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dimanche, 02 janvier 2011

Meilleurs voeux

Mon interface m'appelle en me disant "Meilleurs voeux"! Quelle interface gentille. A côté de toutes celles que j'ai rencontré dans la journée.... L'interface de Haut et Fort me souhaite "Meilleurs voeux". Alors, moi, je souhaite Meilleurs voeux à l'équipe de Haut et Fort, à tous les Hauts et  Fortiens (les bloggueurs, vous m'avez comprise) et à tous les lecteurs : Meilleurs voeux.

 

domino

 

(et ses personnages de roman théâtre, Doofie et Schnelly et tous leurs amis.)  quant aux petties pixies et à Eliot, personne ne sait ce qu'ils sont devenus, car leurs cahuttes restent désespérément vides, mais on croit savoir que la petite pixie et Eliot file le doux amousr sous les tropiques...

mercredi, 08 septembre 2010

Retrouvés...

(suite)

Doofie continue à écrire dans son journal (Doofie est un personnage de théâtre) :

Excuse-moi de te déranger de nouveau, chère correspondante imaginaire, déjà, j'étais à peine en train de l'écrire que le bruit aigu de perceuse ou de scie à métaux a cessé dans la maison d'à-côté. A un moment où j'y repensais, le bruit est revenu beaucoup plus loin.

Mes bourdonnements d'oreille ont cessé. Juste que j'éntends le même bruit beaucoup plus loin dans la ville, semblant provenir d'une usine.

J'ai retrouvé toutes mes revues coup sur coup. La première dans un emballage près de la porte d'entrée, je dois dire que j'avais regardé déjà plusieurs fois dedans ce matin et qu'elle n'y était pas, c'est la revue d'informatique.

J'ai retrouvé les revues de randonées et sur les voyages régionaux dans l'escalier, mais pas sur le palier. J'avais préparé quatre tas de revues et livres à monter (rassurez-vous, l'escalier est assez large et on ne tombe pas, on fait attention...),  mais ces revues là je les avais laissées en bas, Schnelly m'avait dit qu'il les avait mises sur la quatrième tas, dans le coin du palier...  mais elles étaient à l'intérieur du deuxième tas, sous des choses plus anciennes... quelquefois quand je ne trouve plus quelquechose, il suffit que je soulève quelque chose à l'endroit où je les avais mises pour les retrouver, car Schnelly renverse parfois l'ordre des tas. Et il prend souvent des papiers plus anciens, pour les remettre au dessus des papires plus vieux et moi je ne pense pas qu'ils peuvent être au-dessous des papiers plus anciens, car je me dis, ces papiers là, ça fait longtemps que je n'y ai plus touché, donc, ça ne doit oas être là.

A moins que ce soit St Antoine de Padoue qui ait remis les objets en place, car quand j'étais petite, il fallait faire une prière à St Antoine de Padoue si on ne trouvait plus quelque chose et c'est vrai qu'on les retraouvait tout de suite après la prière.

En fermant les yeux -j'ai failli m'endormir en écrivant juste maintenant, et quand je m'endors en plein jour, j'entre directement en phase de sommeil paradoxal, celui où il y a des rêves - j'ai rêvé d'un peit homme, couleur et genre statue de l'île de Pâques, mais tout petit et vivant, qui essayait de ma parler, il était dans un champ de blé, sur la droite, et le ciel était bleu. Je me suis réveillée alors que ma tête commencait à s'incliner dangereusement vers le clavier de l'ordinateur et je me suis demandée ce que cet homme vu en rêve a voulu me dire. Au début il avait l'air méchant, il parlait mais en silence, puis il s'est radoucit.

Bon, domino m'a permis d'écrire sur son blog, mais je sis peut-être un peu trop longue encore. A bientôt, mon intermocuteur imaginaire;

Doofie

........................;;

Ah que mon personnage devient bizarre, elle rêve maintenant.... Mais continue à écire, Doofie, je ne t'en emêche pas...

domino

(Toute ressemblance...; fortuite)

domino

 

 

Le faux Schnelly...

Doofie, mon personnage de roman-théâtre, écrit dans son journal :

Je suis persuadée qu'en ce moment, c'est le faux Schnelly qui est là...  Le changement s'est opéré lundi dans la journée. La semaine dernière, Schnelly était allé chez le coiffeur, avant d'aller dans son deuxième établissement. Depuis qu'il travaille dans ce deuxième établissement, Schnelly va chez le coiffeur se faire couper les cheveux et tailler la barbe, parce que il n'a plus la patience d'attendre que je le fasse moi-même.  En effet, dans son deuxième établissement, on a dû lui faire des remarques sur ces cheveux, avant,c'était moi qui lui faisait, car quand il revenait du coiffeur, je trouvais toujours qu'il avait un air bizarre, leurs coupes ne me convenaient pas. Il faut dire que Schnelly semble avoir trouvé un bon coiffeur qui ne rase pas sa tête, quand il s'agit simplement de racourcir les cheveux, et qui ne coupe pas sa barbe à ras et ne la rend pas piquante.

Mais d'un seul coup dans la soirée de lunid, sa coupe et sa tête ont changé, et même si ce deuxième Schnelly, le faux Schnelly, semblait avoir suivi un régime amaigrissant pendant les vacances, il n'était plus le même lorsque je l'ai rencontré dans ma gare de départ du retour où il venait à ma rencontre. Ses cheveux était coupé derrière selon une ligne horizontale qui dégageait un long coup surmonté d'une tête pas très haute en forme de ballon de rugby posé horizontalement, alors que le vrai Schnelly a le ballon de rugby posé verticalement sur le cou.

PAr la même occasion, il a commencé à se moquer plus ou moins de moi, il s'est passé quelque chose de bizarre dans le train, et même avant. Avant comme il y avait du bruit dans la gare, il a crié dans mon oreille et ça m'a fait mal au tympan. Sur la route, le train a fait à un moment un drôle de bruit, on a eu l'impression qu'il arrachait les arbustes sur le côté, enfin, le bruit, ça faisait cet effet là. Et Schnelly, qui minimise tout, et surtout tous les dangers, a dit : "C'est du bruit à l'étage, il y a des gens qui ont fait tomber quelquchose là-haut". En effet, c'est un un train à impériale. Ensuite le train s'est arrpeté doucement. "On est à une gare!" a claironné Schnelly. Non, on était arrivé en pleine campagne. Puis une controleuse a dit dans le haut-parleur (pourtant c'était un contrôleur et pas une contrôleuse qui avait vériféi les billets ou plutôt les cartes mensuelles) : "Le train fait un arrêt imprévu de cinq minutes car il y a un obstacle sur la voix. Je vais passer demander aux passagers s'ils ont une correspondance à prendre". Plus de cinq minutes après... je ne sais pas si c'était dix minutes ou une demi-heure, le train a redémarré.

En arrivant à la maison, j'ai demandé à Schnelly (le faux Schnelly) : "Au fait, qu'est ce que c'était cet obstacle sur la voix, tu en as une idée?" "Cétait des ruches!" a répondu Schnelly. Des ruches? Je me suis demandé s'il s'est moqué de moi. Oui, mais si c'était des ruches devant le train, comment se fait-il qu'on a entendu du bruit sur notre wagon qui était en queue du train?" "Et qu'est ce que c'était, ces branches qui ont frôlé le train?" "Les branches.... C'étaient les bouts de bois des ruches... et le bruit sur les toits, c'était les ruches qui ont valsé sur le train..." "Jusque sur le dernier wagon?" " Ben oui, le train il a foncé dedans, ça les a envoyé loin?" "Comme quand tu as vu des vaches passer en volant devant les fenêtres d'une micheline, mais là tu étais dans le premier wagon... " (Un incident que Schnelly avait vécu, il y a pas mal d'années, quand la micheline est rentrée dans un troupeau de vaches... ) "Mais coment tu as su que c'était des ruches..?" "Je me suis levé et j'ai demandé à la contrôleuse..." "Tu t'étais levé, je ne l'avais même pas vu"  répondis-je perplexe.

Mon tympan gauche, celui dans lequel il avait crié, commençait justement à émetre des bourdonnements. Tiens, à propos de ruches et d'abeilles, mon oreille gauche bourdonne.." Et tiens, j'avais dit en parlant à une étudiante cette après-midi que dans la lycée où elle avait étudié, le CDI était une véritable ruche (entendez par là, beaucoup d'élèves bavardaient et les documentalistes ne pouvait pas les en empêcher, car il était très grand!). Coïncidences, ou Schnelly (le faux) a-t-il inventé quelque chose?

Bon, hier soir, je ne trouvais plus les lunettes pour voir de près. Elle avaient disparu en dessous d'une pile d'autres choses. Mais je me méfie un peu, car le faux Schnelly fait semlant de chercher avec moi ce que je cherche et tout à coupe je décèle un geste très rapide, lors duquel il remet la chose en place.

En fait je n'ai besoin de ces lunettes que pour voir les lettres extrêmement petites, plus petites que celles que j'écris ici, au moins le tiers de leur taille. Et je cherchais également des revues que j'ai achetées lundi et mardi : la revue d'informatique de Madi (je sens que si je dis le titre, elles vont disparaître des kiosques à journeaux de ma région, grâce à des harceleurs..) et la veille, j'avais un sachets complet de revues de voyage, je les ai déjà cherchées la veille au soir (je les ai mises sur la palier de l'escalier, a dit Schnelly, quand je les ai cherchées. Pour les revues de voyages (je sens aussi qu'il ne va plus y avoir de revues de voyage dans les kiosques à journeaux qui sont sur ma route, car à chaque fois que je parle d'une revue dans mon jouirnal, elle disparait ensutie des kiosques, où bien elle fusionne avec une autre, comme ces deux revues de guitare classique qui otn fusionné ensemble, alors qu'elles avaient chacune leur originalité et leur caractère propre)  j'ai déjà remarqué que parfois je les cherche pendant deux ou trois jours sans les trouver et elles reviennent brusquement, mais quand je les regarde de nouveau les photos  sont floues. Si j'en fait la remarque devant Schnelly (en principe s'il répons comme cela, c'est le faux Schnelly...) "Mets tes lunettes!" Pourtant deux ou trois jours avant, même sans lunettes, les photos des revues étaient nettes. Cela m'est déjà arrivé avec mes photos quand je faisais de l'argentique. Elles revenaient impeccables de chez le photographe, et quand je les reprenais quelques jours plus tard, elles étaient devenues floues, le brillant de mes yeux avait disparu, si c'était moi sur les photos, etc...

Alros, j'ai compris la tactique : faire disparaître les lunettes pour voir de près... refaire faire (avec une excellente photocopieuse par exemple, par des faussaires de revue) les revues plus floues, et dire : "Tu vois bien que tes lunettes ne vont plus (ou si on ne les a pas retrouvées : que tu dois aller chez l'ophtalmo pour en refaire faire), et qu'il faut aller chez l'ophtalmo t'en refaire faire d'autres".

Cacher les affaires c'est aussi apparemment, ce que certaines personnes avaient fait à ma mère, qui un mois auparavant avait fait le jardin avec moi... ma mère qui surprise avec son talisman à la main, un mouchoir dans lequel j'avais saigné du nez un an auparavant, s'est retrouvée à l'hôpital et parce qu'elle affirmait en plus se souvenri avoir saigné du nez - et pour cause! - a été déclarée Alzheimer. Cacher les affaires et dire que je perd la mémoire. M'empêcher d'aller à mes cours de langues rares pour que je ne puisse pas aligner encore deux mentions bien ce qui prouve de trop que j'ai encore de la mémoire. Me mettre des rangées de 0 en devoir de Master pour prouver que mes raisonenments ne tiendraient plus debout. Mettre des 1/20  à mes dissertations d'agrégation pour prouver que mes raisonenments ne tiennent pas debout.

 Bon, des ouvriers font des bruits très aigus dans la maison voisine, encore un truc qui vibre dans mes oreilles et va me rendre sourde.

Ce matin j'ai bien cherché les quatre ou cinq revues disparues : introuvables, j'ai regardé sur le palier de l'escalier et partout où j'ai été avant : I N T R O U V A B L E S! la seule revue du genre qui reste est celle que Schnelly a acheté lui-même. Toutes les autres ont disparu! Certaines ne seront peut-être plus en kiosque quand j'essaierai de les racheter. Les revues aux photos plus flous, c'est peut-être la deuxième édition que Schnelly achète ensuite. Ma mère a travaillé étant jeune dans la photographie et je sais faire la différence entre une photo bien nette et une photo légèrement floue et je n'aime pas les photos floues. D'autant plus qu'à force de voir du flou, cela brouille la vue.

Un paysage peut-être caché par de la vraie brume... c'est différent, c'est joli des photos avec de la brume, mais, tout comme ma mère,  je n'aime pas les phtotos floues. Et je vais devoir réacheter une deuxième édition de mes revues, floues? Ou bien ne plus les trouver du tout et pour celle dont j'ai tous les numéros depuis le premier numéro, il va m'en manquer un? J'ai une âme de collectioneuse et quand il me manque un numéro dans une collection, ça me perturbe.

J'avais ces revues lundi matin quand je suis allée au collège, je les avais achetée sur la route, mais je les avais encore en revenant...

Bon, je vais arrêter là mon journal pour aujoud'hui, domino va trouver que je prends beaucoup de place sur son blog.

Doofie

......................................

Mais non, Doofie, contiue à écrire si tu veux, car je ne te limite pas en place...

(Toute ressemblance avec la réalité...    ...fortuite)

(A suivre)

 

domino

 

 

 

 

10:20 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 05 septembre 2010

Plagiats et statistiques

Après avoir lu ce que font certains auteurs à la mode (j'avais déjà décelé cela chez des chanteurs auteurs compositeurs et non des moindres en ce qui concerne les paroles et aussi la musqiue (il faut se méfier de ceux qui ont le mot pirate dans leur nom. .. co on se demande pourquoi on a parfois des statistiques aussi élevées, nous qui créons sans percevoir de droits d'auteur sur nos écrits...

Et bien, tout simplement ceci :

Des auteurs très connus, des auteurs à succès de librairie, viennent copier dans nos blogs et sur Internet (par exemple sur Wilkipédia) la substantifique moelle de leurs écrits.

Je ne sais pas si on a copié sur moi... mais toujours est-il que lorsque je vois que quelqu'un a tourné 300 pages de mon i-grimoire en une journée, je m'inquiète un peu.

Est-ce que cet intérêt démesuré pour mon petit i-grimoire est vraiment désintéressé. Où y a t-il quelque personne qui compulse mes écrits pour en copier des pages entières dans ses livres, comme un auteur connu copie ses descriptions scientifiques ou géographiques sur Wikipédia, sans indiquer sa source. Bien que son nom est été publié en long et en large aujourd'hui sur Internet, je ne publierais pas son nom, mieux vaut se méfier des  informations peut-être fausses, Sans compter que certaines personnes douées d'une excellente mémoire peuvent sans s'en rendre compte ressortir un cours lu une ou deux fois, lors d'un examen, sans savoir exactement d'où cela vient. Je me souviens par exemple avoir ressorti lors d'un oral d'agrégation dans ma situation historique du texte, presque textuellement le cours du CNED que je n'avais lu que deux fois, et ceci bien sûr, sans l'avoir à ma disposition. Je m'en suis rendue compte en relisant mon brouillon chez moi  après avoir vérifié ce que j'avais dit (dates,etc..) dans le cours à tête reposée chez moi. Et je n'avais même pas appris cette  partie du cours (qui n'était pas l'introduction du cours d'ailleurs), mais seulement lue et lorsque j'ai écrit mon introduction, j'essayais de me rémémorer les passages de cours qui pouvaient me servir et je les voyais en pensée exactement où ils étaient, sur la page de droite ou de gauche, au milieu, en bas ou en haut de la page.... au début ou à la fin d'un paragraphe. Bien sûr l'analyse de texte qui suivait ne pouvait pas être du par coeur sans apprendre.

L'auteur incriminé de plagiat peut aussi se souvenir de phrases par coeur après les avoir lu deux ou trois fois dans les recherches qui ont servi à écrire son livre.

Sachant que lorsque cela m'intéresse, je peux retenir des morceaux de cours ou de livres par coeur (mais par contre, je ne sais faire aucune citation littéraire apprise exprès pour être apprise et recitée, parce que je ne retiens pas quand je me force à apprendre),  je ne vais jamais aux toilettes pendant une dissertation de 7 heures et je sors épuisée d'être restée 7 heures sans bouger au même endroit, pour ne pas être accusée de tricherie aux toilettes. A notre table, on est bien surveillée.

Lors de mon deuxième oral d'agrégation, alors qu'au mois d'avril il faisait très chaud dans cete ville du sud, un monsieur par ailleurs très gentil n'arrêtait pas de me servir de l'eau et de remplir mon verre d'eau quand il était vide, pendant la préparation en me disant qu'il fallait boire pour s'hydrater, j'ai été obligée d'aller aux toilettes avant le pasage devant le jury, pour me sentir à l'aise, accompagnée de ce monsieur, jusqu'aux toilettes situées de l'autre côté de la cour.

Bon, revenons à nos i-grimoires et blogs, comment croire quand on voit que quelqu'un a consulté 380 pages dans la même journée, que c'est réellement un fan incondittionel? Peut-être que dans dix ou vingt ans ou trente ans, je vais retrouver -si je vis encore, car je commence à veillir - retrouver Doofie ou Schnelly ou Dummie avec un autre nom, dans l'un des romans que je lirai,  mais prononçant les mêmes paroles.... si ce n'est déjà fait...

Maintenant si je porte le même prénom que la femme de l'auteur en question, sachez que je ne suis ni sa femme, ni lui-même.

En lisant un autre livre récemment, j'ai vu qu'il y avait de grosses allusions à Milan Kundera et au triture "L'insoutenable légèreté de l'être" bien que c'était Cioran qui était cité dans le livre, mais on peut faire allusion à un auteur sans le copier mot à mot, c'est ce qu'on appelle l'intertextualité. Paul Celan avait été accusé de plagiat par la femme d'un ancien ami, poète décédé, mais  ce n'est pas lui qu'il avait le plus cité en intertextualtié, mais Rose Ausländer dont il reprenait des images complètes, voir des vers complets en les agençants d'une autre façon, mais c'était une amie à lui... et ils sont toujours restés amis.

Pour Doofie, Schelly et Cie, le problème est que c'est légèrement autobiographique et que par le fait même que c'est légèrement autobiographique, je pourrai toujours prouver qu'il s'agit de moi à qui cette chose (quelle chose, demande le lecteur? Telle ou telle chose, peut-importe...) est arrivée.

Le fait que parfois, mais ceci se produit de moins en moins depuis que H et F a amélioré le système d'enregistrement des notes, quelqu'un m'espionne (à partir de mon réseau WiFi par exemple, car celui-ci émet en dehors de ma maison (je reçois aussi sans m'y connecter - d'ailleurs je n'en connait pas les codes, et je ne m'y connais pas assez en informatique pour les déjouer - les ondes WiFI du voisinage), le fait que parfois mes notes tombent au moment de leur publication alors que je ne les ai pas encore sauvegardées, ou le fait que des fautes d'orthographe s'ajoutent au dernier moment sur un texte écrit sans faute, me laisse penser que je suis espionnée pour me voler ma propriété interllectuelle avant sa publication sur Internet. Des mobylettes et des voitures arrivent souvent devant chez moi une minute après que j'ai  mis ma box en route et repartent juste après que j' ai éteint ma box, peut-être pour profiter de ma connexion, ou pour espionner sur mon WiFi. Bien que je sois branchée par câble, ils peuvent espionner à partir de la box qui émet à l'extérieur. Celui qui vient à mobylette vient de deux ou trois rues au-dessus, et doit recevoir le signal que mon WiFi s'est allumé avant de se mettre en route et il se rapproche de ma maison même la nuit, enfin, il se rapprochait, car actuellement, je ne l'entends plus...

Ceci-dit, au niveau des stats, si vous voulez savoir, il y a entre 60 et 100 visites par jour et entre 100 et 200 pages lues par jour pour le moment, il y a quelques mois, cela montait jusqu'à 300 et même souvent 500 pages par jour lues. On voit quand le nombre de pages lues est supérieure au nombre de visites, que les lecteurs s'attardent et aussi que dans les statistiques, les lecteurs lisent souvent des pages dans les archives, c'est à dire hors de la page d'accueil.

Allez, salut, ne réfléchissez pas trop, si vous êtes copiés ou non, amis bloggueurs et écrivez, la postérité vous reconnaîtra et tout ce que vous écrivez sur un ordinateur est daté à la seconde près, toute photo que vous faiites sur votre APN et toute vidéo que vous faires par un moyen électronique est daté à la seconde près, il y aura toujours moyen de  prouver que vous étiez le premier! les ordinateurs étant déclarés à notre nom (j'ai été stupéfaite quand j'ai acheté un notebook dans un supermarché, de voir que la femme possédait toutes mes coordonnées avec tous mes achats d'informatique, et le n° des ordinateurs achetés, le n° de chassis de l'ordinateur (c'est comme pour les voitures), mon adresse, mon numéro de fixe, etc... alors, allez prouver que vous avez écrit tel texte avant moi et même si vous prétextez un vol de manuscrit, non datable au carbone 14, il faudra encore prouber qu'au jour et à l'heure où le manuscrit a été volé, je n'étais pas en train d'écrire tout à fait autres chose sur mon ordinateur, car je suis la seule de ma maisonnée à savoir men servir.

domino

mercredi, 28 juillet 2010

Colonne centrale?

Et oh! Du bâteau! Je ne vois plus la colonne centrale de mon blog quand je l'affiche...

Bon, si plus personne ne voit la colonne centrale, ça va diminuer mes statistiques. Et qu'a-t-il fait mon blog pour que l'on ne voit plus la colonne centrale?

Ah! Pour agrémenter j'ai une histoire de Sottie, l'une des amies de Dofie (amie d'amitié bien sûr! Parce qu'à l'heure actuelle, il y a amie et amie, ami et ami!

Bon, Sottie devait aller à une fête de famille ce week-end, la fête semble compromise...

La semaine dernière, un cousin meurt, il a été enterré lundi.

Le frère de Sottie est malade, il a mal à un oeuil! Il devait conduire sa famille jusque là-bas...

Un autre cousin que Sottie n'a pas vu depuis sa jeunesse déménage juste ce week-end là.

Il faut dire que chosir les week-ends entre le mois de juillet et celui du mois d'août, pour que les juilletistes comme les aoûtiens puissent être au rendez-vous, c'est râpé!

Est-ce que quelqu'un qui harcèlerait Sottie aurait décidé de décimer la famille de Sottie, se servant d'une liste de mails interceptés au passage?

Sottie pense qu'on s'est attaqué d'abord aux familles de ses amis qui ont toutes eu des problèmes, et en particulier aux familles de ses élèves d'un certain âge, à chaque fois que Doofie a un nouvel élève, juste après la distribution de la liste des élèves aux associations (liste qui part ensuite en plus haut lieu?), ses élèves sont un moment absents (et reviennent ensuite), soit qu'ils sont eux-mêmes malades, soit qu'ils ont des problèmes avec un parent, un frère ou une soeur malade.'

Pour le blog c'est écrit en bas "Terminé, mais il existe des erreurs sur la page", alors que toutes mes autres pages internet et les autres blogs H et F  s'affichent bien. Il n'y a pas d'erreurs dans les colonnes qui sont affichées (sauf le p.p. qui attend de revenir, on a laissé les maisons des p.p. pour qu'elles reviennent, mais elles ne causent pas d'erreur sur la page, puisque leurs maisons s'affichent).

C'est tout Internet que les p.p. ne sont pas là! et pas seulement les miens!

Le loquet de la porte est descendu. Qui est derrière la porte? Le vent? Etonnant, le ciel est bleu...

Pour la cousine de Sottie, je dois dire qu'elle est obligée de maintenir le repas, parce qu'elle a commandé le repas et loué la salle...

Pour le décès de son cousin, Sottie qui a envoyé des fleurs, mais n'a pas été à l'enterrement à cause des ses carreaux cassés par la tempête (elle habite dans la même rue que Doofie...), se demande si c'est vrai, et elle se demande aussi si pour l'oeuil de son frère, c'est vrai, il a peut-être aussi un prétexte pour ne pas aller à la fête qui est loin, alors que Sottie a vraiment des careaux cassés.

Et puis Sottie pense à son cours avec ses élèves d'un certain âge. Ils ont le même âge que Sottie et ont toujours des problèmes alors que Sottie n'en a jamais. Même pendant les trois ans où sa mère était malade, Sottie a continué son cours bénévole alors que ses élèves étaient absents qui pour soigner son frère, sa cousine, sa belle-mère, sa nièce, pour garder son arrière-petit- neveu, et attendaient le décès ou que l'enfant soit grand pour revenir et revenait effectivement au bout de six mois, un an, deux ans...

Bon, Sottie se dit, je suis autrement que les autres qui ont toujours un membre de leur famille à s'occper. Et même quand je m'occupe de quelqu'un j'arrive à me libérer assez souvent.

 

domino

 

 

 

mardi, 20 juillet 2010

Combien de temps vais-je attendre ?

Doofie, mon personnage de roman-théâtre, qui a toute ma sympathie,  écrit dans son journal :

Je dois réparer avec mon mari les dégâts des intempéries, réparer la douche aussi et je vais rester trois heurs à rafraîchir la page, à attendre que mon blog revienne, je vais peut-être passer toute la nuit sans dormir à attendre que mon blog s'affiche de nouveau, attendre des heures et des heurs, finir par en piquer des crises de nerfs, finir par hurler...

Je suis compositrice, auteur, auteur de littérature et interpête, qui distribue gratuitement mes superbes improvisations de guitare classique et ma superbe voix au monde et je n'enlèverai pas un seul mot de la note que j'ai écrite avant qui apparaissait bien sur le blog deux minutes avant sa publication.

Domino a le droit comme moi de dire son avis!!!

 

domino pour Doofie, son personnage de roman-théâtre.