lundi, 19 avril 2010
Les dragons...
Connaissez vous l'histoire du héros qui térrasse la dragon, que l'on retrouve tout d'abord dans la Bible, St Michel térassant le dragon, mais aussi dans de nombreux écrits de lantiquité. En Chine aussi et dans les religions hindouistes, la dragon a son importance. De nombreuses légendes et de nombreux contes nous parlent aussi de héros terassant des dragons. et aussi la littérature du Moyen-âge, en particulier le romand e chevalerie, voit de nombreux héros térasser des dragons, à l'instar de Sieggried, Erec térasse dragons, nains et géants.
Qu'elle est la caractéristique du dragon... Il crachait du feu... Avait une grande gueule béante ouverte, exactement comme les volcans...
Mais pourquoi trouverait-on alors dans les romans de chevalerie en Allemagne et en France (Chrétien de Troyes) des héros terassant des dragons.
Savez vous que César a décrit dans la guerre des Gaules, les volcans d'Auvergne, en acitivté, que ceux ci ne font que dormir, car les sources chaudes des eaux minérales prouvent une intense activité volcanique souterraine. Sur le versant Ouest des Vosges, les sources de Vittel et Contréxéville sont également chaudes et dans l'Eifel, les eux de Gerolstein, ne laissent planer aucun doute : entre ces lacs ronds dits "de cratère", des feux souterrains chauffent l'eau minérale gazeuse.
Alors de là à dire que Siegfried (Chilpéric 1er?) d'une part et les Chevaliers de la Table Ronde d'autre part avec le Roi Arthur (Aetius - Attila?)
aient été contemporain trois à quatre siècles après César de volcans en voie d'extinction, il n'y a qu'un pas. Qiuelle belle idée de dire alors que ces héros, en voyageant jusqu'au bord des cratères, ce qui pouvait être si ces volcans avaient encore une certains activité, considéré comme un acte de bravoure, aient dompté le feu qui s'y trouvait (mais qui en fait s'éteignait d'une façàn naturellle...)?D'ailleurs les dragons se trouvaient souvent au fond d'une caverne ou d'un gouffre.
Peut-être que dans une langue ancienne ou un dialogue de l'époque, un mot proche du mot "dragon" aurait désigné les volcans... Volcan et Dragon sont d'ailleurs deux mots qui phonétiquement ne sont pas très éloignés l'un de l'autre.
.....
Maintenant, ces volcans qui sont encore là, pourraient un jour se réveiller et reprendre leur activité. Il y a aussi l'épée de Vulcain trempée dans le sang du dragon ou dans le volcan.
domino
23:25 Publié dans Géographie i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : volcans, dragons, feu, mythes, littérature
L'inventeur
Goehe, notre Wolfgang pas Amadeus, mais Johann... von... était non seulement un très bon écrivain, mais un scientifique avéré.
Non, seulement il avait trouvé une théorie des couleurs et agencé les couleurs des pièces de sa maison de ville de Weimar celle du Frauenplan, selon cette théorie, découvrant en même temps leur effet sur la psychologie, on nous expliquait tout cela lors des visites guidées de cette maison à l'époque de la RDA (comme disent ses anciens habitants eux-mêmes, "zu DDR-Zeiten" (le terme prisé des germanistes français "die ehemalige DDR" ne se dit pas en Allemagne! A défaut de "die neuen Bundesländer", ce qu'ils disent parfois, ils préfèrent encore dirent Ostdeutschland, même quand il y sont nés dans cette Ostdeutschland ou "Wir, im Osten Deutschlands"., bon, bref, revenons en à Goethe. Goehte avait dont découvert une théorie des couleurs et.... l'os intermaxillaire, celui qui est entre la machoire supérieure et la machîre inférieure. Goethe était aussi un botaniste averti!
Bon, ceci pour vous dire que.... dans Faust, ce scientifique qui voulait tout savoir (autoportrait de Goethe?), ... certaines choses sont peut-être présentée d'une façon qui vous cache les inventions de Goethe.
Voyez un peu ce chien que l'on dénomme ensuite Pudel, c'est à dire caniche... apparaître en haut de la colinne lors de la randonnée de Faust et de son valet Wagner. Ecoutez voir plutôt ...!!!!!!
Ce chien, est plutôt Teuf... Teuf.... Teuflisch... d'ailleurs il va en sortir rien moins que Mephisto.... et de la .... vapeur.....
Regardez nos voitures qui n'ont pas changé depuis... quatre pattes, deux yeux, parfois un peu de fumée derrière.
Mais à l'époque de Goethe, les moteurs à explosion, déjà conçus par Léonard de Vinci quelques siècles plus tôt... n'étaient pas, encore très au point...
Regardez plutôt le vacarme que fait ce chien (sans doute métallique...) en haut de la colinne, il laissait une traînée de feu et de fumée derrière lui, car Goethe n'avait pas omis d'adjoindre à son invention, un pot d'échappement.
il faisait une aboiement digne du vacarme le plus intense du moteur à explosion, et ce vacarme était Teuf Teuf teuflisch...
La petite voiture qui ressemble à un drôle de chien descend derrière Faust et Wagner, s'installe dans l'entrée du logement om vit Faust. Abboie, abboie, abboie, vraiment d'une façon insistante, comme un moteur que l'on n'éteint pas. Fait un nuage de fumée, et oups, Mephistopheles en personne sort de la voiture chien.... et propose ses services à Faust...
De là à dire que Goethe aurait été, environ un demi-siècle avant son invention, l'inventeur du moteur à explosions et de la voiture, il n'y a qu'un pas...
Traduisez l'épisode comme ceci : Arrivés en haut de la colinne Wagner (encore une prémonition... le futur musicien...) et Faust rencontrent un futur ami qui actionne un Teuf teuf au bruit diabolique, à forme de chien à quatre pattes. Le teuf teuf les suit, stationne dans la maison de Faust en entrant par la porte cochère (il y avait probablement un sol en terre battu qui facilité la chose...), puis dans un dernier vrombissement, Mephisto éteint le contact ce qui provoque une énorme fumée, et descend de l'engin au milieu de cette énorme fumée...
domino
22:57 Publié dans Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : goethe, littérature allemande, littérature
Où est la liberté de voyager?
Doofie écrit dans son journal :
Aujourd'hui nous étions Foolie, Dummie et moi juste derrière Sottie partie légèrement en avant. Parmi nous quatre, c'est elle qui marche le plus vite et pourtant, elle marche trop lentement, comme ma voiture qui l'autre jour roulait trop lentement dans un village aux rues tortueuses.
Comprenez-nous, nous avons la cinquantaine bien entamée et à notre âge, nous ne miarchons plus aussi vite que les autres.
Nous étions dans la station de métro gare de Grande Métropole, juste en bas d'un escalier roulant qui montait, avant d'aller prendre notre train.
Soudain Sottie s'est immobilisée en bas de l'escalier roulant, car des grandes perches d'environ 30 ans (Foolie , Dummie et moi, étions déjà plus grande que nos parents, 1M 65 alors que nos mères faisaient 1m 60, mais nous n'avons pas encore mangé assez de soupe car, je ne sais pas si c'est spécial à notre région, celles qui ont 30 ans actuellement, font environ 1m 75 en moyenne et les hommes sont encore plus grands). Bref, quelques grandes perches sont arrivées avec leur maris, ils devaient tous s'appeler Schnelly ou Sppedy, car ils étaient vraiment pressés et ont obligé Dummie à se mettre sur le côté en bas de l'escalier pour les laisser passer. Je veux dire que Sottie ne gênait même pas la "circulation", car elle et moi, nous nous étions eclipsées en bas sur la terre ferme, à côté du départ de l'escalier.
C'est alors que plusieurs hommes à képis sont arrivés et ont obligé Sottie à monter sur l'escalier en lui demandant si ça allait. Comme si Sottie n'allait pas bien? Sottie n'a tout simplement pas d'asssez grande jambes, et nous non plus d'ailleurs pour tenir sur un escalier roulant en même temps que ces sprinters des transports en commun.
Bon, Sottie est arrivée en haut avec ces trois sbires de l'Etat Policier derrière elle. Jusque là pas de mal. Elle s'est dit qu'après tout ils l'avaient protégé des sprinters du métro et des gares.
Mais non, ils n'en sont pas restée là.
Sottie, suivie par nous trois qui l'avions rejointe, s'est approchée d'une restauration rapide, mais il y avait une file d'attente comme jamais, et Sottie et nous, on s'est dit que finalement, on avait encore le petit pain de l'université dans notre estomac et que même si on allait arriver à sept heurs passées chez nous, ce n'était pas la peine de manger, nous n'avions pas faim.
Alors, on s'est dirigées, en attendant que le quai soit affiché (une spécialité des gares françaises, d'afficher le quai en dernière minute, en Allemagne, les quais ont affichés une fois pour toutes par périodes de six mois, avec les affiches d'horaires avec les quais, sur tous les quais, de façon à savoir ou aller en cas de correspondance, mais on n'est pas en Allemagne et on n'est pas allemandes. Alors parlons de notre beau pays mal organisé, la France...
D'un seul coup, deux hommes à képi, sont arrivés en face de Sottie. C'étaient les mêmes que tout à l'heure, et ils lui ont demandé son nom. Elle leur a dit son vrai nom, marital. C'est mieux que de dire son nom de jeune fille, bien trop rare, elle s'est dit...
Ils ont dit "Ah! On cherchait quelqu'un dont on a donné le signalement et qui vous ressemble..." Madame... Et ils ont dit quelque chose du style de "Lan...." La femme qu'ils cherchaient s'appelaient "Lan..." et vlan! Voilà Sottie qui fait une drôle de tête. "Je suis recherchée pas la police? Qu'ai-je fait de mal. J'étais si heureuse ce matin d'avoir réussi mon année universitaire dans une langue rare...
"Lent" a dit Dummie, quand Sottie nous a raconté ce qu'ils ont dit... ou "Lentes..." comme nous...
"On est dans un pays où l'on ne peut plus ^étre lent... a ajouté Foolie. "La lenteur est interdite" au nom de tous ces gens qui courent dans tous les sens en speedant, tous ces gens qui ont 30 ans, passent leur vie sur les plages des Caraïbes ou les Maldives, et aux sports d'hiver, et n'ont lorsqu'ils reviennent aucun égard pour ceux qui sont restés travailler au bercail.
"Racisme contre les vieux et les personnes vieillissantes!" a clamé Dummie!
"Où est la liberté qui était écrite sur le fronton de la mairie...." ai-dis-je moi-même fredonnant ces vers célèbres de Maxime Le Forestier.
"Le liberté de circuler, de voyager..." a clamé Dummie devant une Sottie au bord des larmes... "Liberté enrore garantie par la constitution... mais pour combien de temps encore?"
Sottie... n'arrêtait pas de dire : "Recherchée? Moi? Mais qu'ai-je fait???""
"Et si c'est pour notre lenteur, s'est exclamée Dummie, il faut dire que nous ne sommes pas encore aussi lente que les gens de 80 ans... Mais les gens de 80 ans, ils ne prennent plus le train comme notre mère le faisait encore il y a une dizaine d'années... Et pourtant, nous n'avons ni canne, ni béquilles...
Sottie a enlevé le chouchou de sa queue de cheval, elle s'est cachée derrière un panneau en attendant qu'on affiche le quai (régulièrement deux minutes avant le départ du train, pour nous faire courir quand c'est à l'autre bout de la gare.....) de peur que les deux sbires la retrouve.. Elle a changé de coiffure. Elle s'est fait des tresses, comme cela les deux sbires du gouvernement ne la reconnaîtront pas...
"C'est vrai qu'à Grande Métropole la mairesse socialiste est bloquée à l'éttranger...", a dit Dummie.
"Oui, quand le chat n'est pas là, les souris dansent, il y a 20% d'extrêmistes de droite dans cette région" a renchérit Foolie.
"Mais à quoi ils perdent leur temps, a dit Sottie? Au lieu de courrir après les délinquants, courrir après notre petite Sottie toute gentille, mais politiquement pas correcte, je veux dire pas de droite quoi... c'est dégoûtant".
"Il y a peut-être déjà des camps dans les montagnes et les déserts français, pour les gens politiquement pas de presque extrême droite et d'extrême droite... ils voulaient peut-être y emmener notre Sottie.."
"Oui, bientôt, il ne restera plus que 20% de la population actuelle en France" a dit Foolie, "tout le reste, tous ceux et toutes celles qui pensent comme nous, seront exterminés..."
"Ou bien on essaiera de faire en sorte que l'on se tue soi-même, tu sais en nous harcelant... comme on l'a fait ce soir dans cette gare, en lui disant qu'elle ressemblait à quelqu'un de recherché, avec Sottie.."
"Comme en URSS, mais à l'envers..."
"Tu sais, on fait croire que tu ressembles à une personne recherchée, et hop, on te met dans un avion qui va dans les turbulences du volcan, l'avion plein de dissidents par rapport aux 20% de gens politiquement 'corects", tombe dans la mer, et hop on ne parle plus de toi, et l'histoire oublie ton nom avant que tu sois devenue une bloggueuse et une chanteuse célèbre..."
Oui, la conversation aujrait pu s'éterniser ainsi...
Le train qui nous ramenait au bercail a été affiché. Il partait de l'autre bout de la gare, bien sûr... On a dû marcher vite pour notre âge...
Dans le train Sottie a dit : "Dommage que je sois fonctionnaire, sinon, je chercherais du travail à l'étranger, je m'exilerai comme Bertolt Brecht et les autres écrivains qui ont fuit le IIIème Reich, mais ici, je ne peux pas... j'ai la sécurité de l'emploi."
Puis on a retrouvé nos Schnelly et Speedy respectifs (nos petits maris) et on leur a raconté l'aventure...
Bon, allez... N'en rêvez pas de trop mais soyez vigilants. Les avions qui tombent avec les dissidents,ceux qui ne pensent pas comme les 20% de futurs dictateurs, moutons et collaborateurs et leurs soutiens un peu moins extrêmistes, ça pourrait un jour arriver. Les camps pour les dissidents et les personnes trop agées pour marcher et rouler vite, ça pourrait arriver aussi... Quand il n'y aura plus que les blondes aux yeux métalliques et bleus qui dirigeront le pays, avec le soutien des chanteuses châtains aux yeux bleus, comme Paula. Sottie a les yeux marrons. Moi, Doofie, aussi. Et nous chantons mieux que la chanteuse aux yeux bleus qui a un chat dans la gorge.
Bonsoir, faites de beaux rêves.
Doofie
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Ces scènes ne sont bien sûr pas du tout inspirées d'évênements ayant réellement existé et surtout pas aujourd'hui, il s'agit bien sûr d'une pièce de théâtre de ma fabrication. Rien à voir avec des évènements ayant réellement existés.
21:35 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : exactions, contrôles abusifs, gares, transports