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mercredi, 27 juillet 2011

Disparation orageuse...

Conversation entre mes personnaes de roman-théâtre.

Doofie : Tu as vu cette drôle de siparition, ils ont trouvé le corps de la femme à moitié calciné

Dummie : Il parait qu'ils ont trouvé le coupable.

Doofie : Le coupable? Dans toutes ces histoires là, il faut toujours un coupable. Moi, je pese à autre chose, une cause naturelle.

Dummie : Une cause naturelle, un feu de forêt?

Doofie : Non, l'oralge, cette femme était partie se promener et a été tpuchée par la foudre.

Dummie : Ah! Oui! Je n'avais pas pensé à cela... Et les enquêtreurs non plus.

Doofie : Tu sais que parfois, la foudre peut faire disparaître complètement les personnes et qu'on ne les retrouve jamais!

Dummie : C'est vrai?

Doofie : Oui, Schnelly et moi, nous avions un copain qui habitati près d'une forêt. Et il y avait des aptûres derrière chez lui...

Dummie : Et il a disparu foudroyé?

Doofie : Non, pas lui quand même. Mais son grand-oncle qui habite dans le même coin, aussi avec des patures derrière chez lui,, lui a raconté une hsitoire, enfin, je ne sais pas si l'histoire de l'oncle est vraie, ni si le copain n'a pas inventé une hsitoire soi-disant racontée par l'oncle. Parce que avec lui, on ne sait jamais si c'est du lard ou du cochon. Il raconte l'hisoire d'une façon tellement amusante, en tenant tout le monde en haleine, que l'on en sait jamasi si c'est vrai ou pas... d'ailleurs il aurait pu faire une carrière d'humoriste de scène....

Dummie : Et qu'est ce que c'est cette histoire?

Doofie : Et bien (Doofie prend un air mystérieux)... Son grand-oncle lui aurait raconté qu'un soir il revenait des champs avec un cousin et ils étaient environ à 200 mètres de leurs maison, il y avait de l'orage,et d'un seul coup l'oncle s'est senti propulsé à terre. Quand ils 's'est relevé, il a vu son cousin debout à côté de lui. Son cousin ne bougeait plus. Il l'a appelé, il a dit "Eh? ça va?" et son cousin n'a pas répondu il a insisté toujours pas de réponse... pourtant le cousin était debout à côté de lui. Il a fait enceor "Et ça va?" et le cousin s'est écroulé en poussière à coté de lui.

Dummie : C'est vrai, cela? Mais ce n'est pas possible... !!! ET ses vêtements.

Doofie : Tout avait disparu, l'homme et les vêtements, le manche en bois de sa fourche, il ne restait plus que la partie en fer de sa fourche.

Dummie : C'est dangereux de tenir une fourche avec un bout en fer quand il y a de l'orage...

Doofie : Oui, n'empêche que le cousin n'était plus là.

Dummie : Et qu'a fait le grand-oncle?

Doofie : Il es rentré chez lui, puis il a raconté l'historie au village et à ses neveux et tout... il était célibataire et n'avait pas d'enfants.

Dummie : Celui qui est mort?

Doofie : Je n'en sais rien, mais le grand-oncle était un célibataire qui vivait tout seul dans sa masion à l'orêe des bois.

Dummie : Et c'est vrai cete histoire.

Doofie : J'ai dit à notre copain qu'on ne le croyait pas, mais lui, il a inscité et dit que c'était véridique. "Si,si véridique, je te le dis..."

Dummie : Brr... j'en ai la chair de poule. Parlons d'autre chose.... Quand part-on en vacances.

Schnelly (qui a entendu la fin de la conversation) : C'est dangereux aussi au bord des piscines par temps d'oralge, L'eau attire la foudre.

 

Pour Dummie, Doofie et Schnelly

 

dominique

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