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mardi, 14 janvier 2014

Bêtie indécise

Roman-théâtre

Du journal de Bêtie

Bêtie est malade comme un chien, Bêtie qui n'a pas pris de congé maladie depuis 2004, a bravé par deux fois la médecine du rectorat en ignorant leurs rendez-vous, par peur d'être mise en congé longue maladie d'office, ne va plus voir les médecins. Pas un médecin vu depuis 6 ans. Et elle s'en porte généralement mieux. Le seul médecin qu'elle voit de temps en temps, c'est le dentiste; Et parfois le pharmacien ou l'assistante de la pharmacie. Mais elle ne se fais pas rembourser les médicaments, car elle n'a pas les prescriptions.

(Tiens, parenthèse, on parle juste à la radio de violence scolaire, ls disent "Il n'y a pas que la violence entre élèves, on parle de plus en plus de violence contre les enseignants..., on commence à nous signaler des cas, il serait temps, ça existe depuis les temps immémoriaux, où Rapidy au début de sa carrière recevait des salves de craies dans son dos et en pleine figure, il y a 40 ans, ça existe depuis toujours...)Et ensuite il est devenu un professeur qui faisait peur,les élèves tremblaient comme des feuilles quand il lui parlait).

Mis à part ces syndrômes de gastro, grippaux et respiratoires dûs à d'autres virus, Bêtie se porte mieux qu'il y a six ans, quand elle allait voir des médecins : elle marchait à l'époque beaucoup plus lentement, montait let descendait les escaliers en mettant les deux pieds sur chaque marche, parce qu'elle n'avait plus assez de force pour mettre un pied par marche.

Quand Bêtie allait encore voir les médecins, elle n'était pas encore ménopausée; il parait qu'il fallait accompagner la ménopause, etc;.. Or, chez sa mère, ça s'était bien passé, comme cela, comme une fleur, alors chez elle, sans plus aller voir les médecins se faut pareil, juste qu'elle a pris encore dix kilos de plus, mais elle n'a jamais su ce qu'était la ménopause, ça s'est arrêté brutalement comme cela, du jour au lendemain, elle était une vieille dame, à 56 ans. Mais son visage est resté juvénile, et sa voix aussi. Jusqu'à ce qu'elle chope ce virus, il y a trois semaines... la voix qui est revenue juste un peu, est bizarre, pas de puissance, tout éraillée, sans résonnance. Déjà avant les vacances de Noël, les élèves se plaignaient quelle ne parlait pas assez fort, alors que sa voix était vingt fois plus forte qu'aujourd'hui. Alors comment voulez vous qu'elle fasse cours avec une voix pareille.

On nous a imposé un médecin traitant. Plus moyen d'en changer, ou alors il faut faire des démarches. Seulement voilà, si Bêtie retourne chez ce médecin traitant qu'elle avait il y a huit ans, alors, si je retourne chez ce médecin-là, elle va dire :  "Où en est votre psycho-thérapie? Laquelle? Celle imposée à cause de l'histoire du paper-board? "

Cela fait belle lurette que Bêtie ne voit plus de psy et qu'elle s'en porte cent fois mieux. Tous les psys qu'elle a vus ont été imposés par l'éducation nationale : Rebellion contre sa principale, harangue contre un ouvrier (soi-disant...), Elèves qui ont lancé des crayons, (ce sont eux les fous, ou elle?), ..

Le dernier en date qu'elle a vu ne lui mettait pas de traitement. Il ne la prenait pas pour une folle, comme celui d'avant. Mais il a été mis en examen, soit disant qu'il aurait dragué des patientes, en tout cas, il ne l'a pas draguée, elle.

Il lui avait appris ce qu'était la déontologie médicale, que les médecins n'avaient pas le droit de faire tout ce qu'ils voulaient, par exemple, ils n'ont pas le droit de poser des questions indiscrètes sur la famille comme la femme médecin du rectorat qui avait voulu tout savoir de ses parents, des métiers de ses frères et soeurs, etc.... C'est juste dans le mois qui a suivi que l'entreprise où travaillait son frère a fermé. Dans le mois qui a suivi que l'entreprise où travaillait sa soeur a commencé à faire des licenciements. Dans le mois qui a suivi que sa mère a commencé à avoir des gros trous de mémoire. C'était la médecine de la dictature de l'empereur Entrebout. Même si sa famille n'avait pas les mêmes opinions qu'elle, cela était égale,ils étaient son fère, sa soeur, sa mère... si le père avait encore vécu il se serait retrouvé aussi au chomâge. Et apparemment, elle s'est servie de Rapidy pour lui fournir cerains papers, changer chez elle des rapports d'inspection précédents, élogieux...

La secrétaire du principale ne l'a appelée qu'une seule fois, elle n'a pas signé le procès-verbal d'installation du nouveau remplacement,comme cela elle n'est pas obligé de prendre de congé-maladie. Elle ne peut de toutes façons pas faire la route. Il n'y a que deux solutions pour alle là-bas, des autoroutes, impossible de rouler là-dessus, si toutefois elle conduisait encore, ou des trains  avec trajets en cars à l'arrivée. Aucune correspondance connue entre les deux collèges. Bref, des remplacmements cette fois vraiment impossibles à faire, où alors il faut se lever à 4 heures du matin, et prendre le train à cinq heures. Deux trains, ppur l'un des collèges... Compliqué, archi compliqué. Bête n'est pas paresseuse malgré sa maladie, ses problèmes de respiration, sa voix rauque et faible, elle cherche les horaires sur internet. Impossible à trouver. Impossible à faire autrement qu'en prenant un train à 5 heures et le taxi entre les deux établissement, mais 25 km entre les deux, cela va côuter la peau des fesses. Quand Bêtie fait un remplacement, elle est en perte financière par rapport au salaire qu'elle reçoit quand elle n'en fait pas, parce qu'on ne lui rembouse que rarement les frais de déplacements;

Une TZR a le droit de contester son affectaion en suppléance, pour impossibiltié de route par exemple, mais on ne lui envoie que le recto du papier, la version électronique et pas le verso où sont indiquées les modalités de contestation. Il suffirait qu'elle écrire : Je ne peux pas faire le remplacement parce que je nai pas de moyen de locomotion et que les transprots en commun ne peuvent m'amerner sur place dans des délais  corrects, avec un lever matinal à une heure normale. C'est tout ce que j'ai à leur dire.

Plus qu'éventuellement, vu l'était dans lequel je me trouve, je devrais être en congé maldaie, vu que je n'ai plus de voix pour faire cours. Et un professeur de langue doit avir la voix suffisamment claire pour que les élèves entendent la prononciation.

Et le médecin qu'elle doit aller voir..? La même qu'avant? Elle a cette vue là d'elle... Aller voir un psy, aller à la médecine du rectorat, discuter de la ménopause... qui est déjà passé depuis bele lurette; Si au moins les médecins n'étaient pas asusi casse-pied : voilà, j'ai succombé au syndrome grippal ou à l'un de ses satellites, d'affection respiratoire hivernale. J'ai une laryngite, probablement une bronchite. Que me proposez-vous comme médicament? Il ou elle va vouloir m'ausculter, découvrir mon psoriasis. Cette grande plaque rouge croûteuse au milieu du dos qui m'empêche d'aller à la piscine et de refaire du sport et par conséquent de maigrir, puisque la seule chose qui me fasse maigrir est le sport, tout le reste, les régimes, ça ne sert à rien. .Ce psoriasis auquel les médias ont consacré une journée entière, mal l'identifier, y voir un cancer de la peau...jadis, cela s'appelait de l'excéma.

Avant, on la laissait tranquille avec les remplacements pendant des mois, maintenant, depuis qu'elle a dépassé 60 ans, c'est remplacement sur remplacement, si possible avec des élèves difficiles, si possible le plus loin possible dans la zone de remplacement à l'endroit diamétralemetn opposé de chez elle qui est à 100 lm de chez elle, si possible sur pluseiurs établissements, si possible avec des trajets inter-établissements impossibles à faire.

Il parait qu'à l'heure qu'il est malgré le fait qu'elle n'a pas de voix, ils l'ont déjà destituée parce qu'elle n'est pas allée faire un remplacement impossible à faire. Et ils ont dit : Elle n'a qu'à gonfler les rangs du chômage, mais vous ne touchez pas de chômage quand vous êtes fonctionaire destitué. Elle n'a qu'à faire de l'artisanat puisque jadis elle avait construit deux guitares dans un stage de lutherie, elle na qu'à devenir chanteuse pusiqu'elle dit qu'elle est un rossignol, -elle était un rossignol, mais elle n'a plus de voix. Ils ont vite arrangé les choses, il n'ont pas regardé sa date de naisance, ils ne savent pas qu'elle n'a plus que deux ans et demi avant la retraite. Alors, la retraite... Allez oui, mettez vous en retarite ... Alors pourquoi je fais encore toutes ces étudedes intéressantes?

Un chef d'entreprise téléphone : J'ai un intérim pour elle... elle peut faire de la traduction... Mais elle ne peut pas, elle est fonctionnaire... Un intérim en usine ne peut pas remplacer deux mois ou trois mois de remplacements impossibles à faire sur le plan des communications ferroviaires et routières. Et où il est votre intérim? A 500 km? Vous riez ou quoi? Bêtie est mariée, Bêtie a sa maison, on ne va quand même pas faire un déménagement 2 ans et demi avant sa retraite, alors que le mari est déjà retraité. Ce serait trop onérieux.

Elle pourrait téléphoner au chef d'établissement qu'elle ne peut pas faire le remplacement. Mais comment voulez vous qu'elle téléphone, sa voix est actuellement inaudible.

C'est un cercle vicieux, que voulez-vous, alors le principal atendra et elle aussi, chacun de son côté, statut quo...

Dans son journal Bêtie dit (Excusez l'auteur qui tour à tour la fait parler dans son journal ou parle d'elle..... sans savoir où il en est exactement du récit à la 3ème ou à la 1ère personne...Mais nous écrivons dans l'urgence) : Je ne peux pas aller chez un médecin, ils vous trouvent toujours un tas de choses qui ne vont pas; J'ai des amies qui y vont souvent : Ah la  la, mon cholestérol il a monté, c'est grave tu sais. Ah! Cette semaine, j'ai eu un de ces virus, j'ai dû aller chez le médecin qui ma donné ce qu'il fallait; Ah la la, je me suis encore foulé le pied.; ah la la..; j'ai fait une investigation, j'ai peut-être un cancer du sein, mais ce n'est ppas sûr, ah la la, mes rhumatismes, je vais vor trois fois par semaine le kiné, ah la la, il y a quelque chose qui ne va pas dans ma prise de sang, ce chiffre là est légèrement trop haut.. ah la la..; ah la la.. ah la la..." J'en entends des litanies de la part de mes copines retraitées, qui ne travailent plus (pas de Doofie et Dummie, elles, elles sont comme moi..),

Inviter le médecin à une visite chez moi; Impossible ! Avec tous les remplacements que j'ai eu jusqu'ici et après être tombée malade dès le 2ème jour des vacances de Noêl, (cela fait trois semaines que je suis malade et que j'ai du mal à respirer la nuit), comment voulez vous que je rattrappe le ménage du trimestre passé par monts et par vaux, à prendre des trains, des bus, des taxis... j'ai essayé de trier le fond du garage, pendant deux journées entières, il en reste encore la moitié à faire, à nettoyer, à enlever les choses devenues inutiles,on a gagné un peu de place, mais pas assez, car une fois ce travail fait, la place va être reprise par ce qu'on aura enlevé de la chaufferie pendnt son triage, puis de pièce en pièce, je pourrais arriver au rez-de-chaussée et inviter de nouvau le médecin à une viiste maison, mais là c'est impossible, il déclarerait la maison isalubre, un manque dans mes obigations conjugales de faire le ménage, il enverrait un dossier à la DASS et nous mettrait dehors de notre maison, nous relogerait, sans tous nos livres, nos disques, mes cours de fac, nos souvenris de vacances et familiaux, car il metrait tout à la bibliothèque muncipale, qui jetterait tout ce que nous avons amoureusement rassemblé. Tout ce que Rapidy qui ne travaille plus, puisque retraité fait, c'est son éternelle vaissele qui dure une à deux heures après chaque repas, chaque verre étant frotté pendant une minute complète (on ne peut rien dire, ils sont parfaitement transparents et préparant son éternelle cuisine à légumes fades, au point que moi qui adorait les légumes, je ne les aime plus. Mais le reste du ménage, il l'ignore, mon ramasse-poussière et ma balayette disparaissent régulièrement derrière sous un amas de sacs poubelles placés devant l'évier (si bien que plus petite que lui, je dois me pencher pour toute activité au dessus de l'évier). Les points stratégiques sont occupés par lui, le seul passage entre l'entrée et la salle de séjour, est cette place devant l'évier et la cuisinière, toujours occupé par lui à longueur de journée. Lorsque je lui demande de venir maider dans la pièce où je fais des triages, j'attend pendant une ou deux heures qu'il arrive. Il fait sans cesse obstrction à mon ménage.

Alors, on ne peut pas appeler le médecin, et plus personne n'est invité chez nous, on n'invite plus peronne comme c'était le cas, quand j'étais encore en poste établissement (il y a dix ans maintenant) où l'on invitait la famille à manger le dimanceh, ou les collègues à manger le amedi soir. ) Quand j'étais en poste établissement, je faisais toujours la même route qui durait de 20 minutes à 30 minutes seulement, et j'avais du temps quand je rentrais le soir, j'avais un vrai week-end le samedi et le dimanche complet, pas comme mainteannt depuis que j'ai les adultes le samedi après-midi, chose que je fais pour garder la main comme prorfesseur d'allemand, dans les périodes, de plus en plus rares,  où je n'ai pas de remplacements.

En plus, que j'ai ou non des remplamements je suis payée pareil. Même pas un attrait financier quand TZR, je dois courir à 80 km (160 km aller retour) pour aller dans des bleds en dehors des villes avec des gares SNCF. pour aller dans des bleds trop loin. Pour faire des parcours inter-établissements en plein hiver et être tellemet crevée pendant les rares heures que je passe à la maison, pendant lesquelles je dois préparer mes cours et corriger mes copies, que je n'arrive même plus à faire un quelqu'onque ménage dans la maison et qu'on a le temps le soir, de juste réchauffer un plat acheté à la va vite sur la route.

Par rapport à l'époque où je travaillais près de chez moi, toutjours dans le même lycée, enfin, près, cela veut dire 15 kilomètres, je n'ai plus jamais de temps le soir, les demi-journée par hasard libres sont occupées par les trajets de retour, même avec un colège à 36 km, en finissant à midi, je n'arrivais pas avant 4 heures de l'arpès-midi à la maison par les transports en commun. 1er car qui quitte le village du collège : 13 h 46, bus SNCF (plus de train) 14 h 35, à l'arrivé une heure d'attente pour le bus pour la maison 15 h 40 Arrivée à l'arrêt de bus 15 h 55. Puis 15 mn à pieds vers la maison : 16 h 10. J'ai juste pu travailler un peu dans le café où j'attends le bus pour la maison. Ailleurs impossible, rien pour poser les affaires et travailler. Ou alors sur les genoux. Corriger des copies sur les genoux dans la car, pour l'écriture, cela bouge beaucoup;

Plus un coin travail dans la maison, sauf l'endroit où est posé mon ordinateur, si bien que je n'écris plus à la maisn chez moi, uniquement à l'ordintateur, car je n'ai plus de surface pour écrire. Tout est encombré par des livres; (bon, si j'insite trop la DASS va venir les enlever et metrte tous mes livres amoureusement amasés pour ma retraite, à la bibliothèque municipale qui les mettra à la poubelle. C'est ma hantise.)

Si on dit à Rapidy de m'aider, il va répondre, mais, je ne sais pas moi, je ne sais pas où elle veut ranger ses affaires. Si déjà il savait faire des trous dans les murs pour acfcrocher des étagères. Si je pouvais recouvrir mes murs de bibliothèques, peut-être que 'j'aurais de la place au milieu pour bouger et peut-être que j'aurais du recul pour faire le ménage.

le détracteur : Ah! Il est temps qu'elle prenne du recul par rapport à son enseignement!

Du recul par rapport à son enseignement? Son enseignement, elle le fait par devoir. Elle donne beaucoup d'interros "par devoir", parce que c'est son devoir de faire travailr, mais ça ne l'amuse pas au bout de plus de trente ans d'enseignement de les corriger. C'est une corvée, une vériable corvée. PArce que c'est son devoir de devoir travailler, mais pas quand on la nomme dans des endroits impossibles à aller; Et si elle y va maitenant, sans certificat médical à cause de toutes les raisons exposées juq'ici : un psoriasis honteux qu'elle ne veut pas montrer, la dent à pivot que le dentiste a refusé de recoller en juillet qui ballotte tout le temps, la maison trop sale et mal rangée où l'on ne peut pas faire venir de médecin,  à cause du surplus de travail qu'on lui a donné ces dernières années avec tous ces remplacements sur deux établissements dans des bleds ravitaillés par les corbeaux, une vue du médecin traitant qui la jusge encore sur des faitsd'il y a sept ans,  qui veut toujours l'envoyer chez un psy à cause de la médecine du recotrat d'il y a dix ans; Alors qu'lele voudrait seulement une petite boite d'antibiotiques (elle n'en prend presque jamais, alors ils ont encore de l'effet sur elle, et un congé pour soigner sa voix et attendre qu'ell revienne, ce n'est pas grand  chose ce qu'elle veut, mais à cause du psoriasis, à cause de la mauvaise idée que ce médecin à d'elle, à cause des psys qu'on l'a forcée à aller voir jadis pour des motifs futiles comme s'être faché pour un paperboard qu'elle ne trouvait plus ou avoir quitté un lycée après avoir été offusquée par un collègue, ce qu'on n'a jamais voulu reconnaître, et maintenant cet agrégé qui prononçait mal l'allemand coule une douce retraite.

Pauvre moi, je ne veux pas aller travailer avec cette voix éraillée, en plein hiver, dans des bleds ravitaillés par les corbeaux et encore plus éloignés d'ici; par monts et par vaux, par trains et cars, par vent et froidure, pluie et brouillard, negie et verglas; ... Avec ma voix éraillée qui ne porte plus, meilleure façon de mal commencer un remplacement;

... Bêtie...

La maman : Ah oui, parce que tu vois, elle ne peut pas commencer le remplacement parce qu'elle a mal à la gorge.

Le défenseur : Ce n'est pas mal à la gorge qu'elle a, c'est une extincton de voix, plus de voix, et la toutx... pas la même chose, non...

La principale : Mais cette phrase de la maman,qu'est  ce que ça fait là...? Elle ne sait pas écrire, elle aurait dû l'inclure dans le reste;..

Le juge : La prinicipale ne connait pas la littérature moderne, elle n'a jamais lu ni Elfriede Jelinek  ni Volker Braun.

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Pour Bêtie

domino

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