou musiciens frano-flamands, et de quelques petiets branches nobles de la noblesse flamande, peut-être qu'une branche la rapproche des Carolingiens quand même, elle est quand même écuyère du Prince de Ligne, donc écuyère de Doofie, elle descend aussi de drapiers flamands, d'échevins, de bourgmestres et de baillis de petiites villes.. Quelques seingeurs de... viennent anoblir son arbre généalogique.

Quant à Bêtie, rien de tout cela, mais elle peut situer ses ancêtres géographiquement. Arrivés tardivement dans le Nord de la France, au XIXème siècle, Bêtie est pour moitié flamande, pour un quart wallonne et pour un quart alsacienne. En gros, car on trouve des ancêtres wallons chez les flamands et vice-versa, et aussi des ancêtres allemands dans sa branche maternelle. Cela remonte au XVIIIème siècle et ne concerne qu'un ancêtre à la fois.

Du côté de son grand-père paternelle ses origines géographiques sont essenteillement un petit coin des Flacnres orinetales belges, appelé Ardennes flamandes. Là de la fin du Moyen-âge jusqu'à la Révolution grancçaise, les ancêtres de Bêtie n'ont pratiquement pas bougé, se mariant au plus loin dans les villages d'à côté. Quelque part entre Gand et Courtrai. On trouve aussi quelques meuniers.

Les origines de sa grand-mère paternelle sont moins connues, mais la moitié la fait chercher en Flandres Occidentales, du côté de bruges et l'autre moitié à Sint Niklaas entre Gand e Anvers.

Son grand-père paternel a des origines du coin, la frontière belge juste derrière l'endroit où il, habitait, Mousron par exemple en Flandres Occiedentales, et aussi Menin. Mais il a encore davantage d'origines wallones : Charleroi, mais aussi du côté de Liège et plus à l'Ouest au bord de l'Avesnois sur la frointière belge. Du côté de Liège elel pourrait être apparentée à une célébrite : le premier mari de la femme de Calvin, mais ce n'est pas sûr, mais l'un de ses ancêres portait le nom du premier mari de la femme de Calvin. L'un des ancêtres de son grand-père était un marchand de bas de Coblence en Allemagne, avec ses quatre femmes il a fait une belle descendance en Belgique, juste à côté de la frointière française. L'ancêtre de Bêtie,est morte en couches, jeune encore, le jour de la naissance de l'ancêtre de Bêtie.

Sa grand-mère maternelle a des origines du Haut-Rhin. mais née non loin de la vallée welsch, la vallée alsacienne où l'on parlait franiçais, il y a un beau mélange de patronymes français et alsaciens ou allemands dans la femille de sa grand-mère. On distingue mais toujours dans des villes à proximité l'une de l'autre, ceux des coteaux du vignobles (très célèbres vignobles), mais mis à part les générations récentes formées de journaliers, ils n'étaient pas vignerons, ni viticuleurs, mais on trouve parmi eux un chirurgien... certains noms sont aussi de familles de baillis. Par ailleurs, il y a les noms du pays welsch, qui eux sont plutôt liés au bois et à l'industrie du bois : papetiers, forestiers... l'un d'entre eux, papetier, n'était pas originaire comme Bêtie le croyait initialement d'une famille noble belge d'origine carolingienne, mais d'Allemagne, du comté de Hesse-Darmstadt. Où sa famille travailliait aussi le bois, domiciliée dans les sombres forêts de l'Odenwald. Mais l'ancêtre de cette famille, venait lui-même de Bavière. Des Alpes et fabriquait des violons. Donc, un membre d'une famille de luthiers travaillant le bois de Haute-Bavière est parti vers 1600 trouver son bonheur dans l'Odenwald où sa famille devint forestière, puis l'un de ses rejetons, notre Léonard, partie seul de là s'installer dans les Vosges alsaciennes où il rencontra une alsacienne welsch, parlant français donc. Dont la famille descendanit des Vosges, des sommets des Vosges tant lorrains qu'alsaciens...

Quand Bêtie regarde les origines de sa famille, elle voit qu'ils ont preque toujours logé sur des frontières et aussi des fontrières linguistiques.

Bon, Doofie, Dummie et Bêtie ont une vison un peu différente de leurs ancêtres...

Pour Doofie, Dummie et Bêtie,

 

domino

 

Doofie, un génie?

En ce moment, les médias allemands font beaucoup de cas, d'une génie qui gagne les concours de mémoire de par le monde. Il s'agit de Christiane Stenger.

Dans l'article, il est écrit : "Mit einem Intelligenzquotient von 130 kommt man auf der Richtskala über die Genieschwelle.Nur O,1% der Menschen haben einen IQ von etwa 145 und höher wie Christiane Stenger" (Focus-Magazin).

Traduction (par professeur bi-admissible à l'agrèg, pardon, maintenant tri-admissible et pas encore agrégée, qui a eu deux bonnes notes en thème (écrit + oral), une bonne note en version (écrit) et une piteuse en version orale, pourtant, on la freinait toujours en version orale à l'université parce qu'elle donnait les réponses trop vite par rappot aux autres étudiants et ne les laissaient pas réfléchir, ici, le jury lui faisait parfois répéter plusieurs fois certains mots que visiblement il ne connaissait pas (des mots de français, certains jurys étaient allemands)  :

Bon, traduction par prof tri-admissible à l'agrégation d'allemand  (et certifiée, ouf!), traduction de Doofie :

"Avec une quotient intellectuel de 130 on arrive sur l'échelle de mesure au dessus du seuil du génie. Seuls 0,1% des êtres humains (je préfère cette traduction à celle de "homme" qui est équivoque), ont un QI d'environ 145 comme Christiane Stenger."

Bon, Doofie, elle a été mesuré à 132. Mais il y a des points communs entre Chritiane et mon héroïne de roman-théâtre.

Chritiane s'ennuyait à l'école primaire et se faisait porter souvent malade, jusqu'à ce qu'un médecin découvre qu'elle était surdouée et lui fasse sauter une classe.

Pour Doofie, en France, ce n'est pas le médecin qui a fait le diagnostic, mais l'institutrice, et c'est ainsi que Doofie, qui savait lire depuis l'âge de deux ans, a à l'âge de 6 ans sauté une classe, parce que dans la classe  où elle était, elle avait le maximum des points partout. Donc, Doofie monte deux fois de classe dans la même années, pendant les grandes vacances et à Noel.

Pourtant Doofie, comparée aux autres, n'avait pas une belle écriture, elle avait une écriture de médecin, ce qui lui valu des pages d'écriture sur des cahiers à ligne entre la 6ème et la 5ème. Elle n'avait pas la belle écriture ronde de ses camarades appliquées.

D'ailleurs à l'âge adulte, Doofie a gardé plusieurs éciritures, qui changent aussi avec les stylos, mais on distinguera principalement, l'écriture des brouillond en temps limités, en pattes de mouches avec toutes les finales de mots écrasées, qui est parfois difficile à relire, même pour Doffie elle-même.

L'écriture ronde des copies à rendre, écriture appiliquée des cahiers à lignes de ses pages d'écriture.

L'écriture moyenne, pour les loisires, ni illisible, ni vraiment soignée, de ses cahiers de notes ou de ses préparations de cours.

Et elle a même beaucoup plus d'écritures que cela.

Bon, Christiane s'est encore ennuyée dans le secondaire, au lieu de l'envoyer à l'école spéciale pour les gogoles ou à la Hauptschule, notre SEGPA, en grois, ce que craignait sa mère, on lui a fait malgré les  5 et 6 qu'elle alignait fait sautre deux classes vers le haut et elle a eu à nouveau de bons résultats.

En maths, Doofie aurait pu sauter deux classes vers le haut entre la troisième et la première. En effet, alors qu'elle était en 3ème dans un lycée collège, la crac en maths, crac est un nom qui était donné aux élèves forts dans une matière, ou "fortiches". devenue prof d'allemand, était très sollicitée par les premières M et M' (nos 1S actuels) pour les aider dans leurs devoirs de maths : "Tiens, Doofie, nous on ne trouve pas ça, et toi, tu trouves?" "Ah, oui, répondait Doofie, c'est simple et quelques lignes de démonsstrations plus loin... on avait la bonne solution.

Un jour, le frère de Doofie était avec quatre copain en train de résoudre un problème de géométrie. Ils étaient restés tous les 5 sans trouver la solution, même le crac en maths de la classe de son frère, ne savait pas. Alors, Doofie est arrivée et a dit "Mais c'est simple!" Et deux théorèmes et quelques lignes de démonstartion plus loin, le problème était résolu. "Bon, on va le montrer comme cela à notre prof", on dit les copains du frère de Doofie et le lendemain : "Tiens, tu sais maman, pour le problème de géométrie, c'était ma petite soeur Doofie qui avait raison!"

Doofie, pour le reste n'était pas une élève exceptionnelle. Bien qu'ayant un an d'avance, on disait de Doofie à la fin de l'année scolaire (il fallait 12/20 pour monter, dans son école) : A tout juste 12 et quelques, peut monter, car elle est jeune et très intelligente, mais ses résultats sont en dessous de ses possibilités". En maths, c'était toujours le 2ème prix, jamais le premier, mais la première était à chaque fois différente.

Doofie aimait les matières en géo : géométrie, géologie, géographie, et aussi depuis la quatrième l'allemand, "parce que c'était très logique et que la cosntruction des phrases c'était comme des formules mathématiques".

Et pourrtant Doofie, vient de se payer à l'agrégation des piteuses dans son option linguistique, qui est pouratnt sa matière de prédilection.

Quand à Schelly, il n'a jamais fait son quotient intellectuel, mais il n'a pas son pareil pour retenir par coeur des listes entières de numéros de téléphone, qu'il retient au moyen des codes de départements. PAr exemple la plupart des numéros commencent pour lui par Allier ou Alpes Maritimes.

Doofie se demande pourquoi il ne veut pas faire de teste de quotient intellectuel : A-t-il peur de se trouver en dessous du 132 de Doofie ou bien a-t-il paur au conrtaire, de devoir lui annoncer des performances supérieures à celle de Doofie.

A 132 Doofie est dans un peu moins que les 2% supérieurs de la population. Cependant c'est un QI de 132 mesuré à 57 ans, ce qui lui valait peut-être un QI de 160 à 35 ans, qui est l'âge où l'on a le plus de QI. Mais à 35 ans, Doofie n'utilisait pas ses capacités intellectuelles, elle ne passait pas l'agrégation; elle faisait surtout de la musique et de la poésie, composait, écrivait des vers. Et depuis l'âge de 30 ans elle faisait des improvisations de guitare classique qui ressemblaient à des vrais morceaux de supérieur, bien plus élevés que l'Elementaire 2 qu'elle affichati pfficiellement. Et elle sait toujours les faire. Elle avait envoyée une sutie écrite par elle-même au concours international de France Musique et avait reçu les encouragements de Robert J. Vidal qui l'encourageait à faire le concours de Toronto, qu'elle ne fit pas.

Doofie a souvent été mal jugée par des professeur qui ne l'écoutaient pas jusqu'au bout, tel ce prof de chatn, qui lui donnant une partition à déchiffrer à la guitare, a jugé que le niveau de Doofie en guitare n'était pas bo, et qu'elle ne devait pas savoir faire des arpèges tout en chantant, parce que elle a oublié le # à la clef en déchiffrant cette partition toute simple! Par étourderie.

Un jour dasn un stage, Doofie se faisait atrapée à répétiion parce qu'elle faisait un temps de trop sur une finale, mais Doofie n'osait rien dire, car c'est la prof qui, connaissant le morceau par coeur, ne regardait plus la partition et faisait un temps de moins!

Bon, Doofie n'était pas une élève exceptionelle dans son établissement, mais au bac, elle sortit dans les 7 premières de sa classe de 40, enfin si l'on en juge les mentions entre le 4ème et la 7ème place, et pourtant c'était une classe de génés pusqi'un tiers des élèves avaient 17 ans tout juste (dans l'année civile) comme Doofie ou moins, certaines allaient avoir 17 ans entre septembre et novembre, mais Doofie était la plus jeune des mentions, les autres mentions ayant 18 ans. Certaines de ses copines plus jeunes l'ont d'ailleurs eu qu'à la session de septembre. Doofie avait quand même fait preque toute sa teminale à 16 ans.

En Allemagne pendant les vacances de Pâques, l'Abitur se passant à 19 ans, et Doofie n'ayant alors que 16 ans et pas encore 17, Doofie qui faisait déjà son Abitur frnaçais, passait pour un génier auprès des copines de sa correspondante. Je ne sais pas quel effet cela faisait à sa corespondante qui passait son Abitur à 18 ans, d'être la correspondante d'une surdouée. Mais ce qui la chagrinait était surtout que Doofie jouait le soir de la guitare devant la fenêtre ouverte de la chambre (chez elle, en France) faissant entrer tous les moustiques auxquels sa correspondate était allergique. Doofie aussi était allergique aux moustiques et aimée par eux, mais sa correspondante avait leur préférence! Voilà ce que c'était d'être la correspondante d'une surdouée.

C'était l'assistante d'allemand de première qui les avait assorties : "Je vais te donner cette correspondante là parce qu'elle est sérieuse, avait dit l'assistante, elle correspond mieux au style de tes parents".

Bon, être surdouée, encore maintenant, c'est pour Doofie, ne pas être comprise des autres, par exemple, employer dans la conversation des mots qu'ils ne comprennent pas... ou avoir des théories astronomiques qui ne correspondent pas aux normes. Voir des changements dans la nature, dans la hauteur des collines et le positionnement des collines entre elles, là où d'autres ne voeint rien. Vori qu'il y avait moins d'étoiles (pendant une durée d'environ 3 ans) ou s'aprecevoir que les oiseaux étaient partis plus tôt (l'an dernier) alors que les autres nient farouchement ce qu'elle dit. Etre surdouée, c'est remarquer tous les changements impreceptibles de l'environnement. C'est aussi lire tellement vite que les livres et autres documents écrits envahissent la maison. C'est avoir une curiosité intellectuelle insatiable dans beaucop de domaines. Ce qui fait dire qu'elle est trop éclectique... C'est s'enthousiasmer tout à tour pour certaines disciplines, comme actuellement la généalogie, Doofie découvrant avec étonnement les patronymes de ses âncêtres, en se disant, ils étaient un peu comme moi et s'appelaient comme cela? Alors j'ai un peu de leur mémoire, de leur nom, de leur prénom en moi. Des patronymes vieux flamand, qui semblent sortis de vieux grimoires et qui paradoxalement des gens portent encore, si on en croient les nombreux amateurs de Facebook qui les portent. Elle s'imagien qu'on l'apelle par ces noms là, ou les porter elle... et cela lui fait tout drôle... elle s'apelle Marie, Marguerite, Hermine, Jacquemyne, Petronella ou Pétronille, Pélagie, Judoca, Jacoba, et si elle était un homme, Jehan, Perceval, Colin, Pierre, Jean, Hermès, Egide, Gilles, Martin, Léonard, Ferdinand,Nicolas ... Bon, vous aurez des idées pour vos futurs enfants... Doofie a retrouvé plus de 300 ancêrtes en ligne directe. Certains noms l'intrigue : d'où venaient ces familles bien aux nombreux représentants, lors de la Renaissance et de l'époque baroque (classique chez nous..).... ? Des alliances plus ou moins somptueuses, mais jamais dans la très haute noblesse, plutôt dans les decendances de branches cadettes, et des échevins, des maires, des bourgmestres, des baillis, un chirurgien du XVIIIème siècle, et un déclin énorme lors de l'industrialisation au XIXème siècle. Ceux qui avaient des terres sont devenus agriculteurs, puis journaliers (ouvriers agricoles s'employant au jour le jour) et les gens des villes, de drapiers, sont devenus ouvriers du textile.

Ces familles qui avaitent fait du mécénat et avaient donné aux oeuvres religieuses, se sont soudain retrouvées, d'avoir trop donné, sans argent. C'était ses ancêtres,dont les ancêtres étaient princes et empereurs, mais il parait que nosu descendons tous de princes et d'empereurs. Et de rois...

Alors, ce ne doit pas être cela l'intelleigence, bien que Doofie allant de ville en ville et de collège en collège contate des différences locales dans la mémoire et l'interlleigence des élèves, surtout dans leur mémoire, et se demande si les facultés intellectuelles ne seraient pas dépendantes de facteurs géorgraphiques dus à l'environnement : qualité de l'eau, de l'air repiré, de la nourriture, peut-êre prédilection pour tel ou tel aliment dans la cantine du collège. Ou bien des facultés héritées d'un ancêtre commun dans un secteur géographique. Doofie en faisant de la généalogie a remarqué comment les gens d'un même coin se maraient entre eux. Dans le même milieu social. Les familles se déplaçant petit à petit sur de petites distances ceci d'Est en Ouest, ou de Nord-Est en Sud-Ouest, la plupart du temps.

Bien sûr pour les facultés intellectuelles il faut faire attention à certaines choses : pas de drogues, pas d'alccol qui amoindrissent la mémoire. Doofie n'a jamais fumé, et ne sait pas si le tabac est un stimulant de l'intellect comme certains le prétendent ou non. Elle n'en a pas fait 'lexpérience, mais son QI la satisfaisant largement, elle n'ria pas en faire l'expérience. Que l'alcool amoindirt la mémoire, cela est attesté, car certaines maladies ressemblant à Alzheimer sont dues à l'alccol.

Doofie parle 3 langues couramment, 2 autres plus ou moins couramment, et a étudié trois autres langues en pleine maturation dans son esprit, et qu'elle devrait dominer aussi bientôt. Comme quoi avoir un fort QI devrait contribuer à faire des choses bien agréables dans la vie. Mais comme dit Doofie, elle se sent souvent seule et incomprise, et même Schnelly ne comprend pas ou ne veut pas comprendre tout ce qu'elle dit.

Quand Doofie explique quelque chose qu'elle atrouvé par intuition ou démonstration, Schnelly qui se range du côté de l'opinion généralement admise, dit que ce n'est pas vrai, jusqu'à ce qu'il s'avère que Doofie avait raison!

Les gens comme Doofie sont aussi là pour monter la route. C'était comme pour Léonard de Vinci ou Jules Verne...

Pour Doofie :

 

domino