mardi, 09 mars 2010
Accident
En prenant des livres dans ma bibliothèque, j'ai reçu une pile de livres sur ma tête, ça me fait tout bizarre sur ma tête, je ne sais pas combien de temps je vivrai encore.... je me sens toute bizarre, ma tête est comme dans du coton et ça me fait comme une brûlure du côté de l'oreille.
Je ne veux pas vous dire adieu et vivre, cela vient de se passer.
Bon, 10 minutes après, je suis encore là... Dans les bandes dessinées comme Tintin et Milou, le capitaine Haddock ou Tintin sont souvent assomés, mais sans conséquences pour eux, j'espère qu'il en sera de même pour moi.
15 minutes après, ça me fait comme si j'avais du coton sur la tête je sais écrire, je sais lire, je sais parler, je n'aime pas qu'on me pose des questions, parce qu'il faut répondre sur le champ, j'ai les os du cou qui font des craquements quand je tourne la tête. Je me demande si j'ai des bosses ou pas, je sais chanter, j'essaie de me souvenir de la liste de mots qu'on a du retenir au stage PAF aujorur'hui : freundlich, ehrgeizig, das Ende, das Rätseln bummeln, typisch, altmodisch.... ça va on va s'en sortir.. je sais encore l'allemand, mes capacités de traduction ont l'air intactes, ma tête fait une impression bizarre... je sais encore mes accords de guitare.
Je sais encore taper à l'ordinateur, bon, j'espère que je ne mourrai pas en dormant... ça serait trop bête, parce que je me sentais heureuse au moment où c'est arrivé, et boum! C'est comme cela qu'on met tout une vie en l'air, en plus les livres sont tombés tous seuls, sans que je les touche... ce ne sont pas les livres que je touchais qui sont tombés, mais ceux au-dessus...
Bon, ça a l'air de ne pas me faire mourir quand même, j'ai froid... c'est le contrecoup.
Je n'ai plus froid, mais j'ai des douleurs dans la main gauche, pourtant, je n'ai pas eu mal là quand les livres sont tombés, seulement cette immense coup sur le sommet de la tête, à gauche. D'un livre qui était 70 cm au dessus de moi, d'après mes estimations...
Deux heures plus tard : ça a l'air d'aller mieux, le drôle d'impression sur la tête a disparu.;; juste que j'ai froid quand je me lève et que je bouge, sinon tout a l'air d'aller bien!
domino
21:02 Publié dans Santé i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : accident, livres, bibliothèque
Déformation
Il paraît que le ministre va faire appel aux jeunes retraités pour faire les remplacements dans l'éducation nationale.
Mes propos ont encore été déformés.
J'ai simplement écrit que les jeunes professeurs retratiés sont spuvent plus compétents que les professeurs des écoles pour enseigner les langues vivantes en primaire, ils ont en particulier ayant fait de la langue qu'ils enseignent une spécialisation, une très bonne prononciation. Ce que n'ont pas toujours les non spécialistes.
Bon, mes propos ont été déformés, mais cela prouve que le ministre (ou quelqu'un du ministère) lit mon blog.
domino
06:38 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, remplacements
Morbide
Il paraît que maintenant on fait des cercueils équipés de téléphone. Cela permet au mort de téléphoner si jamais il se réveille!
domino
06:34 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour
samedi, 06 mars 2010
Fautes...
Je ne vais pas m'excuser pour les fautes qui émaillent certaines de mes nouvelles notes, la plupart apparaissent au moment de la publication, j'ai constaté souvent ce défaut, dû sans doute à un correcteur d'orthographe d'une langue étrangère, qui remet mon bon français en mauvais français.
Par exemple j'avais bien écrit dans la dernière note :
"Ne plus guère" et cela s'est transformé en "Plus guère".
J'avais écrit et je l'ai bien lu : "Propre à" et cela s'est transformé à cause de la référence géographique qui suivait en "proche à" et même pas en "proche de", changeant non seulement le sens de ma phrase, mais ajoutant une faute de français. Il s'agit bien de "Une coutume propre aux bords de la France".
Je suis bonne en français et francophone, alors qu'on me laisse tranquille et qu'on ne transforme pas ce que j'écris, déformant ainsi ma pensée, tout en voulant faire mieux que moi.
domino
12:12 Publié dans Bizarreries i-grimoirienne.... | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fautes, blog
Des nombres et des expressions...
Je trouve que régulièrement, on devrait faire le tour des expressions de la langue française qu'employaient régulièrement nos parents, mais qu'on n'emploie plus guère et que les jeunes ne connaissent plus guère que par la lecture ou grâce au capitaine Haddock pour la premère que je vais citer ici :
"Voir trente-six chandelles"
Avoir un étourdissement en se cognant (ça arrive souvent au capitaine Haddock, on le voit dans les bulles), ou en tombant sur la tête.
"Attendre cent-sept ans" ou "Attendre le dégel".
Ma mère employait souvent l'expression "Bon, je ne vais pas attendre 107 ans" et à l'école l'institutrice disait "Je ne vais quand même pas attendre le dégel", ce qui faisait rire quand on était en plein été! Cela signifiait que l'enfant n'allait pas assez vite et qu'on l'attendait, mais ça se disait aussi à des plus âgés.
Ma mère disait : "Regarde, elle est sur son trente et un!" Ou alors, demain, on va chez M. ou Mme UnTel, il faudra se mettre sur son trente et un!"
En fait 'se mettre sur son trente et un" signifie "Bien s'habiller, s'endimancher". En effet, à l'époque on portati des vêtements différents en semaine et le dimanche, ou pour "aller en visite", encore une expression qu'on n'emploie plus guère. la plupart des jeunes disent "Faire une viste."
Dans mon enfance et mon adolescence et même encore quand j'étais étudiante, on faisait aussi, mais c'est dans un autre registre "la promenade du dimanche", tradition peut-être propre aux bords germanisés de la France (Alsace, et Nord) car il paraît que la promenade du Dimanche qui existe an Allemange,et probablement aussi en Belgique et en Hollande, n'existe pas ailleurs. On faisait aussi la promenade du dimanche chez ma correspondante allemande.
La promenade du Dimanche consistait, à une époque où la motorisation commençait, à aller à la campagne en voiture, puis on s'arrêtait près d'un chemin et on marchait une ou deux heures avant de rentrer au bercail en voiture, histoire de s'oxygénér ("prendre un bol d'air")quand on vivait en ville. Ou bien, on allait à la mer, à 70 kilomètres. Quand j'étais toute petite, et que mon père n'avait pas encore de voiture, on allait au parc ou on allait le long du canal, jusqu'à la guinguette, avec mes grand-parents paternels, oncle, tante et cousin et là-bas, mes parents dansaient au son du musette pendant que nous jouions sur les petits manèges et balançoires.
domino
11:44 Publié dans Linguistique i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expressions, langue franaçaise, littérature, français, langue
Je sais tout
Foolie écrit dans son journal :
Pendant dix ans, j'ai eu dans un lycée où j'ai travaillé, un collègue du nom de JeSaisTout.
Outre le fait qu'il savait tout sur tout et tous, il avait une autre qualité, c'était de confier ses secrets à ses meilleurs amis qui étaient tous ses collègues.
Alors je vais vous apprendre un secret de M. JeSaisTout, d'ailleurs, il a divulgué tant de secrets à moi, que ce ne serait que revanche.
Monsieur JeSaisTout, que les élèves mariaient de façon erronnée à la collègue d'allemand avec laquelle on le voyait le plus (et ça changeait régulièrement, mais il n'était point amoureux de ses collègues d'allemand...), Monsieur JeSaisTout, bien que célibataire endurci, costumé et cravatté, avait des secrets de polichinelle qu'il confiait à tous les collègues qui voulaient bien prendre la peine de s'asseoir à côté de lui dans l'un des fauteuils de la salle des profs, et écouter ses confidences.
M. JeSaisTout tombait régulièrement amoureux.
Et il eût un amour secret qui dura très longtemps. Je dois dire que je n'ai assisté qu'à la fin de cet amour, car quand je suis arrivée, son amour durait depuis bien cinq ou six ans, et allait encore durer trois ans, le temps que le plus jeune enfatn de la dame en question qui venait d'arriver en seconde, ait son bac.
L'objet de son amour secret et inavoué, n' était ni plus ni moins que la présidente du Comité de Parents d'Elève, qui ayant eu trois garçons nés à une distance de trois ans l'un de de l'autre, fût présidente pendant bien une dizaine d'années.
Quand la Présidente quitta ses fonctions faute d'avoir encore un enfant scolarisé dans ce lycée, Monsieur JeSaisTout parla encore pendant quelques années de cet amour secret, - dont la dame ignorait tout, car si le secret était de polichinelle dans le lycée, il était bien gardé par tous vis à vis de la dame -, et pour entretenir sa flamme touvait des prétextes pour aller rendre visite à sa famille. Et la dame était loin de se douter de cette flamme amoureuse.
C'est lors de repas de collègues pris en commun autour d'une table où il servait des mets de sa région que nous eûmes vent du secret, sans compter les nombreuses confidences faites dans les fauteuils de la salle des profs, ou nous écoutions amusés le récit de ces rebondisseemnts amoureux et des statagèmes qu'il inventait pour rencontrer la dame au détour d'un couloir et lui serrer la main, ou lorsqu'elle ne fût plus présidente pour lui rendre visite ou la rencontrer lors d'un "pot" offert au lycée. T
M. JeSaisTout, est à lui seul un perosnnage de roman et je trouve que notre auteure et mère, domino, fait bien de l'inclure dans le roman dont nous sommes les personnages principaux.
Foolie
Pour Foolie, domino, auteure de ce roman-théâtre.
11:27 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : monsieur jesaistout, enseignement, amoureux