lundi, 15 octobre 2007
Le polar de mon i-grimoire....
Il y a (avait) un polar sur mon i-grimoire,
Je n'ai pas encore eu le fin mot de l'histoire,
"Une femme avec une femme"
Il y a quelques années,
Ou aiment le même homme deux femmes,
Et un ou des enfants sont nés.
L'évincée s'en va dans les montagnes,
Mais en regardant vers la campagne,
Trouve la trace de ses anciennes amours
Partout sur le web et tout alentour,
Mais moi dans tout ce MLF,
Je n'ai pas trouvé qui étaient ces elfes,
En tout cas pas bienveillantes,
Quand de la guerre elles sont sur la sente.
Qu'en ai-je donc à faire,
De toute leur affaire...
L'une l'agrégation en tête,
Préparant son Champagne pour la fête,
D'équipe de travail vient faire proposition,
Et moi fière cavalière solitaire,
Qui travaille seule ma terre,
Je refuse la collaboration.
Mais voilà qu'on m'offre des roses
Butinées par des abeilles,
Et que l'on me propose
D'aller dans le midi sous la treille,
Où je ne suis pas allée
Arpenter ses allées.
Et sous la pluie de septembre
Voilà que mon i-grimoire tremble,
Comme des feuilles de chêne,
Et l'orage de se déchaîne,
Avec ses petits pixies,
Ces trois petits êtres aimants,
Dans leur cabine entourée de vent,
Qui ne demandent rien à personne,
Lorsqu'autour d'eux l'orage tonne,
Qui ne demandent que la vie,
Virtuelle peut-être
Mais ils ne demandent qu'à être.
A chaque fois que l'orage
Déclenché par les outrages
Des autres personnes,
Qui viennent ici nous ennuyer,
Tous trois se metent à trembler
Pour leur vie dans leur cahutte
Entre les champs de blés
Des aéroports
du Nord.
Quand deux femmes se disputent,
Que loin d'elle parte l'idée,
De se décharger sur une autre,
Qui n'a rien demandé,
Et vienne ternir une ambiance,
Que l'on commençait à donner,
Sous quelques flonflons de danse,
A mon i-grimoire notoire,
Pour essayer de me donner,
De loin quelque contredanse.
A moins que mon temps étant précieux,
Elles ne trouvent rien de mieux,
Que de me le faire perdre,
A me faire courir des lièvres,
Pour qu'à la fin de l'année,
Il n'y ait pas de lauriers.
Et veulent me mettre en non-activité,
Pour que je ne puisse pas concourir,
Et veulent me faire mourir,
De chagrin pour l'année râtée.
A moins que plus simplement
Elle ne se disputent mon amitié,
En se chassant mutuellement,
De mon i-igrimoire bien né.
Quand on vous cherche des noises
Et qu'on vient ternir le ciel bleu
Et augmenter votre ardoise,
En vous donnant quelques bleus,
De rime je n'ai rien trouvé de mieux,
Il vaut mieux en faire un poème,
Et retrouver les i-grimoiriens qu'on aime,
Avec qui on vit Haut et Fort,
Et même en faire une chanson,
Que l'on chantera sans façons,
Plutôt que de crier au scandale,
Ce qui nous donnerait tort.
N'écoutons points les vandales,
Allons traîner nos sandales,
Près de la pure fontaine,
Des mots qui coulent sans peine,
Dans les bois i-grimoiriens,
Et sauvons pixels et pixies,
Qui ne demandaient rien,
Que de rester en vie,
Dans leurs cahuttes d'aéroport,
Pour que les avions ne perdent pas le Nord.
domino
NB : Toute ressemblance avec des évènements ayant réellement existé ou existant encore est totalement fortuite.
2ème NB : En allemand ceci s'appelle un Gelegenheitsgedicht.
12:20 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poésies, poème, poèmes, petite pixie
Les commentaires sont fermés.