vendredi, 26 octobre 2007
Le rap de l'i-grimoirienne traquée...
Le rap de l’i-grimoirienne traquée
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discret.
Non, je n’habite pas à Hénin-Beaumont,
Pas plus que près des studios Gaumont,
Je n’habite pas à Merlimont,
Pas plus qu’à Marly-Gaumond*,
Quoique, quoique, quoique…
Si c’est loin, euh… :
Non, je n’habite pas à la Martinique ,
Et même si je m’appelle Dominique
Je n’habite pas à la Dominique ,
Et même si je chante un peu,
Je ne suis pas non plus Miss Dominique,
Les blogueuses ont le droit d'avoir des secrets,
C'est pourquoi vous devez rester discrets....
Non, je n’habite pas à Méricourt,
Ni à Abancourt, ni à Achicourt,
Pas plus qu’à Boulogne-Billancourt,
Et pourtant il y a une tour,
Ah ! Que je ris !
Je n’habite pas à Paris.
Ni à Vienne, ni à Lyon,
Ni à Berlin, ni à Hautmont,
Ni à Maubeuge, ni à Jeumont,
Si je connais cette région ?
Non, je n’habite pas à Montélimar,
Et y va y en avoir marre,
Si vous me demandez où j’habite,
Na, j’m’en va manger des frites…
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discrets…
Non, je n'habite pas à La Rochelle,
Ni à Courcelles, ni à Sarcelles,
Y’a 36 OOO communes en France,
Prenez le dictionnaire,
Et si vous avez de la chance,
Avant de faire une crise de nerf,
Entre le 20 000 et le 30 000
Nom de village, de ville, de commune,
Peut-être que vous trouverez la mienne,
C’est pas loin, c’est pas sur la lune.
C’est petit, pas très grand, presque un village,
Là où je prends de l’âge.
Mais…
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discrets.
domino
*Principe poétique de l’intertextualité…
20:55 Publié dans poésie i-grimoiresque de 2007 - 1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, rap, poèmes, poésies, poème, chanson
lundi, 15 octobre 2007
Le polar de mon i-grimoire....
Il y a (avait) un polar sur mon i-grimoire,
Je n'ai pas encore eu le fin mot de l'histoire,
"Une femme avec une femme"
Il y a quelques années,
Ou aiment le même homme deux femmes,
Et un ou des enfants sont nés.
L'évincée s'en va dans les montagnes,
Mais en regardant vers la campagne,
Trouve la trace de ses anciennes amours
Partout sur le web et tout alentour,
Mais moi dans tout ce MLF,
Je n'ai pas trouvé qui étaient ces elfes,
En tout cas pas bienveillantes,
Quand de la guerre elles sont sur la sente.
Qu'en ai-je donc à faire,
De toute leur affaire...
L'une l'agrégation en tête,
Préparant son Champagne pour la fête,
D'équipe de travail vient faire proposition,
Et moi fière cavalière solitaire,
Qui travaille seule ma terre,
Je refuse la collaboration.
Mais voilà qu'on m'offre des roses
Butinées par des abeilles,
Et que l'on me propose
D'aller dans le midi sous la treille,
Où je ne suis pas allée
Arpenter ses allées.
Et sous la pluie de septembre
Voilà que mon i-grimoire tremble,
Comme des feuilles de chêne,
Et l'orage de se déchaîne,
Avec ses petits pixies,
Ces trois petits êtres aimants,
Dans leur cabine entourée de vent,
Qui ne demandent rien à personne,
Lorsqu'autour d'eux l'orage tonne,
Qui ne demandent que la vie,
Virtuelle peut-être
Mais ils ne demandent qu'à être.
A chaque fois que l'orage
Déclenché par les outrages
Des autres personnes,
Qui viennent ici nous ennuyer,
Tous trois se metent à trembler
Pour leur vie dans leur cahutte
Entre les champs de blés
Des aéroports
du Nord.
Quand deux femmes se disputent,
Que loin d'elle parte l'idée,
De se décharger sur une autre,
Qui n'a rien demandé,
Et vienne ternir une ambiance,
Que l'on commençait à donner,
Sous quelques flonflons de danse,
A mon i-grimoire notoire,
Pour essayer de me donner,
De loin quelque contredanse.
A moins que mon temps étant précieux,
Elles ne trouvent rien de mieux,
Que de me le faire perdre,
A me faire courir des lièvres,
Pour qu'à la fin de l'année,
Il n'y ait pas de lauriers.
Et veulent me mettre en non-activité,
Pour que je ne puisse pas concourir,
Et veulent me faire mourir,
De chagrin pour l'année râtée.
A moins que plus simplement
Elle ne se disputent mon amitié,
En se chassant mutuellement,
De mon i-igrimoire bien né.
Quand on vous cherche des noises
Et qu'on vient ternir le ciel bleu
Et augmenter votre ardoise,
En vous donnant quelques bleus,
De rime je n'ai rien trouvé de mieux,
Il vaut mieux en faire un poème,
Et retrouver les i-grimoiriens qu'on aime,
Avec qui on vit Haut et Fort,
Et même en faire une chanson,
Que l'on chantera sans façons,
Plutôt que de crier au scandale,
Ce qui nous donnerait tort.
N'écoutons points les vandales,
Allons traîner nos sandales,
Près de la pure fontaine,
Des mots qui coulent sans peine,
Dans les bois i-grimoiriens,
Et sauvons pixels et pixies,
Qui ne demandaient rien,
Que de rester en vie,
Dans leurs cahuttes d'aéroport,
Pour que les avions ne perdent pas le Nord.
domino
NB : Toute ressemblance avec des évènements ayant réellement existé ou existant encore est totalement fortuite.
2ème NB : En allemand ceci s'appelle un Gelegenheitsgedicht.
12:20 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poésies, poème, poèmes, petite pixie
mercredi, 26 septembre 2007
Les petits pixies.... ont-ils peur?
Ce soir
Il fait tout noir
Et la petite pixie
Ne m'a rien dit.
Les petits pixies
Ont tous disparus
Des aéroports
Du Nord.
Peut-être qu'ils ont eu peur
des sorcières
Et des comères
Car c'est bientôt
Halloween
Où ils sont
C'est un mystère
Mais de toute façon
Ils reviendront,
Eliot
Notre pote
Et les petites pixies
Gentilles.
domino
23:30 Publié dans A propos de la petite pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, Eliot, poème, poésie, poésies, poèmes
mardi, 04 septembre 2007
!il fait froid cette nuit
Ce soir dans le creux de mon oreille Eliot m'a dit :
"Ce soir je suis tout seul
A mesurer le vent
A regarder les étoiles
Qui scintillent sur la toile
Là-bas toute seule
Vers le couchant
Ma petite pixie
N'est pas endormie
Comme moi elle regarde
S'il y a des nuages
Et monte la garde,
Du coté des bocages.
Les étoiles brillent
Sur nous deux
Et nos regards
vont vers les cieux
Qui scintillent
La même étoile
Nous regardons
Et sur la toile
Et nous nous aimons.
Petite pixie
Il fait froid ce soir
Mais mon espoir
A grandi
De nous voir un jour
Réunis
toujours
pleins d'amour."
Eliot m'a ajouté dans mon oreille que ses poèmes ne sont pas si beaux que ceux de la petite pixie. Mais je l'ai consolé, je lui ai dit, si, je le porterai à la petite pixie. Voilà qui est fait...
domino pour Eliot (dans Poèmes d'Eliot n° 7)
23:35 Publié dans Les poèmes d'Eliot, le météorologue. | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : Eliot, petite pixie, poèmes, poésie, poésies, poème
lundi, 20 août 2007
Ma soeur n'a pas de parapluie
Dans le creux de l'oreille, ma petite pixie m'a dit :
"Oh!
Chez ma soeur
de coeur
Il fait beau,
et le jour et la nuit,
Elle n'a pas eu de parapluie.
Quant à Eliot et moi,
sous nos parapluies
Quel ennui!
On a froid.
Quel été !
Où nous fûmes
Enrhumés
Et nous eûmes
A éternuer!"
domino pour la petite pixie dans poèmes de la petite pixie (poème de la petite pixie n°22)
12:05 Publié dans Poèmes de la petite pixie n°s 19 à 26 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : petite pixie, Eliot, poésie, météo, poèmes, poème, poésies
lundi, 13 août 2007
Eliot et les étoiles....
Dans le creux de mon oreille, au téléphone, Eliot m' a dit :
"Là haut, tout là-haut
Le beau ciel étoilé
A remplacé
Les nuées
Chargées d'eau,
Et de cette terre
Je vois Jupiter
Et Uranus,
Mais de toutes les étoiles
Que l'on voit sur la toile
Du ciel clair,
Mon étoile préférée
C'est Vénus
qui, c'est clair,
me fait penser
A ma petite pixie
Jolie..."
domino pour Eliot (dans poèmes d'Eliot n° 6)
23:55 Publié dans Les poèmes d'Eliot, le météorologue. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Eliot, petite pixie, poésie, poèmes, poème, poésies