jeudi, 23 juillet 2009
Ce que je déteste par dessus tout... et ceux que je dét....
Dummie m'a dit :
Ce que je déteste par dessus tout :
- Les gens qui disent : "Moi, à sa place, je ferais ceci... " "Ah! Si j'étais à la place de Dummie, je n'agirais pas comme cela!" "Ou, si j'étais à ta place, je ferais plutôt ceci!"
- Les gens qui disent : "Si j'étais à sa place, je ne m'habillerais pas comme cela.. je couperais mes cheveux..."
- Les gens qui disent : "Ah! Elle ferait mieux de.... " par exemple : "Elle ferait mieux de laisser tomber l'agregation... "
- Les gens qui disent : "Si j'étais à sa place, je ne ferais pas son régime à elle, le régime Machin truc, mais je ferais plutôt le régime Machin Chose!"
- Les gens qui disent : "Mais pourquoi elle fait tout çà, ça ne sert à rien ... " ou "Tu ferais mieux de laisser tomber, ça ne sert à rien, tu perds ton temps".
- Les gens qui disent : "Si tu veux un bon conseil, Dummie, moi, je .... "
- Les gens qui disent : "Moi, je te conseillerais plutôt de....
- Les gens qui disent : "Ya ka faire, ci, ya ka faire çà, et ça ira tout seul..."
- Les gens qui disent : "Ma pauvre Dummie, mais enfin, ....."
Bref, tout ces gens qui veulent me conseiller, alors que la plupart du temps, ils sont plus jeunes que moi......
Et je pense que Dummie a raison.
domino
P.S. Tiens, justement, après avoir lu cette note, quelqu'un a dit : Mais, Dummie, ou domino, je ne sais pas trop laquelle des deux, nous espionne! Je venais en effet de dire d'elle : "Elle ferait mieux de...." N'y-a-t-il pas un micro ou une caméra caché dans la pièce, relié à l'ordinateur de Dummie, ou a celui de domino, pour qu'elle sache que je viens de dire cela d'elle?...
18:56 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : socoété, vie quootidienne
lundi, 14 août 2006
L'art d'être millionnaire.
Ne vous enn faites pas en lisant ce titre. Je suis loin d'être millionaire : je n'ai rien devant moi.
Mais je vais vous entretenir d'autre chose, des choses qui me font rire dans la presse ou les informations.
Je viens de lire les informations Yahoo. Il paraît que les français ne sont pas normaux. D'après le Washington Post, ils ne sauraient que glandouiller à la terasse des cafés (parisiens), en regardant passer les passants et en devisant sur eux, au lieu d'être comme les américains des compulsifs de la multi-activité simultanée. Les français auraient l"art de ne rien faire.
Voilà un démenti formel à Mme-le-Dr-mon-nom-de-jeune-fille-traduit-de-façon-erronée qui m'avait dit exactement le contraire : que les américains finissaient le travail à 3 heures de l'après-midi, que si je restais au lycée jusqu'à 19h, je n'étais pas normale, que les gens efficaces finissaient tous à 15 heures, etc.... et surtout que si je travaillais dans une entreprise américaine, je serais considérée comme inefficace en raison de mes sorties tardives de l'établissement.
En fait, elle avait dit cela pour défendre mon proviseur de l'époque. Il me reprochait de rester trop longtemps le soir dans le lycée,
et je ne faisais pas d'Internet, je corrigeais le plus de copies possibles avant de prendre le chemin du retour,
parce que sinon, je risquais de m'endormir dans un fauteuil en rentrant chez moi et de ne plus rien faire de la soirée.
Donc, je faisais le travail à un endroit où je n'avais pas de fauteuil ou de lit pour m'endormir,
pour être sûre de pouvoir le faire relativement vite.
Si je m'endormais juste après mon retour chez moi,
je devais me relever à trois heures du matin pour finir de préparer mes cours et corriger sans entendre le lendemain les sempiternels
"Madame, vous avez corrigé nos copies ?", sans même que l'on me dise "Bonjour".
Car cete aptitude des élèves à exiger plus des professeurs que ce qu'ils exigeaient d'eux-mêmes, était une caractéristique du lycée où j'étais alors.
Où est le rapport ici avec mon titre ? Peut-être que les français qui ont d'après le journaliste du "Washington Post" (propos rapporté par Yahooh) l'art de ne rien faire, ne deviendront jamais millionnaires. Non.. J'ai une autre idée en tête.
Bon, Mme le Docteur la-traduction-erronée-de-mon-nom-de-jeune-fille-,-traduction-erronée-donnée-par-le-site-de-mon-frère,
- avait-elle consulté un site avec mon nom de jeune fille avant de me recevoir;
- et était-elle tombée sur le site de mon frère ?
- Avant de se donner mon nom de jeune fille mal traduit en français,
- j'ai un nom flamand comme beaucoup de gens du Nord,
- car en réalité son vrai nom de famille est un prénom,
- le nom de jeune fille flamand de ma grand-mère paternelle , traduit en français),
bon, Mme le Dr Mon-nom-de-jeune-fille-mal-traduit, de la médecine de harcèlement moral des professeurs
avait dit que je n'étais pas efficace parce que je n'étais pas comme les américains qui étaient efficaces en ne travaillant presque pas, contrairement aux français qui avaient des horaires plus longs, mais beaucoup plus longs, selon elle, que les américains qui eux étaient efficaces.
Bon, et bien, voilà.... Je voulais dire que finalement, je suis contente que le journaliste du "Washington Post" a dit que les américains étaient des spécialistes de la multi-activité et que si'ils allaient au café aussi souvent que les français, eux au moins, ils n'omettraient pas d'emmener leur ordinateur portable, pour continuer à travailler en étant en week-end ou en vacances. Et bien, il a dit exactement le contraire de ce qu'avait dit Mme le Dr-traduction-erronnnée et là, je suis contente parce que cela prouve qu'il est normal que ceux qui n'ont pas d'ordinateur avec Internet chez eux, comme c'était mon cas, alors, et l'an dernier, s'ils étaient américains, resteraient jusqu'à 19 heures dans leur entreprise ou au lycée.... et seraient efficaces et peut-être grâce à leur labeur deviendraient millionnaires (rassurez vous l'Education Nationale ne rapporte pas beaucoup et ce n'est pas moi qui deviendrais milliardaire avec mon métier).
En fait, Mme le Dr Traduction Erronée avait voulu défendre mon proviseur d'alors :
J'avais eu le malheur de dire à mon proviseur d'alors, que mon père qui travaillait dans une entreprise, lui, restait jusqu'à des heures tardives (environ 20h) à son travail et il m'avait répondu le contraire de ce qui'l disait 7 ou 8 ans auparavant. 7 ou 8 ans auparavant, il disait que les lycées devaient être "performants" (d'où tenait-il ce mot?) et "avoir une offre" de sections suffisantes, "offir un choix" d'options assez nombreuses et "des services dignes de ceux qu'offraient une entreprise". J'ai repris l'argumentation qu'il employait 7-8 ans auparavant, celle de l'entreprise, et voilà que je m'entends dire le contraire, que "son lycée ne souffre pas la comparaison avec une entreprise...." Ils ont toujours le dernier mot. ou alors, le discours des proviseurs suit le discours de leur ministre. Et quand le ministre change, leur discours change aussi.
Et Mme le Dr Traduction Erronée, elle, reprend l'argument inverse : "Que si au lieu d'être un professeur fonctonnaire français, je travaillais dans une entreprise américaine, on ne me permettrait pas de travailler aussi longtemps".
Tout cela pour dire que Mme le Dr Traduction-Erronée m'avait menti pour défendre mon proviseur, tout en affirmant qu'elle ne le connaissait ni de A, ni de B.
Continuons notre article, car je n'en suis pas encore à parler des millionaires et ceci n'a sans doute pas d'autre rapport avec la première partie de mon article, sauf qu'il s'agit de ce que j'ai lu dans les médias...
Voilà, le "Courrier International" a produit un supplément sur les milliardaires, les millionaires et les démunis. Mis à part le fait que j'ai vu que mon époux et moi, en tant que petits profs français, nous sommes entre la catégorie "classe moyenne française" et la catégorie "démuni" (un cinquième environ du patrimoine d'un seul "français moyen"), j'ai appris beaucoup de choses sur les milliardaires et trouvé des coîncidences amusantes.
Voilà l'histoire du patron de Domino"s Pizza
(tiens, cela me fait penser à Elisabeth qui a vu une Domino's Pizza à Grande Ville du Sud, et à moi-même à cause de mon pseudonyme).
Le 's est en anglais un cas possessif. Qu'est-ce que je serais riche, si je possédais vraiment les Domino's Pizza ! Après tout, c'est écrit sur les Pizzerias, elles sont à moi, toutes ces pizzas, je vais les revendiquer...
Bon, voilà où sont les coîncidences, car ce n'est que la première.
Ma chanteuse préférée de ma jeunesse était devenue célèbre en chantant en 1959, à l'âge de 18 ans, "Virgin Mary" et "Twelve Gates to the City" , des chansons à caractère religieux au festival de Newport.
Et voilà, le patron de Domino"s Pizza, pas le patron de celle de Grande Ville du Sud de la France, mais celui de celles nombreuses, qui, telles les Mac,sont parsemées de par le monde,
-que Dieu me pardonne, je n'ai pas le courage d'aller chercher la revue dans la salle de séjour, pour y retrouver le nom de ce patron,-
veut précisément construire une ville
(une City, personne ne dira si elle a douze grilles, Vauban en avait fortifiée une avec 8 portes pas loin d'ici)
qui s'appelera Ave Maria et sera sise en Floride.
Et alors que pensant aux deux chansons que ma chanteuse préférée des années 60 avaient chantées au festival de Newport, je commence à en parler à mon mari, qui me répond :"Ah! Oui! Un millionnaire ? Bill Gates" (Vous voyez le rapport avec "Twelve Gates to the City ?", alors que moi, je pensais réellement aux portes que le patron de Domino's Pizza, mettra peut-être à sa City).
Et d'ailleurs le Boss de Domino's Pizza a dit dans un premier temps qu'il réserverait sa ville aux catholiques, mais comme ma chanteuse préférée des années 60 est baptiste, je me suis dit que sa prophétie, faite sur la scène de Newport en 1959, ne pouvait pas en être une, puisqu'elle n'était pas de la même religion que le patron de Domino's Pizza.
Et alors, mes yeux se sont équarquillés. Alors que justement, j'étais en train de penser cela,je lis dix lignes plus loin, qu'il ouvrira sa ville à d'autres personnes que les catholiques et qu'il construira une église baptiste (pour ma chanteuse préférée des années 60 qui avait prophétisé la construction de sa ville et que son aùi, chanteur célèbre (elle n'est restée que 2 ans avec lui), nommait "la bonne soeur")? Et une synagogue. (Et pourquoi pas une mosquée? S'il veut faire à fond dans les religions monothéistes...). A la Sorbonne, il y a bien un département des études arabes et hébraïques, exemple parfait d'oecuménisme...
Bon. Et dans sa ville, il va construire une université, en gros la Catho, avec des principes moraux et un pruritanisme bien plus grand que celui de Caroline du Nord. Voir mon article à ce sujet.
Et la deuxième coïncidence ? C'est bien du fondateur des Domino's Pizza qu'il s'agit ici. Et quand j'avais quatorze ans -et comme vous pouvez vous en douter mon vrai prénom est Dominique- , j'étais cheftaine dans un mouvement de jeunesse catholique, qui avait son siège local dans ma Vénérable Institution de Centre-Ville (si vous avez lu mon journal de l'époque que j'avais mis en lien ici pendant un moment, vous sauriez tout de la Vénérable Inttsiution de Centre-Ville où j'ai fait mes études secondaires) et mes "Ames Vaillantes" qui étaient issues des deux classes de huitièmes (l'équivalent des CM1 actuels) m'appelaient "domino". Un jour il y avait une "Fête annuelle de l'Institution" dans un cinéma de la ville qui avait une scène et toutes mes "Ames Vaillantes" passaient devant moi en me saluant : "Bonjour, Domino". Le mouvement de jeunesse catholique, le prénom de "domino" concernant une cheftaine d'une mouvement de jeunesse catholique, voilà où est la deuxième prophétie...
Twelve Gates to the City of the Catholic Millionar named Ave Maria, Virgin Mary, built by the boss of Domino"s Pizza, not my boss however, of the name of "domino" who was the name of a catholic chieftain, a city with a baptist church for her prefered singer, ah! ah! quel résumé !!!!
Vous avez compris ma non-sense-poésie ?
domino
22:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : socoété