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jeudi, 06 février 2014

Religion, Art et Littérature et laïcité.

Du journal de Doofie (Roman-théâtre)

Je me demande pourquoi certains élèves rejettent en  bloc que l'on parle de religion au collège sous prétexte de laïcité.

La laïcité est généralement mal comprise par les élèves.

Une chose est sûre : il y a de la religion dans les programmes de collège :

Exemples :

En histoire :

- Les premiers chrétiens

- Les débuts de la religion musulmane.

- La réforme protestante et la réforme luthérienne en allemand.

- Les guerres de religion en France.

En français :

- Parmie les écrits fondateurs : la Bible.

En allemand :

- La réforme luthérienne

- L'influence fraçaise à Berlin  les huguenots.

- Les fêtes de l'année, dont l'Avent, Noël, les Rois Mages et Pâques.

(Il y a des chansons de Noël qui n'ont pas de motifs religieux ou presque pas, par exemple O Tannenbaum ou Schneeflöckchen, Weißröckchen) et que l'on peut chanter dans le public.)

Dans la pupart des établissements publics, on dresse des sapins de Noël qui en soit ne sont pas chrétiens (certaines religions chrétiennes les rejettent comme étant non  chrétien et interdisent à leurs enfants de chanter "O Tannenbaum" ou "Mon beau sapin" parce qes chants ne sont pas assez religieuses et font allusion au côté commercial de Noël.

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Alors que Bêtie était en train de traiter un texte sur la fille d'une chanteuse pop très connue, elle-même actrice, il était écrit dans le livre que c'était la fille d'une "Pop-Ikone", un élève lui ayant demandé ce que voulait dire "Ikone" ele a expliqué que dans la religion orthodoxe, c'était une image rellgieuse que l'on place sur un mur. Et tout de suite un élève a rétorqué : "On n'a pas le droit de parler de religion en classe, Madame! Et regardez un pe l''affiche là-bas sur la laïcité, vous l'avez lue?!" Evidemment Bêtie avait dit aussi par extension, il s'agit actuellement d'une idole, d'une personne idolâtrée.

Cet élève n'était pas de religion musulmane, mais bien français, peut-être athée (si les parents sont communistes) ou catholique. Peut-être a-t-il même fait sa  communion deux ans avant.

Elle a rétorqué qu'il ne fallait pas faire de prosélytisme religieux, c'est à dire faire de la publicité pour sa  propre religion, mais que les religions étaient quand même un peu dans les programmes. Et que de toute façon, comme elle n'était pas de religion orthodoxe, elle ne faisait  pas de prosélytisme religieux, parce que ce n'est pas sa religion.

En effet, Bêtie n'a pas dit qu'ils devaient adorer ces images apellées icônes.

En Alemagne, il y avait des cours de religion, dans toutes les écoles  à cause des français on écrit maintenant Ethik sur l'emploi du temps et non plus Religion. En tout cas sur les manuels d'allemand français!

A cause de ces élèves qui prennent la laïcité au premier degré, c'est à dire comme "interdiction de parler de religions, quelles qu'elle soient, pendant les cours, pire que dans l'URSS en ses plus beaux jours et que les iconoclastes de la Révolution Française qui ont détruit tant de chefs d'oeuvre, la statuaire des églises, les tableaux dans les églises, etc..les profs d'histoire n'osent plus traiter des chapitres religieux de leur livre d'histoire, ou bien les profs de français n'osent plus traiter de la Biblie comme écrit fondateur, au même titre que l'Iliade et l'Odyssée alors que c'est obligatoire dans les programmes de français.

(Est-ce que vous connaissez l'histoire du révolutionnaire qui en détruisant le tombeau d'Henri IV s'est retrouvé face à son corps parfaitement conservé et à son visage qui le regardait bien en face, fixement dans les yeux, lui qui prêchait pour la tolérance religieuse? Le Réoilutionnaire prit peur, lâcha sa hâche et s'enfuit...)

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Le problème du manque de culture religieuse est beaucoup plus grave que cela, car ce problème touche le niveau culturel des étudiants des universités en particulier littéraire.

Combien de fois les jurys d'agrégation d'allemand par exemple, se sont plaint que les étudiants dans les explications de texte de l'oral, ne reconnaissent pas la source biblique d'une phrase. Car les auteurs allemands même modernes, font beaucoup allusion à la Bible dans leurs écrits et incluent même dans leurs textes des phrases de la Bible. Ou font des métaphores filées e style biblique. C'est ce que l'on appelle l'intertexualtié avec la Bible.

Généralement, les étudiants ayant une religion chrétienne, et ayant eu dans leur enfance ou leur jeunesse des cours de religion ou de catéchisme, sont avantagés dans ce genre d'explications de texte! Les anciennes générations issues de l'enseignement privé confessionnel où l'on étudiait encore la Bible en long et en large, sont particulièrement avantagées.

Il n'y a pas qu'en littérature qu' avoir des connaissances sur la religtion est utile. Actuellement l'histoire de l'art est très prisée dans l'enseignement primaire et secondarie; C'est une nouvelle matière.

Seulement les professeurs de toutes matières, théoriquement, qui font l'hsitoire de l'art dans leurs cours, ne donnent généralement pas de cathédrales, d'églises, de sculptures ou de tableaux religieux" à commenter. Ceci pour éviter la sacro-sainte phrase, provenant d'élèves soit un peu contestataires, soit ayant mal compris le laïcité : "On n'a pas de droit de faire de la religion en classe". Ce qui fait que les élèves du public se trouvent ensuite désavantagés s'ils veulent continuer l'histoire de l'art par rapport à ceux qui sont issus du privé dont les professeurs pouvaient parler librement de religion en classe, sans compter les cours de religion eux-même

A l'université cependant, les étudiants d'Histoire de l'Art étudient l'architecture des églises, ont des tableaux religieux du Moyen-Age et de la Renaissance à commenter. Ils doivent même connaître comment sont représentés les Saints, les Prophètes et les Evêques pour les reconnaître sur les tableaux, les sculptures et les vitraux. Ils étudient les retables et tableaux d'autel du Moyen-Age.

En Histoire aussi une bonne partie du programme parle de religion : les unités d'études  traitant  du Moyen-Age surtout, parlant de l'Occident chrétien au Moyen-Age, et  celui sur l'époque moderne, parlant des guerres de religion. L'unité d'étude parlant de la conquête de l'Orient par les musulmans, etc...

Et tout ceci dans l'université publique, non confessionnelle. Ce n'est pas la Catho qui a l'apanage de la culture religieuse.

Voilà pourquoi ce manque de culture religieuse dans l'enseignement secondaire nuit aux études des étudiants qui se destinent à des carrières de professeurs d'histoire, de français, voire des carrières d'historiens ou de biblothécaires, ou dans le domaine culturel, etc. Les anciens élèves frais émoulus du bac, qui entrent alors à l'université pour faire ces matières ont alors accumulé un retard culturel important, s'ils ont refusé au nom de la laïcité de s'intéresser aux religions et les adeptes incondionnels de religions non chrétiennes peuvenet souffri alors aussi d'un manque de culture chrétienne, car il faut bien qu'ils se disent quand même que l'Europe est un continent de tradition chrétienne et que la connaissance des symboles de cette religion (ou plutôt groupe de religions) est indispensable pour aborder cetains types d'études.

Même dans les études de langue, il faut une bonne connaissance des religions, surtout si vous étudiez l'allemand ou l'espagnol, ou même l'italien car ce sont des pays où il y a beaucoup d'art religieux.

Dans les langues de niveau débutants, on voit aussi les coutumes de Noêl et de Pâques, lorsqu'il s'agit de langues européennes et même des petites fêtes de Noël sont organisées par les étudiants, par exemple on fête la Ste Lucie en études scandinaves,  et Noël en études slaves. En dehors du cours, lors de soirées chantées où l'on déguste les spécialités culinaires de la fête.

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Donc, en fait, des lois sur la laïcité mal comprises par élèves et parents , peuvent entraîner un manque culturel important  pour les élèves issus de l'enseignement public secondaire.

Pour Doofie

domino

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mardi, 04 février 2014

Dissertation

Roman-théâtre

L'année dernière (session 2013) la petite fille de Blödie a passé l'agrégation d'allemand. L'agrégation externe.

En dissertation en français, elle a eu comme sujet :

"Selon un historien, tout, dans la monarchie des Habsbourg, serait devenu plus allemand après 1866/1867. Cette affirmation vous semble-t-elle justifiée?"

La petite fille de Blödie s'est dit : voilà, dans ce sujet, on parle de la monarchie des Habsbourg et non de l'Autriche ou de l'Aurtiche-Hingrie. Evidemment, le jury se réfère à un programme qui a été publié auparavant et dont les dates limites sont 1867-1918. Et le territoire sur lequel il fallait travailler, l'Autriche-Hongrie (la double monarchie ou k. und k. Monarchie).

La petite fille de Blödie lisant le sujet a surtout vu ceci : "monarchie des Habsbourg, donc je parle des Habsbourg et je ne m'étends pas trop autour., il est ensuite écrit "plus allemand", donc là il y a un "plus" qui induit un "moins", et ensuite il y a cet "après" qui est très important, car "après" induit un "avant".

Donc, la petite fille de Blödie construit son plan autour de cet" après" qui induit un "avant". Donc, un plan équilibré serait de parler de ce qu'il y avait "avant" 1866-67, parler de l'époque charnière e 1866-67 et ensuite faire une partie égale à la première qui parle de l'après 1856-1857, tout en appliquant cela aux Habsbourg, 

Tiens, la petite fille de Blödie venait justement d'avoir lu une revue sur les Habsbourg, éditée par un hebdomadaire très sérieux, revue qu'elle avait achetée en Allemagne l'été précédent. Cette revue couvrait toute la période des Habsbourg d'Autriche depuis Rodolphe 1er jusqu'à la mort de François-Joseph, et la petite fille de Blödie connaisait donc parfaitement le sujet de la "monarchie des Habsbourg" d'Autriche.

Maintenant on  attend d'un germaniste de haut niveau comme devraient l'être les professeurs agrégés, qu'ils connaissent toute l'historie allemande, suisse et autrichienne et pas seulement la péirode 1866-1918, donc que tout candidat à l'agrégation d'allemand doit pouvoir parler de la monarchie des Habsbourg sur toute la longueur de lsa durée.

Donc, elle a construit son plan de la façon suivante, ce qui lui semblait évident :

- Qu'est-ce qui était allemand chez les Habsbourg avant 1866-67?

- La période transitoire de 1866-67 (défaite de Sadowa, instauration de la double monarchie, le compromis ou Ausgleich austro-hongros),

- Qu'est ce quie est devenu plus ou moins allemand après 1866-1867 (il va de soi que la montée des nationalismes ne concene pas seulement les allemands d'Autriche, mais aussi les hongrois qui revendiquent leur identité et leur culture et aussi les tchèques qui revendiquent aussi leur identité et de la collecte de fonds qu'ils ont faite à Prague pour reconsrtuire le théâtre national (Narodni Divadlo) qui avait brûlé pendant sa construction, par exemple, ce théâtre devenant leur fierté, des autres nationalités slaves ou non (la petite fille de Blödie sait  bien que les hongrois ne sont pas slaves, ils parlent une langue ouralo-altaïque de la branche finno-ougrienne, la petite fille de Blödie parle même un peu tchèque et hongrois, alors elle sait tout cela), et parlant de la ville  cosmopolite de Tchernowitz (ne pas confondre avec Tchernobyl!)  (actuellement en Ukraine, juste au Nord de la Roumanie) où est né  Paul Celan, juste après la période, en 1920, (Elle a  bien écrit Celan et pas Ceylan comme le dit le rapport de jury, car elle doit  être la seule à en avoir parlé, je connais très bien cet auteur, ...), ville où l'on parlait toutes les langues de l'Empire. .. donc,cette montée des nationalismes, si l'on considère l'ensemble du territoire de la monarchie autrichienne des Habsbourg

Et le rapport de jury ddt ceci (en parlant de la copie de la eptite fille de Blödie, car elle doit être la seule à être remontée jusqu'à la fondation de la monarchie des Habsbourg, à Rodolphe 1er. de Habsbourg. dit ceci :

"Ce sujet invitait explicitement à démarrer l'analyse en 1866/67. Si quelques rappels de la situtation de l'Empire autrichien avant ces dates pouvaient être bienvenus dans l'introduction, consacrer toute une première partie de la composition à cette contextaluisation relevait en revanche du hors-sujet et remonter à l'époque de Rodolphe 1er était totalement superflu".

De l'avis de la petite fille de Blödie, parler de Rodolphe 1er, c'était quand même montrer que la dynastie des Habsbourg était d'origine allemande puisque issue d'une petite seigneurie du Würtemberg, donc  ils étaient bien allemand.

Par contre parler de Rodolphe II, qui vivait à Prague, et était plutôt cosmopolite et ne tenait pas particulièrement à Vienne, il aimait l'alchimie et les astronomes comme Tycho Brahé, Copernic et kepler,c ela permettait de montrer que la monarchie des Habsboug n'a pas toujours été centrée sur le côté germanique de l'Empire.

Dans la troisième partie montrer que Elisabeth 1ère, dite Sissi, avait chercher à favoriser les Hongrois et Andrassi, c'est elle qui avait plaidé la cause d'Andrassi auprès de son époux Frnaçois-Joseph, et qui avait plaidé la double monarchie, ést aussi une chose qu'a écrite Bêtie, pour montrer comment parmi les Habsbourg eux-mêmes, les avis étaient divisés. De même que la postition du fils des époux Fodolphe (héritier du thrône anti-paternel) qui favorisait aussi les nationalités non allemandes et prenait parti pour ces nationalités, était sans doute une chose fort intéressante que la petite fille de Blödie a faite, et dont les autres n'ont sans doute pas parlé.

Que le sujet devait explicitement démarrer à 1866/1867 n'est pas forcément évidet, vu que le mot après induit forcément ét très logiquement un avant. Par ailleurs un éminent cours par correspondance fait expréssément pour ce concours commençait par parler pendant un chaptre de l'histoire des Habsbourg depuis les débutsd ela dynastie, donc, les candidats devaient avoir aussi des connaissances sur ce sujet.

Pour que le sujet soit explicite, il aurait dû être libellé ainsi : "Selon un hstorien tout dans la monarchie des Habsbourg serait devenu plus allemand après 1866-67. Cette affirmation vous semble-t-elle justifiée? Vous traiterez cette question en vous concnetrant sur la période à partir de 1866" ou ne pas mettre la citation et écrire : Tout dans la monachie des Habsbourg  estil devenu plus allemand à partir de 1866/67?  De plus, on nous dit toujours de citer nos sources, mais dans le sujet, les sources ne sont pas citées, car il est écrit un historien", c'est d'ailleurs une constante dans les sujets d'allemand de ne pas citer les noms des auteurs de citation, par exemple, s'il s'agit d'un sujet de littérature avec une citation de cinq ligne, on écrit "Ein Kritiker schrieb..." C'est  au bon candidat qui a lu beaucoup de livres en en connaissant de multiples citations apr coeur de détermner de quel histoiren ou de quel critique littéraire il s'agit.

La petite fille de Blödie qui a traité l'avant et l'après 1866/67 a eu 01/20 à sa dissertation d'histoire autrichienne.

Le terme "plus" induit une comparaison. Pusiqu'il y a le mot après, il faut donc comparer avec l'avant.

Dégoûtée, la petite fille de Blödie, qui n'est pas Bêtie, Bêtie est beaucoup plus vieille, s'est dit : Ils verront si je ne suis pas bonen en hstorie et  s'est inscrite en première année d'histoire à l'unversité pour essayer de devenir meilleure hsitorienne que le jury d'agrégation d'allemand.

 

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Pour défendre la petite fille de Blödie

domino

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Doofie : Moi, si j'avais été la petite fille de Blödie, j'aurais traité le sujet de la même façon qu'elle. S'il y avait un après dans lequel quelque chose devait être plus ou moins allemand, il fallait qu'i y ait un avant dans lequel quelque chose devait être plus ou moins allemand,et pour pouvoir comparer, il fallait parler de cet avant, sinon le premier terme de la comparaison était inexistant. Dans une comparaiso, il faut toujours deux termes, le permier élement de la comparaison et le deuxième, si le premier élément de la comparaison est absent, alors, on ne peut faire de comparaison et dans ce cas, on ne pouvait pas traiter le sujet ou ne le traiter que de façon partielle.

Dummie : Je pense que si le jury a critiqué la dissertation de la petite fille de notre amie Blôdie dans le rapport de jury (sans indiquer son nom), c'est parce que les autres candidats qui ne connaisaient pas bien "l'avant" vu qu'il était un peu hors programme, mais pas hors sujet, la plupart des candidats n'ont traité que l'après. C'était par ignorance de ce qu'il y avait avant. Par conséquent, si j'avais été le jury, j'aurais mis un bonus à ceux qui avaient traité l'avant de façon exhaustive comme la petite fille de Blödie (je dois dire quand même que sa dissertation faisait sept à huit copies, soit 40 pages, et que la partie "après" avait été aussi traitée de façon exhaustive, elle avait d'ailleurs l'année précédente déjà eu cette questions à l'oral. Et fait une excellente dissertation d'interne sur la même période historique, notée au dessus de 15/20.) Par exemple, j'aurais décrété que ceux qui n'avaient fait que à partir de 1866 auraient eu jusqu'à 12/20 et les autres, ceux qui avaient fait aussi avant 1866-67, auraient été notés jusqu'à 16/20.

Doofie : D'ailleurs dans le rapport de jury c'est écrit "après", mais j'ai l'impression que dans le sujet qui a été dirtribué il y avait aussi le mot "avant". C'est un souvenir vague que j'ai. Mais de toute façon avec le "plus" et le mot "après", il est évident que la petite fille de Blödie a raison. En plus, il n'y a même pas eu de reçu dans notre académie alors qu'on était assez nombreux à se préseter.

Dummie : C'est parce qu'il n'y a pas de profeseur de notre académie dans le jury. Ils font tous passer les étudiants et ceux de Normale Sup avant notre académie où il n'y a pratiquement que des professeurs du secondare qui se présentent à l'externe.

Doofie : J'ai remarqué autre chose quand je passais l'agrégation d'allemand avec des notes meilleurs que celles de la fille de Blödie puisque dans les années 90 j'arriivais quand même à avoir des notes entre 3 et  5 aux deux disserations ce qui n'est plus le cas aujourd'hui pour la fille de Blödie qui se paie des 1 en dissertation française tous les ans, même quand elle est admissible grâce à la traduction, même en dissertation frnaçaise alors qu'elle est de langue maternelle française, j'uilisais des mots comme "A l'intar de.. " Nonobstant..." Un jour, je sus allée voir mes copies, et la professeur qui m'avait commenté ma copie de dissertation franaçaise m'a dit que ma langue vu le "Nonobstant..." était trop juridique. Et je lis maintenant dans le rapport de jury : :"Nonobstant ces réserves, le jury a pu lire cette année quelques excellentes copies..."

Dummie : Quelques excellentes copies, j'aimerais bien les voir, moi, ces excellentes copies et voir ce qu'il y a dedans. Pourquoi, avec l'accord des candidats, ne publie-t-on pas ces quelques excellentes copie dans le rapport de jury, je suis sûr qu'en demandant aux dix premiers de chaque épreuve, le jury aurait au moins deux ou trois réponses positives et pourrait publier ces excellentes copies.

Doofie : Pareillement, j'aurais bien aimé voir les copies de ceux qui ont plus que moi en traduction... 

Pour Dummie et Doofie

domino

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