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jeudi, 27 mars 2008

Vieille prof

Racontons l'histoire d'une vieille prof.

Jusqu'à l'âge de 52 ans, elle était sur des postes "établissement".

Elle était "pilier de lycée", enseignait en lycée et en BTS, était considérée par parents et élèves comme une bonne prof sérieuse qui faisait travailler les élèves. Ceci après une longue carrière qui avait débuté en collège. Zone sensible, etc... comme pour tout jeune prof. Une carrière qui avait monté peu à peu.

Elle était jury de BTS, conviée au rectorat tous les ans pour pondre les sujets, qu'elle faisait nombreux pour les oraux, etc...

Elle organisait ou accompagnait les échanges scolaires, consacrant quelques week-ends à superviser les élèves en Allemagne.

Elle  organisait des projets pédagogiques.

Elle pensait rester sur le même poste jusqu'à la fin de sa carrière, réussir un jour l'agrégation, etc... 

Puis un jour à la faveur d'une suppression de poste ou au retour d'un congé maladie, elle s'est retrouvée TZR, rattachée dans un établissement où on ne connaissait pas sa réputation et son amour pour sa matière.

On a commencé à tout lui faire faire, la faire travailler en collège, dans des zones sensibles, violentes, lui faire faire les fonctions de CPE, de documentaliste, d'aide-éducatrice, lui donner les SEGPA à surveiller en retenue, etc... Ceci en conservant son salaire, mais en ralentissant son avancement.

Cette vieile prof qui voudrait retrouver ce qu'elle avait pour terminer sa carrière en beauté,  et travailler jusqu'à 65 ans pour avoir(presque) toutes ses années de cotisation, on lui donne de moins en moins de remplacements, de moins en moins de responsabilités, pourtant dans sa tête, elle reste jeune et dynamique.

Avez-vous déjà compris un pays qui fait cela à ses profs? A ses piliers de lycée? 

domino 

mardi, 04 décembre 2007

420 Euros perdus sur mon salaire.... à cause d'un paperboard

Souvenez-vous le 14 mai 2007 (c'est souvent le 14 mai, que m'arrivent des malheurs : autres problèmes avec l'autorité hiérarchique ou accident de voiture, comme par hasard, souvent juste avant les résultats d'écrit d'agrégation externe...), je constate juste après son passage, qu'un ouvrier

(0P qui dans un rapport fait sur moi s'est dit être d'une fonction supérieure à celle qui était écrite sur la liste du personnel à la rentrée, je ne sais plus laquelle exactement, mais personnel ATOSS titulaire, en tout cas il mériterait d'être titularisé pour ce qu'il a fait contre moi),

 je constate donc juste qu'après le passage d'un ouvrier dans la pièce contigue au CDI, qui n'était autre que la salle de lecture - et les portes entre la salle de lecture qui contenait une partie des livres du CDi et la salle du CDI proprement dite restait toujours ouverte, mais il y avait comme je le disais dans un autre article, un angle mort provoqué par les murs intermédiaires, donc la surveillance de cette salle à partir du CDI était restreinte aux seuls endroits visibles, endroits  dans lesquels je plaçais habituellement les élèves, mais les deux portes extérieures de cette salle, donnant sur le couloir, ouvrables par une clef de classe tout comme la deuxième porte du CDI, étaient invisibles du bureau du CDI.

Tout de suite, quand le lendemain, j'ai signalé à la principale le problème de la disparition du paperboard, on m'a accusée d'avoir accusé cet ouvrier dont je ne connaissais même pas le nom à l'époque, donc, dont j'étais incapable de citer le nom, d'avoir volé le paperboard.

C'est vrai que les apparences sont trompeuses, que la présence de cet ouvrier qui semblait faire la ronde du soir, alors que d'habitude c'était la concierge qui le faisait, était très trompeuse. Mais je n'ai personnellement pas fait le rapprochement entre les deux. Il aurait pu avoir besoin du paperboard pour son atelier et l'avoir ramené ensuite. Ou bien, il l'a peut-être déplacé pour faciliter la jointure des grilles de l'exposition que ma collègue et moi avions dressées à grand déploiement de force physique -presque trop fort pour moi - ; en fin d'après-midi, après appel téléphonique aux ouvriers il avait d'ailleurs été décidé que l'on fixerait ces grilles le lendemain matin.

Peut-être ne faisait-il pas la ronde, peut-être était-il venu pour voir les grilles qu'il fallait fixer ensemble. Parce que j'avais demandé de venir le plus vite possible parce que les grilles non fixées pouvaient être dangereuses et tomber. Peut-être que j'ai cru qu'il faisait la ronde parce qu'il ouvrait toutes les portes du CDI, comme la concierge le faisait tout les soirs en me chassant (elle le faisait aussi à la salle des profs où quelques profs tapaient rapidement leurs notes sur les ordinateurs, car un collège fermé à 17h 45 quand les cours se terminent à 17h30, c'est un laps de temps très court pour que les profs aient le temps de se retourner. Certains quittaient leurs classes où il préparaient leur matériel pour le lendemain en courant pour ne pas être surpris par la fermeture. Je l'ai déjà raconté ici d'une façon plus humoristique (articles qui prouvent que j'ai travaillé  au CDI de ce collège aussi en juin...).

Peut-être que contrairement à ce qui était écrit sur les rapports faits par la principale, la concierge n'était pas absente ce jour-là et que l'ouvrier aurait pris le prétexte de la ronde pour expliquer son entrée dans le CDI. Mais s'il venait voir les grilles d'exposition, il aurait pu me le dire.

Bref, le 15 mai, dissenssion avec la principale à laquelle je fais remarquer qu'elle me fait des reproches sur un service de documentation, alors que de ma vie, je n'ai jamais été documentaliste, mais toujours professeur titulaire, et pas un peu titulaire, d'allemandC'est encore ce qui est écrit sur les papiers que je reçois actuellement.  Et que par conséquent, je n'avais pas de compte à lui rendre sur un service qui normalement pour les TZR est basé sur le volontariat, mais qui m'avait été imposé par elle (Par la suite, la principale m'a dit qu'elle ne m'avait rien imposé, qu'elle avait trouvé qu'il était seulement plus intéressant pour moi d'aller au CDI putôt que de passer 18 heures en salle des profs, chose qu'en tant que titulaire (en attendant une suppléance), je n'étais pas obligée de faire. Mais le fait d'"être plus intéressant pour moi", elle ne me l'a jamais dit en début d'année. Au moins en salle des profs, j'aurais pu travailler sur mon agrégation, tout en rendant de menus services aux élèves qui frappaient à la porte disant "Mme ou M. Untel m'a demandé de venir chercher des dictionnaires, ... les livres de français (ils ont trois livres de français, un chez eux et deux qui restent à la salle des profs).

Suite à cette dissenssion, je fais savoir à la principale que si elle me fait des reproches sur un service qui n'est pas le mien, je peux, selon le statut des TZR rentrer chez moi, ce que je fais...

Immédiatement rapport envoyé au rectorat sur mon "absence".

Alors que un mois et demi plus tard et alors que je suis revenue quand même au CDI depuis longtemps (la principale m'avait dit que finalement elle se renseignerait si ce que je disais, concernant le service des TZR basé sur le volontairat au CDI,  était vrai, et elle en a eu confirmation en ce début d'année). Mais le rapport sur mon absence (rattrapée en juin par prudence et largement et plus que rattrapée), la machine administrative, une fois emballée, suit son cours, et une convocation à la médecine du rectorat arrive pour le début des vacances d'été.... Je n'y vais pas avec la bénédiction de mon syndicat.. Mais j'aurais quand-même plus de 100 Euros enlevés pour cet 'Convocation valant ordre de mission non honorée" et plus de 100 Euros supplémentaires enlevés pour la convocation du 28 août alors que le syndicat m'avait spécifié que je serais sans doute reconvoquée après la rentrée.

Je spécifie que je n'étais pas en congé-maladie pendant les grandes vacances et je ne le suis toujours pas -je suis Titulaire en Zone de Remplacement d'allemand, en train de préparer mes cours en vue d'éventuels remplacements en Collège et en Lycée et en train de continuer à me former dans ma matière, active dans les comités de jumelage avec l'Allemagne, pour la promotion de ma matière, ce qui est le travail normal des titularies remplaçants dénomés maintenant TZR quand ils n'ont pas de remplacements.

Comme j'avais rattrapé en juin mes 5 journées (dont deux partielles) d'absences de Mai, -

nos profs d'université rattrappent bien entre l'écrit et l'oral c'est à dire en Avril Mai des cours que des étudiants ont fait reporter en Décembre, pour ne pas venir (et faire des centaines de kilomètres) pour que les étudants n'aient pas un seul cours dans la journée, quand d'autres profs sont absents pour colloques, par exemple -

comme j'avais rattrapé en juin mes absences de mai et travaillé en juin, je m'étais occupée d'un jumelage de primaire en juin, comme interprète, et j'avais bien cru ne plus jamais entendre parler de cette histoire de paperboard, d'autant plus que j'avais été voir un médecin spécialiste une semaine après l'évènement du paperboard, médecin  qui m'avait fait un certificat m'autorisant à reprendre mes activités dans le domaine scolaire, et recopié en partie par la généraliste, certificat que j'ai donné en mains propres à la principale.

Après avoir été informé de la convocation à la médecine du rectorat fin juin, ce médecin spécialiste avait envoyé un fax à la médecine du rectorat, demandant d'enlever la convocation là-bas. Mais après discussion avec le médecin du rectorat il n'a pas pu, comme par le passé (il y trois ans environ) imposer sa volonté, alors qu'il est spécialiste, et qu'il n'y a aucun spécialiste de ce domaine qui travaille à la médecine du rectorat. Donc, l'avis de mon médecin spécialiste, que je vais voir parce que la médecine du rectorat qui m'avait mise en congé en septembre 2002

[-pour que l'on mette une MA pistonnée par l'inspecteur ou le proviseur pour le 3ème concours ou l'examen professionnel, à ma place,, ma place de certifiée, je suis devenue depuis bi-admissible -, je me demande d'ailleurs s'il n'y a pas quelque chose d'analogue cette fois-ci, car un de mes anciens élèves (je l'ai eu en première ou en terminale)  a eu son Master 1 d'allemand, et se renseigne pour savoir où il y a des postes d'allemand de libre dans la petite région, il voulait déjà avoir un poste d'auxiliaire pour cette année, mais il a été pris comme surveillant, et il essaie aussi d'avoir le poste de mon mari, qui veut travailler jusqu'à 65 ans pour avoir toutes ses années pour la retraite, et mon mari commence à être harcelé par le remplaçant de son directeur qui est malade, on a apparemment l'intention de le faire partir plus vite, sour la pression des parents de cet ancien élève qui passe actuellement son CAPES avec le CNED et aussi peut-être son agrégation???!!!! Et est moins bon en allemand que moi, puisque l'an dernier encore, je lui corrigeais es fautes quand il m'adressait la parole en allemand à l'université. Il était dans la classe de Terminale STT où j'ai eu ma mauvaise inspection... Comme il a fait un Master 1 de linguistique, il risque encore de passer devant moi, à l'agrégation,tout en étant moins bon en allemand et d'avoir une meilleure note que moi en linguistique alors qu'il n'y connait presque rien et qu'il découvrait la linguistique l'an dernier. Je le sais parce que j'étais en cours avec lui et il ne comprenait pas grand chose.]

parce que en 2003 la médecine m'avait obligée à  voir un psy, pour pouvoir reprendre le travail, ce qui fut fait dès l'année suivante après avoir attendu longtemps les convocations chez le médecin assermenté, parce que je sais pertinemment, que quand la médecine du rectorat vous met en congé, le médecin assermenté et le comité médical départemental ne sont pas obligé de vous donner le congé longue maladie qui vous permettra d"avoir votre salaire complet, et que vous pouvez ne jamais avoir le remboursement du demi-traitement que l'on ne vous paie plus au bout de trois moi... alors, si cela vous arrive un jour, ne signez surtout jamais les demandes de congé que vous présente la médecine du rectorat sous menace de sanctions administratives si vous ne signez pas.

Tout ceci parce que j'avais comencé l'année sur les chapeaux de roue.

C'est pour cela que je ne suis pas allée les voir.

Donc, en résumé, n'étant pas coupable d'avoir été absente puisque :

A- J'avais rattrapé mes heures non faites,

B- D'après le décret de 1980 sur le statut des TZR, non modifié jusqu'alors, le service que j'effectuais était facultatif puique basé sur le volontariat.

je ne devais pas être convoquée à la médecine du rectorat pour justifier de mon absence, d'autant plus que durant l'année scolaire, j'avais effectué beaucoup plus que les 18 heures requises.

en juin comme je n'allais plus à l'université, j'ai travaillé tous les jours de la semaine pour rattraper.

Par ailleurs,  

A. Ayant téléphoné  tout de suite après l'affaire du paperboard chez un médecin spécialiste qui ne pouvait me recevoir qu'une semaine plus tard,

B. Ayant consulté chez lui, une semaine après l'affaire du paperboard, et ayant eu sa permission de retourner au collège, et d'y poursuivre des activités, les médecins n'étant pas très au courant du statut des TZR,

C. Ayant été sur ses conseils montrer son certificat au généraliste qui m'en a recopié une partie pour que le certificat n'émane pas d'un spécialiste dont la spécialité est mal vue par les administrations. Malheureusement celle-ci a recopié que je pouvais reprendre "à condition de ne subir ni stress ni provocations", ces quatre derniers mots étant en trop, parce que c'est peut-être la source de ma convocation à la médecine du rectorat, alors qu'il ne s'agissait pas de stress dus aux élèves, mais de stress dus à l'administrations et de provocations de l'administration. J'ai remis ce certificat en mains propres, dans les mains de la principale.

Donc, le médecin spécialiste ayant permis ma reprise déjà une semaine et demi après l'évènement du paperboard (il y a eu avant ma reprise le lundi de Pentecôte où le collège était fermé parce qu'on avait rattrapé cette journée avant). Comme je ne travaillais que trois jours par semaine au collège et qu'il y avait eu des jours fériés, je n'avais manqué que même pas cinq jours, que j'ai rattrappé.

Donc, comme à la fois, mon absence sur un service que je précise facultatif et que je n'avais pas accepté de plein gré, avait été justifiée, et que le médecin  spécialiste avait permis ma reprise, je ne devais pas être convoquée à la médecine du rectorat. Il fallait seulement demander à mon administration, dont je devais subir ni stress ni provocation, d'être plus gentille avec moi. CQFD

Or, on a fait exactement le contraire : colères réitérées de la principale à la rentrée (auxquelles j'ai répondu calmement), menaces de sanctions sur salaires exécutées en quatre exemplaires pour un même fait, sur une somme qui dépasse largement le trentième de salaire (un trentième de salaire étant 80 Euros, on m'en a retiré presque 110 par convocation à la médecine du rectorat, 110 Euros cela ferait quand même 700 francs, si on avait encore les francs... Cela veut dire que l'on m'a enlevé 2800 francs pour "service non faits" pour quatre demi-heure de consultations où je n'ai pas été, qui en fait n'auraient du être qu'une demi-heure en tout. Et si j'y étais allée la première fois, je serais actuellement en congé maladie, chose que je voulais absolument éviter.

Alors que l'on ne vienne pas me dire que je présenterais mal, que je n'aurais pas de beaux habits, puisque l'on m'enlève l'argent avec lequel je pourrais m'acheter de beaux habits....

Que la médecine du rectorat ne vienne pas me chanter que je devrais couper mes cheveux -qui comparés à maintenant étaient très courts à l'époque, ce qui me donnait une tête affreuse - et que je devais les teindre en auburn, ma couleur d'origine - elle avait du me confondre avec quelqu'un d'autre, car mes  cheveux qui étaient blonds quand j'étais petite, n'ont jamais été autres que châtain doré, une jolie couleur, et légèrement grisonnants maintenant que j'approche des soixante ans. J'ai eu mon premier cheveu gris à quarante ans, mais il a eu du mal à faire des jeunes.

N'oubliez pas que alors que je ne devais subir ni stress ni provocations de l'adminstrationl'administration m'a envoyé de nombreuses lettres recommandées dont le ton était de plus en plus menaçant, la première convocation faisant seulement était de "problèmes de santé". La deuxième covocation pendant les vacances me menaçant de retrait de salaire (ce qui fut fait, même pour la première convocation pendant les vacances), la troisième me menaçant de retrait de salaire et de sanction administratives (je ne sais pas ce qui a été mis, car je n'ai jamais été cherché la suivante, rien que la troisième lettre qui m'a été envoyée deux fois en recommandé, et le bordereau du facteur (j'étais en train de me former dans ma matière de prédilection l'allemand, dans un vénérable établissement, quand le bordereau est arrivé), m'ont fait pâlir, on fait que j'ai senti du coton dans ma tête et que j'ai failli m'écrouler, mais ceci n'est pas une maladie, c'est un réaction à un stress et à une provocation) .Donc, pas besoin de me re-convoquer à la médecine du rectorat parce que j'ai pâli à la réception de leur lettre et à la réception du bordereau de recommandé. Depuis mon mari ne me donne plus les bordereau de recommandé et ne va plus chercher les lettres, d'autant plus que la partie expéditeur n'est même pas remplie sur les bordereaux annonçant des recommandés, que cela vienne du rectorat ou de mon collège.

Tout ceci pour vous dire que la convocation à la médecine du rectorat n'avait pas lieu d'être.

Que consécutivement, les retraits de salaire  n'avaient pas lieur d'être.

Que consécutivement, les sanctions administratives n'avaient pas lieu d'être données.

Je constate en relisant cet article que certains mots que j'avais écrits sont retirés pour rendre mes phrases incompréhensibles et me faire passer pour "ayant des propos incohérents". N'oubliez pas que pour vous introduire dans un espace qui n'est pas le vôtre, sans autorisation, vous pouvez encourir jusqu'à cinq ans de prison.

Et maintenant ils vont peut-être me convoquer parce que je dis qu'il y a des intrus sur mon i-grimoire,

Et maintenant ils vont peut-être me convoquer parce que j'ai failli tomber dans les pommes quand j'ai reçu leur recommandé à eux la médecine du rectorat, etc....

Peut-être que je suis sujet d'expérimentation, que l'on essaie de voir quel effet font des lettres recommandées et des sanctions administratives sur une personne que la médecine du rectorat a déjà mis par le passer "en dépression" comme dit le rectorat.

Car "mettre en dépression" est une expression qui n'est pas dénuée de sens, même si c"est du mauvais français utilisé par un de mes collègues agrégés.

"Mettre en dépression" = "Faire faire une dépression". L'adminsitration scolaire et la médecine du rectorat se sont fait une spécialité expérimentale : "Mettre les profs en dépression", c'est à dire "leur faire faire des dépressions", c'est ce qu'ils font faire expérimentalement aux profs, même à ceux qui ont beaucoup d'autorité, car on ne m'a reproché aucun problème d'autorité l'an dernier; simplement sur délit de faire des expositions sur l'Europe qui ne plaisent pas aux anti-européens qui sont légions dans la région (je me surprends, quelle rime!

Il y a beaucoup de profs qui sont beaucoup plus déprimés que moi, rien qu'à voir la tête qu'ils ont quand ils sortent de cours et arrivent dans la salle des profs. Si la medecine du rectorat veut du travail, remettez moi en vigie dans la salle des profs, je ferai des signalements sur tous ceux qui paraissent fatigués en sortant de cours!!!!!!!

Je finis par me demander si, pour échapper à la médecine du rectorat, je ne devais pas demander ma mutation pour une autre académie (où y-a-t-il des académies sans médecine du rectorat???), mais c'est ici

1) L'académie où je suis née,

2) L'académie dans laquelle j'ai fait mes études primaires, secondaires et universitaires,

3) L'académie dans laquelle j'ai passé et réussi mon CAPES dans les années 70.

4) L'académie dans laquelle j'ai fait mon stage de CAPES (qui n'a duré qu'une seule année, j'étais bonne, je n'ai pas redoublé le stage que la moitié des stagiaires redoublaient),

5) L'académie dans laquelle j'ai toujours enseigné

6) L'académie où j'ai enseigné en collège, en lycée, en BTS,

7) L'académie qui m'a convoqée huit années de suite pour les choix de sujets de BTS,

8) L'académie où il y a encore six ans (avant l'inspection du 22 mars 2002, la cinquième de ma carrière de certifiée), j'étais une prof d'allemand bien vue et reconnue,

9) L'académie dans laquelle j'ai toujours passé l'agrégation,

10) L'académie dans laquelle j'ai eu mes deux admissiblités à l'agrégation,

11) L'académie dans laquelle a presque toujours travaillé mon mari (comme prof d'allemand),

12) L'académie dans laquelle nous avons acheté notre maison au prix d'au moins vingt ans de labeur,

13) L'académie dans laquelle je milite dans plusieurs comités de jumelage avec l'Allemagne,

et je devrais maintenant à cause de la principale d'un petit collège du bout de l'académie et de la toute puissante médecine du rectorat  m'expatrier, pour échapper à la médecine du rectorat??????????????????

Ils ont été même jusqu'à prétendre que je n'avais pas de voix, ou pas une belle voix,  et que je savais pas faire d'arpèges à la guitare, alors si vous trouvez quelque part mes enregistrements sur le web, vous m'en direz des nouvelles.

 

domino

vendredi, 31 août 2007

A propos de mon statut...

Voyez comme c'était illégal de me faire faire 18 heures de documentation (d'autant plus que le recteur n'avait jamais été mis au courant que je faisais de la documentation, hors c'est le recteur qui dédice du service des TZR et pas la principale). Je devais au moins effectuer 9 heures d'allemand pour compléter dans une autre matière selon mes compéences :

(Voci des extraits de décrets... et de juriprudence) ... (repris du cité néo-profs de lettres, ce que je ne suis pas, je suis prof d'allemand, mais on est aussi les bonnes à tout faire de l'enseignement quand on est TZR).

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"Et la jurisprudence (notamment l'arrêt Conseil d'Etat statuant au contentieux n°224190 et l'arrêt Conseil d'Etat statuant au contentieux n°224191) considère que le complément de service dans une autre matière ne peut dépasser la moitié des maxima de service statutaires. En effet rien dans les décrets définissant la fonction de TZR n'abroge les dispositions du décret du décret n°50-581 du 25 mai 1950 portant règlement d'administration publique pour la fixation des maximums de service hebdomadaire du personnel enseignant des établissements d'enseignement du second degré."

"Les professeurs qui n'ont pas leur maximum de service dans l'enseignement de leur spécialité et qui ne peuvent pas le compléter dans un autre établissement d'enseignement public de la même ville peuvent être tenus, si les besoins du service l'exigent, à participer à un enseignement différent."

"Toutefois l'article 1 du décret n°99-823 du 17 septembre 1999 relatif à l'exercice des fonctions de remplacement dans les établissements d'enseignement du second degré énonce clairement que le TZR ne peut être affecté que conformément à sa qualification. La question est bien entendu de savoir ce qui est entendu par «qualification». Mais comme chaque enseignant passe un concours particulier selon la matière enseignée et que la formation qu'il reçoit en IUFM est également différenciée selon la discipline enseignée, nul doute que la qualification se confond avec la discipline enseignée. Donc les TZR pourraient très bien être mieux protégés que les titulaires sur poste fixe contre els compélments de service dans une discipline qui n'est pas la leur."

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Vous voyez bien que l'on parle ici de qualification... Or, quand j'avais été convoquée par un lycée pour être CPE 5conseillère Pincipale d'Education), j'avais dit sur le conseil du proviseur adjoint de mon lycée de rattachement, que je n'étais pas qualifiée pour le faire. Il a écrit sur une lettre faite sur moi que je m'étais déclarée incompétente pour faire ce travail. Suite à cela j'avais reçu une letre de la médecine du rectorat disant "Vous semblez éprouver des difficultés dans l'exercice de vos fonctions". Or, je ne me suis jamais déclarée incompétente pour l'allemand.

De plus j'ai subi un préjudice moral pour ma réputation dans la ville où je fais partie d'un comité de jumelage avec l'Allemagne, parce que tous les gens se sont demandés si je ne mentais pas quand je disais que j'étais professeur d'allemand. Parce qu'ils avait appris que j'exerçais des fonctions de documentaliste.

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Commentaire de "dilletante" sur la matière  sur néo-profs :

Les enjeux
Si l'on réclame aux enseignants de prouver leur maîtrise de la discipline enseignée par un concours extrêmement sélectif (certificat d'aptitude pédagogique à l'enseignement du second degré/CAPES ou agrégation), c'est qu'enseigner dans cette discipline ne va pas de soit. Or le TZR, lui doit pouvoir enseigner toutes les disciplines, dans toutes leurs déclinaisons possibles et sur tous les niveaux (de la 6èmes aux classes post-bac : brevet de technicient supérieur/BTS, classes préparatoires aux grandes écoles/CPGE, etc.). Et bien entendu, en étant prévenu du jour au lendemain. Est-ce vraiment raisonnable ?
Les cours proposés peuvent-ils dans ces conditions être de qualité ? On peut sérieusement en douter. Et cela malgré le fait que le TZR passera la semaine, souvent samedi et dimanche compris, à préparers es cours. Peut-on réellement penser qu'un enseignant décrouvrant totalement une discipline ne dépasse pas allègrement les 35 heures de travail règlementaire par semaine ? Sans avoir la certitude de pouvoir l'année suivante amender ses nouveaux cours puisqu'on lui demandera sans doute d'enseigner dans une nouvelle discipline encore. Et avec le risque de se voir reprocher les carences qui ne manqueront aps d'apparaître, rapidement, aux élèves et à leurs parents.

(...)

Même les activités qui semble à première vue les plus accessibles ne le sont pas vraiment. Ainsi le service en centre d'information et de documentation (CDI), de l'aveu même de nombre de rectorats confiant des services en CDI à des TZR non documentalistes, se borne souvent pour les TZR à ouvrir et fermer le CDI. En effet être documentaliste ne s'improvise pas (en rappelant que les documentalistes passent également un CAPES, donnant équivalence BAC+5).

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domino

mercredi, 20 juin 2007

Quelle journée !

Quelle journée passée devant mon ordinateur, sans rien y lire que des messages codés d'erreur et sans rien y écrire. En fait, ma journée aurait du se dérouler autrement : bien que je ne travaille pas le mercredi,  j'avais l'intention d' aller au collège ce matin continuer mes "dossiers de cdi' pour qu'ils soient rendus avant la sortie. (Journée portes ouvertes le 29, plus 3 jours de garderie en juillet.)  En attendant le collège est fermé de Vendredi à Mercredi suivant pour le Brevet. J'irai donc demain à la place de Vendredi. Les soirées de fêtes du collège, le fête du collège lundi soir dernier et la "distribution des prix" Vendredi d'après doivent sans doute servir à rattraper la deuxième demi-journée du lundi de la Pentecôte. Puisqu'on avait dit qu'on rattraperait la deuxième demi-journée en 2 soirées ! On avait rattapé la première moitié un mercredi après-midi avec divers conseils d'enseignement et d'établissement, et j'avais du sécher mes cours à l'université ce mercredi là pour rattraper la moitié du lundi de Pentecôte.

 Et mon exposition sur les Pays d'Europe du Nord et de l'Est, va se transformer sans doute en un simple cahier formé de  feuilles cartonnées reliées car on ne m'a pas prévu de salle. Quelqu'un d'autre va occuper le CDI, donc révision à l'économie de place et de papier. Le paper-board n'aura servi à rien.

Bon, je dis quelle journée, parce que mon ordinateur que j'ai commencé à regarder à cinq heures du matin est soudainement tombé en panne, à cause des mises à jours de Windows qui ne voulaient pas passer. Puis j'ai remarqué que les chiffres des fichiers contenant des erreurs contenaient toujours le mot TEMP et le mot WERE ou quelque chose de ce genre  et j'ai fini par trouver où ils étaient ! Mais comme l'ordinateur coinçait toujours une minute après l'avoir allumé, j'ai eu vraiment du mal à les enlever, au maximum deux par connexion (je ne parle pas de la connexion Internet, pendant tout un temps, il m'était impossible de taper le code d'entrée. Mon logiciel d'entrée était comme paralysé).

Vers 1 heure de l'après-midi, j'ai été faire la sieste, à chaque fois que je m'endormais, je pensais être l'ordinateur qui s'éteignait et je rêvais d'une page d'erreur. Puis je me réveillais aussitôt en me disant "Ah! L'ordinateur est rallumé. " Cela m'a fait ça plusieurs fois avant de piquer un somme.

Je suis redescendue et j'ai continué à réparer l'ordinateur. 3 fois la mise à jour de Windows "1 sur 5" a failli se faire, mais c'était long, très long, et çà s'éteignait toujours avant d'arriver au bout.

Puis tout à coup, vers 21 heures, après une journée complète d'efforts, je ne sais pas quel fût le miracle, mais j'ai réussi à entrer sur Internet, à regarder mon i-prof, pour voir si j'ai un poste autre qu'une zone l'année prochaine, mais toujours rien. Pourvu que cette situation d'être la bonne à tout faire de l'enseignement, ne dure pas jusqu'à ma retraite. Que je veux prendre à 65 ans, pour avoir le plus d'années possibles, soit dans 9 ans. J'espère que d'ici 9 ans, je serai de nouveau prof d'allemand, puisque l'on dit qu'on en aura besoin plus tard...(Je suis toujours prof d'allemand sur le papier, heureusement!) (Je reste sur ma zone de remplacement, si je n'obtiens pas ma mutation, puisqu'il s'agit d'une mutation conditionnelle. Je ne suis heureusement plus la dernière nommée sur la zone, si bien que pour d'éventuels changements de zone, je suis quand même protégée).

Bon, et l'ordinateur ? Comme je vous l'ai dit, il s'est remis en route, après s'être coincé une fois sur i-prof, il a fini par daigner se stabiliser, et c'est pour cela que je vous écris ici. Sinon, il n'y avait plus moyen d'écrire et sans i-grimoires à me metrre sous la dent, euh, pardon, sous les yeux, je ne vais pas les croquer vos i-grimoires, et bien j'étais triste... et sans petite pixie à regarder, parce que sans connexion Internet, je n'avais plus que quelques pixies imprimées avec mon i-grimoire. Mais je préfère le petites pixies virtuellement vivantes sur mon écran.

Bon, souhaitons que mon ordinateur tienne le coup maintenant et qu'il ne me fasse plus de farce. Je ne vais plus oser l'éteindre de peur qu'il ait du mal à se rallumer !

A bientôt.

domino

 

lundi, 28 août 2006

Pas de nouvelles (2)

Attention : cette note n'est pas terminée... (en relecture)

Je vous rappelle qu'un blog est un journal personnel et qu'il ne doit pas être considéré par l'administration comme un écrit officiel disant "Je veux ceci ou celà". Le fait que le personnel est l'officiel soit mélé ne dénote pas un manque de cohérence chez un auteur qui épanche ses sentiments. Si un rectorat ou un ministère découvrant mon identité me dit dans 10 ans, mais là vous avez écrit que..., je saurai lui en faire la remarque...

Vous savez que je n'ai toujours pas de nouvelles de mon rattachement (il ne s'agit même pas de mon affectation sur une suppléance puisque  les affectations peuvent même être données en cours d'année et du moment que vous avez fait votre pré-rentrée, on vous dit soit "Faites ce que vous voulez dans le lycée", soit rentrez chez vous et attendez qu'on vous téléphone ou qu'on vous envoie un avis d'affectation , c'est selon les proviseurs) , je suis titulaire de zone de remplacement (la même depuis 3 ans et pour cette quatrième année consécutive puisque je n'arrive pas à reprendre le poste fixe que j'ai occupé pendant 10 ans comme titulaire certifiée du poste, poste qui est dans ma zone de remplacement).

Rappel : je suis prof d'allemand, Titulaire en Zone de Remplacement, Titulaire du CAPES externe et de deux admissibilités à l'agrégation, donc officiellement bi-admissible à l'agrégation, ancien jury de BTS, ancien membre de commissions de choix de sujets de BTS et ceci pendant 8 ans. J'ai une cinquantaine bien sonnée, mais comme les fonctionnaires ont été mis pour la retraite au même rang que les autres, je dois 40 ans et 2 trimestres de services à mon ministère. Pour avoir toutes mes années, il faut que je travaille à temps complet jusqu'à passé 65 ans.

On a téléphoné tout à l'heure au rectorat, j'ai fait téléphoné par mon époux, car je sais que j'aurai une fin de non-recevoir, et au moins cela leur montre qu'il y a un témoin téléphonique :

Il a posé la question suivante (à mon avis erronée) :

"Est-ce que je peux être mis en relation avec le service des affectations?"

Je lui ai crié de loin que j'étais déjà affectée depuis 3 ans (cela va faire la quatrième année) sur la zone de remplacement et qu'il devait dire "chargé des rattachements".

Il n'a pas eu le temps de rectifier, on lui a répondu :

"Quel est votre nom?"

Il a dit :

Je l'avais prévenu : "Quand tu téléphones au rectorat, ne dis surtout pas mon nom, sinon on te raccrochera au nez ou on ne te donnera pas le bon service".

"Monsieur "domino" " (pas domino, bien sûr, vous comprenez que je ne peux pas dire mon vrai nom marital, connu à 50 km à la ronde, ici, car de par notre activité de professeur et nos activités associatives, jumelages, mes anciennes activités musicales amateur,- je n'en ai plus car on me les a reprochées - etc.. nous sommes connus à au moins 40 km à la ronde).

On lui a répondu :

"Dans quelle matière?"

Mais bon sang, je lui avais demandé de demander si les rattachements de TZR étaient déjà faits (d'habitude je reçois le papier à la mi-juillet), mais il n'y a décidément pas moyen de rester anonyme quand on téléphone au rectorat. Moi, j'aurais été sèche, j'aurais dit "Je vous donnerai mon nom après, quand je saurai si oui ou non, les rattachements administratifs des TZR on déjà été faits".

La personne au téléphone a dit :

"Je vais vous donner le service concerné"

Dring, dring, dring fait le service, je me demande pourquoi on n'entend plus le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi que le rectorat diffusait à qui mieux mieux jusqu'à cette année. Est-ce que mon époux téléphone au bon endroit ? Est-ce qu'on a pas redirigé le coup de téléphone. J'ai vu un jour quelqu'un monter à un mur vers des fils dans la rue, c'était peut-être seulement pour l'ADSL...

Dring, dring, fait le service, dring, dring , inlassablement, pendant 10 minutes, pas de Vivaldi. Pas de réponse non plus.

Je dis à mon époux, tu as fait une erreur, il fallait demander s'ils avaient déjà fait les rattachements sur les zones de remplacements.

Il y a une différence entre un rattachement administratif qui me permettra d'avoir mon salaire en continu à partir de septembre, dans quelques jours, (et que je nai plus à partir du premier septembre) , car c'est l'intendant du lycée ou collège de rattachement qui fait le salaire, et une affectation en zone de remplacement (qui elle, est définitive, c'est à dire ne peut être changée qu'à votre demande par demande officielle de mutation faite lors de la phase intra-académique), que j'ai déjà depuis quatre ans).

L'affectation en suppléance vient après et peut même venir après quelques mois; en attendant, selon votre proviseur, soit que l'on vous renvoie chez vous en disant, "attendez une suppléance", à ce moment-là vous vous sentez même si vous êtes titulaire, psychologiquement, comme une personne au chômage, " -,  soit que l'on vous donne carte blanche pour faire ce que vous voulez dans le lycée. C'est ainsi que j'ai fait pendant 2 ans un Centre de Ressources d'Allemand, qui coûtait trop cher à l'établissement bien que j'amenais de chez moi quasiment tout le matériel (classeurs, intercalaires, pochettes plastiques transparentes, rames de papier pour l'imprimante. Comme en fin de journée je remettais dans mon cartable le matériel amené de chez moi, payé par moi-même dont je ne m'étais pas servie, ils ont insinué que j'étais une voleuse).

N.B. Le Centre de Ressources Electronique mis en lien ici n'a jamais été fait au nom du rectorat, mais en mon nom personnel, et chez moi ; à un moment, ils proposaient au lycée de mettre le logo du lycée (de rattachement) sur nos sites; sur nos blogs, pourquoi pas, le rectorat  va se déclarer auteur de nos blogs à notre place ? On n'arrête pas le progrès ! Qu'ils ne m'en demandent pas les clefs, j'ai 10 blogs perso sur le même profil que mon Centre de Ressources d'allemand électronique et sous les mêmes clefs.

Je sais que dans un autre établissement un collègue qui était titulaire remplaçant, dans une autre matière, avait été accusé sans preuves ni poursuites officielles d'avoir volé au CDI. C'était de la médisance. Après mon inspection, je l'avais d'ailleurs écrit au rectorat, et ils ont employé ensuite contre moi, toutes les pratiques de harcèlement moral qu'on avait employé contre lui ou presque, pratiques que j'avais  dénoncées.

Après cette parenthèse, résumé :

Quand vous êtes TZR - titulaire en zone de remplacement - (avant on disait Titulaire Remplaçant"), il y a trois choses différentes :

1) Vous êtes affecté à titre définitif sur une zone de remplacement (comme moi, actuellement), (possibilités de sortie : demande de mutation annuelle intra-académique si vous êtes dans votre académie d'origine comme moi, et que vous n'avez pas envie d'en changer parce que vous êtes propriétaire de votre domicile conjugal et  vous seriez en perte fianancière, si vous deviez découcher pour aller travailler en payant un loyer ailleurs et qu'il n'a pas moyen quand vous êtes quinquagénaire d'obtenir de nouveaux crédits pour acheter un logement forcément plus cher qu'il y a dix-sept ans).

Parenthèse :

Quand vous n'avez pas encore d'affectation en suppléance et que les profs d'université qui  font cours pour l'agrégation interne vont dire au jury que vous n'avez pas de poste, ça vous hérisse le poil, parce qu'une affectation sur zone de remplacement est un poste aussi digne qu'une affectation sur poste-établissement. Quand ces profs qui ont été eux-mêmes profs de secondaire vous demandent toutes les semaines "Vous n'avez pas encore de poste?", ça vous hérisse encore plus le poil , parce que nommé en zone de remplacement,  vous avez un poste, une zone de remplacement est un poste. Et cela dénote un manque total de conaissance des conditions pour passer le concours d'agrégation interne "Etre ou avoir été fonctionnaire et avoir accompli 5 ans de services publics dans sa carrière, quelquesoit le moment où ils ont été accomplis". Elles ne sont pas les mêmes que pour le CAPES interne ou spécifique, etc....

2) En deuxième lieu, vous êtes rattachés à un collège ou à un lycée (ou à un LP pour les PLP-TZR, ce sont les titulaires des lycées professionnels), je suis TZR certifiée bi-admissible à l'agrégation, un grade au dessus de certifiée de classe normale, et juste avant la Hors-Classe. Donc, rattachable à des lycées ou collèges, mais plutôt à des lycées classiques ou polyvalents dans la mesure où je suis bi-admissible à l'agrégation, et où j'ai fait pendant 10 ans partie des commissions de BTS, etc... C''est  l'intendant du lycée de rattachement ou l'agent comptable du collège de rattachement qui fait votre salaire (selon votre grade et votre échelon quand même!) (et non pas celui de votre lycée ou collège d'affectation), c'est le proviseur ou le principal de rattachement qui fait votre note administative. c'est votre lycée de rattachement qui gère tout le courrier qui vous vient du rectorat et si le collège d'affectation en suppléance vous fait signer des papiers carrières autre que votre affectation en suppléance elle-même, les papiers concernant une demande de mutation par exemple doivent être signés dans votre lycée de rattachement et pas dans votre établissement d'affectation s'il est différent. Vos arrêts-maladie doivent être envoyés dans l'établissement de rattachement avec à la rigueur une piqûre de rappel pour l'établissement d'affectation -une photocopie par exemple -, cela m'a sauvé il y a deux ans et demi alors que mon collège de suppléance avait prétendu ne pas recevoir mon arrêt maladie de quelques jours  (je lui en avais envoyé un double). Heureusement que le lycée de rattachement avait été honnête et avait fait parvenir les papiers au rectorat. Si tout se passe bien sur vos suppléances, il ne reçoit aucune information et met l'appréciation de l'année précédente, si vous avez une classe sur six qui ne marche pas, ou un parent d'élève qui râle parce que votre méthode est différente de celle du collègue que vous remplacez (même si elle est plus proche de ce qu'exigent les inspecteurs),  votre collège ou lycée d'affectation fera un rapport sur vous pour votre proviseur de rattachement et votre  appréciation empirera. Si vous faites une demande de révision de l'appréciation, vous recevez un papier "Votre demande est irrecevable".

3) En troisième lieu, vous êtes affecté sur une suppléance, c'est là que ça se complique, car selon les années, les secrétaires du rectorat qui font votre affectation et ne connaissent pas votre statut, vous recevez des avis et des arrêtés d'affectation qui sont mal rédigés, qui ne comportent pas votre nom de naissance (gênant quand vous avez des homonymes de votre nom marital) et aussi des avis d'affectation dans d'autres matières ou comme CPE, refusez les, si vous êtes bi-admissibles à l'agrégation ou agrégés, c'est que vous êtes de grands spécialistes de votre matière. Ce n'est pas pour rester dans un bureau à répertorier les absences de la moitié d'un lycée. Quand j'ai été nommée TZR, je pouvais choisir entre des remplacements de longue et de courte durée... j'ai choisi des remplacements de courte durée (de 3 semaines à 6 mois), en pensant en avoir beaucoup, qu'ils allaient être variés et connaître de nombreux établissements interessants où je serais bien accueillie, pour l'accueil cela dépend, il y a des endroits où ça se pose là...). J'ai été déçue, la première année j'ai eu une suppléance de cinq mois dans un collège pour remplacer une colègue de 40 ans qui allait avoir et a eu un bébé. Donc, dix ans plus jeune que moi, et certifiée par concours interne (alors que 'j'étais certifiée par concours externe et une fois -maintenant deux fois - admissible à l'agrégation interne. donc, moins gradée mais mieux considérée que moi, car j'étais  deux ans auparavant jury de BTS (enseignement supérieur +2) depuis  8 ans (je relève toutes les incohérences administratives).

Je trouve que lorsque l'on fait une suppléance les principaux et proviseurs devraient quand même faire taire les parents en disant à ceux-ci, c'est un professeur qui a été titulaire de postes fixes pendant plus de 20 ans, je n'avais pas commis de faute professionnelle, donc, il n'y avait pas de raison de me laisser enfoncer par des parents localement influents dès ma première suppléance de TZR. Il y a des professeurs -surtout en allemand- qui se retrouvent TZR par suppression budgétaire  de leur poste alors qu'ils ont été titulaire d'un poste lycée et "pilier de lycée"  pendant des années. Lorsque je suis arrivée pour la première fois dans mon lycée de rattachement une collègue que j'avais eu auparavant sur poste fixe dans le lycée où je suis restée 10 ans a ouvert des grands yeux :"Mais, comment, tu es devenue remplaçante, toi un pilier du lycée "truc-chose?".  Et des  anciens élèves m'ont dit :"Mais, vous êtes devenue remplaçante, mais vous n'étiez pas titulaire?" parce que qui croient que tous les remplaçants sont auxiliaires. Et même de jeunes collègues qui ont eu la chance d'avoir un poste établissement dès leur première nomination de titulaire aussi... comme moi dans les années 70. C'est aussi peut-être pour cela qu'ils ont essayé de me faire partir dans une autre académie, alors que je suis née et que j'ai fait mes études dans cette académie jadis déficitaire en profs d'allemand. Pour qu'on ne puisse plus s'étonner du fait qu'une ancienne titulaire, qui est en réalité une vraie titulaire puisse être reconnue par ses anciens élèves et collègues comme une ancienne bonne prof et un ancien pilier de lycée (qui n'a rien à voir avec un pilier de bistrot, rassurez-vous, je suis anti-alcoolique et je n'ai pas consommé une seule goutte d'alcool deuis l'âge de 18 ans, par oposition à mon père, mais je l'en remercie... qu'il me sourie de sa tombe).

Voilà, après cette deuxième parenthèse, il paraît que dans mes dissertations d'agrégation, il y a de très nombreuses parenthèses, mais il n'y en a pas, je connais et j'applique très bien la technique de dissertation dans mes dissertations, mais cette réputation m'est due à mes écrits sur ma carrière, et non à mes dissertations.

Revenons à nos moutons...

Donc, comme le bureau appelé par la standardiste du rectorat, ne répondait pas, la standardiste est revenue au bout du fil... (il était environ 16h 20), celle-ci a dit, je vais vous donner le n° de téléphone de la personne qui s'occupe des afectations en allemand (mon époux avait dit affectation au lieu de rattachement), bla-bla-bla, je ne vais quand même pas vous donner son n° de Tel. sur INTERNET, quoique, vous pourriez faire le siège de son téléphone en disant "Et le rattachement de domino?"

Quand mon époux a raccroché, je lui ai dit qu'il s'était trompé entre le mot d'"affectation" et de "rattachement", comme la prof d'agrégation qui me hérissait le poil il y a deux ans.

Il a donc rappelé et après avoir appris la phrase presque par coeur (ça me fait penser au Da Vinci Code, mais ici, ce n'est pas un mensonge...) et a dit : "Je voudrais parler à la personne chargée des rattachements administratifs de TZR".

Même topo, pas moyen de rester anonyme dans ce rectorat, "De la part de qui? "(elle n'avait même pas reconnu sa voix), et "En quelle matière?". Pourtant le rattachement administratif ne dépend pas de la matière. et on ne peut pas parler de mauvaise répartition des TZR dans une zone, parce qu'il y en a plusieurs dans le même lycée, ils peuvent travailler dans des endroits différents, donc attendre la rentrée pour faire votre rattachement est abusif.

Bon, on continue... La dame dit "Je vais vous passer la personne chargée des rattachements..."  Même topo ... Dring... Dring... Dring... Même pas le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi, qui est habituellement en musique d'attente au rectorat, que j'ai joué par le passé à la guitare, en duo avec une amie, l'ancienne femme de mon ancien prof de guitare que j'aime bien tous les deux, mais ils ne s'aiment plus entre eux. Pas le concerto pour 2 mandolines de Vivaldi, est-ce vraiment le rectorat ou l'appel téléphonique de mon époux aurait-il été détourné ?

Retour sur le standard...  Je vais vous donner le n° de la personne chargée de faire les rattachements administratifs. Il est 10 mn plus tard que tout à l'heure. Mon époux appelle le n° en question :"Dring, Dring, Dring, pas de réponse...

Il n'était pas encore 17 heures, donc, soit les personnes ont quitté leur bureau à l'avance, soit c'est une fin de non-recevoir, à quelqu'un qui par le passé (1995-2002) a rendu de nombreux services aux commissions d'examen du rectorat : c'est en particulier mon époux qui germanophone par sa mère prenait une grande part aux enregistrements de sujets oraux sur cassettes, pour la commission dont je faisais partie (avec l'aval de l'inspecteur d'alors).

S'il avait dit :"Je vous appelle de la part de tel syndicat", la personne aurait été là.

Je vais vous dire une chose, le harcèlement moral dont je suis victime, n'est pas du à des opinions politiques puisque comme je vous l'ai expliqué dans l'article "la politique à domino", j'estime que la politique ne devrait pas être une affaire de partis, mais de personnes (élues) vouées au bien de la cité ou de l'état.

(Affaire à suivre...)

domino

J'ai de nouveau un "keylogger" sur mon ordinateur, car je n'arrive plus à  bien taper les "p", ma touche bloque. Je me demande où est l'utilité d'enlever le "p" dans cet article dans la mesure où le "p" ne sert pas pour écrire TZR. Le "keylogger" est toujours là, je le sens dans mes touches.... il a changé de touche, c'est le "m" qui est devenu tout mou, en tout cas, si le "keylogger"  cherche un bon texte littéraire, celui-ci ne fera pas annale dans la littérature française ! A la rigueur pourra-t-il être considéré comme un article journalistique moyen, mais le journal intime est aussi un "genre littéraire". Ai-je supprimé le "keylogger", même pas, supprimer les fichiers temporaires Internet et les Cookies n'a pas suffit.. Je le sens toujours dans mes touches qui sont plus dures que d'habitude. J 'ai remis les "p" qui manquaient, quand c'est comme cela, il y en a qui vont mettre leur ordinateur en réparation...pas moi, j'arriverai à régler le problème.

Dans mon ancien lycée, celui où je suis restée dix ans, j'avais un collègue qui était agrégé et lorsque je suis devenue TZR, il me disait "Je ne comprends rien aux histoires de remplacement". Pourtant moi, je comprenais quand j'étais titulaire ce qu'était les titulaires remplaçants qui sont devenus TZR et les titulaires académiques qui n'existent plus. C'est peut-être à cause de sa grande intelligence d'agrégé qu'il ne comprenait pas, peut-être que quand je deviendrai agrégée je ne serai plus intelligente, mais il était apparemment d'extrême-droite.  En tout cas, dès que je suis devenue TZR, il a voulu ignorer complètement ce qu'était les remplaçants les reléguant au statut d'auxiliaire (il y a des TZR agrégés).

Je vais relire pour remettre les "p" et autres lettres qui manquent encore....

Je sais que chez HAUT et FORT il y a beaucoup de professeurs et aussi des TZR et des auxiliaires, et je voudrais que ceux-ci m'indiquent en commentaire :

- S'ils sont auxiliaires, s'ils ont déjà leur rattachement administratif (je suis titulaire et je suis d'avis que ce n'est pas normal que des auxiliaires aient leurs rattachement avant leur collègues titulaires et je pense que les auxiliaires le pensent aussi).

- S'ils sont tzr, si leurs rattachements administratifs sont déjà faits. Pour voir si je passe après les autres...

- Qu'ils me précisent alors,

. s'ils sont nouvellement nommés dans l'académie, (les professeurs en poste depuis longtemps dans l'académie doivent à mon avis avoir leur rattachements administratifs avant les nouveaux surtout si'ils n'ont pas changé de zone).

. s'ils sont depuis longtemps dans la même zone de remplacement.

Idéez en vrac

De toute façon, j'ai l'impression que le rectorat retarde toujours le moment où il me donnera mon rattachement administratif, que en tant que titulaire je devrais avoir depuis le mois de Juin, et même depuis 3 ans (J'avais d'ailleurs eu un rattachement définitif, il y a trois ans qui a été transformé en rattachement provisoire) pour me déstabiliser avant la rentrée et m'empêcher de bien aborder celle-ci.

Et SURTOUT ne me rapprochez PAS de la MEDECINE PREVENTIVE DU RECTORAT ni de l'INFIRMERIE d'un LYCEE, ce sont des médecins du rectorat qui ont mis fin à ma carrière de jury de BTS, il y a 4 ans, en accord avec l'inspecteur, alors que le proviseur du lycée où je venais d'interroger les BTS était très content de mes interrogations.

Si à cette époque là, j'avais su que les blogs existaient, j'aurais pu écrire tout ce que j'ai ressenti du harcèlement MORAL dont j'ai été victime et les choses se seraient peut-être déroulées autrement, car certaines personnes qui agissent soi-disant pour aider les autres ou pour leur bien, auraient compris qu'ils agissent pour le malheur des autres.

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C'est pareil pour ma mère, en la persuadant qu'elle devait aller en maison de retraite parce qu'elle n'avait pas de mémoire (la mémoire du temps, attention, depuis que je lui ai appris à tenir un calendrier elle sait toujours mieux que moi quel jour on est !), mon frère et ma tante ont agi pour son bien et ma mère retourne à pied voir sa maison dont ils ont pris la clef (malheureusement je ne l'ai jamais eue) et va voir ses voisines. Ma mère n'est pas enfermée, elle est dans une maison de retraite et pas dans une maison de fou, là où mon frère voudrait bien l'enfermer.

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On ne peut pas me rattacher par exemple dans la zone de D.  qui est à 170 km de la zone de M. - ... où j'ai mon poste zone (même si on peut me donner à la rigueur une suppléance courte là bas -avec logement en plus ? -  bien que D. soit dans le même département, puisqu' on doit être rattaché dans sa zone, sinon, c'est ouvrir la porte à tous les abus, C'est peut-être bien quand on est jeune (avant l'âge de 40 ans environ).

Bien sûr, le nouveau recteur dira, qu'il a trois ans de plus que moi et que lui a changé de place souvent, mais il l'a fait pour avoir une promotion. Or, quitter une zone dans laquelle on a été pilier (sur poste établissement) du même lycée pendant 10 ans, pour faire des remplacements dans un collège de ZEP, quelle promotion ! Si on me nommait professeur des universités, alors pourquoi pas ?......

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(Au fur et à mesure que je me relis et que je corrige, il y a toujours de nouvelles fautes qu'y s'ajoutent :  j'avais écrit à un endroit "j'aurais", une minute plus tard je regarde une deuxième fois, il est écrit "j'aurai", à un endroit où je viens de regarder, il est écrit "ont", je regarde une deuxième fois et je vois "on". Décidément les fantômes informatiques ont (avec un -t) de drôles d'idées...)

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......Je sais que on cherche toujours à me nuire à partir d'un souhait vaguement émis, d'un souhait en l'air, que je risque de recevoir d'ici peu un papier, vous êtes nommée  à Tahiti professeur des universités ou rectrice, ben, oui, quoi, vous aviez écrit sur votre blog que.... un blog n'est pas un écrit officiel, M'Sieur l'ministre et mon mari certifié par liste, jamais admissible à l'agrégation, travaille sur poste fixe dans ma zone de remplacement actuelle.......

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(Cela fait une heure que je relis, et il y a toujours des fautes qui se mettent où il n'y en avait pas avant. Sur le traitement de texte de mon site, je n'ai que des lettres d'une taille minuscule, il n'y a pas moyen de changer la taille. Si je mets des lunettes pour voir de près, ça rend un écran déformé.)

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A propos des professeurs d'université, il y  a ceux qui voient sur votre affectation (les listes à signer pour la préparation d'agrégation interne qui passe dans les rangs) LPO qui veut dire lycée polyvalent, et ils croient que vous êtes en LP (lycée professionnel) , il y a deux ans ils ont renvoyé un PLP de LP (lycée professionnel) inscrit à la formation en lui disant qu'il n'avait ni le niveau (peut-être aussi ni le statut requis) parce qu'il était PLP, or c'est faux, un PLP a le même statut qu'un certifié et peut se présenter à l'agrégation interne. A coté de mon nom était écrit LPO (lycée polyvalent,  = classique et technique), ils ont du confondre avec LP, mais même si j'avais été PLP, ils auraient du m'accepter (Et oui, j'ai eu aussi des ennuis à l'université dans ma préparation d'agrégation interne il y a deux ans , et pourtant j'ai eté cette année-là la seule admissible de ceux qui suivaint assidûment la préparation à l'interne).

Mon inspecteur avait dit dans mon inspection du printemps 2002 "je vois l'avenir très noir pour vous..." . S'il m'avait laissée tranquille sur le même poste où j'étais depuis 10 ans, l'avenir aurait été rose pour moi, mais en me faisant partir de là, il a fait devenir mon avenir administratif  noir, comme le tableau noir dont il parlait, et qui était vert... - Il y a certainement une symbolique là-dessous -, mais de toute façon mon inspecteur était voyant par rapport au malheur qu'il a provoqué ....

domino