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jeudi, 06 juin 2013

Tout vient à point à qui sait attendre...

Roman-théâtre

Du journal de Gwupie

Bêtie est   assez contente de son nouveau remplacement, même si le niveau des élèves -comme partout - n'est pas celui qu'elle j'escomptait. Mais ils sont quand même meilleurs que sur le remplacement d'avant.

Elle n'est pas harcelée sur son remplacement. Hier elle a pris l'air en allant comme supporter aux matchs de basket que ses collègues fémnines ont gagné haut la main contre toutes les demi-classes de 4ème et de 3ème. Il faudra les embaucher pour les jeux olympiques.

Ce ne sont pas des fadas de la propreté comme dans l'établissement où elle était l'an dernier; le sol est en carrlag et pas en dalle cirée. Les bons vieux carrelages, c'est beaucoup plus pratique et plus sain (il y a moins d'émanations chimiques) que les sols en dalles de plastique cirées.

Et tla classe n'a apparemment pas d'odeux bizarre comme là où c'est ciré tous les jours et où il y a de supers technicies des sols. Les moyens d'il y a vingt ans sont plus sains et le grand air (pas d'usine polluante à proximité) évince de lui-même les microbes.

Bon, Bêtie n'est pas là-bas pour longtemps puisque c'est un cours remplacement.

On arrive dans la fin de l'année, la semaine prochaine il y a tous les conseils de classe. Cette semaine les notes à metre sur les ordinateurs et la semaine prochaine les notes à metre. Les collègues sont très occupés par les activités de fin d'année : chorale, orchestre, spectacle de fin d'année avec du théâtre si j'ai bien compris. Les élèves apprneti artistes ne pensent plus qu'à ce spectacle.

Bon, je sens que les harceleurs du web vont encore s'attaquer à Bêtie en esayant de faire supprimer ces spectacles. Mais enfn, ce n'est pas Bêtie qui les fait, mais ses collègues alors pas besoin de les harceler, et pas besoin de s'attaquer au collège en faisant rénover tous les sols en remplaçant les bons vieux carrelages par des sols en matières chimiques que l'on cire aux produits chimiques qui sentent mauvais. Son remplacement n'est pas assez long pour que les appels d'offre soient fait en tant et en heure pour harceler Bêtie.

Il y a deux renvoyés de son collège de l'an dernier parmi ses élèves, un frère d'un SEGPA, et un proche ami des SEGPA de son collège de l'an dernier. Même si ce dernier a toujours été absent de son cours dès la première semaine, il est déjà renvoyé huit jour pour avoir manqué de respect à trois personnes adultes le même jour. Et le deuxième est bien en voie de l'être aussi.

Et c'est ce même élève qui est renvoyé huit jours qui essaie de faire croire que Bêtie aurait pleuré. Or, elle n'a jamais pleuré depuis le début de son remplacement.

Le remplacement précédent c'était bizarre : tout le monde ignorait ce qu'avait la collègue remplacée, Bêtie a humé quelque chose comme ce qui lui était arrivé en 2002, qu'on l'aurait mise en congé d'office suite à une mauvaise inspection. Alors ils ont essayé de faire la même chose avec Bêtie.

Bêtie n'a pas été admissible à sa deuxième agrégation, l'externe alors qu'elle était admissible les deux années précédentes et l'année dernière, elle avait même réussi le doublé interne-externe  (en admissiblité seulement et presue admise à l'interne). 

Bêtie a toujours une super voix, mais malheureusent  pas beaucoup de temps pour chanter.

Ce n'est certes pas la voix de tonnerre de certains collègues de l'un des collèges de son remplacement précédent. Quand son voisin de classe criait sur les élèves il valait mieux être prévenu avant pour ne pas sursauter. Savoix résonnait sur tous les murs.

Où ele est maintenant, on n'entend pas crier.

Ce n'est pas la peine de faire mettre son administration actuelle en cngé parce qu'ils sont -une fois n'est pas coutume - bien avec Bêtie.

En tout cas Bêtie a décidé -lorsqu' elle sera en retraite dans trois ans - et assuré le minimum quotidien pour sa vieillesse-  de faire alors un métier qui lui rapportera beauocup d'argent pour se payer un avocat, car elle est en train de faire une liste de tous les adminsitrateurs et médecins et autres, qui 'l'ont harcelée moralement durant sa carrière, pour frapper fort le jour où la retraite sonnera. Tout viendra  à point à qui saura attendre. Bêtie attend d'être en dehors de l'éducation nationale et d'avoir pris sa retratite pas avant trois ans pour frapper un grand coup sur les harceleurs.

Et por réclamer son dû au niveau de tous les frais de déplacements et autres défraiements qu'elle n'a pas reçu en tant que TZR alors que d'autres TZR se doublent pratiquement leur salaire avec les frais de déplacement.

Bête est très en forme actuellement; Elle prépare ses vacances à l'étranger dans le but de parfaire les nouvelles langues qu'elle a apprise.

domno

 

lundi, 03 juin 2013

Noms célèbres

Roman-théâtre

Dummie : C'est vrai ce que dit domino, que les enfants appernnent les noms des personnages célèbres grâce aux noms de rues, de places et de squares.

Doofie : Oui, mas il y a un hic! Les collèges aussi ont souvent des noms de personnalités, mais je connais un bled où les élèves appelent les collèges par leur prénom.

Dummie : Ah! dit Dummie!

Doofie : Oui, il y a les collèges Jules Ferry, Pierre Curie, et Jean Jaurès et St Joseph et les élèves, quand on leur  demande dans quels collèges ils vont, disent : "Je vais à Jules,", "Je vais à Pierre", "Je vais à Jean" ou je vais à "Joseph"!

Dummie : Comme cela il n'y a pas de différence entre le privé et le public!

Doofie : Oui, mais ce n'est pas ainsi qu'ils appernnent les noms des personnaglités et en plus quand tu leur demande dans quelle école primaire ils ont été, ils te répondent à Victor ou à Honoré!

Dummie : hugo et Blazac...

Doofie : Oui, mais ce n'est plus un concept pour eux que c'est Victor Hugo et Honoré de Balzac!

Dummie : Mais vite, je révise les cours que je dois faire aujoru'hui!

Pour Doofie et Dummie

domino

dimanche, 02 juin 2013

Son propre nom...

Roman-théâtre

Du journal de Doofie

Quand domino, notre auteure, tape son prénom et son nom marital sur Internet, elle a un nom tellement courant qu'elle apprend qu'elle est :

1) chirugienne-dentiste (je vais lui demander de soigner Bêtie, son personnage de roman-théâtre et notre amie...)

2) fondatrice d'une boutique de T-shirts (nous aimons les T-shrits, mais nous préférons les tuniques car elles sont plus longues et cachent nos formes rondes)...

3) célèbre journaliste (sic!) wafalle  dans le quotidien "La Soirée" qui préfère écrire sous un pseudo vu les révélations qu'elle a faite sur une affaire wafalle.

D'ici que l'on confonde cette journaliste avec domino, notre auteure, il n'y a pas loin...

Voilà ce que c'est d'avoir un nom très courant alors que son patronyme est très rare (7 naissance au XXème siècle, et toutes de sa famille proche, et une au XXIème siècle).

Doofie

(pour Doofie, domino...)

Des lois anciennes

Les lois dont on parle souvent à la radio et à la télévision et dans les journaux et dont se réclame l'éducation nationale encore aujourd'hui sont assez anciennes. Ce que l'on ignore, c'est qu'elles régissent d'ailleurs aussi l'enseignement privé, car selon les gouvernements et les politiques du XIXème siècle, l'enseignement privé a été plus ou moins favorisé ou défavorisé.

La main-mise de l'Etat sur les deux types d'enseignement n'est pas nouvelle et la création des inspecteurs, déjà sous Napoléon 1er, puis sous la Monarchie de Juillet était destiné à contrôler que l'eseignement soit bien fait selon les directives de l'Etat, mais il s'agissait plus de contrôler que les commues avaient bien créé les écoles nécessaires que de contrôler les professeurs.

La loi Guizot date en effet de 1833, chaque commune de plus de 400 habitants devait avoir une école primaire et chaque commune de plus de 6000 habitants une école primaire supérieure de quatre années (qui semble correspondre à notre collège).

Quant à nos lycées, ils portaient le nom de collèges.

Ceci a encore des conséquences actuellement avec le corps des PEGC (Professeur d'enseignement générale de collège). Dans les années 70 on pouvait passer le concours de PEGC nommé CAPCEG (qui n'existe plus) avec une 1ère ou une deuxième année d'université alors qu'il fallat la licence pour passer le CAPES. D'anciens instituteurs désireux d'enseigner en collège ont passé le CAPCEG et enseignaient deux matières, qu'ils n'avaient pas étudié d'une manière aussi approfondie que les licenciés qui passaient le CAPES. Des étudiants qui n'arrivaient pas à avoir leur licence, passaient aussi le CAPCEG.

Dans mon roman-théâtre, mes Doofie, Dummie et Ce ont toutes eu leur licence assez rapidement et leur CAPES à un âge encore jeune. Elles ont toutes déjà enseigné en lycée.

Je voulais tout simplement dire que les collèges ont eu ce corps des PEGC qui leur a été affecté, et dont font partie d'anciens instituteurs parce que ce sont lles aciennes écoles primaires supérieures de Guizot.

La loi Falloux est votée le 15 mars 1850 sous la IIème République. Elle reconnait deux types d'enseingment : le public et le privé.

Quand à Victor Duruy, il crée l'enseignement technique et professionnel pour les besoins de l'industrie et de l'artisanat sous le nom d'"écoles spéciales", devenues ensuites "enseignement moderne".

Donc, quand vous entendez parler à la radio, à la télé ou dans les journaux de Loi Guizot ou de Loi Falloux, sachez que ces lois ont plus de 160 ans.

Si ces lois ont enore du bon, il serait temps de dépoussiérer un peu l'enseignement; je me demande par exemple si l'Allemagne a encore une seule loi antérieure à la fondation de la RFA en 1949...

Est-ce que notre vieille Fance est encore dans le coup?

On se demande si on ne mène pas les gens en bâteau en faisant croire que ces lois sont récentes;

domino 

 

Histoire

C'est parfois utile d'habiter dans une grande ville, car par exemple les enfants des grandes villes où il y a beaucoup de rues qui portent des noms d'écrivains, de philosophes, d'artistes, de musiciens et d'homme politique apprennent plus vite les noms des hommes célèbres.

Par exemple quand j'étais petite, j'habitais dans une ville où il y avait une rue Thiers et un boulevard Gambetta, une rue Jules Ferry (et une école Jules Ferry où j' n'aillais pas), et beaucoup d'autres rues portant des hommes célèbres. En fait j'habitais une ville qui avait à l'époque  120 000 habitants (mais s'est dépeuplée), dans une agglomération d'un million d'habitants.

Et bien, ces noms là et tous les noms d'écrivains, de musiciens, de batailles (il y avait une rue d'Ièna et une rue d'Austerlitz), ont fait tilt plus facilement quand j'ai dû apprendre l'histoire de France ou la littérature; parce que ces noms m'étaient familiers dès ma plus tendre enfance. Je les entendais dire par oral avant de savoir les lire. Par exemple, l'enfant entend dire : Tiens, on va "Boulevard Gambetta", il y a un nouveau magasin intéressant, ou on va rue de l'Alma.

Quand j'étais petite ma rue portait le nom d'un philosophe et ensuite, j'ai habité dans une rue qui portait le nom d'un écrivain du début du XXème siècle et tout le quartier avait reçu ces noms d'écrivains peu connus, ensuite marié, j'ai habité dans une résidence qui n'avait plus que le nom d'un ancien élement du village et la rue dans laquelle se trouvait la résidence portait le nom d'un autre élément encore présent au coin d'une route.

Ensuite, j'ai habité dans un blog qui portait le nom d'un physicien, et les rus autour avaient des noms géographiques (une ville de Belgique et un département français)  pour atterir enfin dans un quartier aux connotations religieuses.

Vous voyez qu'au plus la ville est grande, au plus vous avez des noms culturels, et selon l'option politique de la ville au moment de la construction des rues, vous avez des noms des chantres de la République ou d'autres noms de rois, etc...

Bon, il y a des classiques : la rue Victor Hugo, la rue Balzac, la rue 2ola...

Et les rues de villes environnantes, toutes les grandes villes qui ont des "portes" ou qui avaeint des "portes" ont des rues ou des boulevards qui conduisent à ces portes qui comme les rues en question portaient le nom des grandes villes des environs; Et la rue porte souvent le nom de là où l'ancienne nationale  qui passait par là avant la construction des autoroutes, conduisait.

En Allemagne j'ai pu constater quatre grandes catégories :

Les rues d'hommes célèbres : Goethe-Straße, Beethovenstraße, ...

Les rues aux noms de fleurs : Edelweißstraße... et celle du jardin : Gartenstraße..

Les rues aux noms d'arbres : Lindenallee, Erlenstraße, Birkenstraße, Eichenstraße...

Les rues aux noms de villes : Pariser Platz, Potsdamer Platz, Berliner Allee...

Alors que dans les villages on apprend par les noms de rues et de places plutôt la nature, dans les villes on apprend plutôt la littérature, la musique et la politique...

C'est pour celà que les jeunes citadins apprennent plus vite que les jeunes des campagnes. On dit que c'est parce qu'ils ont plus de stimuli, ils peuvent aussi entrer plus facilement dans les librairies et regarder les livres, ou regarder les vitrines des librairies. Depuis mon adolescence, je me suis d'ailleurs souvent arrêtée devant les vitrines des librairies. Cela me permet de mémoriser les noms des nouveaux auteurs à la mode. Les jeunes des villes peuvent aussi regarder les affiches de spectable affichés sur les murs ou les colonnes Morris. Même s'ils ne les lisent pas, les noms s'impriment plus facilement dans leurs têtes.

Mais les noms de rues et de places, et même de villes peuvent servir au conditionnement politique : l'enfant qui habitait Engelsstraße (et pas Engelsraße) à Karl-Marx-Stadt (aujourd'hui Chemnitz) avait déjà appris les noms des deux auteurs les plus importants de son programme scolaire dès sa plus tendre enfance.

Le Leningrad, nom familier de mon enfance est redevenu St Petersbourg, mais on se demande vraiment pourquoi Königsberg est restée Kaliningrad! (kalinin était un révolutionnaire bolchevique, membre du 1er gouvernenet de l'URSS). Ne peut-on envisager une traduction russe de Königsberg? Pour que Königsberg soit à égalité avec St Petersbourg... et Chemnitz. Quand à Stalingrad, elle a perdu le nom du dictateur dès 1961 pour redevenir Volgograd.

domino