vendredi, 29 juin 2007
Qu'y a t-il de positif...?
J'ai rêvé que le recteur (je ne sais d'ailleurs pas à quoi il ressemble, car en plus il change tous les ans !) demandait à ma principale :
- Le recteur : Il n'y a pas que du négatif dans ce qu'à fait Mme domino dans votre collège ?
- Ben, a répondu la principale, (elle a répondu ben parce que c'était un rêve, sinon elle aurati répondu et bien...), vous savez du positif, tout le monde en fait, tous mes professeurs en font, si elle a fait du positif, c'est normal, tout le monde fait du positif.
- Le recteur : Et du négatif, qu'a-t-elle fait de négatif ?
- La principale :
- (Grosse énumération) :
. Ele a fait une exposition sur l'Allemagne qui a gêné tout le monde ! Surtout quand elle était à l'université le Jeudi. Sa collègue devait faire attention à ce que les élèves n'emmènent pas les petits drapeaux...
. Elle a fait remplir des fiches de CDI aux élèves, qui leur ont pris à chaque heure deux minutes de travail pris sur le temps où ils travaillaient (traduction : ou ils n'auraient rien fait s'ils n'avaient pas eu les fiches) au CDI.
. Elle a commencé un projet sur l'allemand et les Pays d'Europe du Nord et de l'Est, qui n'a pas débouché sur une exposition, pour cela elle restait une heure de plus tous les soirs, jusqu'à la fermeture du collège, ce qui gênait le service des agents chargés de faire la fermeture du collège.
. Elle a fait des clubs entre midi ce qui génait sa collègue qui voulait profiter tranquillement des ordinateurs à cette heure là pour faire sa correspondance personnelle et syndicale.
. Elle a rangé tous les documents de la bibliothèque de documents à sa façon, plus accessibles aux élèves, mais avant la venue de l'inspecteur de la Vie Scolaire, sa colègue a du tout remettre selon la classification Dewey, ce qui lui a occasioné une perte de temps.
. Et surtout, surtout, elle nous a ennuyé trois soirées par semaine, tant qu'elle allait à l'université préparer son agrégation et quatre soirées par semaine en juin, à travailler jusqu'à 17h45.
Le recteur :
- Elle travaillait pour son agrégation, je suppose !
La principale :
- Non, il paraît qu'elle ne travaillait que pour nous.... C'est à vérifier. On la voyait toujours taper sur l'ordinateur de la documentaliste avec un livre ou une revue (comme Wapiti ou TDC) posée sur le coté, peut-être qu'elle faisait semblant... c'est du moins ce que nous supposons, mme domino ne peut pas travailler réellement. D'ailleurs avec 140 de Q.I., elle devrait travailler plus vite et donc rester moins longtemps.
Le recteur :
- Bon et bien, puisque mme domino était gênante pour votre collège, je vais changer son rattachement, puisqu'elle faisait chez vous un service de rattachement de titulaire remplaçante, je suppose....
La principale :
- J'en suis fort aise...
(A la rentrée, en septembre. 2007...)
La principale au corps professoral :
Et bien, la documentaliste que j'attendais n'a toujours pas été nommée. Et de plus Mme .... , ma professeur d'allemand en CLM, qui était remplacée l'année dernière par Monsieur Occitan, qui a eu sa mutation pour un poste fixe, je ne sais pas si c'est dans l'Académie ou en Occitanie, est toujours en CLM et Mr Occitan n'est plus disponible. De plus avec l'arrivée d'une deuxième sixième bilangue, j'ai beaucoup de nouvelles inscriptions en allemand, et si un ou une TZR avait été là pour faire les quelques heures supplémentaires d'allemand, cela aurait été interessant.
Un prof :
Autrement dit, vous avez besoin maintenant de deux professeurs d'allemand.
Une prof d'espagnol :
Oui, c'est à cause de tout le tintamarre qu'ils font dans le primaire, avec l'association de jumelage franco-allemand dans laquelle mme domino officie. D'ailleurs en juin dernier, ils ont fait venir une classe de primaire allemande, et il paraît que depuis tous les élèves de cette école primaire veulent faire allemand! Mme domino était même là, elle a fait l'interprète toute une après-midi pour eux, et ils l'ont prise pour une allemande!
Les profs :
Ah oui! Et Mme domino ? Elle ne peut faire le remplacement de Mme ..... ?
La principale :
Elle est rattachée ailleurs, je ne peux plus en disposer.
Certains profs et les surveillants :
Ah ! C'est dommage, car elle nous avait beaucoup aidé l'année dernière...
La principale :
Aidés ? Aidés ? Elle a surtout géné le service des agents !
Les agents (sauf la concierge et le monsieur qui a passé la tête dans la porte du CDI, le soir où le rouleau de paperboard s'était éclipsé) :
Mais nous aimions bien Mme domino, elle nous faisait toujours de beaux sourires !
La principale :
Toujours est-il que je n'ai toujours ni documentaliste, ni professeur d'allemand...
(Une semaine plus tard, au conseil d'administration)
La principale :
Je n'ai toujours ni documentaliste, ni professeur d'allemand. Pour la documentaliste, je vais faire ouvrir le CDI provisoirement par les surveillants, qu'ils surveillent les élèves en permanence ou au CDI, cela revient au même. Mais je n'ai pas de surveillants qui parlent allemand.
(un mois plus tard, au conseil d'administration)
La principale :
Pour la documentaliste, la situation provisoire de prendre des surveillants s'éternise, mais ils veulent être à deux à cause des deux salles, et ils se relaient toutes les heures ce qui fait que le service manque de continuité, de plus les élèves se plaignent que le CDI n'est plus ouvert aux récréations, parce qu'à cette heure là, les surveillants surveillent la cour et les couloirs.
Pour le ou la professeur d'allemand, je n'ai toujours personne, nous risquons d'y perdre notre classe bilangue, je sais que mme domino est disponible parmi les titulaires suppléants, mais je ne veux pas la prendre. Et je ne porterai pas la décision de prendre mme domino ou non comme remplaçante en allemand au vote du conseil d'administration, parce que j'ai peur que les représentants de parents et d'élèves votent pour sa venue. Donc, c'est non !!!!
etc....
(Un an plus tard, au pot de sortie... en juin 2008)
La principale :
Finalement, je remercie les surveillants qui se sont occupés toute l'année du CDI, c'étaient vraiment une tâche difficile pour eux... Quand à l'allemand, j'ai perdu ma classe bilangue, car je n'ai pas eu de professeur d'allemand de toute l'année, elle sera donnée au collège ... de ... où mme domino va être nommée la rentrée prochaine. Je plains son futur principal.
(...)
Quel rêve, un véritable cauchemar ! Mais la fin en est douce quand même. Je veux dire l'avant-dernière phrase de la dernière réplique.
domino
09:05 Publié dans Enseignement (1) - Vie et anecdotes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation, allemand, CDI, documantation
vendredi, 22 juin 2007
Titeuf au CDI...
Je ne sais plus qui c'était ou si c'était un rêve que je faisais sur le CDI. Quelqu'un m'a demandé "Vous aimez bien Astérix?" 'Jai répondu "Oui!". Vous aimez bien "Tintin"? J'ai répondu "Oui!". Vous aimez bien "Les Stroumpfs?" j'ai répondu "Oui!"
Vous aimez bien "Titeuf" ? J'ai répondu oui, mais je ne le vois pas au CDI ! (dans le sens, Titeuf n'est pas assez correct pour le CDI...).
Ah ! Je vois cela déjà d'ici... J'en ai d'ailleurs peut-être rêvé cette nuit. Dans mon rêve, il y avait sur le présentoir des BD du CDI, "Titeuf au CDI".... Quoiqu'il y a quelquefois des jeunes filles qui cherchent des livres sur la santé des adolescentes. ça pourrait leur servir.
Bon, passons....
domino
12:30 Publié dans Enseignement (1) - Vie et anecdotes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation, CDI, bande dessinée
Le complexe de culpabilité...
L'ennui est que quand quelqu'un est convoqué à la médecine du rectorat, et que l'on apprend que c'est de la faute de ses collègues, ses collègues commencent à se faire des complexes de culpabilité (car ils ne sont pas tous insensibles et harceleurs). Ceci est valable si le prof est connu, s'il est depuis dix ans dans l'établissement.
Avec les TZR, la tâche est plus facile, on les convoque pendant les grandes vacances, ils disparaissent et on croit qu'ils ont été mutés. Très bien pour cacher que le professeur a été mis en congé maladie "d'office", contre son consentement.
On ne vous voit plus l'année suivante? Vous étiez seulement peut être en suppléance ou rattaché ailleurs. Personne parmi vos collègues n'a compris que vous aviez un gros problème administratif. Alors faites plus attention à vos collègues de passage. Renseignez-vous sur eux, pour voir s'ils n'ont pas été mis à pied.
Mais savez-vous que ces médecins essaient de vous impressioner en utilisant l'intimidation. En 2002 on m'a menacée de sanctions administratives si je ne faisais pas moi-même la lettre de demande de congé. En 2005, je n'ai même pas répondu à une convocation, j'ai continué à travailler, je ne sais pas si j'ai eu un blâme, je ne vais jamais voir mon dossier, je pourrais en faire une dépression si je voyais tous les mensonges qu'il y a dedans. On y garde tout depuis le début de la carrière. Je l'avais vu de l'extérieur à la médecine du rectorat en 2002. Il faisait au moins 50 cm d'épaisseur. Et avec tous les rapports que divers principaux, principales et personnels ATOSS ont fait sur moi, il doit faire actuellement 1 mètre d'épaisseur. Il est peut-être en plusieurs tomes.
Si vous êtes élèves ou étudiants, vous devez vous dire "On traite les professeurs comme des élèves". Pire que cela : dans un dossier d'élèves, les rapports de professeurs restent un an. Ils sont enlevés au bout d'un an du dossier. Alors que pour les profs, si un parent d'élèves fait une lettre pour expliquer que votre méthode pédagogique est trop moderne pour lui, que les méthodes traditionnelles avaient du bon, que lui, quand il était élève, il n'a pas appris comme vous apprenez à son fils, tout cela restera dans votre dossier et 30 ans, presque 40 ans plus tard on vous dira par exemple lors d'une inspection ou de la remise d'une note administrative : "Oui, mais vous voyez en 1984.... on avait dit cela de vous.... c'est toujours vrai aujourd'hui".
C'est pour cela, je dis tant que je peux aux jeunes : "Faites la grève du métier de prof. Ne soyez pas professeurs. Sinon vous aurez beau adorer votre métier vis à vis des élèves, vous serez toujours brimés par votre administration et rendus dépressifs par votre administration. Vous perdrez autorité et assurance à cause de votre administration.
domino
12:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation
A propos de tout cela...
A propos de tous les articles que je vous ai écrit hier, je dois simplement dire qu' à tout cela il y a une solution simple : me changer d' établissement de rattachement, administratif, puisque si je n'ai réellement pas obtenu satisfaction pour ma mutation, et que je garde la même zone de remplacement, pour m'ôter des griffes de ma principale, au lieu de me mettre en congé maladie pour un an, il vaut mieux trouver quelque part un principal ou un proviseur plus conciliant. Et qui a moins d'oeuillères, et ne pas lui donner le négatif de mon dossier qui influence tous les proviseurs et principaux négativement à mon propos avant même que je n'arrive, et bien lui faire comprendre que je suis bi-admissible à l'agrégation d'allemand et pas documentaliste.
La principale avait un a-priori positif sur moi au départ, et lorsqu'elle a lu mon dossier de TZR où l'on a tenu compte comme la plupart du temps dans l'enseignement que du mauvais et pas du positif, le mauvais concernant la plupart du temps des rapports faits par les agents de service sur mes départs tardifs, sur des choses vexantes que je leur aurais dites... etc... Et aussi des rapports de collègues sur moi,.... Personnellement, je n'ai jamais écrit de rapports nominatifs sur mes collègues, ni fait écrire des élèves contre eux, comme ce fut le cas pour une prof principale dans Lycée Où Je Suis Restée Dix Ans, qui a profité de la préparation des conseils de classe pour dire à tous les élèves de la classe "Ecrivez tout ce que vous avez à redire sur Mme domino", cela m"avait été rapporté par des élèves qui m'aimaient bien, et qui à la fin de l'année m'ont écrit des poèmes pour s'excuser d'avoir du écrire du négatif sur moi (c'était des secondes).
Ceci dit cette année, je pense n'avoir eu aucun problème avec les élèves. Ils ont juste râlé pour les fiches de lecture et pour les fiches de recherche sur ordinateur à remplir, parce que ça leur prenait 2 minutes par heure sur leur temps de CDI, mais ce sont surtout les élèves qui venaient "faire des jeux" ou "lire des BD" qui râlaient. On peut bien évaluer là leur sérieux. Je leur ai appris à chuchoter pour les travaux de groupe; plutôt que de parler tout haut en se gênant mutuellement, et en ayant la tête grosse comme une citrouille à la fin de l'heure; et à la longue c'est devenu un jeu de chuchoter plutôt que de parler tout haut, car on avait l'impression qu'ils n'avaient jamais chuchoté de leur vie, et qu'ils découvraient cette façon de parler, et que jusqu'ici ils s'étaient toujours exprimé en parlant fort.
Peu à peu d'ailleurs, tout le collège devenait plus silencieux.
J'ai du au début de l'année, remettre les élèves de ma gentille jeune collègue à leur place, parce qu'ils lui répondaient (au sens négatif du terme) pendant les cours de français qu'elle donnait dans le CDI. Elles prenaient des demi-groupes de classes de collègues qui pendant ce temps là se trouvaient soulagés de la moitié de leur classe. Les deux premiers trimestres elle criait sur les élèves et les faisait sanctionner beaucoup par la CPE. Ensuite, elle a peut-être appris de moi que la douceur était plus payante, et comment on pouvait s'en sortir sans donner une seule sanction de l'année (j'ai du seulement renvoyer en permanence d'où ils venaient un ou deux élèves par trimestre, et pourtant j'avais au moins deux fois par jour le Vendredi où les surveillants me fourguaient parfois tous leurs élèves, des classes réputées difficiles, mais je m'en sortais bien avec eux).
Le proviseur de Lycée Où Je Suis Restée Dix Ans, m'a reproché tout d'abord de ne pas punir suffisamment, donc j'ai commencé à punir plus et à en perdre un peu d'autorité, ensuite il m'a reproché de trop punir et de ne pas avoir d'autorité "naturelle". Puis quand il est venu dans ma classe le jour de l'inspection du 22 mars 2002, il m'a dit ensuite que finalement il était satisfait de l'inspection (l'inspecteur pas), qu'il ne m'avait pas imaginé comme "cela" avec les élèves.Par comme cela, il parlait de mon aisance dans mes rapports avec eux. Il avait imaginé que je faisais cours d'une façon timide, ce qui était loin d'être le cas. Je faisais même cours sans filet, c'est à dire avec ma préparation posée sur la table, sans que je ne la regarde jamais, car je savais ce qu'il y avait dedans, et en regardant toujours les élèves plutôt que ma préparation, alors que je sais que au moins mes deux collègues femmes faisaient cours d'une manière très directive, papier de questions en main. Ce que j'appelle un manque d'adaptation à la situation. Car si on pose des questions d'après un papier et pas d'après les besoins qui se font sentir momentanément dans la classe, c'est que l'on est complètement en dehors de son enseignement, que l'on fait cours pour soi-même et pas pour les élèves. Ou que l'on a pas suffisamment d'assurance et d'aisance dans sa matière pour quitter son papier. Seulement le problème est que si vous ne gardez pas votre préparation en main, certains élèves s'imaginent que vous ne préparez pas les cours, or c'est le contraire, arriver à se détacher de sa préparation et parler sans filet, en faisant quand même le cours complètement demande de dominer davantage son sujet ou son texte.
J'ai des collègues qui écrivent systématiquement sur leur préparation les mots du texte avec leurs articles et leurs pluriels de peur d'oublier les articles et les pluriels, qui en salle des profs demandent systématiquement : "Qu'est ce que cela veut dire, en montrant une expression simple comme par exemple "Siehste?" (langage parlé) à la place de "Siehst du?" Pourtant il ne faut pas être grand prophète, pour en deviner le sens que l'on comprend d'emblée en l'entendant dire en Allemagne. Ils demandent l'article de mots en -ung ou en -schaft et sont profs d'allemand en lycée ! Abominable !
Voilà ce que je veux expliquer, que je ne suis pas un personnel "en difficulté', ni au niveau de la discipline, ni au niveau linguistique. Mais on dirait toujours que les administrations essaient de me casser pour que j'aie ensuite moins d'assurance. On dirait qu'ils veulent se débarasser à tout prix des professeurs qui ont de la personnalité.
Dans mon ancien lycée de rattachement, la secrétaire du proviseur adjoint (les secrétaires avaient beaucoup de pouvoir là-bas), qui m'avait connue dans l'autre lycée au début des années 90, me confiaient beaucoup de missions (dans l'autre lycée au début des années 90, j'avais "donne toute satisfaction" comme appréciation. Que ne suis-je restée là-bas ! En fin d'année, elle me confiait des surveillances de bac, et elle m'a confié une surveillance de baccalauréat à faire dans une prison d'homme en deux demi-journées alors que je suis une femme. Je n'étais d'ailleurs pas obligée d'accepter, certains professeurs ne voulant pas y aller, parce qu'ils avaient peur, d'autres professeurs ne voulant pas y aller parce qu'ils étaient contre les prisons. Mais moi, je leur ai expliquer que faire passer le bac en prison, c'était aider le prisonnier pour sa réinsertion professionnelle.
Je suis d'ailleurs restée seule à surveiller le prisonnier pendant 4 heures, puis pendant deux heures. Dans la petite salle de classe au dessus de la cour où l'après-midi des prisonniers jouaient au foot. Une secrétaire m'a expliqué que si les sirènes se mettaient en route on pouvait rester bloqués pendant toute une nuit. Imaginez un peu que les sirènes aient retenti le matin et que je ne puisse pas sortir à temps pour aller chercher les sujets de l'après-midi, on aurait du retarder ou reporter les épreuves du bac pour un seul prisonnier !
C'ette année, une ou deux élèves sont venues me rapporter que dans la cour de récréation, des élèves surtout garcçons se moquaient de mon embonpoint, mais ils n'ont jamais osé le faire devant moi, c'est ce que j'ai répondu aux élèves "S'ils ne se moquent pas ouvertement de moi, c'est qu'ils n'osent pas le faire, et donc qu'ils me craignent quand même."
domino
09:20 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, éducation, allemand