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jeudi, 11 février 2016

Encore une lettre recommandée

Roman-théâtre

Ce matin, alors que les vacances scolaires viennent à peine de commencer (tout pour gâter les vacances des professeurs), mon personnage de roman-théâtre Bêtie a eu un avis selon lequel une lettre recommandée est arrivée.

Qu'est-ce? Déjà Bêtie est à moitié tombée dans les pommes. Lettre recommandée rime avec rectorat, recteur, ancienne principale. Et toutes ces choses désagréables qu'elle a vécue depuis l'inspection du 22 mars 2002, entre les deux tours d' élections qui opposaient le président Jarnac et le candidat La Plume. Le candidat La Plume avait décidé que les femmes de 50 ans devaient arrêter de travailler (sa fille devra donc arrêter toute activité professionnelle ou politique quand elle aura 50 ans, si elle ne les a pas déjà). Et Bêtie venait justement d'avoir 50 ans.

(NDLB : Ma note venant de tomber (l'interface s'est formée complètement alors que j'étais en train d'écrire, même si le contenu de la suite sera le même, ce ne sera plus exactement les mêmes mots. Décidément, quelqu'un n'a pas trop intérêt à ce que je publie ce morceau de mon roman. )

Rapidy a dit alors à Bêtie : Mais non, regarde, c'est pour Monsieur et Madame./

Ah, on n'avait pas entendu parler des voisins qui nous snobent depuis quelques mois. La dernière fois c'était lors du rendez-vous que la voisine portugaise avait fixée à Bêtie et Schnelly avec son expert d'assurance '(convoqué pour arbres dangereux), pendant que Bêtie passait des examens universitaires. La fois d'avant, c'est lorsque l'autre voisin qui posait toujours des ultimatums avec échéance le 19 du mois (on se demande bien ce que signifie ce chiffre 19, un chiffre dia...que???), et qu'il avait fait venir aussi une expert d'assurance un 19 du mois, pendnat que Bête passait des examens universitaires - On a vraiment l'impression que ses voisins la harcèlent au niveau de ses études universitaires (par jalousie? Parce qu'ils n'ont pas eux-mêmes de niveau universitaire), alors que c'est complètement inutile de la harceler là-dessus, parce que Bêtie a déjà un niveau bien supérieur aux niveaux qu'elle fait actuellement, elle a un bas + 6, alors qu'elle étudie actuellement seulement en niveau bac + 3, en ayant recommencé  en Bac + 1 sans avoir demandé d'équivalences, ceci par honnêteté parce que il s'agit d'une autre matière.

A propos du chiffre  19 qui semble être un chiffre maléfique dans l'esprit de son voisin, Bêtie a d'ailleurs trouvé plusieurs fois dans sa maison des pièces de monnaie placée près d'une vis ou d'un clou. Sur son chemin, par exemple au pied du lit où elle passe elle pour aller du côté vers la fenêtre et où Rapidy ne passe pas.

En triant un coin de la cuisine où Rapidy avait accumulé un tas de bricoles, Bêtie a encore trouvé des sachets plein de pièces de un et deux centimes accompagnés de clous, d'aiguilles et de vis. Elle s'est demandée si Rapidy faisait de la magie...???!!! Si quelqu'un qui lit se roman sait ce que cela signifie sur le plan de la magie, qu'il en fasse part à la romancière domino, pour qu'elle le dise à son personnage Bêtie.

Bon, revenons-en a cette lettre recommandée.

Les maisons depuis le coin de la rue sont numérotées de 149 à 152 où habite sa voisine portugaise.

Au 149, il y a une famille nombreuse avec surtout des garçons, je ne sais pas combien exactement, ils sont en âge primaire ou pré-adolescents et il y a encore un presque bébé (de 2 ans environ). Il y a dans cette maison un homme d'environ 45 ans, grand, fort et blond, et Bêtie y a déjà identifié trois femmes, bien que Rapidy qui n'est pas très physionomiste pense qu'il n'y en a qu'une seule. Une plus jeune qui a des cheveux blond foncé en tire-bouchons pourrait être la fille aînée, déjà à l'âge adulte. Elle était là cet été, mais on ne la voit plus. Une plus grande qui pourrait être la mère et qui est très fière et ne dit pas bonjour à Bêtie, mais passe devant la maison de Bêtie pour aller au devant du facteur ou de la factrice, sans jeter même un coup d'oeuil à Bêtie, professeure bi-admissiible à l'agrégation d'allemand, elle a certainement un métier plus élevé que le sien -mère de famille nombreuse - elle est toujours en tenue de sport, a des longs cheveux blond foncé tout raides, un visage émacié, dur, d'acier. Il y a quelques années Rapidy avait le béguin après elle, parce que c'est une sportive, il aime bien les sportives, parce qu'elle jouait sur le terre-plein devant au football avec ses enfants, mais il est revenu de ses amours et s'est épris d'une ancienne élève qui fait aussi du football et qui est en lettre classique, il discute par SMS avec elle des résultats des matchs de foot.

La troisième femme du 149, c'est presque la jumelle de l'autre au point de vue du visage. Juste qu'elle est un peu plus vieille et a les cheveux couts. Elle doit être la soeur de l'autre et la tante des enfants. Elle est souvent là en été, elle aide peut-être la famille quand les enfants ne vont pas à l'école. C'est elle qui est sorti quand Bêtie a appelé parce que les flammes de leur barbecue allaient jusqu'à lécher le balcon du premier étage et elle a dit à Bêtie, parce que Bêtie avait flairé un danger : De quoi je me mêle? Elle l'avait traitée de tous les noms, de p... , de souillon, de salope... Et elle avait dit que ce n'était pas normal que son mari fasse les courses lui-même, le pauvre si âgé (il n'a que trois ans et demi de plus que Bêtie), toutes les femmes sont toujours en train de faire les éloges de Rapidy en dénigrant Bêtie, les inspecteurs aussi, il parle un excellent allemand (pas étonnant sa mère était allemande et il a passé 18 ans de son enfance et de sa jeunesse en Allemagne, aucun mérite à bien savoir l'allemand), et les élèves du samedi de Bêtie - quand elle faisait encore son cours bénévole aussi. A propos de son cours, un de ses anciens élèves a téléphoné et a crié sur elle au téléphone parce qu'elle ne reprend pas ses cours du samedi à 32 km de chez elle, avec ses genoux qui ne fonctionnent plus bien. Aucune reconnaissance pour les dix années où elle a sacrifié tous ses week-ends pour leur faire cours, même quand sa mère était à l'agonie.

Au 150, il y a les nouveaux voisins, ceux qui ne sont là que depuis trois ans. Au début ils avaient l'air sympathiques et ils parlaient un meilleur français que les autres. Lorsque l'homme a crié sur elle l'an dernier, Bêtie a cependant détecté que l'homme a un accent arabe, bien qu'il ait un nom français, ou alors qu'il a repris le nom de celui qui habitait là avant lui. Il y avait une femme blonde, un garçon et une fille. La fille semblait avoir la chambre devant qui a des petits rideaux bonne femme. Mais un jour, on n'a plus vue la fille qui est peut-être morte ou a été blessée dans un sidecar. Bêtie avait lu un article dans le journal sur une jeune fille de sa ville qui avait été blessée dans un side-car et une moto avec sidecar avait été stationnée un moment devant son garage durant un week-end. Il y avait un garçon aux cheveux bruns frisés qui montait les neuf marches de l'escalier qui mène à la porte d'entrée en seulement deux pas. On ne le voit plus non plus. Pas plus que l'on ne revoit la mère, une dame blonde d'environ quarante ans, avec des cheveux mi-longs un peu ondulés, et qui était l'une des rares voisines à dire bonjours à Bêtie. Seulement, elle roulait dans une camionnette Seitha Gaz de France (maintenant ils ont une camionnette Engie, le nouvelle marque de gaz), et c'est à ce moment là que le chauffage de Bêtie (un chauffage au gaz de ville)  est tombé en panne, puis ses tuyauteries d'eau, puis sa machine à laver. Elle s'est dit que cette femme-là devait connaître la plomberie.

Cette femme-là ne vient plus non plus. Elle était souvent là avec son fils pendant les vacances scolaires et revenait tous les week-end du samedi au lundi matin. Une autre femme blonde assez jeune a pris le relais, mais elle a été là aussi en même temps que la première femme. Elle était là en semaine, travaillait aux heures de bureau, mais le matin seulement à dix heures, elle revenait à midi, repartait vers deux heures et revenait vers cinq heures. Elle avait une petite voiture noire. A un moment Bêtie a entendu des bruits de dispute, puis cette femme-là n'est plus venue non plus, elle disait bonjour à Bêtie et avait l'air gentille.

Une troisième femme est arrivée un peu plus âgée avec des cheveux teints en blond. On voit qu'ils sont teints parce que les racines sont brunes. Elle a la même coiffure que la deuxième, cheveux mi-longs et raides. C'est elle qui est là en ce moment, contrairement aux deux autres, elle ne dit pas bonjour à Bêtie, elle a l'air moins sympathique. Elle roule aussi dans la voiture noire, mais depuis le week-end dernier, la voiture noire n'est plus là. Il y a le camion Engie, dont j'ai vu qu'un de ses amis le conduisait aussi et l'Opel gris métallisée de l'homme. On voit plus rarement les motos.

Mais alors que quand l'homme est là, Bêtie descend de la porte d'entrée derrière les buissons qui sont entre son escalier d'entrée et la pente de son garage pour qu'il ne la voit pas, il y a quelques jours, alors que Rapidy sortait par le garage, elle a passé sa tête par la porte du garage, et l'homme qui passait devant la maison pour prendre la voiture qu'il avait garé devant son entrée, l'a vue... c'est sans doute parce qu'il sait qu'elle est là, qu'il envoie de nouveau des lettres recommandées, alors il a garé de nouveau une voiture devant son garage pour la gêner, alors qu'il ne le faisait plus depuis quelques mois, ceci durant tout le week-end. Il a installé sur la galerie une espèce de coffre noir tout en longueur, et Bêtie s'est dit qu'il y avait peut-être le cadavre d'une de ses deux premières femmes dedans, d'ailleurs, elle s'imaginent qu'elles sont enterrées dans son garage. Rapidy dit qu'elle lit trop de romans policiers. Mais Rapidy aime bien qu'elle lui raconte ce qu'elle lit dans les romans policiers. Surtout que ceux qu'elle lit qui ont été écrit dans les années 60 ou 70,sont en prise directe sur l'actualité actuelle, on pourrait en tirer des citations qui s'adapteraient comme un gant au monde actuel. Des romans prémonitoires.

On pourrait lui reprocher son antenne de télévision plantée au-dessus de mon toit et arrimée sur les bouches d'aération des cuisines et de la hotte de ma cuisine. Mais Rapidy n'ose pas le lui dire pour qu'il ne s'attaque pas lui-même à autre chose. Dans ces cheminées, il y a deux conduits à nous de à lui, mais il a fait un cerclage de la cheminée complète et fait tenir son antenne de notre côté au lieu de la faire tenir du sien. Nous n'avons même pas la télévision.

Ils cognent au mur ou font marcher leur perçeuse quand Bêtie joue de la guitare, ou qu'elle chante, mais eux-mêmes font souvent la fête le samedi soir ou le vendredi soir, parfois tard dans la nuit et en chantant. Le jour de l'an ou le lendemain, pour narguer Bêtie qui aime chanter le folk et à laquelle ils interdisent de jouer et de chanter, même dans la journée, ils ont amené chez eux un groupe folk avec un accordéoniste diatonique et une fille qui avait une voix presque aussi belle que celle de Doofie et Bêtie et ils ont joué du folk et chanté en choeur 'Le lion est mort ce soir".

Bêtie soupçonne que la letre recommandée peut venir d'eux.

Au numéro 151, il y a Bêtie et Rapidy, vous les connaissez déjà depuis longtemps.

Au numéro 152, il y a la voisine portugaise. Elle s'appelle Maria et est très populaire dans le quartier. Le jour d' Halloween, les enfants qui passaient criaient dans la rue "Maria, tu ouvres!" (Ils la tutoient), mais elle n'a pas ouvert. Nous non plus d'ailleurs. L'un deux à dit 'Madame, vous êtes là?" parce qu'ils m'appellent Madame. Il y a deux ans, un élève de collège qui n'avait pas perdu ses habitudes de primaire, l'appelait Maîtresse. C'est vrai que finalement elle a une maîtrise.

Ah oui, j'ai oublié de dire que dans le quartier de Bêtie et Rapidy, comme il n'y a pas de maisons de l'autre côté de la rue, toutes les maisons sont tournées dans le même sens, il n'y a pas de numéro pairs et impairs.

Revenons au 152, la voisine portugaise ne parle pas bien le français, elle ne sait pas faire deux phrases, sans faire de fautes de grammaire alors qu'elle est depuis plus de 26 ans en France, puisqu'elle est arrivée juste après Bêtie et Rapidy dans la quartier. Quelques mois après eux. Bêtie a commencé à arranger la maison en mars, et ils sont rentrés en août dans la maison et Maria est arrivée avec son mari et ses enfants vers octobre ou novembre... Elle a trois enfants qui maintenant sont tous mariés, ses deux filles habitent à Paris ou dans la région parisienne. Elles n'ont pas fait de grandes études, peut-être un bac Stt ou technique ou un BEP et des sections commerciales, le garçon non plus. Mais peut-être qu'en ayant fait du technique, ils gagnent plus que Bêtie et Rapidy, retraité de l'enseignement. A part faire le ménage pour ses enfants et son mari quand il était encore là, Maria n'a jamais travaillé professionnellement. Elle est d'après Rapidy allée voter au Portugal, donc, elle n'a même pas cherché depuis plus de 26 ans qu'elle est là, à avoir la nationalité française.

Jadis elle est Bêtie était presque devenues amies. Elle lui avait raconté comment il y avait des feux de forêts au Portugal qui avait menacé la maison de sa soeur. Ou de sa mère. Elle a dû hériter de beaucoup de terres là-bas, apparemment ses parents et ceux de son mari avaient des propriétés avec des oliviers et des vignes. Et c'étaient leurs oliviers qui avaient brûlé, c'est peut-être pour cela qu'elle n'aime pas les arbres et considère ceux de Bêtie et Rapidy comme dangereux. Chez Bêtie l'arbre près de la terrasse a brûlé pendant qu'elle passait des examens l'an dernier au printemps, mais il ne faisait même pas chaud, mais humide, on se demande comment cela a pu se produire, c'est sans doute criminel. Il parait que maintenant on fait des espèces de lance-flamme pour brûler la végétation, mais aussi près de la maison, c'est dangereux. On devrait interdire de posséder de tels objets. Beaucoup de choses devraient êtres interdites, car elle sont trop dangereuses. Par exemple les coupe-haie électriques, les tronçonneuses, etc..; elles ne devraient être autorisées que pour les gens de métiers. De même que toues les armes à feu.

Bêtie et Rapidy qui sont anti-alccoliques (les collègues de Rapidy le faisait marcher en disant : De toute façons, tu fais partie de la ligue - et qui sont non-fumeurs, ils n'ont jamais fumé, ont réussi à défaut de faire interdire l'alccol dans tous le pays, à force de râler contre les fumeurs aux comités de ligne et tout, à contribuer à faire interdire le tabac dans les trains, les lieux publics et les restaurants et cafés. C'est d'ailleurs à cause de cela que Bêtie s'est fait beaucoup d'ennemis chez ses jeunes collègues, parce que à une époque, elle faisait toujours des réflexions du genre : Quelle tabagie ici. ça sent le tabac à trois kilomètres, etc..; et elle toussotait à chaque fois qu'elle passait devant un fumeur.

De plus, Bêtie et Rapidy ont un gros défaut, ils aiment les oiseaux et les arbres. Et dans ce quartier où même les étrangers autant que les français sont laplumistes (extrême-droite), Bêtie et Rapidy, alors qu'ils ne sont affiliés à aucun parti ont tous les défauts : être considéré comme écolos, c'est vraiment ce qu'il ne faut faire en ce moment de début de dictature, une dictature que Bêtie a déjà dénoncée sous l'empereur Entreboues. On perquisitionne chez les écolos. Chez Bêtie et Rapidy, ils ne trouveraient rien, ce ne sont pas des militants, ils ne vont jamais et n'ont jamais été à une manifestation. Ils ont seulement le défaut d'aimer, les arbres, les fleurs et oiseaux. Pour aimer les arbres, les fleurs et les oiseaux, ils risquent de se retrouver dans un camp de concentration, où l'on mettra les écolos et les communistes, bien avant les arabes et les étrangers.

Actuellement, c'est le début de la dictature. La police s'attaque aux intellos selon le motto, djihadistes et laplumistes (extrême-droite), unissez vous contre les communsites et les écolos.

(Pendant que j'écris, il y a un drôle de bruit dans ma chaise et sous mon ordinateur, comme un grognement, pourtant, il n'y a pas de chien ic Le grognement a cessé quand je l'ai écirti Il parait que quand il se passe des choses bizares, il faut toujours l'écrire. On veut sûrement m'empêcher d'écrire, car cela fait plusieurs fois que mon texte saute).

(Toute la fin de mon texte a sauté à la publication, où es- tu liberté de penser, liberté d'écrire et d'exprimer son opinion, état museleur !!!!!!!! Où es-tu la France des libertés. Maxime le Forestier n'a pourtant pas été inquété pour avoir chanté sous un gouvernement de droite (cité de mémoire) :

"Où est tu la liberté qui était écrite sur le fronton de la mairie.

On a profité d'mon enfance pour me faire croire à une patrie...!"

Mais si moi aussi je suis chanteuse et guitariste à mes heures, je ne suis pas assez célèbre pour que l'on respecte mes textes.

Dans le texte qui a sauté, j'avais écrit enrte autres :

Que va-r-(il m'arriver demain avec cette lettre recommandée :

- une convocation au tribunal pour nos arbres tous achetés dans les jardineries et sur catalogue de vente par correspondance de fleurs et d'arbustes.

- une perquisition pour trouver un matériel écologiste qui n'existe pas chez nous... pour trouver des substances illicites, qu'en tant qu'anti-alccooliques et non-fumeurs, nous n'avons jamais possédé.

Et j'en pleure déjà à l'avance d'être prise pour le contraire de ce que je suis. Et de ne jamais être défendue par personne.

 

Pour' Bêtie et Rapidy

domino

 

Ps Il y a aussi des gens qui disent que dans mes blogs il faut comprendre le contraire, alors qu'il n'y a presque jamais d'ironie dans mes blogs. Je suis réellement anti-alcoolique et non-fumeuse comme Bêtie, mon personnage de roman-théâtre, comme Doofie et Dummie. Ceux qui disent que c'est le conrtraire sont des harceleurs qui pensent qu'un jour je me suiciderait à cause d'euix parce qu'on m'accusera du contraire de ce que je suis.

 

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