vendredi, 04 mai 2012
Le rêve de Doofie (2)
Roman-théâtre
Doofie, a fait un drôle de rêve cette nuit...
Doofie était sur une route très sinueuse avec Schnelly et d'autres personnes dans la voiture. La route était étroite et caillouteuse (c'était plus un chemin qu'une route), puis la voiture a disparu et ils se sont retrouvés à pied. En haut il y avait un village qu'ils devaient atteindre car c'est là qu'ils dormaient ou qu'ils habitaient.
Schnelly disait : "Pas de danger que l'on recontre quelqu'un sur ce chemin, il est peu fréquenté, on peut marcher au milieu". Et juste au même moment arrive en face, une voiture tous phares allumés (car il a fait soudain nuit!). Doofie se met à faire de grands signes : Eh! Eh! Nous sommes là! Et la voiture s'arrête sur sa partie de lacet, pour nous laisser passer.
Doofie ne sait pas ce qui s'est passé ensuite, mais elle s'est retrouvée dans le village en haut, elle enlevait les bagages d'une voiture qui les avait conduite là-bas. Elle sortait le linge pour faire la lessive, mais elle était dans une très grande pièce qui pouvait avoir appartenu à une abbaye. D'un seul coup, elle sortie une T-shirt de la valise, c'était un T-Shirt de Schnelly, plein de sable, tout ensablé.
Alors elle revoyait en pensée le chemin où ils étaient avant, la partie entre l'endroit où ils se trouvaient quand elle avait appelé la voiture, était très abrupte et ensablée et plusieurs vêtements de Schnelly étaient étalés là dans le sable et tout ensablés. Dont deux des beaux pulls qu'il a mis cet hiver. Elle s'est retrouvée de nouveau dans la pièce où elle était avant, avec seulement le T-Shirt de Schnelly dans ses mains, et la valise avec ses affaires à elle ddevant elle et elle a appelé Schnelly qui était dans une autre pièce à bavarder avec d'autres gens, comme il fait souvent lorsqu'ils vont quelque part, il ne reste jamais avec Doofie, mais va toujours bavarder à droite et à gauche.
"Schnelly", a-t-elle dit," Pourquoi as-tu laissé tes habits sur le chemin? Ils sont plein de sable maintenant...!"
"C'était pour alléger la valise!" a répondu Schnelly, "sinon, on ne serait jamais arrivés jusqu'en haut!"
"Bon, et maintenant, tu me feras le plaisir d'aller les chercher!" a dit Doofie, visualisant de nouveau l'endroit exact où ils étaient et les vêtements tout ensablés.
Puis elle s'est réveillée.
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Ce matin, Doofie s'est réveillé la première. Lorsque Schnelly est descendu, il avait sur le dos un T-Shirt du style du seul T-Shirt qui restait dans la valise. Mais où sont tes autres pulls, a demandé Doofie.
Là, a-t-il dit en montrant le tas informe dans un coin de la salle de séjour.Il a fait quand même l'effort de séparer les vêtements de ses livres et papiers, qui auparavant ne formaient qu'un seul tas mélangé!
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Pour Doofie, hi, hi!
domino
09:56 Publié dans Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, rêves
dimanche, 31 janvier 2010
Mauvais rêves.
Doofie a rêvé il y a 20 ans ceci :
Qu'elle n'avait plus le droit d'être prof et que pour gagner sa vie, elle était devenue chanteuse.
Qu'elle devait rendre tout ses diplômes à l'université, tous les diplômes acquis depuis sa jeunesse au prix d'un dur labeur. Disons quand même là que j'ai déjà surveillé un candidat de baccalauréat qui passait son bac en prison! Donc, même les criminels peuvent garder ou obtenir des diplômes, pourquoi Doofie devrait-elle rendre les siens. Pourquoi Doofie aurait moins de droits qu'eux?
Que le recteur d'académie avait prononcé sa destitution (alors qu'en fait, seul le ministre est habilité à destituer un professeur qui est fonctionnaire du ministère).
Comme avec son espace numérique de travail de l'univesité , on a mis aussi des insterdictions d'inscription comme à la défunte Bêtie, Doofie se dit que finalement on n'en est pas loin avec ce gouvernement populiste.
Bon, ceux qui prennent le train en route n'y comprendront rien. Lisez donc les notes précédentes depuis le début des histoires de Dummie, Doofie et compagnie en haut.
domino
03:36 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doofie, rêves, paranormal
dimanche, 13 septembre 2009
Le rêve de Schnelly
Le rêve de Schnelly
Doofie raconte ceci à son amie Foolie :
Hier dans la voiture, Schnelly m'a raconté un rêve qu'il a fait la nuit précédente.
Ah!, dit Foolie.
Doofie : Tu veux que je te le raconte?
Foolie : Si tu veux, pourquoi pas?
Doofie : Il m'a dit avoir rêvé de ses ancêtres.
Foolie : Ah! Il sait comment ils étaient...
Doofie : Et bien, c'est-à-dire, qu'il ne s'agit que de son père, de sa mère et de sa grand-mère maternelle.
Foolie : Ah! Et ils sont vieux?
Doofie : Non, ils sont tous morts.
Foolie : Condoléances!
Doofie : Mais, ils sont morts depuis longtemps!
Foolie : Ah bon, et ils lui apparaissent en rêve?
Doofie : Oui! D'abord il a rêvé de son père.
Foolie : Ah!
Doofie : Schnelly était dans notre lit. D'un seul coup son père est monté de la cave. Il est monté quatre à quatre les escaliers et il a jeté un immmense tas de linge qui était suspendu au séchoir de la cave sur Schnelly et il a dit en français : "Tu ne vas pas assez vite pour monter le linge!"
Foolie : Ah! Et qu'est-ce que tu as dit?
Doofie : Que son père, c'était moi, en effet il y a plein de linge qui sèche à la cave, j'ai demandé de le remonter et il ne l'a pas encore fait!
Foolie : C'est vraiment qu'il se fait un complexe de culpabilité, s'il en rêve!
Doofie : Ensuite il a rêvé de sa mère. sa mère était au rez-de-chaussée dans la maison, et Schnelly rentrait des courses. Sa mère lui a ouvert la porte et a dit en allemand : "Tu n'as pas encore amené ce qu'il fallait!"
Foolie : Et c'est vrai qu'il ne ramène pas ce qu'il faut?
Doofie : Oui, en fait on mange toujours la même chose parce qu'il amène toujours les mêmes aliments.
Foolie : Ah bon! C'est vrai que ce n'est pas bon!
Doofie : Puis, il a rêvé de sa grand-mère maternelle, sa grand-mère allemande et sarroise. Elle lui a parlé en sarrois et dit qu'il était "ein langsamer Bub".
Foolie : Un garçon lent! Comme cela ressemble à mon Langsamer Mann!
Doofie : En tout cas, c'est marrant ce rêve. On dirait que je lui ai parlé en me cachant sous les traits de ses ancêtres.
Foolie Et tu étais éveillée?
Doofie : Bien sûr que non, je dormais! Mais ce qui est marrant est que ses ancêtres lui faisaient des reproches que je lui fais en ce moment!
Foolie : En effet, c'est drôle, mais il devait avoir un complexe de culpabilité pour tout ce qui touche au ménage.
Doofie : C'est bien possible, mais ils sont drôles, ses rêves.... Ils collent vraiment à la réalité. ... Mais en fait, c'est mieux que ce soit ses ancêtres qui lui disent plutôt que moi, parce que ses ancêtres ont plus de poids que moi...
Foolie : A trois, ils sont plus lourds que toi?
Doofie : Non, je parle au sens figuré bien sûr, ils sont plus écoutés que moi!
(Doofie, Foolie et Schnelly sont des personnages de théâtre, toute ressemblance avec la réalité.... Mais non, c'est le mari de domino qui a vraiment fait ces rêves là!)
domino
01:46 Publié dans psychologie i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : schnelly, doofie, dummie, rêve, rêves, psychologie
lundi, 27 juillet 2009
Le marchand de sable
Hier soir, Dummie s'endormait sur son ordinateur. Quand Dummie dort debout, quand le marchand de sable passe, le soir vers 11 heures par exemple, Dummie pique du nez, et commence à rêver, ce qui ne dure pas bien longtemps, car le nez de Dummie piquant vers le bas de plus en plus, il finit par y avoir un moment, ou la tête ensomeillée devenant plus lourde que la partie du corps située au dessus de la chaise, Dummie atteint un point de déséquilibre des forces physiques qui par le phénomène d'attraction terrestre la relie au sol, que la tête ensommeillée, attirée au niveau du front par cette attraction, tombe lourdement et par un mouvement de survie, Dummie se réveille en sursaut et les bras écartés, rétablit son équilibre, évitant que la tête n'enter en contact avec l'ordinateur, faisant valser celui-ci.
Bon, Dummie s'endormant sur son ordinateur a rêvé de ceci :
Elle était dans une espèce de jardin labyrinthe avec des haies externes qui formaient un carré ou un rectangle et des haies internes qui délimitaient des carrés, des trous se trouvant dans les haies internes permettant de passer d'un carré à l'autre. Dummie se trouvait dans un coin du grand carré, donc, les haies, n'étaient trouées qu'à deux endroits, pour laisser la place pour passer dans les petits carrés adjacents. Elle était debout, au milieu, et des tombes étaient placés le long des côtés troués et les deux rangées formaient un coin, c'était des tombes avec de l'herbe et des fleurs, un peu comme les tombes allemandes, sans pierres tombales. Dummie se dirigea vers ces tombes, ou plutôt ces tombes se dirigeaient vers elle. Soudain elle eut l'impression que quelqu'un la prenait dans ses bras et la posa de l'autre côté du carré, ou deux rangées herbeuses dont la largeur faisait la longueur d'une tombe s'étaient formées le long de la haie, séparées du reste de l'herbe par une ligne blanche. On pris Dummie, comme on prend un enfant dans ses bras, mais Dummie n'est pas une enfant, et la personne qui la portait était invisible, et on la posa sur une des tombes pas enore creusée.
A ce moment Dummie se réveilla en sursaut, car elle piquait du nez, et sa tête ensoméillait atteignait le point critique où le corps perd l'équilibre, en se disant "Non, je ne veux pas mourir!" Puis elle bailla, chassa le sommeil, monta l'escalier et alla se coucher.
Ce matin, elle se réveilla, et se rendormit, deux fois... La troisième fois, elle rêva avant de se réveiller définitivement, pour la journée, et alors elle fit un cauchemar, elle se vit elle même en train d'écrire, à une table, il y avait derrière elle un géant gigantesque, horrible, qui faisait bien 3 mêtres de haut, ce n'était pas le géant sympa et souriant de sa ville, il était derrière elle, et avait un air menaçant, tout en la regardant, il était vêtu d'une redingote de style ancien, bleu foncée, ou noire, avec deux rangées de boutons dorés. Un peu comme on en portait au XIXème siècle!
Il parait que Dummie voudrait qu'on la fasse en géante, et qu'on la marie avec le géant sympa de sa ville, mais Dummie ne veut absolument pas être mariée à Reuze Papa, d'ailleurs, Reuze Papa doit déjà avoir une femme et des enfants. Mais ça, c'est une élucubration de domino, l'auteur du roman, il faut dire que Dummie au moment où elle s'est vue écrire (ou jouer de la guitare, elle ne sait plus trop), a ressenti ce géant comme menaçant, et se réveillant en sursaut et pensant au rêve d'hier, a pensé que c'était l'Ankou.
Dummie maintenant a peur, elle mesure chacun de ses pas, pour ne pas tomber, fait attention dans les escaliers, marche doucement en regardant où elle met les pieds, a décidé de ne pas sortir pendant trois jours, car généralement ses rêves prémonitoires, comme celui où elle a rêvé d'un sujet d'examen, se réalisent dans les trois jours.
Dummie s'est dit qu'il valait mieux le drie à domino qui fait sa biographie pour que ceci ne se réalise pas.
domino
14:42 Publié dans psychologie i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sommeil, rêve, rêves, psychologie
vendredi, 14 novembre 2008
Rêve
Cette nuit j'ai fait un drôle de rêve.
C'est bizarre, car pendant toute une période, j'étias incapable de me souvenir de mes rêves. Cependant je remarque qu'en ce moment, je me souviens de mes rêves mieux qu'avant. Mais leur souvenir s'estompe vite. En effet, j'avais plus de détails de ce rêve à l'esprit quand je me suis réveillée. Si je vous raconte ce rêve, c'est que je le trouve amusant.
J'ai rêvé de ceci :
J'étais dans une salle en cercle avec des gens qui chantaient. Une porte-fenêttre derrière moi donnait sur un parc. Les pesonnes se levaient chacune leur tour et chantaient une chanson. Soudain la fille qui était à coté de moi, s'est levée et à chanté une chanson de Moustaki avec une superbe voisx c'était à peu près le Métèque mais dont les paroles étaient quelques peu transformées par mon rêve, mais sonnaient bien. La personne faisait des pauses entre les phrases comme dans les chansons anglaises ou américaines récentes. Des intermèdes de guitare résonnaient entre les phrases, mais personne ne jouait de la guitare.
Malheureusement, je ne me souviens plus des paroles inventées par mon rêve, mais ça sonnait très bien.
Au bout de deux couplets la personne s'est arrêtée de chanter, sans doute sujette à un trou dé mémoire, ou alors parce que je voulais la faire taire, parce que personne ne me demandait de chanter.
Alors j'ai profité de la pause pour continuer, et je me suis mise à chanter de ma plus belle voix :
"Les lou-oups, les loups, les loups,, sont entrés dans Paris..." de Serge Reggiani.
Je dois dire que ça sonnait très bien, mais tout le monde est parti.
Je me suis retrouvée dans une autre piièce, face à une table ou des disques étaient rangées dans une caisse.
Un homme, relativement jeune, m'a dit :
"Tu devrais chanter du Trénet".
Alors, j'ai répondu :
"Oui, je connais celle-là."
J'ai sorti d'une des caisses un disque de Trénet, je luis ai montré le disque parce que la chanson se trouvait dessus et j'ai chanté une chanson tout à fait inventée par moi sur le moment, paroles et muisque. Mais tout à fait dans le style de Trénet. (Malheureusement le réveil a effacé les paroles très bien rimées et la musique de mon esprit).
Alors, nous sommes sottis de la pièce (je ne sais plus ce qui s'était passé dans l'intervalle, cale a été effacé par le réveil), puis nous sommes retournés dans la pièc, et le jeune homme était toujours là. Je lui ai demandé, si ces paroles de Trénet convenaient vraiment pour le groupe d'enfants que je devais faire chanter, car on y parlait des femmes comme dans Amterdam de Jaques Brel (je dois dire que les paroles que je chantais maintenant, n'avaient plus rien à voir avec la chanson précédente dans le style de Trénet, c'était des paroles du style de Jaques Brel (mais encore inventées par moi), sur une musique de style Trénet. Le réveil a effacé ces paroles là aussi.
Puis, nous sommes sortis de cette pièce et sommes entrés dans une autre, il y avait une grande table de bois, style grande planche mise sur des trétaux, je me suis assise à la table à coté d'un homme jeune encore, qui était professeur de musique. De l'autre coté de lui était assis un autre homme habillé BCBG, d'environ 40 ans. En face il y avait trois autres personnes qui étaient aussi élèves de ce prof. Tout le monde était assis à cette table avec des papiers devant lui. Et de la musique devant lui.
Moi, aussi, j'avais de la musique devant moi, mais les papiers n'étaient pas toujours là, et vous allez voir qu'ils vont disparaître à un moment critique.
Le prof de musique qui était soit l'un de mes anciens collègues de musique, soit mon dernier prof de gutiare, paraissait calme extérieurement, mais on sentait qu'il était énervé.
Cette fois-ci, j'avais une guitare sur les genoux.
Il m'a dit :
'Allez, Dominique, vas-y, chante la chanson!"
Je ne m'en souvenais plus.
Je demandais au prof :
"Qui est l'homme assis là-bas?"
"C'est l'inspecteur", m'a-t-il répondu, "l'inspecteur de musique".
"Ah..."
Alors, je me suis mise à perdre complètment le fil de ce que je devais jouer. J'étais vraiment très inquiète. Je devais jouer et chanter cette chanson pour que mon prof ait une vonne note, et je n'y arrivai pas. Mes partitions avaient même disparu du dessus de la table.
Alors, j'ai pris une décision soudaine, je vais improviser.
J'ai joué quelques accords, avec mon pouce.
"C'est pas çà", m'a interrompue le prof.
J'ai regardé l'inspecteur, qui impertubablement, regardait les papiers qu'il avait devant lui, le stylo à la main, et j'ai regardé mon prof en fronçant les sourcils :
"Je vais jouer cela, je ne me souviens plus que de ça".
"Mais..."
"Si, si.."
Alors je rejouais les mêmes trois accords, puis un pett morceau de gutiare, je ne sais pas dans le style de qui, c'était assez simple et ça sonnait un peu comme une chanson, mais je ne chantais pas...
Je jetais un coup d'oeuil à l'inspecteur, qui restait imperturbable, mais avait l'air satisfait (Ouf, pour mon prof!), et je me suis réveillée....
En me demandant vraiment pourquoi j'avais fait ce rêve... Est-ce que je vais apprendre que mon ancien collègue de musique a été inspecté? Mystère....
Physiquement, ce prof qui ne ressemblait à aucun prof que j'ai eu, semblait avoir de temps en temps le nom de mon ancien collègue de muisque, de temps en temps le nom de mon dernier prof de gutiare.
Les lieux avaient des caractéristiques de lieux que j'ai connu :
- Les personnes en rond dans une pièce dans laquelle j'avais une porte-fenêtre dans le dos, cela correspond à un endroit où j'ai fait un stage de guitare dans un châeau, et où tous les débuts de l'après-midi, nous pouvions aller à la chorale, et où les personnes qui chantaient étaient disposées en rond.
- Les disques dans des boîtes en bois, c'est ainsi qu'étaient disposés les disques lors des cours de danse folk.
- Quand à la grande table sur trétaux qui était dans une tente ouverte sur mon coté droit, cela doit correspondre à des kermesses ou des repas d'associations ou de fêtes auxquels je suis allée.
domino
12:01 Publié dans quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, onirisme, onirique, rêves, nuit, sommeil paradoxal
mercredi, 28 mai 2008
Des rêves s'envolent....
Mon rêve d'avoir l'agrégation cette année encore, s'est envolé.Pour d'autres aussi des rêves s'envolent : celui de réussir un grand saut à 40 km d'altitude (40 000 m) pour le parachutiste Michel Fournier.
Lien : Clic, clic....
Le cêble qui reliait la nacelle coupé au sol. Hmm! Sabotage, sabotage... Enfin, il est indemme, c'est le principal, et il va remettre ça.
Vais-je remettre ça aussi? Passer encore et encore l'agrégation à un âge avancé.
Pourtant mon français était bon, mon allemand était bon, mes dissertations étaient en trois parties, avec des transitions, j'avais cherché un plan pendant toute la première heure pour chaque dissertation, etc... etc... Sabotage! Sabotage!
J'ai interprété Ernüchterung dans le sujet sur le roman de Volker Braun par désillusion, comme c'est le cas pour moi maintenant. Je pense que c'était bon. "Ich bin ernüchtert, weil ich die Agrégation nicht bestanden habe." J'ai perdu mes illusions parce que je n'ai pas l'agrégation. J'ai dit que c'était un roman de la Ernüchterung parce que Volker Braun pense que la RDA a manqué son but, mais comme ma professeure le pensait, mais pas moi, mais je l'ai écrit quand-même, qu'il y avait un espoit à la fin, parce que Lisa regardait par la fenêtre avec son enfant (moi, je trouvais qu'elle était plutôt triste et qu'elle voyait au contraire ses illusions s'envoler, en même temps que son mari). Je donne ces détails sur ma dissertation maintenant parce que ces détails sont parus. Je n'ai reparlé de cette dissertation avec personne depuis, la professeure n'a contrairement à l'agrégation interne (pour laquelle j'avais par hasard le même plan qu'elle).
(J'ai vu que alors que j'étais la dernière de la rangée, classée sous mon patronyme et pas sous mon nom marital, ce dernier étant le seul connu de la plupart des gens, que la dame qui ramassait les copies mettait les miennes sytématiquement au dessus du tas sans la classer : je me suis demandée, si elle classait le tas à l'envers, si elle allait le classer après, ou si elle allait prendre ma copie et la mettre aillleurs... L'année dernière après l'agrégation interne que nous avions passé dans une immense salle, il n'y avait personne au bout de ma rangée pour ramasser les copies et alors que je faisais la queue à la rangée d'à coté, une dame est venue de l'autre bout de la salle me prendre ma copie qu'elle a mise dans une pochette toute seule, on m'avait fait signer aussi pour le deuxième jour un bordereau qui n'était pas réglementaire, car la dame "n"'avait pas le bordereau de la journée", et j'avais du signer à un endroit sans colonne sur le bordereau de la veille. Et pourtant à cette époque, je n'avais pas encore eu l'histoire du paperboard et j'avais été inscrite à la formation en didactique pour l'agrégation interne)
(J'ai fait passer et surveillé de nombreuses fois le baccalauréat, au baccalauréat on ramasse les copies selon un plan écrit sur une feuille et au tableau ; les élèves étant disposés de façon à ce que le professeur qui ramasse les copies ne doive pas revenir au bout de la rangée, c'est à dire qu'une rangée sur deux est en ordre alphabérique inverse). Les deux ou trois (ou plus, si les salles sont grandes) surveillants de la salle vérifient avant de quitter la salle si toutes les copies sont là et bien classées, l'un dit le nom, pendant que l'autre dit le numéro de table, l'un tenant les copies et l'autre vérifiant sur le bordereau. Puis le chef de salle descend avec les copies et un CPE ou le proviseur adjoint vérifie de nouveau si l'ordre des copies correspond bien au bordereau et si les copies sont toutes là, les professeurs surveillants ont fait au préalable une copie pour les absents dont les en-têtes sont remplies par le professeur surveillant, et sur laquelle le professeur inscrit en grand et en rouge "ABS" au travers de la première page. Ainsi, il ne peut pas y avoir de décalage entre les copies. Le CPE ou le proviseur adjoint vérifie encore une fois les copies (l'ordre, si les numéros de table sont bien reportés, et si toutes les copies dont celles des absents sont là). Et ensuite seulement, elle sont mise de coté pour être rognée pour l'anonymat, ce qui se fait dans l'établissement même.)
(Par la suite, les copies sont acheminées dans un autre centre d'écrit ou les correcteurs viennent les chercher. Chaque correcteur vérifie avant d'emporter son paquet si toutes les copies sont là (dont celles marquées absent). Lorsqu'il amène son paquet on vérifie encore si toute les copies du bordereau sont rendues par le correcteur, qui les amène dans le centre où sont faites les délibérations avec le livret scolaire qui sert à rattraper certains élèves (ceux qui ont travaillé sérieusement généralement, ou ceux qui avait un avis favorable du conseil de classe et n'ont pas bien réussi. J'ai vu parfois baisser les notes d'un élève chahuteur à qui il ne manquait pas grand chose pour l'avoir, pour qu'il ne puisse pas râler pour quelques points). Bien sûr on ne baisse jamais les notes d'un élève qui a la moyenne ou le 8 pour passer l'oral de contrôle. Lors des délibérations, l'anonymat est levé, mais je pense que dans la plupart des cas, aucun des correcteurs présent ne connait les élèves, puisque ce ne sont pas ceux de son coin).
Je ne sais pas si à l'agrégation nous avons des appréciations de nos professeurs, je n'étais pas inscrite au CNED cette année et personne ne m'a prêté les cours, mais j'ai été très assidue à l'université. En tout cas, si nous avions des appréciations ou des avis, j'imagine ceci, Domino2 étant mon nom marital et Domino1, mon nom de naissance.
Liste à remplir :
domino Domino 1 :Illustre inconnue! N''a pas fréquenté l'univesité cette année!
Nom ajouté à la liste :
domino Domino 2 : Excellent travail.
Vérification des appréciations :
domino Domino 1 (a composé) : avis défavorable de l'univesité, on baisse ses notes, elle ne sera pas admissible (c'est mon nom d'inscription).
domino Domino 2 ; (ne figure pas sur les listes des candidats inscrits et ayant composé). Excellent travail de la part de l'université... Dommage qu'elle ne l'ai pas passée!
En fait domino Domino 1 et domino Domino 2 sont une seule et même personne, mais personne ne s'en rend compte!
Mais attention, je ne suis pas la domino du CAPES qui est une autre domino.
Je ne suis pas non plus la Domino2 du CAPES de documentation, d'ailleurs elle n'a pas le même prénom que moi. Et jamais au grand jamais, je ne passerais ce CAPES, d'ailleurs je ne peux plus passer de CAPES, parce que étant bi-admissible, je suis au dessus du niveau du CAPES. C'est un grade au desus mais qui est également dans le corps des certifiés.
domino
11:08 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : parachutisme, rêves, performances, agrégation