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lundi, 21 avril 2008

Exagération

Haut et Fort exagère. Il vient de faire tomber toute ma note, sans me signaler avant que je devais l'enregistrer.

C'est parce que depuis environ une demi-heure j'étais en train d'écrire quelque chose qui pourrait me servir de défense syndicale et juridique contre le médecine du rectorat.

L'extrême droite encore à ma poursuite sur mon ordinateur ou sur celui de Haut et  Fort??????

N'enlevez pas ce blog,  vous tueriez les poèmes et les petits pixies.

domino

11:25 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bug

dimanche, 20 avril 2008

Réaque (2)

Voilà un autre rapport qui a été fait sur moi....

C'est une collègue d'histoire-géo, prof principale en seconde qui en a eu l'idée...

Une jour au début octobre, les élèves de seconde ne me connaissait pas encore bien, j'avais un demi-groupe de seconde de 15 élèves (c'était d'ailleurs l'années de mon inspection). J'avais ce demi-groupe entre 11 herues et midi le Vendredi. Dans ce lycée, les élèves avaient l'habitude de sortir avant l'heure à midi, sauf les miens et ceux de quelques profs rares qui faisaient la guerre aux sorties de classe anticipées. 

Pourquoi était-ce comme cela? Parce que dans les dix années précédent la rénovation du lycée, il n'y avait plus de sonneries. D'abord j'y ai vécu des sonneries irrégulières, cela  sonnait quelquefois une demi-heure avant la fin de l'heure et on entendait des cavalcades dans les couloirs. Un collègue, retourné depuis dans sa région d'origine (je suis dans ma région d'origine), a vu sa note administrative copieuxement augmentée alors qu'il laissait sortir systématiquement ses élèves de vingt minute à une demi-heure à l'avance, il s'en est vanté quand il a obtenu sa mutaion.

Quand à moi, je faisais la guerre depuis toujours pour que les élèves ne quittent pas la classe avant l'heure, et ils le savaient. J'entendais certes parfois des "Les autres sortent, on peut sortir, Madame?" et je répondais "Non, il n'est pas l'heure!". "Si, il est l'heure, vous entendez bien que les aurtes sortent, on a faim, Madame, il va y avoir la queue au self, on peut sortir?" "Non, non, non et non!!!".

Bon, au bout de trois fois comme ça, les secondes et autres élèves nouveaux dans le lycée savaiient généralement que je faisais partie des profs avec lesquels on ne pouvait pas sortir à l'avance, mais dès que ça sonnait, ils se  précipitaient dans le couloir courant à toutes enjambées vers le self en essayent de dépasser tous les autres.

Ce jour là, en octobre 2001, les élèves de ce demi-groupe de seconde avaient bien travaillé jusqu'à 11 heures 52 (des exercices de dérivation et de composition de mots qui les intéressaient au plus haut point), puis j'ai commencé à entendre des cavalcades dans le couloir, et dans la classe on a commencé à demander "On peut sortir, Madame?" J'ai dit non. Un deuxième : "On a bien travaillé, Madame, on a fait aucun  bruit, on peut sortir? Ecoutez tous les autres sortent, sauf nous!"

Puis : "Il est l'heure Madame, votre montre retarde, il est l'heure!"

Le hic, c'est qu'à cette époque, depuis la fin de la rénovation du lycée,  les sonneries marchaient bien, elles étaient même retentissante et on les entendait très bien. Et elle n'avait pas encore retenti.

Alors d'une seul coup, d'un seul choeur, sauf une élève qui venait d'arriver d'un autre établissement et n'était pas habituée à ce qui se passait dans ce lycée, sortir quand on entendait les autres sortir, sans attendre le signal du prof, ils ont fait leur cartable et se sont tous levés.

Je me suis mise dans le passage devant la porte et je leur ai intimé de se  rasseoir, que s'ils sortaient à l'avance, ils auraient une retenue.

Ils se sont rassis. ils ont redéballé leurs affaires et se sont remis au travail. L'un a dit : " Si on travaille bien cet exercice Madame, on pourra sortir deux minutes avant l'heure?" "Non!" "ça fait rien, on va le faire vite, et il s'est mis à débiter tout seul les réponses de l'exercice à toute vitesse." C'était le délégué.Sympa d'ailleurs, je le rencontre souvent car il habite dans mon village et me dit parfois "Ce que j'étais bête à cette époque-là!"  Une élève a commencé à hurler : "Mais Madame, les autres sont sortis depuis cinq minutes." Et alors que le délégué faisait son exercice à une vitesse inhabituelle, elle se lève entraînant les 13 autres, dont le délégué, et sauf la nouvelle élève, dans son sillage. Je me poste devant la porte, les élèves à quelques centimètres devant moi : "Si, ça a sonné Madame, vous ne l'avez pas entendu, mais ça a sonné!" "Ils hurlent dans mes oreilles, ça a sonné Madame, et ceci pendant les trois minutes restantes". Et moi de leur dire "Si vous n'allez pas vous rasseoir, vous aurez votre retenue, un samedi matin, vous devrez venir exprès (les retenues avaient lieu le samedi matin  en même temps que les DS des Terminales).

Soudain, la sonnerie a enfin retenti, rugissante!!!!! Je me suis écartée de la porte, Les élèves m'ont presque bousculée en sortant. Ils ont a peine entendu quand je leur ai dit souriante et triomphante "Vous voyez bien que j'avais raison, que l'on avait pas sonné! Vous aurez la retenue quand même.

Dix minutes plus tard, après avoir rangé mon matériel, j'ai rencontré le CPE des secondes, nouveau dans l'établissement, dans la salle des profs. Ni lui, ni moi ne savions que l'on pouvait pas donner de colles collectives étaient interdites, et ce n'était pas une colle collective puique l'élève qui était restée sagement assise n'a pas eu la retenue. Je ne l'ai pas mise sur la liste que j'ai donné au CPE. Donc, ce n'était pas une colle collective, parce que même s'ils étaient nombreux, je n'avais sanctionné que ceux qui s'étaient levés à l'avance, ce n'est pas la même chose que si on donne une retenue à tous parce qu'on ne sait pas qui a fait une retenue.

C'étaient ces retenues-là qui étaient interdites, celles que j'ai eu étant élève, parce que par exemple on avait fait la grève du silence (toute la classe se taisait et ne participait plus) en anglais, lors d'un cours que la prof avait rattrapé un jeudi après-midi (c'était notre seule demi-journée de congé, on avait même cours le samedi après-midi). J'avais bien levé mon bras pour lire, mais ma voisine me l'avait violemment rabaissé, en chuchotant*, mais on ne participe pas. Ici, dans le cas de mes secondes, ce n'était pas la même chose, tous ceux que j'avais collé étaient fautifs, alors que dans le cas de ma jeunesse, même les élèves qui ne participaient pas d'habitrude parce qu'elles étaient timides avaient été mises en retenue.

Le nouveau ne savait pas non plus que pour saper l'autorité de domino, le CPE précédent ne donnait jamais de retenues, ils avaient des problèmes familiaux, ces chérubins, il ne fallait pas les brusquer.

Alors le nouveau CPE a mis la retenue. Un samedi matin, dans ce lycée, les retenues étaient mises le samedi matin en même temps que les devoirs surveillés des Terminales. Comme cela les élèves collés étaient répartis entre les Terminales et ne posaient pas de problème de surveillance.

Mais le problème était qu'il n'y avait pas ou peu de transports scolaires le samedi matin et que dans cette région rurale, les parents devaient alors se déplacer pour amener les élèves le samedi. Les Terminales ayant souvent déjà leur permis de conduire.

Alors les parents se sont rebiffés, ils ont resorti de derrière les fagots cette histoire de retenue collective interdite, alors que ce n'était pas une retenue collective. En effet, l'élève qui ne s'était pas levée n'avait pas été mise en retenue. Seuls quatorze élèves sur les quinze de ce demi-groupe que j'avais avant le repas le Vendredi avaint été mis en retenue (Aux cours des autres heures, ils ne demandaient pas à sortir à l'avance, c'était seulement à cause de la file d'attente au self.

J'avais passé du temps à préparer des exercices d'allemand pour la retenue. Exercices que j'avais donnés le Vendredi après-midi au CPE des secondes. Le lundi matin, j'ai eu la surprise de trouver dans mon casier des rédactions en français, que la CPE qui s'occupaient des premières-terminales leur avait donné. On n'avait pas retrouvé mes exercices avant le début de la retenue. Ils étaient apparemment dans un autre bureau fermé à clef et on m'a reproché de ne pas leur avoir donné de travail pour la retenue!

La rédaction en français c'était : "Rédigez en quatre pages (une copie complète) sans passer une seule ligne et ne faire aucun paragraphe la réponse à la question suivante : A quoi sert-ils d'apprendre les langues vivantes?"

Je les ai corrigées (parce que donner une retenue donne aussi du travail supplémentaire au professeur qui l'a donne). ils ont tous dit des choses bien sur les langues vivantes, sauf une qui a dit sur un ton plutôt injurieux, que ça ne servait à rien, qu'on en n'aurait jamais l'usage dans sa vie, que les profs de langues étaient tous des...., etc... J'aurais du la coller une deuxième fois, mais je ne l'ai pas fait. Et qui sait? C'était peut-être ses parents à elle qui ont râlé pour la colle soi-diant collective.

(Les autres profs ne s'embêtaient pas avec les élèves qui voulaient sortir à l'avance, quand ils insitaient de trop, ils les laissaient sortir).

J'avais beau expliquer aux élèves que c'était pour des questions d'assurance qu'on ne pouvait pas les laisser sortir pendant l'heure. Cela leur était égal, ils répondaient qu'ils feraient attention et ne tomberaient pas, mais quand on entendait les cavalcades dans les couloirs cinq minutes avant la fin de l'heure, on était édifié.

La prof principale dont je vous ai parlé au début (venons-y enfin!) doublait toujours les sanctions qui étaient données aux élèves de sa classe. Elle leur a paraît-il et d'après les élèves fait faire une deuxième rédaction dans laquelle elle a demandé à ces élèves que j'avais seulement depuis à peine un mois (avec la rentrée échelonnée, ils avaient du rentrer vers le 6 ou 7 septembre car la rentrtrée était plus tardive à cette époque, on a essayé peu à peu d'allonger l'année scolaire pour la faire comme en Allemagne, sans tenir compte du fait qu'en Allemangne, on allait pas en classe l'après-midi). Bon, bref, la prof principale  a donné aux élèves une autre rédaction sans passer une seule ligne, de quatre pages complètes et sans faire aucun alinéa, sur "Que pensez-voou de la prof d'allemand?" Je n'ai jamais vu ces rédactions et je savais qu'elle apportait ces rédactions sytématiquement au bureau du proviseur où elles étaient mises dans notre dossier, pas celui des élèves, mais celui du prof, c'est un collègue qui me l'a expliqué. Si bien que l'on avait presque peur de sanctionner ses élèves.

Une fois, elle a mis un avertissement à deux élèves d'espagnol qui étaient rentrés dans ma classe avant la fin de l'heure, l'un faisant le clown au rythme de la chanson qu'on était en train d'étudier, mes élèves chantant sagement. L'un des deux devaient partir dans un autre lycée musique, je ne savais pas comment il s'appelait et j'en avais fait la description à cette prof principale, et tout de suite, elle m'a dit, "Ah justement, ces deux là, ils font la paire, j'atttendais une occasion de les coincer, ce soir au conseil, ils auront un avertissament demandé par toi.... " "Mais.... tu ne crois pas qu'un devoir suffirait...?" " Non, je les ai, ça y est!" Au conseil, il a été dit que l'avertissement avait été demandé par moi, alors que finalement, j'avais juste voulu savoir le nom des deux élèves, c'était à la fin de l'année, et alors que cette classe (une autre classe de seconde LV2 que celle ci-dessus) était sympa, d'un seul coup, ils ont fait la grève du silence contre moi, pour que j'enlève l'avertissement que je n'avais pas donné moi-même. 

Vous voyez, jeunes collègues, comment des collègues mal intentionnés peuvent saper votre autorité et vos rapport avec vos élèves.

domino

 

*Un mot que les élèves que j'avais en documentation l'année dernière ne connaissaient pas, j'ai du leur apprendre à chuchoter (parler en soufflant entre ses lèvres sans émettre de son voisé), pour les travaux de groupes, parce qu'ils parlaient à voix haute, ce mot nouveau pour eux les faisait rire et ils se disaient entre eux : "Tu ne peux pas parler tout haut, chuchote!"

Réaque

Réaque est une copine. Elle a très bien conté l'histoire du Paperboard, même si elle a pris parti contre moi qui ne suit pas Ré-Ac comme elle.  Elle a même écrit mes heures de rattrapage des cinq jours ouvrables pendant lesquels j'avais manqué l'an dernier, chassée par les hurlements de ma principale. Elle hurlait tellement que j'en ai eu peur.

Maintenant vous savez que je suis convoquée dans son bureau à 14 heures pour "affaire me concernant". Si seulement je savais de quoi il s'agissait je pourrais me préparer à l'entretien. Mais, non, je ne sais rien. J'ai peur, j'ai peur, j'ai peur.

Je suis prof d'allemand jusqu'au bout des ongles, germaniste jusqu'au bout des ongles. S'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que le rêve de ma vie, c'est de réussir l'agrégation d"allemand, à laquelle j'ai ete deux fois admissible récemment,. je ne sais pas ce que je vais faire. Peut-être que vous n'aurez plus de nouvelles de moi à partir de mardi 15 heures ou 15 herures 30. Ils me jetteront peut-être en prison pour raison politique ou ils me mettront dans un asyle de fou, pour que j'arrête de conter les mésaventures que j'ai vécu dans l'enseignement (réduction au silence après la mise au placard... voir le livre d'Hirigoyen sur le harcèlement professionnel). Tout comme mon proviseur m'avait fait mettre en CLM en 2002 pour que j'arrête d'écrire des lettres sur les exactions et les disfonctionnements de "son" lycée à l'inspecteur et au rectorat), s'ils me proposent de faire autre chose que de l'allemand alors que je travaille celui-ci à un très haut niveau, vous n'entendrez peur-être plus parler de moi à partir de mardi après-midi.... Si on me met en CLM ou CLD, en retraite, en CPA, Vous n'entendrez peut-être plus parler de moi  à partir de mardi après-midi, car je saurais alors que je n'aurais plus assez d'argent pour mes vieux jours (ma mère dépense pour sa maison de retraite environ le double de mon salaire actuel; c'est ce que coûte les soins de son Alzheimer).

J'espère aussi qu'elle ne va pas me fourguer un service de rattachement en documentation sur les deux jours où il me reste à suivre des cours à l'université (au deuxième semestre mes horaires universitaires ont changé, je dois suivre les cours le Mardi après-midi à partir de 13 heures à 135 km ent train du collège et le Jeudi alors qu'au début de l'année je lui avais déclaré le Mercredi et le Jeudi pour mes cours à l'université. J'ai une option à suivre absolument, car ayant pu suivre toute l'année les cours à l'université, je ne me suis inscrite au CNED.

Mes profs étaient contents de moi jusqu'ici surtout en traduction et en linguistique, que vais-je devenir sans cours????

Déjà je viens de recevoir un mail d'un prof qui nous fait RV pour répartir les colles à l'heure précise où la principale me fait  RV. Tiens, j'entends déjà ma principale téléphoner à mon université "Vous lui ferez bloquer son e-mail pour qu'elle ne puisse plus faire RV avec ses profs" (Je vois déjà que c'est un farceur de H et F qui va leur téléphoner et mon e-mail bloqué : attention, il peut contenir des courriers urgents).

Moi, j'avais organisé ma vie autrement, pensant avoir un autre rattachement adminsitratif (puisque je suis seulement rattachée dans ce collège) à la rentrée (ce que j'avais déjà demandé pour cette année et que je n'ai pas obtenu, alors que d'autres collègues TZR changent automatiquement de rattachemetn tous les ans). Sur mon dossier électronique de prof (je ne dis pas son nom, sinon ma principale qui ne le connait pas, va aller y faire changer un tas de choses alors que j'ai eu assez de mal à le faire mettre à jour et à y faire inscrire mes premières affectations depuis 1976.

Elle veut peut-être me faire prendre une CPA (cessassion progressive d'activité). A quoi ça rime? A me faire perdre une demi-année de cotisations pour la retraite par an, et comme je suis loin d"avoir toutes mes années de cotisation (je dois travailler à temps complet jusqu'à 65 ans pour en avoir le plus possible), En plus en tant que TZR sans remplacement, je ne croule pas sous le travail comme lorsque j'étais prof de lycée. Alors prendre une CPA ne rime à rien, même pas pour la fatigue. De toute façon pour préparer l'agrégation, je devrais toujours étudier à temps complet! Et faire 200 km AR trois fois par semaine et plus quand il y  a des concours blancs.

Donc, de toute façon, je ne prendrai pas de CPA et personne ne peut m'y obliger. La CPA n'est valable que pour les personnes qui ont toutes leurs années de cotisation avant l'âge auquel ils peuvent prendre leur retraite.

Mon mari  a 60 ans et il travaille encore à temps complet; étant entré dans la vie professionnelle à l'âge de 25 ans, il lui manque encore 5 années de cotisations, de quoi atteindre 65 ans. Il est au même échelon que moi, mais un grade en dessous. Il est certifié Clase Normale, alors que je suis certifiée Bi-Ad Agrèg. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que lui en étant en CPA ou en retraite anticipée. Je n'oseais plus rien acheter, plus rien manger, car ce ne serait plus mon argent. Je suis une femme émancipée, style MLF. Ich bin eine Emanze. Une qui lisait Emma et Courage dans sa jeunesse (des revuies féministes allemandes), et qui fréquentait les Linksdruck et les Zwiebel et le Verlag Pläne. Qui écoutait le Väterchen Franz Josef Degenhardt, versoffener Chronist et se délectait aux voix de Angi Domdey et Bruni Regenbogen de Schneewittchen. Pour rien au monde, je ne voudrais gagner moins d'argent que mon mari.

Passons à d'autres moutons : J'ai rencontré des élèves filles de l'année dernière dans une rue de la ville de mon collège de rattachement Samedi, elles m'ont salué souriantes et repectueuses. Cela m'a remplie de joie, et m'a transportée en un temps où je n'avais pas de problèmes avec ma principale. En un temps où je sentais que j'étais utile aux élèves, que j'étais une personne respectée et appréciée. Mais la principale de mon collège de rattachement en me convoquant pour "affaire me concernant".

Un jour, des élèves de BTS hôtellerie m'avait dit goguenards "Madame, on va faire un rapport sur vous", parce que j'avais fait un rapport sur quatre d'entre eux, ils voulaient se venger d'une façon amusante et voir si le proviseur croyait le rapport qu'ils allaient faire sur moi (et qu'ils ont peut-être fait!), et qui allait raconter des choses rocambolesques et inventées qui étaient toutes les bêtises que eux-mêmes avaient faites durant leur scolarité. Peut-être que ce rapport fantaisiste est dans mon dossier, et que des personnes qui veulent m'enfoncer sont en train de s'en servir.

Je n'ai jamais été voir mon dossier, de peur d'y découvrir plein de choses fausses.

Voilà encore un rapport faux qui a été fait sur moi par un principal : des élèves auraient soi-disant démonté des prises de courant dans un laboratoire de SVT où l'on m'avait mise pour faire les cours d'lalmand; comme c'était un remplacement que je prenais au mois de janvier, les ézlèves m'ont prévenue gentiment : "vous savez Madame, le laboratoire de SVT, c'est pas l'idéal pour faire cours". En effet , les élèves étaient placé derrière d'énormes tables et de ce fait très éloignés les uns des autres et du bureau. On m'avit conseillée d'uiliser une caméra pour projeter mon tableau sur un écran de télévision, caméra qui filmait ce que j'écrivais sur une feuille placée sous elle et placée juste à coté d'un buste d'anatomie formé par des espèces de petits porte-manteaux en fer qui soutenaient les organes du corps humains qui étaient des imitations en plastique creux, munies de trous en haut pour les suspendre. A la récréation, après avoir fait cours au troisième, je suis revenue dans le laboratoire pour voir si je n'avais rien oublié dans le bureau, car ayant du changer d'étage, j'avais du me dépêcher entre les deux cours. Avant de partir, j'avais ramassé un poumon du buste d'anatomie (en plastique incassable) qui traînait par terre parce que j'avais du le froler du coude en manipulant la caméra. Le principal était à quatre pattes dans le fond de la salle, disparaissant à moitié sous une table et parlait à la femme de ménage (il ne m'a pas vue), en lui disant : ces morceaux de plastique que vous avez trouvé par terre, ont vraiment une drôle de forme, "Ah! Cela vient sans doute de là! Cette prise de courant ne tient plus très bien dans le mur, elle est déglinguée, oui, c'est sûrement là que les élèves ont été cherché cela!" Et il montrait à la femme de ménage le dessous du grand bureau en carrelage de la salle de SVT en disant : "Et ils les ont lancé jusque sous le bureau!". Pauvre domino! Qu'à fait ton coude ce jour-là, pourquoi a-t-il frôlé ce que j'appelle depuis un buste d'antaomie? Etait-ce la rate qui se dilatait ou le pancréas, ce scélérat, à moins que c'était les ovaires ou l'utérus qui avait une aussi drôle de forme que le principal n'arrivait pas à faire concorder avec la prise de courant déglinguée? Quelques organes traînaient d'ailleurs dans la poussière balayée par la femme de ménage et allaient être mis à la poubelle. Le prof de SVT a du m'en vouloir quand il a constaté la disparition d'une partie de son matériel, disparition orchestrée par le principal et le femme de ménage, et qui n'était le fait ni de moi-même, ni des élèves.

Toujours est-il que ensuite il voulait que je signe un rapport selon lequel les élèves auraient déglingué une prise de courant dans le fond de la salle, cela ayant mis en cause leur sécurité, alors qu'ils n'étaient jamais allés dans le fond de la salle. J'ai refusé de le signer écrivant qu'il ne correspondait pas à la réalité. Maiis sur le moment je n'avais pas réalisé moi-même que ces morcaux de plastique (choses bizzarres que l'on avait trouvé par terre sous le radiateur près du bureau) étaient comme celui que j'avais raccrocjhé moi-même au buste des éléments du bust d'anatomie.

Tiens, le jour de mon inspection de mars 2002, cela me revient à l'esprit, les élèves étaient rentrés à l'avance pendant la récréation par le devant de la salle (une salle de classe normale, cette fois!).  J'avais renvoyé deux élèves dans le couloir finir leurs petits pains (vendus par le lycée à la récréation),  l'inspecteur et le proviseur sont arrivés alors que je faisais rentrer ces deux élèves et se sont arrêtés au niveau de la porte arrière. J'ai bien attendu cinq minutes avant qu'ils n'entrent tous les deux par la porte arrière de la classe. Aucun de mes élèves n'était passé par l'arrière de la classe, et j'avais vérifié avant de porter les billets d'absence des cours précédents à la salle des profs pendant la récréation (ils fallait les glisser dans des urnes prévues à cette effet, et nous ne disposions pas de cahiers d'absence, j'avais à l'heure  de l'inspection un regroupement de trois classes et et les cahiers de texte étaient fait entièrement pour les trois classes, mais celui d'une classe sur les trois avait disparu la veille de l'inspection). Mais ce n'est pas pour vous dire cela, mais que j'avais bien fermé les portes de la classe en sortant à la récréation et en allant porter mes billets d'absence presque en courant jusqu'à la salle des profs (la réglementation du lycée voulait qu'on rende les billets toutes les deux heures).

Bref, après la sortie de l'inspecteur, les élèves de la classe suivante on trouvé une cigarette non entamée par terre dans le fond de la classe. Or, en première heure, j'étais au laboratoire de langue avec les BTS, en deuxièeme heure j'avais quelques élèves placés devant mon bureau (ils n'étaient pas allés dans le fond), en troisième heure, c'était l'isnpection et il n'y avait aucun élève dans les deux dernires rangs,  ils étaient tous passés par devant comme à l'accoutumée.

Et vous pensez bien qu'en tant qu'anti-alcoolique fais partie  (on me dit "tu fais partie de la ligue?" quand aux ports de fin d'année, je refuse un verre de vin, et opposée à la consommation de tabac, je faisais la guerre aux élèves qui fumaient devant le lycée aou dans le petit square à proximité leur disatn que c'était mauvais pour la santé (et pour la voix pour les chanteurs, on avait aussi une section musiclale). Mon proviseur, celui-là même qui était dans la salle le jour de l'inspection, avait un jour été vexé parce que lors d'un pot, j'avais refusé poliment le verre qu'il m'offrait. Et lui, il m'en a voulu pour cela, alors qu'il aurait pu me prposer du jus de fruit.

Bon, vous allez dire, que je saute du coq à l'âne dans cet i-grimoire, mais j'avais dit à un collègue que je ne trouvais pas normal que des élèves de seconde servent des boissons alcoolisées aux convives au restaurant d'application. Il m'a répondu "Non, mais tu te rends compte, si on disait cela à nos collègues d'hôtellerie, on aurait un tollé de protestations, il faut qu'ils apprennent la sommelerie, etc.., quels vins vont avec les plats. Le hic était que l'on trouvait les élèves d'hôtellerie souvent plus énervés que les autres, et j'avais appris par ouï-dire que certains finissaient les verres des clients en les portant à la plonge. Derrière le dos des profs d'hôtellerie.

J'ai dit alors au collègue : "On pourrait instituer une journée par semaine sans alcool par semaine au restaurant d'application, par exemple le Vendredi!" J'avais exprès de dire le Vendredi.

"Le vendredi?" s'est exclamé mon collègue "Mais tu te rends compte, le Vendredi soir, c'est le jour où il y a le plus de monde au restaurant d'application, le jour où on fait les soirées de cuisine régionale, le jour où toutes les huiles de la ville viennent manger ici!" Mon collègue allait d'ailleurs à toutes les soirées de cuisine régionale.

"Bon, alors un autre jouir dans la semaine", ai-je répondu... "Oui, mais un jour sans alcool par semaine à l'hôtellerie?", cela fait beaucoup, a répondu mon collègue.

"Un jour pas mois", ai-je dit alors, reculant sur mes positions dans cette négociation fictive puique ni l'un ni l'autre, nous n'étions proviseur.

"Oui, un jour par mois...", à la rigueur a-t-il répondu...

"Et les mini-jupes à l'^hotellerie? Tu crois que c'est normal?" Moi, je verrais bien des costumes de velours avec des longues jupes de velours foncés de diverses couleurs, style romantique, avec des chemisiers et des petits tabliers bordés de dentelle, des petites vestes de velours, des pantalons et des vestes de velours assorties pour les garçons et des chemise à jabot... Du velours bordeaux, vert foncé, marron foncé, bleu foncé et bleu pétrole, que ce serait beau!" J'avais même dessiné les costumes pendant le CLM qui a suivi cette horrible inspection. Mais je ne les trouve plus, peut-être que mon mari a porté mes modèles au lycée. Je ne suis jamasi retournée là-bas, ayant eu cette mutation pour la ZR, et j'ose rêver qu'on ne boit plus d'alcool dans la section d'hôtellerie et que les filles un peu trop fortes ne sont plus obligées d'exhiber leurs grosses jambes jusqu'au milieu des cuisses et qu'elles sont vêtues des merveilleux vêtements que j'avais conçu pour elles.

Moi, quand j'étais prof dans ce  lycée, j'avais toujours de très longues jupes qui allaient presque jusqu'à terre et touchaient le sol dans les escaliers, manquant parfois de me faire tomber lorsque je marchais sur le bas de la jupe. Je sais  que vous vous moquez de moi, il y a même eu une transformation sur une de mes vidéos dans le sens où on voudrait me faire passer pour une de mes collègues.

Je fais la suite dans une autre note, il paraît qu'on ne lit pas jusqu'au bout les notes troip longues.

Pour le blog de réaque qui explique comment j'ai rattrapé mes heures de Mai dernier, c'est dans le blog de Réaque qui a tout noté. Je ne donne pas de lien pour que l'usurp. n'aille pas squétter et spolier ses commentaires.

Rappel : comme aucune personne n'est citée nommément dans cet i-gtrimoire, personne ne peut déposer plainte contre moi à partir de cet i-grimoire.

domino

 

samedi, 19 avril 2008

Pagaille!

Il y a  vraiment la pagaille dans l'  ordinateur de la journaliste, alors que depuis qu'elle avait son nouvel intenet sa météo était toujours celle de sa ville, voilà que sans être à Marseille et sans jamais y avoire mis les pieds, son ordinateur donne automatiquement la météo de Marseille et la page Mon Yahoo de quelq'un d'autre!!!!!!!

 

Codes bloqués!

La journaliste alternative a essayé de rentrer vingt fois sur l'interface de son i-grimoire ce matin... rien à faire... code d'utilisateur tapé, exact --) indication de code faux, demande de nouveau mot de passe, le code est toujours faux, etc...

La journaliste a cru que c'était dirigé contre elle, une mesure du gouvernement contre elle, car elle estime être victime d'une interdiction professionnelle à caractère politique tels qu'il y en avait en RFA des années 50 aux années 70. Parce qu'on ne lui donne plus de jeunes élèves en allemand, parce qu'elle sst allée plusieurs fois en RDA dans les années 70-80, pour "connaître les quatre pays de langue allemande et pouvoir les expliquer aux élèves".

La journaliste alternaive a toujours été impartiale lorqu'elle parlait de la RDA dans la partie civilisationnelle de son cours.

La journaliste alternative porte pour l'Allemagne la mémoire d'une époque, celle des années 60 à 80, ce que ne peuven pas apporter les jeunes professeurs qui n'ont pas vécu cette époque. C'est pourquoi les professeurs agés comme elle sont utiles. C'est pourquoi il ne fallait aps les mettre au placard.

On a nettement l'impression ici d'avoir affaire à une espèce d'interdiction professionnelle à caractère politique, dans un pays qui n'est plus tout à fait démocratique.

Quand on a un président qui se permet d'injurier les badauds en des termes "Casses-toi , vieu c..." (Il y a une vidéo su You Tube qui le montre, on se dit que ni Mitterand, ni Chirac n'auraient osé ainsi perdre leur dignité), quand on a un tel président, on se demande où l'on va.

La journaliste quand elle ne pouvait plus entrer sur son blog a eu peur de perdre ses poèmes, ses petites pixies.

Et en plus pourquoi la bloquer? A chaque lecteur, un petit drapeau de la nationalité du lecteur s'inscrit dans la colonne de droite. Vous avez vu combien il y a de drapeaux en plus depuis hier après-midi? Deux! Cela veut dire qu'elle n'a eu deux lecterus français, peut-être elle-même.

La journaliste alternative est inattaquable, elle n'a jamais mis le nom des personnes de l'éducation nationale (inspecteur, proviseurs, principaux) qui  lui ont fait si mal!

Elle ne met jamais de noms d'élèves, de collègues, elle n'a jamais donné son adresse à personne, il n'y a que son époux qui sait que c'est elle qui écrit cet i-grimoire, alors pourquoi l'attaquer elle personnellement, pourquoi attaquer son nouvel ordianteur? Qui ne donne déjà plus le temps de l'endroit d'où elle écrit, alors que jusqu'à hier cela se faisait automatiquement.

Ce n'est pas parce qu'elle a des blogs d'une certaine région en lien, qu'elle habite dans cette région, ce n'est pas parce que son IP indique tel endroit, qu'elle y travaille forcément. Dans sa zone, on est actuellement en vacances, elle peut-être en vacances. Son mari est prof aussi, il a besoin d'aller en vacances pendant les vacances.

Alors pourquoi tirer des conclusions hâtives. Anonyme reste anonyme. Si la journalsite alternative n'était pas anonyme, elle n'oserait jamais écrire ses idées.

Ce n'est pas elle la chanteuse dominique d.v.

Ce n'est pas elle non plus qui a donné la giffle de Berlaiment (ce n'est pas parce qu'elle a un blog qui parle de cette ville en lien, qu'elle y habiterait), la journaliste alternative protège ses mains de guitariste, pour protéger ses mains, elle ne donne jamais de giffles. Quand elle est allée à un stage de lutherie pour amateurs, le luthier n'avait qu'une hantise, qu'elle se blesse ses mains de virtuose.

Ce n'est pa la guitariste dominique d.v.

La journaliste alternative, c'est elle qui a pleuré tant quand on a bloqué son iinterface. C'est une presonne timide que l'on croit souvent être la Happy Deutschlehrin, parce qu',elle ressemble à l'avatar de cette dernière, alors qu'on prend la Happy Deutschlehrerin et toutes les profs d'allemand blondes à longs cheveux de France et de Navarre pour la journaliste alternative à cause de son avatar et qu'on leur attribue de super dons pour la guitare, et toutes les profs d'allemand brunes à cheveux courts pour la journaliste alternative à cause de la petite pixie, qui est la fille virtuelle de la journaliste alternative qui n'a pas d'enfants non virtuels.

 

12:17 Publié dans bug | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, bug

vendredi, 18 avril 2008

Médecin médiatique...

Tiens je parle dans cet i-grimoire de médecin et de lycée, d'enseignement et en même temps à la radio, on parle de médecins médiatiques et on se demande si les enfants de médecins  réussissent mieux que les autres. C'est peut-être un hasard. A moins qu'ils ne lisent mon i-grimoire à RTL? Et qu'ils s'en inspirent... on ne sait jamais...

Et quand parlerez-vous de profs d'allemand médiatiques, car il y en a plusieurs sur Haut et Fort des profs d'allemand médiatiques.

Tiens, justement, mon inspecteur qui était en train de lire mon i-grimoire, il parait que dés que le mot inspecteur et inspection s'inscrit sur le Web, l'inspecteur concerné reçoit un mail avec un lien

 (canular, un canular qui annonce..... n'est pas un canular, pour le reste de la citation, allez voir dans les archives de la journaliste d'il y a un ou deux ans),

poursuivons le canular,

il y a même une lampe qui s'allume sur leur bureau avec un signal sonore, et la page qui s'affiche automatiquement dès l'ouverture de leur ordinateur,

l'inspecteur lisant mon i-grimoire  aurait dit qu'il trouve que les i-grimoires des profs d'allemand ne sont pas assez médiatisés, et qu'il faut que la page des i-grimoires de profs d'alleamand s'affiche dans tous les ordinateurs des journeaux, des télévisions et des radios, à chaque nouvelle parution d'une note d'un prof d'allemand.

(Mais yen a qui comencent à s'affoler en voyant les petits drapeaux représentant mes lecteurs actuels qui s'affichent en dessous des petites pixies, ma principale dit : il y a quelqu'un en Belgique et quelqu'un au Maroc, qui a vu qu'on parle de moi!).

Attention, à chaque fois que quelqu'un écrira sur son blog l'un des quatre mots clefs suivant : Sarkozy, Bruni, Nicolas et Carla et aussi président et république, une lampe va s'allumer dans le bureau du président à l'Elysée ou dans le portable du président quand il est en voyage et en même temps une lampe clignotera sur la guitare de Carla B.-S. et les cordes se mettront à vibrer.

domino