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mercredi, 27 juillet 2011

Disparation orageuse...

Conversation entre mes personnaes de roman-théâtre.

Doofie : Tu as vu cette drôle de siparition, ils ont trouvé le corps de la femme à moitié calciné

Dummie : Il parait qu'ils ont trouvé le coupable.

Doofie : Le coupable? Dans toutes ces histoires là, il faut toujours un coupable. Moi, je pese à autre chose, une cause naturelle.

Dummie : Une cause naturelle, un feu de forêt?

Doofie : Non, l'oralge, cette femme était partie se promener et a été tpuchée par la foudre.

Dummie : Ah! Oui! Je n'avais pas pensé à cela... Et les enquêtreurs non plus.

Doofie : Tu sais que parfois, la foudre peut faire disparaître complètement les personnes et qu'on ne les retrouve jamais!

Dummie : C'est vrai?

Doofie : Oui, Schnelly et moi, nous avions un copain qui habitati près d'une forêt. Et il y avait des aptûres derrière chez lui...

Dummie : Et il a disparu foudroyé?

Doofie : Non, pas lui quand même. Mais son grand-oncle qui habite dans le même coin, aussi avec des patures derrière chez lui,, lui a raconté une hsitoire, enfin, je ne sais pas si l'histoire de l'oncle est vraie, ni si le copain n'a pas inventé une hsitoire soi-disant racontée par l'oncle. Parce que avec lui, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon. Il raconte l'hisoire d'une façon tellement amusante, en tenant tout le monde en haleine, que l'on en sait jamasi si c'est vrai ou pas... d'ailleurs il aurait pu faire une carrière d'humoriste de scène....

Dummie : Et qu'est ce que c'est cette histoire?

Doofie : Et bien (Doofie prend un air mystérieux)... Son grand-oncle lui aurait raconté qu'un soir il revenait des champs avec un cousin et ils étaient environ à 200 mètres de leurs maison, il y avait de l'orage,et d'un seul coup l'oncle s'est senti propulsé à terre. Quand ils 's'est relevé, il a vu son cousin debout à côté de lui. Son cousin ne bougeait plus. Il l'a appelé, il a dit "Eh? ça va?" et son cousin n'a pas répondu il a insisté toujours pas de réponse... pourtant le cousin était debout à côté de lui. Il a fait enceor "Et ça va?" et le cousin s'est écroulé en poussière à coté de lui.

Dummie : C'est vrai, cela? Mais ce n'est pas possible... !!! ET ses vêtements.

Doofie : Tout avait disparu, l'homme et les vêtements, le manche en bois de sa fourche, il ne restait plus que la partie en fer de sa fourche.

Dummie : C'est dangereux de tenir une fourche avec un bout en fer quand il y a de l'orage...

Doofie : Oui, n'empêche que le cousin n'était plus là.

Dummie : Et qu'a fait le grand-oncle?

Doofie : Il es rentré chez lui, puis il a raconté l'historie au village et à ses neveux et tout... il était célibataire et n'avait pas d'enfants.

Dummie : Celui qui est mort?

Doofie : Je n'en sais rien, mais le grand-oncle était un célibataire qui vivait tout seul dans sa masion à l'orêe des bois.

Dummie : Et c'est vrai cete histoire.

Doofie : J'ai dit à notre copain qu'on ne le croyait pas, mais lui, il a inscité et dit que c'était véridique. "Si,si véridique, je te le dis..."

Dummie : Brr... j'en ai la chair de poule. Parlons d'autre chose.... Quand part-on en vacances.

Schnelly (qui a entendu la fin de la conversation) : C'est dangereux aussi au bord des piscines par temps d'oralge, L'eau attire la foudre.

 

Pour Dummie, Doofie et Schnelly

 

dominique

Des drôles d'animaux

Petite conversation entre mes personnages de roman-théâtre :

- Dummie : Tiens, regarde cette image sur Inernet, une voiture avec des yeux, une bouche et un nez e-t les roues qui font des pattes.

- Doofie : C'est exactement comme cela que je m'imagine les voitures depuis mon enfance, quand je vois les voitures dans la tue, j'ai toujours 'limpression de voir des êtres avec deux yeux (les phares), et une bouche (lespace grillagé au dessus du pare-choc), et parfois un nez (l'écusson de la marque). Et le front, c'est la pare-brise et l'habitacle, les roues, ce sont les pattes. C'est exacement comme cela que je vois les voitures depuis mon enfance, et d'ailleurs je regarde toujours la voiture et jamais les gens qui sont dedans. Quand ce sont des gens qui me connaissent qui me disent bonjour, je ne les vois même pas, je suis omnubilée par les yeux de la voiture : a-t-elle un visage sympa ou pas... selon la forme donnée par le constructeur, certaines boudent, d'autres rient, d'autres sont hautaines...

- Dummie : C'est vrai, moi, je les vois aussi comme cela. Dans mon adolescence, on avait une Taunus 12 m, elle avait deux visages, un avec des yeux ronds à l'avant, et un avec des yeux de chinois à l'arrière. En vacances on la garait le long du mur du jardinet de la maison, et comme il y avait une pente pour arriver jusqu'à la maison, on la voyait de loin, de dos, avec ses yeux bridés de chinoises.

- Doofie : Oui, mais moi, j'ai pensé à autre chose, c'est pour cela que j'ai peur quand Schnelly roule la nuit...

- Dummie : Ah bon...

- Doofie : Ben oui, imagine un peu... S'il y a des extra-terresres et qu'ils arrvient à proximité de la terre, ils vont voir tous ces drôles d'animaux en fer sur les routes et ils vont croire que ces animaux en fer sont les habitants principaux de notre planère, alors, pour avoir un exemlaire de ces animaux, ils pêche des voitures complètes sur les routes avec  tous leurs occupants. Et ils croient que les coccupants ce sont les organes internes des voitures et après, ils oublient de nous donner à manger...

- Dummie : Une fois arrivés sur leur planète, vous pourriez alors sortir de la voiture et vous manifester...

- Doofie : Et s'ils nous mangent???

- Dummie   Non, car ils vous mettraient dans un zoo ou un musée pour que les gens puissent voir ces spécimens bizarres d'animaux qui vivent à l'interieur de  drôles d'humains en fer...et à quarte pattes. En fait, ils metraient une étiquette devant votre cage : animaux parasites des humains de fer.

- Doofie : Bon.... On va arrêter cette convesation là... Non seulement, c'est rocambolesque, mais en plus tu nous traite de parasites!!

- Dummie : Ah, non, je n'ai jamais dis cela, ma petite Dummie (elle lui fait une grosse bise sur la joue pour se faire pardonner). Et d'abord c'est toi qui a commencé à parler d'extra-terrestres.

(Schelly arrive dans la pièce)

- Dummie et Doofie en choeur : Tiens, voilà un animal parasite des humains de fer, on va le metre dans une cage.

- Schnelly : Mais je suis déjà dans une cage ici... Quand part-on en vacances?

Pour Doofie, Dummie et Schnelly

 

domino

 

samedi, 23 juillet 2011

TRansat ou TRanspi?

Mes personnages de roman-théâtre sont en train de discuter entre elles :

Dummie : Tiens, tu as vu Doofie, sur ma page d'accueil d'internet, ils ont piqué ton idée!

Doofie : Mon idée ?

Dummie : Oui, regarde, ils parlent de transat! Il y a un an d'ici, personne ne parlait plus de transat!

Doofie (lit) : Ah! oui! Les stars, transpi ou transat! Mais elle, sur la photo, elle est plus mince que moi!

Dummie : Plus mince, peut-être, mais pas plus jolie. Tu es plus belle que toute les stars du monde, Doofie!

Foolie : Tu es la star de notre académie! La meilleure prof du monde!

Doofie : Oh, oh, que d'éloges! C'est trop! Mais sur son transat, elle a oublié de mettre un duvet, regarde, ce n'est pas bien en bikini comme cela ! Elle se montre à tout le monde!

Dummie : Ah! C'est pour cela que quand tu es sur ton transat, tu t'emmitoufles dans un duvet avec des fentes pour passer les bras pour tenir un livre, l'ordinateur portable de poche ou ta guitare.

Sottie : Tu parles, en vacances, elle ne prend qu'un ukulélé!

Doofie : Oui, de toutes façons, ils ne nous on prie que notre idée transat, enfin, pas la noter, celle de notre auteure et conceptrice, domino, la journaliste alternative!

Dummie : Ah oui, ils ont oublié le duvet avec des fentes sur les côtés pour passer les bras. C'est vrai Doofie. Mais c'est vrai aussi qu'il y a un an, on ne parlait plus de transat.

Sottie : Il parait qu'ils ont même cherché dans le dictionnaire ce que cela veut dire!

Dummie : Et oui, c'est comme cela, domino, noter auteure, qui n'est pas payée pour cela, sert comme d'habitude de donneuse d'idées.

Doofie : Et oui, mais nous nous adorons domino, car sans elles, nous n'aurions jamais pris vie!

Dummie,Sottie et Foolie, ensemble : Vive domino! Vive Doofie et les transats et les duvets!l

De loin on entend Rapidy et Schnelly appeler :

Schnelly et Rapidy : Eh, les filles, manger!

Doofie et Dummie  (d'un air dépité) : Ils ont fait la cusine... ça va encore être bon...

domino

Lien

http://divertissements.fr.msn.com/people/photo.aspx?cp-do...

 

lundi, 18 juillet 2011

Une mobylette peu aimable...

Doofie, mon personnage de roman-théâtre,  a décidément du souci avec sa maison, dès que l'heure de l'été est arrivée et que la végétation se met à pousser et que les gens se mettent à vivre dehore.

L'autre jour, elle a constaté que deux des arbres de sa haie disparue l'année dernière laissant place au vieux grillage rouillé, les deux arbres survivants de sa haie ont disparu aussi. Dont celui qui formait un joli éventail à trois branches à côté du sapin.

Deuxième déconvenue : une petit garçon qui demande à son mari Schnelly s'il a un problème. Il le regarde méchamment en disant "T'as un problème?"

Le même petit garçon a-t-il cherché à se faire pardonner. Quand Doofie a chanté dans ses toilettes et que ça s'entendait de dehors, il est venu dire : "Elle chante bien la dame monsieur, c'est qui?" "Ah! C'est votre femme, vous lui direz qu'elle a vraiment une belle voix, j'adoooooore!"

Bon, voilà qu'il est tombé en adoration devant la voix de Doofie maintenant.

Cette après-midi, Doofie a fait le jardinet de devant, sans sécateur, parce qu'il est introuvable, elle a pris des ciseaux à la place, mais ceux-ci n'ont pas résisté contre la branche de rosier qui a piqué Doofie a pluseiurs reprises, le rosier s'est vengé de sa coupe légère, (branches qui portent des fleurs fânées et branches mortes) non seulement en piquant Doofie, mais en cassant aussi ses ciseaux.

Bon, tant que ce n'est qu'un rosier (aux magnifiques roses rouges velours), qui se fâche, ce n'est rien.

"Röslein sprach, ich steche dich.."

Bon, mais ensuite ce fut le rodéo de mobylette.

Quand Doofie entend des mobylettes faire vrombir leurs moteurs, toutes portes de la maison fermées, elle croit que ce sont des jeunes de 15 à 20 ans qui s'amusent, surtout quand les mobylettes passent et repassent faisant du rodéo. Mais là c'est un homme d'environ de 35 à 4, 5 ans qui habite dans la rue d'en face, le crâne rasé, qui fait vrombir sa mobylette en faisant des tours sur place juste devant la maison de Doofie, juste 5 tours en suivant avant de rentrer chez lui. Comme Schnelly était là en train de rentrer les branches et l'herbe dans les sachets ppubelle pour les déchets verts, ce n'est sûrement pas pour frimer devant Doofie qu'il fait ainsi du rodéo devant elle. Les hommes qui font du rodéo à mobylette, ce n'est certainement pas son genre.

Quand Doofie prend sa guitare (rarement en ce moment), elle entend régulièrement une mobylette qui se rapproche et vrombit  devant la maison, c'est même pénible quand elle fait des enregistrements, mais tant pis le moteur de mobylette est alors publié en même temps que la joli muisque de guitare et les internautes du monde entier peuvent entendre la mobylette qui gêne Doofie.

Ou alors ce sont les perçeuse des voisins, inactives depusi plusieurs semaines qui se réveillent quand Doofie joue de la musique!

Parfois, mais là c'est involontaire, c'est le réveil que Schnelly avait réglé pour 5 heures du matin qui se met à sonner à 5 heures du soir en plein enregistrement sur sa composition vocale  a capella. Quand Doofie met sa 9ème voix en superposition sur les autres.

Bon, bref, volontairement ou involontairement, alors que cette cité (-jardin)  était jadis si calme, le bruit est devenu le lot quotidien de la musicienne.

Il faut dire que les musiciens ont tous quitté la cité : le vosin qui jouait del'orgue électonique et répétait Mamy Blue, Hey Jude, Yelllow Submarine, et Petite fleur tous les midi à la même heure est parti depuis au moins 10 ans, et le vieux monsieur qui jouait de l'éccordéon vient de partir en maison de retraite. Elle n'entendait d'ailleurs l'accordéon que l'été quand les fenêtres étaient ouvertes ou quand le monsieur jouait (de moins en moins souvent) sur la terrasse. Et Doofie aimait bien parce que ça lui rappelait les bals folks de sa jeunesse.

Alors...

Voilà pour le moment, c'était les nouvelles de Doofie.

domino

samedi, 16 juillet 2011

Arcanes adminsitratives

Il y a deux ans, Foolie, autre personnage de roman-théâtre, a rempli son dossier d'inscription à l'université au mois de juillet. Vers le 12 juillet son dossier web était emballé et part à la poste. Complet avec le chèque du montant des droits demandés par le calcul de l'ordianteur. Quelques jours plus tard, vers le 18, Foolie reçoit son dossier en retour, elle a payé trop cher et on lui a révisé ses droits d'inscription à la baisse avec envrin 5 € en moins. Foolie fait un nouveau chèque et renvoie son dossier une deuxième fois. Quelques jours plus tard, le dossier revietn avec la seomme encore révisée, Follie refait un chèque et envoie une troisième fois son dossier en lettre suivie. Le dossier arrive pendant les vacances universitaires, reste 15 jours à la poste puis est considéré comme refusé par le destinataire et revient. Dans les jours qui précèdent la réouverture de l'adminsitration universitaire, Foolie envoie son dossier avec une lettre explicative disant que le poste a refoulé son dosseir car l'unvesité a attendu plus de 15 jours pour aller le chercher à la poste. Quelques jours plus tard Foolie reçoit son dossier en retour demandant un montant de droits d'inscription égla à celui du premier chèque de début juillet. Foolie, qui poste rarement bien son nom, a failli devenir folle et elle envoir son dossier avec le chèque qu'elle avait reçu en retour en juillet et reçoit enfin sa carte d'étudiante.

C'est mlaheusement le cas des étudiatns qui sont des parcours un peu particuliers car ils sont isncrits dans plsueiurs préparations à la fois, dans des cursus à des niveaux différents et qui ont des inscriptions "hors normes".

Quand elle rapportait son dossier elle-même, Foolie se faisait parfois attrapée par l'étudaitn à la chaîne qui l'estimait troip vieille pour s'inscrire en agrégation externe, alors qu'il n'y a pas de limite d'âge pour paser l'agrégation. Mais il voulait bien l'inscrire en agrégation interne ce qui ne lui permettait pas de suivre tous les cours, car toutes les questions de programmes de l'interne sont incluses dans l'externe, mais pas le contraire. Et les profs de l'UFR finissait par se plaindre que plus personne ne s'inscrivait en externe. PArce que le fait que l'étudaitn qui recevait les autres étudiants à la châîine, décourageait les plus âgés de s'inscire en externe (mais cependnt ils s'inscirvaient au deux concours qui est une inscription séparée, heureusement!), il finissait par ne plus avoir que quelques étudiants venant de maîtrise ou de M1 en agrégation externe. Mais finalement, cela ne s'est produit qu'une seule fois, que Foolie n'a pas pu s'inscrire à la préparation universitaire d'externe. Beaucoup s'inscrivaient aussi en droits réduits pour les profsserus à l'interne, alosr que les doits d'externe, même pour les professeurs nétaient pas réduits, alors que c'est le fait d'être professeur qui ouvre droit à des droits réduits, et non pas le type de préparation.

A Foolie, professeur certifiée qui avait déjà une admissiblilité à l'agrégation (de l'année précédente), l'étudiatn à la chaîne avait fait une réflexion du type "O de toute façon, vous n'avez pas le niveau pour vous inscrire" et pourtant il s'agissiait d'une réinscription. L'éudiant avait parrait-il été admissible au CAPEs et avait un niveau selon lui beaucoup plus élevé que le sien, car il était un étudiant récent.

Pour Foolie

domino

 

 

vendredi, 15 juillet 2011

Des enfants peu affables...

Voici une aventure qui vient d'arrriver à ma sympathique Doofie, mon personnage de roman-théâtre qui n'a pas encore pris le chemin des vacances :

Après avoir fait quelques courses et les avoir déposées à la maison, Doofie et son mari Schnelly font le tour du pâté de maison pour jeter un coup d'oeil sur l'arrière de leur propre jardin. Le chemin qui borde les jardins à l'arrière est public de même que tous les trottoirs de la cité.

Bon, on va derrière, on devise sur les arbres, car on voit que la municipalité a rasé les deux arbres qui avaient poussé dans leur haie et dépassait leurs feuillages rafraîchissants au dessus du chemin (aux frais de la municipalité,) mais on remarquera que ailleurs de nombreux arbres très grands dépassent au dessus des chaussées où passent les voitures, bien sûr ce n'est pas une critique, car moi, la journaliste alternative, auteure de ce roman, et Doofie, nous aimons les arbres. Elle a un drôle d'air, leur haie qu'ils ont déjà rasée à plat l'an dernier, laissant apparaître le grillage rouillé. Doofie dit a Schnelly qu'en mettant du papier de verre sur une cale de bois et en frottant méticuleusement le vieux grillage, vieux des années 60, on pourrait enlever la rouille. Bon... ceci dit, Schnelly et Doofie, après avoir devisé derrière leur propre maison, rentrent par le même chemin, en contournant par les trottoirs la maison de la voisine que avait râlé sur Doofie l'an dernier en disant que ce n'était pas normal qu'elle laisse Schnelly, ah le pauvre Schnelly, quel esclave! faire les courses, et qu'elle, la paresseuse, elle ferait bien d'aller les faire elle-même. (Peut-être que si Doofie n'avait pas préparé l'agrégation que Schnelly ne passe pas, elle aurait autant de temps que lui, mais les voisins ne savent pas que Doofie est prof, qu'elle se lève parfois à 4 heures du matin pour aller faire cours dans des endroits eloignés, ces voisins arrivés depuis peu, alors que Schnelly et Doofie habitent là depuis vingt ans, et qui ne savent pas que Doofie est prof.

Doofie était en train de dire à Schnelly que les fleurs là du coin était belles, quand un gosse surgit devant eux, un gosse d'environ 8 ans, et dit à son mari "T'as un problème?", alors que l'on passait sur le trottoir de sa maison. et cela d'un air méchant! Schnelly comme à son habitude marchait devant Doofie qui parlait derrière lui pour qu'il entende. Schnelly a répondu "Et toi, t'en as un? Tu veux que j'en parle à ta mère?" Bon, on sait que depuis l'histoire des arbres, tout le quartier leur en veut et ne leur parle plus, et plus personne ne dit bonjour à la sympathique Doofie et à son mari parfois soupe au lait avec Doofie.

Bon, si Doofie appliquait le code de l'éducation, elle devrait aider Schnelly à déposer plainte contre le gosse et ses parents, pour que soit appliqué à cet enfant lle code pénal (6 mois de prison pour injures, c'était marqué sur le sujet de Bêtie, de l'épreuve "Agir en..." mais elle a dit que pour un enfant de 6ème, on ne l'enverrait pas en prison, qu'il fallait doser la sanction en fonction de l'âge et des antécédents. Et les parentss devraient verser 25 000 euros d'amende. D'après le code pénal.

Il est bien visible que c'est l'enfant qui a agressé verbalement Schnelly. Moi, je pense qu'il ne fait qu'imiter les adultes, peut-être un moniteur du centre aéré qui dit aux enfants agaçants "T'as un problème?" (c'est assez courant chez les jeunes professeurs qu'ils s'adressent ainsi aux élèves et même partois à leurs collègues plus âgés. Doofie quand elle fait des remplacements et que les collègues croient qu'elle est une auxililiaire et ne savent pas qui elle est exactement, s'est déjà payé ce gerne de réflexion de collègues, en général des hommes. Ou le père parlant à une autre personne ou à la mère ou aux enfants et disant "T'as un problème." même si à la place de Schnelly, soit je n'aurais pas répondu, soit j'aurais plutôt parlé du directeur de l'école (mais je crois que c'est le maire qui ne les aime pas à cause des arbres, alors...) et dit, je vais le dire à ton directeur, ou alors, je vais le dire à ton principal. Généralement le principal fait plus peur. Ou carrément : "Je vais le dire à la police", ça fait encore plus peur. mais je ne suis pas à la place de Schnelly. Mais je n'aurais pas dit Je vasi le dire à ta mère", parce que généralement la mère tient avec ses enfants.

Peu de temps après que l'on soit rentré, ça a frappé à la porte, soit un gosse, on était entre midi et ils n'étaient pas au centre aéré. Soit les parents qui venaient râler. Alors, Doofie et Schnelly n'ont pas ouvert. Vont-ils encore devoir passer tout l'été en s'enfermant chez eux pour ne pas subir les quolibets des enfants de la rue. Et d'abord Doofie se demande si les carreaux de l'an dernire, c'est vraiment la tempête qui les a cassé et pas les enfants?

En plus, en ce moment, Doofie finit on rhume, elle tousse et a des nausées quand elle marche trop longtemps, elle a visiblement attrappé le rhume de Bêtie et peut-être ses problèmes intestinaux qui semblaient guéris chez Bêtie. Comment? Elles n'habitent pas dans le même coin? Mais elles se sont rencontrées à l'oral de l'agrégation, il y a deux semaines! Elles ont été recalées toutes les deux..; Mais l'année prochaine, c'est promis, c'est

première :Doofie Schnelly de Taxandrie et de Ligne,

deuxième : Bêtie Rapidy de Brabant Hainaut ,

troisième, Dummie Quicky, écuyère de Ligne,

quatrième Sottie.... , etc...

Pour le moment elles n'ont pas été classées, alors que dans les années 80, on classait jusqu'au 9OOème de l'agrégation. Et pas seulement les 40 premiers, non il n'y avait pas 900 postes, mais 40 admis et 900 classés. Même les non admissibles étaient classés, comme cela ils savaient s'ils étaient loin ou près de l'admissibilité.

Bon, revenons à nos moutons : Schnelly et Doofie vont-ils oser quitter leur maison pour les vacances, en effet l'année dernière, en août, les enfants n'arrêtaient pas de venir frapper à leur porte, de monter les escaliers du perron, etc... Alors on leur a dit d'aller jouer plus loin, et maintenant, ils ne tolèrent plus que l'on marche sur leurs trottoirs, pourtant ils roulent encore sur le leur avec leurs vélos.

Et puis... s'ils ne font pas leur jardin, c'est parce que dès qu'on les voit dans leur jardin, on leur demande de le faire entièrement plus vite que ne pourraient le faire une armée de jardiniers munis de sécateurs. Dès qu'ils commencent à nettoyer quelque chose à l'extérieur, on leur dit : et ça, ce n'est pas encore nettoyé? Alors, ils ne se montrent plus, font semblant de ne pas être là. Les ennuis arrivent dès que la végétation pousse, en hiver, on ne leur dit rien. Eux, par contre, ils mettent du gros sel sur le trottoir quand il neige ou qu'il y a du verglas, alors que les voisins ne le font pas. Parce que eux font attention à la sécurité des autres personnes, plus qu'à leur bonheur visuel. Et encore, les arbres c'est beau, et celui qui est parti avait ses tois branches en éventail, il était très beau...

A Paris pendant l'agrégation Doofie, Dummie et Bêtie ont vu des arbres gigantesques (surtout n'y touchez pas). Derrière un mur entre deux immeubles anciens respectivement de 7 étages et de 12 étages, on voyait un arbre qui prenait toute la largeur du mur, de la largeur d'un imeuble et sa cime dépassait largement le faîte de la plus haute des deux maisons. Ses branches allaient jusqu'au dessus de la chaussée. Un arbre remarquable certainement.

Près d'où habitait la mère de Bêtie, en pleine ville, grande métropole régionale, les tilleuls qui bordent les routes ne sont jamais coupés. La seule personne de la ville qu se plaignait des feuillages à ramasser était sa voisine qui "venait de la campagne", une dame bien sympathique du reste. Dans le parc de la mairie, il y a des arbres remarquables et l'un d'entre eux à un tronc dont la base en forme de cône fait bien un mètre de haut, les racines sont de la tailles de gros bras, et le tronc fait bien six mètres de diamère.

Bon, pauvre Doofie, va-t-elle pouvoir aller avec Dummie et ses autres copines, lire dans son hamac... ou sur son transat, au bord de la piscine, là où l'on voit la mer scintiller au loin entre les collines. Elle ne passera plus par l'aéroport de Charleroi, dire bonjour à la petite pixie, car la petite pixie pour le moment ne travaille plus là-bas. Enfin, peut-être,, espérons qu'elle y reviendra. Son poste est gardé au chaud dans sa cahutte pour le moment blanche et vide.

Schnelly et Doofie doivent rester dans leur maison, car ils en sont propriétaires, et comme ils seront en retraite dans quelques années, leur maison est un investissement pour ne pas payer de loyer pendant la retraite (et même avant), donc, c'est leur maison définitive et ils ne peuvent pas en changer. Et ne le veulent pas non plus.

Les vieilles personnes qui habitaient près de chez eux sont parties en maison de retraite, encore une génration respectueuse qui quiite les maisons.

domino