jeudi, 12 juin 2008
Pardon! Petite pixie!
Tout à l'heure quand j'ai constaté l'absence de la petite pixie, Eliot m'a dit dans l'oreille ce poème :
"Petite pixie
Pardonne-moi
L'émoi
Qui me prit
Quand hier
j'ai vue ta soeur
Sur mon ordinateur
Avec sa robe
à fleurs
de couleur
Sur un fond
De moire
Noire.
Voilà
que je fonds
sans armes
En larmes
Petite pixie
Car tu n'es plus là
Tu es partie
Et j'en suis -las!-
tout meurtri.
Petite pixie
Je t'en supplie
Reviens!
Je tiens
A toi!
Et toi aussi
Quand il fera chaud
Et beau
Tu auras
Ta robe
De moire
Noire
Aux fleurs
De couleur.
Et mon coeur
Tout ébaubi
T'embrassera
Petite pixie
Et nous serons
Heureux
Et joyeux.
Eliot
Et j'ai envoyé très rapidement ce poème d'Eliot à la petite pixie... qui est revenue avant même que j'ai le temps de publier le poème. Comme quoi, les rimes d'Eliot sont efficaces.
domino (pour Eliot). dans poèmes d'Eliot (n° 10).
17:20 Publié dans Les poèmes d'Eliot, le météorologue. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : eliot, météorologie, météo, peitite pixie, poème, poèmes, poésie
Bizzarre (4) ou (5)
Voici un autre fait bizarre et là, je me demande vraiment, si j'ai rêvé.
Vous savez que comme je n'ai pas de remplacement pour le moment, on m'a dit que je devais rester chez moi en attendant un remplacement (pour ceux qui prennent le train en route : je suis TZR rattachée dans un collège).
Et voilà que Vendredi matin dernier, alors que j'allais partir chez le dentiste, le téléphone sonne :
Pour un remplacement....? Non.....
La secrétaire de mon collège qui se présente par son prénom puisqu'elle est une amie à moi* qui depuis un an a du agir contre moi par devoir et contre sa volonté.... en transmettant des lettres qu'elle n'aurait pas voulu transmettre, est au bout du fil :
"Finalement, ce n'est pas la peine de te (vous?) déplacer pour venir au collège lundi, l'inspecteur M. D. ne viendra pas....
" Moi, estomaquée : "Pourquoi? Il était prévu qu'il vienne?" Réponse : "Oui, tu (vous?) n'as (n'avez) pas reçu la convocation?"
Moi : "Une convocation? Je n'ai rien reçu du tout".
Là, je suis formelle, même pas un avis de recommandé, à moins que mon mari.... ait oublié de me donner la lettre concernée.
C'est lui qui relève la boîte au lettres. Réponse : "De toute façon cela ne fait rien, puisqu'il ne vient pas. Ce n'est pas la peine de venir."
"Bizarre, bizarre... Un inspecteur qui devait venir alors que je ne suis pas prévenue, puis qui ne vient plus.... sans classes d'inspection...."
Peut-être qu'il venait pour mon collègue. Et puis en en parlant à mon mari, il m'a révélé une chose : il a été inspecté en Mai, et ne m'avait rien dit.....
L'inspecteur était venu une première fois au mois de mars, mais il n'avait pas été prévenu, on lui a dit qu'il pouvait refuser l'inspection, parce qu'il n'avait pas été prévenu, ce qui fut fait, après qu'il ait quand même salué l'inspecteur.
Puis il est revenu toujours pour l'inspecter dans la même classe de 4ème. Apparemment cela s'est bien passé, il parle un allemand parfait (qui l'eut cru, avec une mère allemande....?)
Ceci dit mon mari est certifié par liste, malgré son allemand parfait, il n'avait pas réussi son CAPES, à l'époque.... mais il avait eu trois fois l'écrit, et moi qui n'ai pas de famille allemande, je l'ai réussi. Et n'allez pas dire qu'on l'aurait confondu avec moi, primo je passe les concours sous mon nom de naissance, secundo il n'y a que moi qui ai passé l'oral cette année là.
bon, bref, il a été inspecté et ne m'avait rien dit : .... drôle d'affaire, pouquoi fait-il de cachotteries comme cela. Il a dit pour excuse qu'il n'avait aps eu le temps de m'en parler, Pourtant on est souvent assis ensemble dans la voiture, quand je conduis, il pourrait quand même me parler de l'inspection qu'il a eue.
domino
*On faisait de la danse folk ensemble dans les années 90.
02:32 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : inspecteur, inspection
Bizzarre (3) ou (4)....
Je ne vais pas vous entretenir de fantômes, ni d'espion informatique, bien qu'en commençant cette note j'avais l'impression qu'il y en avait un... Le curseur de ma surface tactile était devenu fou. Un coup d'anti-espion et tout est rentré dans l'ordre.
Venons à nos moutons....
Il y a très longtemps, a environ 3-4 ans, je mangeais à la cantine et il me resta des tickets de cantine d'avant l'informatisation à la fin de l'année scolaire, presqu'un carnet;
Je n'y pensais plus du tout, quand soudain, bonne surprise, il y a quelques semaines, je reçus un chèque de l'établissement en question, me remboursant la somme due.
Cependant, je posai le chèque quelque part ou le donnai à mon mari qui va plus souvent à la banque que moi, et l'oubliai.
Voilà qu'il y a deux trois jours, j'ai reçu une lettre du lycée en question, voulant presque reprendre le cadeau qu'ils m'ont fait!
Contenu de la lettre approximatif : "Si vous ne touchez pas ce chèque avant le 15 juin, notre intendance fera opposition au chèque!"
Glurps! Voilà que si je touche le chèque avant le 15 (c'est bientôt, ouh là, quel ultimatum!), cela me fera comme un cadeau (car quand on ne pense plus à un remboursemetn qu'on doit vous faire, on le prend comme un cadeau). Mais si je ne le retrouve pas d'ici là : On fera opposition au chèque qu'on m'a envoyé, comme si je l'aurais volé, alors que je ne l'avais même pas demandé, moi, ce qhèque!
Enfin, bref, priez le Seigneur notre Dieu, aussi la Vierge Marie, que je retrouve ce chèque rapidement.
domino
02:02 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lycée, adminsitration scolaire, intendance
Contrôles...
Quand on est enfant, on est normalement et dans le cas d'une famille normale protégé par ses parents, c'est normal. Jusqu'à l'âge d'environ 10-11 ans, on ressent cette protection d'une façon positive, car on est petit de taille, on se sent vulnérable, on a peur des vilains messieurs contre lesquels nos parents nous ont mis en garde :"N'accepte jamais un bonbon d'une personne que tu ne connais pas bien", on sait que nos parents sont plus grands que nous, qu'en cas de pépin, ils nous défendrons, si on a un soupçon sur une voiture qui ralentit à côté de nous (quelquefosi seulement pour tourner à un coin de rue), on prend ses jambes à son cou et on court vers la maison si elle n'est pas trop loin. Sinon on court chez une copine qui habite dans cette rue, ou on court vers l'arrêt de bus où il y a du monde ou bien on rentre dans un magasin, où on explique à la marchande qu'on a peur et qu'il y a peut-être un "vilain monsieur" qui nous suit. On marche sur les trottoirs où il y a des maisons, pour pouvoir sonner à une porte en cas de besoin, pas le long des murs des usines. L'enfance n'a jamasi été vraiment un âge heureux.
Puis vers 13-14 ans, on en a assez de cette protection. Je me souviens du chemin des douaniers en Bretagne, dès qu'on était dessus, mon père qui nous suivait avec ma mère criait : "Ne va pas trop près du bord, tu pourrais chuter, tomber sur les rochers..." Et ceci alors qu'on est prudent. Alors on essaie de secouer le joug parental, on accélère le pas pour se détacher de la famille, ou bien l'on traîne derrière.
Jusqu'à son mariage, la jeune fille est ainsi contrôlée toujours par ses parents, alors que son frère a plus de liberté. "Où as-tu été aujourd'hui?" , demandent les parents à la jeune femme, " A quelle heure as-tu fait ceci ou cela?" "Où vas-tu?", etc...
Non, ce n'était pas dans une famille musulmane, mais dans une famille catholique "bien pensante" des années 60.
Puis arrive le mariage. Au début c'est beau, la mari laisse un peu plus de liberté que les parents. Il vous laisse aller toute seule à un stage de musique, invite son petit frère qui démonte votre vélo, et votre carrière de cycliste amateur s'en trouve terminée.
Déjà au bout de 4 jours de mariage, il vous laisse partir avec une amie acheter la tente qui vous servira en été, mais attention, au bout d'une demi-heure de retard sur l'heure prévue pour le retour, il téléphone à tous les commissariats de police et à toutes les gendarmeries qu'il y a sur votre parcours, pour saboir si vous n'avez pas eu d'accident.
Puis, l'âge venant, c'est de pire en pire, dès qu'il a un moment de libre, qu'il ne travaille pas une journée, il vous accompagne dans tous vos déplacements, prend le train avec vous jusqu'à la ville universitaire où vous faites vos études.... quand il a sa journée de congé. Vient vous attendre le soir devant le collège où vous faites cours, s'il finit lui-même assez tôt.
Si vous vous levez la nuit, il se réveille immédiatement, demande "Qu'est-ce que tu as?" et vous suit jusqu'à la porte de l'endroit où il ne peut pas aller à votre place. Et là on ne peut pas dire que c'est un mari jaloux, puiqu'il n'y a personne d'autre dans la maison, c'est un mari inquiet.
Et voilà que je peux chanter ce vieux folksong américain :
Wagoner's lad.
"Oh oh, hard is the fortune of all woman kind,
She's always controlled, she's alway confined,
Controlled by her parents until she's a wife.
A slave to her husband the rest of her life..." (anonyme)
domino
01:36 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : psychologie, vie quotidienne
mercredi, 11 juin 2008
Changement d'attitude...
Les professeurs ont changé d'attitude vis à vis de moi parce que je ne suis pas admissible à l'agrégation externe. Je suppose qu'ils basent leur attitude vis à vis des étudiants ou professeurs du secondaire candidats sur des succès escomptés.
domino
09:25 Publié dans Dummie et Cie à l'université | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agrégation, admissibilité
mardi, 10 juin 2008
Liens supprimés
J'ai supprimé quelques liens sur des blogs d'allemand, parce que ceux-ci se trouvaient abîmés et je ne sais pas d'où cela vient et si cela vient d'un visiteur d'ici.
En contrepartie, je vais chercher autant d(i-grimoires intéressants et recréer des liens....
domino
21:53 Publié dans I-Grimoire | Lien permanent | Commentaires (0)