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lundi, 27 janvier 2014

Du Dr medicini Mme Doofie

Roman-théâtre

Mon personnage de théâtre, Doofie, prof d'allemand de son état, n'est certainement pas Dr Medicini,bien que ses connaissances en-cyclopé-diques dépassant tout ce que l'on peut imaginer, vu sa mémoire d'éléphant et son QI de 236, meilleur QI du monde, car notre Doofie, esprit universel à la Goethe (QI estimé 200),  est versée dans toutes les matières, dont la médecine, qu'elle n'a jamais étudié, son sens de l'observation et son empirisme, suffisent à faire certaines constatations qui font avancer la médecine.

Du journal de Doofie, faux Dr medicini vrai Pr germanici.

Voici ce que j'ai pu contater concernant la colonne vertébrale des obèses, la mienne par exemple.

Lorsque nous étions jeunes, moi, Dummie et mes autres amies nous ne pésions que entre 49 et 53 kg pour 164,5 cm. Notre colonne vertébrale était palpable à la main, et elle formait des petites bosses au niveau de chaque vertèbre et des creux entre chaque vertèbre.

En viellissant, nous sommes devenues obèses et nous ne sentons plus ces petites bosses formées par les vertèbres. Par contre, en palpant le dos, nous entons comme deux colonnes, mais continues. A un moment, je me suis dit,en pensant que ce n'est pas possible, que la colonne se dédoublait. Mais comme ce n'est pas possible, j'ai pensé à la forme des vertèbres. Les vertèbres ont à l'arriere une apophyse épineuse qui peut être bifide,mais ne l'est pas forcément. Quand l'apophyse est bifide, on sent alors un creux au milieu, si elle n'est pas bifide on sent une bosse.

Il se pourrait alors que étant jeune, l'apothyse n'était pas bifide mais que en grossissant, cette apophyse se soit élargie et ait formé deux aliles qui font que l'on sent un creux au milieu, mais chez nous ce creux entre les "deux colonnes" est tellement large que j'ai une autre solution. Dans la jeunesse les ailerons pourrait aller vers l'arrière et toucher l'épine en formant un cercle, alors que en grossissant, les ailerons se sépareraient de l'épine et si l'on devient très gros pousseraient vers l'arrière pour former un soutine supplémentaire au dos dans sa largeur. Ce qui ferait que l'on sentirait un creux au milieu au lieu des bosses que l'on sentait en étant jeune et mince.

Un autre problème que l'on a quand on grossit beaucoup est l'élasticité de la peau. Surtout en vieillissant. On parle beaucoup en ce moment du psoriasis qui serait au contraire du SIDA, une maladie dûe à de trop fortes défenses immunitaires. La peau se défendrait de blessures imaginaires en fabriquant trop de peau. Ce qui produit des croûtes qui se desquames. Cette maladie apparaisant  par poussée, le psoriasis pouvent disparaître soudainement pendant plusierus années.

Dans le psoriasis de mes amies, il y a une particularité. Cette maladie est arivée soudainement par un temps de forte chaleur en été et juste au milieu du dos, couvrant précisément ce fameux creux que l'on sent avec les doigts quand on palpe la colonne. Il s'agit d'une rougeur qui se desquame et forme des croûtes. Si on essaie d'affiner la croûte avec une pommade ou une crème, un liquide gluant inodore réapparait au milieu, reformant la croûte en l'espace de deux jours et la croûte épaissit de nouveau. J'ai pensé que dans le cas de personne obèse, cette maladie pourrait apparaître en des zones de tiraillement de la peau, due à un manque d'élasticité en vieillissant. la peau restant saine de chaque côté, les deux côtés de peau saine pourraient se racommoder en maigrissant, parce qu'en fait la sécrétopn de nouvele peau croûtée servirait à combler un vide laissé par un craquement en deux de la peau au milieu du dos. En fait ce psoriasis serait comme la croûte qui recouvrirait une blessure formée par un craquement de la peau qui ne peut plus ce distendre en deux et toucehrait alors les zones en creux des personnes obèses, car les zones de tension seraient dans ce creux. En maigrissant, moi-mêem et mes amies, nous pourrions retrouver la santé de notre peau. Mais notre amaigrissemtn devrait se faire lentement, car certaines modifications s'opèrent dans le squelette des obèses. Par exemple, dans les parties inférieres des bras au niveau des poignets, l'un des deux os va plus sur l'extérieur qu'avant, le poignet s'élargissant. En fait, l'obésité amène un élargissement du squelette. Et que les os des parites inférieures des membres qui gardent chez nous une certaine souplesse, s"écarteraient l'un de l'autre en se courbant, ce qui ferait que pour que les os puissent bien se remettre en place, les ailerons qui ont poussé reprendre des dimensions normales, il faudrait que l'on puisse maigrir assez lentement, pour que tout se remette lentement en place, la peau et le squelette.

Frau Dr' medicini Doofie, Pr germanici

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Pour Doofie, 236 de QI et sans garntir que ses idées soient bonne, mais si ça pouvait aider la médecine...

Doofie a des médecins du XVII et du XVIIIème siècle dans ses ancêtres, alors on peut la pardonner...

domino

Bulletin de santé de Bêtie (3)

Roman-théâtre

Du côté de la voix, Bêtie commence à aler mieux

- 2 quintes de toux seulement aujourd'hui  : à 3 heures et à 7 heures du matin, au lever. Sinon, petits râclements de gorge.

- Respiration : bonne dans la journée, sensation d'étouffement au petit matin.

- Voix : nette amélioration. bêtie, chanteuse,essaie de rééduquer sa voix elle-même :

- Médium : langage possible preque normal, enrouement passager.

grave : le grave est revenu, assez chaud, voix de poitrine bien dégagée, semble mieux timbrée qu'avant,,enrouement passager.

Aigu : Enrouement, mais les notes aigües sont émises presque jusqu'en haut, certaines sont claires dans les essais de vocalises, mais le chant dans l'aigu déclenche des maux de tête dans les sinus (frontaux).

Fièvre  : légère température. Vers 37°3 à 37°7.

Note de la Dr Doofie (prof d'allemand aussi)

Les docteurs ORL disent que l'enrouement provient d'une inflammation des cordes vocales. Ceci n'est qu'à moitié vrai; Dans le temps après une rhinite ou rhino-phringyte, on parlait quand le mal atteignait le larynx de "rhume qui tombe sur la gorge". Il pouvait aussi tomber dans la trachée et jusque sur les bronches et les poumons. Souvent alors que le nez était guéri.

Il semblerait et j'ai toujours ressenti cela que en fait, les sécrétions produites dans le haut et l'arrière du nez vont encombrer peu à peu le pharynxx et le larynx.

Mais dans l'enrouement du chanteur ou du profesionnel de la voix (les professeurs sont considérés comme des professionnels de la voix,car ils ont besoin de la voix pour faire leur cours). les résonnateurs seraient pour moi aussi en cause. Une voix qui revient par le médium comme celle de Bêtie, guérirait d'abord au niveau du larynx, puisque quand il n'y avait plus d'émission vocale, Bêtie sentait comme si elle avait un mille-feuille collé dans sa gorge. En fait,elle sentait comme des strates de saleté collées l'une sur l'autre. En guérissant le mille-feuille s'affine, se troue, ce qui lui permet de produire des sons entrecoupées, puis se dégage, mais il y a encore dabord un encomberment au niveau de la poitrine qui bloque le grave et au niveau du rhino-pharynx qui bloque l'aigu. L'encombremetn de la poitrine diminue, la toux se fait de plus en plus rare et le grave revient; Jusqu'à hier,  Bêtie a l'impression que lorsqu'elle veut monter dans l'aigu, des éléments obstruants, bouchent la montée dans l'aigu, ces éléments se situent d'abbord en bas du rhino-phrarynx, puis remontent plus haut au fur et à mesure de la récupération des notes aigues (Bêtie chante dans le masque et dans la tête). Elle a l'impression de devoir percer une cloison d'encombrements intérierurs, mais au niveau du rhino-pharynx  pour monter plus haut. Au fur et à mesure de la récupération de la voix, il  se forme des trous dans cette cloison imaginaire,ce qui fait que les sons émis deviennent de plus en plus clair.

En ce moment Bêtie a en même temps l'aigu et le  bas médium enroué mais elle a le haut médium qui est dégagé. Elle a tendance à parler dans le bas médium et ça fait râcler la gorge.

Frau Pr germanici Dr medicini Doofie,

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Pour Doofie (236 de QI) et Bêtie (moins que Doofie de QI)

domino

Vous avez-encore l'habitude d'enseigner?

Roman-théâtre

Ce dialogue est tout à fait ficitif. Un prviseur vient de recevroir les coordonées de Bêtie et sa nomination en remplacement chez lui...

Le proviseur/princial : Hmm... Cette Bêtie, depuis quand enseigne-t-elle? Encore une qui n'a pas enseigné depuis longtemps..

Le service de renseignment : Mais si... Elle a enseiné jusqu'en décembre, ensuite elle a été malade..

Le proviseur/principal : Jusqu'en décembre de quand? De 1993?

Le s d r : Non, de 2013. Nous sommes fin janvier 2014, celà fait à peine un mois qu'elle n'a pas enseigné.

Le pr pr : Ah! Elle enseignait où?

Le s d r : Dans beaucoup d'endroits  5 poste établissements sur les 25 premières années, puis beaucoup de petits remplacements, au rythme de quatre par an ces derniers temps.

Le pr pr : Ah! Bon! Il y a une partie de l'horaire en lycée... Elle a déjà fait du lycée... Je préfèrerai quelqu'un qui a déjà fait du luycée...

Le s d r : Oui, elle a fait du lycée pendant bien quatorze ans, meme dix-sept, si j'ajoute les trois premières années quand elle état toute jeune...  Elle avait à l'époque deux classes de collège et le reste en lycée. (avant son CAPES, réussi toute jeune).

Le pr pr :Ah! C'est une titulaire en zone de remplacement?  C'est déjà mieux, pas une M.A?

Le s.d.r. : Oui, une bi-admissible à l'agrégation... cinq fois admissible... hmmh...

Le pr pr : Cinq fois admissible.. hmm..Mais elle remplace une agrégée...

(D'après le prénom cela doit être une agrégée interne, peut-être pas, car elle a 18 heures, c'est peut-être une bi-admissible ou une certifiée aussi).

Le s d r : Bêtie a râté de peu l'agrégation interne, il y a deux ans. Il y avait trois admissibles dans l'académie, elle était la troisième.

Le pr pr : Donc,elle aurait le niveau pour esseigner en lycée...?

Le s d r : Elle a enseigné en lycée penant quatorze ans, dans toutes els anées 90 et début des années 2000 et personne  n'a jamais contesté son niveau! Dont les BTS. Les jurys de BTS, de bac, etc..

Le pr pr : Oui, mais ce n'est pas récent tout cela, elle connait les novelles directives, les certifications..

Le s d r :Elle a fait des stages à ce propos il y a trois ans. Elle a fait encore du lycée en même temps que du collège, il y a trois ans. Elle aviait comme collègue l'un des responsables du PAF, qui l'estime beaucop. Elle a travaillé avec lui sur les groupes de niveau.

Le pr pr : Ah... bon... alors on va pouvoir la prendre...

Le s d r : D'ailleurs elle sait où est vottre établissement, près d'une gare en ligne directe. Elle peut même prendre le train à la gare précédente, quand il s'y arrête. Et le nom lui disait quelque chose : elle a interrogé vos élèves au bac oral il y a entre vingt-cinq et quinze ans... et son mari les a interrogé encore il y a quelques années... elle se souvient des listes de textes, elle voit encore le cachet de votre établissement dessus.

Le pr pr : Donc, l'étalissement n'était pas dans sa zone?

le s d r : Pas dans la zone où elle travaillait,mais les trois lycées  (les deux où elle a enseginé dans les années 90 et le vôtre)  étaient à égale distance autour de chez elle. Maintenan, il y a beaucoup plus d'écrit au bac, à l'époque où Bêtie travaillait en lycée, elle préparait beaucoup à l'oral. Les listes de textes surtout. En Tarminale.

Le pr pr : Bon, va pour le lycée, on verra....

(Ceci a été écrit par rapport à un proviseur d'il y a trois ans qui avait dit  avant qu'elle arrivé : "Je ne sais pas si je peux vous prendre.". Vous vous souvenez l'histire des quatre proviseurs et principaux qui la convoquaient toujours ensemble...??)

Pour Bêtie

domino

ouf!

Roman-théâtre

Du journal de Bêtie

Ouf! J'ai un remplacement plus proche de chez moi! Un seul établissement. Un peu moins de vingt kilomètres  seulement. Ligne directe de train!!! Et même c'est le premier ou le deuxième arrêt de train selon qu'ils soient directs ou non.

Ouf! On me simplifie enfin la vie!

Dominique

 

dimanche, 26 janvier 2014

Des profs d'allemand azimutés*

Roman-théâtre

Du journal de Blödie

¨Rappel : Blödie est une amie, prof d'allemand,  qui fait partie du team de Doofie et Dummie.

Il y a des collègues  d'allemand qui sont vraiment azimutés sur l'allemand.

Généralement, les profeseurs d'allemand de nationalité allemande sont moins azimutés : 'ils sont restés en France, parce qu'ils aimaient bien la France,  ils sont souvent venus en tant qu'assistant  et surtout assistante Attirés par la Provence, ou la Bretagne, ils ont passé leur concours en France, alors qu'ils avaient appris la Germanistik et la Geschichte ou la Mathematik à l'université en Allemagne et sont donc la plupart du temps polyvalents de part leurs études universitaires.

Par contre, le professeur d'allemamd azimuté est souvent français, car il a fait des études d'allemand et uniquement d'allemand, plus rarement LEA (langues appliquées) avec deux langues, mais le professeur d'allemand français type a fait allemand LLCE (langue classique) et n'a étudié essentiellement qu'une seule matière à l'université avec parfois des petits à-côtés d'UE 5 ou UE 6, mais dans ce cas ses UE externes sont souvent au niveau des langues le néerlandais ou les langues scandinaves, pour rester dans le même domaine linguistique.

Le prof d'allemand azimuté est souvent un homme, célibataire de préférence, parfois marié, mais alors sans enfants, ou bien marié avec une prof d'allemand et se fâchant si sa belle et tendre commence à avoir des activités autres que l'allemand.

Nous avons connu deux exemples type de ce prof : M. JeSaisTout, actuellement retraité et notre team de maris de nos amies Doofie, Bêtie, etc.. : Rapidy,Schnelly, etc.. également maintenant retraités.

M. JeSaisTout est célibatire, et Schnelly est marié avec une prof d'allemand, un peu fantasque, certes, c'est Doofie, qui marche hors des sentiers battus par l'allemand, par exemple, elle fait de la généalogie, de la musique, mais là encore ce n'est pas hostile à Schnelly, car elle chante souvent en allemand, joue des morceaux allemands, et en généalogiste, elle a fait l'arbre côté allemand de Schnelly (qui a aussi un côté français), mais il va sans dire que Schnelly vient voir ce qu'elle ajoute sur son arbre uniquement quand elle travaille le côté allemand ou suisse germantique, et il s'intéresse aux anêtres allemands et de suissse germantique de Doofie, il y en a moins, mais il y en a aussi un peu, même un allemand venu vendre des bas en Belgique à l'époque de Napoléon. Pas moyen de le faire  s'intéresser à son arbre côté français.

M. JeSaisTout n'a apparemment pas d'ancêtre allemand, mais il a été durant toute sa carrièrre azimuté par l'allemand. Bien que ses parents habitaient en Alsace, il n'avait pas d'origine alsacienne (et ses parents qui étaient de l'Ouest non plus), mais il était très attaché à ce pays où il avait vécu depuis l'âge de 13 ans et où il avait fait ses études universitaires et il était dans son petite appartement de la région où il enseignait,  entouré d'objets alsaciens et allemands. Tout,dans son apartement où il invitait de temps en temps un groupe de collègues amis à dîner était axé sur l'Allemagne et l'Alsace. Toute la décoration, tous les livres. Et il nous faisait durant le repas l'honneur de ses plus belles pièces de collection : livres, bocks de bière alsaciene et allemande qu'il collectionnait, etc..

M. JeSaisTout a travaillé pendant plusieurs années dur pour avoir son agrégation. Tous les soirs en rentrant chez lui, il prenait une heure de son temps pour préparer l'agrégation avant de se mettre au travail pour les élèves. Il passait des colles avec des collègues d'allemand comme par exemple Doofie, Dummie et Bêtie qui préparaient aussi déjà à la même époque (il y a 20 ans) l'agrégation, mais qui ne l'eurent pas (elles devinrent par la suite, seulement bi-admissible bien qu'elles parlaient mieux allemand que lui.

M. JeSaisTout était complétement azimuté par l'allemand, toute sa conversation tournait autour de l'allemand, des films allemands, de la télé allemande, de la politique allemande, de sa thèse d'allemand (car il devint docteur en civilisation alelmande), et accessoirement de ses collègues allemands (d'échange scolaire qu'il appelait appariement), et français dont il savait raconter mille petites anecdotes toutes plus savoureuses les unes que les autres : "Ah, bien, tu ne sais pas, le collège UnTel,ce qui lui est arrivé...Non?... ET bien...?" et le voilà pendant un quart d'heure, une demi-heure à te raconter la vie du collègue ou de la collègue Un Tel...

Mais enfin, mis à part le fait qu'il s'intéressait beaucoup à la vie privée de ses collègues et des élèves et de leurs parents, il ne parlait, le reste du temps, que de l'allemand. Même quand on allait chez lui, il nous faisait un repas alsacien ou alemand avec du Kasseler par exemple.Et de la Linzer Torte en dessert.

Je ne sais pas ce que fait M. JeSaisTout pendant sa retraite, toujours est-il qu'il est dans son beau pays adoptif d'Alsace et a quitté sa région  d'enseigneement, donc, ce pays, il n'en parle plus comem d'un pays étranger, il y est et je pense que ses incursions dans l'Allemagne voisine sont encore nombreuses. Bien qu'il ait été dit de lui que durant sa retraite, il voulait rompre avec l'enseignement et l'étude de l'allemand.

Quant à Rapidy, par exemple, le marie de Bêtie,professeure d'allemand, plus gradée que lui puisque bi-admssible, alors qu'il était certifié,  il a terminé sa vie professionnelle sur les chapeaux de roues, à l'âge de 65 ans et demi. La dernière année fut bien remplie : un d'échange scolaire et un autre à but allemand professionnel avec des lycéens des sections tertiiaires. Plus à revevoir les allemands une semaine dans l'un de ses établissements, un service plus que complet sur deux établissements,mais il avait de l'énergie, la voie tellement tonitruante et tellement devenu brusque qu'il en faisait peur à Bêtie. Quand il rencontrait des anciennes élèves dans la rue,leurs lèvres tremblaient de peur quand il leur parlait. Et le matin, lever aux aurores et vas-y-que-je-te-pousse, ma Bêtie, si on n'est pas trop à l'avance. Vlan dans la paroi de l'escalier de la cave, ça ne va pas aesez vite là-haut, je vais râter mon train! Et après il l'a faiait attendre dix minutes dehors le temps qu'il ferme la maison.

Le train pour aller voir ses sacro-saints élèves qui avaient pris beaucoup plus d'importance que Bêtie. Pour lui aussi tout tournait autour de l'allemand : son enseignement, ses collègues allemandes, ses jumelages, ses échanges scolaires,... Bêtie lui donnait une certaine ouverture, grâce à elle il avait été en Europe Centrale l'été. Mais même retraité,il s'occupe encore de ses élèves, lors d'un marché de Noël en Allemagne, un samedi, il a laissé Bêtie en plan pour s'occuper d'une famille d'un de ses anciens établissements. Pour faire le guide. Bêtie lui a dit :Mais enfin, tu vas être un jour en retraite ou pas? Ses collègues allemandes lui écrivent toujours, lui téléphonent. Décidément, il se sort difficilement du métier. Il saccompagne Bêtie sur ses lieux de travail, jusqu'à la porte de ses collèges, demandant aux élèves qui sotn dehors, "Alors, tu fais de l'allemand" "Non,mseur, je fais de l'espagnol". "Et toi, tu fais de l'allemand?" "Non, moi, msieur, je suis en cinquième." "Tu feras de l'allemand l'année prochaine" et le voilà à faire sa publicité pour l'allemand, pour vanter les mérites de  cette langue, lui, le retaité qui ne sait pas se défaire psychologiquement de son ancienne activité professionnelle. L'ex-prof d'allemand azimuté.

Bon, Bêtie n'est pas azimutée par l'allemand, elle fait autre chose en plus, alors qu'elle n'est pas encore retraitée, de la musique, des autres langues que l'allemand, s'intéresse à l'art, à la littérature de tous les pays, à la géographie de tous les pays, à l'histoire de tous les pays et pas seulement de la Suisse, del'Allemagne et de l'AUtriche. elle fait  du ménage, du classement ,du jardinage; Mais Rapridy, lui,mêmeretraité,reste azimuté par l'allemand.

La relève des professerus d'allemand azimutés est assurée : Un ancien élève de Bêtie, dans sa classe lors de l'inspection  qui a bouleversé sa carrière de prof d'allemand le 22 mars 2002 (Bêtie n'était pas assez azimutée sur l'allemand, ele faisait aussi de la musique...) est maintenant professeur d'allemand azimuté,il fait un temps complet en lycée et plusieurs grandes écoles de commerce, tout en allemand, et quand il rencontre sa vieile prof Bêtie dans un train ou dans une gare, il lui parle tout de suite allemand. Il faisait déjà cela en classe, lui "tenait la jambe" (au figuré!) pendant une demi-heure à la sortie du lycée, en lui parlant allemand et pour avoir telle ou telle précision sur des mots de vocabulaire parce qu'il apprenait par coeur le dictionnaire;..  Ses copines sont aussi profs d'allemand.

Pour Blödie, Rapidy et Schnelly

domino

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*azimuté = tourné vers un seul but, un seul azimut : lers profs d'allemand azimutés ne font que de l'allemand...

 

 

samedi, 25 janvier 2014

Une bonne ménagère et une bonne maman

Roman-théâtre

Je dois dire que les mamans de ^Bêtie, Dummie, Doofie et Compagnie, mes personnages de roman-théâtre, étaient de bonnes mamans, car tout en laissant leurs filles faire ce qu'on appelait à l'époque de "grandes études" (lycée et université), elles avaient reçu quand même une éducation ménagère assez poussée de la part de leur maman et ceci dès le plus jeune âge.

Leur mère elle-même n'avait peut-être pas vraiment eu une telle éducation, sa grand-mère venue d'une autre région,une fois qu'ils sont revenus dans la région du grand-père (ils avaient vécu un moment à Paris), sa mère a eu son CEP et son père lui a dit : "Bon, maintenant, fini  l'école, tu vas m'aider au laboratoire (de photos) et ma mère depuis l'âge de 13 ans a développé des films, en voyant passer de toutes les couleurs devant elle, car elle a passé la guerre ainsi, à développer des photos pour le magasin de son grand-père, aussi bien celles que les films que les allemands amenaient, que celles des espions anglais infiltrés par l'armée de la France Libre de De Gaulle et elle tirait le portrait de De Gaulle en grande série. Pendant ce temps là sa grand-mère s'occupait de la maisonnée et ses soeurs, une fois qu'elles eurent aussi leur CEP, la plus douée fit son brevet et les cours complémentaires, mais c'est aussi ele qui devenue directrice dans une entreprise a travaillé professionellement durant toute sa vie et est décédée prématurément par rapport à ses soeurs toutes devenues octogénaires, une fois qu'elles eurent leur CEP elles servirent au magasin et firent de la photo d'art (du portrait  surtout) avec le grand-père . Ma mère faisait aussi la retouche, et mettait les photos en couleur avec des crayons sépias, des joues en rose et des yeux en bleu. A l'époque on ne retouchait pas électroniquement,mais à la main. Bien sûr pour les photos de De Gaulle, ma grand-mère avait été emprisonnée par la GESTAPO, mais elle s'en est sortie parce qu'elle parlait allemand. Ils l'ont libérée parce que c'était une française qui parlait allemand. Mon grand-père et ma grand-mère ont été aussi octogénaires.

La mère de mes héroïnes (elles étaient toutes photographes, leur mère? Voilà encore une aberration!), quand elle rencontra mon père à un bal donné dans un cinéma de la même rue, après la guerre, c'étaient des soldats qui revenaient de captivité, la mère,disons de Bêtie, commença à travailler chez d'autres photographes et c'est de ces seules années, qu'elle recevait une pension à elle dans sa vieillesse, le reste étant formé de la pension de reversion de mon père. La travail familial, chez son père,  n'avait pas été déclaré, et elle arrêta définitvement de travailler à la naissance de l'ainé. Alors Bêtie a été un peu étonnée lorsqu'à son enterrement, on a dit qu'elle avait su conciler vie professionnelle et vie familiale. Ils ont dû se tromper de personne... de discours.

Bon, dès qu'elle eut 'l'âge de sagesse", c'est à dire à 7 ans,  Bêtie a commencé à apprendre des rudiments de son futur travail de femme. Elle a d'abord fait des entrées à l'école. Avec des carotttes rapées, et du céleri rapé et toutes sortes de crudités, elles devaient savoir préssenter une assiette anglaise. Ce premier cours de cuisine n'a été fait qu'une fois, mais sa mère avait été très fière de présenter l'assiette anglaise que Bêtie avait amené de l'école à toutes ses voisines et quand de la famille était invitée à manger, Bêtie a été dès l'âge de 7 ans, chargée de la présentation des entrées.

Mais elle a mis longtemps à se metre à la cuisine chaude c'est vrai que dans "l'ancienne maison", on faisait la cuisine directement sur la cuisinière à charbon de la cuisine, même en été, ét c'était un peu difficile et dangereux ppur les enfants, qui n'avaient pas trop le droit de s'approcher de cette cuisinire, d'où sortait quand son père allumat ou attisait le feu en rentrant du travail,de grandes flammes rouges qui faisaient peur à Bêtie qui avait vu une maison brûler pas très loin de chez elle quand elle avait deux ans. Elle n'est passée à la cuisine chaude que vers l'âge de vingt ans, quand sa mère a été malade.

Un domaine cependant dans lequel Bêtie s'est mise à exceller fut la couture à la main et le tricot. On tricotait beaucoup dans sa région et Bêtie aimait regarder les catalogues de laine et leurs échantillons. Alors, la maman de Bêtie qui ne connaissait que le point mousse,le jersey et les côtes et aussi un peu les diminutions et les augmentations les a appris à Bêtie.Bêtie commença le point mousse et le jersey à 7 ans,elle fit d'abord des échantillons avec quelques trous, puis elle commença à bien tricoter. Après el changement de maison, toute seule dans sa chambre elle commença à tricoter des pulls pour elle-même, sa petite soeur (qui elle plus trard s'était mises au crochet) et son père. A 12 ans ele connaissait tout du jarquard, des points irlandais et des différentes formes de pull, toutes choses qu'elle avait apprises toute seule avec les livres qu'amenait son père se l'entreprise où il travaillait.

Pour la couture à la main, elle comença dès le jardin d'enfants, où ''l"on faisait aussi des tissages en papier tout en apprenant en même temps, lecture, écriture et calcul. Bêtie fit de la broderie en travaux manuels depuis le jardin d'enfants et pendant toute l'école primaire, ses travaux étaient régulièrement exposés à l'exposition de l'écoel,avec son âge indiqué en regard, pour que l'on sache que c'éait une toute petite fille qui brodait si bien. En sixième en même temps que la latin et l'anglais, il y avait un cours de couture, pour lequel Bêtie avait eu d'excellentes notes, parce que ses points éaient tout petit, alors qu'on la grondait pour son écriture de médecin. Elle dût faire des pages d'écriture entre la sixième et la cinquième parce que le passage du porte-plumes au stylo-plume s'était mal fait, et son écriture était devenue trop petite. Quand ele voit comment écrivent certains garçons de qutrième troisième actuelelment, et même comment écrivaient ses garçons de BTS, elle se dit qu'on ferait bien de leur faire faire des pages d'écriture aussi. Encoer maintenant, ses professeures étrangères ont du mal à la lire, surtout en français, quand Bêtie n'est pas dans un bon jour et que son écriture de médecin  prend le dessus.

Enfin, j'ai connu un homéopathe qui avait une personne chargée de déchiffre son écriture dans une pharmacie et quand ce spécialiste de son écriture n'était pas là, il fallait attendre pour avoir les médicaments.

Et puis, dernièrement j'ai remarqué qu'une jeune femme qui sert dans une pharmacie n'écrivait qu'une lettre sur deux dans ses posologies.

Alors l'écriture, ce n'est pas si grave que cela,surtout que maintenant on écrit presque toujours à l'ordinateur. Mais l'écriture de Bêtie s'est améliorée dans son adolescence. Bizarre qu'elle ait eu une aussi mauvaise écriture en sixième parce qu'en fait, elle était très méticuleuse pour la couture et à 10 ans, elle traitait ourlet et surget avec autant de dextérité, mais en fait, son apperntisage de la couture s'est arrêté là pour l'école, car dès 'année suivante, il n'y a plus eu de cours de couture.

Elle a encore appris à repriser les chaussetes et à remailler les bas, avec sa mère. Sa mère avait dû l'apprendre à l'école. mais on ne l'aprpenait plus à l'époque de Bêtie. Elle a aprpis le point de croix et le demi-point pour les tapisseries à l'école et à la maison et aussi le crochet avec sa maire pour les mailes serrées, puis toute seule.

Pendant les périodes de vacances, elle aidait déjà sa mère au ménage, elle faisait les travaux que sa mèer trouvait longs et fastidieux, l'épluchage des légumes,et le pelage des pommes de terre, et surtout en été, l'écosage des petits pois et la préparation des haricots verts, (les couper en deux,enlever les deux bouts et tirer les fils) ce qui prenait la plupart de ses amtinées de juillet. En juillet elle apprenait aussi le jardinage, car elle était chargée par son père de cruauder les plate-bandes du jardin (régionaliseme = enlever le cruau ou les mauvaises herbes). Parfois, elle passait aussi la tondeuse à main (elle a longtemps cherché une telle tondeuse pour elle-même, une fois installée dans sa maison actuelle, mais maintenant toutes les tondeuses ont des moteurs). Pour des petites pelouses les tondeuses à main, suffisaient largement, et on ne sait pas pourquoi on est passé à des tondeuses à la fois bruyantes, mangeuses d'énergie, et polluantes pour certains types.

Pour sa mère, elle concassait les grains de café ave le moulin à café à main, dés son plus jeune âge. Les enfants adoraient ce travail car il fallait tourner une manivelle. Et le bon café odorant tombait dans un tiroir en bas du moulin. Après,on est passé au moulin électrique que Bêtie avait le droit d'utiliser aussi. Bêtie avat appris aussi à faire des gâteaux simples : quatre quart, gâteaux marbrés,etc..

Pour le linge,dès l'âge de 13/14 ans, Bêtie devait laver les pulls et le linge fragile dans une bassine à la cuisine, elle était chargée du lavage à la main qui prenait aussi du temps à sa mère. Elle connaisait aussi les programmes de machine à l'aver et savait faire depuis toujjours la distinction entre les différents étoffes, car dans cette ville textile, on parlait beaucoup de tissus et on discutait autour d'elle des mérites ou des inconvénients des nouveaux tissus. Il fallait faire attention aux températures de repassage. Il arrivait alors que ces nouveaux tissus arrivant sur le marché, plus d'une mère avait fait un trou dans la nouveau vêtement avec un fer trop chaud. Et alors, on en parlait dans le quartier. Elle a appris par ouïe-dire tous des mots comme nylon, polyamide, acrylique, et on parait beaucoup de nouveaux tissus comme le Trévira. Elle n'a jamais eu de cours sur les tissus à l'école, mais tout cela,elle l'apprenait à la maison. Et en consultant les catalogues amenés par son père.

Maintenant, ils sont tous devant leur télé ou leurs jeux électroniques alors ils n'aprennent plus rien.

Bref, Bêtie avait appris une partie de la cuisine, un peu de jardinage, le repassage, la lessive des tissus délicats  à la main (sa mère faisait elle-même la lessive à la machine), à faire la vaisselle et à l'essuyer, la couture à la main, le tricot, etc.. le tout en grande partie avec sa mère. Elle aidaiit aussi à faire les poussières et à Balayer et à laver par terre. Souvent en juillet, elle était chargée de faire les carreaux et de les faire briller avec du paper journal.

Cependant comme elle avait peur des cusinières à gaz, elle n'allaumait pas elle-même le gaz, ce qui faisait râler une de ses tantes et sa vosines qui disaient que leurs filles savaient le faire.

Bien sûr, elle avait parfois aussi la corvée de faire les lits, et chacun devait faire son lit, sauf le garçon.Ma  mère  faisait son lit, mais pas moi.

Bref, je pense que Bêtie ést quand même armvée avant le mariage et largement avant pour faire la parfaite petite maîtresse de maison,ce qu'elle fut jusqu'à il y a un peu plus d'une dizaine d'année, lorsqu'un évènement professionnel, une inspection,l'a complètement bloquée dans presque toutes ses activités musicales et ménagères(en musique, ele ne vit que sur ses acquis antérieurs). Parce que, suite à de fausses accusations de paresse professionelle, elle s'est cosacrée penant un temps uniquement à l'allemand et à sa vie professionelle, en oubliant une partie de sa musqiue, et son ménage.

Bon, son père ne souhaitait pas que Bêtie fasse de grandes études, il disait qu'elle aurait dû aller aux cours de coupe et couture organisés par la mairie, Bêtie qui faisait à l'époque la taille mannequin 40/42 n'en voyait pas l'utilité, mais maintenant qu'elle est passsée en taille 60  et ne trouve plus vêtement à sa taille et à son goût, elle en aurait trouvé l'utilité. Bon an, mal an, Bêtie avançait dans ses études en gardant son année d'avance jusqu'au bac. Et quand elle  choisit l'université, son père aurait préféré qu'elle fasse un BTS trilingue pour travailler dans la même entreprise que lui, il aurait bien aimé en faire l'une de ses sefrétaires, pusqiu'elle voulait faire des langues, ce qui était à l'opposé de ce que ses professeurs avaient prévu pour elle, puisqu'ils la voyait plutôt prof de français. Elle était aussi attirée par la géographie, tout ce qui touchait aux voyages l'intéressait.

En juillet, l'un de ses travaux à effectuer, était aussi de faire l'itinéraire des vacances : il fallait préparer des papiers sur lesquels ele indiquait en colonnes,les villes, villages et carrefours hors localité, les numéros des routes utilisées, les bifurquations avec les direcions (aussi les grands directions) et les numéros des routes vers lesquelles il fallait bifurquer, calculer le temps de trajet sur la base d'une moyenne de 60 km heures, y ajouter le temps de pique-nique et des petites pauses, prévoir dans quelle ville il fallait faire les courses pour le pique-nique, et prévoir à quel endroit on allait chercher un hôtel et en chercher queqlues uns dans un guide à proximité de cet endroit (des pas trop chers, bien sûr).indiquer le kilométrage entre chaque ville et villlage et le kilométrage total de la journée et du parcours total, car pour aller au Pays-Basque ou dans le midi, il fallait trois jours, deux jours pour la Bretagne ou l'Alsace.    Le soir, quand son père rentrait du travail, il vérifait le parcours calculé dans la journée et regardait s'il n'y avait pas d'erreur dans le calcul des distances et des horaires de passage.

Mais je voulais simplement dire que  à l'époque, on apprenait autant des parents et aussi des amis que de l'école. Par exemple, c'est une amie qui 'a donné à Bâtie et ses amis leurs premiers rudiments de guitare. Sur la base des premiers rudiments de solfège appris dans l'enfance, l'usage de tablatures avant l'heure, de shémas d'accords. elle continua toute seule et se mit à grapiller chansons et  morceaux auprès d'amis. A deux mois de guitare, elle s'initia au folklore allemand aurpès du père et du frère de sa correspondante. Et elle s'était initiée au folk anglais avec une amie française qui avait la même passion qu'elle pour ce genre de musique et sa correspondante anglaise. "Je lisais aussi en anglais devant la correspondante anglaise qui me rectifait mes fautes de prononciation. J'ai d'ailleurs toujousr aimé l'accent anglais, irlandais, et australien. Car les australiens parlent comme les anglais et pas comme les américains. Dans les lycées où je travaillais avant lévènement d'il y a dix ans je parlais bien anglais avec les assistantes australiennes, et irlandaises surtout car je lescomprenais bien; Par contre, en espagnol, je comprends mieux les amérivains que les espagnols. (parce qu'elle a surtout parlé à des colombiens (une assistante et son profeseur de lutherie)et des argentins).

Bon, tout ceci pour vous dire que l'on apprend autant de la famille et des amis que de l'école et que finalement, si les élèves appernaient chez eux sur leurs ordintaeurs en relation par internet avec leurs professeurs auxquels ils enverraient devoir et enregistrementspour les langues toutes les semaines,selon un programme habdomadaire avec un examen de contrôle trimestriel (pour que le travail ne soit pas fait par une autre personne), celal suffirait largement. Car à partir du moment où l'éducation est bien faite par les parents qui montrent déjà à leurs enfants ce qu'ils savent faire, et ils ont un niveau culturel de plus en plus élevé grâce à la prolongaton des études, il ya aurait moyen qu'ils assurent une grosse  partie de la transmission du savoir.

En fait, dans le cas de Bêtie,son éducation à la maison a complété l'éducation de l'école. Les parents ont amené le côté pratique et ont complété ce qui n'était pas fait totalement à l'école : musique instrumentale (Bêtie a fait solfège et piano dans sa presque petite enfance), voyages (en France surtout, correspondants non scolaires,  et surtout le sens pratique et l'éducation aux tâches de la maison, son père étant encore venu apprendre à Bêtie et à Rapidy à peindre la maison et à tapisser, alors qu'ils étaient jeunes mariés. Il a passé une demi-journée à leur apprendre en posant les premeres bandes de papier peint dans leur appartement et en leur montant comment on faisait de la colle à tapisser et comment on pigmentait les peintures, toutes choses qu'à bien rentenu Bêtie.

Cela veut dire que les parents continuaient à éduquer leurs enfants jeunes mariés et à leur apperndre ce dont ils avaient encore besoin pour leur ménage.

domino