Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 27 juin 2014

Histoire de lunettes

Du journal de Doofie (roman-théâtre) ou plutôt d'après le journal de Doofie...

On sait que Doofie est magicienne, mais de là à ce que la magicienne soit victime de la magie, c'est assez bizarre;

Hier matin avat 8 heures, Doofie arrive dans sa classe où il n'y a pas d'élèves, c'est la fin de l'année et le lycée ayant été fermé aux autres élèves que les Teminale qi passaient leur bac pedant plus de 8 jours, il n'y a plus foule.

Doofie, donc, regarde dans son sac à main, et cherche ses lunettes pour voir de près (elle en a plusieurs paires) et ne les trouve pas : ni dans son sac à main, ni dans sa trousse (elle se souvient en avoir déjà mises dans sa nouvelle trousse mauve, un cadeau de Schnelly, mais rien! Dans la trousse sont ses stylos bien rangés qu'elle n'égare plus aux quatre coins de ses cartables;  Doofie cherche donc ses lunettes ... rien... elle sait encore lire, mais comme il fait un peu sombre dans la classe qui a des espèces de rideaux en lamelles verticales qui sont coincés dans la position fermée (les ficelles sont en vrille) et que l'on peut semi-ouvrir (les lamelles se mettent perpendiculairement aux fenêtres), cela laisse passer un peu de lumière, mais pas assez pour travailler sans les lampes allumées ou sans lunettes de lecture. Le fait que les rideaux soient coincés est peut-être fait exprès, car la classe donnant sur la cour, il y aurait trop de distraction extérieure pour les élèves quand les rideaux sont ouverts au rez-de-chaussée surtout entre midi.

Doofie fouille son sac à mains, sa trousse, son cartable : rien!

Elle se dit q'elle a oublié d'emmener des lunettes ce matin.

Alors Doofie, s'habituant au manque de lumière commence à tavailler dans la pénombre, ses yeux s'habituant à la demi-obscurité produite par la lumière artificielle.

Une heure plus tard, ele n'avait pas cours à cette heure-là,mais reste dans sa classe, elle cherche à nouveau autre chose dans son sac et dans la pochette extérieure, juste en surface ses doigts buttent sur des lunettes. Elle les met, un verre est très salle et complètement brouillé,mais encore maintenant, lle se demande si elle avait rêvé, car toute seule, elle s'était peut-être endormie... Pourtant, il n'y avait pas de lunettes tout à l'heure dans cette pochette.

Les lunettes n'allant pas, Doofie continue sa lecture (elle continue à préparer des cours au hasard pour l'année prochaine), elle continue sa lecture sans lunettes, ses yeux se sont habitués, elle sait tout lire. Cependant cela manque de confort quand même.

Une demi-heure plus tard, elle recherche à nouveau quelque chose dans la même poche de son sac, il y a les lunettes-loupes bon marché auxquelles il manque un verre. A la place de celle avec un verre brouillé. Pourtat, personne n'est entré dans la pièce entre temps, Doofie a toujours été seule... Bizarre, se dit Doofie, elle essaie les lunettes et pense : ce serait mieux si j'avais celles à double branche qui grossisent trois fois, elle remet les lunettes à un seul verre dans son sac (cette paire existait déjà avant, mais n'était pas dans le sac). Et elle continue sa lecture.

Un peu plus tard, Doofie cherche un stylo dans sa trousse et là, au dessus de tout, qu'y-a-t-il? Les lunettes à branches doubles qui grossissent trois fois; ça alors, se dit Doofie ... Mais c'est de la magie.. comment sont-elles arrivées là, il n'y a eu personne dans la pièce, personne autour de moi... comment sont-elles arrivées dans ma trousse, en plus, elles sont bien visibles...

Bon l'histoire s'arrêterait là, s'il n'y avait pas cette histoire-ci après...

 

Doofie est à l'arrêt d'autocar devant le lycée sur le boulevard, où elle prend le car pour aller à la gare, car à pied, quand on est chargé, cela fait un peu loin, Schnelly l''a rejointe à cet arrêt. Elle lui raconte l'histoire des lunettes, et Schenlly dit : c'est comme les petits nains dans le conte..;

Avec le petit taileur a dit Doofie, quand les lutins faisaient son travail la nuti, mais il ne faut pas essayer de voir qui a fait cela, sinon, on ne m'appotera plus mes lunettes comme par magie.

Tout à coup une voiture freinant fort arrive devant eux à la place du bus. Schnelly n'est pas content, il  a dû reculer pour lui faire place, et le car arrive d'un peu plus loi, va-t-il les voir et s'arrêter.

Dans la voitue la fenéêtre et la porte du passager s'ouvre, elle voit une dame assez âgée qu'elle connait... stupéfaite, elle a quelques instants d'hésitation : le conducteur est l'un de ses élèves   du samedi... elle qui voulait taire dans sa ville de rattachement l'endroit où elle travaille, demain, toute la ville est au courant... Mais enfin, cela lui fait tellement plaisir de voir là ces pesonnes si connues au milieu de tous ces inconnus qu'elle ne connait que depuis un mois et demi dans cette ville qu'elle ne connait que depuis un mois et demi.

Mais que font-ils là, ils vont peut-être les emmener avec eux en voiture?

Schnelly  n'a pas encore vu qui était les passager et est en train de râler sur cet holubrius qui est monté sur le trottoir.

ça lors! Que faites vous-là? dit Doofie..

On a un rendez-vous ici chez l'ophtalmo, dit la dame..

Chez l'ophtalmo?, se dit Doofie en pendant à totues ces hsitoires de lunettes qu'elle a eu aujoud'hui...

Nous on attend notre car, dit Doofie... montrant le car qui arrive derrière.

Le conducteur de la voitue s'apercevant de la présence du car, redémarre..; alors que Schnelly vient juste de predre conscience de l'identité des passagers de cette voiture. Il semble qu'il va se gaer plus loin, mais trop tard, Schnelly monte dans le car, on ne rentrera pas en voiture ce soir; et de toutes façons les mais avaient leur rendez-vous.

Lors de la correspondance, Doofie téléphone avec le téléphone de Schnelly, la dame vient de sortir de son rendez-vous.

Doofie

Les commentaires sont fermés.