mardi, 03 juillet 2007
Rapports mensongers faits sur moi....
JE SAIS QUE CETTE NOTE EST LONGUE, MAIS JE VOUS EN PRIE, PRENEZ LA PATIENCE DE LA LIRE ENTIEREMENT ET DE RELIRE TOUT CE QUE J'AI ECRIT DEPUIS LE 15 MAI SUR CETTE AFFAIRE :
Je n'ai moi-même en tant que professeur jamais fait de rapport sur des collègues, du moins nommément, ou alors si je les nommais, c'était pour en faire les éloges.
Les rares "rapports" que j'ai fait était faits en légitime défense par rapport à mon inspection du 22 mars 2002, et sauf pour faire les éloges de collègues, je n'ai cité aucun nom. J'ai voulu à l'époque seulement dénoncer des pratiques courantes dans l'enseignement, comme la délation (et je viens encore d'en recevoir une preuve), mais le médecin assermenté qhez lequel j'avais été convoquée plus d'un an plus tard (car l'administration est ce qu'elle est, d'une lenteur extrême, nous devons corriger même en lycée nos copies du jour au lendemain (c'est ce qui m'a été dit), même si de ce fait, les corrections sont bâclées, mais par contre, lorsqu'il s'agit de nous faire pleurer, de nous ennuyer pour ne pas dire de nous pousser au suicide ou à la démission, l'administration scolaire, rectorale et médicale emploie des moyens de torture psychologique d'une lenteur extrême.
Exemple :
Je viens de recevoir par la poste, en lettre recommandée, comme il s'agissait d'un gros paquet, j'ai cru que c'était peut-être une affectation pour l'an prochain et j'ai signé l'accusé de reception, bien mal m' a pris de signer cet accusé de réception, avec un mois et demi de retard sur les "incidents" qu'il déplore, mon collège m'envoie des rapports qui ont été fait sur moi, à mon inspecteur d'allemand, alors qu'on me faisait travailler en documentation, rapports on ne peut plus mensongers.
N'oubliez cependant pas que lorsque j'ai repris le travail, j'ai donné un certificat médical demandant à ce que je ne subisse plus ni stress ni provocation (de la part de l'administration) et je viens de recevoir ce paquet provocateur, entorse à l'ordonnance médicale !!!! J'ai donné ce certificat en main propre à la principale et c'est elle qui a signé il y a deux jours le bordereau accompagnant ce paquet provocateur !!!
Ma principale se prend pour un médecin du 19ème siècle, pour Freud ou Jung, qui ont émis des théories et des descriptions de maladies mentales complètement dépassées par la science médicale actuelle (vous savez qu'avec mes 140 de QI et mes plus de 145 en sens logique, je m'interesse à la médecine), bref, ma principale se prend dans ses deux rapports pour un médecin du 19ème siècle ou à la rigueur du début du 20ème siècle (de toute façon, elle retarde d'un siècle....) pour m'insulter comme étant selon elle une paranoïaque, et une hystérique. Avec le rapport qu'elle a fait sur moi, je peux aller au tribunal déposer plainte contre elle pour insultes écrites nommément, alors que les papiers demandant aux agents de ne pas bouger mes papiers et mon exposition, papiers A4 que j'avais collé sur la table (de façon à ce qu'ils s'enlèvent facilement, avec du scotch, ce qui ne laisse pas de traces sur le vernis) , n'étaient pas écrits nommément, l'agent qui a fait un rapport sur moi, n'étant d'ailleurs pas un "nouvel agent" comme je l'ai écrit, donc il n'était pas concerné par mon papier et s'est senti quand même visé.
Ma principale devrait savoir que je considère comme insultes, ce que plusieurs fois un sinistre individu est venu écrire ci-dessous dans les commentaires de ce blog, me traitant de paranoïaque et d'hystérique au même titre que ma principale me traite par écrit des mêmes noms d'oiseaux et envoie les noms d'oiseaux dont elle m'affuble au rectorat. [J'aurais déjà pu maintes fois déposer plainte contre ce commentateur qui emploie vis à vis de moi les mêmes insultes que ma principale.... J
Je n'en tirerais pas la conclusion hâtive que ce serait quelqu'un à sa solde, qui aurait découvert mon blog. Je n'en tire pas de conclusion concernant un rapport entre l'insulteur de mes commentaires et les insultes de ma principale vis à vis de moi, insultes qui dans les deux cas emploient les mêmes termes de paranoïa et d'hystérie. Mme ma principale aurait mieux fait de tourner sa plume cinquante fois dans son encrier avant d'écrire ces rapports, , elle qui crie beaucoup et hurle souvent, interrompt sans cesse les personnes qui essaient de se défendre, coupe tout dialogue, elle qui oblige les gens à parler fort pour se faire entendre d'elle. Ma principale peut être considérée comme quelqu'un :
- qui insulte son personnel en le traitant de paranoïaque et d'hystérique, et ceci par écrit et nommément,
- qui exerce illégalement la médecine en portant des diagnostics qui sont faux et datent d'un autre âge.
Autres contradictions :
1) Première contradiction : J'aidais beaucoup une surveillante qui surveillait la permanence pendant quelques heures le Vendredi matin ou après-midi ou d'autres heures lorsque ma collègue était en stage ou en grève, cette surveillante, dont j'ignorais la présence à cette heure, de même que celle des élèves, et qui est intervenue pour soit-disant "me raisonner", moi qui suis trente ans plus âgée qu'elle. Je prenais une grosse partie de ses élèves et la totalité de ses élèves au CDI quand j'étais seule à surveiller et à m'occuper du CDI le Vendredi, si bien qu'elle n'avait plus qu'à descendre bouquiner au bureau des surveillants ou prépare ses examens, alors que je préparer aussi l'agrégation.... mais je n'avais pas le temps de la préparer pendant mes non pas 18 heures (c'était 18 heures AVEC les élèves) mais quelques 24 heures (sur 3 jours, pause pas pause de midi comprise, je ne prenais que 5 à 10 minutes pour manger) par semaine au CDI, alors que ma collègue qui a le même statut que moi, TZR à 18 heures, ne restait strictement que 18 heures, et me reprochait de rester plus longtemps qu'elle.
Même quand je restais en plus de 16h30 à 17 heures 30, cette surveillante m'envoyait des élèves et devant mon refus de prendre des élèves hors des heures de service que j'avais données à ma principale (le rectorat lui-même ne m'ayant imposé aucun service de rattachement, car c'était ma collègue TZR de français qui était nommée là), elle insistait et trouvait moyen de m'envoyer en plus des élèves qui préparaient l'exposition (qui n'a pas eu lieu en raison du retard pris la semaine où j'ai été absente), que je prenais en heures supplémentaires non payées, plusieurs élèves qui ne participaient pas au projet pour se libérer elle-même ou pour que son collègue soit libre. Et si vraiment elle finissait par comprendre que j'avais besoin de cette heure-là, que je faisais en plus, sans qu'elle ne me soit payée, pour faire le travail administratif du CDI (ma collègue ne faisait rien d'autre en plus que ses 18 heures), travail que je n'avais pas eu le temps de faire à cause des questions des élèves, elle envoyait des élèves tous les 1/4 d'heures chercher des livres ou des dictionnaires qu'ils ramenaient ensuite.
(Bref, pourquoi cette surveillante que j'aidais en prenant ses élèves a-t-elle fait un rapport sur moi?)
J'aidais donc beaucoup cette surveillante, et elle me l'a bien rendu en faisant un rapport PEU élogieux sur moi, qui bien qu'étant écrit en des termes moins acérés et acerbes que ceux de la principale, n'en laisse pas moins supposer que cette surveillante n'a acquis depuis le temps ou elle était élève aucun respect supllémentaire pour les professeurs qui sont pourtant plus haut placés qu'elle.
Si je dois supporter les COLERES de ma principale PARCE QU' ELLE est supérieure hiérarchique, ce qu'elle n'a pas manqué de me répéter cinquante fois, j'exagère à peine, ceci pour affermir son autorité sur moi,
autorité qu'elle n'affermit pas du tout ainsi, au contraire dire à un "subordonné" que l'on est son supérieur hiérarchique, et insister là-dessus, frise le ridicule.
Si je dois supporter ses colères sans répliquer et sans avoir le droit de me défendre, alors la surveillante aurait du supporter mes appels à l'aide.
(Car quand on crie au voleur, c'est dire qu'il y a eu un vol, mais ce n'est pas dénoncer un voleur particulier, on doit venir en aide à la personne volée, en cherchant qui a pu commettre le vol, ou en recherchant l'objet avec elle, si on pense qu'elle n'a pas été volée, ce que fit d'ailleurs cette surveillante, qui chercha avec moi et ne trouva rien, mais pas en disant à la personne volée de partir rapidement, car on pourrait être considéré comme étant complice du voleur : on dit à la personne de partir rapidement pour cacher le vol. Ceci dit je n'accuse pas la surveillante d'avoir voulu cacher un vol, ni d'être complice de qui que ce soit, je dis seulement que cela pourrait donner, dans d'autres circonstances, cette impression-là).
La surveillante a d'abord pris le contrepied du rapport de la principale en écrivant :
"Je l'ai aidé (sans -e, elle me prend pour un homme à cheveux longs, parce que je m'appelle "domino"), à mettre ses affiches".
Il s'agit des demandes de ne pas toucher au matériel que j'allais poser sur les tables, au moment où elle est arrivée.
[Je ne hurlais d'ailleurs pas quand elle est arrivée, comme elle l'a écrit sur son rapport mensonger, car trouvant soudain de l'aide pour retrouver les objets disparus, j'ai arrété d'appeler au secours, et ce n'est pas elle qui m'a "raisonné", mais sa venue qui m'a fait croire qu'elle venait m'aider à chercher le matériel. J'avais seulement des larmes dans les yeux, parce que j'étais décontenancée par cette disparition. Seulement au moment où elle est entrée, j'ai dit que je cherchais des objets disparus.]
Mais elle s'empresse d'ajouter "pour qu'elle parte".
Elle ajoute (mensonge) :
"Mr NN. (l'agent) attendait dans le hall."
Hors si Mr NN. est bien l'agent qui avait fait le tour du collège, il était reparti au bâtiment de l'administration, situé bien loin de l'autre coté de la cour, je l'avais vu repartir en regardant par la fenêtre.
Pourquoi a-t-elle ajouté "pour qu'elle parte" :
Pour ne pas être accusée de "complicité" avec moi, en effet la principale a écrit dans son rapport (selon les dires de la surveillante) :
"Mme domino a confectionné trois affiches qu'elle a collées sur la table du CDI",
je signale que je ne les ai pas collées toute seule, et que, si la surveillante avait vu quelques objections à ce que j'avais écrit sur ces affiches, elle aurait du me le dire, et ne pas m'aider à les coller, or elle m'a aidée à les coller,
et ne pas faire comme a écrit l'agent (celui qui était passé dans le CDI ou un autre?) :
"Mlle NN (la surveillante) me fit constater que Mme domino a posé des affiches discriminatoires à mon égard sur les tables du CDI", or, son nom n'est cité nulle part et le terme de "nouvel agent" employé sur ces papiers de format A4 (peut-on appeler cela des affiches?), montre qu'il ne peut s'agir de lui, puisque l'agent qui avait passé sa tête dans l'entrée du CDI dans ce que je suppose être sa ronde (il remplaçait l'agente d'accueil habituelle avec laquelle je n'ai jamais eu de problèmes), puisque cet agent dont j'ignore le nom, figure sur la photo du personnel faite en début d'année. Donc, il n'est pas nouveau, donc, il n'est pas visé par le contenu de la feuille (parler d'affiches pour un format A4 est un bien grand mot). Donc il s'est senti visé inutilement, et le terme de "discriminatoire" qu'il emploie est hors de propos.
Et est ce discriminatoire d'écrire :"Nouvel agent d'accueil, vous n'avez pas à prendre quoi que ce soit dans le CDI?" Comment ces soi-disant affiches, qui ne sont que des feuilles A4, peuvent-elles être discirminatoires ? J'ai écrit "Nouvel Agent d'accueil, vous n'avez pas à prendre quoi que ce soit dans le CDI." J'avais dans mon souvenir avoir écrit ceci : "Pour le service : Ne pas déplacer les objets et le matériel se trouvant sur les tables dans le CDI". Il n'y a pas beaucoup de différences. Je ne suis même pas sûre d'y reconnaître mon écriture, c'est peut-être une imitation.
La principale qui m'a traitée nommément dans ses écrits - en écrivant au rectorat de paranoïaque et d'hystérique a commis un crime bien plus grand ! Ce sont de pures insultes produites à l'égard de quelqu'un qui sur le moment était désemparée. Ce que ma principale a fait 'à mon égard est presque un assassinat.
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Si j'étais le recteur,
1) Je n'accepterais pas le rapport que la principale a fait sur moi, en employant les termes de paranoïa et d'hystérique vis à vis d'une professeure. Je lui demanderais de réviser sa copie.
2) Je ferais passer ma principale pour insultes proférées par écrit vis à vis d'une professeure devant une commission médicale.
Soi-dit en passant, au début de l'année je mangeais à la cantine, je n'y suis plus allée, parce que ces repas faits pour des adolescents en croissance, me faisaient beacoup grossir, mais j'ai pu constater durant ces trois mois-là que ma principale est assez médisante, elle médit particulièrement sur une mère d'élève qui porte le même nom de famille que moi, et sur les voisins du collège.
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Pourquoi la surveillante, si elle n'avait pas été mal intentionnée à mon égard, aurait montré les affiches à l'agent pour qu'il les enlève lui-même et les amène à ses supérieurs? Cet agent est un personnel de la Fonction Territoriale et non un agent ATOSS. recruté par l'Education Nationale. Il fait généralement des travaux de jardinage.
Pourquoi la surveillante donc aurait-elle montré ces feuilles aux agents de service, alors que je lui rendais service tous les Vendredi et à chaque fois que ma collègue était absente, en prenant presque tous ses élèves ou tous ses élèves (si je n'avais pas été rattachée dans ce collège - c'est un rattachement que j'avais eu en rapprochement de conjoints - je n'aurais jamais allégé son service), pourquoi cette surveillante aurait-elle été si mal intentionnée vis à vis de moi qui lui rendait service, qu'elle m'aurait aidé à faire quelque chose qui pouvait me nuire pour ensuite le dénoncer? C'est de sa part un non-sens complet.
La semaine suivante, je n'étais pas là le Vendredi et elle a du sentir la différence de confort dans son service.
Durant les premières semaines de juin -avant que la principale ne nous libère toutes les deux ma collègue TZR et moi pour collège fermé en raison du Brevet,
[mais vous savez qu'en échange j'ai eu des activités de jumelage dans la même ville, et ma collègue n'a aucune autre activité],
cette même surveillante qui a fait un rapport sur moi, s'est empressée régulièrement de me téléphoner de la permanence qui est à dix mètres du CDI, disant "Je vous envoie 8 élèves",
alors que j'en avais déjà 8 aux ordinateurs, et de les accompagner en repartant ensuite seule en direction du bureau et non plus en direction de la permanence vide,
ou bien, "Je vous envoie 15 élèves" et dans la premanence il n'y en avait plus que 2 alors que l'on m'avait envoyé les quatrième SEGPA... les plus terribles du collège qui étaient sages avec moi, tous ceux qui sont passés devant le CDI le Vendredi ont du remarquer qu'il y avait moins de bruit lorsque j'étais seule avec les élèves que lorsque nous étions à deux, parce que je ne pouvais aller à l'encontre de la TZR nommée par le recteur en matière de discipline (elle leur interdisait de venir aux récréations emprunter des livres sauf le Mardi matin, mais elle n'était pas assez sévère pendant les heures de CDI, parfois elle bavardait avec une de ses collègues de français et ne faisait même plus attention aux élèves, et c'était moi qui devait m'en occuper alors que c'était "ses" heures),
et la surveillante de les accompagner et de repartir seule vers le bureau.
Après que j'eus dit à ma collègue que je savais que les surveillants me donnaient tous leurs élèves, je le savais parce que je les voyais continuer leur chemin en direction du bureau des surveillants après avoir déposé les élèves au lieu de retourner en permanence,
les surveillants sont repartis par la suite vers la permanence et sont repassés par la cour et l'escalier extérieur pour retourner au bureau pour me donner l'impression qu'ils avaient encore des élèves en permanence.
Bref, ils me prenaient pour une surveillante bis, et pas pour une prof titulaire d'allemand pas nommée par le recteur en documentation, mais seulement rattachée au collège. Théoriquement, je n'aurais même pas du être là pour prendre leurs élèves, ou alors les surveillants aurait du me donner uniquement les élèves qui avaient besoin d'aide en allemand.
2) 2ème contradiction : L'agent de service qui a fait un rapport sur moi m'a dit personnellement ne rien avoir entendu des appels que j'avais fait le lundi soir (peut-être voulait-il éviter d'être accusé de non assistance à personne en danger), quand j'ai constaté la disparition du rouleau de paperboard avec une partie de mes feuilles d'exposition, il m'a dit ne pas avoir entendu de cris, cris décrits par la principale comme ayant été entendus par l'agent, qui aurait eu peur de remonter, ou plutôt mes appels (je lui ai parlé le 17 mai , alors pourquoi aurait-il deux discours) :
Voici en substance ce que ce monsieur,
qui n'a rien vu ni entendu d'après ses propres dires (c'est ce qu'il m'a dit le 17 mai au matin), et n'a jamais levé les yeux vers le CDI alors que je l'appelais en le voyant dans la cour du bas, et n'a pas regardé une seule fois dans ma direction quand j'étais à la fenêtre, il avait la tête baissée,
(je l'appelais pour constater la disparition du paperboard en criant fort pour qu'il m'entende et d'après ses écrits, il aurait cru que je l'invectivais et il m'aurait vue à la fenêtre, sans avoir regardé une seule fois dans ma direction, je crois qu'il a du faire son rapport d'après mon blog et pas d'après ce qu'il a vu, car j'avais vraiment l'impression qu'il n'entendait rien, et n'avait pas le visage de quelqu'un qui a peur, ou entend quelque chose et cherche d'où ça vient, mais un visage inexpressif)
voici ce que ce monsieur qui n'a rien entendu, a écrit :
"J'ai continué ma tournée et alors que je revenais vers le hall d'entrée principal, vers 18h10",
[ bizarre j'ai du partir vers 18 heures au plus tard], mais peu importe...,
"j'ai entendu des hurlements provenant du niveau supérieur (CDI)".... "Mlle ... (la surveillante) est allée voir ce qui se passait et de mon coté je suis allé à l'administation pour trouver un responsable. En traversant la cour, j'ai vu Mme domino qui continuait à hurler..;"
(ma traduction ou version : à crier suffisamment fort pour qu'il entende mes appels en détachant bien mes mots -donc, je savais bien ce que je faisais et je n'étais pas "hystérique", je ne pouvais quitter le CDI et rentrer chez moi, s'il y manquait du matériel, et c'est ce que je disais, qu'il fallait constater que ce n'était pas moi qui l'emmenais, je détachais bien mes mots pour qu'il comprenne que je lui demandais de revenir, )
"... par la fenêtre et dans ma direction..."
- Il ne s'est pas retourné une seule fois, il a des yeux derrière la tête ou il s'est servi de mon blog (mes écrits du mois de mai) pour faire le rapport? -Ne le voyant pas se retourner, je me disais même que je ne criais pas assez fort pour qu'il m'entende, et par conséquent je criais plus fort,.... (en effet, en cours d'agrégation, on me dit toujours de parler plus fort, et en cours de chant, on me disait toujours de chanter plus fort, que ma voix n'était pas assez puissante)...
"Il était 18h 15, il n'y avait plus personne à l'administration et je suis donc retourné à l'externat..."
[Bizzarre, il n'y a jamais eu d'internat dans ce collège, pourquoi parle-t-il d'externat???]
"où j'ai recroisé"
[ "recroiser", c'est dans le dictionnaire, ce mot-là??? Comme "licence poétique", cela pourrait passer, mais dans un rapport circonstancié envoyé au rectorat, quand même!]
"...Mlle (la surveillante)" qui m'a informé..."
(donc c'est elle qui se coupe l'herbe sous le pied - en m'empêchant de prendre les élèves qui sont de trop pour elle le Vendredi suivant- en utilisant la délation à mon égard...)
".. m'accusait d'avoir dérobé des documents concernant son exposition lors de mon passage lui signalant la fermeture de l'établissement,"
(lors de son passage on avait discuté d'une façon sympathique entre nous; quant à la fermeture de l'établissement, il n'avait pas besoin de me la signaler, car je partais tous les jours à cete heure là, et j'éteignais le dernier ordinateur lorsqu'il est pssé.. je me souviens d'ailleurs qu'il a dit : ah! c'est le CDI, alors qu'il avait vu la salle de lecture du CDI juste avant, dont la porte était invisible à mes yeux et où se trouvait l'exposition juste avant et pendant son passage).
"Mlle (la surveillante) m'a fait constater que Mme domino avait mis des affiches discriminatoires...",
pour moi, pas discriminatoires, mais préventives, car j'ai seulement pensé qu'on avait pu déplacer quelque chose ou prendre le rouleau parce qu'on en avait besoin ailleurs et le rendre ensuite,
"... à mon égard..."
Pourquoi s'est-il senti visé, alors que son nom ne figurait pas sur ces feuilles? C'est là que je parle de rapport mensonger... et en plus on dit souvent que les personnes qui se sentent visées sont les coupables, c'est souvent valable pour les élèves, quand un élève s'exclame "C'est pas moi!", c'est souvent lui; je ne dis pas que cet homme est coupable, je dis qu'en se sentant visé, il peut donner peut-être de façon erronnée l'apparence de la culpabilité.
"... sur les tables du CDI. C'est là que j'ai décidé (sans accent sur le premier é) de décoller (sans accent sur le premier e) ses affiches (qui ne sont pas des affiches et qui ne sont pas "ses affiches", parce qu'elles ne m'appartiennent pas, mais "ces affiches"), afin de les remettre à mes supérieurs, ...
"Ce Mardi 15 Mai 2007, j'ai donc avisé M. NN..."
[son chef immédiat, qui lui, le Vendredi matin (j'étais à l'université les mercredi et jeudi) n'était au courant de rien, lorsque je lui en ai parlé, et qui dès mon retour le mardi après la Pentecôte (le lundi a été rattrapé avant et j'ai rattrapé toutes mes autres journées, même si je n'avais officiellement aucun service en provenance du rectorat), s'est mis à me sourire constamment et à me serrer la main (il souriait déjà avant, mais ne me serrait pas la main), je ne sais pas si je dois interpréter cela à la manière des baisers de Judas (cacher qu'il avait fait quelque chose contre moi) ou comme un remerciement parce qu'il n'aurait pas aimé cet agent...???? On ne connait pas les rapports qu'ils ont entre eux.]
"... agent de maîtrise qui m'a conseillé d'en référer à la principale à qui j'ai remis les affiches".
Illégal : Tout rapport ou toute réclamation effectué par un agent de service doit passer par son supérieur hiérarchique, qui est ici la gestionnaire
(On nous oblige bien à faire des demandes écrites sur papier spécial pour réparer une ampoule qui a sauté et ceci passe par la gestionnaire, avant d'être remis aux ouvriers).
Et c'est la gestionnaire qui doit en informer la principale. M. NN, agent de maîtrise aurait du prendre la réclamation de l'agent, et aurait du en référer à la gestionnaire. Qui aurait du elle-même en parler ensuite à la principale.
C'est le proviseur de mon ancien lycée lui même (celui où j'ai travaillé dix ans) qui me l'a dit, parce que à l'époque des agents trouvaient que je restais trop longtemps le soir, et ils devaient en informer l'intendant, et non pas le proviseur directement... Le proviseur m'avait dit oralement, j'ai une information à vous faire passer de la part de l'intendant.... et il mettait quand même des gants pour me parler.
Et la principale n'avait pas à envoyer le rapport d'un agent au rectorat sans qu'il soit visé par la gestionnaire.
Et on se demande pourquoi l'agent de maîtrise m'a serré la main en souriant durant tout le reste de l'année, et en faisant la bise à ma collègue TZR de français, s'il a donné un conseil pareil à son collègue et soit-disant subordonné. Est-ce qu'il voulait marquer une différence en lui faisant la bise alors qu'il ne me serrait que la main.... ????
L'attitude qui consiste à donner le conseil à son agent d'en référer (de ma soi-disant attitude vis à vis de lui) à la principale tout en me faisant par ailleurs des salamalechs, me semble aussi bizzarre et contradictoire.
3) En effet, ma collègue, TZR de français, aurait, d'après le rapport de la principale, joué un certain rôle nocif pour moi, dans cette histoire....
Voici ce que la principale a écrit à son propos :
(A 10h20, le mardi...)
"Mme domino a quitté son poste et l'établissement..."
Déjà mensonger, je n'ai jamais été "postée" en CDI, je ne suis pas auxiliaire et je vous recopierai tout à l'heure, ce que dit à ce propos le décret de 1980 réglant les services des TZR, et ce qu'en disent les syndicats, le recteur a nommé ma collègue TZR de français en CDI, dans le CDI de l'établissement où j'étais rattachée, mais il ne m'a pas nommée moi dans ce CDI, ni en documentation, ma principale m'employant en quelque sorte d'une façon quasiment illégale, en effet sur le statut des TZR (décret de 1980), il est écrit qu'un service en documentation peut être donné par le principal d'un établissement où le TZR est affecté (mais il n'est pas écrit "rattaché") à condition que le professeur certifié ou agrégé (ou bi-admissible, on nous oublie toujours, mais c'est entre les deux) soit volontaire.
Or, je n'ai jamais signé d'affectation en service de documentation. Et pourtant, j'y ai travaillé toute l'année, en attente de remplacements. Ce service n'étant d'ailleurs pas officiel, je ne pourrais -mais je ne le désire de toute façon pas- le faire valider en acquis professionel à l'université. A mon âge, je n'en ai pas besoin, mais c'est par principe que je le signale ici.
J'ai un poste : Mon poste est la zone de remplacement et pas le CDI de son collège, le collège de rattachement a juste à gérer ma carrière, c'est à dire mes papiers administratifs, du mieux qu'il peut, et c'est par lui que je reçois mes bulletins de salaire, mais c'est tout... c'est normalement le seul but du rattachement administratif. Dans TZR, T. veut dire titulaire. Les services de rattachement ne sont jusqu'à ce jour obligatoires que pour les auxiliaires et pas pour les titulaires comme moi, par conséquent la principale a fait une erreur fondamentale en écrivaant "Mme domino a quitté son poste..., car je n'étais pas en poste dans ce collège"
[Mon proviseur de rattachement de l'an dernier avait fait le contraire, il m'a dit :"Je ne vais quand même pas vous écrire une lettre, qui serait mise dans votre dossier, pour vous dire de ne plus venir. travailler ici.. Je ne sais plus sur quel pied danser... Vous comprenez, on me cherche des noises quand je travaille, quand je ne travaile pas on est content. Ma principale de cette année n'arrête pas de me chercher des noises alors que je fais un service volontaire ou bénévole chez elle, donc pas obligatoire... Sans faire de service, et sans avoir de remplacement, je recevrais mon salaire intégral quand-même.]
Suite : "Mlle NN, ..."
(TZR de français affectée au CDI de l'établissement (contrairement à moi, qui ne suis sensée qu'y attendre des suppléances et qui y ai travaillé plus qu'elle au CDI, par exemple je répertoriais les articles des revues qui arrivaient dans l'ordinateur, ce que ma collègue trouvait inutile)
"TZR de lettres sur poste de documentation.."
Ah! Elle ! La TZR de lettres, elle était affectée et "postée", contrairement à moi... par ailleurs, je ne commettais pas de faute professionnelle en quittant le CDI dans la mesure où ce jour de la semaine, nous étions deux, et où j'étais aussi sensée attendre chez moi des remplacements en allemand,
"... m'a confié que Mme domino accusait Mr NN (l'agent)..."
(En fait, c'était elle qui lorsque j'ai dit que c'était le jardinier qui avait fait la fermeture du collège à la place de la concierge, m'a dit que c'était sûrement lui qui avait pris le paperboard et mes feuilles, et ce n'est pas moi, qui évoquait seulement le fait que c'est lui qui était passé faire la fermeture, sans rien insinuer...)
"...d'avoir volé ses documents d'exposition sur mon ordre.."
Invention de l'une et de l'autre, : je n'ai jamais dit que la principale aurait dit à l'agent de voler les documents... où ont-elles été chercher cela ?
"En fait de vol, Mlle NN (TZR de français) a retrouvé l'ensemble des documents dans une armoire au CDI".
En fait, et je vous l'ai déjà dit, ma collègue les a retrouvés l'après-midi du lundi, alors que les nous avions cherché ensemble et avions regardé sans rien trouver dans l'armoire où elle me les a montré deux semaines plus tard, j'avais repris le travail un mardi où elle était en stage et j'ai travaillé ensuite le jeudi pour rattraper les journées non faites que selon mon statut je n'avais pas à faire, je n'avais aucune journée à faire dans ce collète de toute l'année,
Les documents, comme je vous l'ai déjà dit dans d'autres notes, ont pu être remis entre midi, tous les surveillants, professeurs et agents possédant la clef qui ouvre trois portes sur les quatre du CDI et en particulier celles de la salle de lecture.
De deux choses l'une, ou la principale ment en disant que ma collègue aurait dit que j'aurais accusé le jardinier, alors que c'était ma collègue elle-même qui penchait dans ce sens, ou alors ma collègue joue un drôle de rôle dans cette histoire : "Me faire débarasser le plancher de ce collège où l'on trouvait que je restais trop longtemps le soir" et dans ce cas elle serait de connivence avec l'agent de maîtrise qui lui fait la bise depuis ces évènements. Elle-même m'ayant dit qu'elle lui fait la bise depuis le début de l'année, alors que j'ai remarqué que ce n'était pas vrai, encore lorsque les ouvrier ont installé les grilles pour l'exposition sur un pays d'Afrique vers février, il ne lui fasait pas la bise.
Par ailleurs, j'avais justement téléphoné aux ouvriers l'après-midi juste avant la "disparition" pour qu'ils installent les charnières des grilles pour qu'elles tiennent ensemble pour l'expostion. C'était peut-être trop de travail pour eux. Ou alors l'ouvrier ne faisait pas le tour du collège, mais avait regardé les grilles et dans ce cas il aurait peut-être changé de place les papiers qui étaient sur la table juste devant et le gênait pour installer les charnières. Je me demande s'il était pas plutôt venu installer les charnières des grilles d'exposition.
Mon exposition était sur l'allemand et l'Europe et nous savons que beaucoup d'habitants de Petite Ville sont anti-européens des deux bords. Comme je fais partie d'association de jumelage à tendance européenne, voilà peut-être où le bât blesse, mais comment faire autrement lorsqu'on est professeur d'allemand ? Bien que j'ai des collègues d'allemand qui sont anti-européens je me demande comment on peut ne pas être pro-européen quand on est prof d'allemand, et je me demande comment on peut passer outre le fait que l'Europe a été faire au lendemain de la guerre pour éviter une nouvelle guerre entre la France et l'Allemagne (guerres que les américains appellent "European wars"), et ignorer la phrase de Jean Monnet que je venais d'installer sur les grilles quand les évènements se sont passés : "Faire l'Europe, c'est faire la Paix".
domino
13:20 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : harcèlement moral, enseignement, politique
Dix secrets inavouables
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J'aime le ciel bleu, mais je n'aime pas les fortes chaleurs,
J'aime le bruit de la pluie, mais je n'aime pas l'humidité,
J'aime le vert des plantes, mais je n'aime pas les orties qui me piquent,
J'aime les abeilles et le miel, mais je n'aime pas qu'elles me piquent,
J'aime la mer, mais je n'aime pas me noyer,
J'aime le soleil, mais je n'aime pas les coups de soleil,
J'aime la neige, mais je n'aime pas rouler sur les routes enneigées,
J'aime les animaux, mais je n'aime pas la viande,
J'aime les élèves, mais je n'aime pas les chefs d'établissement,
J'aime être en bonne santé, mais je n'aime pas les médecins.
domino
08:50 Publié dans La Philosophie de l'i-grimoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, poème, poèmes, poésies, goûts
Trop mignons....
Trop mignons,
Sous le "bruit,
Doux de la pluie",*
Sous leur parapluie,
Eliot et la petite pixie,
"Un ptit coin d'parapluie,
Contre un coin d'paradis",*
la petite pixie et Eliot
Ont quelque chose des anges....*
domino
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Mais maman, on est virtuel, c'est pour cela qu'on est sage comme des anges.
(domino pour...) la petite pixie
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C'est vrai que vous êtes sages
Sous les gros nuages
Et vos parapluies
Sur lesquels bruisse la pluie....
domino
* (première citation, Verlaine, deuxième citation, Brassens).
* (procédé poétique de l'intertextualité)
08:10 Publié dans La Petite Pixie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pluie, météo, petite pixie, Eliot
lundi, 02 juillet 2007
O bruit doux....
On n'a plus l'habitude... Pendant la première moitié du printemps, on ne l'avait plus entendu, ce bruit qui envahit tous les pores de la maison, son toit, ses gouttières, les terrasses, le balcon, les murs, les persiennes, les coins des fenêtres, les vitres .... On l'avait oublié ce bruit....
Ce bruit qui tient à la fois du roucoulement du pigeon, de la roulade du rossignol et du crépitement du feu.
La première fois qu'on l'a entendu quelques secondes, puis une minute, on s'est dit... : "Mais qu'est-ce que c'est? Un chat qui se frotte sur la persienne? Un oiseau qui frôle le toit de ses ailes?" Puis le petit crépitement s'est tu.
C'est arrivé plusieurs fois, le bruit était souvent accompagné de quelques bruits plus forts qui nous donnaient à croire que quelque feu d'artifice était tiré dans le coin, et de quelques lueurs rapides et blanches.
Puis le bruit est arrivé ce soir, tenace, long, fort, le bruit qui amène l'apaisement après la chaleur, quand dans mon enfance le temps se faisait si lourd qu'on ne savait plus rien faire, et que les lumières et les roulements de tambours passés, en Juillet, le bruit s'installait pour trois jours d'affilée.
Le bruit est venu, persistant, fort, il a apporté avec lui quelques frissonements qui font que la peau devient granuleuse et se hérisse dans ses pores, comme si notre peau répondait à l'humidité qui semble envahir notre coquille de briques rouges, comme si la fraîcheur de l'air perçait la peau de notre maison, pour caresser la nôtre. Et alors, le bruit des goutières gargouillantes, des tuiles dégoulinantes, des cheneaux débordants, des balcons s'égouttant, des vitres lustrées par des ruisseaux transparents, des portes humectées par des battements de salves aqueuses, le bruit va s'amplifiant, puis perdure, et dure, et dure encore, des flots qui feront déborder les rivières se déversant sur des contrées naguére humides, et qui sans le bruit risqueraient de se déssécher.
Et alors, je me souviens de flots qui humectaient la maison des vacances, du bruit qui battait sur le jardin fleuri, après les mi-août de mon enfance.
Je me souviens, pas assez longtemps... Le bruit qui jadis durait trois jours, parfois une semaine est parti, le bruit doux,
"O bruit doux de la pluie,
Par terre et sur les toits,
Pour un coeur qui s'ennuie,
O le chant de la pluie",
récite en mon coeur, par coeur, mon contemporain des siècles passés*. Et le bruit est parti et déjà
"Le ciel est par dessus les toits,
Si bleu, si calme,"*
et déjà l'été revient, après un élan automnal, l'été et sa chaleur, qui nous donne la torpeur, tandis que le bruit doux et humide résonne encore en écho dans notre mémoire et nous apporte un peu de tiédeur.
domino
*Les vers sont de Verlaine, 19ème siècle, le texte en prose est de moi, domino.
19:50 Publié dans Littérature i-grimoiresque | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Verlaine, pluie, météo, prose poétique, poésie, poèmes, poème