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lundi, 25 août 2008

Vous êtes tous informaticiens...

Vous êtes tous informaticiens... Du moins si vous êtes jeunes...

Actuellemennt les Brevet d'Informatique et les Certifications en Informatique se répandent dans les lycées et collèges...

Le B2i 1er niveau ou Brevet d'informatique premier niveau, c'est au collège, on le passe en troisième...

Le B2i 2ème niveau ou Brevet d'Informatique,  deuxième niveau, c'est au lycée, on le passe en Terminale....

Le C2i 1er niveau, c'est à l'université, on le passe quand on veut, pendant les trois premères années de licence, ou plus tard si vous êtes plus vieux et ne n'avez pas eu l'occasion de le fait avant. C'est le Certificat d'Enseignement supérieur d'Informatique 1er niveau.

Le C2i 2ème niveau se fait pendant l'année de stage, c'est le Certificat d'Enseignement supérieur d'informatique 2ème niveau. C2i deuxième niveau est appliqué à la profession pour laquelle vous faites des études après la licence et est passé pendant la ou les années de stage.

Pour être professeur des écoles le C2i premire niveau est maitenant obligatoire pour passer le concours.

Le C2i deuxième niveau, informatique est passé pendant l'année de stage pour les professeurs des écoles.

Il semblerait que peu à peu le C2i deuxième niveau soit étendu aussi aux stages de professeurs.

Ce C2i 2ème niveau correspond en gros à ce que nous faisons dans les stages dits d'informatique de la formation continue des professeurs (PAF). Il s'agit d'informatique appliquée à l'enseignement.

Donc, tous ceux qui ont passé l'un de ces brevets ou certificats seraient informaticiens????????

Vous comprenez que si vous avez le C2i premier niveau, vous pouvez postuler pour le bac +4 des écoles d'ingénieurs en informatique, et que si vous avez le C2i deuxième niveau, vous pouvez postuler pour le diplôme d'ingénieur en informatique et vous en avez même l'équivalent?

Nenni! Que dalle!

Vous vous êtes complètement fourvoyé, Messieurs Dames, avec le C2i 1er et 2ème niveau, vous n'irez pas bien loin. ce n'est pas dans ces C2i là que l'on vous apprendra à réparrer votre ordinateur, ni à faire du langage ALGOL ou PASCAL. Que dalle! Vous n'apprendrez même pas l'HTML, Messieurs Dames, si cher aux bloggueurs de la première époque.

Vous apprendrez les lois qui régisse l'informatique, par exemple que ce n'est pas bien d'aller voir dans les ordinateurs des autres (je ne sais pas le faire, rassurez-vous!), qu'il y a plein de Cookies espions sur le web, dont il faut se protéger.

Vous apprendrez à vous servir des touches du clavier, des raccourcis, à faire des taleaux, des bases de données, à bien présenter un texte pour votre mémoire, etc....

Rien à voir, rien à voir donc avec un niveau d'informaticien. Alors pour que cela ne prête pas à confusion dans la tête des gens, pourquoi ne pas appeler ces brevets et certificats autrement, par exemple "Brevets et certificats pour l'usage des ordinateurs".  Ce n'est pas la même chose que la grande informatique.

Beaucoup de nos collègues de plus de 40 ans, disons, n'ont jamais touché à un ordianteur de leur vie. Ils vont suivre des stages, qui en premier niveau sont faits pour des personnes qui savent au moins se servir d'un traitement de texte, ouvrir et fermer un ordianteur et un compte et ne comprennent que dalle, parce que mêmes les stages de niveau 1 maisntenant sont faits pour des professeurs ayant des bases en manipulation d'ordianteurs.

J'ai eu une collègue agrégée dans lycée où j'ai travaillé dix ans... qui refusait obstinément de se servir d'un ordinateur disant qu'elle n'était pas douée pour la technique. Pourtant elle est au moins dix ans plus jeune que moi.

Il y a encore trois ans dans la salle d'ordianteur attenante à la salle des profs, j'apprenais, malgré le non souhait de l'administration à ce que je fasse un service de rattachement, à mes collègues de toutes matières à ouvrir et fermer l'ordinateur et à aller sur le logiciel de report de notes. Au moins la moitié ne savaient pas le faire et avaient besoin de l'aide d'autres personnes pour cela.

Il y a deux ans sur le service de rattachement imposé par ma principale en documentation (je suis titulaire donc jusqu'à cette année pas obligée de faire un service de rattachement et je dis imposé parce que dès que j'ai dit que finalenemant n'étant pas volontaire pour la documentation, je n'étais pas obligée de venir, elle a fait un rapport sur moi et j'ai eu 400 euros en moins et un blâme), ma jeune collègue de français nommée là par le recteur parce qu'elle était volontaire pour la documentation et qui avait le C2i 2ème niveau, avait fait buggué tous les vieux ordinateurs dès le premier jour, et avait prétendu ne pas savoir se servir d'un ordinateur. C'est vrai que j'ai du lui expliquer comment faire des tableaux sur Open Office, je ne m'étais jamais servie d'Open Office avant et j'avais cherché toute seule.

Ce qui vous donne une idée du niveau des certifications en informatique.... Ceci quelles connaissances avait-elle pour faire buggué les ordinateurs, mystère. Celui du bureau que nous avons gardé toute l'année a redéarré grâce à une disquette de données insérée dans le lecteur et que j'y ai laissé toute l'année. Comme elle était coincée il n'y avait pa moyen de l'enlever, mais c'était tant mieux, c'est grâce à elle que l'ordinateur démarrait assez rapidement.

Pour les ordinateurs des élèves, on en a eu des tout neufs (On en a eu des... n'est pas français, si! C'est un régionalisme, vive les régions!) qui fonctionnaient bien. Dépassés maintenant, ce n'étaient que des XP SP2, ils n'avaient même pas Vista...

Bon, alors, vous ne soufflez mots : pour qu'on ne me demande plus de faire de la documentation, si vous savez qui je suis, il faut dire, dans mon milieu professionnel uniquement bien sûr, que je ne saurais pas me servir d'un ordianteur.

D'ailleurs, quand j'ai fait mon stage de CAPES en 1976-77, j'étais l'une des rares à me servir d'une machine à écrire... La plupart de mes collègues écrivaient encore à la main avec des stylets sur des stencils où il fallait percer des trous. Ou bien sur les carbones à alcool des duplicateurs. Il m'a fallu d'ailleurs le temps de me mettre aux documents photocopiés à partir d'un maginifique original imprimé sur papier blanc à la sortie de l'ordianteur. Mon premier ordinateur acheté en 92 sous Windows 3-1 et sans Internet, qui avait une mémoire de disque dur de 4 Gigas (l'équivalent d'une grosse clef USB actuelle), était relié à une imprimante à rubans (je ne me souviens d'ailleurs plus du nom qu'on lui donnait, ah! si! une imprimante à aiguilles) et qui faisait des frappes stencils sur des carbones violets de suplicateurs qui salissaient à la fois mes mains et l'imprimante, et que je garde précieusement au cas où j'aurais un remplacement dans un établissement qui en est encore à ce stade-là.

Pendant mon stage, avant et après et jusqu'au début des années 90, j'enfonçais laborieusement mes touches sur une machine à écrire traditionnelle en frappant assez fort pour que ce soit lisible sur les stencils, un excellent exercice pour muscler les doigts des musiciens, car les touchez étaient plus difficiles à enfoncer que celles d'un piano.

domino

 

 

 

 

 

 

mercredi, 09 juillet 2008

Niveau passable...

Je viens de lire les résultats du CAPES d'allemand, un peu meilleurs que pour l'agrégation, il y a six reçus dans mon académie, dont une que je ne connais pas, et une reçue que je connais une allemande (transfuge de mon académie) dans l'académie de Paris.

 Je crois que si je devais repasser mon CAPES maintenant, comparativement à eux, je le réussirais. Au minimum deux des reçus ont un niveau très aléatoires en allemand : ils font des fautes de déclinaison et même de construction de phrase.

Si je devais passer mon CAPES maintenant : A condition que personne n'échange mon code-barre d'anonymat avec celui de quelqu'un d'autre, ou bien que les autres n'aient pas plus de piston que moi, c'est à dire que personne n'aient du piston.

Je me dis que soit le niveau a fortement baissé depuis mon époque, car comme il n'y a que 106 reçus, ils sont quand même placés dans les 100 premiers.

A mon époque, alors qu'il y avait 4000 candidats, être placé dans les 100 premiers était un exploit! Il y avait 400 reçus comme en gros en espagnol actuellement.

Mais je pense qu'à l'heure actuelle, ce n'est plus un exploit...

Comparativement à ces candidats là, je pense que je suis meilleure que tous.... Alors s'ils demandent un report de stage pour passer l'agrégation, et que eux la réussissent et pas moi, on saura qu'il y a des injustices flagrante dans le monde de l'agrégation, d'autant plus que j'ai certains collègues qui comme moi n'ont jamais réussi leur agrégation et sont bien meilleurs que ces reçus du CAPES.

Donc, le niveau baisse...

Une candidate mère de trois enfants agées de plus de 40 ans (environ 45 ans) et qui n'a jamais enseigné à des jeunes (elle n'a fait que de l'enseignement pour adulte, style école Berlitz), non diplomée, puisque en tant que mère de trois enfants, elle est dispensée de diplômes, est parmi les heureuses lauréates du CAPES.

Elle a le même prénom que moi, et elle a peut-être bénéficié de ma réputation d'avoir un bon niveau, car je la juge au point de vue langue allemande, bien loin derrière moi : elle fait des fautes de déclinaison, etc....

Comme elle est obligée de faire un stage initial, vu qu'elle n'a jamais enseigné à des jeunes (je pense qu'elle sera une bonne prof, mais j'ai peur qu'elle fasse des erreurs de langue), elle devra quitter l'académie puiqu'il n'y a plus de classe d'allemand en deuxième année d'IUFM dans mon académie. Donc, on ne la confondra plus avec moi, je pense.

A moins qu'elle ne demande un report de stage et se retrouve avec moi en préparation d'agrégation. Mais je pense qu'en traduction au moins, je lui tiendrai la dragée haute.

Durant toute l'année certains profs ont cru que j'étais elle, car ils me rendaient ses copies que je lui remettais immédiatement, ou parfois ils lui rendaient des copies à moi, que je devais réclamer.

Comme il y avait une autre candidate qui portait comme unique nom de famille mon nom marital et avec laquelle on me confondait aussi... j'étais mal barrée. Cette candidate là n'a été admissible ni au CAPES, ni à l'agrégation! Elle passait les deux. Pourtant, elle avait un Master, alors que la domino de 45 ans n'avait vraisemblablement, grâce à ses trois enfants, même pas de licence et elle a réussi son CAPES. Comme elle a un aspect très sympathique, elle doit jeter de la poudre aux yeux.

domino

P.S. Que ce que j'ai dit ici, reste entre nous, bloggueurs et i-grimoiriens. Je n'ai cité aucun nom de famille, aucun nom d'académie, et j'ai enlevé de mon i-grimoire tout ce qui pourrait faire supposer que j'ahbiterais dans telle ou telle région.

Même les petits pixies sont dans 3 régions différentes et donnent des indications très approximatives sur l'endroit où je me trouve.

Donc, comme personne ne sait de quelle académie ou région je suis et où je me trouve, je ne suis pas répréhensible pour raconter des faits qui peuvent toucher n'importe quelle personne analogue à celles que je décris ici.

 

mercredi, 28 mai 2008

Pourquoi je ne vais pas à l'université aujourd'hui

Aujourd'hui, si j'avais été admissible à l'agrégation, j'aurais du aller à l'université, je devais passer une colle de version, mais je ne vais pas prendre la place des admissibles qui voudraient peut-être passer plus de colles avant l'oral.

Et de plus, j'ai peur de la réaction de l'homme admissible, celui qui m'avait claqué la porte dans le nez, alors que j'ouvrais discrètement la porte arrière de leur salle de cours de CAPES croyant y trouvé mon professeur de linguistique (maintenant en retraite) et hurlant sur moi "Qu'est ce qu'elle vient encore faire ici, celle-là?"

Comme il est admissible et pas moi, si je vais à ce qui est devenu maintenant "leur" cours de version, je le vois déjà se lever en me claquant la porte au nez,  et en hurlant "Qu'est ce qu'elle vient encore nous embêter, celle-là!" Et si le professeur me propose de passer ma colle quand même, il va râler ensuite (il n'osera pas râler devant ce professeur), et me faire comprendre que je n'aurai pas du accepter.

(C'est quelqu'un qui a des réactions imprévisbles et pourrait bien avoir plus tard des ennuis comme le prof de techno de Berlaimont, je sais qu'il va s'énerver sur ses élèves, et ne fera pas du bien à l'enseignement de l'allemand).

Je dois dire que quand même les étudiants de l'université sont dans l'ensemble gentils, c'est le seul qui m'a semblé pouvoir être violent physiquement.

C'est pourquoi, je préfère m'absenter, de toute façon, en tant qu'étudiante salariée, je n'ai pas obligation de présence, surtout après un concours râté, à l'université. Ceux de l'agrégation interne et ceux de l'externe qui estimaient n'avoir aucune chance d'être admissible, ne viennent plus depuis longtemps.

domino

Et il y a eu encore...

Je devais vous raconter beaucoup de choses cet hiver... Mais je ne l'ai pas fait pour deux raisons :

1) La panne d'ordinateur;

2) Le fait que je ne voulais pas raconter que j'étais à l'université, pour préparer l'agrèg, c'est à cause de ceux qui sont venus ici m'ennuyer au moment de l'agrèg, en me parlant de l'agrèg...  et des détracteurs et autres individus bizzares qui se sont promenés dans mes commentaires, et des choses bizzarres que j'avais rencontré sur les listes d'admissibles (certaisn portaient le prénom rare (en deuxième prénom) de certains de mes commentateurs les plus gentils.

Bon, c'est pour cela que j'ai passé cette partie de ma vie sous silence et que je ne vous en parle que quand elle est terminée;

Mais il fallait le faire, aller à l'université cette année... :

En novembre-décembre, il y a eu les grèves, alors il fallait faire un immense détour pour pouvoir atteindre les salles de cours après avoir bravé les piquets de grèves intérieurs qui ne laissaient passer que le personnel de service, les ouvriers qui faisait des travaux, les professeurs de concours et les étudiants des préparations de concours.

Le premier jour, ils avaient fermé la porte juste devant moi, et ça a été terrible de retrouver un endroit pour passer.

Une ou deux de nos profs ne venaient d'ailleurs plus, on ne sait pas si elles étaient vraiment malades ou si elles avaient peur des grévistes, elles ont rattrapé leurs cours à la fin de l'année.

Enfin, du métro, il fallait faire un grand détour pour aller jusqu'au poste de contrôle, de là traverser un immense souterrain parking, ou parking souterrain, mais ça s'appelle le souterrain, puis passer dans un sas, dans lequel on était controllé par le piquet de grève, mais comme j'ai un air de femme de ménage, ils ne me demandaient jamais rien, puis à nous les étages.

Quand j'avais cours de linguistique (pour mon option) dans l'autre bâtiment, il fallait que je traverse touit le souterrain en sortant d'un bâtiment devant un piquet de grève, que je rentre dans l'autre bâtiment devant un autre piquet de grève, que je remonte un étage, et rebelotte dans l'autre sens après le cours.  Avec les quatre étages à monter.

Et avec tout cela, je n'ai même pas maigri.

Comme on ressortait du bâtiment par un autre endroit que l'endroit habituel, je me suis perdue une fois dans le quartier en prenant une rue pour une autre, je me suis retrouvée près de l'autoroute au lieu du métro, et j'ai fait le tour d'un bloc d'habitations, par des chemins piétonniers, sas savoir trop où j'allais pour retrouver le métro, en arrivant par l'autre sens, ce qui était bizarre, parce que ayant tourné trop tôt, je me suis retrouvée plus loin que mon but.

Bref, ce fut une  saison vraiment très dure, l'hiver, les grands détours à faire, plus d'escaliers à monter dans l'université, c'était vraiment très dur. La seule chose qui était bien, c'était que là haut, tout était calme, on était nos petits germanistes de CAPES et d'agrèg ensemble, dans une université vide et toute calme. Parce que d'habitude comme on est dans une salle à coté d'un palier, il y a souvent du bruit sur le palier.

Puis il y a eu  les policiers qui sont intervenus un soir alors qu'on était en train d"écouter le cours sur Lanzelet de Heinrich von Zakzikhoven. On a même appris à lire en Moyen-Haut allemand, c'est chouette, cà!

Bref, on était en train de s'initier ou de réviser les prouesses de Lancelot, chevalier de la Table Ronde, qui s'appelle en allemand Lanzelet, quand les centurions romains sont arrivés avec leur bouclier sur la place romaine.

Mais nous, on ne le savait pas. On ne les a pas entendu, pourtant ça devait faire du bruite, mais du haut de notre quatrième étage, tout affairés à entendre les aventures de Lancelot contées avec délectation par notre prof autrichien, en allemand bien sûr, on n'a pas entendu que des centurions nous faisaient revenir mille ans avant Lancelot, à l'époque romaine.

Avant le cours, je sentais mes yeux piquer, c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de lumière à cette époque de l'année; Puis pendant le cours, alors que notre professeur racontait les aventures de Lancelot avec verve, jai atteint le pont où l'attention diminue (l'attention ne peut être soutenue que pendant un maximum de quarante cinq minutes, car dans la journée, nous avons des cycles de veille, inévitrable en fin de journée.

C'est alors que j'ai vu les deux - maintenant admissibles, un couple, ils vont être riches s'ils réussissent l'agrèg tous les deux -  se lever et le professeur dire qu'on faisait la pause. Les yeux me piquaient. Puis on est sorti un peu dans le couloir et j'ai sans doute comme à l'accoutumée passé mon visage à l'eau froide pour me tenir éveillée, un remède qui peut me faire tenir une demi-heure sans fermer les yeux, (si on me donnait un lit dans ces moments là, je m'endormirais tout de suite). Et puis on a écouté l'histoire de Lancelot encore pendant une heure, puis on est descendu.

 J'ai pris l'escalier juste à coté, pour descendre de nos trois étages, et je les ai vu là, les centurions habillés en bleu marine, sur la place romaine, de l'autre coté du sas vitré, comme tout était fermé, je suis descendue au sous-sol, repassée par le souterrain, puis au lieu d'aller directement au métro, je me suis dit que j'allais prendre ce petit chemin qui devait être un raccourci. Mal m'en a pris. Je me suis retrouvée enttre le RU et le forum, j'ai encore vu les centurions en ordre dispersé, en train de bavarder. J'ai longé discrètement le restaurant universitaire, pris la passerelle, et je suis allée au métro près duquel étaient massés les centurions romains qui discutaient avec les gens.

Puis je suis rentrée chez moi, le lendemain on rentrait dans l'université par le chemin normal, même si des montagnes de chaises empilées, montraient encore ce qui s'était a passé.

C'était cet hiver, j'ai fait tous ces parcours supplémentaires pour avoir mon agrégation : je l'ai râtée.

domino 

Lien à voir pour comprendre :

Clic, clic 1

Clic clic 2

Clic clic 3

domino

mercredi, 21 mai 2008

Ils rêvent encore....

Dans mes  statistiques, je vois ce que les gens tapent dans leurs moteurs de recherche. Et bien, il y en a qui ont de l'humour, j'ai trouvé entre autres :

"Comment avoir l'agrégation par équivalence universitaire?"

Il/ Elle voulait peut-être dire le contraire!

Mais enfin, on croit rêver. Se faire tant d'illusions!

Bonne nuit quand même! N'en rêvez pas trop cette nuit.

domino

 

samedi, 10 mai 2008

Bizzarre toujours...

Ce midi, je suis allée écouter une colle à l'université, puis j'ai essayé de repérer des salles dans lesquelles j'ai d'autres activiés l'année prochaine. Dans le bâtiment des germanistes et autres langues, pas de problème tout était normal...

Puis, arrivée dans le bâtiment d'à coté, il n'y avait plus personne, je n'ai pas rencontré âme qui vive, pourtant on était vendredi après-midi, est-ce à dire que certaines UFR faisaient le pont et  les autres pas?. Après être montée par un tout petit escalier, j'ai enfin trouvé les salles que je cherchais, mais tout était bizarre, une affiche était par terre, des extincteurs étaient démontés et un cache de prise de courant traînait, je ne sais plus si c'est par terre, ou sur une table qui traînait aussi là dans le couloir.

Le cache de la prise de courant qui traînait, ça m'a fait penser à l'histoire que je vous ai raconté l'autre jour, sur les caches des prises de courant qui auraient été soi-disant ôtés dans une de mes classes, alors que les morceaux de plastique ne ressemblaient pas du tout à celui que j'ai vu aujourd'hui. Les organes du buste d'anatomie n'avaient rien à voir avec ces caches-là.

Je me suis demandée si je n'étais pas attendue dans ce couloir désert par ces objets éparpillés, si quelqu'un ne les avaient pas mis là exprès, et était en train de filmer mes réactions par une webcam cachée dans un coin (ma réaction, après avoir repéré mes salles : j'ai regardé tous ces objets d'un oeil scructateur et dubitatif)....

En revenant, je suis passée par le même chemin et j'ai acheté une bouteille d'eau dans un distributeur d'eau, mais une fois dans  ma main, la bouteille semblait très chaude. Je l'ai ouverte parce que j'avais très soif à cause de chaleurs printanières. Mais je n'en ai bu qu'une gorgée.

domino