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mercredi, 30 juin 2010

L'enquête de Doofie

C'est le soir, Doofie et ses copines, mes personnages de théâtre s'attardent toutes les quatre dans la salle des profs :

Dummie : Tiens, dit Dummie, l'affaire Dominici, pourquoi ils reparlent de cela c'est une vieilles histoire des années 50!

Sottie : Oui, quand on était petite, ma maman en parlait souvent, c'est une histoire qui frappait les esprits!

Foolie : Comme plus tard, l'affaire Villemin, ça a bien duré 20 ans, tous les jours à la radio les informations nous rabattaient cela.

Dummie : C'est le petit-fils qui veut prouver l'innovence de son grand-père, innocence qui n'a  jamais été prouvée complètement et reconnue par la justice. Il veut ce qu'on appelle une réhabiliation.

Doofie : Je la lui donne tout de suite,car après avoir lu un article très documenté là-dessus, il est très clair que ce n'est personne de la région qui a tué cette famille anglaise. Par contre, une femme était peut-être complice, comme une espionne chargée de donner des renseignements.

Foolie : Moi, quand ma mère en parlait je croyais que c'était la famille Dominici qui avait été entièrement assassinée, une famille avec de nombreuses personnes.

Sottie : Oui, nous, on était enfants, tu vois coment les enfants comprennent les informations ou font des conclusions attives de ce que disent leurs parents quand ils n'expliquent pas complètement.

Doofie : Moi, ma mère me disait ceci : L'affaire Dominici, c'est une famille qui faisait du camping sauvage, et is avaient tous été tué et on avait jamais trouvé les coupables; ma mère critiquait d'ailleurs nos voisins qui étaient originaire du midi, mais pas de la même région du midi, parce qu'ils faisaient du camping sauvage, elle disait qu'un de ces jours, ils allaient tous être assassinés, mais ils sont toujours revenus. En fait, ils faisait le tour de France en camping sauvage, avec une tente, un ravitaillement aux sources, tous les ans, ils faisaient le même tour de France et s'arrêtaient toujours dans les mêmes endroits désertiques.

Dummie : Ils avaient des enfants?

Doofie : Oui, des enfants...  ils en avaient. Quand on parlait de cette affaire, nous étions deux, moi et mon frère, ma soeur n'était pas encore née, et nos voisins étaient deux, un garçon et une fille, ou plutôt une fille et un garçon, car contrairement à nous la fille était l'ainée, ils étaient deux ou trois ans plus âgés que mon grand frère.

Foolie : C'est bizarre... ça me fait penser à quelque chose, il y a une dizaine d'année on allait partir à Sisteron, on avait décidé de passer par l'autoroute venant du Sud en faisant le tout des montagnes pour ne pas traverser les Alpes, trop difficiles pour les gens des plaines.  Quicky, il m'a demandé si on  prenait cette route-là, car deux jours avant notre départ, une famille avait été assassinée sur un parking désert à cette heure de cette autoroute. Je crois que c'était encore des anglais. J'ai dit : Et bien on ne s'arrêtera pas sur les parkings d'autoroute, on peut faire l'essence avant d'aborder la Haute-Provence.

Doofie : Oui, en effet, c'est bizarre, mais j'ai trouvé à ce sujet, bien que depuis une semaine Schnelly se montre plutôt sous l'aspect de Mr Hyde et est gentil, des bizarreries dans la jeunesse de Schnelly, avant qu'il ne me connaisse... grâce à des lieux et des noms...

Sweetie (dans son coin, avec ses copines!) : Des noms, des noms on veut des noms!

Doofie : Dans l'article que j'ai lu, on énonce plusieurs thèses pour ce crime. Ce qui est intéressant c'est que ce crime met en scène la Haute-Provence, l'Angleterre et aussi dans une certaine mesure l'Allemagne.

Dummie : L'Allemagne?

Doofie : Oui, une thèse dit qu' un certain groupe armé, dirigé par un ceraint Barthowsky aurait tué le couple anglais et leur fille... ceci en liaison avec la guerre froide.

Dummie : Avec la guerre froide? Mais c'est intéressant.. Tu ne fais pas une recherche sur la guerre froide en ce moment?

Doofie : Chut!

Foolie : C'est dangereaux de faire une recherche sur la guere froide, tu sais?

Doofie : Comment cela?

Foolie : Et bien, tu peux, en consultant des archives, découvrir des choses qui ne plaieront pas à tout le monde.

Doofie : Les acteurs de cette guerre froide sont comme ceux des deux  premières gueres mondiales. Ses acteurs, qui avaient l'âge de nos parents, sont en train de trépasser les uns après les autres... Alors, si je découvre quelque chose, le temps que je publie mes recherches, je ne ferais plus de tort à personne, car ils seront tous morts.

Sottie : Et ce que tu as découvert sur l'affaire Dominici ne va pas plaire à tout le monde...

Doofie : Surtout pas à Schnelly...

Dummie : Schnelly a trempé là-dedans?

Doofie : Certainement pas, il n'avait que trois ans et demi au moment de l'assassinat!

Dummie : Alors, je ne vois pas comment...

Doofie : Schnelly est double, je te l'ai déjà dit. Quand il avait environ 20 ans, avant de faire ma connaissance, il  a peut-être été un agent double.

Dummie : Oh la la, tu as de l'imagination!

Sweetie (dans un coins, à ses copines) : Elle déraille complètement cette vieille Doofie...

Coolie : Moi, je ne trouve pas, c'est très intéressant cette histoire. Et vous, Mme Doofie, vous aviez quel âge au moment de l'assassinat?

Doofie : Un an et quelques mois.

Coolie : On en parlait aux informations?

Doofie : J'étais trop petite pour m'en souvenir. Mes premiers souvenirs des informations datent de la guerre d'Indochine et de la guerre d'Algérie. Mais on en parlait encore aux informations, on parlait certainement du procès.

Dummie : Nos parents avaient peur. C'était des vacanciers qui avaient été assassinés. On surveillait les voitures qui s'arrêtaient près de nous pendant les pique-nique sur la route. Il ne fallait pas trop s'éloigner de la voiture. On allait aux toilettes nature juste après l'arrêt et ensuite on pique-niquait près de la voiture, assis sur l'herbe, prèts à repartir. On révisait bien la voiture avant le départ pour ne pas tomber en panne.

Foolie : On aurait pu aussi s'arrêter dans les villes pour manger, mais nos parents préféraient le pique-nique au grand air, c'était la mode des vacanciers de l'époque.

Doofie : Il parait que le couple anglais, dont j'ai oublié le nom, serait tombé en panne à cause d'un liquide de radiateur qui ne correspondait pas à la chaleur du midi. Mais d'autres informations parlent d'un rendez-vous qu'ils auraient eu à Lurs. Cela aurait été un guet-appens, en fait en liaison soit avec la politique, la guerre froide ou de vieilles affaires qui dataient de la résistance. Ou bien de l'espionage industriel, on leur aurait fait rendez-vous dans ce coin désert... peut-être pour enlever la petite fille et leur demander en échange des documents industriels comme rançon.

Dummie : Ah moins qu'ils aient été riche, et qu'on aurait essayé de leur soutirer une rançon en enlevant la petite fille.

Doofie : Oui, il parait que la petite fille est morte après ses parents. Et qu'elle aurait été transportée dans le ravin au moyen d'une couverture car ses pieds et ses jambes n'étaient pas poussiéreux.

Dummie : On l'a peut-être enlevée, et devant les cris des parents, un complice aurait tiré sur les parents. Et comme la petite fille aurait fait  du bruit, on l'aurait tuée aussi ensuite.

Doofie : Le grand-père Dominici a été accusé de non assistance à personne en danger, c'est lui qui avait découvert le corps de la mère, mais il  a dit qu'elle vivait encore. Il a été longtemps en prison, puis gracié par le général de Gaulle.

Dummie : Il paraît que tout le village a été plus ou moins soupçonné!

Doofie : Un peu comme dans l'affaire Villemin, c'est toujours comme cela quand il se passe quelque chose dans les villages ou les petites villes. Même les gens des alentours, tout ceux qui avaient fait des courses la vieille ou le lendemain, qui avait été nourrir les bêtes tôt le matin, etc... Tous soupçonnaient tous ou plutôt tous se déclaraient innocents et victimes d'une machination, la gendarmerie surtout soupçonnait tout le monde, mais tout le monde au bruit du meurtre avait accouru sur les lieux du crime et piétinné les empreintes de pas...

Dummie : Oui, ils n'étaient pas prudents les gendarmes à cette époque maintenant on metrait des barrières tout autour.

Doofie : Ce qui me fait dire que c'est peut-être une machination qui concernait la population entière, c'est que dans cette région, il y avait à l'époque beaucoup de communistes, dont certains ont été évincés du parti communiste pour collaboration trop étroite avec la police, par rapport à la guerre froide c'était l'époque de la chasse aux sorcières.

Sweetie : Aux sorcières, ah! ah! On y croyait encore? Elle est vraiment bête cette Doofie, c'était quand même le vingtième siècle...

Doofie : La chasse aux sorcières, c'était l'anti-communisme. Il s'agissait de faire en sorte que le parti communiste perde de la vigueur et il était très fort dans les Hautes-Alpes non loin des hauts lieux de la Résistance, dont le plateau du Vercors. Et 1952, c'était seulement sept ans après la fin de la guerre. Il pouvait y avoir des règlements de compte.

Dummie : Mon père était gaulliste, mais il ne le disait pas en public, il ne faisait "pas de politique".

Doofie : Le mien aussi, mais les gaullistes de l'époque d'avant 68, n'avaient rien à voir avec des dictateurs. Au contraire, c'étaient ceux qui, soucent prisonniers de guerre en Allemagne, où l'amée de la France Libre, peuplait les Stalag et les Straflag (camps de prisonniers normaux et d'extermination de prisonniers), faisaent des sabotages dans les usines d'armement allemandes où ils étaient obligés de travailler ou bien ils ralentissaient la production, mais s'ils étaient  pris, ils abotissaient dans les straflags comem celui où a été mon père vers 1942-3.

Dummie : Tu as raison de replacer tout cela dans le contexte historique...

Doofie : Oui, du côté de ma mère, mes grands-parents étaient gaullistes, mon grand-père avait un atelier de photographie où il reproduisait des photos du général de Gaulle, pour les distribuer ensuite à la poulation. Longtemps avant que les alliés n'arrivent, des anglais s'étaient infiltrés dans leur ville et commandaient aussi ces photos. Ma grand-mère a failli être fusillée à cause de cela par la Gestapo, mais elle s'en est sortie parce qu'elle parlait allemand. Elle était née en Alsace sous Guillaume II.

Sweetie : Nous, à la fac on a fait une inscription que les gaullistes étaient des nazis.

Doofie : C'est une erreur historique de croire que de Gaulle aurait été un dictateur. Personnellement, je ne suis pas de droite, mais là, je dois dire quand même que de Gaulle a sauvé la France du régime de Vichy, et de la dictature.

Dummie : Mais alors, pourquoi est-ce en liaison ici avec la résistance, ou avec la guerre froide.?

Doofie : Concernant la Résistance, il faut dire qu'il y avait une divergence entre la résistance gaulliste qui voulait simplement se débarasser du national-socialisme et la résistance communiste des FFI, qui en plus voulait s'allier à l'URSS pour installer le communisme en Europe de l'Ouest.

Dummie : Et le rapport avec l'affaire Dominici?

Doofie : Les Dominici était des communistes, et beaucoup de personnes de Lurs et environs aussi. Il se peut que la famille  anglaise ait été mêlée - si l'on peut dire - à la résistance gaulliste, mais que cette ancienne résistance gaulliste qui était contre l'établissement du communisme en Europe de l'Ouest, aurait participé à la chasse au sorcière. Mais on aurait pu se servir justement de cette famille pour faire une espèce d'alibi aux autres partis que les communsites, concernant un assassinat de cette famille de résistants. Et de ce fait, accuser les communistes, comme les Dominici,  d'avoir perpétré ce crime contre cette famille anglaise.

Dummie : En fait, créer une machination contre les communistes des Hautes-Alpes en tuant cette famille.

Doofie : Ou en en extirpant des documents. Qu'ils auraient amenés avec eux. Une femme habillée de noir aurait été aperçue près de la voiture. C'est peut-être elle qui aurait dû recevoir des documents concernant par exemple la résistance gaulliste en Angleterre en faisant croire qu'ils s'agissait d'amis, puis les anglais se seraient apreçus de quelque chose et le ton aurait monté...  On les aurait peut-être aussi menacé d'enlever leur fille, s'ils n'apportaient pas certains papiers au rendez-vous. Il faudrait replacer tout cela dans le contexte politique de l'époque, car le Général de Gaulle briguait la présidence, et d'autres partis avaient peut-être intérêt à faire disparaître des documents que les anglasi auraient possésé sur ces autres partis et de leur collaboration avec l'ennemi et il se serait servi du clivage entre communistes et gaullistes, pour faire croire que ce serait les communistes de Lurs dont le grand-père Dominici qui aurait fait ce crime.

Dummie : Pourquoi le parti communsite a évincé certains de ces membres ayant collaboré avec la police dans cette affaire.

Doofie : Il y avait peut-être d'anciens collabos dans la police... Dans ma jeunesse, j'ai connu aussi des collabos qui nous invitaient chez eux, mon père tout en votant gaulliste, entretenait de bonnes relations avec eux, tout simplement pour ne pas être attaqués par eux ou souffire professionellement d'un  harcèlement de leur part.

Sweetie : Mais, en faisant cela il était lui-même un collabo...

Doofie : C'était déjà 20 ans après la guerre... Mon père fréquentait autant ses anciens copains de camp de prisonniers que les collabos, il était comme cela, il voulait entretenir de bonnes relations avec tout el monde. Il avait aussi de bonnes relations avec les socialistes su quartier, et avec nos anciens voisins de la première maison où j'ai habité qui étaient sans doute communsites, parce que leur fille avait une correspondante en RDA, je l'ai su plus tard.

Sweetie : Un véritable "je retourne ma veste", son père, cela ne m'étonne pas du père de la vieille...

Doofie : C'est ma mère qui m'a parlé des dissenssions entre les FFI et les gaullistes pendant la guerre. Elle m'avait dit que dans la ville où Schnelly travaillait il y avait eu les FFI et que c'était un milieu très dur et qu'elle n'aimait pas cette ville. L'une de ses soeurs cadettes (ma mère était l'aînée) avait épousé apparemment un collabo qui habitait là-bas et avait maille à partir avec les FFI. Mais le reste de la famille de ma mère ne l'aimait pas non plus, surtout mes grands-parents et ma mère et ses autres soeurs ont épousé après la guerre, pour mé mère et l'une de ses soeurs, deux amis anciens prisonniers de guerre, gaullistes, et une de ses soeurs un communsite anarchiste artiste. Et la quatrième, je ne sais pas trop, c'était un champion de natation. Ils avaient plus ou moins mis le collabo à la porte. Ensute, ma tante a divorcé du collabo et ça a été mieux dans la famille, ils s'entendaient tous bien.

Dummie : On n'en a jamais parlé au cours d'histoire?

Doofie : Non, on a survolé la seconde guerre mondiale et la politique française d'après-guerre, on n'était qu'en 67-68.

Dummie : Il y a fort à parier que si on l'avait fait en détails, il y aurait eu trop de révélations... c'était des dossies encore tout chauds.

Doofie : Oui, quand à l'affaire Dominici, il y a une deuxième solution, c'est la guerre froide....

Foolie : Bien pratique pour tes recherches...

Doofie : Si on veut, il ne faut peut-être pas révéler trop de choses comme tu l'as dit avant. Mais c'est simple, un groupe armé anti-communiste aurait pu assassiner ces touristes attirés par une lettre ou un billet dans un guet-appens (une soi-disant letre d'amis par exemple..) On a négligé une piste anglaise selon laquelle, on aurait retrouvé dans l'appartement de cette famille, une letrte à moitié calcinée faisant état d'un rendez-vous à Lurs. On aurait attiré ces pauvres touristes anglais là pour les assassiner et dire ensuite que ce serait les communsites du village qui l'aurait fait et discréditer le village entier pour discréditer en même temps les communistes.

Smothie : Quelqu'un est-il déjà allé dans cette région là?

Doofie : Moi! Comme je le disais, il y avait eu des anglais assassinés deux ou trois jours avant mon arrivée là-bas. On en avait parlé avant notre départ. J'ai participé  là-bas un stage de musique ou plutôt deux, pas à Lurs, mais dans une ville pas loin. Schnelly était allé déjà par là dans sa jeunesse et moi, je suis passée sur la route Napoléon qui passe par là à l'âge de 7 ans. On a fait la deuxième étape de notre voyage sur la Côté d'Azur, je crois dans ce coin là, on avait dormi à l'hôtel dans un village de montagne.

Foolie : Tes parents, sont quand même passé à l'endroit où avait eu lieu de crime? Ils n'ont pas eu peur?

Doofie : Ma mère avait peur, mais mon père n'avait peur de rien... On était en deux CV, on n'avait pas une belle voiture comme cette famille anglaise. Je ne sais pas si ma mère savait que c'était là qu'avait eu lieu de crime! Ils avaient aussi deux enfants, dont moi, une petite fille blonde de sept ans, j'aurais pu être enlevée... ma mère me tenait par la main, elle avait peur dans ces pays inconnus que je me fasse enlever...

Sottie : Donc, tout ce que tu as dit de l'affaire Dominici, les disculpe.

Foolie : Dans la thèse de la résistance, cela disculpe au moins tous les communistes du pays... dans la thèse de la guerre froide, il semblerait que ce soit des allemands commandés par des américains anti-communistes  qui soient à l'origine du crime, il y aurait eu une information étouffée à l'époque faisant état d'un groupuscule armé allemand, mais ils n'auraient pas été d'extrême-gauche, mais de droite. Et auraient servi à faire baisser l'audience du parti communiste dans cette région et la police locale aurait été chargée de voiler cette hypothèse en trouvant des coupables sur place... On voulait peut-être provoquer l'ascension au pouvoir de de Gaulle pour contrer la gauche qui montait.. car c'était un ami d'Adenauer.

Un collègue nommé Klugy : Oui, mais elle disculpe les communistes?

Foolie : On peut le faire sans être communiste, simplement pour lever une injustice et défendre un innocent victime de la politique des grands.

Dummie : Et Schnelly qu'est-ce qu'il vient faire là-dedans.

Doofie : Sa famille n'a sûrement rien à voir là-dedans, mais dans le temps très court passé entre son bac et son arrivée dans ma région où il m'a connu, avant, pendant et juste après son année de droit, durant laquelle un professeur les avait initié au droit en leur faisant part d'un dosseir qu'il vait fait sur le jugement de l'affaire Dominice, mais ce professeur là n'a rien à voir, ça a peut-être seulement éloigné Schnelly d'une copine de classe de cette région là. En effet, il a peut-être été sans le vouloir un agent double. Car il a connu en même temps une famille allemande qui avait le même nom que l'une des principales suspectes de ce crime, mais qui a ensuite été déclarée innocente par la police locale et n'a jamasi été inquiétée, et une jeune issus d'une famille communiste du coin de Lurs.

La famille semi-allemande mais sont la femme française, issue d'une autre région de France portait aussi un nom allemand, avait plus ou moins financé les études de Schnelly, celui-ci donnait appremment des cours à leur neveu et l'accompagnait aussi en train, quand il allait rejoindre sa famille en France, car il vivait entre sa tante et ses parents. Ce garçon est mort alors que nous étions jeunes mariés, accidentellement en tombant dans l'eau dans un port en hiver. je crois que nous avions reçu une lettre nous l'annonçant ou bien qu'on l'a appris en rendant visite à la famille de mon mari.

Dans le même temps Schnelly avait une amie française de la région de Lurs, il l'avait demandée en mariage, mais sa mère, qui vivait aussi en Allemagne, s'y était opposée. Les parents de la fille étaient communistes. Peut-être en relation avec le grand communisme allemand de la région de Mayence.

Quand on est allée en vacances là-bas, j'avais proposé à mon mari d'aller voir le village où il s'était tellement plu, il  a refusé, ça l'embêtait.

Aurait-il été utilisé par l'autre famille franco-allemande, pour soutirer des renseignements à cette fille? Des renseignements d'ordre politique par exemple? Et pourquoi ce jeune garçon de l'autre famille serait-il  mort?  Aurait-il été témoin dans son enfance de convesations politiques gênantes dont il commençait à parler? Je pense que si Schnelly aurait servi d'indicateur, ce serait bien involontairement. Il aurait joué le rôle d'agent double sans le savoir. Et si la mère de la fille avait refusé qu'il se marie avec elle... c 'est sans doute pour échapper à cet indicateur involontaire.

Dummie : Et comment Schnelly a-t-il atterri dans notre région?

Doofie : Tout simplement parce qu'il a atteri dans sa famiille française, mais il voyait encore cette famille franco-allemande, celle du petit garçon, encore vivant, en été quand nous étions étudiants. mais il ne voyait plus la fille du midi, il m'a raconté que ce n'était qu'une amiité, mais une jour j'ai insisté pour savoir pourquoi il ne voulait pas revoir ce village dont il faisait toujours l'éloge, et il m'a expliqué qui'l avait fait une demande en marriage qui avait été refusée... Il n'y a pas longtemps, il n'y a que six mois, qu'il m'a dit cela et nous  nous connaissons depuis quarante ans.

Foolie : Doofie, tu pourrais écrire un roman?

Doofie : Oui, en recoupant les deux affaires, celle de Schnelly et celle des Dominici, je pourrais inventer des liens entre la belle-famille du fils Dominici et la famille allemande du petit garçon qui ont le même nom.

Dummie : Mais leur belle-famille était communiste?

Doofie : On aurait introduit de faux communistes dans leur belle famille, chargés de renseigner le groupe armé ayant perprétré le crime à la fois sur la région et sur les personnes qui auraient pu faire l'objet d'une accusation ou d'un soupçon...

Sottie : Attention, la mère du monsieur qui demande la réhabilitation de son grand-père est peut-être toujours vivante.

Doofie : C'est elle et sa famille qui ont été peu entendus et rapidement disculpés. Il ne s'agit peut-être pas de sa mère qui aurait été comme dans le cas de Schnelly une indicatrice involontaire,  à laquelle d'autres membres de la famille plus éloignés ou des amis allemands (beaucoup de gens de cette région portent des noms allemands, peut-être des enfants d'anciens nazis chargés de démembrer la résistance, qui seraient restés là-bas après la guerre pour rester au soleil de Provence...  il aurait alors existé après la guerre, des inimitiés entre ces deux groupes, les résistants d'une part, les allemands restés sur place et les collabos d'autre part. Et dans ce cas, la belle-fille du grand-père aurait été indicatrice sans le vouloir et dindon de la farce, peut-être que ses parents aussi se seraient "convertis" au communisme après-guerre

Foolie : Mais, ils avaient des prénoms français...

Doofie : Alors, je ne sais pas, c'est une piste comme une autre. De toute façon dans cette historie on a trop songé au crime crapuleux, alors qu'il s'agissait peut-être d'un crime politique dont cete famille anlaise aurait été la cible voulue ou une cible servant à détourner l'attention d'un crime politique.

Dummie : Aucune thèse ne doit être écartée...

(Cette pièce de théâtre est librement inspirée d'un fait divers ayant défrayé les années 50, elle n'est peut-être pas conforme à la réalité historique, et sûrement pas conforme à la réalité de Schnelly, les propos tenus n'engagent que les personanges de théâtre et pas leur auteure, domino).

domino

mardi, 29 juin 2010

Découverte scientifique

Doofie, mon personnage de roman-théâtre a fait une découverte scientifique. Elle en a pas l'air comme cela, m'a petite Doofie, vieille prof d'allemand.... comme sa conceptrice

 

(Bon, cher lecteur, il faut que je revoie cette note pour le français, car je n'ai pas relu, patience, je le ferai dans quelques jours, "lire avec des lunettes, sans lunettes", ça, ça craint quand même!

 

Bon, voilà...

Dans le train en revenant de l'université, elle rencontrait quelque fois une dame qui lui posait toujours des questions sur les lunettes. En effet, elle était étonnée que Doofie ne porte pas de lunettes pour lire à son âge déjà un peu avancé (En fait, elle en a porté, mais ne porte plus de lunettes pour lire et sait lire à l'oeuil nu).

En réfléchissant à cette histoire de lunettes, Doofie qui a remarqué qu'elle savait de mieux en mieux lire sans porter de lunettes, alors que sinon il lui aurait fallu des lunettes de plus en plus grosses, et elle s'est dit, avec les lunettes, il y a un truc qui cloche.

En effet, tout en parlant à la dame et en regardant le paysage, Doofie s'est posé la question de savoir, si l'image du paysage qu'elle voyait au travers de la vitre se formait directement sur la vitre ou si elle  le voyait par transparence au travers de la vitre.

Si la vitre est déformée, vous verrez le paysage également déformé, ce qui prouve que l'image se forme sur la vitre, et non par transparence.

Actuellement, la plupart des apprareils photographiques règlent la distance automatiquement,  mais si on avait un vieil appareil photographique, il faudrait alors régler la distance par rapport à la vitre et non par rapport au paysage.

Déduction pour les lunettes : l'image que l'on voit paraît-il "au travers" des lunettes, se formerait donc, sur les lunettes et pas au loin, derrière. Ce qui voudrait dire que le regard de la personne, se porterait non pas à au loin ou sur le livre qu'elle est en train de lire, mais sur les lunettes placées juste devant ses yeux à deux centimètres de distance environ, ce qui rendrait la personne encore plus bigleuse.

D'ailleurs, Doofie trouvait que sur les photos d'elle-même qu'elle avait faite récemment, depuis qu'elle lisait avec des lunettes, mais sans lunettes, son regard avait l'air terne et inexpressif, on aurait presque dit qu'elle louchait, et aussi que l'on pouvait regarder au travers de ses yeux et voir ce qui est derrière sa tête.

Ce soit, en tenant d'anciennes grosses lunettes de son mari au dessus du clavier d'ordinateur, elle a bien vu que l'on distinguait entre la taille de clavier naturelle et les grosses touches vues au travers de lunettes, ce qui fait que l'on distingue deux images, une agrandie comme avec une loupe et autour du contour des lunettes, une autre de taille normale.

D'ailleurs Doofie croit se souvenir que dans le temps, les couturières et les horlogers travaillaient avec des loupes posées sur des tablettes trouées pour laisser voir au travers de la loupe. Mais pas avec des lunettes, même si aujourd'hui, l'horloge  travaille avec des microcope. L'horloger et la couturière passent alors leurs mains avec leur ouvrage sous la tablette-loupe pour travailler.

Les lunettes sont une invention assez récente.

Si pour écrire et lire, on posait une tablette loupe à dix centimètres au dessus de nos mains, on pourrait lire avec le regard plongé à une trentaine de centimètres de notre livre, comme on nous le recommendait pour travailler à l'école primaire. Et l'image agrandie se formerait non plus à un ou deux centimètres de nos yeux, mais à 30 cm, ce qui serait moins mauvais pour la vue.

Doofie pense que toutes les personnes à lunettes, à moins d'être si myope que dans le cas suivant , elle se cogneraient  partout,  toutes les personnes devraient poser leurs lunetes au moins deux heures par jour, et ils constateraient une amélioration de leur vue et ensuite ils devraient  augmenter le temps  passé sans lunettes surtout en cas d'amélioration.

Doofie a constaté que même sur la route, elle sait maintenant lire les pannreaux plus vite que Schnelly qui porte des lunettes depuis quelques années et avait une vue d'aigle dans sa jeunesse (les aigles ont la meilleure vue qui existe).

Le lendemain Doofie discute avec ses copines...

Dummie : C'est vrai que tu es belle, Doofie, sans lunettes. Mais tu y crois à cette histoire que l'image que regarde ceux qui ont des lunettes, est juste devant leurs yeux.

Doofie : Oui, d'ailleurs, je vois beaucoup mieux les choses maintenant, elles me paraissent plus naturelles et pas comme en cinémascope, et les gens me paraissent plus réels. Et tout a plus de relief! Les choses sont plus rondes, plus palpables.

Dummie : Ah! dit Dummie qui n'a jamais porté de lunettes!

Doofie : Le pire, c'est que j'avais des verres qui se teintaient progressivement au soleil, et au début, quand j'ai enlevé mes lunettes, j'étais toujours éblouie par la lumière et mes yeux pleuraient.

Dummie : Donc, ce n'est pas bon non plus de porter trop souvent des verres teintés.

Sottie : J'ai entendu dire que même les porteurs de lunettes, devraient détendre leurs yeux en portant de temps en temps leur regard au loin, sans les lunettes. C'est aussi recommandé quand on écrit à l'ordinateur, ou quand on lit un livre, de lâcher de temps en temps son texte pour regarder au loin.

Foolie : Je pense même qu'il faut regarder le paysage mais si l'image se forme sur la vitre, il faudrait alors ouvrir la fenêtre!

Sottie : Mais Doofie, les ophtalmo, les opticiens et les marchands de lunettes vont faire faillitte!

Dummie : je ne pense pas que ce soit vrais pour les opticiens, ils sont souvent mutualistes et les mutuelles finissent par avoir des déficites à cause des lunettes, un peu moins de clients chez les opticiens et elles rentreraient dans leurs frais!

Foolie : Tu sais, pour aller chez l'ophtalmo, il faut prendre rendez-vous six mois à un an à l'avance! Ils auraieent moins de travail et les gens attendraietn moins.

Doofie : Et pour les marchands de lunettes, ils se recycleraient dans les lunettes sans verres décoratives.

Bon, ceci n'engage que Doofie et ses amies, moi, je suis ne suis pas un personnage de théâtre comme elles, et je ne me permettrais jamasi de dire ce qu'elles ont dit... de peur que les gens deviennet aveugles à cause de moi... Bon, mais si vous voulez écouter Doofie, vous ne vous en prendrez qu'à vous même!

 

samedi, 26 juin 2010

Doofie et les nouvelles musiques...

Vous savez que Doofie mon personnage de roman-théâtre, est musicienne, chanteuse, et guitariste et elle joue aussi d''autres instruments.

Doofie, a mis des vidéos sur Intenet, ça a duré quelques temps elle commençait a avoir du succès,, surtout à  l'étranger, en Allemagne, par exemple et sur les autres continents. A un moment, elle était même vue en Chine, mais ils ont séparé leur web du nôtre qui n'est donc plus un www (un world wide web) mais un China wide web (cww).

Doofie a soudain vu que certains musiciens français organisaient des concours de reprises ou autres, par exemple de compositions nommés défis et challenges. 

Elle a commencé par un défi musical : se mettre une chanson difficile sous la dent tant à la guitare, qu'à la voix. Elle fait deux, trois défis, mais arrive toujours à la dernière minute ou en retard, deux fois cependant ses vidéos apparaissent dans les vidéos de la chaîne de défis.

Jusqu'au jour ou Doofie qui n'a pas eu le temps de faire sa vidéo dans les temps, parce qu'elle avait beaucoup de travail à ce moment-là, met en commentaire sur la chaîne "Je n'ai pas envoyé  ma vidéo à temps, venez la voir sur ma chîne (de TV internet, soit de vidéo, ces chaînes étant conçues pour être des chaînes de TV en différé par les vidéos.

Puis comme il faut voter pour les autres candidats, elle explique assez brièvement (pas plus de trois ou quatre lignes) comme les jurys le font à la Nouvelle Star, ses critères de vote, non pour les imposer aux autres, mais pour expliquer son choix. Tout ceci sans mauvaise intention, ni l'intention d'influencer les votes qui étaient en grande partie déjà faits.

Aussitôt levée de bouclier de plusieurs membres du défi : Que nous veut celle-là, non seulement elle met sa vidéo en retard, fait de la publicité pour elle-même, mais en plus, elle se permet de définir de nouveaux critères pour voter. Bref, très mauvaise interprétation de ce qu'a écrit Doofie.

Certains de ses détracteurs se sont ensuite excusés, mais entre temps, ils avaient mis des commentaires pas très joyeux, mais assez agressifs, d'au moins vingt lignes sur sa chaîne, comme si sa chaîne à elle avait besoin de trois commentaires de 20 lignes, quand d'autre part, on lui interdisait trois commentaires de deux lignes!

D'ailleurs, sur la chaîne en question, il y a des personens qui écrivent écrivent, écrivent sans jamasi être inquiétés.

Le plus amusant là-dedans est que  finalement, presque tous ceux qui inicialeent avaient critiqué Doofie, se sont excusés et ont ensuite pris parti pour elle, et l'on commentée en bien après avor commenté deux de ses vidéos en mal.

Bon, entre temps Doofie s'était tournée vers un challenge.

Accueil inpéccable, au départ, pendant plusoeurs participations.

Puis, ça change d'un seul coup. Doofie critique l'animateur de la chaîne sous une vidéo où l'on voit le dépeçage d'un lapin ou autre animal. En effet, ne supportant pas cette vue, elle écrit en commentaire qu'elle ne mange pas de viande, etc....   

Tout de suite commentaire dans la vidéo suivante : Doofie n'a pas été agréable avec l'organisateur du challenge, comme si on n'a pas le droit de drie quand des choses réprésentées sur une vidéo nous choquent. C'est smplement dire son avis (les commentaires sont faits pour cela). Mais Doofie a remarqué qe dès qu'elle émet une critique, aussi minime soit elle, soit son commentaire est bloqué et elle ne peut pas le publier, soit si elle arrive à le publier, on l'accuse de tous les maux du monde.

De la première chaîne, elle s'est fait renvoyée et bloquée (elle ne peut plus commenter ni envoyer de vidéos au défi). Sur la deuxième chaîne elle prend en pleine figure des reproches injustifiés.

Alors ces deux chaînes là, le karaoké de la nouvelle chanteuse du web voilà que Doofie, en tant que personnage apparaissant le web, pourtant être sensible et non virtuel, est bien plus mal acceptée que dans la vie courante. Parfois on la renvoie, on la bloque comme une petite fille, parfois on lui fait des reproches. Et elle a pourtant près de 60 ans...

Doofie est condamnée à ne plus dire son avis, à ne plus farie de commentaires sérieux, elle doit complimenter tout le monde, Bref, Doofie n'a pas droit au chapitre!

Heureusement que Doofie, a le blog de domino, la journaliste alternative, pour dire son avis...

domino

vendredi, 25 juin 2010

Bizarre autant qu'éttrange....

Smoothie  écrit dans son journal :

Chère Amie des coeurs tristes,

Mon journal est sur le blog de domino? C'est normal.... Tous les journaux intimes de ses personnages de roman-théâtre arrivent tôt ou tard sur le blog de domino, la journaliste alternative.

Voilà ce que j'ai remarqué : la dernière fois que j'ai passé le CLES 3 d'anglais, il y avait deux jours de passages à cause des Rendez-vous dus aux oraux à passer entre deux écrits, et donc aux départs décalés des préparations. J'ai remarqué que tous les étudiants reçus étaient passés le premier jour. Alors, je me suis dit que c'est peut-être qu'on a pensé que les étudiants du premier jour avait parlé du sujet à ceux du deuxième jour. En tout cas, moi, j'étais passée le deuxième jour, et on ne m'a pas parlé du sujet (les sujets sont relevés à la fin des épreuves, pour qu'on ne les passe pas aux autres).

Certains disent ne pas se souvenir des sujets après un examen et les oublier vite, mais ce n'est pas mon cas, je m'en souviens souvent encore plusieurs années après, même si les détails s'estompent mais je n'en parle pas aux autres, si on dit qu'ils peuvent encore être donnés.

Bon, maintenant, j'ai été intriguée par le même phénomène cette année, il n'y a que trois candidats qui sont admis dans mon université, sur une douzaine qui l'ont passé. Bon, ça se peut...  25% de réussite,  après tout, c'est plus qu'au CAPES ou à l'agrégation.

Mais voilà, c'est la répartition des candidats admis qui m'inquiète.

En effet, sur les 4 candidats qui ont été convoqués le premier jour de 8 heures à 9 heures, 3 sont reçus et ensuite après la "pause du jury" (comme on prévoit une pause de 12h20 à 12h40 pour le jury, personne n'est convoqué à 9h20, il y avait encore quelques candidats et personne n'est reçu. Le lendemain, il y avait encore 5 candidats et personne n'est reçu.

Si les candidats du deuxième jour sont susceptibles d'avoir des renseignements sur les sujets  par les autres (les sujets sont relevés), ceux qui passent après le trou fait pour la pause du jury, ne peuvent pas avoir de communication avec les quatre premiers, dans la mesure où les quatre premiers préparent pendant trois heures, sont accompagnés jusqu'à la salle d'examen, et reviennent accompagnés vers la salle de préparation et ne soirtent de celle-ci que vers midi 20 pour le premier. Or, le dernier candidat de la journée à entre dans la salle, entre vers 11 heures.

En gros si on met la liste des reçus à côté de celle des passages, on a (je met des n°s à la place des étudiants)

1er jour

1) Reçu

2) Reçu

3) Echoué

4) Reçu

Pause

5) Echoué

6) Echoué

7) Echoué

2ème jour

1) Echoué

2) Echoué

3) Echoué

4) Echoué

5) Echoué

 

Bon, si un jour vous passez un CLES 3 d'anglais, dans cette université, pressez vous pour passer parmi les quatre premier, ou ne passez pas après Smoothie qui est peut-être victime d'un harcèlement informatique!

Ce harcèlement informatique ne vient pas focément de France, il peut venir de gens bien renseignés sur moi qui installent leurs espions sur des serveurs. Moi même et mes amies, nous n'avons pas assez de connaissances en informatique pour faire cela, le C2i 1er niveau ne dispense pas ces connaissances, pas plus que le C2i2ème niveau enseignant.

Mes regards ne se tournent pas vers l'Amérique, mais vers le Centre et le Sud-Est de l'Europe. Et l'auteur de ce harcèlement doit être une bonne informaticienne amateur qui n'a jamais habité dans ma région, ne m'a jamais vue personnellement, mais connait ce blog-ci depuis presque ses débuts.

Cela pourrait expliquer aussi les échecs répétés de Doofie à l'agrégation. Et les échecs de notre académie si les notes d'agrégation sont tapées par académie à partir du nom de Doofie. Une fois, il n'y avait sur toute la France aucun admissible à l'agrégation à partir de la lettre de Doofie, et Doofie en ayant fait la remarque, le lendemain, plusieurs admissibles de la fin de l'alphabet sont apparus sur la liste, mais aucun n'avait la lettre d'alphabet de Doofie (qui n'est pas un D, soit dit en passant).

Doofie a été admissible pour la dernière fois à l'agrégation en 2005 et elle a commencé ses blogs d'abord en septembre 2005 et ensuite domino a comencé ce blog-ci en janvier 2006, est-ce que cela voudrait dire que faire un blog empêche d'avoir l'agrégation?

Il y a eu le même phénomène à la Grande Etoile d'Internet. J'ai voulu voter pour Doofie, ça marchait bien sur les vidéos qui n'avaient pas beaucoup de clics, et les votes restaient, mais dès que je cliquais sur le vote l'une des quatre vidéos les mieux placées de Doofie, tous les compteurs qui avaient avancé d'un point auparavant sur la même connection reculaient d'un point.

Quant à Dummie, elle a failli se faire enlever deux fois par des femmes qu'elle ne connaissait pas et qui lui proposaient de monter dans leurs voitures. Il s'agissait à chaque fois de femmes avec des grosses lunettes qui ne voyaient pas fort clair. La première fois juste avant des résultats d'admssibilité de l'agrégation, en rentrant d'un service de rattachement, la deuxième fois le dernier jour de l'année scolaire en rentrant d'un service de rattachement, que syndicalement parlant, elle ne devait pas faire.

Smoothie

 

 

'(Pour Smoothie, domino)

autres,

Fausse nouvelle directive

Doofie écrit dans son journal :

 

Jusque dans les années 90, le professeur de langue suivait des directives générales publiées dans un B.O. déjà ancien.

A partir des années 2000, on publia des programmes de langues. Mais comme  les premiers programmes publiés ne convenaient pas, on en fit des deuxièmes, puis des troisièmes. En l'espage d'une décennie le professeur de langues suivit les programmes comme il le pût en réapprenant toujours de nouveaux. Les parents, demandeurs de programmes, en avaient décidé ainsi.

Puis, devant le fait que dans la plupart des clesses, il était impossible de réaliser ces programmes ambitieux, on dû rebrousser chamin et vers 2015, on fit foin de tous programmes et on fit une seule directive :

"Le professeur de langue, dans sa classe, veillera à une seule chose, : Que les élèves progressent!"

 

(Rassurez-vous, Doofie a fait une incursion dans l'avenir, mais elle et ses copines reviendront aussitôt dans le présent, nous n'avons pas sauté cinq ans).

 

domino

 

mercredi, 23 juin 2010

Doofie cherche encore quelque chose...

(Doofie et Dummie sont encore attablées, leur peur des bruits et craquements dans la maison a cessé, elles ont été rassénérées par la musique, la musicothérapie fait aussi son oeuvre et couvre les craquements et plocs ambiants.)

Doofie : Tu sais, Dummie, je viens de penser à quelque chose...

Dummie : Qui donc?

Doofie : Hier soir, j'avais mis des livres à monter dans l'escalier.

Dummie : Ah bon, ça a encore disparu.

Doofie : Je les avais mis sur l'escalier, avec sur la marche en dessous les prosperctus  à  jeter, et au dessus des papiers à jeter, j'avais placé, soit un classeur d'une certaine importance, soit un vêtement, je ne sais plus bien....

Dummie : Et tout cela a disparu...

Doofie : Non, c'était un classeur, pas un vêtement...  ou quelque chose d'assez épais. Les prospectus à jeter, que j'avais regardé et trié avant -ce sont ceux que l'on met toutes les semaines dans les boîtes aux lettres, je les ai mis dans le sachet qui est suspendu sur le mur de l'escalier de la cave et est une étape intermédiaire avec la poubelle à papiers qui est au garage. C'est à cause du tri sélectif.

(Le garage est au même niveau que la cave, pour ceux qui ne connaissent pas la maison de Doofie).

Dummie : Donc, les prospectus sont à leur place, prêts à quitter la maison.

Doofie : Si on veut, c'est Schnelly qui s'occupe des poubelles, mais il sort la poubelle à papiers, cartons et emballages, une fois par mois. Celle avec les denrées périssables, il la sort toutes les semaines.

Dummie : Bon, pour les prospectus, c'est réglé. Et le reste, les livres.

Doofie : J'ai regardé en haut, rien n'a changé depuis deux jours sauf l'aspect du lit et des objets de salle de bain, bref les deux pièces qu'on emploie tous les jours. J'ai regardé du côté de Schnelly pour le lit, et je ne les ai pas vus non plus. Et en bas non plus. C'était des affaires que j'avais trié hier, parce qu'elles étaient en bas et je voulais les monter, mais Schnelly est arrivé avant que je ne les monte.

Dummie : Alors, l'esprit farceur, c'est Schnelly.

Doofie : Je ne pense pas qu'il soit si farceur que cela, il  a paut-être monté les affaires pour m'aider, mais dans ce cas là, je devrai voir où il les a mises, car quand il fait cela, il les met au-dessus de tout.

Dummie : Schnelly les a peut-être mise à un auter endroit. Elle le gênait pour monter, alors, il les a reposé dans un coin du rez-de-chaussée.

Doofie : Si je trie des affaires que je monte, ce n'est pas pour les retrier une deuxième fois, parce qu'elles sont revenues en bas....

Dummie : Il les a peut-être mise à la cave...

Doofie : Dans ce cas, je devrais les remonter de deux étages... Tiens, j'entends justement des bruits à la cave. Je voulais aller y chercher le linge pour le pendre.

Dummie : La machine à laver est dans la cave...

Doofie : Dans le garage au niveau de la cave....

Dummie : Et les cordes à linge?

Doofie : Le séchoir est à l'étage. J'entends dub bruit à la cave, pouvu que personne ne prenne ma lessibe...

Dummie : C'est déjà arrivé?

Doofie : Oui, il y a aussi un séchoir à la cave, et parfois du linge pendu là disparaît!

Dummie : On peut y entrer de dehors?

Doofie : Il y a une soupirail avec une grille, c'est trop petit pour qu'un être humain rentre par là.

Dummie : C'est peut-être un petit animal ou une pie.

Doofie : Les pies ne prennent que ce qui brille et il n'y en a pas par ici, par contre il y en avait beucoup dans la ville où habitait ma mère.  Il  y en a aussi autour de l'université.

Dummie :  Elles volent peut-être les copies...

Doofie : Non, elles ne volent que ce qui brillent, elles ne volent ni les papiers, ni les habits.  MAis elles sont belles, ce sont de grands oiseaux au ventre blanc et à la queue bleutée.

Dummie : Oh, ça sonne, Schnelly est là...

Doofie : Déjà, vite, vite, il n'y a pas de choses qui traînent dans l'escalier?

Dummie : Bon, je vais aller rejoindre Quicky chez moi, il doit être rentré aussi...

Doofie : Pour les affaires qui ne sont plus là, je ne dirai rien à Schnelly,sinon  il va hurler : Ce n'est pas moi!  Alors, je préfère ne pas le véxer.

domino

(Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite)