lundi, 18 juillet 2011
Une mobylette peu aimable...
Doofie, mon personnage de roman-théâtre, a décidément du souci avec sa maison, dès que l'heure de l'été est arrivée et que la végétation se met à pousser et que les gens se mettent à vivre dehore.
L'autre jour, elle a constaté que deux des arbres de sa haie disparue l'année dernière laissant place au vieux grillage rouillé, les deux arbres survivants de sa haie ont disparu aussi. Dont celui qui formait un joli éventail à trois branches à côté du sapin.
Deuxième déconvenue : une petit garçon qui demande à son mari Schnelly s'il a un problème. Il le regarde méchamment en disant "T'as un problème?"
Le même petit garçon a-t-il cherché à se faire pardonner. Quand Doofie a chanté dans ses toilettes et que ça s'entendait de dehors, il est venu dire : "Elle chante bien la dame monsieur, c'est qui?" "Ah! C'est votre femme, vous lui direz qu'elle a vraiment une belle voix, j'adoooooore!"
Bon, voilà qu'il est tombé en adoration devant la voix de Doofie maintenant.
Cette après-midi, Doofie a fait le jardinet de devant, sans sécateur, parce qu'il est introuvable, elle a pris des ciseaux à la place, mais ceux-ci n'ont pas résisté contre la branche de rosier qui a piqué Doofie a pluseiurs reprises, le rosier s'est vengé de sa coupe légère, (branches qui portent des fleurs fânées et branches mortes) non seulement en piquant Doofie, mais en cassant aussi ses ciseaux.
Bon, tant que ce n'est qu'un rosier (aux magnifiques roses rouges velours), qui se fâche, ce n'est rien.
"Röslein sprach, ich steche dich.."
Bon, mais ensuite ce fut le rodéo de mobylette.
Quand Doofie entend des mobylettes faire vrombir leurs moteurs, toutes portes de la maison fermées, elle croit que ce sont des jeunes de 15 à 20 ans qui s'amusent, surtout quand les mobylettes passent et repassent faisant du rodéo. Mais là c'est un homme d'environ de 35 à 4, 5 ans qui habite dans la rue d'en face, le crâne rasé, qui fait vrombir sa mobylette en faisant des tours sur place juste devant la maison de Doofie, juste 5 tours en suivant avant de rentrer chez lui. Comme Schnelly était là en train de rentrer les branches et l'herbe dans les sachets ppubelle pour les déchets verts, ce n'est sûrement pas pour frimer devant Doofie qu'il fait ainsi du rodéo devant elle. Les hommes qui font du rodéo à mobylette, ce n'est certainement pas son genre.
Quand Doofie prend sa guitare (rarement en ce moment), elle entend régulièrement une mobylette qui se rapproche et vrombit devant la maison, c'est même pénible quand elle fait des enregistrements, mais tant pis le moteur de mobylette est alors publié en même temps que la joli muisque de guitare et les internautes du monde entier peuvent entendre la mobylette qui gêne Doofie.
Ou alors ce sont les perçeuse des voisins, inactives depusi plusieurs semaines qui se réveillent quand Doofie joue de la musique!
Parfois, mais là c'est involontaire, c'est le réveil que Schnelly avait réglé pour 5 heures du matin qui se met à sonner à 5 heures du soir en plein enregistrement sur sa composition vocale a capella. Quand Doofie met sa 9ème voix en superposition sur les autres.
Bon, bref, volontairement ou involontairement, alors que cette cité (-jardin) était jadis si calme, le bruit est devenu le lot quotidien de la musicienne.
Il faut dire que les musiciens ont tous quitté la cité : le vosin qui jouait del'orgue électonique et répétait Mamy Blue, Hey Jude, Yelllow Submarine, et Petite fleur tous les midi à la même heure est parti depuis au moins 10 ans, et le vieux monsieur qui jouait de l'éccordéon vient de partir en maison de retraite. Elle n'entendait d'ailleurs l'accordéon que l'été quand les fenêtres étaient ouvertes ou quand le monsieur jouait (de moins en moins souvent) sur la terrasse. Et Doofie aimait bien parce que ça lui rappelait les bals folks de sa jeunesse.
Alors...
Voilà pour le moment, c'était les nouvelles de Doofie.
domino
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