dimanche, 06 mai 2007
Où est ma petite pixie ?
Eliot m' a dit :
"Je ne vois plus ma petite pixie,
de son bureau de Charleroi elle est partie,
Mais où est-t-elle,
ma belle... ?
Sur le chemin vers chez moi...?
Elle mettra mon coeur en émoi...
Je ne crois pas qu'elle a claqué la porte
ni qu'elle soit morte...
Ce serait dommage
A son âge...
Et je pleurerai toute ma vie,
Et je ne vivrai plus de ma vie...
Ah ! Peut-être qu'aujourd"hui,
A Charleroi ya pas de trève,
Et qu'ils font grève...
Mais où est-ma petite pixie,
Ne t'en fais pas belle-maman domi,
elle reviendra
et de nouveau rira.
Qui veut me donner sa soeur,
Pour consoler mon coeur?
Sa soeur n'est pas la petite pixie
Même si elle est aussi jolie...
C'est ma petite pixie que je pleure,
Mais elle viendra peut-être chez moi
tout à l'heure,
Mettre mon coeur en émoi
Et reviendra voir sa maman
Et la regardera sur l'écran..."
domino dans poèmes d'Eliot n° 4
11:25 Publié dans Les poèmes d'Eliot | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Eliot, poèmes, poésie, poésies
dimanche, 15 avril 2007
Le printemps ou l'été ?
La petite pixie m'a dit :
"Vingt-sept degrés
C'est l'été!
Et j'ai mis ma jolie robe
Sous les branches d'adobe,
L'été ?
On n'est pas encore en mai...
Passer de l'hiver à l'été
Le printemps n'aura duré
Que deux ou trois semaines
Amènes.
Eliot a vu ma robe
De soirée
Et ne me trouve pas snob,
Il a dit : "Adorée",
Nous irons ensemble
Sous les trembles
Quand les vacances
Arriveront
En juillet
Nous promener
Dans les environs
A la cadence
Des avirons
Sur la rivière
légère."
Alors j'ai dit
à Eliot, "Oui
pour la vie".
Et Eliot a dit :
"Merci,
ma petite pixie".
domino, pour la petite pixie dans poèmes de la petite pixie n° 18
14:50 Publié dans La petie pixie, poèmes 13 à 18 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : poèmes, poésie, poème, petite pixie
dimanche, 18 mars 2007
Ils ont souillé mon i-grimoire...
Ils ont souillé mon i-grimoire
Troublé le flot de mes mémoires
L'amour naissant de la petite pixie
Et d'Eliot, ils l'ont sali,
Ils ont transformé en ordure
Des poèmes en 18 carats
Ils ont lancé des rats
Dans des entrelacs de dorures
Ils m'ont fait fermer la porte
Aux amis qui venait confiants
Et c'est feuillets que vent emporte
Les mots qu'ils m' auraient écrit en riant.
Au monde il suffit d'un seul
Pour que la porte claque sur le seuil
Au nez des amis qui venaient
Avec des fleurs en brassées.
Ils ont signé de mon nom
Des sallissures chez mes amis
Ils ont brisé le naissant renom
De ma signature polie.
Ils ont transformé
en avions de papiers
Noircis de mauvaises notes
Qu'ils m'ont envoyé par la poste
Mes traductions
D'agrégation.
Si vous voulez que s'ouvre la porte
Et que réponses ne restent mortes
Il faut chasser l'intrus
Loin de mon i-grimoire, la rue.
Alors vous reviendrez nombreux
Consoler un coeur désireux
D'écouter votre amitié
Papoter dans mon virtuel salon de thé.
domino
15:10 Publié dans poésie i-grimoiresque de 2007 - 1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, petite pixie, poèmes, usurpateurs