jeudi, 15 mars 2007
Bizarrre....
Voici quelques bizzareries relevées sur la liste d'admissibles de l''agrégation interne d'allemand et dont j'ai fait part à Evariste, car je crois qu'il y a ici un harcèlement moral qui nous concerne nous bloggueurs directement : Allez donc voir une candidate a comme second prénom Evariste, comme notre ami bloggueur qui l'a en premier prénom (si c'était un candidat, passe encore !) :
Evariste (blog en lien) ,
Il y a encore des harceleurs. A l'agrégation interne d'allemand (à laquelle je ne suis pas admissible : j'ai eu la plus mauvaise note en traduction que j'ai jamais eue de ma carrière d'agrégative (04/20), alors que certaines qui n'ont pas fait le travail de traduction entièrement sont admissibles. Mais mieux : regarde cette liste :
http://publinetce2.education.fr/publinet/Servlet/Publinet...
C'est la liste des admissibles de l'académie de Paris-Créteil-Versailles. En n° 2 de la liste : voilà une fille qui porte comme deuxième prénom relié par un tiret à son deuxième prénom : Evariste. Comment peut-on croire que ce nom est réel en observant la suite...; En plus de Robin ressemble à de Robien.
4ème nom de la liste, sachant que notre elisabeth, bloggueuse amie, est secrétaire juridique : Greffier Elisabeth (le blog d'Elisabeth, le blog professionnel d'Elisabeth).
7ème nom de la liste Henke Domica Marguerite : deuxième prénom = mon deuxième prénom, premier prénom = une traduction allemande de mon premier prénom, nom de famille : mon nom de naissance tronqué de deux syllabes avec une faute dans ce qui en reste. Il y a deux ans le secrétaire de l'oral à Montpellier écrivait toujours mal mon nom de naissance en oubliant une syllabe (mon nom était bon sur la convocation, sur les listes officielles et sur mon certificat d'admissibilité) et quand je lui en faisais gentiment la remarque, il riait de bon coeur en disant que les noms de famille n'avaient pas d'orthographe (avec une syllabe en moins, quand même!).
JE suis victime de ce type de harcèlement depuis mon inspection de mars 2002 : en juin-juillet 2002, j'ai vu appraraître avec insistance mes trois initiales (prénom, nom marital, nom de naissance) dans la rubrique juridique de la presse locale, ceci de facon hebdomadaire pendant 2 mois, pour désigner des jeunes faisant de menus larcins, jusqu'à ce que j'ai vu fin juillet le prénom et le nom de mon époux en entier suivi de "adulte handicapé" et du même âge que lui.... (Mon mari est prof et n'est pas handicapé du tout, il galope comme un lapin).
Ecrit par : Dom | 15.03.2007
Pour les histoires d'initiales, j'en avais parlé à des médecins qui m'ont dit : "Coïncidence". L'un deux m'a même fait un calcul de probabilité pour me montrer que cela pouvait arriver souvent. Bernique ! Je n'en crois rien du tout. Pour moi, cela a été fait êxprès (et il parait même que tant que je croirais que cela a été fait exprès ce serait la preuve que je ferais un complexe de persécution ou de la dépression, bernique aussi ! C'est trop facile de faire ce genre de chose et de faire croire ensuite que les gens font de la dépression parce qu'ils se sentent visés, tout comme cet Evariste dans la liste d'admissibles qui traîne dans un nom de femme.
Ecrit par : Dom | 15.03.2007
Nos blogs ont donc été découverts par l'administration scolaire. (et universitaire, et par le jury d'agrégation interne?)
Ecrit par : Dom | 15.03.2007
Ajout : sur la même liste : Kuhn Volker Carl : le fils du président du jury? (le hasard fait parfois bien les choses...) Et est-ce une allusion à Carl qui vient de temps en temps faire un commentaire sur mon i-grimoire notoire.
Il y a deux ans il y avait un admissible à l'agrégation externe d'allemand qui s'appelait Hirigoyen. Le fils de la dame qui a écrit un livre sur le harcèlement moral, un signe des temps ????? Cette année là, j'avais après avoir été admissible à l'agrégation interne (depuis un BO de 2003, spécial conditions de concours, on a le droit de passer les deux agrégations (et de réussir les deux agrégations) la même année, ne regardez pas celui de 2002, il a été abrogé par le B0 de 2003). Moi, je voulais réussir les deux agrégations la même année pour avoir une bonne note en didactique à l'oral de l'interne pour contrebalancer mon inspection de 2002. Et pour avoir une bonne note à l'oral de linguistique qui est ma spécialité.
domino
20:05 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agrégation, allemand, enseignement
dimanche, 11 mars 2007
Par solidarité avec moi contre l'usurpateur (-trice) : Grève des blogs.
En raison des nombreuses tentatives d'usurpation de nos pseudonymes dans les commentaires qui ont amené beaucoup d'entre nous à arrêter leurs blogs (j'en cite quelques uns : Sainte Thérèse, Evariste, Instants Magiques), j'appelle ceux d'entre vous qui se disent mes amis, par solidarité avec moi, à
1) Fermer leur commentaires : je sais que pour ceux qui reçoivent 20 commentaires d'admiration en provenance de 20 personnes différentes par jour, ce sera dur, mais en faisant quelque chose qui leur est difficile, ils prouveront leur solidarité. Cela évitera également que l'usurpateur/usurpatrice qui a pour mails (ce ne sont pas les miens) dominique@hotmail.com ou dom@hotmail.com (N'écrivez pas à ces mails, il s'agit peut-être d'un individu dangereux) ou aussi evariste@hotmail.com (N'écrivez pas non plus à ce mail, qui est peut-être celui d'un dangereux individu) se serve de vos blogs pour faire de l'anti-publicité et du harcèlement contre moi. Car l'usurpateur pousse la plaisanterie jusqu'à mettre ma journaliste alternative en lien sous sa fausse signature.
2) Vous arrêtez d'écrire des articles jusqu'à nouvel ordre. C'est à dire juqu'à ce que l'usurpateur/l'usurpatrice soit sous les verrous et hors d'état de nuire. Vous pourrez toujours garder vos articles au chaud et les republier quand l'usurpateur/trice sera hors d'état de nuire.
3) Faire la grève des commentaires sur les blogs des autres. De cette façon l'usurpateur ne pourra pas vous remarquer pour prendre votre identité.
Faites la grève de l'i-grimoire avec moi, et nous aurons peut-être un résultat. Celui de faire bouger quelque chose ici.
Et je saurai où sont mes vrais amis.
Si notre hébergeur veut mettre quelque chose en liste noire, cela ne devrait pas être nos pseudonymes (impossible pour moi depuis environ 3 mois de signer de mon premier pseudonyme domino), mais les mails et les IP des usurpateurs, qui n'étant vraisemblablement pas chez Haut et Fort, n'ont aucun souci à ce faire actuellement, pour une gêne quequonque qu'ils éprouveraient en faisant leurs faux commentaires, alors que nous éprouvons de la gêne à ne plus pouvoir utiliser nos premiers pseudonymes. Donc, ce sont les victimes qui sont gênées et pas les coupables.
NB Les commentaires signés Dom sur ce blog, sont jusqu'à cette heure de moi; j'ai évincé tous ceux de l'usurpateur.
domino (Dom)
Et n'oubliez pas de temps en temps d'avoir une pensée pour Eliot et ses petites pixies que je viendrai voir tous les jours de l'extérieur.
14:35 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : web, blog, usurpation d'identité dans les commentaires
Commentaires ?
Voici un extrait de commentaire que j'ai fait sur le blog d'Elisabeth, pour expliquer pourquoi, j'ai fermé de nouveau mes commentaires :
"J'ai réouvert les commentaires pendant quelques heures et vouif! L'usurpateur qui se fait passer pour moi sur mon propre i-grimoire s'y est glissé, avec des saletés. Se faire passer pour quelqu'un sur le blog des autres, ça peut encore faire croire aux autres que soudain Dom-domino aurait changé du tout au tout. Mais se faire passer pour Dom sur l'i-grimoire de Dom elle-même, là vraiment il faut le faire. Même avec un point d'interrogation Dom ne pourrait jamais dire "J'ai écrit çà. Ah bon?". Tout ce qu'elle peut dire, c'est "Je n'ai pas écrit çà, c'est sûr!". Dom n'est quand même pas folle. Alors pourquoi vouloir lui faire croire qu'elle ne saurait plus ce qu'elle écrit, et écrire en plus, en se faisant passer pour elle, dans un domaine où elle n'écrit jamais ?"
Bien sûr, les commentaires étant fermés, les stats descendent proportionellement. 79 lecteurs hier, alors que j'avais eu des pointes à plus de 100 visiteurs et 800 pages lues par jour.
Veuillez m'excuser de cette interruption de l'accueil des commentateurs.
domino (Dom)
10:10 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : commentaires spoliés, stats
samedi, 10 mars 2007
Bulletin de santé
A deux jours de la rentrée, il semblerait que la chanteurse aphone va un peu mieux. En effet, la grippe semble avoir disparu en tant qu'elle-même. Mais les conséquences vocales restent perceptibles : bien que la chanteuse arrive maintenant à s'exprimer quelque peu oralement, ce qui n'était pas le cas il y a trois jours, où la Voix avait complètement disparu, quelques notes semblent être réapparues dans le très grave de la voix, la chanteuse chantant d'une voix éraillée entre le contre-do grave (do2) juqu'au fa, première interligne en clef de sol (fa3). Il lui manque une octave et demi dans l'aigu de la voix; toutes les poupées et les nounours de la maison en sont aphones. Il n'y a plus que Mme Canari qui émet des sons aigus ici, et montre son insatisfaction face aux sons que produit sa maîtresse. Elle ne gazouille d'ailleurs plus lorque sa maîtresse passe devant sa cage en émettant des sons éraillés, et se contente de "cuics" interrogatifs.
Ceci-dit la chanteuse presque sans voix a récupéré deux notes depuis hier soir : le mi3 et le fa3. Peut-être aussi le sol3. A ce rythme-là sa voix sera peut-être guérie lundi, pour la rentrée et ainsi la chanteuse domino ne se sera absentée que pendant les vacances scolaires. Bien qu'elle ait quand même été deux journées à l'université cette semaine.
domino
08:35 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : voix, grippe
mardi, 06 mars 2007
La chanteuse sans voix.
Ma grippe va mieux, dans l'ensemble, plus de fièvre, moins de toux, moins d'Atchoums, moins de mouchoirs usés (ou plutôt de rouleaux de papier cuisine, car les mouchoirs n'y suffisaient pas), mais un reste pourtant qui me laisse sans voix, oui, réellement sans voix. Pour m'exprimer oralement, il ne me reste que le chuchotement, car sinon plus un son ne sort, de temps en temps seulement j'arrive à articuler quelques mots à voix haute, que je dois souffler si loin de ma bouche qu'on dirai des grognements d'ours. Si bien que mon mari croit que je suis fâchée.
On ne peut pas s'imaginer, ce que c'est difficile de vivre sans voix claire et limpide :
- quand je lui parle mon mari dit "Hein? Hein? Je ne comprends pas!" Mais, il le fait exprès quoi, il peut pas tendre l'oreille quand je chuchote, pas moyen qu'il tende l'oreille!
- au lieu d'appeler, je suis obligée de faire le déplacement en ecpliquant ce que je veux par chuchotements et par gestes.
- quand le téléphone sonne, si je décroche et que je réponds en chuchotant, la personne ne m'entend pas, ou croit qu'elle est tombée chez des farceurs, alors j'essaie de m'époumoner pour grogner à voix haute grommeleuse : "Attendez, extinction voix, vous passe mon mari". Même si je dis 'j'ai", "je", "vous", on n'entend pas ces mots là qui ne sont pas sur la seule fréquence dans laquelle j'arrive à émettre quelques sons, à hauteur du la2 environ.
- Heureusement qu'on est en vacances, imaginez que ça arrive en période de cours, un truc pareil !
- Et je ne sais plus chanter du tout, et alors là, je suis malheureuse, je me dis "Ma voix reveindra-t-elle?" Alors je réécoute des cassettes avec ma voix, les podcasts de Noël, et je me dis :"Ce n'est quand même pas possible que j'ai pu la perdre comme cela!".
Bon, patience, patience, elle reviendra. D'habitude ces affaires là ne durent pas plus de deux jours, mais voilà déjà 3 jours que je suis aphone, et cela faisait si longtemps que cela ne m'était pas arrivé.
domino
11:35 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : voix, aphonie, extinction de voix, grippe
lundi, 05 mars 2007
Les grandes vacances (1)
Voici une partie d'un commentaire que j'ai fait à Elisabeth, sur les grandes vacances :
- Les jeux de société auxquels nous avons joué enfants étaient les mêmes, bien loin des jeux vidéos actuels, mais on s'amusait bien, par contre, je n'ai jamais joué au Nain Jaune, mais les Mille Bornes, en Bretagne, à 15 ans, j'ai une photo avec 4 Mille Borniens dont moi, brandissant chacun une botte. Moi, ma petite soeur, mon amie bretonne et son petit frère. C'est une photo que nous aimoins beaucoup, elle est très réussie.
- (....) Quand j'étais petite mon frère, moi et mon père on allait jouer dans un terrain de foot en face de la maison où nous étions en vacances, pendant que ma mère gardait ma petite soeur.
A cette époque (j'avais 9 ans), mon frère et moi on s'amusait beaucoup avec des petits bonhommes, c'était des petites figurines qui étaient accochées à des porte-clefs. Nos principaux jouets à moi et à mon frère, du moins nos jouets préférés à qui nous avions donné une importance démesurée était deux de ces bonhommes porte-clefs. Un jour, mon frère a perdu le sien, c'était dramatique, sur le terrain de sport! On a cherché pendant 3 jours entiers, mon père, moi et mon frère. Les gens devaient se demander si on cherchait un trèfle à quatre feuilles, [on était tous les trois courbés sur le terrain à chercher dans l'herbe] et on a fini par la retrouver, d'ailleurs je crois que c'est moi qui d'un seul coup, ai vu sa poupée sous un brin d'herbe. "J.C! Papa! Elle est là!" Et nous pleurions tous de joie d'avoir retrouver le bonhomme Esso de mon frère.
Papa disait que nos deux bonhommes étaient nos fétiches. [ Le bonhomme Esso de mon frère était d'ailleurs une fille, et mon fétiche était un petit indien (qui venait aussi d'un porte-clef, nos deux bonhommes s'aimaient l'un l'autre tellement que mon petit indien n'aurait pas pu vivre sans sa bonne femme Esso, c'est pourquoi le fait qu'on avait perdu le fétiche de mon frère avait été dramatique pour mon fétiche à moi, donc pour moi. Et la retrouvaille de sa poupée fut une fête.]
- L'année précédente, j'avais 9 ans on avait perdu l'un de mes bonhommes, mais ce n'était pas le principal, c"était pas le chef; mais en le cherchant dans l'herbe au bord de la rivière dans laquelle nous allions nager, on ne l'a jamais retrouvé. J'étais triste aussi.
-Mon père aimait bien participer à nos jeux quand il était en vacances. Ils ne nous grondait pas. Il nous aidait à trouver ce dont on avait besoin, comme les cannes à pêche qu'il nous avait fabriqué quand j'avais huit ans.
Par contre, il nous grondait souvent pendant l'année scolaire, surtout mon frère, pour ses leçons d'histoire.
Mais, en vacances, mon père était quelqu'un d'autre, il respirait la joie de vivre, et avait beaucoup d'humour.
(...)
domino - Ecrit par : Dom | lundi, 05 mars 2007
Commentaire fait à propos de l'article d'Elisabeth : Enfants en Vacances.
http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/archive/2007...
11:35 Publié dans Les Mémoires d'une i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : mémoires