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mardi, 05 juillet 2011

Doofie, un génie?

En ce moment, les médias allemands font beaucoup de cas, d'une génie qui gagne les concours de mémoire de par le monde. Il s'agit de Christiane Stenger.

Dans l'article, il est écrit : "Mit einem Intelligenzquotient von 130 kommt man auf der Richtskala über die Genieschwelle.Nur O,1% der Menschen haben einen IQ von etwa 145 und höher wie Christiane Stenger" (Focus-Magazin).

Traduction (par professeur bi-admissible à l'agrèg, pardon, maintenant tri-admissible et pas encore agrégée, qui a eu deux bonnes notes en thème (écrit + oral), une bonne note en version (écrit) et une piteuse en version orale, pourtant, on la freinait toujours en version orale à l'université parce qu'elle donnait les réponses trop vite par rappot aux autres étudiants et ne les laissaient pas réfléchir, ici, le jury lui faisait parfois répéter plusieurs fois certains mots que visiblement il ne connaissait pas (des mots de français, certains jurys étaient allemands)  :

Bon, traduction par prof tri-admissible à l'agrégation d'allemand  (et certifiée, ouf!), traduction de Doofie :

"Avec une quotient intellectuel de 130 on arrive sur l'échelle de mesure au dessus du seuil du génie. Seuls 0,1% des êtres humains (je préfère cette traduction à celle de "homme" qui est équivoque), ont un QI d'environ 145 comme Christiane Stenger."

Bon, Doofie, elle a été mesuré à 132. Mais il y a des points communs entre Chritiane et mon héroïne de roman-théâtre.

Chritiane s'ennuyait à l'école primaire et se faisait porter souvent malade, jusqu'à ce qu'un médecin découvre qu'elle était surdouée et lui fasse sauter une classe.

Pour Doofie, en France, ce n'est pas le médecin qui a fait le diagnostic, mais l'institutrice, et c'est ainsi que Doofie, qui savait lire depuis l'âge de deux ans, a à l'âge de 6 ans sauté une classe, parce que dans la classe  où elle était, elle avait le maximum des points partout. Donc, Doofie monte deux fois de classe dans la même années, pendant les grandes vacances et à Noel.

Pourtant Doofie, comparée aux autres, n'avait pas une belle écriture, elle avait une écriture de médecin, ce qui lui valu des pages d'écriture sur des cahiers à ligne entre la 6ème et la 5ème. Elle n'avait pas la belle écriture ronde de ses camarades appliquées.

D'ailleurs à l'âge adulte, Doofie a gardé plusieurs éciritures, qui changent aussi avec les stylos, mais on distinguera principalement, l'écriture des brouillond en temps limités, en pattes de mouches avec toutes les finales de mots écrasées, qui est parfois difficile à relire, même pour Doffie elle-même.

L'écriture ronde des copies à rendre, écriture appiliquée des cahiers à lignes de ses pages d'écriture.

L'écriture moyenne, pour les loisires, ni illisible, ni vraiment soignée, de ses cahiers de notes ou de ses préparations de cours.

Et elle a même beaucoup plus d'écritures que cela.

Bon, Christiane s'est encore ennuyée dans le secondaire, au lieu de l'envoyer à l'école spéciale pour les gogoles ou à la Hauptschule, notre SEGPA, en grois, ce que craignait sa mère, on lui a fait malgré les  5 et 6 qu'elle alignait fait sautre deux classes vers le haut et elle a eu à nouveau de bons résultats.

En maths, Doofie aurait pu sauter deux classes vers le haut entre la troisième et la première. En effet, alors qu'elle était en 3ème dans un lycée collège, la crac en maths, crac est un nom qui était donné aux élèves forts dans une matière, ou "fortiches". devenue prof d'allemand, était très sollicitée par les premières M et M' (nos 1S actuels) pour les aider dans leurs devoirs de maths : "Tiens, Doofie, nous on ne trouve pas ça, et toi, tu trouves?" "Ah, oui, répondait Doofie, c'est simple et quelques lignes de démonsstrations plus loin... on avait la bonne solution.

Un jour, le frère de Doofie était avec quatre copain en train de résoudre un problème de géométrie. Ils étaient restés tous les 5 sans trouver la solution, même le crac en maths de la classe de son frère, ne savait pas. Alors, Doofie est arrivée et a dit "Mais c'est simple!" Et deux théorèmes et quelques lignes de démonstartion plus loin, le problème était résolu. "Bon, on va le montrer comme cela à notre prof", on dit les copains du frère de Doofie et le lendemain : "Tiens, tu sais maman, pour le problème de géométrie, c'était ma petite soeur Doofie qui avait raison!"

Doofie, pour le reste n'était pas une élève exceptionnelle. Bien qu'ayant un an d'avance, on disait de Doofie à la fin de l'année scolaire (il fallait 12/20 pour monter, dans son école) : A tout juste 12 et quelques, peut monter, car elle est jeune et très intelligente, mais ses résultats sont en dessous de ses possibilités". En maths, c'était toujours le 2ème prix, jamais le premier, mais la première était à chaque fois différente.

Doofie aimait les matières en géo : géométrie, géologie, géographie, et aussi depuis la quatrième l'allemand, "parce que c'était très logique et que la cosntruction des phrases c'était comme des formules mathématiques".

Et pourrtant Doofie, vient de se payer à l'agrégation des piteuses dans son option linguistique, qui est pouratnt sa matière de prédilection.

Quand à Schelly, il n'a jamais fait son quotient intellectuel, mais il n'a pas son pareil pour retenir par coeur des listes entières de numéros de téléphone, qu'il retient au moyen des codes de départements. PAr exemple la plupart des numéros commencent pour lui par Allier ou Alpes Maritimes.

Doofie se demande pourquoi il ne veut pas faire de teste de quotient intellectuel : A-t-il peur de se trouver en dessous du 132 de Doofie ou bien a-t-il paur au conrtaire, de devoir lui annoncer des performances supérieures à celle de Doofie.

A 132 Doofie est dans un peu moins que les 2% supérieurs de la population. Cependant c'est un QI de 132 mesuré à 57 ans, ce qui lui valait peut-être un QI de 160 à 35 ans, qui est l'âge où l'on a le plus de QI. Mais à 35 ans, Doofie n'utilisait pas ses capacités intellectuelles, elle ne passait pas l'agrégation; elle faisait surtout de la musique et de la poésie, composait, écrivait des vers. Et depuis l'âge de 30 ans elle faisait des improvisations de guitare classique qui ressemblaient à des vrais morceaux de supérieur, bien plus élevés que l'Elementaire 2 qu'elle affichati pfficiellement. Et elle sait toujours les faire. Elle avait envoyée une sutie écrite par elle-même au concours international de France Musique et avait reçu les encouragements de Robert J. Vidal qui l'encourageait à faire le concours de Toronto, qu'elle ne fit pas.

Doofie a souvent été mal jugée par des professeur qui ne l'écoutaient pas jusqu'au bout, tel ce prof de chatn, qui lui donnant une partition à déchiffrer à la guitare, a jugé que le niveau de Doofie en guitare n'était pas bo, et qu'elle ne devait pas savoir faire des arpèges tout en chantant, parce que elle a oublié le # à la clef en déchiffrant cette partition toute simple! Par étourderie.

Un jour dasn un stage, Doofie se faisait atrapée à répétiion parce qu'elle faisait un temps de trop sur une finale, mais Doofie n'osait rien dire, car c'est la prof qui, connaissant le morceau par coeur, ne regardait plus la partition et faisait un temps de moins!

Bon, Doofie n'était pas une élève exceptionelle dans son établissement, mais au bac, elle sortit dans les 7 premières de sa classe de 40, enfin si l'on en juge les mentions entre le 4ème et la 7ème place, et pourtant c'était une classe de génés pusqi'un tiers des élèves avaient 17 ans tout juste (dans l'année civile) comme Doofie ou moins, certaines allaient avoir 17 ans entre septembre et novembre, mais Doofie était la plus jeune des mentions, les autres mentions ayant 18 ans. Certaines de ses copines plus jeunes l'ont d'ailleurs eu qu'à la session de septembre. Doofie avait quand même fait preque toute sa teminale à 16 ans.

En Allemagne pendant les vacances de Pâques, l'Abitur se passant à 19 ans, et Doofie n'ayant alors que 16 ans et pas encore 17, Doofie qui faisait déjà son Abitur frnaçais, passait pour un génier auprès des copines de sa correspondante. Je ne sais pas quel effet cela faisait à sa corespondante qui passait son Abitur à 18 ans, d'être la correspondante d'une surdouée. Mais ce qui la chagrinait était surtout que Doofie jouait le soir de la guitare devant la fenêtre ouverte de la chambre (chez elle, en France) faissant entrer tous les moustiques auxquels sa correspondate était allergique. Doofie aussi était allergique aux moustiques et aimée par eux, mais sa correspondante avait leur préférence! Voilà ce que c'était d'être la correspondante d'une surdouée.

C'était l'assistante d'allemand de première qui les avait assorties : "Je vais te donner cette correspondante là parce qu'elle est sérieuse, avait dit l'assistante, elle correspond mieux au style de tes parents".

Bon, être surdouée, encore maintenant, c'est pour Doofie, ne pas être comprise des autres, par exemple, employer dans la conversation des mots qu'ils ne comprennent pas... ou avoir des théories astronomiques qui ne correspondent pas aux normes. Voir des changements dans la nature, dans la hauteur des collines et le positionnement des collines entre elles, là où d'autres ne voeint rien. Vori qu'il y avait moins d'étoiles (pendant une durée d'environ 3 ans) ou s'aprecevoir que les oiseaux étaient partis plus tôt (l'an dernier) alors que les autres nient farouchement ce qu'elle dit. Etre surdouée, c'est remarquer tous les changements impreceptibles de l'environnement. C'est aussi lire tellement vite que les livres et autres documents écrits envahissent la maison. C'est avoir une curiosité intellectuelle insatiable dans beaucop de domaines. Ce qui fait dire qu'elle est trop éclectique... C'est s'enthousiasmer tout à tour pour certaines disciplines, comme actuellement la généalogie, Doofie découvrant avec étonnement les patronymes de ses âncêtres, en se disant, ils étaient un peu comme moi et s'appelaient comme cela? Alors j'ai un peu de leur mémoire, de leur nom, de leur prénom en moi. Des patronymes vieux flamand, qui semblent sortis de vieux grimoires et qui paradoxalement des gens portent encore, si on en croient les nombreux amateurs de Facebook qui les portent. Elle s'imagien qu'on l'apelle par ces noms là, ou les porter elle... et cela lui fait tout drôle... elle s'apelle Marie, Marguerite, Hermine, Jacquemyne, Petronella ou Pétronille, Pélagie, Judoca, Jacoba, et si elle était un homme, Jehan, Perceval, Colin, Pierre, Jean, Hermès, Egide, Gilles, Martin, Léonard, Ferdinand,Nicolas ... Bon, vous aurez des idées pour vos futurs enfants... Doofie a retrouvé plus de 300 ancêrtes en ligne directe. Certains noms l'intrigue : d'où venaient ces familles bien aux nombreux représentants, lors de la Renaissance et de l'époque baroque (classique chez nous..).... ? Des alliances plus ou moins somptueuses, mais jamais dans la très haute noblesse, plutôt dans les decendances de branches cadettes, et des échevins, des maires, des bourgmestres, des baillis, un chirurgien du XVIIIème siècle, et un déclin énorme lors de l'industrialisation au XIXème siècle. Ceux qui avaient des terres sont devenus agriculteurs, puis journaliers (ouvriers agricoles s'employant au jour le jour) et les gens des villes, de drapiers, sont devenus ouvriers du textile.

Ces familles qui avaitent fait du mécénat et avaient donné aux oeuvres religieuses, se sont soudain retrouvées, d'avoir trop donné, sans argent. C'était ses ancêtres,dont les ancêtres étaient princes et empereurs, mais il parait que nosu descendons tous de princes et d'empereurs. Et de rois...

Alors, ce ne doit pas être cela l'intelleigence, bien que Doofie allant de ville en ville et de collège en collège contate des différences locales dans la mémoire et l'interlleigence des élèves, surtout dans leur mémoire, et se demande si les facultés intellectuelles ne seraient pas dépendantes de facteurs géorgraphiques dus à l'environnement : qualité de l'eau, de l'air repiré, de la nourriture, peut-êre prédilection pour tel ou tel aliment dans la cantine du collège. Ou bien des facultés héritées d'un ancêtre commun dans un secteur géographique. Doofie en faisant de la généalogie a remarqué comment les gens d'un même coin se maraient entre eux. Dans le même milieu social. Les familles se déplaçant petit à petit sur de petites distances ceci d'Est en Ouest, ou de Nord-Est en Sud-Ouest, la plupart du temps.

Bien sûr pour les facultés intellectuelles il faut faire attention à certaines choses : pas de drogues, pas d'alccol qui amoindrissent la mémoire. Doofie n'a jamais fumé, et ne sait pas si le tabac est un stimulant de l'intellect comme certains le prétendent ou non. Elle n'en a pas fait 'lexpérience, mais son QI la satisfaisant largement, elle n'ria pas en faire l'expérience. Que l'alcool amoindirt la mémoire, cela est attesté, car certaines maladies ressemblant à Alzheimer sont dues à l'alccol.

Doofie parle 3 langues couramment, 2 autres plus ou moins couramment, et a étudié trois autres langues en pleine maturation dans son esprit, et qu'elle devrait dominer aussi bientôt. Comme quoi avoir un fort QI devrait contribuer à faire des choses bien agréables dans la vie. Mais comme dit Doofie, elle se sent souvent seule et incomprise, et même Schnelly ne comprend pas ou ne veut pas comprendre tout ce qu'elle dit.

Quand Doofie explique quelque chose qu'elle atrouvé par intuition ou démonstration, Schnelly qui se range du côté de l'opinion généralement admise, dit que ce n'est pas vrai, jusqu'à ce qu'il s'avère que Doofie avait raison!

Les gens comme Doofie sont aussi là pour monter la route. C'était comme pour Léonard de Vinci ou Jules Verne...

Pour Doofie :

 

domino

 

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