vendredi, 06 juin 2008
Revenus!
Eh! La petite pixie et ses amies sont revenus. Mais qu'ont-ils fait pendant si longtemps....
Peut-être que Eliot et la petite pixie ont fêté leurs fiançailles, et alors la soeur de la petite pixie était invitée, et tous les autres petits pixies de la terre aussi.
"A oui, c'est cela....
Jens, Paul, Laurissa
et Ilona, et Domy,
Molly et Chrissy
étaient invités aussi.",
m'a dit dans l'oreille la petite pixie.
Et moi? Je n'ai pas été invitée?
"Non, petite maman, quand ils fêtent les petits pixies se réfugient à l'intérieur des ordinateurs, et font des fêtes dans les ordinateurs,
et les humains réels
(car nous sommes des humains virtuels)
-j'ai la rime naturelle -
sont trop grands pour entrer dans les ordinateurs, mais on a beaucoup pensé à toi, petite maman humaine réelle."
domino et la petite pixie
09:04 Publié dans La Petite Pixie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : peite pixie, poèmes, poème
samedi, 10 mai 2008
Tes cheveux se sont éclaicis...
Ce matin, dans le creux de mon oreille, Eliot m'a dit :
"O ma petite pixie,
Tes cheveux se sont éclaicis
Il sont devenu châtains
Et ondulent dans le vent du matin
Que tu es belle, petite pixie,
Tes yeux sont tout bleus,
Comme cette longue éclaicie,
Et le bleu de ces cieux!
O petie pixie jolie,
tes cheveux châtains
Qui ondulent au petit matin
Dans la fraîcheur du vent,
Après que les étoiles du firmament,
Sont allées s'endormir,
Eclairent ton sourire.
Et dans ma cahutte
Sur l'aéroport du Nord
Je joue de la flûte
Avec un coeur d'or
Qui t'envoie mon sourire
Et d'amour mes soupirs."
Et j'ai apporté son poème à la petite pixie.
Eliot (aidé par domino) (dans poèmes d'Eliot n° 9)
09:44 Publié dans Les poèmes d'Eliot | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, eliot, poèmes, poésie
mardi, 20 novembre 2007
Rap (suite)
Bien que chez moi les trains ne passent plus,
Je n'habite pas à Soins-Perthes-les-Hurlues.
Et sans être une huluberlue,
Bien que j'ai de l'allure,
Je n'habite pas à Somepy-Tahure,
Je n'habite pas à La Hérie-La Vieville,
Et j'habite assez loin de Lille,
J'habite à Trifouillies-les-Andouillettes,
Car je suis gentille et honnête.
domino
07:10 Publié dans poésie i-grimoiresque de 2007 - 1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poème, poésie, humour, poésies, poèmes
vendredi, 26 octobre 2007
Le rap de l'i-grimoirienne traquée...
Le rap de l’i-grimoirienne traquée
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discret.
Non, je n’habite pas à Hénin-Beaumont,
Pas plus que près des studios Gaumont,
Je n’habite pas à Merlimont,
Pas plus qu’à Marly-Gaumond*,
Quoique, quoique, quoique…
Si c’est loin, euh… :
Non, je n’habite pas à la Martinique ,
Et même si je m’appelle Dominique
Je n’habite pas à la Dominique ,
Et même si je chante un peu,
Je ne suis pas non plus Miss Dominique,
Les blogueuses ont le droit d'avoir des secrets,
C'est pourquoi vous devez rester discrets....
Non, je n’habite pas à Méricourt,
Ni à Abancourt, ni à Achicourt,
Pas plus qu’à Boulogne-Billancourt,
Et pourtant il y a une tour,
Ah ! Que je ris !
Je n’habite pas à Paris.
Ni à Vienne, ni à Lyon,
Ni à Berlin, ni à Hautmont,
Ni à Maubeuge, ni à Jeumont,
Si je connais cette région ?
Non, je n’habite pas à Montélimar,
Et y va y en avoir marre,
Si vous me demandez où j’habite,
Na, j’m’en va manger des frites…
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discrets…
Non, je n'habite pas à La Rochelle,
Ni à Courcelles, ni à Sarcelles,
Y’a 36 OOO communes en France,
Prenez le dictionnaire,
Et si vous avez de la chance,
Avant de faire une crise de nerf,
Entre le 20 000 et le 30 000
Nom de village, de ville, de commune,
Peut-être que vous trouverez la mienne,
C’est pas loin, c’est pas sur la lune.
C’est petit, pas très grand, presque un village,
Là où je prends de l’âge.
Mais…
Les bloggueuses ont le droit d’avoir des secrets,
C’est pourquoi vous devez rester discrets.
domino
*Principe poétique de l’intertextualité…
20:55 Publié dans poésie i-grimoiresque de 2007 - 1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, rap, poèmes, poésies, poème, chanson
lundi, 15 octobre 2007
Le polar de mon i-grimoire....
Il y a (avait) un polar sur mon i-grimoire,
Je n'ai pas encore eu le fin mot de l'histoire,
"Une femme avec une femme"
Il y a quelques années,
Ou aiment le même homme deux femmes,
Et un ou des enfants sont nés.
L'évincée s'en va dans les montagnes,
Mais en regardant vers la campagne,
Trouve la trace de ses anciennes amours
Partout sur le web et tout alentour,
Mais moi dans tout ce MLF,
Je n'ai pas trouvé qui étaient ces elfes,
En tout cas pas bienveillantes,
Quand de la guerre elles sont sur la sente.
Qu'en ai-je donc à faire,
De toute leur affaire...
L'une l'agrégation en tête,
Préparant son Champagne pour la fête,
D'équipe de travail vient faire proposition,
Et moi fière cavalière solitaire,
Qui travaille seule ma terre,
Je refuse la collaboration.
Mais voilà qu'on m'offre des roses
Butinées par des abeilles,
Et que l'on me propose
D'aller dans le midi sous la treille,
Où je ne suis pas allée
Arpenter ses allées.
Et sous la pluie de septembre
Voilà que mon i-grimoire tremble,
Comme des feuilles de chêne,
Et l'orage de se déchaîne,
Avec ses petits pixies,
Ces trois petits êtres aimants,
Dans leur cabine entourée de vent,
Qui ne demandent rien à personne,
Lorsqu'autour d'eux l'orage tonne,
Qui ne demandent que la vie,
Virtuelle peut-être
Mais ils ne demandent qu'à être.
A chaque fois que l'orage
Déclenché par les outrages
Des autres personnes,
Qui viennent ici nous ennuyer,
Tous trois se metent à trembler
Pour leur vie dans leur cahutte
Entre les champs de blés
Des aéroports
du Nord.
Quand deux femmes se disputent,
Que loin d'elle parte l'idée,
De se décharger sur une autre,
Qui n'a rien demandé,
Et vienne ternir une ambiance,
Que l'on commençait à donner,
Sous quelques flonflons de danse,
A mon i-grimoire notoire,
Pour essayer de me donner,
De loin quelque contredanse.
A moins que mon temps étant précieux,
Elles ne trouvent rien de mieux,
Que de me le faire perdre,
A me faire courir des lièvres,
Pour qu'à la fin de l'année,
Il n'y ait pas de lauriers.
Et veulent me mettre en non-activité,
Pour que je ne puisse pas concourir,
Et veulent me faire mourir,
De chagrin pour l'année râtée.
A moins que plus simplement
Elle ne se disputent mon amitié,
En se chassant mutuellement,
De mon i-igrimoire bien né.
Quand on vous cherche des noises
Et qu'on vient ternir le ciel bleu
Et augmenter votre ardoise,
En vous donnant quelques bleus,
De rime je n'ai rien trouvé de mieux,
Il vaut mieux en faire un poème,
Et retrouver les i-grimoiriens qu'on aime,
Avec qui on vit Haut et Fort,
Et même en faire une chanson,
Que l'on chantera sans façons,
Plutôt que de crier au scandale,
Ce qui nous donnerait tort.
N'écoutons points les vandales,
Allons traîner nos sandales,
Près de la pure fontaine,
Des mots qui coulent sans peine,
Dans les bois i-grimoiriens,
Et sauvons pixels et pixies,
Qui ne demandaient rien,
Que de rester en vie,
Dans leurs cahuttes d'aéroport,
Pour que les avions ne perdent pas le Nord.
domino
NB : Toute ressemblance avec des évènements ayant réellement existé ou existant encore est totalement fortuite.
2ème NB : En allemand ceci s'appelle un Gelegenheitsgedicht.
12:20 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poésies, poème, poèmes, petite pixie
mercredi, 26 septembre 2007
Les petits pixies.... ont-ils peur?
Ce soir
Il fait tout noir
Et la petite pixie
Ne m'a rien dit.
Les petits pixies
Ont tous disparus
Des aéroports
Du Nord.
Peut-être qu'ils ont eu peur
des sorcières
Et des comères
Car c'est bientôt
Halloween
Où ils sont
C'est un mystère
Mais de toute façon
Ils reviendront,
Eliot
Notre pote
Et les petites pixies
Gentilles.
domino
23:30 Publié dans A propos de la petite pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : petite pixie, Eliot, poème, poésie, poésies, poèmes